Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Myumi Ichtora

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Myumi Ichtora

Pages: 1 ... 9 10 [11]
151
Myumi accorda à Elianne un bon quart d’heure, le temps que le thé soit prêt. Elle alla dans un autre salon de sa petite maison, faisant office de cuisine, et fit chauffer l’eau, avec une fine infusion de thé blanc. Tandis que la bouilloire chauffait, elle réfléchissait silencieusement. Aujourd’hui était une courte journée, mais, en consultant sa montre, elle savait que la soirée approchait. Elle avait toujours l’impression d’être ce matin, et peinait à se dire que, pourtant, le soir était bien là.

*Il va falloir que j’arrête de faire des soirées comme ça, moi...*

Héritage de sa mère, Myu’ se remettait assez vite des efforts sexuels qu’elle faisait. Son cul avait souffert violemment hier, et, à sa place, une autre femme en aurait eu les fesses rouges pendant toute la journée. Son corps, lui, se remettait très bien, et ses belles fesses se portaient très bien. La senseï réfléchissait silencieusement, et, naturellement, ses préoccupations revenaient à Elianne. Si elle avait eu plus de temps, elle aurait sans doute mené des recherches plus détaillées pour savoir comment faire en sorte qu’Elianne finisse dans son lit. Bien que Myumi soit une femme assez libre, il fallait bien admettre que finir avec ses étudiants, c’était là un petit bonheur dont elle ne se privait pas. Il y avait là une sorte de plus, car, non contente de coucher avec un bel individu, Myumi avait aussi le sentiment de rompre les conventions sociales. Japonaise, elle savait combien les normes sociales étaient lourdes dans ce pays, à quelque niveau que ce soit. En entreprise, on se désignait rarement par son nom, toujours par son titre, par le poste qu’on occupait. On ne disait pas « Kazawa-san », mais « Monsieur le directeur d’établissement », par exemple. Au lycée, il en allait de même. Il y avait un monde, une frontière ausis grande qu’une autoroute, entre les élèves et le professeur, et ce clivage était particulièrement imprimé au Japon. Le rompre était donc excitant, car, pour Myu’, c’était une manière d’exprimer sa liberté, de lutter contre une société conformiste, d’aplatir les barrières sociales... Quoi de mieux que le sexe ?

De plus, Myumi, tout en étant bisexuelle, devait bien admettre qu’elle avait une légère préférence pour le beau sexe. Les courbes étaient plus harmonieuses, les formes généreuses, et les filles étaient généralement plus prudes que les hommes... De plus, une fois qu’un homme venait de se décharger, ce qui allait généralement assez vite avec ses lycéens, il pouvait être assez long de le réveiller. C’était comme une montagne russe. Or, Myu’ avait tendance à être adepte du slow sex, une méthode d’étaler sur plusieurs heures une séance de sexe, et qui était d’origine japonaise. Plus précisément, elle avait été développée par un sexologue nippon, Adam Tokunaga, et Myu’ avait lu son livre.

Elle avait hâte de poser ses doigts sur le corps d’Elianne, de la caresser sensuellement, d’exciter son corps, pendant toute la nuit, et de dormir avec elle, de la presser contre son corps, de dévorer ses belles fesses... Peut-être même pourrait-elle la conduire dans sa cave... Alors qu’elle y réfléchissait, elle sentait son bas-ventre la démanger, et soupira silencieusement.

*Bon sang, j’ai baisé comme une truie hier, mais cette petite suffit à me faire perdre mes émotions... Si je m’écoutais, j’irais directement la voir, et je la baiserais contre le bureau...*

Il fallait se calmer, et Myu’ respirait lentement, évitant ainsi de commettre des bêtises. Se décidant, elle retourna vers le bureau, afin de voir comment elle se portait. En portant la main sur la porte, et en faisant lentement coulisser son shōji, elle entendit un soupir, un gémissement. Myumi s’arrêta, interdite, pensant avoir rêvé, puis avança sa tête, comme une petite fouineuse, lui rappelant cette époque où, jeune, elle observait, dans le placard, les amants de sa mère la prendre sauvagement, en essayant de se dire que les hurlements de sa maman n’exprimaient pas sa douleur, mais une sorte de plaisir immense, et particulièrement jouissif. Dire qu’elle avait jadis craint que sa mère ne se fâche en la surprenant... Sa mère avait toujours su qu’elle était là.

« Hum... » entendit-elle.

Myumi sourit, et tira un peu sur le panneau coulissant. Elianne était là, la tête basculée en arrière, et se masturbait. Une magnifique vision. Si Myu’ avait un appareil photo, elle l’aurait sans doute photographié. Là, avec les cheveux remontant le long de sa chemise, les rayons du soleil réfléchissant sa peau bronzée, elle était l’incarnation d’une espèce de superbe nymphe. Un corps magnifique et langoureux. Elle vit alors, sur le bureau, son portfolio, et comprit.

*Au moins, je sais où il est... Il faut croire que mon inattention va avoir de bons effets...*

Elianne ne l’entendait pas, et Myu’, très délicatement, se faufila dans la pièce. Les tatamis étouffaient ses bruits de pas, et elle se rapprocha de la jeune lycéenne, se glissant dans son dos. De sa main libre, Elianne tournait les pages, et arrêta sur une image où on voyait un homme en train de prendre Myumi. Il était debout face à elle, mains sur ses hanches, et enfonçait vigoureusement son sexe dans le vagin d’une femme en sueur, toute nue. D’une main, la Myumi de la photographie pressait son sein, son visage éternellement figé dans un cri de plaisir.

« Lui, il en avait une grosse, j’ai eu l’impression d’exploser sous l’effet de sa queue » glissa alors Myumi, se révélant ainsi à la présence d’Elianne.

Myumi esquissa un léger sourire, avant de reprendre :

« J’aime la manière dont tu révises les maths en mon absence, Elianne... »

152
Myu’ était au courant de ses origines démoniaques. Elle savait que sa mère était une succube, pour l’avoir vu prendre sa forme démoniaque à plusieurs reprises. Une belle forme rouge à la peau de sang, qui l’avait jadis effrayé, avant qu’elle ne s’y accommode petit à petit. La senseï savait ainsi que sa mère disposait d’une sorte de sixième sens, un sens sexuel, qui lui permettait de sentir l’excitation sexuelle des individus face à elle. Un instrument très pratique, mais dont Myumi, malheureusement, était dénuée. Cependant, sa mère lui avait appris à repérer d’autres signes, d’autres gestes. Chez un homme, son excitation sexuelle était facile à apprécier : il suffisait de voir si le petit soldat était au garde-à-vous. Chez une femme, c’était plus subtil, mais, là encore, certains signes avant-coureurs ne mentaient pas : des frissons inexpliqués, un regard qui se perdait, des rougissements subits, des seins qui semblaient un peu comprimés, une certaine inconsistance à rester debout... Des gestes variables, indiquant la façon dont le corps trahissait son porteur, et émettait des signes qu’on pouvait interpréter comme étant la preuve d’une excitation sexuelle.

La jeune femme rousse ne pouvait pas le nier : Elianne l’excitait. Cette air d’innocence sur son corps, ses longs cheveux rose pâle, ce teint de peau légèrement bronzé... Les Japonaises avaient généralement la peau pâle, et les femmes bronzées représentaient donc un fantasme nippon, qui s’exprimait notamment à travers la mode des gyaru, des Japonaises se maquillant de manière excessive, et se faisant bombarder le corps de rayons ultraviolets pour avoir une peau plus basanée. Elianne avait tout pour plaire, et son uniforme scolaire formait comme un papier-cadeau embellissant le tout. En observant son visage, Myu’ ne vit aucune rougeur, aucune joue rouge. Ses mains ne tremblaient pas, pas plus que ses fesses. Pourtant, elle avait une espèce d’intuition. Cependant, cette intuition se fondait-elle sur des éléments objectifs d’appréciation, ou était-elle simplement l’expression du désir qu’elle ressentait à l’égard de la jeune femme ? Comment le déterminer ? Myu’ pouvait tout à fait imaginer qu’Elianne soit excitée par elle, parce qu’elle voulait qu’elle le soit.

« Ça me conviens, vous voulez qu'on commence par quoi ? » demanda alors Elianne, de sa délicieuse voix fliuette.

Près d’elle, Myu’ se rapprocha un peu. Leurs corps se touchèrent à nouveau, notamment à hauteur des jambes. S’humectant les lèvres, Myumi ramena son esprit à des pensées plus prosaïques.

« Voici une petite feuille d’exercices... Les fondamentaux, histoire de voir comment tu t’en sors. »

Le premier exercice était une série de généralités sur les probabilités. Il s’agissait de questions montant progressivement en difficulté. L’intitulé de l’exercice mentionnait l’existence d’un dé à six faces, et de nombreuses questions se développaient ensuite. Elle tendit un stylo à Elianne, et resta à côté d’elle, le temps qu’elle lise la feuille.

« Là, il y a le manuel, ma belle, si tu as besoin d’aide. Je pense que rester à côté de toi pourrait t’angoisser, alors... »

Myu’ avait-elle réalisé qu’elle avait appelé, dans la foulée, Elianne « ma belle » ? Elle se releva en tout cas, et posa alors chacune de ses mains sur les épaules d’Elianne, les massant lentement, ses seins se rapprochant de sa tête, alors qu’elle se pencha.

« Je pense que tu dois avoir un peu faim, non ? Je vais aller préparer le thé avec des biscuits. »

Elle se redressa alors, et se dirigea vers la porte de sortie.

La porte menant à la véranda étant close, la chaleur risquait de monter, car cette pièce était petite, et exposée à la lumière du soleil. Tout avait été savamment calculé par Myumi.

Elle avait cependant oublié que, juste sous le manuel de maths, il y avait son portfolio.

153
Merci à vous ^^

Regis --> Tu n'as pas idée, c'est la passion qui s'exprime dans chacun de mes cours :P

Sayana --> Merci ^^

Tryzox --> Ah bon :o ? Je devrais peut-être postuler comme rabatteuse, alors...

Sentinel Prime --> Et ouais, tu l'as dit, la vache ;D

154
« Vous souhaitez que nous nous installions où ? »

Dans son soutien-gorge aurait pu être une réponse appropriée, mais Myumi sut retenir ses hormones. Elianne, dans sa maison... La maison de Myumi était une maison japonaise classique. On se déchaussait à l’entrée, et on avançait en chaussette. Les portes ressemblaient à des panneaux coulissants, et le sol était lustré, couvert ici et là de tatamis. Ce n’était pas un style occidental, Myumi étant, après tout, originaire du Japon. Elle avait grandi à Mishima, et c’était par l’intermédiaire de sa mère qu’elle avait acheté cette maison, dont elle était propriétaire.

Elle comprenait un étage, et un grenier. Tandis qu’Elianne venait de rentrer, et de poliment se présenter, remerciant naturellement sa senseï pour lui accorder du temps, Myumi, elle, réfléchissait rapidement. Les probabilités, c’était un domaine important des mathématiques, et c’était probablement là le seul héritage intellectuel qu’elle avait hérité de son père. C’était un élément très important des mathématiques, qui avaient de nombreuses finalités pratiques et professionnelles. Il était donc important de les étudier, mais les comprendre n’était pas facile.

*Quelles sont, par exemple, les probabilités que tu finisses dans mon lit ce soir, ma petite Elianne ? Voilà comment je pourrais aborder ce cours, si j’étais un peu moins pudique.*

Il fallait dire qu’Elianne était sacrément appétissante. Les uniformes scolaires japonais, surtout féminins, étaient un objet de fantasme traditionnel, et la directrice de Mishima avait clairement choisi les modèles les plus excitants. Alors que certains avaient des jupes couvrant une bonne partie des jambes, la jupe d’Elianne faisait plus office de minijupe, et son chemisier couvrait parfaitement son corps, lui offrant un superbe décolleté. Il suffisait juste de retirer un bouton pour pouvoir voir ses seins, et, même s’ils n’étaient pas aussi volumineux que ceux de Myu’, ils étaient tout de même suffisamment intéressants pour qu’on daigne s’y attarder un peu. C’était une belle chemise à courtes, dont la couleur, rose pastel, correspondait à la teinture des cheveux d’Elianne.

Après avoir brièvement réfléchi, Myu’ lui répondit rapidement :

« On va se mettre dans le petit salon. Viens, je vais te montrer. »

Myu’ s’avança à travers le couloir, et fila rapidement dans une pièce. Une double porte coulissante menait au jardin intérieur, offrant une belle vue paisible. Il y avait un bureau dans un coin, et elle rapprocha deux chaises, tout en invitant Elianne à s’asseoir, et à l’attendre, le temps qu’elle aille chercher des cours. Myu’ remonta par l’escalier, filant dans sa chambre, et attrapa plusieurs manuels. Elle ne fit pas trop attention, car elle avait en tête la douce voix fluette d’Elianne, ses belles petites formes, sa longue chevelure... Les instincts de succube de Myu’ étaient en train de refaire rapidement surface, et elle respira lentement, s’efforçant de se calmer, de se retenir, de ne pas laisser libre cours à ses pulsions... Pas encore, pas tout de suite !

*Pense à quelque chose de pas bandant du tout... Hum...*

Myu’ oscilla entre sa voisine, une vieille peau acariâtre, et le droit, puis fila avec les manuels, sans réaliser que, parmi eux, il y avait un petit carnet, abritant son portfolio. Un document compromettant, qu’il valait mieux ne pas mettre entre de mauvaises mains... Myu’ redescendit l’escalier, après avoir passé cinq bonnes minutes, et retourna dans le petit salon.

« Je n’ai pas été trop longue ? »

Myumi s’assit pile à côté d’Elianne, si proche qu’Elianne pouvait sans aucun problème sentir son parfum, qu’elle s’était mise en sortant de la douche. Une sorte de délicieux parfum sensuel enivrant. Elle posa la pile de manuels sur la droite, et attrapa le premier, un manuel scolaire classique. Sous ce manuel, il y avait un autre manuel, et, sous ce second manuel, son portfolio.

« Bien ! Alors... Hum... Où l’ai-je mise ? Ah, la voilà ! »

Myumi tournait les pages, et, pendant ce temps, sa jambe se rapprochait négligemment de celle d’Elianne, si bien que, pendant quelques secondes, leurs pieds se heurtèrent, brièvement. Elle ouvrit ensuite une page sur le chapitre consacré aux probabilités, et sortit une feuille.

« En fonction des endroits où tu as échoué dans ton devoir, je t’ai préparé une petite liste d’exercices que nous allons faire ensemble. Ça te convient ? »

Myu’ était tellement proche d’Elianne... Elle ne songeait qu’à une chose : attraper ses cheveux, la tirer en arrière, et lui rouler une pelle merveilleuse. Elianne venait de France... Le French kiss, elle devait donc connaître.

Sinon, Myu’ lui ferait apprendre.

155
« Viens là, toi ! Et toi aussi ! Où est-ce que je l’ai foutu ? Hum... »

Myumi se baladait rapidement dans le salon. Elle venait d’aérer sa belle maison, après avoir passé plus d’une heure à faire le ménage. Hier, elle avait accueilli, chez elle, plusieurs hommes, des amis de sa mère, dont son parrain, qui avaient tenu à lui montrer toute l’affection qu’ils éprouvaient à son égard. Une belle fête pour terminer la semaine. Ce Vendredi-là, Myu’, en effet, ne bossait pas, car les classes avec qui elle avait habituellement cours ce jour-là étaient en sortie. Elle s’était donc réveillée à seize heures, avant de se rappeler, en consultant son agenda, qu’elle avait un rendez-vous avec une élève timide de sa classe : Elianne Roy. Le rendez-vous était prévu pour dans deux heures, et elle avait encore deux hommes dans son lit ! Rapidement, Myu’ les avait balancés dehors, presque en les jetant à poil, avant de leur fermer sèchement la porte au nez, et de faire le ménage.

Pour l’heure, elle avait réussi à ramasser tous les sous-vêtements égarés dans la pièce, et à faire le ménage sur le sol et sur les canapés, essuyant les traces de sperme, de mouille, d’alcool, et autres substances. Elle avait aéré toutes les pièces, passé l’aspirateur, la toile, frotté intensivement les fenêtres maculées de salive, contre lesquelles elle avait été prise, ainsi que la douche, où l’un de ses invités l’avait pris contre le mur. Les amis de sa mère étaient généralement ses serviteurs, des humains normaux, travaillant au sein de sa société, des actionnaires, mais corrompus par le sexe, et obéissant fidèlement à son autoritaire mère. Elle n’avait rien à craindre d’eux, mais Myu’ n’avait juste pas envie qu’on sache ce qu’elle faisait chez elle, et qu’elle avait la réputation d’être une fille facile.

Elianne était l’une de ses élèves. Une fille qui adorait les dessins, qui adorait s’évader en cours, mais qui n’en restait pas moins très studieuse. Elle avait plutôt de bonnes notes, mais observait un seul point faible : les maths. Les chiffres ne voulaient pas rentrer, et sa moyenne en maths était un peu l’ombre noire au tableau. Or, dans un pays aussi sélectif et élitiste que le Japon, c’était un élément qui ne passait pas vraiment. Mishima avait, dans cette optique, développé une sorte de tutorat. C’était un système qu’on retrouvait à l’université, dans lequel les élèves les plus âgés enseignaient aux plus jeunes. À Mishima, les professeurs pouvaient le faire, et obtenaient une compensation, car il fallait le faire sur leur temps libre. Lors du dernier devoir, qui portait sur les probabilités, Elianne avait eu un 07/20, et Myumi lui avait proposé un tutorat, pour l’aider à s’en sortir, et à y voir plus clair.

La jeune fille avait accepté.

« Oh, viens ici, toi ! »

Elle trouva, sous le canapé, un gag ball trempé de salive, et se dépêcha de le foutre dans une malle. Elle fourra ensuite la malle dans un placard qu’elle ferma dans sa chambre, et alla se doucher. Ce faisant, elle oublia de ranger un portfolio qui se tenait dans son bureau, à côté de plusieurs manuels et autres livres, et qui abritait des images compromettantes, des souvenirs d’enfance et de vacances...

Lorsqu’elle fut enfin propre et prête, avec les cheveux trempés, elle entendit la sonnerie, et sursauta. Elle vérifia que la porte menant à sa chambre secrète était fermée, puis descendit les marches menant au rez-de-chaussée. Myumi n’avait pas invité Elianne que pour l’aider dans ses maths. Elle voulait aussi aider cette timide jeune fille à s’insérer dans la société. Elianne était belle, d’une beauté qui faisait rêver Myu’. La belle prof’ fantasmait sur elle,e t avait déjà joui encorrigeant des copies, en s’imaginant lui embrasser les fesses tandis qu’elle ferait un devoir à domicile.

*Calme-toi, Myu’, ne le fais pas fuir !*

Myumi portait sa tenue habituelle : la minijupe rouge, le corset rouge, et l’espèce de blazer  blanc aux manchettes rouges.

Elle ouvrit rapidement la porte, et se retrouva nez à nez avec Elianne.

« Oh, Elianne ! Coucou ! »

Le plus troublant, avec Myumi, c’était sa propension à ne pas suivre les codes en vigueur. Elle était très jeune pour être prof’, et elle ne suivait guère la politesse imposée. C’était presque si elle n’allait pas faire la bise à Elianne.

« Je t’en prie, rentre ! J’ai fait un peu de ménage, je ne voudrais pas que tu puisses penser que ta professeur de mathématiques est mal ordonnée. Tu as trouvé sans difficulté ma petite maison ? Ta journée s’est bien passée ? »

On aurait presque cru qu’elle se prenait pour sa mère, dans la façon dont elle l’abordait.

156
Assez pour te péter le cul, ma jolie <3

Merci ^^

157
Merci, jeune succube complète :D

158
Il suffit de ne pas faire l'école buissonnière <3

159
Merci à vous tous :) Et merci à Enora pour la validation ^^

Diana --> L'image du perso' vient d'un jeu vidéo nippon, auquel je n'ai jamais joué, "Double Teacher Life".

Satori --> Les élèves aiment bien réviser avec moi, je ne comprends pas trop pourquoi :o

160

Nom/Prénom/Surnom : Myumi Ichtora. Appelez-là Myu’. Celui qui la confond avec un Pokemon se reçoit un coup de pied dans le c*l.

Âge : 30 ans

Sexe : Femme

Race : Hybride (mi-humaine, mi-succube)

Orientation sexuelle : Bisexuelle

Situation de départ : Lol

Description physique : Myumi est belle.

D’aucuns pourraient se contenter de cette affirmation, mais détailler ne fait jamais de mal. Myu’ est une superbe professeur avec une longue chevelure rousse flamboyante, une couleur naturelle, qui n’est pas sans rappeler la couleur de peau de sa mère, une succube. Elle a toujours eu des cheveux assez longs, qu’elle entretient soigneusement, à l’image du reste de son corps. Sa grande beauté est un héritage de sa mère, et, à bien y réfléchir, on se demande bien de quoi Myu’ a hérité venant de son défunt père... Sûrement de peu de choses, et c’est d’autant mieux, car Myu’ n’aime que fort peu son père, comme vous le découvrirez dans la suite de votre lecture.

De sa mère, elle a donc hérité de ses formes langoureuses, ce qui inclut notamment sa belle poitrine. Myumi a de gros seins, c’est un fait, c’est incontestable. Elle n’en éprouve aucune gêne, bien au contraire. Là encore, c’est un héritage de sa mère, tout comme l’est son superbe fessier, ses longues jambes sensuelles, sa peau d’une douceur incroyable. Elle est d’une beauté redoutable, de celle qui provoque des érections à de pauvres élèves en plein après-midi, alors qu’ils la voient écrire sur le tableau en se hissant sur la pointe des pieds pour atteindre le sommet du tableau. En effet, sans être petite, Myu’ n’est pas bien grande non plus. Elle rentre donc dans la moyenne.

La jeune femme fait souvent cours avec un costume noir, figurant en-haut de cette fiche, et sa tenue normale est une sorte de veste blanche avec des manches rouges, qui recouvrent un corset rouge fait de lignes verticales, et une minijupe rouge.

Myumi est aussi une amatrice de cosplays, et l’une de ses tenues préférées est une armure médiévale bleue. Ce n’est pas son seul cosplay, bien entendu, car sa mère est suffisamment riche pour lui offrir toute une panoplie, mais c’est celui qu’elle aime le plus. Elle l’a dernièrement exhibé lors d’un festival, et une photographie a été prise d’elle par l’une de ses amies.

Précisons, enfin, que Myumi est une hermaphrodite. Elle peut faire sortir de son vagin un phallus à volonté. C’est, là aussi, un héritage de sa mère.

Pour terminer cette partie en beauté, voici une série d’images de Myu’. Je tiens à prévenir que certaines images sont explicites, et peuvent donc choquer les petits n’enfants.




Caractère : de manière très simple, Myumi est une femme enjouée et heureuse de vivre. Elle ne se prend guère la tête dans la vie, et, quand on a eu comme mère une succube, autant dire qu’on voit la vie en rose, et même en très rose. Hypersexuelle, Myumi a décidé de devenir prof’ pour avoir la chance de pouvoir continuer à côtoyer de jeunes hommes et de jeunes femmes, dans l’unique objectif de coucher avec eux. Elle voit la vie comme une sorte de gros gâteau qu’il faut dévorer pleinement, sans se poser de questions.

Sa forte expérience sexuelle fait qu’elle est souvent très dominante au lit, mais ceci n’exclue nullement qu’elle se laisse soumettre. Myumi en tire même un certain plaisir, et adore volontiers se faire attacher, pour qu’on lui bourre les fesses en l’insultant copieusement. Son plus grand fantasme est de s’enfermer à double tour dans sa classe, et de se faire passer dessus par tous les élèves de sa classe. Elle est ainsi très appréciée de ses élèves, mais ceci a pu, parfois, lui causer quelques problèmes. Elle est en effet parfois tombée sur des amants jaloux, qui n’acceptaient pas facilement sa situation. Très simplement, Myu’ estime que, pour s’attacher à quelqu’un, cette personne doit être suffisamment excitante pour qu’elle puisse avoir envie de n’avoir aucune autre relation sexuelle.

Elle est donc très libre. Kurosaki est son amie d’enfance, une belle femme aux cheveux violets. Elles sont toutes les deux devenues professeurs, mais Kurosaki enseigne à Tokyo. Myu’ et elle se voient donc parfois, lorsque Kurosaki retourne dans sa ville natale.

Histoire : Myumi est née à Seikusu, et fait probablement partie des premiers bébés ayant des parents issus de monde différent. Son père était un homme d’affaires japonais qui n’avait jamais mis les pieds à Seikusu avant de tomber dans un Portail, quelques jours seulement après qu’une Déesse grecque oubliée ait choisi de relier son monde au nôtre. Il était alors venu à Seikusu pour conclure un important contrat entre sa firme, dont il est l’un des cadres, et une entreprise locale. L’homme faisait notamment affaire avec des Yakuzas, et tomba par erreur dans un Portail qui l’amena tout droit à Ashnard.

C’est là qu’il y croisa la mère de Myumi, Erelda, que vous pouvez aussi voir ici de profil, parce que je suis gentille. La redoutable succube n’avait jamais entendu parler des Terriens, et trouva l’homme à son goût. Ils firent rapidement l’amour, et l’homme devint son esclave au bout de quelques jours. Erelda décida ensuite de se rendre sur Terre, où elle se fit passer pour une femme normale. Polymorphe, elle réussit s’insérer dans cette société, se maria à l’homme, et obtint de lui une fille : Myumi. Revenir sur Ashnard ne la tentait plus, et, quand elle en eut assez de l’homme, elle se débrouilla pour qu’il meure, ce dernier lui offrant, sur son testament, toute sa fortune.

Erelda, qui adopta le nom humain d’Akiko, éduqua sa fille, sans jamais se remarier, enchaînant toutefois les amants. Dans la tradition des succubes, elle égaya assez rapidement l’appétit sexuel de Myumi, et lui apprit à se servir de son sexe masculin, un héritage de sa nature très particulière. Elle l’emmena aussi sur Terra, et inscrivit Myumi au lycée Mishima. Akiko se chargea d’ôter à Myu’ sa virginité quand cette dernière eut ses floraisons, et Myu’ se chargea ensuite d’enlever la virginité à ses camarades.

Kurosaki était une amie d’enfance de Myu’, originaire de Seikusu également, rencontrée à la maternelle. Les deux ne se séparèrent qu’après avoir quitté la fac’. Myu’ lui ôta sa virginité, et elles devinrent des amantes. Leur relation était toutefois très perverse, car elles se trouvaient des petits amis, uniquement pour avoir le plaisir de les partager, avant de les abandonner, quand elles s’étaient lassées d’eux. C’est ce qui finit par amener Erelda à séparer le couple, et à se débrouiller, en faisant jouer ses relations, pour que Kurosaki soit mutée à Tokyo. En effet, Myumi avait de plus en plus tendance à s’attirer des problèmes, car elle n’hésitait pas à jouer avec des êtres peu recommandables, comme des Yakuzas. Or, si Erelda restait une succube, Myumi était sa fille, et elle l’aimait.

Myu’ fut assez chagrinée d’être séparée de Kurosaki, mais elles se revoyaient assez souvent, bien que ce soit de plus en plus espacé.

Myumi travaille maintenant comme professeur de mathématiques à Mishima, et vient tout juste de terminer sa formation préparatoire.

Elle est donc fin prête à enseigner, et à recevoir, avec joie et plaisir, ses nouveaux élèves !

Autres : Myu’ n’a aucune particularité spéciale, si ce n’est celle d’être hermaphrodite, et d’être, sexuellement, aussi gourmande qu’infatigable.

Comment avez vous connu le forum : Comme tout le monde, en allant dessus ^^

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Nope.

RPs

1°) Cours particulier, what else ? [Elianne Roy] [EN COURS]
2°) Un Oral inattendu [Iruka Seishi] [ABANDONNÉ]
3°) Nouveau pion [Cinis] [ABANDONNÉ]
4°) Des cours particuliers [Elia Nelyn] [ABANDONNÉ]
5°) Cours du soir [Kjersti] [ABANDONNÉ]
6°) À maligne, maligne et demie [Iinuki / Rin Hanazono] [ABANDONNÉ]
7°) Premier contact [Hermaphrodite] [ABANDONNÉ]
8°) Le choc des succubes [Lydia] [ABANDONNÉ]
9°) Ichtora-senseï apprends-moi à compter [Marie Anne] [EN COURS]
10°) Hana a encore craqué ! [Hana Midorikawa] [EN COURS]
11°) Chaleur scolaire [Mira Crone] [EN COURS]
12°) Lust For Life [Jack Taylor] [EN COURS]
13°) Porno Star [Magdalena Takao] [EN COURS]
14°) Grande évolution du Futabu [Oohashi Sumika] [EN COURS]
15°) Reportage à Mishima [Bellona Melbourne] [EN COURS]
16°) Éducation sexuelle et relation ambiguë [Akasaka Aiko] [EN COURS]

Pages: 1 ... 9 10 [11]