Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / L'entretien d'embauche [PV]
« Dernier message par Ekko le Aujourd'hui à 15:52:19 »
Darius ôte son casque, avant de le ranger dans le top-case de son antique scooter avant de lever les lieux vers le bâtiment devant lequel il vient de se garer. Un de ces nombreux immeubles sans âme construit dans les années 2000. Il renfile, consulte sa montre à son poignet. 15h20. Il a un peu d’avance, comme d’habitude. Il dézippe la fermeture éclair de son blouson de cuir pour offrir son torse à la caresse du soleil printanier en se demandant, sourire aux lèvres, à quoi peut bien ressembler son éventuel futur employeur. Il s’est imaginé un quadra blanc, bien propre sur lui, avec une petite paire de lunettes carrées immaculées et une paire de richelieus cirées, mais ça colle pas complètement. Un mec qui écrit des saloperies pareilles doit porter le vice sur lui, quelque part. Une paire de pompes en croco ? Une calvitie précoce ? Hmm…

Il consulte rapidement ses mails, pour constater que son directeur de thèse a encore une fois reporté leur RDV du lendemain et soupire de dépit. Cinq putain d’années qu’il bosse dessus et il n’en voit décidément pas le bout. Contre toute attente et contrairement aux apparences, Darius avec ses cheveux crépus, ses sneakers et son blouson n’est pas un influenceur branché ou un producteur de rap, mais un étudiant en droit parmi les plus brillant, qui ambitionne de devenir professeur des universités. En attendant… Il vit de petits jobs alimentaires des plus ordinaires aux plus pittoresques, puisqu’il apparaît depuis peu dans de petites productions pornographiques, ou encore dans une pub pour des croquettes pour chien.

“Bonjour heu… j’viens pour le rendez-vous avec Charlie...”

La jolie standardiste l’observe avec un mélange d’amusement et de curiosité, mais sans hostilité. Elle est mignonne, avec une grosse paire de lunettes qui bouffe la moitié de son visage et de longs doigts manucurés. Il lui sourit. Il en ferait bien son quatre heures. Fais pas l'innocente princesse, je parie que t'as un exemplaire du dernier bouquin planqué à côté de ton womanizer dans ta table de chevet...

“Oui bien sûr… Vous êtes Darius Williams ? L’auteur va vous reçevoir dans une dizaine de minutes…”

La brunette se retourne, désigne les ascenseurs chromés derrière elle.

“Ce sera au cinquième étage, rentrez directement dans le petit salon en face de vous lorsque vous sortez de l'ascenseur. “

L'intéressé hoche la tête, trop préoccupé pour lui compter fleurette. L’entretien d’aujourd’hui est d’importance. A la clé, un contrat à durée indéterminé et un salaire stable et plus que satisfaisant. Il se dirige vers les portes chromées en révisant mentalement ce qu’il a prévu de dire à Charlie. Votre style, très vivant, presque charnel a stimulé mon imagination. Un peu chelou de balancer à un mec non ? Même si ce n'est pas complètement faux… Ding. Les portes se referment sur lui. Il s’observe dans le miroir qui lui fait face, s’efforce d’ajuster les épis de ses cheveux noirs. Peut-être qu’il aurait dû se raser le crâne avant de venir. C’est une de mes aman…Amies, qui m’a parlé de vos bouquins. Ça lui a donné envie d’expérimenter quelques-uns de ses fantasmes les plus indicibles. Dans le dos de son mec et avec lui, mais il fallait peut-être éviter de le préciser.

Ding ding.

Avec un sourire Darius sort de l’ascenseur pour se diriger vers la pièce octogonale et impersonnelle qu’on lui a indiqué. Il se demande ce que l’auteur aura pensé du test littéraire qu’il lui a envoyé. Il s’agissait de produire cinq pages de littérature érotique impliquant plus de deux personnages. A vrai dire, si le style concis, explicite et incisif du texte est indéniable, Darius n’a pas vraiment cherché à faire fonctionner son imagination. Il s’est contenté de décrire sa rencontre avec un couple d’âge mur, dont le mari, partageur, souhaitait faire un cadeau d’anniversaire à sa femme en lui offrant deux jeunes mâles athlétiques. Plutôt habile de sa plume, Darius a pris le soin d’adopter le point de vue de l’épouse - renommée caroline, dans le texte - pour davantage d’immersion, même s’il avait eu un peu de mal à décrire son propre personnage, qu’il s’est contenté de brosser à gros traits.

Il s’approche de la table pour s’emparer d’une bouteille d’eau, laissée à l’intention des visiteurs et retire sa veste, qu’il pose sur le dossier d’une chaise avant de s’approcher de la baie vitrée pour observer l'effervescence de la ville. Si la perspective de l'entretien l'angoisse un peu, sa thématique ne le dérange pas vraiment; Darius est à l'aise avec sa sexualité et la place prépondérante qu'elle occupe dans sa vie, y compris avec les échanges épistolaires licencieux qu'il entretien sur internet avec plusieurs jeunes femmes, pour se changer les idées les jours où passe la plupart de son temps à la bibliothèque universitaire.
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Évidemment, le petit commentaire n'échappa pas au garçon qui le prit plus pour une blague que pour une insinuation ou pire, une invitation. A leurs âges ils pouvaient bien se permettre d'éviter d'être trop sérieux et coincés, et bien que lui n'aurait jamais osé sortir quelque chose de semblable, il y répondit par un nouveau sourire discret presqu'encourageant. Et oui, il n'allait pas s'aliéner le premier jour une personne qui semblait jouir d'un certain prestige dans l'établissement. Et en plus, s'il pouvait se lier (façon de parler) avec quelqu'un d'ici, ça pouvait toujours être utile!

L'heure suivante passa entre coup de balais et produit à vitres. Brittany était charmante en vérité, contrairement à ce qu'il s'était imaginé. Bien sûr, Shun savait aussi qu'elle assouvissait un certain besoin de curiosité, c'était normal, la nouveauté attirait toujours. Mais elle ne commit aucun faux-pas ni ne le mit mal à l'aise à aucun moment. Forcément, ils se regardaient et Shun convint que la jolie rouquine avait vraiment été gâtée par la nature. Deux fois, alors qu'elle se penchait, il vit le haut de ses cuisses et il eut toutes les peines du monde à ne pas entrer en ébullition. Brittany était très expressive et son visage était un livre ouvert sur sa personnalité. Donc encore une fois charmante mais aussi, vive, loquace, pétillante et rayonnante. Il y avait aussi quelque chose de plus profond, de plus indéfinissable mais Shun ne parvint pas à mettre un adjectif dessus. Elle parlait beaucoup et lui peu. Elle posait des questions mais lui, surfait sur les réponses dès que l'on s'approchait trop du domaine privé. Il savait y faire depuis le temps qu'il évitait de parler de lui. Seulement, il ne pouvait pas non plus ne pas trop répondre, Brittany méritait du respect, elle l'avait gentiment accueilli.

"Oui j'en suis sûr. Encore une fois merci pour ton accueil."

S'ils avaient commencé à nettoyer chacun dans leur coin, le hasard les avait rapproché pour qu'ils finissent quasiment épaule contre épaule les dernières minutes. Brittany avait une mèche rebelle qui balayait son visage et très innocemment, bien qu'encore une fois il n'aurait jamais fait ça en temps normal, il la remit en place du bout du doigt. Il s'empourpra aussitôt, cela ne lui ressemblait pas, et en plus, elle venait de lui poser une question.

"Pardon?"

Oh oui, l'échappatoire parfait! Aborder un sujet qu'il maitrisait!

"J'adore l'électro-funk! Ça me fait plaisir que tu le dises comme ça. Les gens mélangent un peu tout dans l'électro justement, alors que c'est quelque chose de précis. J'en écoute quasiment toujours quand je file en ride de nuit avec ma planche. J'oublie tout ce qui m'entoure dans ces moments là c'est génial."

Peut être la phrase la plus longue qu'il ai dite en une semaine ... et il ne s'arrêta pas qu'à ça.

"Tiens écoute!"

Il se hissa sur une table double et s'y assit en tailleur en retirant son casque de son cou. Il le tendit à Brittany et sélectionna un morceau d'une playlist sur son smartphone. En effet, le rythme était enivrant et permettait de s'échapper ... presque spirituellement.

"Si tu veux ..."

Il la regarda. Elle n'avait pas le profil pour se qu'il s'apprêtait à dire et puis d'ailleurs, il ne se connaissait pas en fait.

"Non rien."

Il ne la voyait pas en baggy et mini top, ni sur des rollers ou une planche à rider après minuit dans les spots sympas de la ville. A cette heure là elle devait dormir en enlaçant des nounours hors de prix dans un lit grand comme une pièce ...
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Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Anéa le Aujourd'hui à 14:44:23 »
Oooh, rebienvenue !  :D

Ca sent la baston et ...une autre forme de défi.  :P

Tu es validé, amuse-toi bien  ;)
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Centre-ville de Seikusu / Re : Protection rapprochée ~ Shun
« Dernier message par Shun le Aujourd'hui à 13:51:11 »
Jiro - "C'est tout?"

Jiro feuillette le dossier que lui a donné son chef de service en s'étonnant du manque total d'informations dont il pourrait avoir besoin. Le commissaire Tanaka, responsable du service de protection des témoins pour la préfecture de police locale lui répond sans même le regarder.

Tanaka - "Oui c'est tout. La judiciaire s'est saisie de cette affaire aujourd'hui et requiert une protection de témoins à domicile. Je n'ai aucun élément supplémentaire au sujet de cette affaire si ce n'est que la mafia est impliquée. Pour toi, ça ne change rien, tu appliques le protocole de sécurité  habituel. Tu poses les bases, tu évalues et on voit ce qu'il en est. Le service étant en manque d'effectif cette semaine, tu t'adapteras seul; après, on verra."

Cette mission sentait mauvais. Généralement quand le service ne recevait aucune information utile au sujet d'une mission, c'est qu'une enquête hypersensible démarrait ou était en cours, ou alors il s'agissait d'une mission de complaisance pour une célébrité... Là, la mafia était mentionnée donc il s'agissait de faire autre chose que de rassurer une star effrayée par un fan trop insistant. Maintenant, nul doute que fatalement, des éléments allaient filtrer. Jiro se promit d'appeler un ami de la Criminelle pour voir s'il savait quelque chose...

En attendant et comme les délais étaient courts, il se chargea de rassembler du matériel et pris les dispositions pour rapidement se rendre à l'adresse indiquée sur le dossier. Les témoins? Quatre femmes. Il en avait juste l'identité, rien d'autre. L'une d'elle résidait dans un coin huppé de la ville et c'est là qu'elles s'étaient regroupées. Pour connaitre un peu l'endroit, Jiro savait que la zone était couverte de caméra de surveillance et que la police y patrouillait fréquemment, un bon point.

Le policier récupéra aussi son sac personnel qu'il tenait toujours prêt pour ce genre d'occasions. A trente ans, il prenait soin de lui et de son apparence et il aurait été hors de question qu'il débarque chez ... cette Hazel ... tout débraillé et le teint crayeux. Non, définitivement, Jiro présentait bien. Il savait bien se vêtir et entretenir son corps tonique. Aussi, moins d'une heure plus tard et après s'être présenté au gardien, il garait sa voiture de service dans le parking souterrain de la résidence. Une fois dans l'ascenseur menant au fameux penthouse mentionné par son collègue de la Judiciaire, il s'observa une dernière fois dans la glace. Beau gosse! Mais ce n'était pas tout. S'il était là, c'est bien parce qu'il était compétent dans son domaine. Il pratiquait les arts martiaux à haut niveau et gardait sous son aisselle gauche, caché par sa veste décontractée, un pistolet qu'il espérait n'avoir jamais à utiliser. Ça y est, il y était. Palier privé sécurisé, une voix charmante à l'interphone lui avait annoncé qu'on lui ouvrait. L'endroit était idéal car hautement protégé contre les effractions et les intrusions, ce qui facilitait grandement son boulot. Il lui faudrait néanmoins ratisser les lieux pour trouver d'éventuelles failles et préparer des itinéraires de fuite si nécessaire.

C'est un début de soirée, il sonne alors qu'il se tient devant une double porte capitonnée. On lui ouvre et il n'a même pas le temps de se présenter qu'une adorable sangsue blonde manque le kidnapper. Elle sent bon, pétille de vie, n'a pas l'air inquiète pour deux sous et ... devrait vraiment se couvrir un peu plus. Jiro n'est ni un prêtre ni un eunnuque et il apprécie les belles rencontres seulement là, il travaille.

Jiro - "Et bien ..."

Aïe ... ça risque d'être compliqué puisque quand les trois autres témoins à protéger rappliquent, son état d'homme viril lui rappelle toute la faiblesse de la masculinité face à l'autre genre qui pour le coup, est drôlement bien foutu. C'est une blague? Il doit protéger un girl's band? Difficile de rester de marbre quand on s'apprête à passer un moment avec quatre bombes qui feraient rougir de jalousie n'importe quelle bimbo californienne.

Jiro - "Et bien bonsoir mesdemoiselles, je suis l'officier Jiro Taka, chargé d'assurer votre protection. Je ne sais pas encore combien de temps ce programme va durer mais je vous assure que tout est mis en œuvre par les services de police pour que vous retrouviez une vie normale le plus vite possible."

Bon sang! Où regarder quand chacune de ses filles possède des mensurations de rêve?

Jiro - "Avant que je fasse une reconnaissance des lieux, je crois que vous avez une chambre pour moi c'est ça? J'ai du matériel et des affaires à déposer."


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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 13:32:45 »
-Je pourrai en profiter pour établir une punition éternelle …

Il plaisantait bien sur et le ton qu’il utilisait en témoignait. Les punitions des dieux n’avaient rien de drôle. De toute façon, s’il devait la punir, ce serait bien entendu pour quelque chose de bien plus grave. Il se fichait un peu qu’une vie soit perdue par ses mains. Regalis avait ses principes en la matière.

Mais le fait que le lit se retrouve mouillé ne semblait pas la gêner. Elle disait qu’elle changerait les draps. Cela faisait sens. Mais Regalis avait envie de lui transmettre son envie cette fois en dirigeant. Ceci afin de répondre à sa générosité lors de la séance de cinéma. C’était son tour de lui faire sentir le plaisir à sa manière.

 Cette poitrine qui avait atterrit contre son visage était un délice. Il ne se gênerait pas de mordiller ces poitrines et ces tétons lorsqu’ils étaient à proximité, les dévorant avec appétit tout en ne cédant pas à l’envie de l’embrocher d’un coup sur sa verge et la faire languir un peu en guise d’une punition légère.

-J’ai l’impression que tu restes aussi serré, qu’importe ce que tu prends …

Il se retrouvait alors au fond d’elle, après une lente pénétration et une dernière phase plus soudaine qui marquait l’envie de la prendre sauvagement. Elle avait elle aussi envie que ce soit plus brusque. Très bien … Elle allait être servie. Elle lui donnait le feu vert pour qu’il puisse profiter d’elle de cette manière n’importe quand. Il serrait sa poigne sur ses fesses, lui faisant confiance pour rester bien accroché à lui avec ses jambes autour de lui …

-Très bien Sareeth … Et bien … Me voila …


Il collait ses lèvres contre les siennes, les dévorant avec une passion ravageante. Il usait de cette poigne sur ses fesses pour la faire bouger, rapidement, sèchement sur cette verge qui s’enfonçait alors avec brutalité en elle, perforant son col à chaque retour pour déformer ce joli ventre plat … Il sentait ses chaires écarter et chauffer au contact de celle de Sareeth tant le mouvement était fort. Heureusement que la lubrification était abondante pour refroidir tout ça … mais ce doux mélange de sensation était épique. Il gémissait contre ses lèvres, revenant les chercher même quand elle cherchait à reprendre sa respiration ! C’était presque comme deux animaux en train de copuler … Regalis se permit même de reculer un peu … puis de se retourner pour la plaquer contre la porte sans retenue pour que les pénétrations soient encore plus intenses, laissant le corps de Sareeth percuter celle-ci à chaque fois qu’il claquait son bassin contre le sien. Les voisins, s’il y en avait, risquaient bien de se demander ce qu’il se passe dans cette appartement …
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Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Jin Tanaka le Aujourd'hui à 13:13:52 »
Heullo l'ami. L'ambition c'est bien.  ;)
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Alors qu’elle continue sa gestuelle sensuelle, elle pouvait sentir la grosse bite, de nouveau venir se frotter contre sa chatte et ne peut s’empêcher de laisser gémissements de plaisir venir à son oreille. Alors qu’elle tient toujours la cravate entre ses doigts, elle vient plaquer ses gros seins contre lui, et bouge son bassin sur lui, pour qu’il puisse bien sentir qu’elle était encore brûlante, tellement qu’elle avait dû se retenir avant d’avoir le plaisir de prendre une aussi belle, bite que la sienne et sans crier car il n’hésite pas à lui montrer de nouveau son désir qui palpite en bas de son ventre, pour revenir s’enfoncer  en elle .

Tenshi crie de nouveau tellement conquise par le plaisir, et elle élève une de ses jambes pour la placer autour de la taille du manager qui vient lui donner des coups de bas puissants pour se planter au fond de son utérus, faisant bouger ses gros seins contre son entorse. Elle se retrouve sur la pointe des pieds dès qu’il vient se planter au plus profond et elle en profite pour venir l’embrasser à pleine bouche, de manière vulgaire en jouant avec sa langue.

Haaaa haaaaaa…oui je serai une bonne chienne obéissante.… rien que pour mes maîtres haaaaa…ouaf ouaf

Alors qu’elle continue de prendre la grosse bite qu’il a fait grimper carrément au septième ciel après des très longues minutes, il revient exploser son sperme qui inonde complètement son intimité, une dernière fois, et bien entendu, elle ne retient pas son orgasme à son tour et passer ses bras autour de son cou, pour s’accrocher à les jambes qui tremblent. Lorsqu’il finit de caresser toute sa peau et ses formes, il se retire lentement dans un bruit de ventouse, et la belle rouquine tombe à genoux au sol cuisse bien écartées en posant les mains et le regarde, la langue pendante en essayant de reprendre sa respiration. Elle tourne la tête légèrement pour voir le sperme couler par terre Alors que ses trous étaient complètement ouverts

Haaaa… je serai très attentive à mon portable et à ma boîte mail. J’ai tellement hâte de rencontrer tout le monde.… et j’espère pouvoir satisfaire pleinement Roy…haaan Votre groupe me fait tellement fantasmer depuis des années.

Après avoir repris un rythme cardiaque à peu près normal, elle se redresse en essayant de bien remettre sa robe comme elle était lorsqu’elle est arrivée. Elle sort de son sac à main en string. Quel diamètre dans la poche du manager comme un petit souvenir décède rencontre avant de revenir l’embrasser carré sans son torse. Elle était complètement tactile. C’était sa marque de fabrique et sa manière d’être une bonne chienne à se frotter contre ses propriétaires.

J’espère vous revoir très vite…haaaa… Vous savez que vous pouvez m’appeler à n’importe quel moment et je viendrai m’occuper de votre grosse bite.…

Elle lui fait un clin d’œil plutôt espiègle avant de l’embrasser une dernière fois, et de caresser son entrejambe pour bien s’imprégner de cette taille. Elle passe à l’heure à côté de lui pour reprendre une démarche chalouper pour se diriger vers les sorties du musée.
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Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 12:57:06 »
Rebienvenue
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Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 12:19:04 »
Rebienvenue !
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Prélude / Le visage de l'ambition [Vanéalidé !]
« Dernier message par Hadrian Lumis le Aujourd'hui à 12:11:29 »
Nom : Lumis
Prénom : Hadrian
Sexe : Masculin
Âge : 25 ans
Race : Humain (sorcier)
Sexualité : Hétérosexuel

Physique :

Hadrian est loin d’être un colosse, mais sa silhouette est athlétique, sa taille bien marquée et ses épaules plutôt larges. Ses muscles sont denses et plutôt souples et secs. Sans préoccupation excessive, il s’entretient avec régularité, pratiquant assidûment la course à pied et la boxe anglaise. Il trouve dans le sport un exutoire après ses longues heures passées à étudier dans son cabinet et son esprit compétitif le pousse à la performance. Hadrian arbore plusieurs cicatrices, souvenirs de rituels magiques et de duels périlleux. Un tatouage discret représentant un ancien symbole de pouvoir orne son poignet gauche, invisible pour ceux qui ne savent pas quoi chercher.

Le jeune sorcier est doté d’une physionomie aristocratique. Son nez est effilé, ses pommettes hautes et saillantes, ses lèvres charnues et la ligne de sa mâchoire, nette et anguleuse. De longs cheveux aile de corbeau encadrent son visage diaphane. L’androgynie de ses traits qui donne une certaine douceur à son visage est accentuée par son regard bleu pâle, presque gris qui semble transpercer l’âme de ses interlocuteurs et dans lesquels brille toujours une lueur de défi farouche.

Hadrian accorde un soin notable à ses tenues, s’agissant aussi bien des coupes que des matières. Connaissant ses codes couleurs sur le bout des doigts, il porte majoritairement des teintes sombres associées à celles de l’or ou de l’argent. Sur sept de ses doigts se trouvent des bagues ouvragées. L’une d’elles est une puissante amulette, transmise de génération en génération dans sa famille et probablement le joyaux le plus précieux qu’il possède. Ses tenues sont souvent complétées par une cape longue brodée de motifs étranges.


Mental :

Sous ses dehors d'aristocrate froid et obséquieux, Hadrian dissimule un caractère orageux et vindicatif. Intolérant à toute forme de frustration, il bouillonne en permanence de la rage sourde et lancinante de son ambition. Néanmoins, son éducation et sa maîtrise de l'étiquette le rendent difficile à sortir de ses gonds, sauf à le connaître suffisamment pour jouer sur la corde sensible.

Doté d’une intelligence hors du commun, d’un tempérament obsessionnel et d’une capacité de travail impressionnante, Hadrian se dévoue corps et âme à la réalisation de son objectif qui n’est pas, comme la plupart de ses condisciples l'imaginent, de devenir Grand Enchanteur, mais de transcender sa qualité de mortel.

Il lui faut exceller dans chaque entreprise qu’il entame, au point de s’en rendre malade de telle sorte qu’il est depuis plusieurs années, loin en tête dans le classement des meilleurs élèves de l’Académie, y compris en botanique.

En dépit de ses capacités intellectuelles, Hadrian reste un jeune homme impulsif et parfois naïf qui sous-estime régulièrement la plupart de ses interlocuteurs. Malgré son apparente confiance en lui, Hadrian est hanté par la peur de l'échec et de retourner dans l’obscurité de laquelle il est issu.

Sans cruauté excessive, il considère la plupart de ses semblables comme des pions et les femmes, spécifiquement, comme des êtres inférieurs destinées aux tâches ménagères et à écarter les jambes lorsqu’on leur en donne l’ordre. C'est pourquoi la prépondérance des femelles dans la hiérarchie des magiciens lui apparaît comme contre-nature. Cette misogynie qu’il ne cherche pas à dissimuler s’accompagne d’une libido vorace, égoïste et obscène qui ne semble pas déranger outre mesure ses amantes, humaines ou sorcières, qu’il souille copieusement.

Il existe toutefois une minorité d’individus qu’Hadrian estime être digne de sa considération et qui bénéficient de son amitié, voire de sa confiance. Il se murmure néanmoins que certains de ces êtres ne sont pas tous tout à fait humains…

Histoire :

Hadrian est le dernier descendant mâle d’une longue lignée de célèbres sorciers quasiment éteinte, ruinée par la cupidité, la sédition et les vices de ses derniers représentants. Le jeune homme est né d’une mère nymphomane à moitié folle et d’un père inconnu. Frappé par l’infamie dès sa naissance, Hadrian a toujours été animé par une volonté de revanche et de conquête. Il a développé très tôt un don surprenant pour la magie et a intégré l’école de sorcellerie à ses douze ans, bénéficiant d’une bourse prenant en charge ses frais d’inscription à raison de ses dispositions exceptionnelles.

Persuadé d’avoir un destin glorieux et de porter la responsabilité de laver l’honneur de sa famille, il fait preuve d’une force de caractère confinant à l’obstination et d’un esprit de compétition presque toxique pour surclasser ses petits camarades dans la plupart des domaines. Il sort premier au classement, avant d’intégrer la prestigieuse Académie de la magie dans laquelle il poursuit assidûment ses études.

Il y développe une misogynie notoire en constatant que la plupart des postes à responsabilités sont occupés par des femelles envers lesquelles il ressent une puissante attirance mâtinée de mépris. Il traite ses amantes comme des

Son profil étonne, intrigue ou inquiète jusqu’aux plus éminents magiciens, jusqu’à Delia Augustus elle-même, la Grande Enchanteresse. Il y a bien des siècle qu’aucun sorcier mâle n’a régné sur le monde magique mais ce n’est point, comme le prétend l’histoire officielle, en raison d’une supposée inaptitude, mais bien d’une volonté des sorcières d’écarter systématiquement les mâles, jugés ambitieux, faillibles et belliqueux du poste suprême. Mais comment écarter de sa destinée un homme aussi brillant qu’Hadrian ? De quoi causer de nombreuses nuits blanches à la grande enchanteresse. Elle a pour le jeune homme qu’elle a personnellement formé une certaine fascination morbide. Tiraillée entre ses allégeances, elle s’est tout de même secrètement entendue avec les examinateurs de l’épreuve de l’Oracle des mystères pour élever sensiblement le niveau attendu.

Mais, contre toute attente, Hadrian, portant désormais l’espoir vengeur des sorciers reprouvé remporte haut la main quatre de six épreuves imposées. Son ascension semble, à terme, inévitable en dépit de son jeune âge. Néanmoins, l’épreuve a été suspendue à raison de soupçons de fraude, Delia elle-même se trouvant à demi-mot, accusée d’avoir favorisée son poulain. Une enquête est actuellement en cours pour déterminer si oui ou non, Hadrian a triché, d’une manière ou d’une autre, notamment en influençant le jury.

Mais Hadrian ne voit cette interruption que comme un contretemps. Certain de sa supériorité, conscient des manœuvres dilatoires des faibles femelles qui s’opposent à son futur règne, il prend son mal en patience, construit des alliances avec des sorciers à la réputation douteuse.

Comment avez-vous connu le forum ? : DC.
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