Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Jûzô Tetsuzaemon

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Jûzô Tetsuzaemon

Pages: [1] 2
1
Prélude / Re : 893 [Valimenstruée.]
« le: mardi 06 mars 2018, 14:14:04 »
Le jour où il faudra voter pour te virer, je serai le premier à cliquer è_é

2
Prélude / Re : 893 [Valimenstruée.]
« le: mardi 06 mars 2018, 13:32:59 »
Allez baver ailleurs, vous vous êtes crus où ? Sur une présentation de LGJ ? è_é
*Couvre amoureusement Chize*

3
Prélude / Re : 893 [lulu]
« le: mardi 06 mars 2018, 13:17:48 »
J'ai failli attendre, ô ma femme.
Bienvenue <3

4
Archives publiques / Re : Sondage sur le statut des Terranides
« le: lundi 19 février 2018, 16:15:33 »
Je n'ai pas (encore) lu, mais... on ne pourrait pas changer les images pour autre chose que des nekos en soubrette ? Un choix plus fantasy (et plus diversifié, pourquoi pas un montage ?) me semblerait plus judicieux :)

5
Les alentours de la ville / Re : The Swallow Saga [Jûzô <3]
« le: dimanche 18 février 2018, 20:17:06 »
Voilà qu'elle entrait dans la danse à son tour, pour ne pas rester sur la touche tandis que Jûzô avait lancé la chorégraphie. Le Buffle n'en attendait pas moins de Catalina, qui reconnaissait dans la foulée toute la mesure de la proposition qui venait de lui être faite. Bien qu'elle manquait d'armes pour tenter la parade qui la sortirait de cet aimable chantage, la caucasienne ne se démonta pas et prêcha apparemment de bonne grâce son propre sort. Au moins avait-elle conscience de sa situation face au mâle à l'organe un peu enflé, qui la rattrapa quand elle manqua de chuter après un virage malheureux. Si Catalina se retrouva pendue à son cou les seins écrasés contre la citadelle musculaire qu'était le torse de Jûzô, elle s'avérait aussi sauvée par l'énorme paume qui s'était fermement apposée contre l'arrogance de son cul bombé pour la maintenir en place afin de lui éviter le sur-accident. Les doigts firent jouer la pulpe grasse du séant sous la robe, se refermant pour emprisonner un des hémisphères dans un écrin palpateur qui ne se priva pas pour marquer son territoire. De quoi outrer les pisseuses et allumer les envies des autres ; un homme tel que le Buffle savait assurément comme s'occuper d'un cul à la délicieuse étroitesse.

- Vous confessez donc bel et bien avoir eu le nez dans les affaires de votre porcelet de défunt mari, fit-il sur un ton toujours égal. Vous pourriez mettre votre talent dans l'intérêt des miennes, convenez en. Je vous laisse imaginer la scène, tous ces hommes préalablement vidés dans vos entrailles signant un contrat avec l'associé qui laboure ce fameux petit fion contre le bureau autour duquel ils sont sagement agglutinés. Nous aurions à y gagner tous deux.

Il lui laissa l'opportunité de glisser hors de son étreinte, relâchant même la fesse que ses doigts molestaient tranquillement au fil de ses mots. La discussion et le contact avaient contribué à développer son érection, faisant se tendre son pantalon sans que sa taille d'excitation réelle soit tout à fait acquise encore.
Puis, alors que Cata retournait à son siège, la main de Jûzô lui attrapa le poignet pour la rabattre sèchement sur lui. Et la jeune femme se retrouva alors assise sur lui, le cul roulant contre le tube palpitant qu'elle avait depuis longtemps avisé. Le volume abusif la rendait très présente et les cahots de la route contribuaient à faire rouler la queue sous elle, pour leur plaisir à tous les deux.

- La meilleure garantie, c'est précisément le fait que vous n'ayez encore rien avalé.

Sa main large s'était d'abord déposée sur son ventre pour la maintenir, mais le chemin vers le pudique décolleté de sa robe de soirée fut rapide à accomplir. Quand les doigts de Jûzô en saisirent les rebords tout en caressant la naissance des deux seins, il ne fallut que le temps d'un souffle pour que le craquement du tissu ne retentisse. Le colosse balafré venait de déchirer le fourreau scintillant avec assez de largeur pour que les formes généreuses puissent menacer de jaillir à l'orée de tout mouvement. Bien que cela lui aurait à présent facile, le boss ne vient attraper aucun des deux jouets sautillants et porta plutôt ses mains sur les voiles tissés qui conservaient intacte la pudeur sensuelle de Catalina. Cela ne dura plus, puisqu'un nouveau déchirement se fit entendre dans le confortable habitacle.

- Que je suis maladroit.

Il empoigna un des seins avec une telle fermeté qu'il parut vouloir le faire éclater dans sa paume. L'autre main, elle, se faufila entre les cuisses de Catalina pour les écarter largement d'un mouvement impérieux alors que sa bouche venant se loger à l'oreille de la belle comme la langue d'un serpent persiflant.

- Nous voilà arrivés au moment où votre survie et la tranquillité de votre veuvage vont se décider en partie sur ce que vous pouvez avaler. Remettez vous un peu de rouge à lèvres ; nous allons littéralement mesurer vos talents...

6
Les alentours de la ville / Re : The Swallow Saga [Jûzô <3]
« le: dimanche 18 février 2018, 18:29:23 »
Jûzô continuait d'observer Catalina, mais l'intensité de son regard était différente. Si le désir brut qui allait systématiquement de paire avec une pine turgescente s'y lisait toujours, c'était l'amusement qui avait prit le pas. Comme un chat (un très, très gros chat) qui jouait avec sa proie avant de lui donner le coup de grâce, le colosse lisait les attitudes de Catalina pour prendre la mesure des révélations qu'il lui infligeait de plein fouet. Force était de reconnaître qu'elle connaissait son affaire : bien que sûrement déstabilisée, la gaijin conservait de sa superbe et de l'assurance des jolies femmes qui connaissent leur pouvoir de séduction et les meilleurs moyens d'en tirer partie. Elle vacillait à peine face à lui, se composant une illusion qui tenait bon. Une force morale des plus remarquables, qui s'effritait sérieusement pour peu que le Buffle titille chez elle de bas appétits. Le regard glissé sur la forme oblongue de sa queue prisonnière, par exemple. Ou les œillades glissées sur son corps discrètement tandis qu'il échangeait les banalités de façade avec la complice Chize.
Ses recherches avaient dégagé la personnalité d'une femme à la nymphomanie assumée ; Jûzô constatait que c'était tout aussi vrai qu'on pouvait se plaire à l'imaginer. Restait à savoir si elle en jouait comme d'un as gardé dans sa manche face à des mâles libidineux, ou si au contraire il s'agissait de la faille la plus exploitable de son jeu.

Alors qu'il entamait la réponse à son intention, le Buffle à la face striée fut d'avis de la tester et commença cela par un mouvement pour récupérer une assise confortable qui s'arrangea pour coincer davantage la large et imposante centimétrique phallique contre le tissu, de façon à davantage sculpter. Un peu facile certes, mais flatteur et efficace dans le registre abordé.

- La plus évidente serait une contrepartie financière. Non pas sous la forme d'un pot-de-vin, mais plutôt d'investissements pondérés. Assécher la source où la laisser sans revenus serait idiot, n'est-ce pas ? Je préfère parler de partenariat plutôt que d'extorsion de fonds. Pour peu que l'assassin soit la femme qu'on prétend, de plus, nous trouverions une façon des plus stimulante de signer un accord. Il but à son tour, comme pour l'assurer que c'était sans danger. En cas de refus, et bien. Vous êtes bien assez imaginative pour avoir une idée, n'est-ce pas ? Toutefois, je considère avoir une dette. Je me contenterai d'une balle dans la tête. Il se pencha légèrement, un sourire malicieux sur les lèvres. Après une longue, longue période de chasteté et de frustration.

Menacer une femme pareille du sort habituel -les viols en chaîne et autres commodités obscènes du cru- ne paraissait pas à l'oyabun très pertinent. Elle aurait été capable d'en retirer du plaisir, voire d'en amadouer ses tortionnaires. Plus judicieux était le choix tout à fait contraire : la priver de ces plaisirs sordides et en finir rapidement. Jûzô aurait trouvé cela regrettable que de transformer Catalina en tas de viande froide amenée à se faire bouffer par les vers, surtout après le temps passé à réunir les informations sur elle. C'était Chize qui l'avait reconnue tout à fait par hasard, elle qui avait fréquenté Kuze avec l'oyabun précédent du clan, son défunt mari à qui avait succédé Jûzô à la tête du clan. Se fiant à l'intuition de sa femme, le Buffle avait mené de longues recherches qui avaient fini par payer. La gaijin-trophée de ce gros porc de Shimada lui tombait dans la main.

- La cruauté, n'était-ce pas cette orgie à laquelle vous avez participé dans son bureau ? Je crois savoir que Shimada a signé de juteux contrats ce soir là, en vous troussant comme une pétasse ordinaire. Le porcelet était possessif, aussi vous a-t-il baisée rapidement en refusant de vous prêter à la compagnie qui s'ébattait avec les putes sous coke. Pourtant, ç'aurait été la moindre des choses. Non, miss Taylor, je ne suis pas cruel. Moi, je vous aurai bourrée jusqu'à ce que vous boitiez, puis jetée dans la fosse pour vous féliciter de votre participation à mes affaires professionnelles.

Le colosse se redressa contre le dossier de cuir noir de l'agréable banquette qui faisait face à celle de Catalina, déployant ainsi à son attention toute la largeur de son buste dont les muscles roulèrent joliment sous la chemise fine. Ses lèvres absorbèrent le reste de son whisky d'un trait goulu, puis il reposa le verre en déboutonnant un bouton supplémentaire, ouvrant un peu plus sur les dessins de ses pectoraux.

- Il fut un temps où j'aurai opiné très volontiers à vos propos. Mais, voyez vous, mon mariage m'a apprit que les femmes étaient très à-même de tirer parti des affaires qui leur passent sous le nez. Certaines forces ne doivent jamais être négligées. Vous êtes beaucoup trop maligne pour être prise à la légère et votre attitude présente me conforte dans mon idée.

Revenant au mini-bar, ses mains s'activèrent tranquillement dans une boite de noyer pour libérer un impressionnant cigare qui correspondait bien au gabarit du personnage. Jûzô coupa la queue, porta le cubain à ses lèvres avant de craquer une allumette pour enflammer l'extrémité et bientôt l'odeur âcre se mit à envahir l'habitacle.

- Alors dites moi, miss Taylor. Que dois-je faire de cet assassin, selon vous ? Votre avis m'intéresse beaucoup. Vous êtes directement concernée, puisque c'est grâce à lui que vous êtes veuve et libre de vous retrouver à me sucer pour me vider jusqu'à ce que j'en ai mal aux burnes.

Tirant sur le cigare, Jûzô ouvrit un peu plus l'arc de ses cuisses massives comme pour conforter sa position de pacha sur son trône, de mâle conquérant.
Ou pour lancer un appât à la veuve éplorée qu'il scrutait avec attention.
Elle jugerait.

7
Les alentours de la ville / Re : The Swallow Saga [Jûzô <3]
« le: dimanche 18 février 2018, 16:37:38 »
- Nous nous reverrons certainement, convint Chize dans un de ces sourires aimables qu'elle affectionnait. Nos intérêts mutuels semblent converger.

Le regard qu'elle fit passer de Catalina à Jûzô à cet instant était-il intentionnel ? Sûrement. Chize était bien trop futée pour ne pas mesurer ce genre d'attitude et ses implications. La Buffle se contenta de sourire au même moment, ses yeux abandonnant le corps de la caucasienne le temps d'hocher la tête pour sa femme.
La limousine marqua un arrêt après moins de dix rapides minutes, s'arrêtant devant les murs blancs et joliment tuilés de la palissade qui cernait le domaine de la famille Tetsuzaemon. Le grand portail de bois était protégé par deux hommes, dont l'un vint ouvrir la portière à l'attention de Chize avant de lui proposer sa main pour l'aider à descendre de la voiture. La nippone apposa une rapide caresse sur les doigts de son époux en guise de salutations puis, une fois sur le trottoir, inclina légèrement le buste pour Catalina. Elle fouilla ensuite sa pochette, tendant à la brunette une carte de visite très simple (un fond blanc et une jolie esquisse à l'aquarelle d'une branche de cerisier) dont le verso supportait ses coordonnées à l'encre noire.

- Peut-être pourrions nous, un jour, aller faire quelques achats ? Les femmes de goût sont rares et je suis persuadée que votre compagnie s'avérera tout à fait enrichissante. Mais je ne vous retiens pas plus longtemps. Bonne soirée, madame.

La portière se referma sur un ultime sourire et la limo se mit doucement en branle, quittant les parages de la villa alors que Jûzô déposait son regard sur Catalina. Sans gêne, comme nombre de mâles, il se repaissait de la vision du corps séducteur de l'européenne, remontant de ses jambes à la courbure pleine et charnelle de ses seins. Le vérin qui gisait dans son pantalon de costard frétillant d'une première gorgée d'excitation, attirant l’œil sur la forme cylindrique massive qui courait sous les plis du tissu. Un monstre qui dormait encore, malgré tout.
Jûzô se pencha légèrement, prenant dans le mini-bar le verre qu'il avait préparé pendant le trajet, l'adressant à Catalina. Dans le whisky baignaient deux glaçons, qui tintaient doucement au gré des mouvements de la voiture.

- Trinquez avec moi, miss Taylor. Il avança son verre. A moins que cela ne soit encore officiellement Shimada ? Vous m'en voyez navré, mais je perds le fil.

Shimada. Il n'y avait qu'à voir le regard que le Buffle avait planté dans les yeux de Catalina pour saisir que l'homme avait choisi le patronyme en toute connaissance de cause. En évoquant l'un des derniers époux en date de la fameuse veuve noire, Jûzô mettait les choses en ordre de marche. Qu'elle sache que son vis-à-vis n'ignorait pas qui se cachait derrière la façade mondaine qui présentait si bien dans sa robe de soirée. Néanmoins, cela ne sonnait étrangement pas pour autant comme une menace voilée.
Jûzô s'accorda une gorgée de son propre verre, puis continua.

- L’assassin de ce pauvre Kuze n'a jamais été retrouvé, paraît-il. C'est regrettable ; quelques familles auraient voulu le féliciter pour son geste. Au Japon comme ailleurs, les balances n'ont pas bonne presse. Bon, il est également vrai que d'autres familles voudraient tout de même laver l'affront. Les clans, même rivaux, suivent des préceptes très stricts et la vengeance dans le sang en est un. Nous autres sommes rancuniers, savez vous ? Même après ces cinq années, selon la personne qui mettrait la main sur le meurtrier, cela pourrait finir sur un formidable gâchis.

C'était un jeu de dupes, ni plus ni moins. Les menaces étaient très claires maintenant et les voiles déposés sur le passé de Cata (du moins cet épisode là) étaient largement déchirés. Libre à elle de nier, bien sûr : quelle preuve pouvait apporter Jûzô ? Toutefois, il était certainement homme à savoir arracher la vérité sans trop de mal. Et sûrement y prendrait-il autant de plaisir qu'à épingler la belle gaijin sur le bout épais de sa queue de mastard. A la jeune femme, donc, de choisir l'orientation des événements.

- Il se trouve que je suis en mesure de protéger cet assassin. En faisant tomber Kuze, il a aidé les affaires de mon clan. Ce n'était bien sûr pas volontaire de sa part, mais je suis un opportuniste, miss Taylor : je compte bien retirer quelques compensations très concrètes de cet élan de bonté. Les bonnes alliances, surtout quand elles se concluent avec un vagin à fourrer, sont toujours bienvenues. Mais peut-être avez vous quelque chose à dire ou à proposer ? Chize dit de vous que vous avez autant de malice que de conversation. Faites moi profiter des talents de votre bouche, que j'en juge.

8
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 13:21:57 »
@ Koya : la fin est sympa, les derniers combats envoyant du pâté !

@ Lulu : Faut que je pense à m'étendre, t'es marrante !

13h21

9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 13:16:30 »
Manque de succès au Japon, je crois.
A noter (tu le sais sûrement déjà, m'enfin) que si la fin n'a pas été éditée elle existe en scan. Et il y a même eu une suite (que j'ai pas lu) narrant les aventures du fils d'Hana et Yoh :D

13h19

10
Blabla / Re : Re : Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 13:07:14 »
Et hop, c'est parti pour la domination criminelle de la ville  8)
On commence par Cata, mais hé, faut bien commencer par dominer quelqu'un !

11h58

<3

13h00

La domination passera aussi par le quartier des putes <3

@ Koya : ouais, pour trouver l'origine de son manque de croissance il me semble <3

13h07

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 12:52:54 »
Oui, et il est bien barré.
Et il a Elizaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !

12h52

12
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 12:48:36 »
Dans le genre source de motivation...  ;D

12h48

13
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 12:35:48 »
Faust > All
Je vois même pas comment il pourrait y avoir discussion (et pourquoi on en fait pas un personnage rp *-*)

12h35

14
Archives publiques / Re : Sondage sur le statut des Terranides
« le: dimanche 18 février 2018, 12:34:47 »
Je suis pour un maintien du statut, parce que c'est comme ça è_é

Plus sérieusement, les laisser ainsi leur laisserait, plus tard, la possibilité d'une révolution ou tout mouvement pouvant changer irp leur situation par le jeu, comme le propose le cornu du dessus. Autrement plus intéressant je pense qu'une réforme hrp !

Mais laisser des exceptions, justement pour que les choses puissent bouger. Si les terranides sont validés en esclaves enchaînés en mode ferme ta gueule, je ne vois pas l'intérêt.

15
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 18 février 2018, 11:58:22 »
Et hop, c'est parti pour la domination criminelle de la ville  8)
On commence par Cata, mais hé, faut bien commencer par dominer quelqu'un !

11h58

Pages: [1] 2