Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pages: [1] 2 3 ... 10
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Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Jin Tanaka le Aujourd'hui à 13:13:52 »
Heullo l'ami. L'ambition c'est bien.  ;)
2



Alors qu’elle continue sa gestuelle sensuelle, elle pouvait sentir la grosse bite, de nouveau venir se frotter contre sa chatte et ne peut s’empêcher de laisser gémissements de plaisir venir à son oreille. Alors qu’elle tient toujours la cravate entre ses doigts, elle vient plaquer ses gros seins contre lui, et bouge son bassin sur lui, pour qu’il puisse bien sentir qu’elle était encore brûlante, tellement qu’elle avait dû se retenir avant d’avoir le plaisir de prendre une aussi belle, bite que la sienne et sans crier car il n’hésite pas à lui montrer de nouveau son désir qui palpite en bas de son ventre, pour revenir s’enfoncer  en elle .

Tenshi crie de nouveau tellement conquise par le plaisir, et elle élève une de ses jambes pour la placer autour de la taille du manager qui vient lui donner des coups de bas puissants pour se planter au fond de son utérus, faisant bouger ses gros seins contre son entorse. Elle se retrouve sur la pointe des pieds dès qu’il vient se planter au plus profond et elle en profite pour venir l’embrasser à pleine bouche, de manière vulgaire en jouant avec sa langue.

Haaaa haaaaaa…oui je serai une bonne chienne obéissante.… rien que pour mes maîtres haaaaa…ouaf ouaf

Alors qu’elle continue de prendre la grosse bite qu’il a fait grimper carrément au septième ciel après des très longues minutes, il revient exploser son sperme qui inonde complètement son intimité, une dernière fois, et bien entendu, elle ne retient pas son orgasme à son tour et passer ses bras autour de son cou, pour s’accrocher à les jambes qui tremblent. Lorsqu’il finit de caresser toute sa peau et ses formes, il se retire lentement dans un bruit de ventouse, et la belle rouquine tombe à genoux au sol cuisse bien écartées en posant les mains et le regarde, la langue pendante en essayant de reprendre sa respiration. Elle tourne la tête légèrement pour voir le sperme couler par terre Alors que ses trous étaient complètement ouverts

Haaaa… je serai très attentive à mon portable et à ma boîte mail. J’ai tellement hâte de rencontrer tout le monde.… et j’espère pouvoir satisfaire pleinement Roy…haaan Votre groupe me fait tellement fantasmer depuis des années.

Après avoir repris un rythme cardiaque à peu près normal, elle se redresse en essayant de bien remettre sa robe comme elle était lorsqu’elle est arrivée. Elle sort de son sac à main en string. Quel diamètre dans la poche du manager comme un petit souvenir décède rencontre avant de revenir l’embrasser carré sans son torse. Elle était complètement tactile. C’était sa marque de fabrique et sa manière d’être une bonne chienne à se frotter contre ses propriétaires.

J’espère vous revoir très vite…haaaa… Vous savez que vous pouvez m’appeler à n’importe quel moment et je viendrai m’occuper de votre grosse bite.…

Elle lui fait un clin d’œil plutôt espiègle avant de l’embrasser une dernière fois, et de caresser son entrejambe pour bien s’imprégner de cette taille. Elle passe à l’heure à côté de lui pour reprendre une démarche chalouper pour se diriger vers les sorties du musée.
3
Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 12:57:06 »
Rebienvenue
4
Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 12:19:04 »
Rebienvenue !
5
Prélude / Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Hadrian Lumis le Aujourd'hui à 12:11:29 »
Nom : Lumis
Prénom : Hadrian
Sexe : Masculin
Âge : 25 ans
Race : Humain (sorcier)
Sexualité : Hétérosexuel

Physique :

Hadrian est loin d’être un colosse, mais sa silhouette est athlétique, sa taille bien marquée et ses épaules plutôt larges. Ses muscles sont denses et plutôt souples et secs. Sans préoccupation excessive, il s’entretient avec régularité, pratiquant assidûment la course à pied et la boxe anglaise. Il trouve dans le sport un exutoire après ses longues heures passées à étudier dans son cabinet et son esprit compétitif le pousse à la performance. Hadrian arbore plusieurs cicatrices, souvenirs de rituels magiques et de duels périlleux. Un tatouage discret représentant un ancien symbole de pouvoir orne son poignet gauche, invisible pour ceux qui ne savent pas quoi chercher.

Le jeune sorcier est doté d’une physionomie aristocratique. Son nez est effilé, ses pommettes hautes et saillantes, ses lèvres charnues et la ligne de sa mâchoire, nette et anguleuse. De longs cheveux aile de corbeau encadrent son visage diaphane. L’androgynie de ses traits qui donne une certaine douceur à son visage est accentuée par son regard bleu pâle, presque gris qui semble transpercer l’âme de ses interlocuteurs et dans lesquels brille toujours une lueur de défi farouche.

Hadrian accorde un soin notable à ses tenues, s’agissant aussi bien des coupes que des matières. Connaissant ses codes couleurs sur le bout des doigts, il porte majoritairement des teintes sombres associées à celles de l’or ou de l’argent. Sur sept de ses doigts se trouvent des bagues ouvragées. L’une d’elles est une puissante amulette, transmise de génération en génération dans sa famille et probablement le joyaux le plus précieux qu’il possède. Ses tenues sont souvent complétées par une cape longue brodée de motifs étranges.


Mental :

Sous ses dehors d'aristocrate froid et obséquieux, Hadrian dissimule un caractère orageux et vindicatif. Intolérant à toute forme de frustration, il bouillonne en permanence de la rage sourde et lancinante de son ambition. Néanmoins, son éducation et sa maîtrise de l'étiquette le rendent difficile à sortir de ses gonds, sauf à le connaître suffisamment pour jouer sur la corde sensible.

Doté d’une intelligence hors du commun, d’un tempérament obsessionnel et d’une capacité de travail impressionnante, Hadrian se dévoue corps et âme à la réalisation de son objectif qui n’est pas, comme la plupart de ses condisciples l'imaginent, de devenir Grand Enchanteur, mais de transcender sa qualité de mortel.

Il lui faut exceller dans chaque entreprise qu’il entame, au point de s’en rendre malade de telle sorte qu’il est depuis plusieurs années, loin en tête dans le classement des meilleurs élèves de l’Académie, y compris en botanique.

En dépit de ses capacités intellectuelles, Hadrian reste un jeune homme impulsif et parfois naïf qui sous-estime régulièrement la plupart de ses interlocuteurs. Malgré son apparente confiance en lui, Hadrian est hanté par la peur de l'échec et de retourner dans l’obscurité de laquelle il est issu.

Sans cruauté excessive, il considère la plupart de ses semblables comme des pions et les femmes, spécifiquement, comme des êtres inférieurs destinées aux tâches ménagères et à écarter les jambes lorsqu’on leur en donne l’ordre. C'est pourquoi la prépondérance des femelles dans la hiérarchie des magiciens lui apparaît comme contre-nature. Cette misogynie qu’il ne cherche pas à dissimuler s’accompagne d’une libido vorace, égoïste et obscène qui ne semble pas déranger outre mesure ses amantes, humaines ou sorcières, qu’il souille copieusement.

Il existe toutefois une minorité d’individus qu’Hadrian estime être digne de sa considération et qui bénéficient de son amitié, voire de sa confiance. Il se murmure néanmoins que certains de ces êtres ne sont pas tous tout à fait humains…

Histoire :

Hadrian est le dernier descendant mâle d’une longue lignée de célèbres sorciers quasiment éteinte, ruinée par la cupidité, la sédition et les vices de ses derniers représentants. Le jeune homme est né d’une mère nymphomane à moitié folle et d’un père inconnu. Frappé par l’infamie dès sa naissance, Hadrian a toujours été animé par une volonté de revanche et de conquête. Il a développé très tôt un don surprenant pour la magie et a intégré l’école de sorcellerie à ses douze ans, bénéficiant d’une bourse prenant en charge ses frais d’inscription à raison de ses dispositions exceptionnelles.

Persuadé d’avoir un destin glorieux et de porter la responsabilité de laver l’honneur de sa famille, il fait preuve d’une force de caractère confinant à l’obstination et d’un esprit de compétition presque toxique pour surclasser ses petits camarades dans la plupart des domaines. Il sort premier au classement, avant d’intégrer la prestigieuse Académie de la magie dans laquelle il poursuit assidûment ses études.

Il y développe une misogynie notoire en constatant que la plupart des postes à responsabilités sont occupés par des femelles envers lesquelles il ressent une puissante attirance mâtinée de mépris. Il traite ses amantes comme des

Son profil étonne, intrigue ou inquiète jusqu’aux plus éminents magiciens, jusqu’à Delia Augustus elle-même, la Grande Enchanteresse. Il y a bien des siècle qu’aucun sorcier mâle n’a régné sur le monde magique mais ce n’est point, comme le prétend l’histoire officielle, en raison d’une supposée inaptitude, mais bien d’une volonté des sorcières d’écarter systématiquement les mâles, jugés ambitieux, faillibles et belliqueux du poste suprême. Mais comment écarter de sa destinée un homme aussi brillant qu’Hadrian ? De quoi causer de nombreuses nuits blanches à la grande enchanteresse. Elle a pour le jeune homme qu’elle a personnellement formé une certaine fascination morbide. Tiraillée entre ses allégeances, elle s’est tout de même secrètement entendue avec les examinateurs de l’épreuve de l’Oracle des mystères pour élever sensiblement le niveau attendu.

Mais, contre toute attente, Hadrian, portant désormais l’espoir vengeur des sorciers reprouvé remporte haut la main quatre de six épreuves imposées. Son ascension semble, à terme, inévitable en dépit de son jeune âge. Néanmoins, l’épreuve a été suspendue à raison de soupçons de fraude, Delia elle-même se trouvant à demi-mot, accusée d’avoir favorisée son poulain. Une enquête est actuellement en cours pour déterminer si oui ou non, Hadrian a triché, d’une manière ou d’une autre, notamment en influençant le jury.

Mais Hadrian ne voit cette interruption que comme un contretemps. Certain de sa supériorité, conscient des manœuvres dilatoires des faibles femelles qui s’opposent à son futur règne, il prend son mal en patience, construit des alliances avec des sorciers à la réputation douteuse.

Comment avez-vous connu le forum ? : DC.
6
Brittany était ravie du déroulement des évènements.
Bien qu'a ses yeux, Shun ait tout de l'associal typique, elle avait déjà réussi à lui faire décrocher un sourire en usant de ses charmes. Un petit quelque-chose lui disait que ce sourire ne lui était pas habituel, aussi considérat-elle cela comme une première victoire. Elle ne doutait pas un seul instant être capable d'obtenir bien plus de lui en persistant dans cette stratégie. Bien entendu, il allait falloir user de son influence pour éviter au garçon d'entendre trop de rumeurs négatives à son encontre, mais le simple fait de rester dans son entourage devrait dissuader les fâcheux de lui mettre des bâtons dans les roues.
Du reste, rare étaient ceux qui avaient l'audace d'affronter sa colère et les élèves, ainsi qu'une partie du corps enseignant, savaient de quoi elle était capable.

C'est donc en empruntant une façade des plus aimable qu'elle accepta la requete de Shun pour lui faire visiter le lycée.
"Ce serait avec plaisir. J'ai fait toute ma scolarité ici donc je connais les lieux comme ma poche. Je connais jusqu'aux coins les plus discrets.."

Elle se demanda si elle n'y avait pas été un peu fort avec sa dernière remarque; elle ne voulait pas lui faire faire peur avant qu'il ne se soit englué dans les mailles de sa toile.
Brittany sentait bien que Shun n'était pas tout à fait à l'aise, mais elle était aussi parfaitement consciente de l'effet qu'elle produisait sur le jeune homme et elle n'allait certainement pas laisser filer le poisson qui venait tout juste de mordre à l'hameçon.
Aussi tenta-t-elle une approche plus subtile pendant l'heure de ménage. Rien de bien rentre-dedans, elle se contenta de regards en coin, faisant fuir son regard au dernier moment quand il la voyait le regarder.
Elle poussa même le bouchon jusqu'à feindre la timidité et à rougir une ou deux fois, comme une ado innocente. Ceci dit, si elle jouait un rôle à présent, elle n'était pas tout à fait insensible aux charmes de Shun. Son apparence efféminée était déjà un agréable changement par rapport aux sportifs à tête vide qui lui tournaient autour d'habitude; et si sa cicatrice la gênait un peu elle l'oubliait bien vite quand leurs regards se croisaient subrepticement. Qui plus est, le côté renfermé et innaccessible du garçon avait cet effet qui était tout nouveau pour elle: elle n'aimait pas ne pas obtenir ce qu'elle voulait, elle n'était pas habituée à ça. Elle se surprit à envisager de garder ce rôle aussi longtemps qu'il le faudrait pour obtenir une emprise sur ce petit nouveau, ce qui pour Brittany ressemblait le plus à ce qui pouvait se rapprocher d'une concession.

"Je suis heureuse que tu aies intégré notre classe, je pense qu'on va bien s'entendre."

Cependant, pour "bien s'entendre", il allait d'abord falloir qu'elle trouve des points d'entente justement, et Brittany ne naviguait de toute évidence pas dans le même monde que Shun. Heureusement, sa culture musicale était assez vaste et elle repéra vite le badge à l'effigie de Breakbot. Un point d'accroche peut-être?
"Tu écoutes de l'électro-funk?"
7
Le métro et la gare / Re : La frotteuse du métro (PV - Molly)
« Dernier message par Jin Tanaka le Aujourd'hui à 09:02:07 »
La souffrance ne fait qu'augmenter sous son jean quand l'inconnue décide de lui montrer ce qu'elle frottait contre lui depuis plusieurs minutes. N'importe qui penserait maladroitement qu'une personne qui s'adonne à ce genre de chose doit être moche, mal foutue ou alors déséquilibrée mentalement. Dans quelle catégorie est-ce qu'il faudra la ranger ? La question devra attendre car sa bouche lâche un nouveau soupir de plaisir suite au second freinage du métro. Cette contrainte n'a pas arrêtée la belle jeune femme. Au contraire, elle y repart de plus belle.

Explorer et réaliser les fantasmes de ses fans en plus des siens fait partie de son quotidien d'une certaine manière. Le thème des petits plaisirs en extérieur revient régulièrement dans ses échanges avec eux. Lui qui n'était pas vraiment intéressé par cela au début a fini par développer une curiosité à ce sujet. D'abord par des photos envoyées par des femmes qui se dévoilaient peu à peu. Mais aussi par des couples. Exclusifs comme libertins d'ailleurs. Tous ces partages ont fait germer une petite graine de perversité en lui avec le temps.

Jusque là les mains de l'enseignant étaient accrochées à une barre métallique au-dessus de sa tête pour bien se cramponner et éviter de se faire entraîner par la foule. Sauf que la situation est différente maintenant que tout le métro est à l'arrêt.
Mais alors qu'il est sur le point de prendre une initiative, une paire de main délicate vient ouvrir son jean et sa braguette à sa place.
Il se laisse alors faire en observant d'un œil attentif et amusé.

Lorsque l'inconnue revient se presser avec son petit cul bien ferme contre sa queue encore emprisonnée sous son boxer, il décide que c'est l'occasion parfaite pour rejoindre son petit jeu. Sa main droite vient alors se poser sur la fesse à la peau aussi douce qu'il se l'imaginait pour la caresser avec tendresse dans un premier temps.

Il aurait bien voulu pimenter la chose en lui disant quelque chose. Seulement le bruit des contestations inonde la rame de métro et personne ne doit s'entendre ne serait-ce que penser.
Incapable de lui partager oralement sa surprise ou sa complicité, il ne lui reste plus que les gestes. Et c'est ce qu'il fait en utilisant sa seconde main qui vient se poser sur la hanche fine de l'autre côté de ce corps de rêve. Sa grosse main aux doigts épais se faufile jusqu'à un ventre plat pour en couvrir une bonne partie. Une façon comme une autre de lui faire comprendre que maintenant qu'elle a commencé à jouer elle n'ira nulle part.

Toujours incapable de lui parler directement sans avoir à trop élever la voix, son crâne se penche légèrement en avant pour se retrouver au niveau de la chevelure de sa partenaire de jeu surprise. Et là il se met à respirer un peu plus fort. Son rythme est dépendant de son excitation grandissante à cause des mouvements de leurs bassins respectifs qui font frotter son bout de viande épais et son derrière. Elle devrait l'entendre et sentir à quel point il est réceptif à ses gestes.

C'est alors que la main posé sur le petit cul se met à glisser pour venir se frotter à l'intérieur de sa cuisse de manière plus dangereuse.
8
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 08:33:36 »
La jeune fille se sentait-elle mieux ? le Hayao que je présentais face à elle faisait tout pour cela, ceci dit. Il se montrait doux, prévenant, affectueux mais sans excès, il montrait même qu’il pouvait la protéger. Je pouvais le faire, bien sûr. Je pouvais la protéger et lui éviter des ennuis, ne serait-ce que parce que je pouvais offrir des cauchemars sans fin à quiconque userait de ces images contre elle. C’était tout le sel de la chose je doutais qu’elle puisse le comprendre réellement. Il faudrait peut-être que je révèle anonymement ça à quelqu’un et que je le terrorise suffisamment pour qu’il ne s’en serve pas, et qu’elle le sache, pour que je renforce ma position, réellement… avec un peu de chance, cela pourrait se faire, à méditer.
Du cou, quand elle plaisanta sur le fait que ce n’étaient que des paroles, je ne pouvais pas la blâmer, il était vrai que c’était probablement ce qu’elle devait penser au fond, mais n’osait pas le dire autrement qu’en plaisantant.

« Tant que personne ne te ressort ces images et te force à recommencer alors on peut dire que j’ai raison. Et si ça arrive… eh bien disons que tu comprendras bien vite que je ne suis pas démuni de moyen pour te protéger. »

Je souris.

« Je te promets que je ferai le nécessaire pour que tu ne sois pas importunée par tout ça… mais en retour, tu me promets que tu ne rechigneras jamais à aucun sacrifice pour que j’assure ta réussite. N’est-ce pas ? »

Donnant donnant, toujours, mais cette fois, je présentais les choses de manière un peu plus poussée :  elle ne devrait rechigner à rien. Cela me permettrait d’y aller dans la gradation. Je pourrai lui proposer de pire en pire en pire et ce de manière crescendo. En somme, une fois le doigt dans le processus… trop tard.
Mais puisqu’elle était prête à travailler, alors go ! je remontais mes manches et je m’apprêtais à travailler.

« Je vois. C’est très ingénu, mais je suppose qu’on n’a pas pu tout t’enlever. C’est une bonne chose. Enfin bon, allez, au travail ! »

Nous avions bien entamé le temps de travail mais ce n’était pas grave, et je commençais à la faire travailler. Un travail bête et méchant qui consistait à lui expliquer des kanjis et les lui faire tracer, avec les explications de pourquoi il était tracé comme ça, et les définitions de concept qui allait avec. Enfin, presque à la fin, je lui proposais.

« On se refait une session de cartes pour terminer ?  Avec enjeu cette fois, si tu gagnes, tu peux demander une récompense – raisonnable bien sur – de ton choix, et si tu perds, tu devras avoir un gage ou une petite punition. Là aussi tu me proposeras quelque chose qu’est-ce que tu en dis ? »

Je commençais à ressortir les cartes.
9
La nuit semblait permanente. Reprit-il conscience ? Possible, mais tout restait sombre, flou, la douleur et le mal ne lui offrait aucune échappatoire autre que l’oubli rude de l’inconscience…. Le heures suivantes furent seulement une suite de conscience endormie et d’inconscience, en boucle, offrant parfois de petits moments de lucidités où sa vision était trouble. La fatigue n’avait rien aidé, bien sûr. Et il passa sans doute plus d’un jour à dormir ou à rester évanoui, selon les moments, alors que l’on s’occupait de lui. Il délirait peut-être un peu, même, pendant ses périodes assoupies, des choses incompréhensibles, des prières à la flamme éternelle de l’Ardant, aussi sans doute….

Quand il se réveilla, il était….
Où est-ce qu’il était ?

Machinalement, il chercha sa longue épée à portée mais elle n’était pas là. Et une violente douleur cisailla le bras. Il tourna la tête et au-delà de son bras, pansé, qui montrait qu’on s’était occupé de lui et dont il venait probablement de ruiner une partie des efforts étant donné la teinte sanglante que ceux-ci prenaient. Il releva la tête sur le visage de celle qui semblait le veiller. Son premier réflexe fut d’essayer de voir si elle portait une arme. Non. Pas d’arme a priori. Il la scruta un peu.

Elle était penchée sur lui, dans une robe blanche simple et pudique, mais ce n’était pas cela qui le choqua. Ce fut son air… tiré…. Fatigué… éteint… elle aurait pu sembler être fanée…

« Qui êtes-vous ?  Où suis-je ? »

Deux questions essentielles mais qui étaient nécessaires… il porta sa main valide à son crâne, qui lui faisait un mal de chien.

« Ma tête… j’ai dormi longtemps ? »

Nouvelle question. Il la dévisageait. Elle était jolie, et le serait plus si elle avait été plus en forme, elle aurait été très belle, alors. Il regarda autour de lui. Il était sur une couche de mousse et de végétaux dans ce qui semblait être une petite clairière, dans une cabane, sans doute.
Il essaya de se lever. Peine perdue.
10
Le métro et la gare / Re : Une souris verte...qui courait dans l'herbe. [Zack]
« Dernier message par Zack Arias le Aujourd'hui à 04:50:41 »
Esclave de ses pulsions, Zack déboula dans le salon en trombe et se jeta sur la proie qu'il avait capturé dans ses câbles sans autres formes de procès. Le cris qui découla de cette action fit reprendre ses esprits au criminel.

"Ce n'est pas sa voix, ce n'est pas Mona" réalisa t'il.

Face lui, le dos plaqué au sol et les pieds empêtré dans les câbles de captures, se trouvait une femme d'une quarantaines d'années. Ses traits du visage était tiré comme s'il y'avait des pinces à linge derrières sa tête, sa bouche prononcé et ses lèvres gonflés rappelait le bec d'un canard. Si on ajoute un maquillage beaucoup trop marqué pour une personne au beau milieu de la nuit et un chignon étriqué lui servant de coiffure de fortune, le terme qu'emploierai Zack pour décrire cette femme était "sale truie périmé". Elle portait un robe de chambre dont la ceinture était parfaitement serré autour de sa hanche et qui semblait être confectionnée dans un tissus bien trop cher pour ce qu'il est

La pauvre résidente de l'immeuble eu même pas le temps de demander ce qu'il se passe que le kidnappeur ouvrit le peignoir de sa victime révélant ainsi une nuisette en soie bleu nuit. Cette dernière fut arraché dans la seconde pour faire apparaitre une poitrine absurdement refaite, le tout enveloppé dans une lingerie de charme luxueuse mais qui n'était toujours pas du genre que Zack affectionne. Un premier cri féminin raisonna dans tout l'appartement ainsi que le couloir, mais il fut vite interrompu par un coup de poing au visage au sec que violent, deux lueurs rouges terrifiantes s'approchèrent du visage de la victime.

"Tu ressembles à un vieux produit d'occasion qu'on aurait retapé pour pouvoir le vendre et se faire un peu d'argent". Déclara le Grey Stalker avec un dégoût manifeste dans la voix. "tu n'es rien de plus qu'une pute au rabais. Tu pourrais avoir au moins la décence de porter des sous-vêtements digne de ce nom.". Les cris reprirent et de nouveaux coups se joignirent à la voix stridente qui devenait de plus en plus hystérique au fur et à mesure qu'elle se faisaient frapper. "OÙ EST LA FEMME QUI VIT ICI ?! OÙ EST MONA DUVAL ?!" Hurla l'homme. Si à l'instant on pouvait voir les yeux de ce dernier, ils seraient injecté de sang.

Entre deux hurlements, Zack remarqua un léger tintement métallique qui le figea net, c'était un bruit qu'il aurait pu reconnaitre entre mille et qui fut le détail qui réinstaura le calme dans la pièce. Seul restait de faible gémissement larmoyant provenant d'une femme qui se demandais encore comment elle avait pu en arriver là. Observant rapidement la pièce autour de lui malgré l'obscurité, le criminel aperçu des traces de sang sur le sol à l'aide de ses lunettes qui formèrent une fine trainé menant vers une fenêtre ouverte du salon. Son cerveau fit immédiatement le rapprochement logique de ce qui s'était passé et son corps se mit en action en conséquence. Soulevant la résidente de l'immeuble sur son épaule comme un sac de charbon, il l'a fit passer au travers de la fenêtre en la déposant douloureusement sur le sol métallique de l'escalier de secours. L'homme jeta un œil par dessus la rembarde et aperçu Mona qui était entrain de dévaler les marches à toute allure, elle avait une bonne avance mais pour quelqu'un qui pouvait emprunter la voie des airs pour descendre comme lui, cela ne représentais aucune difficulté de la rattraper. Il fallut 45 secondes à Zack pour saucissonner sa récente victime, de prime abords cela donnait l'impression d'un insecte pris dans une toile d'araignée, mais pour un œil averti il s'agissait là d'une merveille de ligotage. En plus d'une double corde qui traversait la bouche pour bâillonner la femme et l'empêcher de se mordre la langue, le tout formait une sorte de harnais de corde qui maintenait le corps entier sans pour autant couper la circulation du sang. Le kidnappeur vérifia une dernière fois la position de de Mona, il ne lui restait plus que 2 ou 3 étages à descendre pour s'échapper du bâtiment, mais après une minute de préparation tout était prêt. Si l'homme ne portait pas son masque, on pourrait apercevoir tout le sadisme qui émane de son sourire carnassier.

A partir de ce moment là, tout s'enchaina très vite. Zack bascula la résidente de l'immeuble dans le vide, se positionnant sur la rembarde pour que cette dernière tombe de la façon la plus verticale possible. Le frottement de la corde contre ses gants lui chauffait douloureusement ses mains, mais il n'en avait rien à faire, car tout son attention était focalisé sur une seule chose. Deux secondes à peine s'étaient écoulé que l'homme stoppa progressivement la chute de sa victime pour qu'elle s'arrête pile à l'étage de où se situait Mona. La quarantenaire qui s'était évanoui au cours de la chute, était à présent suspendu par les pieds, et arborant un visage déformé par la terreur. Oui, Zack avait fait tout ça dans un unique but de mise en scène. Tout son cerveau malade avait travaillé pour imaginer une scène qui aurait pour conséquence de provoquer une peur soudaine chez sa proie, car c'est désormais de ça qu'il se nourrit.

Ne perdant pas d'avantage de temps, le kidnappeur fixa le câble d'escalade pour que la longueur reste la même, puis il utilisa cette même corde qui maintenait la résidante de l'immeuble dans le vide pour descendre en quelque seconde en rappel jusqu'à l'étage où se trouvait Mona. L'homme se tenait à présent devant Mona qui était assise sur le sol en métal, elle avait probablement dû tomber à la renverse face à la surprise de voir sa voisine apparaitre dans cette état devant ses yeux.

"Mooooonaaaaaa". Fredonna t'il. Voir sa proie dans un tel état de panique avait un peu apaisé sa colère.

La jeune femme prit la fuite en tentant de remonter l'escalier de secours, Zack lui emboita le pas mais ne chercha pas à lui courir après, il se contenta simplement de marcher à un rythme légèrement soutenu. Au début, sa proie n'eut aucun mal à le distancer, cela devait être une personne sportive car elle ne semblait pas avoir de difficulté à enchainé les étages façon effréné. Mais la pluie rendait les marches glissantes, les entailles à ses pieds devaient transformer l'exercice de monter les marches  en véritable supplice, et la fatigue se manifesta rapidement. Mona trébucha une première fois, permettant au criminel de rattraper un peu son retard mais il n'accéléra pas pour autant. L'écrivaine se releva péniblement mais repris rapidement son ascension, mais cette première chute aggrava son état de panique, et il fallut peu de temps avant qu'elle ne tombe une seconde fois. C'était devenu un véritable cercle vicieux, plus Zack s'approchait d'elle est plus la peur lui faisait perdre ses moyens, l'empêchant de réussir quelque chose d'aussi simple que de monter plus de trois marches sans tomber. S'en était à un tel point, qu'il était parvenu à la rattraper en marchant simplement.

"Mooooonaaaaaa". Fredonna t'il à nouveau.

Ca y'est, la revoilà enfin, tentant de monter péniblement les marches à quatre pattes, rampant presque d'épuisement et de peur. La forme sombre de l'homme s'approchait inéluctablement de sa victime, les deux lueurs rouges produites par ses lunettes donnait un aspect surnaturel au criminel, si les lumières de la ville n'était pas là, on aurait pu croire qu'il s'agissait d'un spectre. Alors qu'elle tentait toujours de s'éloigner de son agresseur, Mona se mit à insulter ce dernier, l'ordonnant de la laisser tranquille, mais il ne s'arrêta pas. Les propos injurieux perdirent progressivement de leur assurance à mesure qu'il s'approchait pour devenir des demandes effrayés jusqu'à devenir des supplications larmoyantes lorsqu'il ne resta plus qu'un petit mètre entre eux.

Alors qu'elle était sur le point de gravir un nouvel étage, Zack saisi le pied de la jeune femme avec sa main droite et la tira vers lui, la faisant dégringolé de deux ou trois marche. Puis, il lui agrippa les longs cheveux de cette dernière avec sa main gauche pour la tirer d'avantage vers lui. Elle tenta vainement de se débattre tout en continue à le supplier d'arrêter mais l'homme n'eut aucun mal à la maitriser en s'allongeant simplement sur elle de tout son poids. Pour une raison qu'il ignorait, elle empestait le patchouli, mais ce n'était pas ça qui aller le stopper. Les vêtements des deux étaient complètement imbibé d'eau de pluie, mettant magnifiquement en valeur les formes de Mona et il était encore plus facile pour elle de sentir l'érection de ce dernier à travers sa combinaison. C'était l'un des moments que le kidnappeur aimait le plus lors d'une traque, celui de retreindre sa proie. Il attrapa la menotte qui pendait à la main droite de Mona pour tirer dessus et la forcer à la mettre dans le dos. Toujours plaqué contre l'escalier, les seins écrasé contre les marches en métal, elle décida d'utiliser sa main gauche pour agripper de toute ses forces un barreau de la rembarde. Malgré toutes ses mots suppliants et ses larmes, une part d'elle ne semblait pas vouloir abandonner, ce qui le fit rire.

"Hahaha, c'est inutile.". Murmura t'il.

Au lieu de tirer sur son bras, ce qui aurait été aussi pénible que fastidieux, Zack fit le choix de saisir le poignet de sa pauvre victime pour le serrer comme un étau et lui faire aussi mal que possible. Après plusieurs secondes d'un duel de volonté qui semblait interminable, la jeune femme lâcha finalement le barreau, l'homme ramena doucement le bras de Mona dans son dos malgré que cette dernière tentait désespérément de lutter pour empêcher cela. Il faisait exprès d'y aller lentement pour qu'elle puisse pleinement prendre conscience de ce qui était entrain de se produire, qu'elle visualise que sa défaite était proche et tout ce que cela pouvait impliquer. C'est alors que d'un seul coup, lorsque la main gauche de l'écrivaine fut suffisamment proche que le criminel referma la menotte, serrant aussi fermement que celle à la main droite, provoquant un cliquetis caractéristique.

Au moment au Mona fut menotté pour de bon, cela provoqua chez elle une vive crise de nerf qui la fit crier et pleurer abondamment. Zack ne savait pas si cette dernière était maintenant convaincu qu'elle allait mourir, mais si c'est ce qu'elle pensait cela lui allait très bien. Une telle détresse provoquait chez lui une excitation telle, que son érection ne pouvait pratiquement pas être plus forte. En réalité, il aurait presque pu jouir sans autres éléments pour le stimuler, mais cela serait dommage pour lui de s'arrêter là, il lui fallait plus. Le criminel le robe noire de sa proie pour révélé un magnifique fessier vêtu d'une culotte de coton grise complètement trempé, cette dernière était très légèrement remonté dans les fesses à cause de toutes les tentatives de Mona pour se débattre, donnant sensiblement l'impression qu'elle portait un tanga.

"je veux bien pardonner cette écart vestimentaire quand je vois un cul pareil". Annonça t'il avant de reprendre. "Bon voyons le reste de la marchandise".

Sans difficulté Zack retourna sa captive sur le dos et déchira violemment la robe d'un coup sec en écartant depuis le col. Il tira ensuite le soutiens gorge vers le bas pour enfin révéler une généreuse poitrine qui ne demandais qu'à être dévoré, les gouttes de pluies qui tombait sur cette poitrine somptueuse, formait un ruisseau dégoulinant le long de son corps, une pure œuvre d'art. Même s'il ne la violerait pas ce soir, s'en était trop pour le criminel qui défit son pantalon afin de libérer son membre viril. Ce dernier d'une taille convenable, n'était certainement pas le plus imposant qui soit, mais sa pâleur, sa légère courbure et ses veines boursoufflé d'une teinte violacé le rendait repoussant. Zack se saisit vigoureusement des seins de l'écrivaine et s'en servit masturber son pénis entre eux, c'était un vrai délice. Chaque coup de reins dans la poitrine de sa victime était accompagné d'un petit couinement de dégout de cette dernière. C'était un plaisir unilatérale et égoïste, le but n'était en aucun cas d'essayer de procurer une quelconque sensation à Mona, mais purement de savourer le fruit de son travail. Il ne fallut pas longtemps pour que le kidnappeur jouisse abondamment sur la poitrine de Mona, projetant quelque filet de sperme supplémentaire sur son coup et sa joue provenant de sa verge encore palpitante.

"Aaaah". Soupira t'il satisfait tout en reboutonnant son pantalon. "Ce fut cours mais satisfaisant. Pas trop mal, tu feras une excellente pute".

Devant le regard terrifié de Mona, Zack s'approcha du visage de sa proie pour éclaircir ses propos.

"Oui parce que mon but c'est de te revendre à des proxénètes. Une écrivaine célèbre comme toi peut me rapporter pas mal d'argent à moi mais aussi à ceux qui vont te mettre sur le trottoir".

Il ne savait pas s'il allait vraiment faire ça, c'était une très forte possibilité, mais le but était surtout de continuer à l'effrayer.

"Quand tu auras danser dans tous les clubs de striptease, sucer toutes les bites dans les rues et avoir jouer dans tous les pornos, je peux t'assurer que la célèbre Mona Duval ne sera plus connu pour ses talents d'écrivaine". Il s'approche alors son visage de celui de la jeune femme. "Tu peux dire adieu à tous tes proches, ta vie viens de prendre fin".

Mona s'apprêtais à répondre quelque chose mais elle se figeât net lorsqu'elle aperçu le bâillon boule de Zack dans sa main droite. Il l'approcha doucement du visage de cette dernière pour qu'elle puisse bien l'observer. On pouvait distinguer l'usure sur le silicone de la balle, de légère entailles prouvant non seulement qu'il y avait eu d'autre victime avant elle, mais qu'elles avaient probablement dû mordre très fortement dedans. Aussi loin que remonte les souvenirs du kidnappeur, il ne se rappelle pas avoir eu déjà quelqu'un blêmir autant à la vue de cette boule noire. A l'aide de sa main gauche, il agrippa la mâchoire de l'écrivaine, la forçant à douloureusement ouvrir la bouche. Le bâillon était en contact avec ses lèvres marquant un temps de pause, une dernière poussé et elle serait dedans, tous les rêves et espoir de la jeune femme prendrait alors fin.

C'est alors qu'une sirène de police retenti au loin. Zack ne savait pas si c'était pour lui ou non, cela n'avait aucune importance, car c'était l'opportunité rêvé pour lui de poursuivre sa mise en scène. L'homme se releva d'un coup en se tournant en direction du bruit, profitant de l'opportunité pour volontairement faire tomber la clé des menottes à côté de Mona et faire comme s'il n'avait pas remarqué. Le criminel prit rapidement la fuite dans les ombres sans autre formes de procès car il voulait encore jouer avec elle, persuadé d'être capable de la pousser plus loin dans la peur et le désespoir. Zack reviendra la chasser dans quelques jours et à ce moment là, il abuserait d'elle comme il se doit.

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