Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Euh... tu fous quoi ici ? [FINI]

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Calliope Tick

Humain(e)

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 15 mardi 12 août 2014, 18:53:12

« Ouep, il va falloir trouver à qui ça appartient… et les lui rendre alors… mais où… ça j'en sais foutrement rien… bon, il faut juste espérer que tout ne se passe pas trop mal et que ça ne tarde pas trop… ne serait-ce que parce que ça pourrait vraiment mal finir… suffit que ce mec appartienne à la mafia et on va le sentir passer... »

Une grimace se logea sur les traits de Calliope, tandis qu'elle écoutait attentivement Gabriel, les yeux fixés sur l'alliance qui encerclait son doigt. Elle était vraiment magnifique. Mais c'était le symbole de ce qu'elle représentait qui effrayait Calliope. Elle avait toujours voulu être aimé sincèrement par quelqu'un. Mais le mariage... Elle avait vu trop de couples divorcer pour y croire vraiment. Elle ne pensait pas qu'elle le ferait un jour. Et encore moins un soir de beuverie.

« Bon, le bon côté des choses, c'est qu'au moins, maintenant, avec ton nom, je ne verrai plus une canne aux cheveux noirs, et sorcière par dessus le marché… et ça m'arrange, car je pourrai garder mon sou fétiche… et puis, Calliope Valmy.. ça sonne pas si mal... »

Un petit rire lui échappa, et elle leva les yeux vers l'homme. Un sourire en coin subsista sur ses lèvres, tandis qu'elle laissait sa main retomber le long de son corps. Mais bien vite, la gravité de la situation reprit ses droits. Gabriel fit un résumé de leur situation, et de ce qu'ils savaient.

« Bon, récapitulons un peu la nuit. D'abord, on a commencé à l'intérieur et ensuite ici même. Après ça, on a, à un moment trouvé le temps de faucher des alliances à un mec riche et foutrement psychopathe, ensuite on s'est mariés, et enfin on s'est retrouvé chez moi après la meilleure baise de notre vie… bon, j'en conclue que si on a salopé ma moto c'est que c'est ce qu'on a utilisé pour se déplacer. Non ? Donc logiquement... »

Elle hocha la tête, ayant du mal à voir où il voulait en venir. Son regard se fit interrogateur, tandis qu'il prenait son téléphone.

« Putain mais je suis un trou du cul parfois…. Prends de quoi noter, chérie ! »

Elle sortit le sien, et pianota rapidement pour trouver son application bloc note. Elle nota consciencieusement les adresses qu'il lui dicta, et leva ensuite les yeux.

« Bon, la suite maintenant, qu'est-ce qu'on a foutu à chaque adresse et laquelle est la bonne, si on a pas changé de véhicule entre temps bien sur... »

Elle relu brièvement les adresses, et constata que la première n'était pas très loin d'ici. A quelques pâtés de maison seulement.

« On va commencer par le commencement alors. Le premier lieu où on s'est arrêté, c'est tout près. Je crois me souvenir qu'il y a quelques commerces là-bas, qui sont ouvert la nuit. Des épiceries, une bijouterie, un bar... Il y a aussi une putain de baraque à l'américaine. Le genre qu'on trouvait au temps des plantations. »

Elle réfléchissait à haute voix.

« Mais il me semble que les rumeurs disent que c'est des mafieux qui tiennent le quartier. Des Yakuzas, ou un truc comme ça. A moins que ce ne soit les Russes. Je ne sais plus. Enfin, des gens pas très recommandables en tout cas. »

Elle se dirigea alors vers la moto, non loin, et se posa légèrement contre le splendide véhicule.

« On y va, chéri ? »

Un petit sourire aguicheur accrochait ses lèvres. Calliope tentait de refouler la panique quo l'avait gagnée, et quoi de mieux pour cela que de flirter gentiment ? Surtout qu'en plus, ils étaient mariés. Légalement, il faut croire.

D'ailleurs, elle se souvint qu'un papier traînait au fond de sa sacoche, plié en quatre. Fébrile, elle fouilla rapidement et trouva le papier qui l'intriguait. Elle le déplia, et se figea soudain. C'était un certificat de mariage provisoire. Au dos, il y avait une inscription, au marqueur noir. Une adresse. Le premier lieu où ils s'étaient arrêtés. Et un mot. 13h. Sans faute."

Un flash lui revint alors. Elle se souvint d'une course poursuite. Une main attrapant sa sacoche alors qu'elle était agrippée à Gabriel sur la moto. Puis, plus tard, alors qu'ils étaient arrêtés, une bagarre. Elle se souvint de la douleur des coups dans ses tibias. Puis elle se revit, agrippant le papier que l'un des individus au visage flous avait volé un peu plus tôt. Il ne semblait pas résister, et les agresseurs s'étaient enfuis.

Relevant la tête, les mains tremblantes, elle souffla d'une voix blanche :

« Je sais l'heure du rendez-vous. Et le lieu. C'est la première adresse. Je me souviens... On s'est battus. Ils nous ont poursuivit. C'était sans doute après le... Le mariage. J'ai réussi à récupérer ça. A moins qu'ils ne m'aient volontairement laissés le prendre. Oui... Je pense que c'était à dessein en fait. Il faut que nou- »

Un coup de feu l'interrompit. La balle explosa le coin du mur non loin d'eux.

« Merde. Montes. On y va. »

Direction la première adresse. Le plus vite possible. Les balles continuaient de pleuvoir, se rapprochant petit à petit de la moto. Sans jamais la toucher, ou sans jamais les blesser. Une mise en garde ? Un avertissement ? C'était pour leur dire de se dépêcher ? Sans doute. Il était une heure moins le quart.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 16 lundi 25 août 2014, 15:00:06

Elle tapait juste niveau réflexion le plus proche était sans doute le premuier, surtout que ça coïncidait niveau horaire… et ils n'avaient pas trop le choix, il fallait tenter ou bien… non, en fait, il ne voulait pas y penser pour le moment, non pas qu'il ne soit pas courageux, mais ils avaient assez d'ennuis comme ça pour le moment, non ?

Il soupira… la mafia…. Et des Yaks en plus… bordel de merde, voilà bien quelque chose dont il se serait passé, non pas qu'il n'apprécie pas leur compagnie, fut un temps il était de leurs alliés, quand il était encore un biker, même si elle avait cessé, cette vie lui restait en travers de l'âme, au travers de petites caractéristiques, comme le fait qu'il préférerait crever que de monter dans une bagnole ! Même un corbillard, il n'en voudrait pas… quant aux russes, eux par contre, il n'avait jamais été bien pote avec….

Il s'approcha de la bécane avec lenteur, en tenant la jeune femme part la taille, ou plutôt par les miches, puisque c'était sur les siennes qu'il avait posé sa main, d'un geste quelque peu possessif, il fallait bien l'avouer. Il l'écouta alors qu'elle lui révélait ce que contenaiut le petit papelard…

« Putain !  On a un quart d'heure ! »

 Il se jeta sur la moto alors que le premier coup de feu retentissait et que la recommandation de la jeune femme ne seravit pas à grand-chose : il l'avait bien compris tout seul, donc les portes ouvertes étaient bien inutile !  Il sauta en selle et attendit de sentir la jeune femme dans son dos avant de démarrer avec entrain, faisant se lever la roue avant de son deux-roues qui pétarada avaec unhe énergie comme il en avait rarement vue…

Il ne fallait pas un quart d'heure mais à peine cinq minutes à la vitesse à laquelle il roula, sans la moindre halte, sans jamais réalentir, plus dangereusement qu'il n'en avait l'habitude, et pourtant il était un vrai casse-cou au quotidien… ilo arrêta la moto dans un grand dérapage qui manqua de peu de les éjecter tous les deux. Cette fois-ci, il n'avait pas fait attention aux délicieuses sensations du premier trajet particulièrement intéressante…

La moto ayant fait un bruit bizarre il ne put s'empêcher d'y jeter un rapide coup d’œil pour constater que le pot d'échappement était tordu et troué, il avait deux jolis trous… il regarda la jeune femme et  jura en donnant un coup de pied dans une pierre avant de  se diriger, arme à la main, tenant dans l'autre l'une de celles de la jeune femme et il se dirigea vers la baraque assez cossue, à l'américaine, sans doute assez ancienne, datant au moins de la guerre… il  n'y jeta qu'un bref coup d’œil, se disant que ça lui semblait familier, mais sans plus… il avait dû sacrément plus charger qu'elle pour avoir la mémoire qui revenait beaucoup moins bien…

« Bon, ben, quand faut y aller, faut y aller, hein... »

Il toqua à la porte avec la crosse de son arme avant de finalement attendre, il ne fallut que quelques instants pour que finalement, on vienne leur ouvrir. La personen n'était pas japonaise, ne serait-ce qu'à cause de sa stature, bien trop imposante, toute en muscle.

«  Brava vous attendre dans le salon…. »

Il n'en dit pas plus, mais il s'écarta pour finalement les faire entrer dans le vestibule ou plusieurs personnes étaient là, armes en main… et l'un d'eux, dans un japonais bien meilleur que son homologue, leur fit comprendre une chose :  ils allaient être fouillés. Gabriel posa son arme et non sans un grommellement écarta les bras pour qu'on le fouille, les mains étaient un peu trop baladeuses à son goût, et quelques commentèrent semblèrent assez gras à son oreille avant de finalement le laisser tranquille pour s'approcher de Calliope… grommelant, Gabriel ne put s'empêcher de lancer :

« Frappe les couilles si ça se ballade  uun peu trop, ça fera rire les autres et personne t'en voudra, sauf celui qui se tordra au sol... »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 17 mardi 09 septembre 2014, 15:55:10

« Putain !  On a un quart d'heure ! »

Le temps pressait, en effet. La rousse enfourcha également le véhicule, venant entourer la taille du policier de ses bras, et s'accrochant au réservoir, comme elle le pouvait. Elle tint bon lorsque la moto se leva, comme un cheval qui se cabrait, et nicha son visage dans l'épaule du blond, se protégeant du vent.

Le trajet fut relativement rapide. Et c'est un euphémisme, en fait. Cinq minutes plus tard, à peine, ils étaient arrivés devant le lieu de rendez-vous. La maison évoquait des souvenirs à Calliope, mais c'était flou, et dès qu'elle s'y attardait un peu trop, les images s'éloignaient, et elle oubliait.

Heureusement qu'elle s'était bien accrochée, et à Gabriel, et à la moto, car le dérapage qu'il effectua pour les arrêter était violent. Pour un peu, ils étaient presque par terre, le cul sur le sol, comme des cons. Mais non, la maîtrise de l'homme les sauva de cette image peu flatteuse.

Elle descendit de la bécane, observant le policier qui checkait l'état de la moto. Elle grimaça en voyant, au même instant, l'état du pot d'échappement. Les tireurs n'avaient pas fait que tirer à côté en fin de compte. Mordillant sa lèvre inférieur, comprenant la fureur de Gabriel en voyant ce dégât, Calliope finit par prendre sa main alors qu'ils avançaient vers l'entrée.

« Bon, ben, quand faut y aller, faut y aller, hein... »

Il toqua, avec son arme. Le couple n'eut pas à attendre longtemps. La porte s'ouvrit et, immédiatement, une sorte de majordome tout en muscle leur fit signe d'entrée, grognant quelques mots d'un air peu amène.

« Brava vous attendre dans le salon… »

Entrant à la suite de Gabriel, Calliope observa autour d'elle, un peu impressionnée malgré son air bravache. Plusieurs molosses dudit Brava les attendaient, et ils étaient tous surarmés. Une fouille corporelle les attendaient, à n'en pas douter.

Quelques instants après, la rousse sut qu'elle avait visé juste. Elle observa les hommes fouiller Gabriel, qui n'était d'ailleurs pas très à l'aise. Ou pas très content, en fait. Il n'aimait sûrement pas être désarmé. Quand la fouille, agrémentées de petits commentaires pas très sympathiques, fut terminée, les hommes se tournèrent vers l'irlandaise. Elle leva les yeux au ciel, affichant un air blasé.

« Frappe les couilles si ça se ballade un peu trop, ça fera rire les autres et personne t'en voudra, sauf celui qui se tordra au sol... »

La remarque du blond la détendit, et elle rit doucement.

« Je n'hésiterais pas. »

Elle écarta les bras à son tour, et légèrement les jambes pour bien se camper au sol. La fouille commença de façon soft. On palpa ses bras, sa taille, ses jambes, et son dos. Mais au lieu de s'arrêter là, voyant qu'elle ne cachait rien sous sa robe légère, les mains se firent plus baladeuses. L'un d'eux prit ses seins en coupe, alors qu'un autre, venu par l'arrière, glissait ses mains plus haut que la cuisse, sous la jupe de la robe.

D'un coup de talon bien placé, Calliope calma les ardeurs de celui qui était derrière. Plié en deux, il la laissa tranquille, grognant de douleur. Pour celui de devant, la rousse esquissa un sourire mauvais et, d'une main de fer, "mit la main au paquet", pour parler vulgairement. Elle serra ses doigts, sifflant en anglais, entre ses dents serrées :

« Ôtes tes sales pattes de là, espèce de chien. Ou bien tu vas finir eunuque. »

Elle serra assez fort pour qu'il laisse ses mains quitter sa poitrine, et elle le repoussa rudement. Satisfaite, elle rejoignit Gabriel d'un pas léger.

« Et maintenant ? Vous voyez bien qu'on a pas d'armes. On peut le voir, ce Brava ? »

Elle faisait la fière, comme ça. Mais elle n'en menait pas large. Sa main se glissa dans celle de Gabriel, cherchant un infime réconfort par ce geste.

« Hm. Par ici. »

On leur fit signe d'avancer, et une porte s'ouvrit sur le salon. Poussée dans le dos, Calliope y pénétra la première, suivie par Gabriel dont elle tenait toujours la main.

« Et bien, que vois-je... Ne serait-ce pas nos deux petits amoureux ? »

D'un air de défi, Calliope dévisagea l'homme qui se dressait face à eux.

« Brava, je suppose ? »

L'homme était un grand colosse, habillé avec la plus grande classe. Un mafieux, à n'en pas douter. Italien, d'après son accent. Le regard de la rousse fut attiré par les multiples bagues et chevalières qui ornaient ses doigts. Nul doute que, s'il décidait de coller sa main dans la gueule de quelqu'un, ce quelqu'un en ressentirait durement les effets.

« C'est exact, rouquine. Mais, asseyez-vous. Prenez un verre. On ne va pas rester à se regarder comme des chiens de faïence, n'est-ce pas ? »

Il fit un large geste du bras, désignant un canapé en face du fauteuil où il était assis précédemment, séparé uniquement par une table basse en verre. Méfiante, Calliope avança d'un pas lent, et posa à peine le bout de ses fesses sur le canapé de cuir blanc, restant sur ses gardes. D'un geste de la main, Brava ordonna à l'un de ses hommes de sortir trois verres, une bouteille, et de servir les verres, puis de les laisser seuls. L'homme, celui dont Calliope avait tenu l'appareil reproducteur entre ses doigts, hésita. Il ne faisait pas confiance au coupe. Mais le regard plein de promesses de châtiments terrifiants de Brava le convainquit de passer outre ses soupçons, et de s'exécuter.

Quand ils furent enfin seuls, Brava revint s'asseoir.

« Buvez, buvez. Ce n'est pas empoisonné. Nous sommes entre honnêtes gens, n'est-ce pas ? Tant que vous avez ce que je veux, vous n'aurez rien de mal... »

Mal à l'aise, Calliope tritura l'alliance à son doigt.

« Pouvez-vous nous dire, avant toute chose, pourquoi ces anneaux sont-ils à ce point précieux, à vos yeux ? »

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 18 mardi 09 septembre 2014, 17:23:16

Gabriel regarda la fouille au corps de Calliope, non sans une certaine dose d'envie… il aurait bien aimé la fouiller au corps… quoiqu'il l'avait fait, en profondeur et probablement de toutes les manière imaginables… sans pour autant qu'il y ait eu des réminiscence forte, mais il se rappelait de certaines scènes… et quand il vit la jeune femme bousiller les noix du mec manu militari, il ne put ressentir comme un effet de déjà vui… à croire qu'elle avait déjà subie une fouille comme ça et que l'insistance des doigts sur la jeune femme était une douce vengeance… il était de l'avis de Gabriel que jamais il ne voulait les avoir serres comme ça entre les doigts de la jolie rousse… il en eut même mal pour le type, malgré toute l'antipathie qu'il lui inspirait…

Gabriel, sentant la main de la jeune femme, légèrement tremblante, agripper  la sienne. Il la serra doucement avant de lui donner un baiser sur la joue. Très doux, comme un encouragement. IL ne murmura pas, néanmoins que l'idée de la fouiller au corps ici et maintenant l'avait effleuré et lui avait carrément foutu la gaule… non, ça c'était pas la peine et puis, si elle n'en menait pas large, il n'était pas convaincu que ce soit le meilleur moyen de lui remonter le moral, d'autant que la seule chose remontable par ces idées était chez-lui…

Il entraîna doucement Calliope à sa suite alors qu'on les emmenait vers ledit salon… salon assez proche puisqu'ils étaient dans la pièce attenante. Il s'y stoppa comme si il attendit un danger, mais fut poussé en même temps que sa rousse (oui, la sienne!). Il regarda l'homme, le mafieux par excellence, costume trois pièce sur mesure et de marque même si le noir ne cachait pas vraiment un peu de sang sur sa manche, séché depuis quelques heures…

UN nom lui revint en tête : Andrej Vatlov, dit « Brava ». il se souvenait un peu de la nuit précédente… quelques images, quelques mots prononcés, notamment sur une question de prêt de copine contre un cadeau pour les deux… ouais, c'était vague… trop vague sans doute pour lui donner la nature exxact dede la situation… aussi, préféra-t-il ne pas trop fanaronner alors qu'il les invitait à boire un coup, s'asseyant avec eux. Dans un canapé en face. Gabriel était à côté de Calliope et qu'il demanda à récupérer son bien, Gabriel, un peu par instinct, saisit Calliope pour la prendre sur ses genoux et entoura sa taille mince et élégante de ses bras, comme pour la protéger.

La question de Calliope n'avait pas pour autant passé inaperçu car le Russe était apparemment fortement intéressé par ces deux anneaux… Lui même l'était, mais il n'en pipa mot, se contentant de repérer l'emplacement de tous les protagonistes en présence d'un rapide coup d'oeil. Il attendait néanmoins des explications…

...qui ne vinrent pas. En effet, lesdites explications ne furent qu'un sourire un peu mystérieux de leur hôte… mais qui n'avait rien d'engageant, en effet, il y avait comme une menace sous-jacente alors qu'il prenait un petit verre de vin qu'il but cul sec comme n'importe quel faux amateur. IL leva les yeux aux ciel et haussa les épaules. Et finalement, il prit la parole.

« Allons, allons, nous avions un accord, contre mon petit service, je vous offrait ce que vous vouliez dans ma collection… et ceci n'était pas dans ma collection, c'est tout ce que vous aviez à savoir… et comme vous avez quand même rempli ce service pour moi, je tenais à remettre les choses à plat… si vous n'aviez pas accepté, j'aurai été contraint de faire de vous des exemples. Je respecte toujours mes promesses. »

Il sourit, comme amus, mais c'était un sourire carnassier, de prédateur, d'ailleurs, à la manière dot il se tenait, on sentait poindre l'ancien militaire… ce qui n'engageait rien de bon, mais qu'importe. Il se leva et s'approcha d'une commode qu'il ouvrit pour en sortir deux petits sacs. UN en plastique et un autre en carton. IL les approcha et les déposa respectivement devant Calliope et devant Gabriel.

« Comme vous l'avez constaté, j'ai du vous rappeler à l'ordre, aussi, pour ue j'oublie ce qui s'et passé, vous allez me rendre le même petit service qu'hier… elle trouvera ce que je veux livrer dans le petit sac, même procédure qu'hier. Et en échange, parce que je suis généreux, voilà des alliances pour remplacer les deux que vous avez... »

Gabriel prit sa propre alliance et la lui jeta au visage avant de faire pareille avec celle de la jolie rousse.

« Pas de services, vous avez ce que vous voulez. On est quitte…. »

Le mafieux eut un léger rire.

« Après le mal que j'ai eu à vous capturez, n'espérez même pas repartir vivant si vous ne faites pas ce que je vous dit. J'ai mis la main sur certaines personnes qui vous feraient changer d'avis… comme votre père, monsieur Valmy... »

Gabriel ne pâlits qu'un instant avant de rire.

« Ben voyons, allez-y !  Tuez le !  Ert je peux même vous aider !  Je me fous de ce connard alcoolique ! »

Mais ça le faisait chier quand même.

« Allons, il ne s'agit que d'escorter votre copine comme hier soir et déposer de la même manière le petit paquet dissimulé. Vous savez très bien, tout comme moi, que tout ce qui sort d'ici est surveillé... »

Gabriel ouvrit le sac plastique. IL y avait dedans une série de petis sacs platiques ronds remplis d'une poudre blanche. De la drogue sans doute, et chacune était reliée à la suivante par du fil de pêche...

« Allons, monsieur Valmy. Vtre fiancée semblait bien d'accord la nuit derrière, pour que vous les lui enfonciez entre les fesses…. »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 19 mardi 09 septembre 2014, 17:50:37

Rien. La réponse à la question de Calliope ne vint jamais. Non, le mafieux se contenta d'un sourire.

« Allons, allons, nous avions un accord, contre mon petit service, je vous offrais ce que vous vouliez dans ma collection… et ceci n'était pas dans ma collection, c'est tout ce que vous aviez à savoir… et comme vous avez quand même rempli ce service pour moi, je tenais à remettre les choses à plat… si vous n'aviez pas accepté, j'aurai été contraint de faire de vous des exemples. Je respecte toujours mes promesses. »

Même si ça se voulait rassurant, ça sonnait menaçant. En même temps, avec ce type, tout devait sonner menaçant. Calliope, juchée sur les genoux de Gabriel, détourna les yeux, écœurée.

Un mouvement de Brava lui fit relever les yeux. Il se mouvait comme un prédateur, vers une commode. Il n'y avait rien de rassurant en lui. Tout était une alerte au danger. Comme si, au-dessus de sa tête, un panneau clignotant indiquait "Attention, vicieux, lunatique".

« Comme vous l'avez constaté, j'ai du vous rappeler à l'ordre, aussi, pour que j'oublie ce qui s'et passé, vous allez me rendre le même petit service qu'hier… elle trouvera ce que je veux livrer dans le petit sac, même procédure qu'hier. Et en échange, parce que je suis généreux, voilà des alliances pour remplacer les deux que vous avez... »

Soucieuse, Calliope observa le paquet tendu par Brava. Son regard se détourna brièvement, le temps que Gabriel ôte l'alliance qu'elle portait, puis retourna sur le sac tandis que son amant (et époux) refusait tout net de lui rendre ce service.

« Pas de services, vous avez ce que vous voulez. On est quitte… »

La seule réponse de Brava, une fois n'est pas coutume, ce fut un rire.

« Après le mal que j'ai eu à vous capturez, n'espérez même pas repartir vivant si vous ne faites pas ce que je vous dit. J'ai mis la main sur certaines personnes qui vous feraient changer d'avis… comme votre père, monsieur Valmy... »

Inquiète soudain, de nouveau, Calliope serra la main du blond en observant ses traits se durcirent. Il avait considérablement blêmit, mais ça ne l'empêcha pas de rétorquer d'un ton moqueur :

« Ben voyons, allez-y !  Tuez le !  Et je peux même vous aider !  Je me fous de ce connard alcoolique ! »

Un pincement au coeur, Calliope tourna à nouveau le regard vers Brava. Elle sentait que son amant était tendu, et elle se posa un peu plus contre lui.

« Allons, il ne s'agit que d'escorter votre copine comme hier soir et déposer de la même manière le petit paquet dissimulé. Vous savez très bien, tout comme moi, que tout ce qui sort d'ici est surveillé... »

De quoi parlait-il ? Calliope n'avait aucune idée de ce qu'il disait. Rien ne lui revenait en mémoire, pour une fois. C'était le black-out complet. Elle se demandait si Gabriel en savait plus qu'elle.

« Allons, monsieur Valmy. Vôre fiancée semblait bien d'accord la nuit derrière, pour que vous les lui enfonciez entre les fesses… »

Baissant alors les yeux vers le sac, la rousse se raidit et blanchit également. Non. Non, ce n'était pas possible. Ele n'avait pas pu... Pas ça !

« Non... On devait être sacrément blindés, hier soir... Souffla-t-elle à Gabriel. »

Elle leva les yeux vers Brava, l'air vaguement nauséeuse. Elle ne voulait pas rendre ce service ignoble au Russe, mais elle devait malgré tout faire ce qu'elle pouvait pour aider Gabriel. Après tout, même s'il semblait détester son père, c'était quand même sa famille qui était prise en otage par le mafieux.

« A vrai dire, la nuit dernière possède quelques éléments flous. Si vous nous redonniez l'adresse... Demanda-t-elle d'une voix blanche, serrant la main du policier. »

Elle esquissa un petit sourire qui se voulait d'excuse, mais en réalité, elle ne parvenait à masquer le dégoût de la chose.

« De quel.. Hm.. Délai, disposons-nous ? »

Et si vous pouviez nous laisser seuls, le temps qu'on s'exécute... Pensa-t-elle, in petto.

Elle n'aimait pas l'idée qu'elle s'était montrée nue, sans doute, en train de laisser Gabriel insérer ces sachet en elle. Elle n'aimait pas l'idée de l'avoir fait, mais une vie était en jeu. Elle pouvait faire passer son dégoût à l'arrière plan, et parer au plus pressé, au plus nécessaire.

« J'espère qu'après ça, vous oublierez jusqu'à nos noms, nos visages, ou même le son de notre voix. Sinon, je connais des gens qui connaissent des gens... Enfin, vous voyez le tableau. Et ces gens-là, si on les dérange, sont de très mauvaise humeur... »

Une petite menace pour parfaire le tout, et laisser sortir le fiel qu'elle ressentait envers Brava, ça ne faisait pas de mal.

Elle se leva, prenant les sachets à la main, et jeta un regard peu amène vers Brava et ses hommes.

« Un peu d'intimité s'il vous plaît... Il n'y a pas d'issus ici, de toute façon. »

Dans quoi s'engageait-elle encore ? Et, par tout les dieux, pourquoi avaient-ils bu à ce point la veille ?

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 20 mardi 09 septembre 2014, 19:28:35

Gabriel ne trouva rien de plus intelligent à faire face à la réaction de la jeune femme que d'opiner du chef, quoique moins blême qu'elle, en effet, lui n'avait pas eu à s'enfoncer ça dans le fondement… ouais ils étaient trop bourrés, même si elle était carrément canon et divers jeux sexuels avec elle n'étaient pas des idées étranges pour le beau blond, mais tout de même… non, la faire jouer la mule… tout de même… il soupira et regarda la jeune femme une nouvelle fois, alors qu'elle ne semblait pas bien… il serra doucement la main de la jeune femme dans sa main, serrant doucement sa main dans la sienne, alors qu'elle commençait apparemment à se résigner.

Il regarda la jeune femme d'un air inquiet. Avait-elle vraiment l'intention de le faire ? Elle n'&tait pas obligé. Son connard de première pouvait aller crever, il n'y avait pas de soucis… il regarda la jeune femme en essayant  de la supplier du regard de ne pas le faire, elle n'était pas forcée après tout… il lui serra doucement la main, patient avec elle, essayant de lui faire comprendre qu'elle pouvait faire autrement…

Mais elle semblait résignée, soit… ; il soupira et regarda alentour pour voir si il y avait une porte vers une autre pièce. Le blondinet n'en voyant pas, ils n'allaient tout de même pas faire ça ici… il regarda la jeune femme, puis Brava, avant de supposer qu'il y aurait quand même un endroit qui puisse être plus approprié… pitié… pour elle… il regarda la jeune femme et doucement, alors qu'elle y mettait de sa condition et se levait, il ne fit rien d'autre que de prendre le petit sac. Il regarda la jeune femme. Et doucement, il glissa un bras autour de sa taille.

Mais les propos de la jeune femme avaient apparemment uniquement fait rire le russe, il prit la parole alors qu'il indiquait à deux gardes du corps d'approcher.

« Ben voyons. Voilà comment ça va se passer. D'abord, menacez-moi encore une seule fois et je vous jure que vous finirez putain à Moscou, car vos amis, je les connais et bon nombre me doivent leur carrière, à moi ou l'ami d'un ami, d'un ami. Enfin bref, vous voyez bien le topo… alors inutile de me menacer, cela ne sert strictement à rien, d'autant que je pourrai mettre en l'air leur carrière sans trop de soucis… ensuite, j'allais justement demander à ces deux braves hommes de vous conduire au même endroit de la dernière fois. Vous avez dix minutes après quoi ils entreront et se chargeront de vous les mettre eux même, et croyez-moi, ils en meurent d'envie… »

Puis il claqua des doigts et l'on saisit le couple par l'épaule, une chacune, alors que Gabriel prenait son sac d'une main, il garda celle de la jeune femme dans l'autre et suivit le parcours indiqué. Il sourit et pressa doucement sa main dans la sienne. Il regarda la jeune femme  et lui dit, dans un murmure.

« Tu sais, je ne veux pas que tu fasses ça pour moi, ce connard, et je m'en tape, mais je t'en parlerai plus tard si tu le souhaites. Dans tous les cas, ne te force pas, tu n'es pas obligée… je te le jure…  j'ai encore des marques de ses coups... »

Il lui caressa la main et  déposa un nouveau baiser sur sa joue…

« Mais merci quand même…. Je sais que ça te révulse, mais faute d'avoir plus de temps, je te promets une chose, tu vas apprécier… c'est le moins que je puisse faire... »

ON les poussa dans une salle où il y avait un matelas sur le so , en fait, le tout faisait penser à une sorte de cellule capitonnée, c'était bien pratique, vous ne trouvez pas ? Il attendit d'entendre le loquet de la porte de l'autre côté avant de plaquer la jeune femme contre le mur et de doucement l'embrasser. Allant même lui rouler un patin avant de finalement lui embrasser le cou.

« Si on avait plus de temps, je t'aurai promis le septième ciel, et sans me planter, mais là, ça va être juste... »

Il essayait de détendre l'atmosphère alors qu'il invitait la jeune femme à prendre position. Il lui sourit et doucement, cil remonta la robe le long de son corps, dévoilant tous ses atouts les uns après les autres, lentement, embrassant son corps qu'il découvrait. I embrassa ses pointes de chair délicatement dessinées avant de  glisser une main contre les fesses de la jeune femme et doucement, il  l'accompagna jusqu'à ce qu'il l'ait laissée à quatre pattes. Il se pencha et embrassa avec douceur ses fesses, les mordillant très légèrement.

« Allez, je vais y aller... »

Il se mit à genoux derrière elle et approcha son visage de sa croupe pour embrasser son intimité alors qu'un de ses doigts de posait sur son anneau rectal en envoyant de très légères ondes électriques pour l'aider à se dilater. Ces ondes avaient pour autre effets de lui faire chauffer le bas-ventre, bien entendu… lui, cette vue lui filait une gaule du tonnerre, mais il n'était pas le centre des attention…

« J'espère que tu vas aimer tout ça... »

IL commença à jouer de la langue sur son intimité alors que son doigts préparait lement son fondement à ce qui risquait de suivre… il s'appliquait à mordiller, lécher, pénétrer de sa langue son ppui d'amour, son autre main, lui mettant parfois de petites claques sur le derrière… il la ferait jouir au moment où il entrerait la première boule de drogue, jhistoire qu'elle ne la sente même pas passer….

« Si il y avait plus de temps, c'est autre chose qui aurait pu entrer dans ton joli petit cul qui m'a l'air joliment serré... »

Il déposa un baiser sur sa rosette avant de reprendre le « travail »...

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 21 mardi 09 septembre 2014, 21:20:33

« Ben voyons. Voilà comment ça va se passer. D'abord, menacez-moi encore une seule fois et je vous jure que vous finirez putain à Moscou, car vos amis, je les connais et bon nombre me doivent leur carrière, à moi ou l'ami d'un ami, d'un ami. Enfin bref, vous voyez bien le topo… alors inutile de me menacer, cela ne sert strictement à rien, d'autant que je pourrai mettre en l'air leur carrière sans trop de soucis… ensuite, j'allais justement demander à ces deux braves hommes de vous conduire au même endroit de la dernière fois. Vous avez dix minutes après quoi ils entreront et se chargeront de vous les mettre eux même, et croyez-moi, ils en meurent d'envie… »

Calliope retint un petit ricanement moqueur. Elle doutait fort que Brava connaisse les gens qu'elle connaissait. Elle avait en tête un incube très sexy, qui devait sûrement avoir quelques relations parmi les démons de la vengeance, et si elle devait passer un pacte avec lui, pour qu'il la mette en relation avec un de ces démons, elle le ferait avec joie.

Mais dans l'immédiat, elle se contenta de foudroyer le russe du regard, serrant la main de Gabriel. Elle réprimait avec beaucoup de peine la haine qu'il lui inspirait, ce mafieux à la manque.

Elle voulut se dégager de l'emprise de l'homme de main de Brava, mais la poigne était ferme. Alors elle se contenta de rester près de son amant, y puisant un étrange réconfort. Elle sentait qu'il essayait de lui dire qu'elle n'était pas obligée, mais, d'un sourire, elle le rassura. Si c'était pour lui, elle voulait bien jouer la mule. Dans d'autres circonstances, ils se seraient certainement très bien amusés.

« Tu sais, je ne veux pas que tu fasses ça pour moi, ce connard, et je m'en tape, mais je t'en parlerai plus tard si tu le souhaites. Dans tous les cas, ne te force pas, tu n'es pas obligée… je te le jure…  j'ai encore des marques de ses coups... »

Son sourire s'étira, et elle cala son épaule contre celle du policier, le rassurant quant à sa détermination. Certes, bosser pour Brava n'était pas reluisant. Mais dans son malheur, elle aurait pu tomber sur pire compagnon que Gabriel.

« Mais merci quand même…. Je sais que ça te révulse, mais faute d'avoir plus de temps, je te promets une chose, tu vas apprécier… c'est le moins que je puisse faire... »

Dès qu'ils furent seuls dans la pièce, et que le loquet fut abaissé, Gabriel entreprit de la mettre à l'aise, la poussant contre le mur en l'embrassant. Elle répliqua immédiatement, le goût de ses baisers s'imprimant au fer rouge dans son âme.

« Si on avait plus de temps, je t'aurai promis le septième ciel, et sans me planter, mais là, ça va être juste... »

Un petit rire silencieux secoua ses épaules, réussissant à la détendre un peu. Il acheva de la détendre complètement par ses baisers, ses caresses, et sans même avoir eut le temps de former une pensée cohérente, la rousse se retrouva à quatre patte. Une position qu'elle affectionnait particulièrement, en temps normal. Elle frémit sous les cajoleries du policier, fermant à demi les yeux pour profiter de ce petit moment plaisant avant la suite des événements.

« Allez, je vais y aller... »

Elle lâcha un petit soupir au contact des lèvres du blond contre son intimité, et plus encore quand il aventura un doigt curieux sur le contour de sa rondelle. Elle ne savait pas comment il s'y prenait, mais pour la détendre, ça la détendait. Le plaisir commença à la faire s'échauffer, passant des braises éteintes à de belles flammes qui lui faisait contracter son bas-ventre.

« J'espère que tu vas aimer tout ça.. »

Un petit gémissement lui répondit, alors que l'irlandaise appuyait son front contre ses avant-bras, savourant la délicieuse sensation qu'il faisait monter en elle. Elle n'était pas contre la sodomie, et y trouvait un plaisir différent, tout particulier. Alors, sentir le doigt aventurier de son amant ne la choqua pas, achevant de l'exciter, si besoin en était.

« Si il y avait plus de temps, c'est autre chose qui aurait pu entrer dans ton joli petit cul qui m'a l'air joliment serré... »

Un petit rire lui échappa, à moitié étranglé par un gémissement, et elle cambra doucement le dos, offrant toute latitude à Gabriel pour préparer son petit trou. L'idée du policier en elle, à cette endroit précis, lui fila des frissons de désirs. Et bientôt, les flammes au creux de ses reins enflèrent, jusqu'à ce qu'un brasier dévastateur fasse perdre la tête à la jeune femme. Elle perdait la notion du temps, et ses gémissements se firent plus forts, plus audibles pour les curieux qui ne manquaient pas d'écouter à la porte.

Elle imaginait que Gabriel préparait le chemin pour son engin à lui, et non pour ces petits sachets de drogue. Bientôt, elle devint haletante, les joues rougies par le plaisir tandis que ses yeux se fermèrent complètement. Possédée par le désir, par le plaisir, elle ne tarda pas à se mordre les lèvres, sentant venir la jouissance. Elle alerta Gabriel par des gémissements plus appuyés, par des petits cris rauques, et finalement, l'orgasme la prit, la possédant comme un ouragan de feu, de chaleur. Et non, elle ne sentit pas le petit sachet être insérés dans son être. Elle gémit longuement, ses doigts se crispant sur ses avant-bras. Il pouvait en insérer d'autres, petits sachets. Elle était dans un tourbillon de plaisir, et ne sentirais pas la gêne quand il les introduirait.

Elle souffla le nom de Gabriel, au paroxysme du plaisir, mordillant sa lèvre au point de la faire devenir aussi rouge que ses joues.

Les dix minutes finirent par s'écouler, et le dernier petit sachet finit par rejoindre ses amis, quand le loquet se déverrouilla. Encore embrumée par le plaisir, Calliope ne s'en rendit pas compte tout de suite. Elle se remettait de ses émotions, sans voir les regards lubriques des hommes de main du mafieux.

Mais en redressant la tête, quand elle rouvrit les yeux, elle se figea. Le plaisir finit de se dissiper dans son être, et elle se redressa, mal à l'aise avec la drogue en elle. Aucun souvenir ne remonta dans sa mémoire, alors qu'elle avait dû ressentir la même gêne la veille.

Se redressant totalement, elle saisit la main de Gabriel, venant lui rouler une pelle langoureuse juste pour le plaisir de faire rager les hommes qui se tenaient dans l'encadrement de la porte. Et sûrement, également, pour le plaisir de sentir le flic contre lui. Sentir son excitation contre elle, qu'elle se promit de soulager dès qu'ils seraient libérés de l'emprise de Brava.

« Bougez-vous, grogna l'un des molosses du mafieux. »

Mais Calliope prenait son temps, collée contre son amant, ses mains venant chercher les siennes pour les serrer avec tendresse.

Elle n'arrêta que lorsqu'une main s'abattit sur son épaule. Méprisante, la rousse jeta un regard peu amène au gardien, mais elle lui emboîta quand même le pas, serrant toujours l'une des mains du policier.

D'autres hommes vinrent derrière eux. Calliope souffla alors à Gabriel :

« Ne t'en fais pas. Tant que c'est avec toi, c'est plus que plaisant. »

Un petit sourire en coin souligna sa phrase, et elle se mordit la lèvre en jetant un regard taquin à son amant.

« Je te promet qu'on oublieras ces petits tracas plus tard... »

Son regard était plein de promesses, et son sourire était si doux qu'il ne pouvait que la croire.

Ils revinrent dans la pièce d'où Brava n'avait pas bougé.

« Vous trouverez l'adresse dans le sac des alliances que je vous offre gracieusement, puisque je suppose, étant donné votre réaction, que vous n'en avez plus souvenir. Ne me décevez pas, je saurais vous retrouver. Et cette fois, je ne me montrerais pas aussi clément. »

Fronçant le nez, l'air peu amène, Calliope ignora superbement Brava, et prit le sac du bout des doigts.

D'un signe de tête, le mafieux fit signe à ses chiens de garde de reconduire le couple dehors, ce dont Calliope se réjouit. La présence du Russe commençait à lui sortir par les trous de nez, à défaut d'autre choses.

Une fois dehors, un seul homme resta avec eux. Il semblait garder l'extérieur. Tirant Gabriel avec elle, Calliope revint près de la moto, respirant alors plus librement.

Elle se tourna vers lui, un sourire tendre illuminant ses traits.

« Tu sais, ça n'a pas été si désagréable que ça... »

Un petit clin d'oeil suivit sa réplique, et elle s'assit aussi confortablement qu'elle le put sur la moto, attendant que le policier enfourche lui aussi sa monture. Ses doigts piochèrent le papier avec l'adresse, et elle reconnut la seconde adresse qu'avait donnée Gabriel un peu plus tôt. Elle le lui tendit. Il contenait aussi les instructions. Elle devait retirer les sachets, une fois dans les toilettes de ce qui était apparemment un bar, et les cacher dans le support à papier toilette.

« Bon, acquittons-nous de ce regrettable travail, et nous pourront passer à des choses plus sérieuses, plus... Réconfortantes, sourit-elle. »

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 22 mardi 09 septembre 2014, 22:52:29

Comme toute réaction à sa phrase, elle sembla gémir et se cambrer davantage pour que Gabriel avait plus de champ libre pour faire ce qu'il devait faire. Alors que le policier passait sa langue sur son petit anneau rectal, il la doigtait doucement, jouant de son autre main sur son petit bouton de plaisir. IL était amusé par la situation alors qu'il insérait sa langue dans son orifice anal, commençant à bien le lubrifier alors qu'il augmlentait le choc électrique, légèrement plus fort, pour plus de plaisir. Il faisait monter cela graduellement alors que sa langue, puis son doigts venaient élargir son fondement pour accepter sans trop de difficulté le premier petit sachet…

IL aimait la voir comme ça, même si c'était dégradant, elle faisait un peu penser à une chienne en chaleur, et il aimait cela, et dire qu'il ne s'agisait que de ses doigts de sa langue… il laissait son imagination saisir si elle pouvait, la différence avec une vraie pénétration de la part de son engin, lui donner l'impression que ce n'était rien en comparaison. Il lui sourit et  continua son travail, jouant avec assez de courant pour la rendre dingue et en même temps pour la dilater assez pour qu'il… ah, ça devait être bon… IL sourit et envoya une puissante décharge de niveau orgasmique…

Et en l'entendant gémir, crier il envoya le coup de grâce et profita de la dilatation en cours pour lui insérer le premier sachet. Lke suivant vint, et le suivant, et le suivant, et le suivant, et ce, jusqu'au dernier, dernier qui sembla coïncider avec la fin de cette longue jouissance de sa part. Il avait fait vite aussi, mais en gardant le courant, il avait pu suffisamment prolonger l'orgasme pour que tout passe… et c'est à ce moment là qu'ils furent interrompus… cela voulait-il dire que dix minutes s'étaient déjà écoulées?Il fallait croire, car apparemment l'un des molosse ouvrit la porte…

… pendant que, comme une promesse de sacrées parties de jambes en l'air, Calliope lui roulait le patin de sa vie. Gabriel y répondit avec empressement, serrant son corps nu contre lui, et alors que les molosses regardaient, Gabriel ne put retenir une remarque, sur un ton provocateur et en même temps amusé, qui ressemblait à une manière de leur rappeler leur position de vulgaire molosses.

« Vous avez vu comme elle est gaulée ? Et elle est à moi, rien qu'à moi... »[/b][/color]

Et il ponctua ça par une petite claque sur le fessier hâlé… le plus ravissant fessier qu'il ait jamais dilaté, soit dit en passant… il lui sourit et l'embrassa sur la joue avant de lui remettre sa robe, sa jolie robe qu'il ne rêvait plus que d'une chose :  lui ôter de nouveau… oui, il la voulait nue juste pour lui, tout seul… maintenant, là, tout de suite, pour lui faire des tas de choses peu catholiques…

Le jeune homme sourit devant les propos de Calliope. Et doucement, il lui saisit la main doucement et la garda dans la sienne, croisant ses doigts avec les siens en revenant dans le salon, fortement attendus… il regarda la jeune femme et l'embrassa sur la joue alors qu'il écoutait les dernières recommandations de Brava ainsi que l'information sur les nouvelles alliances. Mais il n'écoutait pas. Il n'écoutait pas vraiment, surtout après les propos de Calliope. Il avait docn la tête à moult autres pensées, malgré l'explication importante de Brava. Il accompagna Calliope vers la sortie pour finalement se retrouver dehors, Ils devaient y aller… Il egarda la jeune femme et rpit dans le sac une fois qu'elle eut récupéré le papier et passa l'un des anneaux au doigt de la jeune femme.

« Tu sais, je t'ai entendue, alors je m'en doute que tu as aimé... »

Il la taquinait un peu, gentiment, alors qu'il imaginait mille et un scénarios alors qu'il approcha de sa moto pour la démarrer alors que la miss montait en croupe de la moto, juste derrière lui. Il lança la moto et se rendit directement vers la deuxième destination que la jeune femme lui donnait. C'était à deux pas, et pour une fois, il ne se comporta pas comme un malade au guidon ; même si ça avait comme avantage de la sentir plus contre lui.

Il conduisit néanmoins assez rapidement jusqu'à atteindre l'adresse en question, il s'agissait d'un bar un peu mal famé et la cachette était dans le dévidoir à papier toilette… vive la cachette à chier… il regarda la jeune femme et  l'enlaça alors qu'il la faisait descendre. Il lui sourit et lui dit, dans le creu de l'oreille…

« Tu sais, j'ai pensé à quelque chose… quand je vais te retirer lentement les sachets du cul, ça va s'élargir, se refermer, s'élargir, se refermer et ça va bien préparer car je pourrais te prendre par là dans la cabine des toilettes, comme ça, de suite après te les avoir enlevé… comme ça tout sera déjà prêt... »

Il l'embrassa avec fougue, y mettant la lange avant de finalement la plaquer contre le mur devant l'entrée pour laisser sa fougue l'emporter dans ce baiser interminable, et ce ne fut qu'à regret qu'il arrêta pour lui dire :

« Bon, quand il faut y aller... »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 23 mercredi 10 septembre 2014, 18:00:01

Assise près de la moto, Calliope observa Gabriel récupérer le sac une fois qu'elle en eut tiré le papier. Surprise, elle le vit prendre les alliances, et en passer une à son doigt. Un sourire tendre courut sur ses lèvres alors qu'elle lisait le papier par la suite, le complimentant par ailleurs sur sa performance qui avait rendu la tâche moins ardue.

« Tu sais, je t'ai entendue, alors je m'en doute que tu as aimé... »

Elle rit doucement, et s'installa du mieux qu'elle le pouvait sur la moto, s'accrochant une nouvelle fois à son amant et au réservoir de sa monture. Il conduisit vite, instinctivement, et finalement, les lieux du "rendez-vous se dessinèrent sous les yeux de la jeune femme. Elle descendit un peu maladroitement de la moto, un peu gênée par ces sachets de drogue qu'elle sentait en elle. Heureusement, il était là pour l'aider à poser les deux pieds sur terre sans trop de dégâts.

« Tu sais, j'ai pensé à quelque chose… quand je vais te retirer lentement les sachets du cul, ça va s'élargir, se refermer, s'élargir, se refermer et ça va bien préparer car je pourrais te prendre par là dans la cabine des toilettes, comme ça, de suite après te les avoir enlevé… comme ça tout sera déjà prêt..., lui susurra-t-il au creux de l'oreille. »

Un grand sourire se dessina alors sur les lèvres carmin de la rousse, tandis que son regard pétillait d'impatience. Elle ne put lui répondre verbalement, mais se chargea de lui montrer tout l'assentiment qu'elle pouvait en répondant au baiser avec ardeur, l'attirant contre elle au même instant où il la poussait contre le mur de l'entrée. Elle lâcha un petit gémissement d'impatience étouffé quand il se recula, mettant un terme à l'échange langoureux.

« Bon, quand il faut y aller... »

Elle hocha la tête, et prit sa main dans la sienne, serrant ses doigts avec chaleur.

Quand ils entrèrent dans le bar, il n'y avait pas un bruit. Pas une mouche qui volait. Un vieux barman se contentait d'essuyer des verres à la propreté douteuse avec un torchon dont la propreté était tout aussi douteuse. Nul doute, Calliope ne prendrait jamais un verre ici.

Deux clients, deux soudards, prenaient un verre, près de l'unique fenêtre du bouge. Ils se regardaient dans le blanc des yeux, sans dire un mot. Un frisson parcourut la rousse, et elle se rapprocha de Gabriel pour lui susurrer un petit mot :

« Tu crois que l'on devrait prendre des consos et faire semblant d'aller aux toilettes après ? Si jamais on est suivi... »

Elle s'interrompit un instant, notant le regard insistant du barman. Apparemment, peu lui importait s'ils consommaient. Il devait être au courant pour la drogue. Ce devait être lui le client de Brava.

« En fait, peu importe je crois... »

Et elle l'attira à sa suite, se dirigeant vers le fond du bar, vers le panneau où était indiquées les toilettes. Elle entra dans la petite pièce, constatant qu'il y avait deux cabines. Un coup d'oeil sur le papier la renseigna. C'était la gauche qu'ils devaient prendre. Elle s'y glissa, fronçant le nez en voyant l'état des lieux, mais redressant la tête, et attendit que Gabriel ferme derrière lui pour se placer face à la porte, en appui sur ses avant-bras. Tournant la tête de moitié, elle eut un sourire aguicheur en trémoussant un peu ses fesses.

« Je crois que j'ai quelque chose qui me gêne... Vous pourriez regarder monsieur l'agent ? »

Elle darda la pointe de sa langue entre ses dents, déplaçant un bras pour venir remonter légèrement sa robe jusqu'à sa taille, dévoilant ses fesses rebondies et un peu rougies par le trajet en moto.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 24 mercredi 10 septembre 2014, 21:10:52

Ils entrèrent ensemble dans le bar… et qualifier cet endroit de bar miteux, ça aurait été insultant pour les véritables var miteux… cet endroit n'était pas miteux, c'était crade et il y avait un rat qui devait avoir crevé sous un meuble enfin, ils n'étaient pas là pour ça… il ne répondit que par une négation de la tête à l'idée de prendre une conso : il ne toucherait pas aux verres de ce lieu, c'était courir à l'indigestion, voir à l'intoxication pure et simple, et il n'en avait guère envie, d'autant que le regard même du barman -  qui nettoyait un verre crade avec un chiffon au moins aussi crade -  était assez dissuasif, et le blondinet préféra ne pas y penser et se contenta alors de se rendre avec la joli rousse dans le fond de la salle, suivant les indications pour aller aux toilettes.

Toilettes qui, eux, étaient propres. Au moins. Comme si le lieu en lui-même de l'échange avait plus d'importance que le bar en lui-même. Ce qui devait être le cas. Ils devaient bosser pour le russe ou pour des alliés à lui, voir simplement des partenaires commerciaux, si on pouvait appeler cela comme ça… purée, il notait de donner un tuyau pour ce bar… juste histoire de faire chier le russe… et vu à quel point Gabriel était doué, ce serait une bonne colique… une colique qui ne serait pas des plus tendres…

Tiens, d'ailleurs, quitte à parler de cette zone de l'anatomie, Gabriel entra dans la cabine de gauche, suivant la jeune femme qui semblait avoir été emballée par son idée… en même temps, si elle avait pu sentir à quel point il était lui même emballé, ce n'était pas complètement étonnant, elle semblait au moins aussi délurée que lui, et ce n'était pas pour lui déplaire… IL lui sourit alors qu'elle se calait contre la porte de la cabine, exposant son fessier si joliment rebondi et musclé en même temps… et alors qu'elle l’entraînait dans un délicieux jeu de rôle, il ne put s'empêcher de sourire à la proposition qu'il lui faisait alors qu'il regardait le joli petit trou frémissant d'envie qu'elle dévoilait en remontant sa robe sur sa taille. Lui aussi frémissait d'envie, d'envie de voir chaque petit sac forcer le passage dans l'autre sens, voir l'entrée de derrière se dilater, se refermer, se dilater, se refermer, laissant juste assez de temps de pause entre chacun, juste assez pour que son petit anneau rectal se referme après chacun… il en frissonna. Il frissonnait aussi d'envie de sentir sa turgescence se planter ici, se frayer un chemin, en forçant entre ses parois anales, sentir le frottement interne, en sentir l'étroitesse…

Il s'ébroua légèrement alors qu'il lui remontait la robe jusqu'aux aisselles alors qu'il venait se saisir de sa poitrine, un sein pour chaque main, qu'il se mettait à masser sans grande douceur, mais sans violence non plus, avec fougue, tout au plus, avant de s'emparrer de ses pointes de chair et de leur faire subir un traitement un poil brusque alors qu'il se penchait entre les fesses de la jeune femme pour saisir entre ses dents le brin de ficelle ui dépassait, pour retirer les petits sacs, et alors qu'il continuait son traitement sur ses jolies mamelles dorées par le soleil.

IL tira doucement jusqu'à ce que le premier sac soit à moitié sorti et  le laissa comme ça, regardant son sphincter dilaté autour de celui-ci avant de tirer un coup sec pour le retirer en envoyant un courant électrique par ses doigts pour lui offrir un premier orgasme… il attendit un peu et recommença avec le deuxième, même procédé total, et il réitéra cela pour chacun… oui, il voulait que ce soit inoubliable et qu'elle se souvienne de ça pendant longtemps… car malgré les emmerdes, il se demandait si après ça, il ne ferait pas en sorte de la revoir… Il sourit à cette pensée alors qu'il lui lâchait les pointes de chair durcie pour reprendre son « rôle ».

« Hum, détention de stupéfiants… et en masse… je vais devoir vous emmener au post... »

Il dégaina ses menottes et  lui saisit fermement les bras, l'un après l'autre, pour la menotter dans le dos avant d'ajouter, sur un ton moquerur et amusé :

« Et je vais devoir exécuter une fouille plus poussée... »

 Il approcha de nouveau son visage des fesses de son « épouse » avant de  lui lubrifier la rosette avec de grands coups de langue et se baisser son froc et son cale-butte pour révéler son membre joliment gonflé et veiné, déjà près à l'emploi. Il appuya sur le dos, plus précisément les omoplates de la jeune femme, alors qu'il posait sa verge contre le joli derrière de Calliope, faisant glisser celle-ci le long de la raie de ses fesses, la montant assez haut, quitte à ce que ce soit un peu sport, pour que son gland lui effleur les doigts… et enfin, il se pencha contre elle et  lui mordilla le cou alors qu'il forçait un peu pour entrer la première partie de sa lance, pour pourfendre son fondement, laissant entrer le gland en elle alors qu'il lui offrait un nouveau « choc orgasmique » (hum, le nom sonne bien…) .

« Prépare toi à te faire enculer comme jamais... »

Il commença à aller et venir en elle, lentement, d'abord, pour « forer » le passage et ensuite plus fougueusement, plus brusquement, variant les rythmes, la tenant par la hanche, d'une main, l'autre jouant avec son intimité… il ne distillait de légères doses de courant électriques, pas d'orgasme, juste davantage de plaisir, en fait, c'était la garder au bord de l'orgasme tout en le lui refusant, d'une certaine manière... douce torture, n'est-ce pas ?

Il trouvait cet endroit serré à souhait et se disait bein qu'il espérait que cela durerait, et qu'il aurait l'occasion d'y revenir...il sentait les parois anales se refermer  autour de sa virilité, il en soupira, en gémit même de plaisir...
« Modifié: jeudi 11 septembre 2014, 09:03:56 par Gabriel Valmy »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 25 jeudi 11 septembre 2014, 22:20:09

Elle ne savait pas comment il s'y prenait, mais quand il la touchait, elle se sentait électrisée. Une excitation bienvenue parcourait son corps, la rendant déjà moite, prête à l'accueillir. Et pourtant, il ne faisait que la caresser. Puis il commença à retirer les sachets, avec les dents, en continuant de masser sa poitrine. Un gémissement quitta la gorge de Calliope, alors que les sachets quittaient son antre sacrée, un à un.

« Hum, détention de stupéfiants… et en masse… je vais devoir vous emmener au post... »

Un petit sourire naquit sur ses lèvres, et elle se laissa docilement entraver par le policier. Dire qu'auparavant, elle avait presque une phobie des menottes... Mais avec Gabriel, ça passait, étonnamment.

« Et je vais devoir exécuter une fouille plus poussée... »

Maintenant plaquée contre la porte de la cabine, sans autre appui que sa poitrine et son front, elle avait un peu de mal à se tenir correctement cambrée. Mais son amant sut gérer ça, et elle frissonna de plus belle en sentant ses lèvres contre ses fesses, sa langue humidifier son petit trou.

Creusant les reins lorsqu'il appuya entre ses omoplates, elle lâcha un nouveau gémissement, et ses doigts purent caresser un gland chaud, humide, avant qu'il ne commence à forcer l'entrée. Elle soupira de plus belle, appréciant de le sentir écarter ses parois anales pour se frayer un chemin. Fermant les yeux, elle se laissa totalement aller, et le plaisir se répandit dans tout son corps alors qu'il était à peine entré en elle, qu'il lui mordillait le cou pour la détendre en même temps.

« Prépare toi à te faire enculer comme jamais... »

Oh, elle était déjà prête, et la cyprine coulait lentement le long de ses lèvres intimes, venant glisser contre ses cuisses. Elle haleta bientôt, entravée mais comblée de sa présence, et le rythme qu'il adoptait, si lent qu'il fut au début, devint bien vite plus passionné. Il alternait entre différents rythmes, si bien que dès que la rousse s'approchait du septième ciel, il changeait, et l'excitation retombait un peu, pour remonter de plus belle.

C'était frustrant. Délicieusement frustrant et agaçant. Mais c'était tout le piquant de la chose.

Elle gémit de plus belle, et ondula doucement, comme elle le pouvait, contre lui. Ses muscles se serraient pour l'emprisonner en elle.

« Ah, Gabriel.... Mmm... »

Elle s'arquait de plus en plus, appréciant la fougue qu'il mettait dans ses coups de reins. Elle était plus que trempée, et le plaisir montait toujours, stagnait, montait... De quoi la rendre folle.

« Gabriel... Aaah ! »

Elle soupirait son nom, se tortillait contre lui, les joues rougies, haletante et ses muscles se contractant à un rythme irrégulier autour de la virilité qui l'empalait comme elle aimait.

« Aaah, Gabriel.... Je ne... Mmm... Je n'en peu- aaah... Plus... »

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 26 jeudi 11 septembre 2014, 23:07:18

Gabriel savourait chaque petite chose qui intervenait durant cette petite gâterie qu'il soffrait dans le corps de la jolie rousse. Elle avait le fondement suffisamment serré pour qu'il y soit entrer sans grande difficulté – et donc sans grande douleur pour elle -  ce qui lui donnait la possibilité, donc, de se mettre rapidement à un « rythme de croisière ». Mais n'allez pas croire que tout était simple, bien au contraire, en effet, maintenir le courant en continu à la bonne dose pour juste maintenir le plaisir proche de la limite sans pour autant lui offrir le droit à l'orgasme… le retarder était plus amusant… même si c'était un peu comme le lui en dénier le droit…

Il galérait un peu à garder le contrôle et par conséquent en plus des coups de reins, il étai notable qu'il y avait une tempréature qui augmentait lentement ici, et plus encore : en effet, une jolie petite pellicule de sueur s'abattait lentement sur lui, lentement sur son front avant de commencer à dévaler vers ses yeux, tombant parfois sur la croupe ou le dos de la perfection faite femme (en même temps, elle était le parfait alliage de la lubricité, de la beauté, de l'intelligence, que demander de plus ?).

Il jouai avec elle, avec ses sens, alors qu'elle semblait friser l'extase à chaque mouvement. Il ne pt s'empêcher de rire à cette pensée – intérieurement, bien sur -  tout en variant le rythme et la puissance, juste assez pour « désamorcer » tant pour lui que pour elle… régulièrement, ses corones venaient claquer sur son intimité, comme un rappel de ce que son autre orifice endurait…

Brutal ? Il l'était parfois, en effet, il ne donnait pas complètement sa part au chat à ce niveau là, mais il n'était pas violent ou du moins, la seule forme de violence qu'il y eut, ce fut quand sa main abandonna don intimité pour venir lui mettre quelques claques sur les fesses, pas fort, juste assez pour qu'il n'y ai pas que ses joues qui soient rougies par la situation, en effet, entre les cheveux de la jeune femme, il pouvait entrapercevoir son visage et ne oput s'empêcher d'aller lui mordiller l'oreille alors qu'il relachait un peu la te,sio électrique pour se concentrer de manière plus manuelle sur elle, en effet, ainsi débarrassé de cette concentration, il pouvat se concentrer davantage sur son plaisir, leur plaisir commun : elle à se faire trousser, et lui à la trousser !

Il savourait le fait que son cul, en même temps apparemment habitué et encore assez serré se resserre autour de sa turgescence, et sa main, la « gifleuse », commença, au rythme de son bassin et de ses gémissements rauques à remonter le long de son corps, longeant ls côtes, remontant aux aisselles, passant sur la poitrine, non sans pincer affectueusement ses pointes de chair, avant de finalement venir lui enserrer la gorge. Pas fort, mais assez pour la maintenir et la cambrer davantage alors qu'il continuait sa besogne absolument délicieuse…

« Putain, c'est bon... »

Il se pencha sur elle, et, comme il la tenait, la força à tourner la tête pour l'embrasser avec fougue avant de finalement lui remettre une tape sur le fessier et  reprendre d'assaut son corps de braises alors que lui-même se sentait comme au coeur d'un brasier, mieux encore, d'un volcan, oui, un sacré volcan, voilà ce qu'ils étaient, tous les deux…

IL l'entendait gémir au moins autant que lui, murmurant son prénom, alors que lui se retenait de ne pas lui rendre la réciproque. Pas par machisme, mais juste parce que ça faisait tellement moins cool quand c'était un mec qui le faisait… mais il ne put s'en empêcher bien longtemps…

« Ah… Callie… ta… ta jouissance…. Demande et tu l'auras... »

Il lui mordit doucement l'épaule.

« Où tu veux… quand tu veux... »

Et comme s'il avait pris les derniers propos de la jeune femme comme une demande, il envoya la dose alors que son propre plaisir ne pouvait être contenu bien plus longtemps… néanmoins, il réussit à lui adresser un dernier mot avant :

« Tu sais, c'est quoi, l'avantage de t'enculer ? »

Et là, il resta en elle alors qu'il laissait libre cours à sa jouissance, dans les tréfonds de son fondement il se laissa aller avant de se retirer, tout en sueur et les jambes tremblantes…

« Putain… c'était vraument le pied... »

Il la saisit par les épaules, lui plaqua le dos contre la porteet l'embrassa avec fougue…

« Et pas e risques, même sans capote... »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 27 jeudi 11 septembre 2014, 23:58:49

Et les gémissements montaient en volume au fur et à mesure que les caresses continuaient, que les claques s'abattaient sur ses fesses avec une certaine délicatesse, que la main remontait le long de son corps, pour venir tendrement enserrer sa gorge. Calliope n'était que plaisir, et son amant le ressentait bien, s'appropriant son corps avec savoir-faire et provoquant en elle un plaisir inouï.

« Putain, c'est bon... »

Oui ! voulait-elle crier, mes les mots se bloquaient dans sa gorge, et seuls les gémissements passaient ses lèvres. Elle les étouffa d'ailleurs dans le baiser qu'il lui offrit. Avant d'en lâcher des nouveaux dès qu'il reprit sa besogne, et qu'une nouvelle tape s'abattit sur sa chair tendre.

« Ah… Callie… ta… ta jouissance…. Demande et tu l'auras... »

Elle s'arqua un peu plus, presque ronronnante sous la douce morsure, et ne put articuler que son prénom d'une voix haletante, comme pour le lui demander. Elle n'en pouvait plus, elle était en nage, comme lui, et le plaisir se mêlait à la douleur, formant un mélange détonnant, délicieux.

« Où tu veux… quand tu veux... »

Maintenant, tout de suite, voulut-elle hurler, mais ça se transforma en un gémissement étranglé.

« Tu sais, c'est quoi, l'avantage de t'enculer ? »

Elle gémit son interrogation, rejetant sa tête en arrière tandis que Gabriel la maintenait contre lui en forçant le rythme, et que le plaisir courait à nouveau dans ses veines comme de la lave en fusion.

Elle gémit quand enfin, elle atteignit l'orgasme, et elle le sentit se répandre en elle également. Son cri devait se faire entendre du bar, mais elle n'en avait cure. Calliope n'était pas pudique, et puis, elle avait autre chose à penser. Comme crier encore sa jouissance, collant son corps contre celui de Gabriel.

« Putain… c'était vraiment le pied... »

Oui, pensa-t-elle, mais elle se contenta de reprendre son souffle. Toujours menottée, elle n'opposa de toute façon aucune résistance à Gabriel qui la retourna, la plaquant contre la porte pour l'embrasser. Elle répondit tout aussi fougueusement que lui, s'arc-boutant en sens inverse pour venir coller son corps contre le sien.

« Et pas de risques, même sans capote... »

Elle rit légèrement, comblée, encore rouge de plaisir. Ses yeux pétillaient quand elle les plongea dans les siens.

« Oui, c'est bien pratique, en effet... »

Elle se décolla légèrement de la porte, et se tourna à nouveau, se plaquant le dos contre Gabriel, ses mains agiles venant fouiller les poches de son amant pour en sortit une petite clé. Avec un sourire malicieux, elle défit les menottes en quelques secondes, et se retourna, les raccrochant à la ceinture du policier.

« Je crois que je n'ai plus besoin de ces jolis bracelets pour le moment, mm ? »

Elle sourit derechef, et prit un peu de papier toilette pour essuyer son entrejambe, ses cuisses, et le sperme qui commençait à couler. Puis, saisissant d'une main les sachets de drogue, elle les déposa soigneusement dans le dévidoir, et se retourna vers Gabriel. Elle l'embrassa à pleine bouche, en se mettant sur la pointe des pieds.

« Que fait-on maintenant ? »

Déjà, sortir de ce bar miteux, mais elle attendait que Gabriel se rhabille correctement. Pour elle, ça avait été rapide. Elle n'avait eu qu'à laisser la robe retomber sur son corps pour être présentable.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 28 samedi 13 septembre 2014, 16:11:11

Sa blague humoristique finale la fit rire. Elle semblait avoir encore une bonne dose d'énergie en réserve dites donc, ; et lui qui en avait donné pas mal… elle était pleine de surprises et des surprises agréables… elle lui donnait déjà envie de remettre le couvert, là, tout de suite, mais dans le sens contraire, qu'elle soit dos à la porte de la cabine et cuises enroulées autour de ses hanches, et en avant Guingamp ! Il aurait été près pour un second round… et elle, pour une autre bonne dizaine d'orgasmes… mais bref, peu importait !  Il sourit à la jeune femme et lui embrassa le bout du nez alors qu'elle se collait à nouveau à lui, dos à lui… décidément, elle semblait aimer être dos à ses partenaires… il comprit un peu tard qu'elle lui faisait les poches pour récupérer les clés des menottes…. Il la vit ensuite les enlever avec une certaine dextérité que laissaient à penser qu'elle avait eu l'occasion de le faire ainsi assez régulièrement…. Il lui sourit alors qu'elle lui remettait les menottes à la ceinture. Oui, elle n'avait plus besoin de cela pour le moment, pour la suite, ils aviseraient dans le feu de l'action…

Il lui sourit alors qu'elle lui posait la question finale et que lui-même finissait de remettre la boucle de son pantalon. Il savait déjà ce qu'il fallait faire pour la suite, car en effet, il y avait encore deux lieux non visités… et il voulait savoir ce qui s'y était passé… car vu ce qu'ils avaient pu faire là, il imaginait ce qu'ils avaient pu faire une fois encore plus déchirés…

Il répondit à son baiser avec une fougue et une envie de remettre le couvert non dissimulée. Mais toutes les bonnes choses avaient une fin, non ? Mais voilà, ça l'emmerdait que ça prenne fin, d'abord, mais en plus ce qui l'emmerdait davantage, c'était de savoir ce que la suite des opérations allaient donner… il soupira et regarda l'extérieur de la cabine alors qu'il en ouvrait la porte, enlaçant de l'autre bras la jolie rousse, une main posée sur une de ses  hanches, nonchalamment. Et alors qu'il venait de franchir la porte du bar, il l'embrassa à nouveau avant de lui dire :

« Tu sais que tu vas faire chuter mon égo si tu es aussi en forme que ça après tout le mal que je me suis donné pour que ce soit la sodo de ta vie ! »

Il avait sourire en coin, pour donner une impression amusée, mais seulement, cela ne suffisait pas à convaincre de cet amusement, il y avait dans la prunelle un rien de vexation devant son énergie actuelle…. Comme si il avait l'impression de ne pas avoir été à la hauteur ! Oui, il était un peu vexé, même si ça avait été exceptionnel, il était un rien chatouilleux sur son égo… mais bref, il n'allait pas insisté, quelque chose lui disait qu'il aurait sa revanche, quitte à ce que, si elle ne le propose pas, il la réclame…

« Bon, pour la suite, on a plusieurs choix Le premier, c'est d'aller chez toi ou chez moi, et remettre ça par tous tes trous et dans toutes les positions imaginables et paryout où c'est possible bien sur…. Même si, vu que je pense qu'on a fait ça chez moi hier soir, ça devrait être là bas aussi, pour la revanche…. »

Il sourit en lui pinçant les fesses et plus encore, en lui mordillant doucement l'oreille.

« Ou sinon, on se montre raisonnable, et on vérifie vite fait les deux autres adresses avant de faire comme dans la première proposition…. Ah et y a autre chose à voir…. »

Il montra sa main à l'anneau et celle de Calliope.

« Parce que me marier, c'était pas dans mes projets immédiats… mais bon, si c'est aussi chaud tous les soirs, je crois que je pourrai m'y faire…. On a jusqu'à quand pour décider au juste si on garde ou si on balance le certificat dans la poubelle ? »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]

Réponse 29 vendredi 07 novembre 2014, 18:23:17

Calliope rit doucement, quand le blond s'inquiéta pour son égo en la voyant toujours en forme. Pour le rassurer sur ses performances, la rousse s'approcha de lui, glissant ses bras autour de sa taille, se frottant indécemment contre lui.

« Oh, mais ça, c'est parce que je masque bien mon épuisement, cher époux... »

Elle lui fit un clin d'oeil, avant de reprendre un peu de sérieux. Un peu. Elle ne put empêcher un sourire taquin de glisser sur ses lèvres alors qu'il lui pinçait les fesses. Ses dents sur son oreille sensible achevèrent de chasser le sérieux qu'elle s'était bâti, et elle se colla sensuellement contre lui, prête à remettre ça dès maintenant, s'il continuait.

Son regard, malgré tout, chassa un peu de légèreté quand il parla du mariage. C'est vrai. Il y avait ce point aussi.

« Mm... Je crois qu'on a jusqu'à quinze jours pour annuler. A moins que ce ne soit 48h. Je ne sais plus. Quoi qu'il en soit... On ferait peut-être mieux d'essayer d'être raisonnable, et d'aller checker les deux autres places où on s'est arrêtés hier. Histoire de ne pas découvrir de mauvaises surprises, plus tard... »

Ce serait bien leur veine...

Elle regarda longuement l'anneau à son doigt, réfléchissant encore aux conséquences qu'impliquaient leur soirée d'ébriété et de sexe débridé. Elle ne savait pas si elle était partante pour rester mariée. Il restait toujours le divorce, après... Mais... C'était cher. Et c'était long. Est-ce qu'ils réussiraient à bien s'entendre, tout les deux ? Ça avait l'air bien parti pour, en tout cas...

« On va rapidement checker les deux autres endroits, et on retourne chez toi pour la revanche ? On cherchera à ce moment-là pour la durée légale avant l'annulation... Non ? »

Elle lui sourit, presque tendrement, et déverrouilla la porte des toilettes.

« Allez, viens mon étalon héhé... »

Elle le tira avec elle, sortant des toilettes et du bar. Il pu remarquer que, contrairement à l'impression qu'elle donnait, la rousse ne marchait pas tout à fait avec naturel. Elle le cachait bien, mais ça ne pourrait sûrement pas échapper à l'oeil expert d'un homme qui se sentait un peu vexé.

Les regards, dans le bar, les suivirent avec convoitise le temps qu'ils sortirent. Calliope ne s'en préoccupa pas, et s'installa -avec un peu de mal- sur la moto, attendant avec un sourire que son cher amant ne la rejoigne.
« Modifié: lundi 10 novembre 2014, 19:19:14 par Calliope Tick »


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