Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Kenza

Pages: [1]
1
Salles de cours et bibliothèque / Collés [Pv Akira E.]
« le: lundi 09 février 2009, 13:04:49 »

Le soleil se couchait à peine en cette journée d’hiver. Kenza attendait seule dans une classe. Elle venait d’être collée pour la première fois de sa vie, car elle avait oublié de rendre un devoir important. Sa corvée était de faire le ménage dans cette salle. Balais en main et habillée dans un tablier par-dessus son uniforme de lycéenne, elle avait commencé à nettoyer sans grande conviction, soupirant par moment, voulant pleurer à d’autres.

De plus, elle ne savait pas faire le ménage. Cette salle de cours était immense et ma foi, un peu sale. Sûrement trop sale pour qu’elle, une simple petite fille de bourgeois, puisse y faire quelque chose. Elle déposa son balais et s’accorda une pause. Fronçant les sourcils, elle leva son regard au plafond pour se plaindre :

« J en arriverai jamais, si seulement d’autres étaient collés pour m’aider aussi… »


S’essuyant le front d’un geste de la main, elle fit le tour de la classe, s’ennuyant. Elle n’avait pas du tout envie de reprendre son ménage.


2
L'auberge du Coucher de Lune / En Cavale [PV Bleiz]
« le: lundi 09 février 2009, 12:38:49 »
 Rappelez-vous, Kenza avait fini entre les mains de Don, le marchand d’esclave. Après quelques semaines de captivité, elle avait tenté sa chance avec d’autres esclaves et s’était enfuie. Beaucoup de son groupe s’étaient fait rattraper, mais elle avait mis toute l’énergie du désespoir pour partir et ne pas se retourner, même si elle tombait. Elle avait couru des heures entières, croiser pleins de monde. Elle ne s’était cependant pas arrêtée, même pour tout l’or du monde. Après les nombreux viols qu’elle eût du subir là-bas elle s’était endurcie et avait appris se méfier plus que jamais.

Couverte d’un long manteau de moine, car en dessous elle était nue, les esclaves n’avaient pas le luxe du vêtement. Elle arriva à Nexus en bien mauvais état. Ses jambes tremblaient et elle était terriblement fatiguée. Elle avait erré dans la ville, sursautant à la moindre interpellation, rasant les murs : bref, se faisant plus suspecte que discrète par son attitude méfiante. Elle ne connaissait rien de ce monde et était dépaysée la terre lui manquait. Elle n’avait pas d’argent.

Ses pas la conduire devant une auberge, c’était parfait pour se reposer…quand on avait un peu de monnaie. Là, ses poches étaient vides. Il était hors de question de négocier quoique ce soit avec son corps. Elle avait appris à avoir une fierté, la belle. Décidée, elle entra dans l’auberge et profitant que le personnel soit occupé monta à l’étage. Elle s’engouffra dans une chambre quelconque, occupée d’après les affaires qu’elle y trouvaient. Le client, puisque les affaires étaient typiquement masculines, devait être en bas pour se restaurer. Vite. Elle gagnait la petite salle de bain et entreprit de faire sa toilette avant qu’il ne revienne.

3
Dortoirs et douches / Se faire plaisir : un Luxe. [PV Hero]
« le: lundi 09 février 2009, 12:30:25 »


Kenza était fatiguée. Elle soupira et lâcha son sac de sport et s'assit sur le banc des vestiaires mixtes. En réalité, il n'y avait jamais eu de vestiaires séparés puisqu'elle avait déjà surpris des garçons dans ceux des filles et vice versa. Avec application, tirant la langue sur le côté, elle se mit à retirer son uniforme de sport. Elle était un peu en sueur après les deux heures de courses qu'elle avait eu et la douche la réclamait. Elle fermait les yeux, tout en se déshabillant, imaginant déjà l'eau chaude mordre sa peau et la masser pour dénouer ses membres courbaturés. A tous les coups cela lui ferait un bien fou.

Assez contente, elle finit de plier son petit short et son maillot pour les fourrer dans le sac. Elle dégrafa son soutien gorge et le jeta sur le banc avant de s’enrouler d’une serviette, et d’enlever sa culotte pour la jeter en boule sur le banc aussi. Se relevant dans un soupir de douleur et d’inconfort, elle jeta un regard aux alentours. Seule ? Tant mieux, elle avait pris sa tranche horaire de sport très tard le soir pour pouvoir se doucher tranquille.

Elle se dirigea alors ver les douches, en faisant attention de ne pas glisser sur le carrelage humide. Choisissant une cabine au hasard, elle s’engouffra dedans et laissa les deux volets, censés servir de porte, sur refermer. Ils cachaient juste son corps, on pouvait encore voir son visage, ses épaules et ses jambes. Mettant la serviette sur ces mêmes volets, elle alluma l’eau de la douche et tourna le dos.

« Enfin… » soupira-t-elle en sentant l’eau.


4
Le coin du chalant / Un Nouveau Sujet =)
« le: dimanche 08 février 2009, 20:30:05 »
Sujet du topic : A voir =)

Nombre de participants :
Un

Trame : Une personne qui n'a pas froid aux yeux, ca se passera sur le plan de Terra.

Qualité de post : Peu importe la qualité...

5
L'Art / Last Act [NC-17]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 20:42:28 »
Sur petite demande de Don et pi parce qu'aussi je devais le faire

Auteur : Moi ^^
Titre : Last Act [ou Dernier Acte]
Genre : Lemon [plus ou moins hard]
Fandom : Naruto.
Naruto et ses amis ont à peu près 17 ans.
Tsunade est Hokage.
Ils sont encore Chuunin

Bonne lecture.

PS : désolée pour les fautes u_u



POV Sakura

Deux ninjas étaient pressés contre la grille, leur regard luisant de perversité. Sasuke me serrait contre lui. Pour la première fois de ma vie, j'avais peur devant eux. Ils avaient de la bave aux coins des lèvres dénonçant hostilement leur aliénation. Notre cellule était petite et sombre, trop intime à mon goût...nous entendions Naruto hurler quelque part torturé dans ce palais de gêole. L'un des shinobis haleta comme un chien langue pendante, il frappa contre la grille en criant :

-Déshabille-la ! Déshabille la!

Nous sûmes non avec une certaine horreur mêlée à de la gêne qu'il parlait à Sasuke. Ce dernier se mit à trembler contre moi, pas un tremblement de peur non. Mais plutôt de douce frustration, il se maîtrisait. Maintenant je n'aurais su dire s'il se maîtrisait pour ne pas répondre au gardien ou bien s'il se maîtrisait pour ne pas me déshabiller d'une traite faisant plaisir à nos ravisseurs. Mais Naruto criait toujours, Dieu seul savait ce qu'ils lui faisaient. Et Kabuto avait été clair, si nous n'obéissions pas...le blond mourrait de ces tortures sûrement plus inhumaines que ce qui était cité dans les actes criminels du Bingo Book.

Je sentis alors une main d'homme se faufiler comme un serpent sous mon T-shirt, je sursautai mais Uchiwa plaqua sa bouche tremblante à mon oreille :

"Je ne te ferai pas de mal Sakura, mais si nous voulons que Naruto ait la vie sauve...nous allons devoir être...

Il remonta mon haut, dévoilant mon ventre, puis bientôt mon soutien-gorge pourpre. Je frissonnai quand il rajouta le dernier mot de sa phrase :

- patients très chère...

Se moquait-il ? Ou bien essayait-il de détendre l'atmosphère, de rendre ce moment moins humiliant et plus excitant. Seulement cette situation là, ne m'excitait pas. Malgré le mains de Sasuke qui m'enlevaient sensuellement mon habit de kunoichi. Le garde frappa de nouveau contre la grille, soufflant comme il n'était pas permis, les yeux exorbités de folie :

-Plus vite ! Violent! Violent!

Nous sursautâmes, Sasuke et moi. Je levai mon regard vers mon collègue, un regard tremblant, suppliant, il m'avait promis qu'il ne me ferait pas de mal. Et dans tous les cas je n'étais pas consentante ; même pour sauver Naruto. Seulement Uchiwa n'était pas de cet avis. Il me cogna à terre, m'allongeant de manière vulgaire.

-Désolé Sakura...mais on peut pas se permettre de jouer avec la vie de Naruto pour des broutilles.

Il m'arracha littéralement mon soutien gorge tout en se mettant à califourchon sur moi. Ma poitrine se dévoila à lui dans un sursaut de chair, blanche possédant pour l'instant une peau lisse. Je ne pus m'empêcher d'attraper au passage le regard empli d'envie que le sharingan leur lança. A mes seins, à un bout de mon corps que je ne voulais absolument pas qu'il touche. Ce n'était pas légitime, mais il continua, se foutant pas mal de ma notion de légitimité. J'entendais les gardes fous rirent bruyamment lâchant des râles pour l'instant, au commencement d'une excitation qui prendrait tous les mâles présents. Le brun défit ma jupe-short, vivement, brusquement s'acharnant sur ma malheureuse braguette qui ne lui avait rien demandé. Il la fit glisser sur mes cuisses, en profitant pour en caresser l'intérieur, puis sur mes jambes qu'il parcourut avidement du regard. Puis cinq secondes après, chaussures et chaussettes n'étaient plus de la partie. J'étais totalement nue, à la merci d'un ami qui comptait beaucoup à mes yeux, la merci des cris d'un autre ami qui souffrait.

Je me voyais suppliant le regard de Sasuke d'arrêter de dévorer mon corps soumis indirectement aux ninjas ennemis, quand il me toucherait je sentirais les mains des gardes sur ma peau. Je ne pouvais plus bouger, j'avais trop honte de me laisser faire ainsi prise par un sentiment d'hésitation qui voulait me faire pleurer tellement il était pathétique. Nouveaux coups contre la grille, cette fois...c'était les deux soldats qui frappaient comme des singes dans un zoo. Ils hurlaient des choses que je ne voulais pas entendre, tellement que je collai mes mains à mes oreilles :

-Baise-la petit con ! Prends-la ! Prends-la ! Ou bien on saigne ton ami le baka !

Sasuke les regarda, tristement, presque atteré par leur état mental et il hocha la tête. Je fermai les yeux, comment pouvait-il être d'accord ? Il pensait que mon honneur comptait moins que la vie de Naruto. Il défit son pantalon, sans prendre la peine d'enlever son haut...je regardais faire ses doigts avec horreur, des doigts qui j'espérais ne s'amuseraient pas en vaines préliminaires; s'il devait me baiser comme les autres disaient alors autant que ce soit rapidement et vite fait. Le bien fait étant accessoire vu l'état dans lequel je me trouvais. Quand je fermais de nouveau les yeux pour échapper à toute cette comédie, je sentis une nouvelle fois les lèvres de mon coéquipier pressées contre mon oreille, son souffle se perdant inutilement sur mon cou :

-Ne t'en fais pas, je ne suis pas assez excité pour te...prendre maintenant...

J'ouvris soudainement les yeux, la bouche mi-ouverte comme frappée par la foudre. Sa voix était si sensuelle, pourquoi croyait-il que cela ne serait qu'un jeu de plaisir ? Son timbre était presque mélancolique comme s'il n'avait pas le choix. Je me redressai alors sur un coude déterminée, voulant en finir avec cette situation ridicule :

-Sasuke, trouve un moyen de nous sortir de là au lieu...de faire ce que tu fais! C'est dégradant !

-Oh non...pour une fois que je peux trouver un moyen de sortir d'ici plaisant. Je t'en prie Sakura...la vie de Naruto est en jeu et pas seulement ta pudeur. Alors mets cette dernière de côté et laisse-moi juste faire. Il se pourrait même que tu en redemande...

La gifle partit toute seule, voilà d'où viendrait le plaisir pour moi : des coups que je lui donnerais. Il se permettait de me traiter comme sa petite amie à outrance. Je ne voulais pas coucher avec lui, pas dans ces conditions, pas sous les yeux effarés de deux vieux fous qui au final nous tueraient. Je demandais juste un peu plus de dignité, de respect, d'intelligence. Et lui, il me sortait par les yeux pour l'instant. Il se massa la joue, un sourire béat aux lèvres alors que les soldat acclamaient ma claque :

- Violent ! Violent ! hurlèrent-ils à l'intention de Sasuke, dans leur voix résonnaient la témérité de la punition. Chez les nouveaux ninjas d'Oto à mon avis la femme ne devait pas être considérée au point de lever la main sur un homme. Les sharingans de l'Uchiwa s'activèrent et tombèrent sur moi. Je sentis une espèce de renflement progressive se créer contre ma cuisse :

-Maintenant je suis excité...

Il m'agrippa violemment les poignets et les plaqua au sol, entravant mes derniers espoirs de résistance. Il se frotta contre moi de manière osée, me laissant avec mon désarroi et sa nouvelle érection.

Une horreur simple, brute que je n'aurais jamais pu imaginer si douce à mon esprit. Mes yeux verts ne pouvaient s'empêcher de se régaler avec cette vision intime ; son sexe avait une épaisseur agréable à regarder, des petites veines le parcouraient trahissant une excitation innée. Dans l'absolu, je n'avais pensé qu'à protéger ma pudeur éloignant les feux du sacrifices, étouffant les murmures de mes vices les plus secrets. En musique de fond, deux seuls artistes : les gardiens qui grognaient de manière spontanée, excités. Ils frappaient la grille de plus en plus fort, au fur et à mesure que le phalus se rapprochait des portes de mon intimité. Dans un réflexe absurde mes cuisses s'écartèrent, se sentant elles-mêmes prêtes à dévoiler un tunnel frémissant de désir. Un désir naissant comme l'aurore qui obligeaient mes muscles internes à se réveiller par des contractions douloureuses qui se perdaient dans un néant humide et chaud.

Il frottait désormais avec une impatience exaspérée sa verge dressée contre mon bas ventre, faisant ainsi le siège de mon intimité, assaillie par son audace charnelle. Mon consentement avait jailli comme une source en même temps que le musc crémeux qui lubrifiait mes parois internes. Son odeur enivrante m'incitait à l'inviter en moi par des murmures audacieux. Je sentais ses mains parcoururent l'intérieur de mes cuisses humides de sueur et chaudes, puis remonter paresseusement vers mes hanches avant de s'y accrocher. Il n'en pouvait plus de ce jeu mortellement douloureux , qui consistait à frôler les lèvres de mon intimé me faisant soupirer, faisant couler à flot mon lait sexuel.

-Sasuke...

Il me répondit en introduisant en moi sa verge presque parfaite d'une manière sèche et brusque qui me força au silence. Sa pénétration déclencha une vague de douleur ne laissant au plaisir que le rôle de l'écume, douce et fragile. Les yeux fermés, je sentais qu'il n'était pas entièrement en moi...il s'adaptait à mon vagin très étroit, espérant le dilater en quelques secondes d'habitude. Mais cela ne suffisait pas, c'était pour ça que ses yeux étaient à la recherche d'un accord muet que donnerait une expression singulière sur mon visage. Je restais mystérieuse, immobile profitant un maximum de ce bout de corps étranger en moi. Tendue et cambrée, je n'arrivais pas à conclure avec un mouvement

-Hn, murmura-t-il, c'est si étroit...

Les gardes nous dévoraient de leur regard pervers, suspendus à nos gestes....je tournais la tête vers eux et ouvrit les yeux. Uchiwa prit cela comme un accord, il entama son va et vient, entrant et sortant en moi comme si j'avais été un moulin. C'était si bizarre d'être aux limites du plaisir et de se laisser guider par des frissons de désir et de satisfaction. C'était effrayant de voir les portes du septième ciel s'ouvrir pour sauver la vie d'un ami. Mes poings se serrèrent et mon coeur trembla. Je me cambrai de nouveau, consentement et accords en tous genres avaient disparu. Je ne voulais plus. Cette phrase résonna en écho dans tout mon corps, pris d'un sursaut, j'essayais de repousser Sasuke qui ne comprit pas mon agitement. Je ne sus pas ce qu'il comprit d'ailleurs mais il me pénétra complètement, entrant très profondément en moi. Je lâchai un cri étranglé que les soldats apprécièrent en applaudissant comme des dégénérés. Le sexe du ninja s’enfonçait impitoyablement en moi, d’une manière brusque et ne me laissant aucun répit. Je le sentais venir en moi au fur et à mesure qu'il lâchait des râles rauques, les yeux mi-clos, le corps en sueur, augmentant périodiquement cette cadence infernale. Entrant, sortant puis entrant à nouveau.. Mes mains étaient impuissantes posées sur son torse, ne trouvant plus cette force de le pousser loin de moi. Ma tête me tournait, j'étais dans l'incapacité de maîtriser deux fronts. Il essayait perpétuellement d'aller plus loin, de s'enfoncer pour faire exploser ce fameux point G.

-Viens Sakura...allez un petit effort, grogna-t-il les dents serrés.

Des larmes perlèrent à mes yeux, je ne voulais pas bouger...je sentais mon dos conclure avec le sol froid de la cellule toujours aussi sombre. Ces coups de reins prirent une certaine puissance, abrupt dépourvue de douceur. Il devait juste me défoncer pour sauver Naruto, il ne voyait pas où était le problème. Mais que les gardes arrêtent ces coups donnés à la grille, ils n'en avaient pas marre. Les mains du bruns descendirent le long de mes cuisses pleines de sueur, il les souleva pour plus de confort, me mettant dans une position qui lui facilitait le chemin jusqu'au bout. Quel bout ? Moi je sentais juste son sexe déchirer mon intimité par son épaisseur et son excitation.Je ne sentais pas de plaisir, mais plutôt de la colère et de l'impuissance, pour moi cet acte n'avait pas de but. Mes pensées tourbillonnaient alors que Sasuke tremblait contre moi, son corps devenait tendu, ses coups de bassin se faisaient plus lents. Il restait plus longtemps en moi avant de sortir, ces râles se prolongeaient et sa voix grave me faisait trembler.Ce n'était pas sensuel juste sexuel. je ne voyais pas d'affection dans ce qu'il me faisait juste du besoin, de la nécessité...je détestais gémir, mais je n'avais pas le choix, ma voix m'échappait et à chaque pénétration je couinais comme un hochet, cela lui procurait du plaisir. Je savais que cela l'encourageait; ma voix aigue accompagnait de manière aussi vulgaire ses actes...

- Lâche-la ! Lâche-la ! hurla un garde comprenait qu'il allait bientôt jouir.

Mais il n'écouta que d'une oreille distraite, oh non, Sasuke Uchiwa ne me lâcherait pas maintenant; Il voulait son orgasme, il ne pouvait pas lutter contre cette envie bestiale qu'il devait refouler au fond de mon ventre. Il se cambra soudainement, restant immobile, voyant déjà les rives de l'orgasme, s'approchant d'elles à vitesse V. Je gémis un peu de douleur, son sexe pulsait de façon beaucoup trop puissante pour mon intimité déjà trop molestée par ses abus. Une de ses mains traversa ma poitrine, puis mon cou et termina sur ma joue. Il me regardait, les yeux mi-clos, les dents serrées, près à éjaculer....mes gémissements se perdaient dans des murmures incompréhensibles. Sasuke me mit un doigt dans la bouche, qu'il enfonça profondément alors que sa verge essayait lentement d'atteindre un endroit plus poussé en moi. J'entendis un bruit qui n'était pas dans le paysage sonore habituel, Sasuke sursauta brusquement, m'arrachant un petit cri de surprise et de douleur avant de se retirer de manière très violente me coupant le souffle. Je ressentis ce vide grandir en moi rapidement comme une douleur intense. Sasuke était toujours contre moi, de son entrejambe excitée, posée sur ma cuisse, je sentis un liquide chaud s'écouler. Je frissonnai de honte, de colère et de plaisir malsain. Il avait fini par éjaculer, mais pas à l'endroit prévu à cet effet.

-Séparez-vous, lança très fort la voix d'un des deux gardes. Ce brusque retour à la lucidité me parut étrange et encore plus déviant que d'habitude. Je repoussai mon coéquipier pantelant qui roula sur le côté...un trait rouge balafrant sa joue pâle. Je venais de comprendre qu'un kunaï l'avait frôlé de très près, l'obligeant à me libérer de son étreinte sexuelle.

-Putain de mecs...ils auraient pu me laisser finir...

-Imbécile! hurlai-je.

je voulais le frapper, lui ouvrir le ventre pour observer ses entrailles se glisser hors de son corps. Il devait souffrir pour ce qu'il venait de me faire bêtement. Les deux gardes avaient été sadiques, le retirer de moi juste au moment de l'orgasme. Sasuke se mit à genou et m'admira, un air de désolation se promena innocemment sur son visage :

-Je suis désolé...

-Menteur ! m'exclamai-je hors de moi. Un des gardes tapa violemment contre les barreaux en lâchant des cris d'animal. je m'assis me massant un dos douloureux, éprouvé par un sol dur. Je daignais regarder vers l'extérieur, c'était douloureux, de savoir qu'il y avait un espoir de sortir. Mais plus mort que vivant. Une autre chose, un peu plus rassurante que mon sordide constat était que la voix de Naruto ne se faisait plus entendre.

-Ils l'ont peut-être tué, lâcha Uchiwa pour mettre fin à tous mes espoirs.

Tuer Naruto ? Alors nous avions fait cela pour rien, j'avais souffert de manière absurde en accueillant en moi l'artillerie lourde de mon collègue. J'éprouvais une sorte de dégoût en voyant la semence de Sasuke couler le long de ma cuisse, prenant un chemin lent, luisant sur ma peau en sueur...évitant les marques rouges laissés par les doigts de mon second. Quelque chose dans ce liquide translucide parfois blanc soulevait une douce horreur en moi. Je mis une main sur mon ventre et ne put m'empêcher de vomir. Je me sentais souillée, ma seule envie était de frotter ma peau jusqu'au sang, pour me débarrasser de l'odeur de Sasuke, de sa marque sexuelle laissée en moi et sur moi.

-Hé Sakura...soupira-t-il en s'approchant mais je l'arrêtais d'un geste du bras. Je ne voulais plus qu'il m'approche, peu importe s'il avait aimé m'humilier en faisant confiance aux gardes. Pourquoi voulait-il me prendre à nouveau dans ses bras, alors qu'il m'avait violentée. Il voulait me réconforter alors que dehors deux hommes se branlaient encore de ce qu'il avait osé me faire subir. J'essuyai ma bouche sans grâce et portait un regard dur sur le sharingan :

-Trop tard Sasuke;..maintenant c'est chacun pour soi. Tu m'as fait mal....




[/pre]

6
Le quartier de la Toussaint / Shop..Shopless! Ca veut rien dire peut-être ? [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 01:20:24 »
« Ne ? Ne ? Ken-chan , Elle est jolie cette robe! »

Eh Kenza tourna brusquement son regard vers l’une de ses rares amies qui l’avait emmené faire du shopping. Voilà depuis une heure qu’elle était plantée devant…ces vitrines sans intérêt et son amie ne daignait même pas rentrer dans le magasin, elle se contentait d’exclamation admiratives qui laissaient notre rousse fatiguée. Nobu soupira et la suivit alors qu’elle se dirigea vers un magasin de chaussure.

« Ah non je les veux Kenza! Franchement le rouge c’est trop beau ! »

Elles avaient dix sept années, que faire d’autres un bel après-midi de printemps à part ça ? Kenza grimaça en détournant son regard clair. Non merci, elle n’était pas intéressée par toutes ces coquetteries. Elle aurai t préféré la grande librairie mais forcément, ça lui aurait donné l’occasion de perdre une de ses rares amies. Elles firent donc d’innombrables allées et venues. Les jambes de Nobu peu habituées à ce genre d’exercice intense criaient grâce.

Son amie s’arrêta de nouveau devant une vitrine, et Kenza rompue par la fatigue et abusée par la foule qui passait partout, ne fit plus attention à elle et se dirigea comme un zombie vers les toilettes pour femme du centre. Là, elle lâcha son sac et se précipita au robinet pour se passer de l’eau sur le visage. C’était bon de se rafraîchir un peu.

Elle observa à gauche et à droite, pudique, avant de passer une main mouillée sur son cou et la naissance de son décolleté, car miracle elle en portait un aujourd’hui. Close obligatoire si elle souhaitait accompagner son amie. Bref, elle s’appuya conter le lavabo et soupira une nouvelle fois.
Un peu de répit, ça ne lui causerait aucun tort et tant pis pour l’autre avec ses chaussures. Elle rougit de sa propre méchanceté et se morfondit un peu.

« Tellement fatiguée.. 
» se plaignit-elle.

Et pour appuyer ses paroles, elle s'appuya contre la porte, totalement éreintée.



7
Le quartier de la Toussaint / Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]
« le: vendredi 07 novembre 2008, 00:40:50 »

Kenza était aujourd’hui de congé, en réalité non. Son professeur de musique était simplement absent et au lieu de flâner au Conservatoire comme elle le faisait quand ça arrivait, elle était sortie car la jeune fille cherchait quelque chose de précis. Un Boulot. Elle avait conscience de sa faiblesse face à la véritable vie d’adulte et préférait commencer par un petit travail sympathique - haha qu’est-ce qu’elle était mignonne - et pouvoir en retirer l’unique gloire du revenu. S’acheter une glace avec son premier salaire, c’était un rêve tellement unique sans ironie. Le problème résidait dans le fait qu’elle ne sortait jamais en ville sans un de ses parents.

Ce n’était donc pas par hasard qu’elle était perdue dans un vilain quartier tout moche qu’elle aurait franchement pu éviter. Ce n’était pas la première fois que ça lui arrivait, mais honnêtement, son portable n’avait plus de batterie donc elle ne pouvait pas attendre dans un coin que sa mère vienne la chercher C’était terrible et pourtant, elle ne paniquait pas, enfin un peu. Elle se disait qu’elle pourrait tenter de trouver un travail ici. Enfin, à part croque-mort ou catin de bas quartier, on ne voyait pas trop quel boulot sympathique elle pourrait trouver pour s’acheter une glace à la fraise.

Elle déglutit discrètement tentant de raser les murs et surtout de ne pas salir ses petites ballerines vernies qu’elle affectionnaient tant.  Elle était en uniforme de lycéenne, ce n’était pas nouveau. Elle mettait rarement autre chose à part pour des concerto. Une autre affaire.

« Hey toi là. »

Non, on ne s’adressait pas à elle. Elle s’étrangla avec un petit désolée et traça son chemin directement. Ne souhaitant même pas savoir qui l’avait interpellée. Les inconnus c’était bof-bof chez elle. Elle bifurqua dans une ruelle et tenta tout de même d’allumer son portable sans succès, elle le remit dans la poche de sa jupe avant de stopper net devant un mur à moitié calciné. Et bien, c’était son jour, un cul de sac. Son sens de l’orientation était tellement pourrie, elle n’aurait jamais du refuser les courses d’orientation que ses parents lui proposaient en divertissement.

« Je n’ai pas de chance »
gémit-elle.

Ca alors, un peu plus et elle en serait pathétique. Et bien ma fille, inutile de regarder ce mur comme si tu allais l’escalader. Fais demi-tour. Mais si c’était pour se perdre à nouveau. Mauvais choix. Elle s’accroupit et se frotta la tête, ébouriffant ses cheveux bruns clairs, à la recherche d’une solution potable. Elle était intelligente non ? Demander son chemin restait la meilleure chose à faire, mais encore fallait -il croiser quelqu’un  ne ?

Elle se redressa en soupirant et tira sur sa jupe un peu trop courte à son goût. Elle n’aimait pas ses jambes fines et blanches et tentait de les cacher par tous les moyens et l’uniforme était fâché avec ce genre de moyens. Elle se dirigea donc vers une porte en acier cloutée présente sur l’une des façades des immeubles qui encadraient la ruelle et frappa, à bon entendeur.

« S’il vous plaît, ouvrez..c’est.. »

Elle réfléchit en grimaçant.

« c’est urgent ! »

Voilà avec ça, elle était sûre qu’on lui obéirait. Y’avait-il seulement quelque un derrière cette porte.

8
Prélude / Kenza Nobunaga
« le: jeudi 06 novembre 2008, 22:30:27 »
Nom/Prenom/Surnom : Nobunaga / Kenza / Ken-chan

Age : 17 ans

Sexe : Fem.

Race
:Humaine

Orientation sexuelle:
Un peu de tout, mais Hétéro principalement

Description physique :
Kenza n’est pas bien haute, comme trois pommes on pourrait dire même. 1m62 et ça ne sera sans doute jamais plus haut pour un petit poids de 47 kilogrammes. Autant dire que Nobunaga est chétive, sans forme distinctive. La poitrine qui grandit, elle la cache derrière des vêtements amples, tuniques et autres pour son uniforme, elle ne se détache jamais de sa veste qui couvre ses formes. Elle porte sa jupe longue, pour couvrir pudiquement ses petites jambes s’apparentant des allumettes. Elle possède de longs cheveux aubrun qui reflètent facilement le moindre jeu de lumière accentuant l’éclatante blancheur de sa peau. On la compare donc souvent à ce genre de sainte martyre, fragile de par un physique joli mais repoussé par la modernité. Kenza ressemble à une fille du siècle dernier. Sa bouche petite et en cul de poule laisse dévoilent des dents parfaitement alignées avec de légers défauts la rendant plus humaine et ses grands yeux observent le monde avec une lueur étrange, presque éteinte.

Caractère : Comment décrire une aussi grande fragilité extérieure. Devant autrui, face à cet autre tant redouté, Kenza ne peut rechigner faire preuve de douceur et de générosité. Incapable de dire non et assez ingénue, elle dit avec difficulté ce qu’elle pense mais elle le dit. Loin de l’hypocrisie de sa société, elle se tient candide et naturelle sans jamais se trahir dans quelque acte de contradiction que ce soit. Posée et intelligente, elle est d’un petit raffinement qui attise un mystère profond et la rendent attachante et hypersensible. Beaucoup de filles détestent ses airs de saintes, car sainte, elle l’est. Quoiqu’on lui fasse, elle se montrera toujours gentille et abusée de douceur. Ne sachant ni être méchante, ni se défendre, elle ressemble à ce genre de proie qui plutôt que de fuir lâchement, observent leur prédateurs fascinées. Elle est toujours portée par ce que lui dicte son cœur et pleine de bonnes intentions, elle ne s’apprête jamais à faire du mal ou bien c’est involontaire. Pure de toute relation amicale ou amoureuse, elle évolue dans un univers vierge et immaculé. Son intelligence la renvoie à sa solide et l’être exceptionnelle qu’elle devait être devient terriblement seul. Peu affirmée et renfermée, elle ne fera rien pour contrarier ses pères, laissant donc le champ libre à tous ceux désirant se servir d’elle et lui marcher sur les pieds. Incapable de protester, elle subit seule les violences de ses camarades au collège, la persécution fut récurrente, lui forgeant un caractère soumis et pauvre qui fait que peu de personne s’intéressent à elle, la laissant à part au mieux, la persécutant au pire. Pour son silence, sa douceur, sa générosité et toutes ces bonnes choses qu’elle devraient faire en mal. On ne s’explique pas son humanité, sa gentillesse et sa pureté qui la rendent agaçante, parfois même inintéressante.

Histoire : Kenza est une prématurée, grande prématurée même, alors qu’elle devait naître en Mars, elle s’est présenté un 28 Janvier à la vie. Sa mère était une grande chercheuse en génétique et microbiologie, elle travaillait pour les laboratoires sophistiqués que possédait son mari, biologiste. Sakura Nobunaga  née Nagasawa, donna la vie à un bébé d’un kilos six cent grammes. Les médecins affolé ne donnèrent pas plus quelques jours à la petite Kenza avant que cette dernière ne succombe à sa fragilité. Et pourtant, Kenza survécut. Battante dès sa naissance, elle apprit à respirer seule, à avaler son lait seule et à lutter contre bactéries et autres virus. Sa mère fut très fière d’elle, son père non. Haru Shô ne désirait pas Kaede, pour lui un enfant était trop encombrant de plus, il aurait souhaité un héritier. Hors, à cause d’un accouchement éprouvant, Sakura ne fut plus en mesure de concevoir d’autres enfants. Haru considéra Kade comme responsable. Jamais il ne lui porta pas d’amour ni de considération, rien que de voir cet enfant le mettait dans une rage terrible. Sakura dut se résoudre à abandonner Kenza
Par chance, le petit frère de Haru, célèbre écrivain âgé de 23 ans, accepta d’adopter Kenza Lui et sa jeune femme âgée de 18 ans vinrent chercher le bébé à l’hôpital. Ainsi les parents de Kenza furent Kenta et Sora Nobunaga, un jeune couple. Comme dit plus haut, Kenta était un grand écrivain de fantastique et SF, un genre de Stephen King japonais, quant à sa femme…elle était pianiste professionnelle. Ils furent attentionnés envers leur petite Kenza et elle ne manqua de rien. Elle fut même inscrite dans la meilleure des écoles privées. Elle eut droit à un professeur privé de piano, un allemand reconnu dans le monde entier pour ses talents et se révéla être comme sa mère, une vraie virtuose. Dès ses quatre ans, ses parents la cultivèrent et la rendirent sensible à l’art, la nature et l’humanité. Etant écologiste et végétariens, Kenta et Sora étaient philanthropes et pacifistes. Nouveaux riches et bourgeois bohèmes japonais, ils prirent soin de Kenza comme d’une plante et la firent grandir sous une lumière d’amour. Bien vite, Kenza se révéla être intelligente voire brillante.

Belle adolescente, elle fit tournée la tête de plusieurs hommes peu importait leur âge, de part sa timidité accentuant son mystère, son élégance alimentait son charisme et son regard accompagnant son aura. Il se dégageait d’elle un charme naïf et enfantin que beaucoup de jeunes filles perdaient à leur adolescence. Kenza ne jouait pas aux femmes, elle se comportait naturellement comme telle, féminine et douée…on l’a cru presque parfaite. Cependant, Kenza se préservait, n’acceptant aucune relation par popularité, elle se renfermait dans les livres et œuvres philosophiques. Naïve et gentille, elle se vit jalouser et persécutée au collège, incapable de la moindre résistance. Convoitée car inaccessible, Kenza était une jeune adolescente attentive aux besoins des autres. Juste, elle bannissait les extrêmes. Ses parents l’amenèrent plusieurs fois en voyage, elle découvrit l’Afrique et l’Europe avec émerveillement mais également l’Asie. Elle parle anglais parfaitement et apprend l’allemand et le français. Inscrite au conservatoire à l’âge de 11 ans, on remarqua son talent avant de l’admettre dans des représentations importantes. Elle passa l‘examen d‘entrée au lycée avec brio mais rien ne changea. Toujours jalousée et mise à l‘écart par sa nature si pure et timide.

Situation de départ :
Totalement vierge oO, aucune expérience u.u

Autres : Aucun pouvoir u.u

Comment avez vous connu le forum:
Google


Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?
Gosh ! j'avais pas zyeuter cette question u_u' eh bien oui, je peux comme tout le monde tenter d'en parler à mon entourage de nolife XDD

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