L’elfe se dévoilà complètement cette fois, rougissait, alors, nue, sans raison ni manière de se cacher. Son sexe glabre, qui semblait si mince… ses hanches, son cul, ses seins si lourds, presque disproportionnés pour sa silhouette… un corps de putain, oui, en effet. Ça lui alait bien mieux, et elle le comprendrait bien à un moment ou à un autre… enfin bon, d’ici là, il allait falloir l’éduquer. La former. La déformer.
Elle s’assit sur le lit, prenant par cela même quelques petites aises que le géant ne lui lui reprochait pas pour cette fois, elle apprendrait à ne pas trop s’installer comme chez elle tôt ou tard… et sans doute plus tôt que plus tard.
Mais ça y était, elle était face au loup, à la monstruosité à l’échelle elfique ou même humaine, qui allait devoir se frayer un passage dans son corps. Et devanyt ses réactions gface à cela, Soliès ricana. Allait-elle mourir ?
« Peut-être, oui, mais sache que tu ne seras pas morte sans raison alors. »
L’idée l’amusait. Il doutait de la tuer avec un coup de boutoir, quoique…
Pourtant elle ne s’arrêta pas là, venant continuer à admirer la largie et longue verge lourde qu’elle allait devoir apprendre à choyer… elle se cambrait et il voyait les tétons se dresser, arrogants… il ‘approcha ses mains et les pinça, tirant un peu dessus alors. Elle était offerte, et alors, il lui signifia les premiers ordres.
« Bien, Princesse Putain, cajole donc l’outil de ta mort… »
Ça allait sans doute rester, cette idée de la tuer à coup de braquemart. Je venais saisir ses mains pour les poser sur l’objet de plaisir palpitant presque d’impatience de déchirer ce délicieux petit corps à la fois frêle et voluptueux. Elle avait le corps fait pour ça, alors que serait-il du reste ?