Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Pere_Yves

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Les alentours de la ville / Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)
« le: samedi 01 janvier 2022, 20:45:15 »
C'est défilé, aujourd'hui. Je n'aime pas ces parades, ces humains fiers d'aller tuer d'autres humains, mais aussi cette foule humaine qui les salue, les admire. C'est contraire à ce qu'on m'a enseigné. C'est contraire à ce que j'enseigne. La violence ne fera pas la société ; elle ne fera que des victimes, des veuves et des orphelins. Je ne suis debout sur le parvis de mon église que par obligation.

D'ailleurs, je ne regarde pas ces soudards, car je n'oublie pas que, dans le feu de la mort qu'ils sèment, trainent les dépouilles des femmes qu'ils ont violées, et les larme des enfants qu'ils privent d'avenir. Même ma propre Eglise s'est fourvoyée dans ces immondices, et, alors qu'elle prend peu à peu conscience de ces horreurs passées, je ne peux pas en applaudir d'autres.

Hélas, cette foule est aussi coupable d'ainsi encourager. Une foule où il y a peu d'hommes, parce ceux qui restent se font traiter de lâches. Une foule où il y a beaucoup de femmes, les plus nombreuses qui pensent que guerre rime avec virilité et qu'un homme en armure a la bite aussi dure que sa lance, et les plus rares qui pleurent leurs maris partants.

Mais il y a un autre groupe d'admiratrices qui attire mon regard. Des jeunettes ! A peine sorties de l'adolescence. Et plus excitées qu'une puce qui a trouvé un élevage de chiens. On dirait qu'elles sont à un spectacle musical, à hurler envers quelque idole, alors que seul Dieu doit être adoré. C'est sûr que, si un soldat met pied à terre, ces harpies se jettent sur lui pour le violer !

Parmi elles, il en est une qui retient mon attention, plus que toutes les autres. C'est cette petite brunette de Marguerite Clairbois. Il y a un moment que je l'ai repérée, lors d'une de mes promenades méditatives. Une jeune femme courageuse, qui vit dans une maisonnette toute simple.
Je dois avouer que ce qui m'avait distrait de ma rêverie était ce jupon qui avait volé au vent, juste avant que sa posture penchée vers l'avant ne me gratifie de la vue délicieuse d'une poitrine ample et corsetée.
Je ne savais pas qui elle était, alors. Je l'avais juste gratifiée d'un sourire, comme tout bon prêtre qui se respecte. Mais, sitôt revenu à l'église, j'avais activé mes contacts, afin d'en savoir davantage, son identité, le décès de ses parents, sa solitude, son courage, sa pauvreté.
Puisque Dieu m'en fut témoin, je peux même avouer que, le soir-même dans mon strict lit du presbytère, je me suis donné du plaisir dans des rêves lubriques. Je ne l'ai forcée à rien, il n'y a donc pas lieu de m'en condamner. « Hum, Marguerite, comme tu étais bonne ! ».

Mais, là, le spectacle a le don de m'énerver. Marguerite est de celles qui piaillent le plus au passage des soldats. Tout pour se faire remarquer ! A sauter comme une hystérique, j'en vois même sa poitrine tressauter à vouloir s'échapper de son corsage.
C'en est trop ! Je vais y mettre bon ordre. « Je vais t'apprendre, petite salope ! ».

J'ai dû ronger mon frein jusqu'à la fin du défilé, mais à peine est-elle rentrée chez elle, que je suis sur ses traces.
Elle ne semble même pas surprise que j'arrive à sa maisonnette. Sans doute ma tenue sacerdotale est-elle un gage de sécurité pour une jeune femme vivant dans l'isolement.
Si sécurisée qu'elle n'a nul scrupule à ostensiblement afficher sa poitrine bien serrée à en être plus pigeonnante encore ! Heureusement que ma soutane cache l'effet que ça me fait. Je dois absolument garder ma sérénité.

« Bonjour Marguerite. Je t'ai vue, tout à l'heure au défilé. Tu avais l'air bien excitée ; je t'entendais crier jusqu'à l'église ».

Je marque un temps d'arrêt, guettant sa réaction.

« Ne crois-tu pas que, à ton âge, tu devrais plutôt te chercher un mari parmi les jeunes du village, fonder une famille, avoir des enfants, et travailler à aider ton mari ? »

Je retrouve mon esprit de sermon, je dois lui en imposer.
« Ouais, en fait, je n'ai pas envie qu'un de ces ploucs de villageois tripote ces gros nibards ! »
L'intonation est là, je la poursuis.

« Tu viendras demain te confesser. Sois là à dix heures, et ne me fais pas défaut. Tu sais que Dieu t'observe, et qu'il te punira si tu ne le sers pas. »

« Ce que Dieu ne te dira pas, c'est que j'ai aménagé le confessionnal à ma manière. Les règles de l'Eglise sont parfois dépassées ; il faut savoir les moderniser. »
Je suis surpris de sa passivité ; on m'avait dit qu'elle était simple, pas très lettrée, mais sa quasi crainte envers ma fonction est un atout.

« Et, si tu es digne de ma confiance, je te prendrai par... euh je te prendrai pour l'entretien de l'église, en te payant bien sûr ».
Je sais qu'elle a du mal à avoir de quoi vivre ; ça devrait l'appâter. Heureusement qu'elle est trop simple pour ne pas avoir compris quand j'ai bafouillé !
« Quitte à entretenir, tu viendras aussi entretenir la vigueur de ma queue ; gratuitement, bien sûr, mais ça, on le verra en temps nécessaire ».

« N'oublie pas, Marguerite, demain à 10 heures ».
Et je tourne les talons.
Il me faut tout préparer, configurer le confessionnal, et remettre de l'ordre dans le presbytère.

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Prélude / Annabella, mamie coquine [Vanéalidée !]
« le: vendredi 31 décembre 2021, 10:51:52 »
Je ne côtoie que les mamies "grenouilles de bénitier".
J'ignorais qu'elles pouvaient être coquines comme ça.

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Les alentours de la ville / En quête des esprits (Shikimurami Nagata)
« le: mardi 28 décembre 2021, 20:52:41 »
Ras le bol ! Oui, j'en ai ras le bol ! Pourtant, j'avais sollicité l'un des plus influents cardinaux, l'un des plus proches du Pape, pour qu'il appuie mon projet et me décroche un financement. Et voilà que cet imbécile, ce répugnant personnage devrais-je dire, se fait mettre de côté au motif d'attouchements, voire pire. C'était pourtant le meilleur appui pour mon projet d'exorcisme sur un territoire où rien n'a été fait. Certes, il avait fallu convaincre toutes les étapes, expliquer la pertinence de développer l'exorcisme dans un pays où les esprits font partie intégrante des croyances, parfois même leur sont indispensables. C'est aussi un peu pour ça que le Japon me tentait, moins que Haïti certes, mais avec la certitude de davantage de confort.

C'est vrai que je n'ai pas été déçu ; l'accueil, l'église, le confort du presbytère, les quelques paroissiens et même de chaudes paroissiennes d'ailleurs. C'est peinard, mais ça m'ennuie ! D'où le retour dans mes pensées de cette idée d'obtenir le statut de prêtre exorciste. Bref, raté, encore raté !

Est-ce pour ça que j'ai flashé sur la maison d'hôtes de Madame Shi ? Mystère ! Le site décrit une belle demeure, perdue au fin fond de la campagne, une maison d'hôtes comme tant d'autres, banale. Si ce n'est que, en cherchant des renseignements, j'ai été attiré par des commentaires sur des esprits qui y demeureraient. Sacrée coïncidence ! Si je réussis quelque chose là-bas, ça va faire monter mon projet direct au Pape. Peu importe que je chope un pauvre esprit errant ou un proche suppôt de Satan, l'essentiel est de faire le buzz ; Rome ne pourra plus me refuser l'investiture.

Très agréable au téléphone cette Madame Shi, une voix très douce, mais mes lectures m'ont appris que le Diable se cache parfois sous l'innocence. J'avais presque l'impression de voir ses courbettes à travers le téléphone. Aller jusqu'à accepter de poser un crucifix dans la chambre que j'ai réservée, alors que je voulais simplement apporter le mien, est-ce une bonne volonté d'accueillir ou un piège tendu par le Diable, à moins qu'elle n'ait vu l'aubaine d'avoir un curé qui vire les esprits ?

J'aurai le temps de m'en rendre compte. Avec tout mon barda à exorciser, ce sont trois valises que je charge dans la voiture. Pire qu'une femme ! Ce n'est pas loin de Seikusu, mais les petites routes me semblent interminables. C'est aussi la certitude que je serai loin de tout, que je couperai le lien quelque temps avec les paroissiens, que je pourrai me consacrer à ce qui me motive.

« au cœur de la campagne », le site disait vrai ! Mais quelle révélation en la découvrant, au détour d'un chemin, bien dissimulée par des arbres. L'endroit idéal pour se reposer ? L'endroit idéal pour des esprits ? On verra...

J'avais prévenu Madame Shi de mon heure approximative d'arrivée, mais je ne peux qu'être surpris par la porte qui s'ouvre, comme par magie. Quoique la magie soit tout autre ! Ce doit être Madame Shi sur le seuil. Quel rayon de soleil dans cet endroit ombragé ! Belle sans être exceptionnelle, mais si délicatement dessinée par des vêtements presque diaphanes, échancrés comme si elle avait oublié de les fermer, je ne parviens qu'avec peine à ôter mon regard de cette belle poitrine cachée sans vraiment l'être.

« Yves, ressaisis-toi ! Tu n'es pas là pour ça. Tu as déjà péché avec quelques paroissiennes, n'en rajoute pas. ». Maudite conscience, ne pouvait-elle pas se mettre en vacances ?

« Madame Shi ? », je prends ma voix la plus douce, comme pour m'adapter au calme ambiant. Un calme que j'imagine déjà troublé par ces esprits qui, paraît-il, ont amusé quelques visiteurs. Moi, je veux en faire mon fonds de commerce, ma gloire. J'essaie de me concentrer, pour percevoir l'atmosphère, accrocher quelque sensation, repérer quelque signe. Néant ! Rien ! La seule sensation qui occupe mon esprit est la silhouette de mon hôtesse. Si je ne me concentre pas, mener mon projet est déjà voué à l'échec.

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Centre-ville de Seikusu / C'est vraiment le moyen age par ici... [PV Père Yves]
« le: vendredi 27 juillet 2018, 00:34:38 »
Je pense que je finirai Pape ; j'en ai tous les droits désormais, il ne me reste plus qu'à choisir mon nom de règne. Et ma première décision, le jour même de ma nomination, sera de supprimer le vœu de chasteté, grande hypocrisie dont je peux parler à mon aise, puisque le renier ne m'a pas mené en Enfer .
Justement, à propos de ça, c'est grâce au Diable que je vais accéder aux plus hautes fonctions. Je ne vais quand même pas aller le remercier, mais il m'a donné un sacré coup de pouce. C'en est même surprenant ; d'ailleurs, connaissant quelque peu ses travers, je me demande même s'il ne l'a pas fait un peu exprès.

Tout cela pour dire que nul ne fait attention à un homme comme moi, pieux, distant, lisse. L'avantage numéro un est que je peux abuser de lycéennes de Mishima sans que nul ne croie les ragots. L'avantage numéro deux est justement de parler librement devant moi puisque je ne peux rien répéter du fait de mon ministère.
Le premier indice fut quand deux fidèles se disputèrent, l'une employant le terme « démone » et l'autre employant le terme « succube ». D'une certaine manière, aucune différence. Mais, de là à entendre que ce genre d'entité circulait à Seikusu ?
La rumeur a vite enflé. Les journaux en ont fait des unes à sensation. La police a même arrêté une de mes fidèles ouailles, qui a avoué avoir couché avec trente-sept lycéennes de Mishima. Que ça ? Heureusement que la police ne m'a jamais demandé !

Mais c'est quand j'ai vu, dans le journal local, cette annonce « Beau gosse viril cherche succube à démonter », que j'ai décidé de me porter volontaire pour intervenir. J'ai repris l'idée, j'ai fait appel à un jeune séminariste beau comme un Apollon, et j'ai mis l'annonce à ma manière sous le titre : « Beau jeune homme offre pucelage à femme expérimentée et vicieuse ».
J'ai géré les réponses, eu mon lot de surprises, avec la mère Briochin l'une de mes plus revêches ouailles ou encore l'un des adjoints au Directeur de Mishima. Mais j'ai vite cerné la réponse que je cherchais, une certaine Vicky ; mon sixième sens à détecter l'envoyée du Malin allait me mener directement à Rome.
Le jene séminariste accepta de se sacrifier, au nom du combat contre Satan. Quelle belle motivation ! Sauf que et imbécile a couché avec la succube, et qu'elle a noirci son âme. Irrécupérable ! Il était hilare, comme s'il n'était plus lui, quand il se vanta à moi de l'avoir enculée, selon ses propres termes. Il m'a même expliqué qu'il était si excité qu'il l'avait faite jouir dix fois sans débander. Pauvre idiot qui ne sait pas de quoi ces créatures sont capables ! Il est perdu, désormais.
Heureusement qu'il ne savait pas que le gel qu'il a utilisé, tiens pour la sodomiser justement, était couplé à un puissant somnifère ! Lui, il s'est juste réveillé pour me conter ses exploits, vu que je lui avais arrangé l'accès à la sacristie pour batifoler. Elle, je l'ai menée direct au sous-sol, légère, et sexy je l'avoue. Tiens, j'aurais bien essayé de me la faire pendant qu'elle était inconsciente, mais j'avais trop de doute sur le durée d'effet du produit.

L'église est la copie conforme de celles dressées au temps de l'Inquisition ; elle regorge donc de cellules et de salles adaptées dans son sous-sol. J'ai volontairement choisi la cellule la plus sombre, et j'ai quand même ajouté un bandeau opaque sur les yeux de la créature. Quand je l'ai trouvée, inconsciente, dans la chambre, elle avait les yeux rouges du Malin, et c'est très dangereux !
Je lui ai bien attaché les poignets aux anneaux de métal descendant du plafond, et j'ai solidement arrimé ses chevilles aux anneaux de métal scellés au sol. Écartelée ainsi, et quand même vêtue très sexy avec ses propres habits que je lui ai remis, elle est canon, surtout en imaginant sa chatte bien ouverte par la position. Bon, les ailes et les cornes, je ferais avec !
J'ai disposé le crucifix au mur dans son dos, et des bougies au sol tout autour d'elle. J'ai prié pour me donner la force, en fait je ne sais pas si c'est la force de combattre le Diable ou la force de ne pas céder à la tentation. En d'autres circonstances, un tel canon, offert comme ça, je n'aurais pas résisté. Dommage. Vu que j'ai demandé au Père André et à Frère Jérôme, mais aussi à Soeur Adélaïde, de venir m'aider dans mes incantations, je verrai si leur œil est aussi subjugué. Du moment qu'ils attestent de mon audace à capturer une succube, ça m'ira déjà.

Tiens, elle se réveille ! « Alors, fille de Satan, on dirait que tu as échoué ». Je prends mon pied de multiples manières. Une femme attachée à ma merci, j'aime ça. Une succube livrée à mon bon vouloir, et sachant tout le talent qu'elle a côté sexe, c'est encore mieux. Et je suis sûr que mes trois invités n'auront nulle retenue à utiliser tous les moyens pour l'exorciser.
À vouloir copier l'inquisition, il y a même des ustensiles accrochés dans la salle du fond, une salle de torture sans doute, dont j'ignorais l'existence. Le champ d'expérimentation s'annonce intéressant, et je pourrai en écrire la thèse sur l'exorcisme qui me mènera à Rome.

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Je préparerai donc ma réponse pour ton retour.

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Car mon bassin est à l'arrière de mon corps et mon minou aussi!

Noé a bien fait d'emporter tes ancêtres dans son Arche!  :D

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Il faut vraiment que j'exorcise tout cela!  >:(

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Salles de cours et bibliothèque / Fragilité apparente (PV Notori)
« le: jeudi 19 juillet 2018, 13:11:55 »
Entretenir l'église, accueillir les bigotes, consoler les épouses délaissées, faire la messe le dimanche en exhortant à la sainte chasteté, quelle belle vie que celle d'homme d'église. Ça me pèse ! Bon, c'est vrai que, côté abstinence, je suis un très mauvais exemple. Mais quand même, ça manque de piment.

C'est donc avec grand plaisir que j'ai accepté ce contrat avec le lycée Mishima, quelques heures par semaine pour enseigner la théologie et les civilisations européennes disparues. Ce n'est ps la matière la plus passionnante, mais ça m'a ouvert la porte d'un de ces réservoir à jeunettes ! Pas farouches les lycéennes, ça baise avec tout ce qui est possible, et partout où c'est possible.

Ça a commencé dès le jour où je suis venu discuter du contrat. Une fois tout débattu, je me suis retrouvé, en sortant du bureau directorial, dans les toilettes par je ne sais quel miracle divin, et j'ai eu une somptueuse fellation par une adorable brunette, qui a tout avalé pour qu'il n'y ait pas la moindre trace, et est repartie comme si de rien n'était retrouver ses copines. Inutile de dire que je suis aussitôt retourné signer mon contrat !
Et ça a continué ; je dois dire que Mishima recèle une belle quantité de jeunes femmes fraîches et demandeuses. Moi, je suis toujours disponible pour un cours particulier sur la chute de l'Empire Romain, ou sur l'évolution des moeur dans la Grèce antique. Mais, sans que je ne me l'explique, il n'y a, en général, même pas cinq minutes de cours, avant que l'heure programmée ne soit affectée à des tâches tout à fait autres.
 
Enfin, quand je dis que les lycéennes ne sont pas farouches, il y a, comme dans toute règle, ds exceptions. Notori est de celles-là. La première fois que je l'aie vue, c'était à un cours de théologie. Ce qui m'avait frappé en premier chez elle, c'était sa fraîcheur, son innocence sa beauté naturelle, toute en proportions et sans esbroufe. De ses très longs cheveux à sa tenue aux derniers canons de la mode, elle m'avait vraiment séduit. Je la voulais ! Mais, quand le cours a commencé, j'ai aussitôt eu des doutes sur son niveau de connaissances. Peu à peu, elle avait fini par monopoliser le questionnement. Ses questions étaient précises, et même tendancieuses. Alors que j'expliquais le cheminement du Bien dans l'Eglise, elle me donnait l'impression de vouloir toujours mettre le Mal en avant. Elle m'avait d'autant plus mis mal à l'aise qu'elle était revenue au cours de théologie suivant, continuant son sabordage, presque incohérent avec la fragilité que semblait avoir cette frêle mais séduisante jeune femme.

Notori est vite devenue une obsession. Que ce soit en confidences sur l'oreiller ou en enquêtant sur son passé et son entourage, je veux comprendre pourquoi cette attitude. Je ne veux pas la brusquer, tant elle me paraît fragile, mais il y a quelque chose d'anormal, je dirais presque de malsain.

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Centre-ville de Seikusu / Passion religieuse [Père_Yves]
« le: mercredi 18 juillet 2018, 23:12:25 »

« N'oubliez jamais que l'acte de chair, en dehors du mariage, est un péché qui vous mènera en enfer ! »
, il a de la gueule, mon sermon, mais charité bien ordonnée oublie soi-même, ou alors je serais voué à l'enfer depuis que je suis à Seikusu.
Car des paroissiennes, j'en ai connues intimement, et même la sacristie a de nombreux souvenirs. Je me rachète en disant que je faisais acte de charité chrétienne, en soulageant ces pauvres femmes inquiètes par la négligence que leur témoignait leur mari.
Pour les quelques lycéennes de Mishima, qui ont disons visité l'arrière-boutique de l'église, comme j'ai visité la leur d'une certaine manière, j'aurais du mal à me justifier, hormis la volonté de contribuer à leur éducation.
Le seul acte pour lequel je ne peux me justifier, à part répéter que Dieu est Amour, est cette secrétaire de Mishima, qui a retourné toute l'église avec ses cris, et m'a fait faire des choses inavouables. Mais j'avoue n'avoir aucun regret.
« Souvenez-vous que Dieu est Amour, et que cette église est son royaume sacré ».
Les grenouilles de bénitier me regardent, un sourire équivoque pour certaines, tandis que leurs maris pensent qui à sa secrétaire, qui à la prostituée du bordel d'en face, qui à la voyageuse du train de la veille.

Aucun ne doit penser à la religieuse qui est assise au premier rang. Sa robe de bure est d'une laideur, d'une usure, consternantes. En plus, à chaque fois qu'elle bouge, ça fait un de ces bruits de caoutchouc ; elle doit même porter une gaine anti-fuite dessous.
Pourtant, au Couvent de la Sainte Contrition, je m'en suis tapé quelques bonne sœurs, mais déjà plus sexy, et puis surtout en manque. En plus, là-bas, les cellules sont individuelles ; on ferme la porte, et on peut niquer en paix.
Mais cette soeur-là, à moins d'être en porte-jarretelles dessous, et d'avoir une paire de seins à faire bander tous les saints de l'église, je ne pense pas qu'elle me ferait de l'effet, si elle m'invitait dans sa cellule. Il faudrait déjà la décoincer !
Mais je suis quand même prudent ; elle pourrait avoir été envoyée par l'Archevêque, et irait tout lui raconter après. Donc, je soigne mes mots, je soigne mes regards, je soigne mes quêtes. Pas la peine d'encourir les foudres vaticanes, je suis au calme ici.
Et, quand elle vient vers moi, une fois l'office terminé, pour me dire : « Je suis sortie de mon couvent pour pouvoir assister à votre sermon... Puis-je vous aider à ranger l’office ? », ça confirme les craintes que j'avais, elle est missionnée et va tout noter.
« Mais bien sûr, ma sœur, je vous en prie. Vous pourrez ranger les livres de messe ».

C'est agréable une aide imprévue et désintéressée, c'est si rare de nos jours, même d'une religieuse envers un prêtre.et celle-là, à défaut d'avoir un bon goût vestimentaire, a un joli timbre de voix, , sensuel dirais-je, qui tranche vraiment avec sa tenue.
Voilà l'exemple parfait, qui fait fantasmer au téléphone, et coupe toute envie de visu ! J'admets qu'elle est touchante, quand elle vient près de moi, les mains jointes avec ferveur. Elle a déjà tout rangé, le temps que les fidèles jacassent et sortent ! Je vais l'embaucher comme bonne du curé, moi.
Mon « Merci, ma soeur » s'étouffe dans ma gorge, quand, d'un coup sec, elle tire sur les pans de sa bure. Une apparition ! Divine ou pas, je m'en fous. Sublime, c'est sûr. Je la détaille tandis qu'apparaît la silhouette gaînée de latex. Mes yeux tournoient, les seins moulés à a perfection, les hanches dessinées à la perfection, tout est parfaitement proportionné.
« Mon Père... Partagerez-vous avec votre dévouée Shani l’amour infini du Christ ? »
Mes yeux s'écarquillent encore plus.
« Shani ? »
Comme pour me conforter, dans un geste qui échappe à toute raison, mes bras se tendent, et mes mains se posent sur ces deux globes si parfaits, si enserrés que les tétons de devinent sous le latex.
Et tout me revient d'un coup, les souvenirs, les interdits, les bravades.
« L'amour infini ? Oh oui, qu'il soit du Christ ou d'un autre ! », ajoute-je, en pinçant les pointes des tétons au travers du latex.
Tout me revient, ce désir qui finalement n'était jamais passé, la plus belle aventure sexuelle depuis que je suis ici.
Délaissant ses seins pour m'emparer de ses fesses, aussi divinement moulées, je l'attire à moi pour lui rouler un baiser d'anthologie.

25
Prélude / Le surnaturel est parmi nous.
« le: mardi 17 juillet 2018, 10:30:33 »
Le pouvoir des femmes à lunettes 8)

Ce n'est pas un pouvoir, c'est un envoutement.  :o

26
Blabla / Horloge parlante
« le: dimanche 15 juillet 2018, 11:30:27 »
Je me suis cognée le doigt de pied.

J'arrive trop tard pour les soins!

11h30
C'est calme ici, tout le monde est à la messe dominicale... sauf moi.
11h30

27
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 10 juillet 2018, 20:43:04 »
20h41

Je n'ai pas eu le droit de mettre la télé dans l'église, pour la messe de 20h.

Dommage!
C'aurait, pour une fois, été une sacrée ferveur populaire!  ;)

28
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 10 juillet 2018, 05:58:43 »
Il est 6h00... Paris s'éveille, au son du carillon.

29
Prélude / Soumise, mais il faut me mériter !
« le: dimanche 08 juillet 2018, 09:24:15 »
Je remercie Dieu de faire se réaliser de si belles expressions naturelles.  :D

30
"Je dois vous dire que tout cela me fait tellement envie ! Ça serait encore abusé de votre générosité. Mais... Je ne vous cache pas cas cet instant que j'ai un petit creux..."
Voilà bien la première qui, nue, sans même remarquer qu'une bosse essaie de demeurer discrète sous mon triste habit clérical, me demande à manger ainsi !
"Et si vous avez des vêtements secs cela ne me dérange pas, le temps que ma robe sèche... Après si vous n'avez rien pour une femme ce n'est pas grave un simple voilage me suffira."
Ca me soulage presque, cette réponse dans la normalité !

« Attendez, je vais voir ! Certaines paroissiennes viennent parfois ici pour... pour... pour se changer, voilà, quand elles ont, enfin quand il faut quoi. »
J'ouvre aussitôt l'armoire à côté du canapé. Aïe, ça commence fort, une minijupe noire plissée, celle que j'avais offerte à Kimiko, et qu'elle m'avait jetée au visage. C'est neuf, a devrait aller, et ce sera mieux que la sinistre longue jupe de Madame Roubeyraud, qu'elle a laissée ici, lorsqu'elle est partie exprès dans l'église, nue sous son manteau. Ah, cette vision, mais bon, ce n'est pas le moment de ressasser.
Côté culottes, ben il y en a plusieurs ; elle va se demander ce que ça fait là. J'en sors, de tailles et de coloris divers, n'osant pas m'aventurer sur son tour de taille.
"Et ne vous inquiétez pas je porte tout ! Je ne connais pas trop la mode d'ici..."
Je ne sais pas d'où elle débarque, mais c'est vraiment étrange. Coup de bol, je trouve un petit chemisier blanc, je ne sais même plus pourquoi il est là, mais ça devrait lui aller je pense. En tout cas, ça risque d'épouser la forme de ses seins !
Justement, traînent aussi quelques soutien-gorges dont je ne saurais expliquer la provenance. Après tout, ils datent peut-être de mon prédécesseur. Il était très liant, lui aussi, paraît-il.Sans doute est-ce aussi de sa collection, ces deux paires de chaussures à talons, que je sors également.
« Voilà, dans tout ça, vou devriez trouver votre bonheur. »

"Je vivais dans un village reculé, tout le village se débrouillait comme dans l'ancien temps ! On cultivait la terre, la chasse et on faisait nous-même nos vêtements... Puis j'ai décidé d'explorer le monde. Alors je m'excuse d'avance, je ne connais pas tout d'ici, mais j'ai envie d'en apprendre plus. Je ne sais même pas comme je dois vous appelez, vous qui habitez dans l'église."
Bon, là, je crois qu'il ne valait mieux pas ajouter ça. Elle me mène en bateau, ce n'est pas possible ! Le Japon est un pays évolué, en avance même ; il ne traîne pas encore, dans ses campagnes, des familles non civilisées, enfin plutôt pas au fait de la civilisation.

"Et après tout cela vous me direz vraiment comment vous remercier ! Je n'oublie pas, vous en fait toujours plus pour moi, je vais vous devoir de plus en plus de chose !"
Alors qu'elle se redresse, ses seins se dressant fièrement tout comme autre chose de dresse de plus en plus, je préfère faire diversion, avant de perdre tout self control.
« Je vais vous préparer de quoi dîner. Si vous avez un souci avec les habits, dites-le moi ».
Et je tourne les talons, face à la cuisinière. Mais la sacristie, c'est avant tout une pièce principale, en sus de la chambre. Et, dans cette pièce principale, cuisiner en entendant une jeune femme manipuler des habits, juste dans son dos, c'est mauvais pour la concentration.

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