Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Discussion démarrée par: Jad Kyotsuke le mercredi 24 août 2011, 00:17:08
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C'était le troisième jour de Jad dans ce lycée quelque peu particulier. En arrivant en ce lieu, il l'avait rapidement compris, il aurait sans doute énormément de travail : certains élèves semblaient bien encrés dans une éducation strict et très rationnel. Lui qui enseignait une matière très lié au monde de l'inconnu, aux divinités et autant de choses difficilement abordable pour certaines personnes.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, afin d'éviter les futurs problèmes, la direction demanda à Jad de passer un test psychologique afin de déterminer s'il était apte à enseigner cette matière, sans représenter une menace pour les élèves. Jad savait qu'il devait passer par là, mais la direction avait présenté les choses d'une telle manière qu'il en était presque vexé. C'est donc assez non-nonchalamment qu'il se dirigeait vers le bureau de la psychologue scolaire avec qui il avait rendez-vous.
Il arriva devant la porte avec écris dessus : Dylan E. Ellison. Il regarda rapidement le papier qu'il avait en main, puis soupira doucement avant de toquer doucement à la porte. Il attendit un moment, mais n'entendit aucun bruit. Il retoqua, mais toujours aucune réponse. Il ouvra doucement la porte, et observa le bureau avec attention. Celui-ci était vide, sans personne, ce qui était étonnant. Il vérifia rapidement l'heure à l'horloge : c'était bien l'heure du rendez-vous.
<< Il y a quelqu'un ? Excusez-moi ? >>
Toujours aucune réponse. Il ferma doucement la porte derrière lui et se dirigea vers la chaise devant le bureau, et remarqua une porte juste à droite. Il hésita un instant, puis regarda rapidement par la fenêtre : les élèves entraient les uns après les autres, se dirigeant vers leurs salles de cours. Il était tôt dans la matinée.
Après un instant, il regarda à nouveau vers la porte qu'il avait vu à l'instant. Il se dirigea vers celle-ci, puis ouvrit la porte en grand. S'il avait eu de la chance, il serait tombé dans un placard à balais, mais c'était une salle annexe, et celle-ci n'était pas vide au moment où il l'ouvrit.
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La journée n'avait pas encore commencé et la psychologue arriva en avance au lycée. Elle avait au moins évité les bouchons de circulations et une fois dans le bâtiment, elle se rendit vers son bureau en passant d'abords se chercher un café, saluant quelques uns du personnel qui ne lui était pas inconnu. Travailler dans un si grand lycée, deux fois par semaine ne donnait pas vraiment l’occasion de rencontrer des gens nouveaux... Enfin, si, mais le fait qu'elle était souvent prit dans le bureau, qu'elle utilisait pour ses rencontres, n'avait fait en sorte qu'elle connaisse qu'une vingtaine de personne plus ou moins. Enfin, ce n'était pas si grave, c'était comme ça.
D'ailleurs, Dylan devait rencontrer un nouveau aujourd'hui. D'après la directrice, certain se doutait de sa santé mental quand au cours qu'il désirait donner. Comme la psychologue avait l'esprit pas mal plus ouvert qu'eux, elle ne voyait pas vraiment de problème à ce qu'il enseigne la métaphysique. Même qu'elle aurait aimé avoir un tel cours dans son temps, mais bon, ce n'est pas tout le monde qui trouvait ça cohérent... Bref, elle devait lui faire passer un test psychologique que Dylan avait apporté dans sa mallette de cuir.
Prenant maintenant la direction de son bureau, elle prenait un peu son temps en songeant de tout et de rien, comme si son cerveau mettait du temps à démarrer. Le café était là pour ça... Sauf qu’elle le renversa sur elle lorsqu’elle heurta une personne en passant dans un coin. Le café brulant coula sur sa chemise et un peu sur sa jupe bleu crème. L’autre s’excusa et Dylan du renoncer à lui crier après, vu que le mal était fait et que ce n’était qu’un accident. Sans avoir fait plus attention aux excuses de l’autre, elle courut vers son bureau avant de se diriger vers la salle annexe où se trouvait un lavabo. Rapidement, elle retira sa chemise et sa robe avant d’essayer d’enlever les taches de café… Sauf qu’elle n’avait pas pensée à verrouiller la porte derrière elle et celui-ci s’ouvrit soudainement. Le rouge a du monter très vite sur ses joues en voyant le jeune homme, probablement Kyotsuke, qui ne pouvait pas la manquée lui non plus, elle, en sous-vêtements bleu, dentelle…
Qu’est-ce qu’il fallait faire ? Ah oui ! Son coat ! Elle l’enfila en se retournant. Le pant cachait ses fesses, c’était déjà ça. Elle devra attendre que ses deux vêtements sèchent avant de songer à les enfiler… Mais comme si de rien n’était, elle se retourna après avoir boutonnée son coat.
« Vous devez être Jad Kyotsuke… Dylan Ellison… »
Le rouge marquait encore ses joues et elle replaça doucement sa monture avant de s’approcher pour tendre la main. Elle se sentait ridicule, mais comme dit plutôt, ce qui est fait est fait…
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Jad ne s'attendait vraiment pas à tomber sur un tel spectacle en ouvrant la porte : une femme plutôt séduisante à moitié nue juste en face de lui, ne portant sur elle que des sous-vêtements bleu en dentelle, deux jolies fesses tendues vers lui. Les yeux grands ouverts, il observa le regard surpris de la demoiselle, aux joues rosies par la gêne de montrer une partie aussi intime d'elle à un inconnu.
Qu'est-ce qu'il fallait faire ? Jad aurait sans doute continuer à regarder un peu s'il ne se sentait pas mal à l'aise de se dire qu'il s'agissait sans doute de Miss Ellison. Il se retourna rapidement en rougissant à son tour, gardant en tête la vision de cette femme mise à nue en face de lui. Il entendit la demoiselle enfiler un vêtement, sans doute pour se cacher. Après quelques secondes, il entendit la demoiselle se présenter.
« Vous devez être Jad Kyotsuke… Dylan Ellison…
- O... oui, dit-il en se retournant vers elle. Enchanté, mademoiselle Ellison. Excusez-moi, j'aurai dû toquer avant d'entrer, mais comme vous ne répondiez pas, j'avais songé qu'il n'y avait personne.»[/b]
Elle portait un coat qui cachait son corps, mais Jad rougissait encore, arrivant à "voir" à travers par ses souvenirs. Elle était aussi rouge au niveau des joues, elle s'approcha de lui doucement en lui tendant la main, ce que Jad fit également en lui serrant délicatement la main. C'est juste à ce moment-là qu'il se rendit compte qu'il avait une érection. Après une telle vision, c'était tout ce qu'il y avait de normal, mais c'était toujours très gênant. Jad déglutit doucement, posant sa feuille au niveau de son sexe pour cacher sa bosse assez visible au niveau de son pantalon.
« Je vais à côté pour vous attendre dans votre bureau, encore désolé. »
Il recula doucement dans l'autre salle, sa main toujours devant son pantalon, puis referma la porte derrière lui en poussant un soupir : il n'aurait pas imaginé une rencontre aussi... excitante. Jad restait un homme normal après tout, et voir une femme en petite tenue, surtout aussi séduisante, était très excitant.
Il alla s'installer sur la chaise en face du bureau, et reposa une jambe sur l'autre, afin de dissimuler son érection persistante. Il ferma les yeux et se mit mentalement à relire un de ses cours afin de la faire passer, ce qui, au bout d'un moment, fit effet. Soulagé, il devait à présent lutter contre l'image qu'il avait gardé en tête : deux fesses sublimes tournées dans sa direction. Cet entretien allait sans doute être problématique, surtout qu'il s'agissait d'un entretien psychologique, et qu'à l'heure actuelle, il avait beaucoup d'idées déviantes, toujours soumis à une certaine excitation.
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Les joues encore rougit de la demoiselle prit du temps à se dissiper, prenant tout de même la peine de sourire au nouvel enseignant. Une fois lui avoir serré la main, elle ramena les siennes contre elle, comme si son coat ne la cachait pas suffisamment. Le jeune homme semblait tout aussi nerveux qu'elle, s'excusant auprès de la psychologue. Dylan songea que ce n'était qu'un vilain accident... Elle trouva cependant curieux de voir Kyotsuke placé sa feuille juste devant lui, au niveau de la ceinture. Elle ne put s'empêcher de trouver cela suspect, étant fragile de se douter de quelque chose... Mais bon, c'était sûrement du faite qu'elle venait d'être trouver à moitié nu devant un inconnu qu'elle se faisait des idées.
Il lui dit qu'il l'attendrait dans l'autre pièce et c'est avec un sourire que Dylan le rassura :
« Oui, laissez-moi euh... J'arrive tout de suite ! »
Une fois la porte refermer, elle émit un long soupire, suivit d'un rire, amusée de cette rencontre fort gênante. Elle s'en remettra... Si ça reste entre eux. Une fois remise de ces émotions, elle retourna à sa besogne, termina d'enlever l'excès d’eau à quelques endroits sur ses vêtements. Ceux-ci sécheraient assez rapidement et autant garder son coat pour le moment... Quelle chance pour le jeune homme d'avoir comme psychologue Dylan qui avait l'esprit ouvert... Malgré cela, elle ne put s'empêcher de repenser à son regard, si éclatant.
Deux minutes après, elle ressortit de la petite pièce avec un air serein, quoiqu'elle fût accompagnée d'un mince sourire amusé. Toujours habillé de cette habit, plutôt légère, son regard se posa tout de suite sur son patient et elle s'assit juste devant lui, derrière son bureau.
« Je vous suggère d'oublier ce qui vient de se passer... J'espère que vous allez bien. »
Fit-elle, sans cesser de sourire. Sincèrement, elle songea de nouveau à son comportement de tout à l'heure, sur le doute qu'il essayait de dissimuler quelque chose derrière sa feuille... C'était plutôt flatteur. Mais heureusement qu'elle faisait face à un beau garçon, car si ça n'avait pas été le cas, elle n'aurait pas trouvé la situation, d'une certaine manière, excitante.
« Vos yeux... Sont plutôt impressionnant. J'adore. »
Un mouvement de main devant son regard accompagna ses dires, comme pour accentuer l'effet que ça lui donnait. Elle reprit, mais tourna vers le vif sujet de leur rencontre.
« Alors... Un test psychologique, je vois que vous n'en avez jamais eut auparavant... Je me trompe ? »
Elle sortit une pile de feuille de sa mallette, attendant la réponse de son interlocuteur et poursuivit par la suite.
« C'est facile, vous allez voir. »
Assura t-elle en lui souriant à nouveau.
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Jad attendit quelques instants, profitant de l'absence de la psychologue pour prendre de profondes inspiration afin d'effacer de son esprit l'image de cette femme dévêtue qui restait dans sa tête. C'était assez troublant, perturbant d'avoir cela en tête juste avant un entretien. Il espérait qu'elle ne lui en tiendrait pas rigueur, et qu'elle ne baserait pas son état mental sur ce malheureux (mais au combien excitant) petit incident.
Deux minutes à peine après qu'il se soit installé, Dylan sortit de la salle en portant le même coat. La réaction de Jad à la vu de son visage ne se fit pas attendre : il ne retira pas de son pantalon cette feuille de papier, gardant également les jambes croisées, comme si cela n'était pas suffisant. Il se racla doucement la gorge en leva la tête vers le visage de la demoiselle, tentant d'éviter de regarder ne serait-ce que ses épaules, de peur de dériver ailleurs. Très difficile, vraiment très difficile.
Jad acquiesça à ce que Dylan lui demanda, lui répondant :
Oui, oui, je vais bien... Un peu mal à l'aise, je dois l'avouer, mais je vous promets que cela ne se reproduira pas.
Rationaliser, voilà qui était une bonne idée : montrer qu'on était quelqu'un de rationnel, qu'on ne niait pas l'évidence. Parce qu'à l'évidence...
"Elle a tout simplement un corps magnifique... Raaaaa mais tais-toi donc !"
Jad se remit assis tranquillement, montrant un certain malaise. Il devait se ressaisir. Il réajusta sa cravate qui serrait légèrement son cou, désagréable sensation d'étouffer, puis fixa à nouveau la demoiselle dans les yeux. Il remarqua qu'elle gardait un sourire léger. Jad ne put s'empêcher de rougir et d'avoir un léger mouvement de recule : c'était le genre de "familiarité" face à laquelle il se sentait facilement intimidé. Il n'affichait toujours aucun sourire, bien que ce qu'il vu l'eu plus.
"J'ai dis stop, bonté divine ! Il faut que je me ressaissis !"
C'est juste à ce moment-là qu'elle lui fit un compliment qui le fit passer rouge pivoine : le fait d'entendre qu'elle "adorait" ses yeux, ça suffisait à Jad pour fuir la suite de la conversation, habituellement, s'il n'avait pas un minimum bu. Il se racla la gorge en détournant le regard, sans afficher un sourire, mais en gardant un voix calme et agréable :
« Merci du compliment, cela me va droit au coeur. »
Le bruit des feuilles le ramena à la raison. Il répondit doucement :
« C'est exact : je n'ai jamais passé ce genre de test avant. »
A cette réponse, Jad eut un léger déclic dans sa tête : le test, oui, voilà, c'était un test. Le fait de la voir nue, tout ça, c'était le début du test, c'était obligatoire. Jad n'en avait jamais eu, mais pour établir la profondeur mentale d'une personne, ce genre de tactiques devaient être monnaie courante. Cette femme avait tout prévu, c'était une psychologue, elle sait comment faire réagir les gens pour les mettre sous pression. Jad devait lui montrer qu'à ce jeu là, il était le plus fort.
Après qu'elle l'eut sourit une nouvelle fois, en ajoutant que cela allait être facile, Jad n'avait plus aucun doute : cette femme devait avoir prévu cela pour le descendre un peu, ou pour savoir s'il était un humain comme les autres, sinon un fou voulant devenir gourou d'une secte qu'il aurait créer au lycée. Il devait répliquer, et il savait directement comment réagir :
« Je ... je voulais vous dire que vous... êtes vraiment très belle, mademoiselle Ellison. Je regrette sincèrement cet accident mais... sachez que je vous très ravissante. »
Voilà, de cette manière, il devait avoir un peu troublé la stratégie de la psychologue. Il ne devait pas se laisser avoir, et maintenir une certitude quant à son équilibre mental. Ce test était la seule chose qui le séparait véritablement de son job, et il ne pouvait se permettre de laisser tomber : la métaphysique devait perdurer !
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psychologue ne manqua pas le malaise ressentit par Jad. Elle s'en voulait un peu, mais peut-être allait-il prendre plus de temps pour s'en remettre qu'elle. D'ailleurs, contrairement à elle, il avait un air intimidé tout en essayant de garder un sérieux, sans sourire. Pour l'instant, elle ne pouvait pas y faire grand chose, tout le monde ne pouvait pas être comme Dylan et oublier un incident si facilement. Au moins, il appréciait son compliment fait pour ses yeux et elle ne put s'empêcher de les regarder à nouveau. Elle avait donc raison, il n'avait jamais passé de test auparavant, ce qui pourrait aider la jeune femme qui préférait prendre ses propres méthodes en moyennant un peu des test habituelles, mais en changeant un peu la méthode.
En faite, Dylan n'avait pas de réel test à lui donner, sauf discuter un peu et si quelque chose clocherait, elle le verrait bien. Et si jamais c'était nécessaire, elle prendrait l'un des tests prévus, mais long... Dans un premier temps, elle commencerait par des notes sur le fil de leur conversation... Jad détourna leur discutions sur un compliment qu'il lui fit. Même si c'était un accident qu'il ''regrettait'', il avait apprécié le spectacle, mais en usant de douce flatterie quand à sa beauté qu'il trouvait ravissante. Les joues de la psychologue ne manquèrent pas de rougir à nouveau, mais son sourire resta figé sur ses lèvres en détournant le regard. Elle avait toujours été sensible quand aux compliments et c'était assez pour la mettre dans un de ses états... Néanmoins, elle se reprit en toussotant.
Merci... Vous avez de la chance d'être beau garçon, sinon... Je ne sais pas ce que je ferais, mais sûrement pas vous remercier. »
Fit-elle, mais en s'étant mal exprimé. Au fond, elle n'aurait pas fait attention à ce compliment si la personne ne lui plaisait pas, trop peur de lui donner des idées...
« D’ailleurs, vous avez quelqu'un... ? Vous vivez à Seikusu depuis longtemps ? »
La première question était utile... Ou bien non et ça risquerait de le déstabiliser encore.
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Jad avait à l'esprit qu'il avait finalement gagner ce round, si l'on puis dire. Elle répondit par un remerciment à ce compliment qui, pour d'autres, auraient pus être vus comme du harcelement. C'était sans doute la réaction qu'elle voulait le voir accomplir. Rationnaliser était une chose étrange pour un métaphysicien, mais le fait est que Jad arrivait à fusionner cette vision différente du monde et un esprit scientifique logique. Il ne lui vint pas à penser que ce compliment qu'elle lui avait fais était gratuit, trop stressé par l'idée qu'il s'agissait d'un test.
Il ne manqua cependant pas de voir les joues de la demoiselle rougir légèrement, comme gênée. Il n'avait pas l'habitude de faire des compliments aussi directes, et voir une réaction comme celle-ci... lui faisait plaisir, si l'on pouvait dire ainsi.
Dylan commença par deux premières questions : une sur sa situation maritale et sur sa vie à Seikusu. Ce devait être des questions normales, pour un début d'entretien : la situation maritale pouvait peut-être indiquer une certaine stabilité, et la raison de sa venu à Seikusu, puisque la réponse était négative, avait sans doute un lien externe. Lié les deux était logique :
« Je suis célibataire, actuellement, et sans réelle attache. J'ai beaucoup voyagé il y a environ trois ans, et pendant plus d'une année. Impossible d'avoir une réelle relation avec quelqu'un. J'ai même perdu contact avec nombre de certains de mes amis. Je ne suis à Seikusu que depuis quelques semaines à peine : j'ai déménagé ici suite à mon entretien avec la directrice de cet établissement, le seul qui avait une certaine ouverture d'esprit vis-à-vis de mon enseignement. »
Jad gardait un air détacher, sans sourire, les yeux fixés sur Dylan. Tandis qu'il parlait, il ne voyait plus le corps de la femme en face de lui réapparaître dans sa tête. Une fois lancé, Jad oubliait même facilement le temps et l'espace, ce qui lui valu un auditoire parfois somnolant durant des conférences à l'étranger. Mais cette "aptitude" lui permettant de maintenir un professionnalisme dans sa voix et son atitude, il allait en jouer un peu pour déstresser. Il ajouta ensuite, en remettant en place une mèche de ses cheveux derrière son oreille :
« D'ailleurs, même ici, certaines personnes voient d'un mauvais oeil ce que je veux apprendre à mes élèves, la raison de cet entretien. Je le comprends tout à fait : il y a de nombreux cas où des théologiques et autres psychologues ont mis en place des sectes ou groupuscules similaires. »
Il était trop détaché : il avait là, sans le vouloir, insinué quelque chose vis-à-vis des psychologues, dont une de leur collègue se trouvait en face de lui. Il devait rattraper, mais bredouilla un peu, un sourire gêné sur le visage :
« Enfin, je ne disais pas ça à votre encontre : je sais que c'est un métier très dur, je ne voulais en rien vous insulter ou manquer de respect à votre profession. Ce que je voulais dire, c'était qu'il était normal de penser qu'un homme avec des idées différentes puisse être "dangereuse", surtout sur des esprits jeunes. »
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Jad ne se démontra pas intimidé par sa question, c’était une bonne chose. Il entama son histoire en lui faisant part de son statut, qu’il avait souvent voyagé, ce qui expliquait son célibat. Il aurait perdu plusieurs de ses contacts, mais la psy ignorait si c’était à cause de son déménagement récent à Seikusu. Elle voulait presque conclure qu’il n’avait pas vraiment de connaissance ici… Mais bon, elle ne voulait pas sauter aux conclusions tout de suite… Jad semblait avoir l’approbation de la directrice, ce qui était un avantage. Mais il ne restait qu’à convaincre les autres enseignants, ainsi que quelques parents, trop sceptique ou trop méfiant…
Son patient avait cet air si sérieux qui lui valait entre autre cette attitude professionnelle, alors qu’il continuait à raconter sa vie, de son cours. Dylan ne se démontrait pas moins attentive, écoutant avant tout sans prendre de note. Malgré la longueur qu’il y mettait, elle saura se repéré si elle devait revenir sur un point. Il parla ensuite de son cours qui était mal vu et enchaîna vers un sujet pour soutenir son point de vue, mais en ajoutant à ça que des psychologues auraient déjà crée des sectes… Dylan leva les sourcils surprise d’une telle affirmation. Non pas qu’elle était insultée, mais c’était quelque chose qu’elle ignorait…
Jad bafouilla des excuses, voulant se rattraper sur ses dires qui auraient pu l’insulter… La jeune psychologue lui sourit pour le rassurer et le laissa terminer avant de rétorquer doucement.
« Je vois où vous voulez en venir… Enfin je pense… »
Elle écrit rapidement quelques lignes dans son carnet avant de retourner vers la personne qui lui faisait face.
« Cette question peut vous sembler direct ou indiscrète… Mais vous vous sentez stable dans votre vie ? Je veux parler question mental et esprit… ? »
Entre eux, ils savaient très bien qu’il était envoyé ici par simple préjugés quand à ceux qui penses différemment, donc Dylan préférait aller rapidement sur les faits… Bref, elle ne voyait pas de déséquilibre mental chez lui.
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Apparement, elle ne s'était pas sentis visée par sa remarque. Jad cacha un soupir de soulagement, il n'aurait pas voulus que cette conversation vire à quelque chose de plus désagréable parce qu'il avait fais une remarque qui aurait déplus à la demoiselle. Elle semblait tout de même hésitant, comme si, même si elle disait l'avoir compris, elle hésitait à dire une pensée personnelle. Jad plissa un peu les lèvres en la regardant prendre des notes sur son carnet. Il en avait peut-être trop dis et cela allait se retourner contre lui. Elle enchaina directement après sur la question qui l'avait amené ici. Jad attendit qu'elle termine sa question, puis en se prenant le menton, il déclara :
« Je pense bien l'être, oui. Je sais que ma matière prête à penser que je suis mentale inapte, cependant, je ne me sens pas plus fou qu'un achéologue, un scientifique ou un croyant »
Après tout, c'était vrai : il n'était pas fou, ou en tout cas, était aussi illuminé que la moyenne scientifique, puisqu'il avançait des théories en mettant en avant ce qui est plausible, même s'il n'avait pas de preuves à l'appuis, ce qui rendaient ses théories hypothétiques. Il poursuivit :
« Je n'ai peut-être pas une vie très saine en soit : je sors le soir pour boire un verre, danser, je mange aussi bien des légumes que des pizzas, et je n'ai jamais aimé faire du mal à quelqu'un, aussi cruelle fut-elle avec moi. Il m'est arrivé, dans ma jeunesse, d'avoir eu des expériences avec la drogue, l'alcool et divers produits, et j'ai eu une période où j'ai pris conscience de ce que cela provoquait chez moi et chez les autres, du danger que cela représentait.»
Il haussa doucement les épaules, comme pour dire "Et alors ?", avant de poursuivre :
« Cela ne m'a pas empêché de faire de longues études, d'avoir voyagé, d'avoir eu des hauts et des bas dans ma vie, comme tout être vivants, et d'en être sortis plus ou moins indemne, comme tout un chacun. J'ignore vraiment ce que vous entendez par "se sentir stable", parce qu'en soit, c'est une pensée assez profonde, assez particulière quand on sait qu'un être vivant n'est jamais "stable", dans le sens où il ressent des hauts et des bas constament.»
Ca y est, il était lancé : pendant seulement deux secondes, Jad avait eu un choc mental où il avait revu ce corps sublime dénudé (on ne le dira jamais assez), et il devait passer cela. Donc, autant se lancer dans une réflexion philosophique sur son état mental qui, pour la psychologue, devait approcher le zéro absolue. Mais peu importait : si elle voyait dans son regard un once d'excitation, cela pourrait être pire. Il ne voulait pas être pris pour un pervers sexuel, surtout dans un lycée.
« Je sais que j'ai beaucoup de pensées qui divèrgent par rapport à une personne normal, mais c'est que je suis plus ouvert d'esprit sur ce qui rélève de l'impossible. L'existence des Dieux, des extra-terrestres, de la magie sont des possibilités dont, jusqu'à présent, aucun scientifique ne peut en démontrer l'inexistence. Je n'affirme pas qu'elles sont une réalité, qu'elles sont sans conteste une vérité absolue de ce monde, mais engage les gens qui veulent participer à mon cours à s'ouvrir à la réflexion sur ce que j'appelle l'Arbre des possibles. Dès lors oui, on peut me voir comme fou, car je pense plus loin que d'autres, plus profondement. »
Profondement... zut, il fallait qu'il choisisse se mot. Il s'arrêta si brusquement dans son argumentation qu'il aurait été difficle de ne pas le constater. Il se mit soudainement à rougir, un pensée sexuelle l'ayant traversé juste à ce moment-là. Mais mon dieu, pourquoi était-il si paniqué en face de cette femme, et pourquoi, lui qui avait souvent besoin d'un verre pour se délurait, n'arrivait pas à quitter l'image de cette femme nue de sa tête ? Et cela faisait combien de temps qu'il n'avait pas parlé ?
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Dylan écoutait attentivement Jad, s'accoudant sur son bureau, les yeux posés sur lui et tout en avançant, l'enseignant avait toutes les raisons du monde de croire qu'il était normal. Enfin, c'était l'avis de la jeune psychologue. C'était rare qu'elle rencontre quelqu'un qui venait pratiquement pour un rien, sinon se taper
la psy une bonne discutions qui pourrait remettre les choses dans l'ordre. Bref, Dylan ne voyait pas un cas de folie ou irrationnel chez lui ou dans ce qu'il enseigne. C'est alors qu'elle décida de faire quelque chose, en autant qu'elle ne le regrette pas après... Elle commença à remplir le rapport sur son évaluation celui qu'elle devra remettre aux supérieurs de l'école. Le silence pesait entre eux, mais cela n'inquiétait pas la jeune femme. Son intuition lui disait qu'il avait été envoyé ici par mauvais jugement, ou simplement prouver qu’il n’avait rien d’un fou. Elle le remplit donc pour dire que tout était OK pour lui, que ses croyances ne venaient pas d'un déséquilibre mental.
« Je penses que j'ai pas mal tout... »
Fit-elle en terminant d'écrire. En soupirant doucement, un demi-sourire aux lèvres, elle s'accouda sur le bureau, mais sans savoir qu'elle dévoilait les courbes de sa poitrine alors que son manteau s'ouvrait assez pour faire voir la dentelle de son soutien-gorge. Quoique ça ne l’aurait pas dérangé, vu qu’il l’avait vu pratiquement nu… Sauf qu'en même temps, son regard qui se fit plus charmeur que gentille... Enfin, c'était dure de comparé les deux ! Qu'importe, Dylan lui souriait, avant de refermer le dossier de son rapport, avant de poursuivre.
« Vous auriez d'autre truc à me faire part ? On ne sait jamais, nous avons toujours quelque chose qu'on cache en nous et qui ne désire qu'à sortir. »
Elle voulait parler d'un problème qu'il avait peut-être, des soucis personnelles qui l'empêche de dormir, qui le rend soucieux, bref des trucs qu'il aurait besoin de dévoiler pour enlever un poids sur les épaules. Dylan ne traitait pas que les maladies mentaux, mais elle aimait bien écouter les gens, les aider à reprendre confiance en soit et tout le tralala... Après tout, elle jouait le rôle du confident et tout ce qui allait être dit allait rester dans ce bureau. Dylan continuait de lui sourire, le menton sur la paume de sa main et le coude toujours contre le bureau, n'attendant pas moins de sa part...
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Jad attendit un instant, l'esprit embrouillé par une certaine excitation sexuelle. Il n'avait plus en tête que quelques scène érotiques avec la psy, l'imaginant se lever et ouvrir ensuite son coat en lui disant : "Passons au test suivant, voulez-vous ?"
Ces pensées déplacés, Jad n'arrivait pas à s'en défaire : il n'avait pas vu corps plus jolie que celui qu'il avait eu sous les yeux quelques minutes auparavant. Comment détacher l'envie de revoir ce corps à nouveau. Bien entendu, son regard était aussi vide que possible, bien que ses joues s'empourprèrent de plus en plus.
Lorsque Dylan lui dit qu'elle avait tout, Jad secoua la tête, sortant de sa rêverie passagère. Il fixa la jolie psychiatre (le "jolie" ayant été rajouté aussi dans l'esprit de Jad), déglutit doucement en voyant ce regard charmeur. Il baissa les pour éviter qu'elle lise dans ses yeux, mais cela n'arrangea aucunement ses affaire, car il aperçut la poitrine qu'il n'avait pus qu'entrevoir lors de l'incident, complétant ainsi à 75% le tableau du corps de la femme que Jad avait involontairement créé dans sa tête. Seul restait la partie cachée... rien qu'à cette idée, le début d'érection de Jad s'intensifia soudainement, son sexe devenant droit et fier, l'obligeant à se pencher en avant et à cacher sa verge avec ses bras. C'était super embarrassant pour lui d'avoir une érection sur son lieu de travail.
Quant elle lui demanda s'il avait quelque chose dont il aimerait lui faire part, il ne put s'empêcher de relever la phrase : « nous avons toujours quelque chose qu'on cache en nous et qui ne désire qu'à sortir. »
En effet, Jad avait un truc qui ne demandait qu'à sortir. Mais s'il sortait cela, il ne ferait aucun doute pour la psychiatre que Jad était décalée mentalement.
« Non non, tout va bien ! »
En disant cela, Jad avait relevé ses bras, révélant en même temps la bosse énorme de son pantalon qu'aucun des deux interlocuteurs ne pouvait vraiment louper. Déglutissant, Jad se disait que finalement, après cela, il n'aurait pas le droit d'enseigner dans cette école, alors valait-il mieux qu'il tente le tout pour le tout pour qu'elle se dise que c'est une réaction d'homme normal, ou au moins essayer de passer un moment intime avec cette femme.
Se leva, sans cacher son érection, mais baissant à moitié les yeux, comme pour montrer qu'il n'était pas forcement fier, mais qu'il assumait. Il déclara alors :
« Bon, je l'avoue, après cet incident, difficile d'oublier ce que j'ai vu. C'est même très dur de pouvoir passer à côté d'une vision aussi magnifique, aucun homme normal ne pourrait oublier cela. Vous avez un corps sublime, je ne pense pas en avoir vu d'aussi beau malgré mes voyages. Voilà pourquoi je suis dans cet état : vous êtes vraiment très belle, mademoiselle Ellison. »
Il fit doucement le tour du bureau, arrivant à côté d'elle, et posa ses mains sur les épaules de la demoiselle en se penchant en avant pour pouvoir la fixer dans les yeux. Il avait un visage sérieux, tandis qu'il lui murmura, avec une voix très douce et très légère :
« Je sais qu'après cela, mon état mental ne semblera faire aucun doute, mais je ne peux pas cacher que si je suis dans cet état, c'est parce que vous êtes une femme sublime. Et en aucun cas je pourrai regretté d'avoir raté la possibilité d'enseigner si cela m'a permis de voir une telle beauté. »
Tant qu'à faire scandale, autant qu'elle se souvienne de lui comme d'un homme qui n'avait pas peur de dire les choses, et surtout qui n'avait pas honte de ce que son corps exprimait. Et surtout, il voulait qu'elle sache qu'elle était vraiment très jolie, au point d'exciter Jad qui n'avait fais qu'entrevoir son corps, quitte à se prendre une baffe ou qu'on l'insulte de pervers sexuel en le virant à coup de pied dans le cul de ce lycée.
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« Tout vas bien… »
Répéta Dylan, avec un ton dans la voix qui avouait qu’elle-même ne voulait pas le croire. Il avait en faite révéler quelque chose qu’il cachait sous ses mains… Une bosse bien apparente entre les cuisses… Quoiqu’il en soit, ce n’était pas là il y a cinq minutes. Serait-ce parce que c’était le matin ? Non, car bon, il faut compter le petit incident de toute à l’heure avant le début de leur rendez-vous. D’après ses compliments, elle en déduit qu’elle serait la cause de ça. L’attitude de Jad également qui devenait étrange, révélant qu’il était troublé… Dylan avait manqué de jugement, ayant déjà oublié cette histoire pour son cas…
Jad se leva, dévoilant un peu mieux la grosseur de cette bosse, qui aurait pu faire rougir la psychologue, mais elle était surtout subjuguée de ce dévoilement. Sous les explications toujours aussi flatteuses de Jad, la jeune femme avait un air neutre, quoique le regard exprime sa stupeur, derrière ses lunettes. L’enseignant confirmait ce que pensait la psy, il avait du mal à oublier l’incident, étant donner du fait que son corps lui plaisait énormément. Dylan ne pouvait qu’être charmé de toute cette attention, de ses compliments qui lui firent étirer un mince sourire. Jamais on ne lui avait fait de telles déclarations aussi directes et accompagné à cela d’une érection qui certifiait le tout. Jad contourna le bureau avant de continuer, ses mains contre ses épaules, son regard dans le sien. Il était si beau selon elle et très courageux. Mais ce qui la comblait le plus, ce sont ces derniers mots…
« Wow… Je ne pensais pas vous faire autant d’effet… C’est… Merci ! Ça me va droit au cœur. Et ne vous inquiétez pas, je peux comprendre tout ça et puis… Je ne vois pas de raison de dire que vous êtes un malade mental… Cependant… »
Une idée farfelue lui est venue comme ça, pendant qu’elle le rassurait. Ses mains toujours sur ses épaules, elle avait relevé un peu la tête pour rapprocher son nez du sien… Un air charmeur au visage. Son mince sourire n’avait pas quitté ses lèvres.
« Ce n’est pas juste pour moi… Vous m’avez vu et, bon ok, je vous plais… Mais moi dans tout ça ? »
Elle prenait son temps avant d’étaler cet idée qui lui trottait dans la tête, sans peur de paraître perverse ou quoique ce soit d’autre. Elle avait déjà admit ce côté d’elle qu’elle avait et c’est ce qui voulait exploiter un peu l’enseignant… Son regard scrute un instant de bas vers le haut Jad avant de retourner vers ses mires.
« J’ai bien le droit de vous voir également… Je veux dire… Comme moi j’étais tout à l’heure. En sous-vêtements…»
Son sourire s’étira un peu plus sans le quitter des yeux avant de s’assoir plus confortablement sur sa chaise….[/b]
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Jad s'était jeté à l'eau, et apparement, cela avait arrangé un peu les choses. Après un moment de stupeur de la part de la psy, elle le rassura, assurant qu'elle pouvait comprendre cette réaction. Jad allait pousser un soupir de soulagement, et s'éloigner d'elle pour cacher cette érection, quand elle eut finis sa phrase par un "Cependant" qui le paralysa. Qu'allait-elle dire ? Le jeune homme déglutit doucement, s'attendant à recevoir un baffe, ou quoique ce soit.
Mais finalement, la psy se rapprocha, tellement proche que Jad eut un léger recule : il était surpris qu'elle se rapproche autant de lui, après cela. Elle lui énonça un discours étrange, que Jad avait du mal à saisir. Elle dans tout ça ? Que voulait-elle dire ? Après un léger regard sur l'ensemble de l'enseignant qui n'en avait pas finis de bander, elle termina son idée, l'invitant à se déshabiller à son tour, se dévoiler.
Jad eut alors un air surpris. Elle lui avait réellement demandé cela ? Sa tête ne lui jouait pas des tours ? Après tout, c'était peut-être normal : l'excitation, tout ça... Mais la psychologue s'installa si confortablement dans sa chaise, comme si elle attendait quelque chose, son sourire toujours affiché. Jad recula doucement, la bouche entre-ouverte de surprise. Il se mit à nouveau à rougir, puis fit un pas en arrière : les filles les moins directes arrivaient à le faire fuir, lorsqu'il n'était pas sous l'emprise de l'alcool, mais là, c'était quelque chose de beaucoup trop direct pour lui. Dans sa tête défilait énormément d'images, mais il se refusait en partie à les voir.
C'était cependant, après réflexion, de bonne guerre. Après tout, Jad en avait vu beaucoup, et elle n'avait pas vu grand chose. En fait, elle n'avait vu que la bosse. Jad avait un certains sens de l'égalité, et il se disait qu'il serait plus juste qu'il se révèle à son tour, afin qu'il ne soit pas le seul à être ainsi. Après un temps d'hésitation, il acquiesça doucement :
« B... bon, si vous voulez. Après tout, ça serait injuste que je sois le seul à avoir vu l'autre nu, n'est-ce pas ? »
Il regarda autour : par la fenêtre, pas d'élèves, ils étaient sans doute en cours ; pas de caméra dans la salle, pas de personnes qui pourraient rentrer par surprise. Jad pris son coeur à deux mains et commença à dévêtir sa chemise. Ouvrant les boutons un par un, il regrettait de ne pas avoir de verre d'alcool sous la main, pour le détendre.
Il ouvrit en grand sa chemise pour l'enlever, prenant une pose se voulant détendue, mais qui, combinée au stress de la situation, était plutôt maladroite. Son torse était fin, légèrement musclé (comme un gymnaste), et sa peau était très claire. Son pendentif en Jad trônait juste au niveau de son sternum, ajoutant une dose d'exotisme à ses cheveux blancs tombant en partie sur ses épaules et son torse. Après un moment où il tentait de ralentir les battements de son coeur, Jad ouvrit son pantalon et retira ses chaussures du même temps. Il fit descendre son pantalon, et reprit sa pose si "naturelle".
Il portait un boxer noir très moulant, laissant nettement voir son érection. De plus, le tissu légèrement transparent permettait de distinguer son sexe, et plus particulièrement le gland rose qui poussait contre son sous-vêtement. Jad rougissait énormément, et ne savait plus vraiment où se mettre. Il n'osait même plus regarder la psy, très gêné par la situation qui aurait pus faire jaser quiconque les aurait surpris.
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Dylan attendait, l'air calme avec un brin de lubricité dans le regard et un sourire amusé aux lèvres. Elle ne songeait même pas au malaise qu'elle lui rendait en lui proposant ceci, pour elle, c'était un droit tout simplement... Et en partie parce qu'elle était curieuse de voir de quoi il avait l'air, sans son pantalon déformé par cette bosse. La rougeur sur les joues de l'enseignant ne venait qu'ajouter un certain charme dans son visage, alors qu'il acceptait enfin de se dénuder à son tour. Quel sens de l'égalité, songea la jeune psy sans avoir cessé de sourire et attendant impatiemment qu'il s’exécute. Jad prit même la peine de regarder autour d'eux, comme si quelqu'un les observait, mais il n'avait rien à craindre étant donner que la porte était verrouillée et que personne ne pouvait les voir depuis la fenêtre.
Enfin, il débuta par sa chemise qu'il déboutonna tranquillement, jusqu'à dévoiler un corps fin, mais assez de muscle pour lui donner des formes qui donnait envie de se coller contre lui. La psychologue remarqua le pendentif qui pendait autour de son cou, accentuant son air asiatique. Il poursuivit alors avec son pantalon qu'il retira en même temps que ses chaussures. Tout au long de son ''Strip tease'' il avait semblé nerveux, dans ses gestes ou encore les poses qui était loin d'être naturelle, ce qui dérangea un peu la jeune femme. Malgré tout, ceci avait eut le dont de l'exciter, sentant la chaleur monté en bas de son corps... Elle scruta l'enseignant de bas en haut, s'attardant sur son membre qui bosselait contre son boxer et elle rougit en songeant qu'il était d'une assez bonne taille. Elle essaya de regarder Jad dans les yeux, mais celui-ci avait détourné les yeux, sûrement gêné par la situation... Mais il fallait conclure qu'il était aussi excité qu'elle, voyant qu'il avait gardé son érection...
« Vous avez un beau corps... Agréable à regarder. »
Après ses mots, elle se leva s'approchant doucement de lui et retira son coat qui choit au sol, dévoilant à nouveau ses sous-vêtements bleus en dentelles. Une fois près de lui, elle se fit hésitante avant de glisser une main contre son torse, parcourant sa peau douce et ses formes vers son épaules puis le dévala lentement vers son ventre pour continuer vers la bosse, ne faisant que déposer sa main dessus. Un mince sourire aux lèvres, elle ne l'avait pas quitté des yeux, puis avant d’enchaîner avec des mots, elle pressa délicatement ses doigts autour de son membre...
« Il vaudrait peut-être mieux soulager ça... Je sais à quel point ça peut être frustrant sinon... Et puis, ce n'est pas juste pour toi, tu m'as dévoilé ton buste en entier, à mon tour donc. »
Sa voix était douce et rassurante, ne voulant pas le faire paniquer, ni faire comme si elle voulait se jouer de lui... C'est alors que de sa main libre, elle défait l'attache de son soutien-gorge qui cède rapidement, puis dans un mouvement, les bonnets libérèrent ses deux monts de chairs qui se révèlent à Jad, pointant sous l'ardeur. Elle approcha par la suite son visage du sien, leur lèvre pouvant à peine se toucher... Mais c'était au tour de l'homme de faire les premiers pas.
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Jad était assez mal à l'aise : la situation l'excitait énormement, mais sa pudeur face à une "inconnue" le poussait un peu à se mettre en retrait, ce qui faisait qu'il était un peu maladroit. Le compliment que Dylan lui fit le flatta, mais le gêna un peu plus.
« M... merci. Je suis content qu'il vous plaise. »
Elle se leva, intriguant Jad qui tourna ses yeux vers elle, les lèvres entre-ouvrerte. Elle retira alors son coat dévoilant à nouveau son corps avec ses sous-vêtements. Le jeune homme admira un temps le corps qu'il avait en face de lui qui ne faisait que durcir son membre. Il laissa la main de la demoiselle se poser sur son corps, frissonnant légèrement en sentant la doucement mais se poser sur son torse. Tandis qu'elle descendit doucement vers le bas de son ventre, Jad passa son bras à côté de la hanche de Dylan, posant sa main juste au dessus des fesses de la jolie psychologue.
Elle posa tranquillement sa main sur son sexe qui palpitait déjà de plaisir et d'excitation. Dylan avait un corps vraiment fabuleux, et le voir d'aussi près était déjà un plaisir pour le jeune homme. Cependant, elle ne voulait pas en rester là : après avoir dis qu'elle allait peut-être s'occuper de cette bosse, elle passa sa main sur son soutien gorge et en défit l'attache, révélant une poitrine impressionnante, tendu vers Jad qui esquissa un léger sourire de satisfaction. C'était rare de le voir sourire sans qu'il ait bu, mais face à cela, il ne pouvait que sourire, presque à se lécher les lèvres.
Dylan approcha son visage de celui du jeune homme qui en fit de même. Délicatement, il posa ses lèvres sur celle de son amante, lui faisant d'abord un simple baiser, puis ouvrant un peu plus sa bouche pour laisser sa langue passer à l'intérieur de celle de la demoiselle. Sa main dans le dos de Dylan appuya légèrement, laissant leurs sexe se frôler, et il fit glisser l'autre de la hanche au sein de la magnifique jeune femme. Tandis que sa langue dansait avec celles de Dylan, sa main avait aggrippé le sein pour le masser, d'abord la peau nue, puis l'auréole, ne touchant pas le téton. Quand il décida qu'il était temps, il fit glisser ses doigts sur ce dernier, le pinça légèrement pour ensuite masser l'ensemble du sein de sa main libre.
Son sexe voulait qu'on s'occupe de lui, mais Jad souhaiter en profiter un peu. Il observa le bureau de Dylan et tenta de voir s'il y avait quelque chose de fragile. Apparement, non. Il décrocha ses lèvres de celle de la demoiselle, puis la dirigea vers sa chaise. Il se tourna vers le bureau, et d'un mouvement de main, écarta tout objet qui aurait pus empêcher d'allonger Dylan dessus. Il se retourna vers elle et ajouta doucement :
« Avant que tu ne me "soulages", j'ai envie d'en voir un peu plus... et d'en goûter tout autant. »
Reprenant son baiser, il tourna Dylan pour l'allonger sur son bureau, puis se pencha au dessus d'elle pour s'occuper de l’opulente poitrine qu'il avait en face de ses yeux. Il lécha tout d'abord le sein, par le dessus, suçant par endroit des zones qu'il savait sensible chez certaines femmes, puis remonta sa langue sur le téton qu'il titilla doucement, pressa du bout des lèvres avant de le prendre en bouche. Il goûta la peau légèrement sucrée de Dylan, le téton étant la cerise sur la gâteau.
Sa main, cependant, ne resta pas inactive : caressant la demoiselle avec douceur, le long de la courbe de son corps jusqu'à ses hanches, il arriva au niveau de sa culotte sous laquelle il passa, s'arrêtant juste au sommet de son intimité.
« Tu me laisses voir ce que je n'ai pas encore vu ? »
Son sourire se ft charmeur, angélique sur son visage juvénile : l'excitation le rendait presque aussi sâoul qu'un bon verre d'alcool. Tout ce qu'il avait en tête, c'était faire l'amour à cette demoiselle.
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Ils étaient lancés… Plus moyen de les arrêter. Leurs lèvres se touchèrent dans le dernier mouvement de Jad, démontrant tel qu’était son désir pour elle. Dylan pinça entre ses lippes ceux de son partenaire, à tour de rôle, jusqu’à ce que lui se décide à explorer un peu mieux la bouche de l’autre. Elle accueillit sa langue avec la sienne, massant délicatement sa collègue, si douce et savoureuse. Leur corps se collèrent l’un contre l’autre, Dylan pouvant sentir la fierté de son patient contre son pubis, la faisant frémir comme jamais. Puis ce fut une zone sensible que s’attaqua son amant, pétrissant le contour de son sein avant de titiller son téton, durcit d’excitation. La psy soupira doucement, enlaçant le corps de son patient en redoublant la fougue de ses baisers, savourant sans retenu sa bouche. Jad la quitta un instant, allant se débarrasser des effets qui se trouvaient sur la table et il l’attira dessus désirant plus en goût…
Elle s’allongea sur le bureau, les cuisses écartés, enveloppant la taille de Jad. Le lieu animant d’un cran la jeune femme, et laissa l’amant parcourir sa poitrine de sa bouche, enivrant la jeune femme de doux plaisir électrisant, surtout lorsque sa langue s’attarda sur le bout de son mont de chair, se démontrant très sensible. La main viril était à la découverte du corps de la psy qui répondait par des soupires d’aise lorsqu’il stimulait certaine région de son être, ce qui emplissait la jeune femme d’une douce chaleur, empourprant ses joues. De ses mains à elle, elles caressèrent sa longue chevelure, sa nuque, puis aboutissent sur son dos. Quand Jad traînait sur le bord de son intimité, toujours couvert, elle se redressa, attrapant une seconde fois la bosse qui n’avait pas perdu de sa dureté et l’embrassa.
« En autant que tu me laisses en voir aussi… »
Ce petit jeu l’amusait. Dylan observa ce visage si angélique et coquin à la fois dans son désir. Elle attrapa les mains poser sur ses hanches et les fit glisser sur le long de ses cuisses, emportant avec elles le dernier tissus qui la recouvrait. Elle tremblait, de peur, de nervosité, d’envie qui ne souhaitait qu’être assouvit. Elle écarta doucement ses cuisses, se rallongeant sur le bureau, offrant en entier sa vulve qui se liquéfiait, avide de caresse… À ce moment, l’excitation allait atteindre sa plénitude, avec Jad qu’elle connaissait à peine, mais ô combien il avait su l’attirer…
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Leurs caresses s'intensifièrent rapidement, leurs baisers se faisaient profonds, alors que Jad sentait la demoiselle se tendre de frisson sous ses caresses. Le fait d'avoir été surprise à moitié nue avait dû exciter Dylan énormement, vu comment elle réagissait à ses attentions avec une fougue totale. Il n'en démordait pas non plus, heureux de pouvoir assouvir son besoin primaire.
Alors qu'il lui avait demandé de se dévêtir un peu, elle se redressa et caressa sa verge au travers de son boxer. Quel jeu amusant : je te montre si tu me montres à ton tour. Elle fit doucement glisser la culotte le long de ses cuisses, Jad en fit autant avec son boxer, le baissant un peu peu pour ensuite le laisser glisser par terre. Il dévoila ainsi une verge tendu, le gland gonflé palpitant visant l'entrée du vagin de la demoiselle. Jad prit un temps pour admirer le sexe de Dylan inondé de cyprine qui lui était offert, laissant tout le loisir d'être observé en retour, son sexe dans la norme, en taille et diamètre, dégageant tout de même une vigueur assez impressionnante.
Il s'approcha ensuite du bureau de Dylan, s'agenouilla entre ses jambes et posa ses mains juste à côté des lèvres qui lui faisait face pour les écarter délicatement. Il observa la belle chaire rose qui dégageait une odeur forte, mais ennivrante :
« C'est magnifique... tu es magnifique, Dylan. »
Ne pouvant plus résister au parfum, Jad approcha ses lèvres de l'intimité et embrassa délicatement le sommet, où son bouton féminin pointait le bout de son nez. Puis, avec un appétit rageant, il lécha la mouille présent sur ce sexe, savourant chaque coup de langue avec envie, un délice. Il ne put se retenir d'enfoncer sa langue à l'intérieur d'elle, parcourant les parois les yeux fermés, chatouillant ce qu'il pouvait à l'intérieur.
Ses mains, qui tenaient d'abord les cuisses levées, passèrent à côté des hanches et remontèrent vers la poitrine de la jeune femme, enlaçant ceux-ci avec douceur, serrant le téton dur comme le bout d'un crayon. C'était tellement savoureux, Jad cru devenir fou un moment. Lorsqu'il jugea qu'il avait fais assez jouir Dylan, il relâcha l'étreinte et posa délicatement ses mains sur ses hanches. Coinçant la vulve entre ses lèvres, il aspira doucement, pour finaliser ses caresses.
Il se redressa ensuite et s'essuya la bouche : ses lèvres étaient encore trempés, et le goût du miel de Dylan lui brouillait l'esprit. Il monta sur le bureau et se mit à genou au niveau de la poitrine de la demoiselle, évitant de l'écraser, présentant sa verge au dessus des deux seins. Avec un léger sourire, il lui dit :
« A toi de me caresser. »
Il espérait qu'elle ait de la suite dans les idées, surtout face à ce sexe qui aurait pus se loger sans problème entre les deux monts de plaisirs qui l'entouraient de leur beauté.
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Maintenant installée sur le bureau, Dylan ne put faire autrement que de frémir en sentant ces doigts écartés délicatement ses grandes lèvres. Puis la langue de Jad qui s’approprie de son clitoris, gonflé d’excitation, se met à laper avec douceur sa chair rose, recouvert de cyprine. Dylan gémit, ne pouvant retenir ses plaintes de plaisir qui s’exhalait dans la pièce sans retenue. Elle alla caresser la tête de son amant, agrippant ses cheveux lorsqu’une vague de plaisir l’emparait. Ses cuisses levées s’installèrent sur les épaules de Jad, tandis qu’il vient s’occuper de sa poitrine, jouant avec les bouts durcis sous les gémissements de la jeune femme qui appréciait cette bouche si habiles contre son intimité. Jad prenait plaisir à pincé avec ardeur sa vulve entre ses lèvres pour raflant sa mouille, enivrant la jeune femme d’un plaisir intense.
Alors qu’elle était aux bords de l’extase, Jad cessa ses caresses buccales en terminant avec une embrassade langoureuse, captant les derniers flots de cyprine qu’il avait fait secréter à profusion de Dylan. Une fois redressé devant elle, la psy caressa sa joue, souriant, satisfaite de ce petit traitement si enivrant. Elle se devait lui rendre la pareille. Sa verge positionnée sur son buste, à la merci de sa bouche, elle sourit encore, regardant le jeune homme avec un brin de lubricité dans les yeux. Sa poitrine n’avait peut-être pas les mensurations adéquates pour ce genre de caresse, bien qu’elle les presse tout de même autour de son membre brûlant, sans l’enveloppée entièrement. Mais c’était bien assez pour faire durer le plaisir. Une perle de pré-sperme apparut sur le bout de son gland et Dylan alla le récolter avec sa langue, titillant le bout avec une lenteur calculée.
Elle encouragea Jad à bouger du bassin pour faire buter une partie de sa verge dans sa bouche, suçant d’abord le gland sans cesser les caresses effectuées par ses seins. Ayant un certain appétit pour le sexe oral, ça ne prit pas de temps avant qu’elle enfourne son sexe profondément entre ses lippes, redressant de la tête pour le prendre en entier. Elle le fait allé et venir comme ça plusieurs fois, sous des bruits de succions, imbibant de salive sa chair bien en forme. C’était exquis. Faire plaisir à un homme qui répondait bien à ses assauts, cela se prouvait par l’écoulement du liquide séminal qui envahissait sa bouche, l’incitant à continuer, jusqu’à lui faire perdre la tête. Pendant ce temps, elle n’avait pas cessé de le regarder à travers ses lunettes, espérant lui offrir le plaisir qu’il lui avait offert plus tôt. À cet instant, qu’on les surprenne ou non, ils étaient trop perdu dans ce moment d’intimité pour s’en soucier… Deux corps qui s’attirent, on ne peut les empêcher de se réunir.
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Lorsque Dylan enveloppa son sexe entre ses seins, Jad esquissa un grand sourire. Bien que ceux-ci n'enveloppaiebnt pas la verge en entier, il avait plaisir d'être dans cette position. Moins le fait d'être en position de dominant que de voir les seins le masser avec cette douceur naturelle qu'il avait déjà ressentis en les caressant de ses mains. Le sourire de son amante ne faisait qu'augmenter son excitation.
Elle lécha l'entrée du gland, avec une lenteur apparement mesurée, faisant frisonner l'enseignant. Puis, elle prit doucement le membre en bouche, tout d'abord juste le gland, puis avalant presque en entier son membre. Dylan semblait se régaler de sa verge, comme on se régale d'une sucette (héhé). Jad accompagnait cette fellation par de léger mouvement de bassin, évitant de buter trop profondement la gorge de la demoiselle. Il reprenait sa respiration en se pinçant les lèvres, tenant la demoiselle par le sommet de la tête tout en caressant ses cheveux.
Sentant le plaisir venir, il se pencha légèrement en avant, accentuant un peu ses mouvements. Son esprit s'embrouillait d'avantage, jusqu'à ce que l'orgasme lui arrache un gémissement en même temps qu'il se deversa en partie dans la bouche de Dylan. Se rendant compte au même moment qu'elle n'allait peut-être pas aimer cela, il se retira, alors qu'il n'avait pas finis de jouir, déchargeant accidentellement son sperme sur le visage et les lunettes de son amante.
« Désolé, c'était si bon, je n'ai pas pus retenir cela. »
En voyant son visage et ses lunettes légèrement recouvert de son sperme, l'érection de Jad prit à nouveau de l'ampleur, cette image étant très excitante. Il descendit du bureau, mais empêcha la demoiselle d'en faire autant, se calant entre ses cuisses. Leur sexe étaient aussi trempés l'un que l'autre, celui de Jad palpitant toujours par l'afflux massif de sang. Il colla son gland à l'entrée du vagin de la demoiselle, et pressa légèrement : elle était très serrée, plus qu'il n'avait pus connaître avant. Il sentait que ça allait être très difficile de la pénétrer. Mais elle n'allait sans doute pas rechigner, vu l'état dans lequel se trouvait son intimité.
« Je n'y tiens plus, tu es vraiment trop excitante, Dylan. »
Jad commença à presser contre l'entrée du vagin, son sexe s'enfonçant doucement à l'intérieur. Il sentait la paroi vaginal serrer son sexe tout entier qui rentrait petit à petit en elle. Lorsque son membre fut totalement avalé par le sexe de Dylan, il lui sourit doucement et lui caressa doucement la joue. Il commneça alors ses mouvements de vas-et-vients en elle. C'était tellement doux, tellement agréable, que Jad se pencha en avant pour caresser en même temps la poitrine de Dylan de ses lèvres. Elle l'avait fais jouir, c'était à son tour de lui faire atteindre le septième ciel.
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Dylan laissait le membre coulissé profondément dans sa gorge. Sa langue s’activait dessus, glissant sur toute sa longueur, accompagnant ses lèvres durant leur descente. Les bruits de succion se joignait au soupire de son amant, laissant la colonne de chair buter dans le fond de sa cavité buccale. Son regard lubrique, toujours dans les siennes, elle gémissait à son tour, laissant voir qu’elle savourait avec délectation sa verge, ainsi que le pré-sperme. Soudain, elle le sentit palpiter dans sa bouche. Jad donnait à présent des coups plus accentués, haletant au dessus d’elle. Puis il échappa une première décharge de semence, brûlante et épaisse contre sa langue, mais sortit aussitôt sa hampe de chair pour déverser le reste sur son visage et en grande partie sur ses lunettes. Dylan en était émoustillé de plaisir, n’ayant jamais reçu de sperme contre son visage. Elle trouvait cela excitant…
La semence qu’elle avait en bouche roula doucement sur sa langue avant que la psy ne l’avale, éveillant ses sens, le trouvant appétissant. D’ailleurs, elle ramena un peu de ce qui couvrait son visage vers ses lippes à l’aide de ses doigts, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus. À la suite, elle regarda Jad, un sourire aux lèvres, appréciant son goût.
« Miam… »
Son amant descendit du bureau, venant se positionner devant elle, la verge tendue d’excitation. Il était endurant, prêt à passer à une nouvelle étape… Leurs sexes, l’un contre l’autre, fondaient sous l’ardeur. Dylan n’arrivait plus à contenir son désire, accueillant son homme entre ses cuisses en les écartant, le regard perdu dans le sien. Son compliment lui fit sourire, la prévenant également qu’il n’en pouvait plus.
« Vas-y… Je n’en peux plus d’attendre. »
Sa voix était époumoné, leur stimulus avait atteint le paroxysme et ne restait plus que le désir d’assouvissement. Doucement, ses parois vaginales se déformaient au passage de Jad qui pressa son gland vers les profondeurs de son être, lui arrachant un profond gémissement. Le sexe de Jad étirait sa cavité intime, amplifiant le plaisir de la demoiselle. Le sentir en elle était comme une libération, incomparable, alors qu’il réussit à lui soutirer plusieurs gémissements qui s’émanaient de la bouche de Dylan qui ne se privait pas de les exhaler dans la pièce.
« Plus fort… Mhhhh, C’est si bon, Jad…. »
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Dylan avait gémis tout le long où Jad l'avait pénétré, rendant la chose encore plus excitante. S'il y avait bien une chose qui excitait le jeune homme plus que la vision de la femme à moitié nue, c'était l'entendre gémir sous ses coups de reins. Tenant une des cuisses de la demoiselle relevé, il la pénétrait profondément, son sexe aspiré par l'intimité lubrifié. Ses mouvements de vas-et-viens était d'abord doux, lent, et profond. Petit à petit, il accéléra, rendant ceux-ci moins profond, mais plus rapide. Son excitation était à son paroxysme, alors que son autre main tenait la fesse de la demoiselle qu'il malaxait doucement.
Puis, après un instant de pause où il reprit sa respiration, il lâcha la cuisse de Dylan pour attraper ses hanches, avant de donner de puissant coups de reins soudains, remontant jusqu'au plus profond de son amante. Fermant les yeux pour profiter de la sensation unique que cela lui offrait, il semblait savourer dans un léger sourire les gémissements de Dylan et l'impression de l'empaler complètement.
Cela fait, il arrêta ses coups de reins et se pencha en avant pour prendre Dylan dans le dos, avant de la soulever, la gardant empaler sur son membre qui s'enfonça en elle plus profondément qu'avant, plus soudainement aussi. Même s'il n'avait pas une impressionnante musculature, Jad avait les meilleurs appuis du monde, et pouvait tenir aisement la jeune femme dans cette position. Plaçant ses mains sous ses fesses, il la faisait monter le long de son sexe par de légers coups de rein, avant de la laisser retomber dessus de tout son long. Il enchaînait ainsi avec une certaine facilité, et c'est dans un sourire qu'il lui dit, avec une voix saccadée par ses mouvements :
« C'est... incroyable Dylan... je n'ai jamais rien ressentis de tel. Ton sexe est brûlant, j'ai l'impression que le mien est en train de fondre. »
Il continua ainsi un moment, son visage plaqué contre la poitrine de Dylan qui montait et descendait à chaque coup de rein. Il léchait doucement chaque parcelle de peau qui tombait sous sa langue et sous ses lèvres, savourant le corps comme s'il s'agissait de miel.
Cependant, avec la sueur qui coulait de leur corps, Jad ne pus éviter l'inévitable : glissant sur la moiteur de ses pieds, il bascula en arrière, mais tombant fort heureusement dans le siège de la psy. Il se retrouva ainsi, son amante à califourchon sur lui, la surplombant complètement, à sa merci. D'un léger sourire, la respiration haletante, il lui proposa :
« Que dirais-tu de prendre les rennes, cette fois ? Je suis à ta merci. »
-
Dylan, toujours sur le bureau, se laissait emporter par le flot de plaisir que lui procurait son amant. La cuisse montée vers son ventre amplifiait les sensations de leur bas ventre à tout deux, alors que la verge s'enfonçait d'avantage en elle, butant contre son col. La psy succombait à l'excitation, ne gardant plus aucune retenu, oubliant où elle se trouvait à cet instant. Toutes sa concentration était fixée sur Jad qui redoublait d'effort, augmentant la vitesse de ses allés et venus, faisant vibré ses parois vaginales qui se déformait au moindre passage. Puis soudain, Jad abandonna sa cuisse pour ses hanches qu'il saisit avec force et donna un puissant coup de rein, approfondissant la pénétration. Dylan gémit de plus bel en sentant sa colonne de chair coulissé avec fougue en elle, à un point tel que ses mouvements brusques l'animaient d'un cran.
À nouveau, Jad prit les rennes, attrapant le dos de sa belle qu'il souleva vers lui. Ses fesses quittèrent le bureau, alors qu'elle l'enlaça contre elle, le regard éperdu du sien. Il restait encore un filer de sperme sur ses lunettes, alors qu'elle semblait ébahie de cette nouvelle sensation incomparable. Jad la maintenait debout, avant de la laisser retomber, sa verge s'empalant avec plus de profondeur cette fois, faisant gémir d'exaltation la jeune femme. Il alternait entre ses propres coups de reins et laissant parfois Dylan retomber sur le long de sa verge. Sa poitrine quasiment offerte, son amant en profitait lors des descendes, prenant en bouche tous ce qu'il pouvait, ne faisant qu'accroître l'extase de la jeune femme.
Quelque chose d’inattendu arriva, Jad qui s'abandonna ou plutôt tomba sur la chaise de la psychologue, avec elle sur lui. Dylan esclaffa un rire, haletante encore avant de déposé un baiser contre la bouche de son patient, maintenant à sa merci. À califourchon, sa verge toujours ancré en elle, Dylan donna un long coup de rein tout en le regardant. Le gland déformait le passage de son vagin, à son rythme. Ces mouvements sont fougueux et lent, progressant tranquillement. Ses hanches ondulaient au dessus de son bassin et ses mains tenaient les épaules de Jad, appréciant la douceur de celui-ci, puis elle forma des coups brusques, ferme, se pinçant la lèvre inférieure, yeux dans les yeux, alors que ses plaintes revenaient, plus forts encore...
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Jad était heureux de voir que sa façon de faire arrachait à la psychologue des gémissements de plaisirs. Il en tirait une grande satisfaction, et un plaisir sexuel tout aussi intense. De même, lorsqu'elle prit à son tour les rennes, l'embrassant après une rire aussi mignon que charmant, Jad se rendit compte du plaisir d'être dominé par la demoiselle qui n'en démordait pas d'ardeur.
A la merci de la demoiselle, il faisait tout de même passer ses mains sur le corps de celle-ci : les hanches, le dos, le ventre et la poitrine, mais également le cou, les fesses et, bien entendu, son clitoris. Elle avait des mouvements lents, au départ, réduisant un petit peu l'arrivée de l'orgasme chez Jad qui n'en était que plus heureux : ils allaient encore un peu faire durer le plaisir. Elle reprit alors des mouvements brusques et fermes, faisant bouger la chaise à chaque coup de reins, arrachant au jeune homme une respiration saccadée tentant de contenir une grande excitation.
Jad appréciait tout particulièrement les plaintes de la jeune femme qui ne cessaient pas. Il admirait ce corps si sensuel, offert à sa vue, n'ayant pas à se préoccuper de bouger les hanches comme il faut. C'était reposant, et paradoxalement, plus excitant. Mais ne voulant pas rester inactif, il s'élança sur l'un des seins qu'il happa avec gourmandise, et suça et lécha avec autant d'entrain que la demoiselle en montrait pour son sexe. Ses bras enlacèrent la demoiselle, appréciant l'odeur qu'elle dégageait et la saveur qu'il goûtait sur sa poitrine. Que d'extase.
Mais l'orgasme se faisait de plus en plus, présent, et l'esprit du jeune homme s'embrumait de plaisir sauvage et presque bestial, à tel point, qu'il n'arrivait plus à se détacher de la jeune femme. Sa tête plongée entre ses seins, il l'observa la surplomber, et porta ses lèvres aux siennes, l'embrassant alors que son sexe palpitant annonçait une fin des plus puissantes malgré la précédente.
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Dylan gardait la même cadence, faisant aller et venir le sexe de Jad profondément en elle et la rudesse de ses mouvements emportait la chaise avec eux. Leurs bassins s'entrechoquaient, de même que le gland et son col. Presque à bout de souffle, les gémissements de la belle diminuèrent, mais elle continuait à cheminé vers le plaisir en compagnie de son amant. Il palpitait déjà entre ses parois intimes, tandis qu'elle, se contractait, resserrant la pression autour de la verge de Jad. Elle était engourdit par ces multiples sensations qui la rapprochaient, elle et lui, de l'orgasme. Son souffle, de plus en plus saccadé, dardait le dessus de la tête de son amant qui s'occupait de sa poitrine, facilement offerte à sa bouche.
Ils paraissaient susceptible d'atteindre la jouissance ensemble, d'un moment à l'autre. Quant à la jeune femme, c'était imminent, alors que la tension en son bas ventre commençait à envahir le reste de son corps, ses plaintes se virent censurer par un baiser des plus passionné et langoureux. Son être était anodisé par l'orgasme, secoué par de puissant spasme. Elle faillit perdre pied sur la chaise, mais elle agrippa fermement Jad, rendant l'effort ultime avec ses hanches. L'extase était à son apogée, si intense qu'elle faillit mordre la langue de son beau patient et ceci dura pendant plusieurs secondes avant que la jeune femme ne s’effondre sur lui, après avoir rendu un dernier coup de langue à travers ses lèvres tremblotante. La sueur perlait sur elle, posant son front contre celui de Jad, haletante...
« Ça va mieux comme ça ? »
Elle ne s’est pas encore entièrement remise de cette orgasme, encore l’esprit légèrement amoindrit par ce qu’elle venait de vivre.
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Dylan augmentait le rythme frénétique de ses coups de hanches, et Jad n'en pouvait plus de sentir son membres soumis aux pressions opposés de la parois vaginale de son amante, et de l'orgasme imminant, au point qu'il lâcha un grognement rauque et bestial juste avant de se laisser aller à l'intérieur de la demoiselle qui le pompait dans sa totalité, récoltant son fluide.
Jad enlaçait Dylan avec un grande force, mais également une grande douceur, alors que ses lèvres jointent aux siennes profitaient d'une telle volupté dans ce moment totalement embrumé par le plaisir. Son corps tremblait de plaisir, alors qu'il redoublait d'effort pour retenir la demoiselle dans ses bras en la sentant partir de la chaise. Quelle bonheur c'était de sentir le corps de cette femme contre soi. Jad n'avait jamais ressentis quelque chose de tel auparavant.
Jad eut un petit rire lorsqu'elle lui demanda si ça allait mieux après cela, puis répondit, avec un sourire angélique que la puissante dose d'endorphine lui donnait l'occasion de faire :
« Oui, beaucoup mieux, assurément. Merci pour vos "soins", mademoiselle la psychologue. »
Ils ont dû rester ainsi quelques temps, enlacé l'un contre l'autre, peau contre peau, leurs sueurs et leurs fluides se mêlant dans un doux balet. L'endorphine commençait à disparaître, et le sourire de Jad s'effaça doucement, bien que la joie d'être dans les bras de Dylan l'emplissait d'un grand bonheur. Jad s'écarta tout de même, puis déclara, avec une certaine déception dans la voix :
« Il faudrait sans doute... retourner à notre travail respectif, je pense. Vous devez avoir beaucoup à dire dans votre rapport sur moi, et j'ai bientôt un cours à donner... »
Jad était triste de devoir quitter cette femme, mais s'il avait réussis le test, il aurait été bête de gâcher tout ces efforts en arrivant en retard à son premier cours du matin. Combien de temps avaient-ils passés ensemble ? Trop peu pour lui, mais il ne pourrait pas le dire ainsi.
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Lentement, elle s’en remit. Rester contre lui était… Agréable, facile, d’un grand réconfort. Sauf que l’effet d’euphorie se dissipait de minute en minute et un sentiment de bizarrerie prenait place. Comment tout cela avait débuté déjà… ? Ah oui ! C’était elle, à moitié nue devant le monsieur… Provoquant une érection, puis un éveil de désir… Tout s’enchaîne en fait ! Un sourire se dessina à ses lèvres qui se posèrent ensuite contre la bouche de Jad, un bref baiser avant qu’elle ne se lève enfin. Il avait raison, ils devaient retourner à leur travail respectif.
« En effet, j’ai d’autre personne à rencontré pour ma part… »
Sans pudeur, elle s’étira les bras et attrapa ses vêtements, délaissant Jad, sans lui démontrer son regret, celui de devoir se laisser… Elle entra dans la pièce de tout à l’heure, pour se rafraîchir et se rhabiller. Ses vêtements étaient comme neuf et sec. Après quelque minute, elle lui lança depuis la salle annexe :
« Ne t’en fais pas pour mon rapport. Comme je te l’ai dit, tu n’as rien d’anormal… »
Elle réapparut devant lui, un mince sourire aux lèvres et maintenant prête à continuer la journée. Ses yeux le fixaient un moment, alors que les images de leurs ébats fougueux lui repassaient en tête… En particulier, le moment où il s’était vidé contre visage.
« Un tantinet pervers, mais normal… »
Elle laissa échapper un rire et va déposer un baiser contre la joue de Jad.
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Dylan s'absenta quelques secondes. Jad en profita pour se rhabiller. Il sentait assez fort la sueur : il devrait passait rapidement dans les douches, ou tout du moins dans un endroit similaire pour se rafraîchir, comme le faisait la charmante psychologue.
Il entendit qu'elle lui parlait depuis l'autre salle. Apparemment, tout c'était bien passé, et sa pulsion sexuelle n'avait pas entaché l'entretien. Il soupira en se retournant vers elle, qui la fixa quelques secondes, un sourire entendu s'étirant sur son visage. Elle ajouta à sa phrase :
« Un tantinet pervers, mais normal… »
Jad se mit à rougir, légèrement. Les images des deux amants dans leurs ébats lui revenaient en tête, et sans hors de ce moment, il redevenait, dirons-nous, coincés. Bien que cette fois-ci, il osait regarder Dylan droit dans les yeux. Il réarrangea sa coiffure, avant de se racler la gorge.
« Bien... je ferai peut-être mieux d'y aller, ne serait-ce que pour vous laisser travailler tranquillement, mademoiselle Ellison. J'espère que...
Il n'osa pas finir sa phrase, regardant la psychologue dans les yeux. C'était gênant, même après ce qu'ils avaient vécu. Il fit volte-face vers la porte, et posa sa main sur la clanche, mais n'ouvrit pas celle-ci. C'était trop bête après tout ! Il tourna légèrement la tête vers elle :
« J'espère que nous aurons l'occasion de nous revoir pour... d'autres séances. Afin de s'assurer que ma perversion ne soit pas un problème.
Son cœur battait très vite, et ses joues étaient rosies par l'afflux de sang dans son cerveau. Il ouvrit ensuite la porte et sortit, la refermant délicatement derrière lui. Prenant une profonde inspiration, il se dirigea vers les locaux des professeurs, afin de se rincer un peu.
Et sur sa route, dans un coin de sa tête, le souvenir flamboyant de la magnifique Dylan le consumait, lui donnant envie de la revoir très vite.