Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Ïrika Ó Briain

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Sorry !
« le: dimanche 06 mars 2016, 02:39:38 »
Bon et bien juste un petit message pour vous dire que j'ai un ralentissement ces temps-ci, beaucoup de choses à faire !

Ne vous en faîtes pas, j'oublie personne ! Certaines réponses sont prêtes, j'attend d'avoir rédigé toutes mes réponses pour poster en un coup histoire de pas être débordée lol
Donc soyez patients, je fait au plus vite  :D

Bisous à tout le monde ♥

2
One Shot / Exploration pour colonisation. Échec imminent... [PV]
« le: samedi 27 février 2016, 14:03:24 »
Vaste est l'univers et nombreux sont les êtres vivants étant parvenu à trouver une planète ou s'installer. Des lieux verts et fantastiques ou des terres brûlantes inhospitalières, chacun doit trouver sa place. Malheureusement l'être humain semble destiné à se détruire et s'entre-tuer quelque soit l'endroit où il vit et quelque soit leur culture ou traditions. Il en fut donc ainsi pour la petite planète Kepler où une guerre totale éclata et extermina près de 62% de sa population.et brûla et détruit environ 75% de sa surface. L'eau potable et la nourriture se firent rares, entraînant la famine et la révolte, puis toujours plus de conflits. Il fallait se faire une raison : leur planète était perdue. Plus rien ne voulait pousser, le reste du bétail crevait de faim, les gens aussi, sans compter les épidémies qui commençaient à se répandre et l'économie mondiale qui s'était effondrée. Ne restait plus qu'une solution : trouver une autre planète habitable, réunir les êtres les plus résistants et en bonne santé et abandonner Kepler. Pour résumer : coloniser une autre planète du système.

C'est ainsi que quatre vaisseaux Kepleriens abordèrent cette planète inconnue et inexplorée, lentement, avant de s'immobiliser à quelques mètres de hauteurs pour laisser les scanner analyser les lieux. A l'intérieur de l'une de ces incroyables machines spatiales, le nommé Vif Argent, une jeune femme prometteuse qui peinait à cacher son excitation s'approcha des pilotes pour observer ce nouvel environnement à travers le cockpit. L'un d'eux annonça d'une voix mécanique :

- Planète tellurique d'une superficie d'environ 408 542 906 km², gravité de surface 9,79998 m/s², irradiance solaire 1360,8 W/m², température de surface moyenne de 14°C, humidité d'environ 70%, composition de l'atmosphère...
- La ferme, Jules, est-ce qu'on respire là-dedans ? Est-ce que c'est vivable ? L'arrêta la soldate.
- Heu... oui, les donnée sont bonnes, ça m'a l'air parfait et le scanner détecte des formes de vies, alors...
- Bien !

La jeune femme arracha le papier sur lesquelles s'étaient imprimées les données en question et l'apporta en vitesse à son supérieur. Un grand type costaud et très expérimenté qui menait l'expédition. Il y jeta un œil, puis ordonna à toute l'équipe de se préparer à débarquer. Pendant ce temps, les vaisseaux descendirent un peu plus vers le sol puis restèrent en vol stationnaire à quelques mètres de hauteur car aucun terrain d’atterrissage n'était visible à l'horizon. Puis au signal de leur supérieur, depuis les quatre vaisseaux, une quarantaine de soldats lourdement armés descendirent le long de cordages, comme de multiples petites araignées glissant depuis leur toile à l'aide de leur fil de soie.

Une fois au sol, tous sortirent leur armes et se mirent en position, surveillant tous les côtés avec attention. S'il y avait de la vie sur cette planète, elle était peut-être agressive et n'aurait peut-être pas de scrupule à les attaquer, qu'ils soient humains ou bêtes. Tous les soldats possédaient une oreillette de communication et à travers elles, le Général donna ses ordres :

- Équipe Alpha avec moi vers le Nord. Équipe Bravo à l'Est. Équipe Charlie au Sud. Équipe Delta à l'Ouest. Vous ne vous séparez pas, progressez en groupe et tuez tout ce qui essaiera de vous bouffer. Si vous croisez des autochtones tentez de communiquer avec eux. S'ils se montrent hostiles et dangereux, tuez-les. On se retrouve ici au coucher du soleil. C'est bien clair ?
- Oui, Général ! Clamèrent tous les hommes.

Les différentes équipes se mirent en branle et commencèrent à s'avancer dans la direction indiquée. Alix, la jeune femme présente à bord du Vif Argent faisait partie de l'équipe Alpha se dirigeant vers le Nord. Cette expédition serait certainement dangereuse, mais elle aimait les risques et avait entraînée depuis toute petite à ce genre de situation. Ce n'était pas la première fois. Mais jusqu'ici les planètes visitée n'avaient pas convenu.

~ https://www.youtube.com/watch?v=rOR8p_xMczg ~

Leur petit groupe d'une dizaine de soldats s'avança alors dans ce qui semblait être une vaste forêt sombre et humide. Un endroit plutôt inquiétant en fin de compte, animée par des cris d'animaux locaux inconnus. L'équipe avançait prudemment, enjambant les racines et le bois mort. Parmi eux, deux scientifiques prenaient des notes et des clichés. Hommes de sciences, ils n'en était pas moins armés et entraînés au combat et à la survie. La mission était de récolter le maximum d'informations et de récolter quelques échantillons afin de s'assurer que la planète était propice à la colonisation.

Les minutes passèrent, puis les heures, et le groupe s'était nettement enfoncé dans les terres. Cette forêt ne semblait pas vouloir prendre fin et ils durent plusieurs fois contourner quelques marécages gluants et puants. Ce qui était certain, c'est que cette forêt n'était pas le meilleur endroit pour fonder une ville. Jusqu'ici, ils n'avaient croisé que quelques oiseaux sombres inoffensifs. Le reste de la faune semblait les craindre et fuir à leur approche.

Finalement, cette mission serait peut-être simple et efficace.
Mais ceux qui pensaient ça avaient tort...

3
Le coin du chalant / Un petit one shot ?
« le: vendredi 26 février 2016, 17:08:15 »
Bonjour tout le monde ! ^^

Voilà, j'avais envie de vous proposer un petit one shot ou deux ! Alors voilà comment je vais présenter ça...
Un peu comme on fait dans le coin du chalant, je vais proposer des thèmes et une ou plusieurs trame pour chaque thème. J'espère ainsi pouvoir toucher un large public et attirer des partenaires rps ! Bah oui, c'est le but.
Je vais aussi suggérer un ou plusieurs avatars (de mon perso) pour chaque thème, comme ça vous pourrez choisir celui qui vous botte le plus !
Allons-y !

THÈME N°1 : Sur une autre planète

- Trame 1 - RÉSERVÉ
Mon rôle : Femme soldat
Votre rôle : Autochtone de sexe mâle/masculin, humain, créature humanoïde ou non...
Type : Hentai
Description : Mon personnage atteint votre planète avec son équipage et décide d'explorer cette nouvelle planète. Petit à petit, les membres de mon équipage se font tuer (par vous seul, des guerriers du coin, des bêtes sauvages...) et mon perso se retrouve seule. Vous parvenez à la capturer et décidez d'user de son corps à votre guise (simple esclave sexuelle pour toute la garnison, cadeau pour votre chef, femelle à féconder...).
Avatars proposés :
http://img11.hostingpics.net/pics/4477817a3b9fec312784e23dc6fb7473118869.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/9912529df38666ab4e0e9067676f20e669f350.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/511925choro005.jpg
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Trame 2 - RÉSERVÉ
Mon rôle : Aventurière
Votre rôle : Choix libre, mais de sexe masculin.
Type : Aventure & Hentai
Description : Vous tombez sur mon perso en train d'explorer les environs. Vos intentions, bonnes ou mauvaises, vous amènent à demander son aide (un objet à trouver, personne à abattre...). Mais au fil de l'aventure, votre personnage en vient à trahir le mien (intentionnellement ou sous la contrainte) et vous la faite prisonnière ou autre suivant la situation.
Avatars proposés :
http://img11.hostingpics.net/pics/4119311c4d3377ddad024406ed1d152ca7afb0.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/8931696f360ecf41d0388fa3b6e08d7da7d0341.jpg
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THÈME N°2 : Démoniaque

Trame 1 -
Mon rôle : Démone/Succube
Votre rôle : Être masculin de n'importe quelle race (autre que démon) disposant de grands pouvoirs.
Type : Hentai
Description : Votre personnage décide d'invoquer un démon car il est obsédé par les être démoniaques et désire par dessus tout les observer ou d'avoir simplement une relation sexuelle avec l'un de ces êtres. Une fois la démone ou la succube invoquée, vous la piégez et n'avez plus qu'à faire preuve d'imagination pour arriver à vos fins.
Avatars proposés :
http://img11.hostingpics.net/pics/96416124f3e0381fcf584e31f591b00dffbad7.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/914091succubusbymaterarsenicd8rpr62.png
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Trame 2 -
Mon rôle : Démone/Succube
Votre rôle : Démon/Incube
Type : Hentai
Description : Deux êtres désirant assouvir leur basses pulsions de manière torride. Simple partie de plaisir ou envie de procréer pour donner naissance à de vilains petits diablotins.
Avatars proposés :
http://img11.hostingpics.net/pics/889879bbc0b7b95667f056d7bb2ae544a62133.jpg
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THEME N°3 : Terre à terre

Trame 1 - RÉSERVÉ
Mon rôle : Lycéenne/Étudiante
Votre rôle : Lycéen, Étudiant, Professeur, Client, Proxénète...
Type : Hentai
Description : Mon personnage danse et offre son corps dans un établissement de luxure pour payer ses études et son logement. Votre personnage l'apprend ou le sait depuis toujours suivant votre rôle et décide d'en profiter, que ce soit pendant son service... ou non.
Avatars proposés :
http://img11.hostingpics.net/pics/4659250af87e5ef14d4821c6a5a8afeadb7d05.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/660643vaneliu1428037797.jpg
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Trame 2 -
Mon rôle : Femme à la recherche d'un emploi
Votre rôle : Patron, Directeur des ressources humaines
Type : Hentai
Description : Mon personnage, mère célibataire, cherche du travail pour pouvoir nourrir ses deux jeunes enfants. Et il semble qu'elle soit désespérée et donc prête... à tout. Ce serait dommage de ne pas en profiter, pas vrai ?
Avatars proposés :
http://orig09.deviantart.net/81a1/f/2012/122/2/5/rain_dance_by_gothic_icecream-d4ybbw8.jpg
http://orig07.deviantart.net/60aa/f/2010/081/b/3/faint_by_gothic_icecream.png
http://orig01.deviantart.net/802c/f/2014/013/b/2/b285fbcf0c02c1a654f226142c506b77-d723zoi.jpg
http://orig14.deviantart.net/e8a2/f/2010/334/1/0/the_red_head_by_dream_iris-d33yokd.jpg

Trame 3 -
Mon rôle : Jeune femme
Votre rôle : Son mari, son compagnon, son amant ou un homme amoureux trop souvent éconduit
Type : Hentai
Description : En tant que mari ou compagnon, vous aimez votre femme et même un peu trop. Alors quand elle commence à vous dire qu'elle veut vous quitter ou divorcer... vous pétez les plombs. Même chose si vous êtes son amant et qu'elle est seule ou alors vous tentez désespéramment de la persuader de quitter son mari par tous les moyens. Si vous êtes un homme amoureux trop souvent repoussé par la belle, vous décidez de ruser ou de passer à l'action sans con consentement. A vous de voir !
Avatars proposés :
http://img11.hostingpics.net/pics/661704e094543b8da2a3a1410d0a8480c6c681d58iuj9.png
http://img11.hostingpics.net/pics/136885mirandareddressbybrinx2d622cxr.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/670434phoenixhairbydomiticusd325p9z.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/135816NibiruianQueenrealismpractbyLAST.jpg

THEME N°4 : Sous les yeux de Dieu

 - Trame unique - RÉSERVÉ
Mon rôle : Religieuse, Prêtresse...
Votre rôle : Un homme curé, prêtre ou même pape si vous voulez lol Un homme de foi en tous cas ! Mais si ça vous branche pas du tout, un simple mec pervers peut faire l'affaire.
Type : Hentai
Description : C'est pas beau de copuler dans un lieu saint ! Et encore moins avec une religieuse ayant fait vœu de chasteté. Mais bon ça fait trop longtemps que vous refoulez vos désirs et il faut bien que ça passe ! En plus celle-là c'est sûr, c'est forcément une petite vicieuse...
Avatars proposés :
http://orig08.deviantart.net/e58f/f/2015/080/2/5/nun_by_panchusfenix-d8mlmao.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/241922bomyeon.jpg
http://img11.hostingpics.net/pics/307903elolaillustratornun2cg.jpg
http://pre06.deviantart.net/5578/th/pre/i/2014/006/7/4/mnemoir__bernadette_by_dragons_roar-d717j0o.png

Évidemment si aucun avatar ne vous convient ou que vous souhaitez un peu modifier l'une des trames, je suis ouverte à toute proposition ^^
Je ne suis ni contre un peu de brutalité, de bondage ou ce genre de chose, ni contre la douceur et le romantisme non plus lol Je suis pas fermée, n'ayez pas peur !
Je ne vais pas non plus prendre trop de one shot en même temps ! lol Disons... deux ou trois maximum ! Alors réfléchissez bien, mais n'hésitez pas trop :p

4
Le coin du chalant / Ïrika Ó Briain & Co. | Les Rps
« le: vendredi 29 janvier 2016, 16:34:37 »

MES TOPICS


Salut tout le monde !
Vous l'avez comprit, ceci est un post pour réunir les topics de chacun de mes personnages. J'y inclus également un petit résumé pour ceux que ça intéresse :)




Elle est la fille d'un Chef de clan Irlandais dont le peuple porte le nom de Ouenniknioi (ou Vennicni en latin). Ïrika est donc née sur Terre en 158 après J.C, près de la ville de Sligo au Nord de l'Irlande.
Le clan a été envahit par un peuple barbare alors qu'elle avait 20 ans. Son père a été tué et avec son frère et sa mère, ils sont été réduit en esclavage pendant 5 ans. Le chef barbare a lancé une expédition maritime durant laquelle les trois navires on été frappés d'une tempête, ont traversé un portail dimensionnel et ont échoué sur Terra.

  • La gueule du loup (Stephen Connor)
  • La halte (Kelrym)
  • Le premier acte (Rahemar)
  • Les apparences sont parfois trompeuses... (Irys Flyvia)
  • Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)




    Un jeune garçon originaire du Quebec où il est né. Son père le battait et a tenté de le tuer, la maison où ils vivaient à brûlé en tuant ses parents. Il a été admis dans un orphelinat ou un homme appartenant à l'armée anglaise l'a adopté et ramené à Londres. Célibataire, il a élevé le garçon pendant des années avant d'avoir des gestes déplacé. Il a donc eu quelques rapport sexuels (consentis) avec Timothé encore mineur à cette époque, avant d'être envoyé en prison où il s'est suicidé deux mois plus tard. N'ayant jamais supporté d'être séparé de celui qu'il considérait réellement comme son père, Timothé a été envoyé dans un autre orphelinat où il a de nouveau rapidement été adopté par un couple adorable. Ils sont alors partis s'installer au japon où Timothé a intégré le Lycée de Seikusu.

  • Confidence pour confidence (Jack Taylor)
  • Après l'effort... (Ike St. Cloud)





    SKYE MERIGORN (26 ans)

    C'est la Reine des Cryptids, un peuple servant autrefois d'esclaves, mais qui se sont rebellés il y a plusieurs millénaire grâce à une dénommée Cryptida et qui sont parvenus à prendre leur indépendance et à créer leur propre royaume dans un ancien cimetière de dragons. Depuis, la cité de Cryptyre est sortie de terre, gouvernée par les descendantes de Cryptida (donc essentiellement des femmes). Certains Cryptids, bien que ce soit extrêmement rare, possèdent un gène magique qui s'éveille parfois en eux et leur procure des pouvoirs plus ou moins important. Skye est l'une des rares à posséder une grande puissance, mais très peu de gens sont au courant. C'est une femme qui aime la culture et plus encore son peuple, elle prend son rôle très au sérieux, mais rêve aussi d'aventures et de découvertes.

  • Honnête marché (Alexandre Dowell)
  • Une simple mission d'escorte (Losgar)





    LE SCORPION (24 ans)

    Le Scorpion, de son vrai nom Mézias Ehrakis, est le fils d'un soldat ashnardien mort au combat et d'une femme travaillant dans les champs, finalement morte de tristesse, de fatigue et de fièvre. Etant entré dans l'armée d'Ashnard en tant que soldat, comme son père, il fait la connaissance de Cahir, un élément très prometteur comme lui susceptible d'entrer parmi les Corbeaux Noirs et dont il tombe éperdument amoureux. Malheureusement, si l'élu de son cœur parvient à rejoindre les rangs de l'Elite, Mézias échoue, trop abattu par la nouvelle de la mort de sa mère. Continuant de servir l'empire, le jeune homme finit par apprendre que Cahir et ses hommes ont été victime d'un complot organisé par leurs supérieurs eux-même et dont le Corbeau Noir fut le seul à ressortir vivant. Mézias commence alors à éprouver une sorte de colère, puis de haine pour son empire. Et lorsqu'après une bataille, son lieutenant lui demande de violer et de tuer la jeune fille du chef du village, il refuse et tue son supérieur avant de prendre la fuite et de déserter l'empire pour toujours. Afin d'éviter d'être reconnu et exécuté, Mézias entre alors dans la peau du Scorpion et devient un assassin hors pair défendant la veuve et l'orphelin, que ce soit gratuitement ou sous contrat du moment que le but est juste.

  • A la poursuite de l'ombre (Sayana)
  • Des retrouvailles sous une lune rouge (Cahir)
  • Petit conflit d'intérêt (Vanessa White) - One Shot

5
Les contrées du Chaos / Tar cabhrú linn, Nexus ! (Cahir)
« le: vendredi 22 janvier 2016, 15:06:02 »



Pas trop tôt !
Ïrika poussa un soupire de soulagement lorsqu'elle posa enfin les pieds sur un chemin digne de ce nom. Voilà bien plusieurs jours qu'elle errait entre forêts et plaines à la recherche d'un semblant de civilisation ! Elle commençait à croire que ces terres étaient totalement inhabitées. Elle s'en était bien tirée finalement, n'ayant eu à fuir qu'une créature féroce s'apparentant à un loup. Elle était tombé dessus au détour d'un fourré et l'avait dérangé pendant son repas, ce qui l'avait manifestement mit en rogne. Ïrika n'avait alors pas réellement prit le temps d’étudier l'animal avant de détaler aussi vite que ses jambes le lui permettait. Et bien heureusement pour elle, elle était taillée pour le course et avait acquis une très bonne endurance durant sa jeunesse. La bestiole, quand à elle, était plus lourde, plus grosse et avait peiné à la rattrapé entre les arbres, si bien qu'il avait finit par abandonner sa chasse. Le ciel soit loué, les Dieux ne l'avaient pas totalement abandonnées !

La jeune femme prit tout de même le temps de retirer quelques brindilles venues se nicher dans sa chevelure avant de reprendre sa marche sur le sentier. D'après les traces, il y avait du passage dans le coin et c'était une excellente nouvelle. Elle marcha durant deux longues heures avant d’apercevoir enfin des habitations. Son cœur bondit de joie dans sa poitrine face à ce spectacle. La civilisation ! Enfin !
Revigorée, l'irlandaise se pressa dans cette direction. A sa droite, elle put apercevoir la mer, signe qu'elle avait plus ou moins longé la côte depuis son naufrage. L'endroit semblait être une sorte de ville portuaire, assez riche. Du moins à ses yeux, elle qui n'avait vécu que dans un clan modeste. Espérons qu'il s'agisse d'un peuple pacifique.

Elle parvint enfin aux portes de la ville et tomba sur une petite poignée d'hommes armés. Ïrika se sentit mal à l'aise lorsque ceux-ci sortirent leurs armes, manifestement méfiants, lorgnant sur elle avec des regards peu avenants. L'un d'eux l'apostropha d'une voix sévère :

- Hey ! Qui t'es, toi ? Qu'est-ce qu tu fiche ici ?

L'homme s'appelait Verod, une recrue prometteuse qui prenait son rôle très à cœur ici. Depuis que leur colonie s'était rebellée face aux ashnardiens, les lieux n'étaient plus très sûrs et chaque jour qui passait, ils priaient pour que les renforts Nexusiens viennent leur prêter main forte. A ce train là, il n'allaient pas résister bien longtemps. Bref, depuis quelques semaines, les colons n'avaient plus le droit de sortir des murs de la ville et seuls les soldats du coin avait cette autorisation pour rejoindre le poste avancé un peu plus loin. Alors que faisait cette fille seule ici, habillée comme une roturière et visiblement perdue ? Étais-ce un piège ?
Ïrika, de son côté, avait remarqué que les hommes armés étaient nombreux. Sans doute y avait-il quelques tensions entre eux et une autre peuplade ? La jeune femme décida qu'il valait mieux répondre :

- Je... je me trouvais à bord d'un bateau qui s'est échoué à quelques kilomètres d'ici. Je cherche simplement un abri, de quoi manger...

Et surtout savoir où elle se trouvait exactement avant d’obtenir un moyen de retrouver son frère et un moyen de rejoindre l'Irlande pour libérer son clan du joug barbare. Ce qui l'intriguait, c'était que ces hommes parlaient sa langue. Enfin, c'était bien heureux tout de même. Le garde parut surpris, mais sembla se détendre.

- Tu fais partie de ces pauvres bougres qui ont fait naufrage dans le coin ? On a repêché quelques survivants y a plusieurs jours.

Ïrika sentit une vague d'espoir déferler en elle. Peut-être que Caelan était vivant ! Peut-être était-il ici ! Elle esquissa un large sourire et s'approcha un peu plus en hochant la tête.

- Oui ! C'est cela ! Où sont-ils ?

Bien entendu, le sort des barbares ne l'intéressait guère. Mais elle pensait plutôt à retrouver son frère ou ses camarades de clan devenus esclaves. Le garde prit tout de même la peine de la fouiller et de s’assurer que personne ne l'avait suivie avant de finalement la laisser entrer en ville.
C'était un lieu gigantesque et assez merveilleux. Et si elle n’était pas été follement curieuse de savoir où se trouvait Caelan, elle aurait volontiers fait un tour des lieux.
On lui avait dit d'aller sur le port et de chercher « L'auberge des Plaisanciers ». Elle suivie donc la rue qui descendait vers le littoral sous les yeux étonnés des passants entre lesquels elle se frayait un chemin. Elle devait avoir une drôle d'allure dans ces guenilles. Mais ce n'était pas ce qui l'importait à l'instant.
Lorsqu'elle trouva enfin l'établissement, elle pénétra à l'intérieur et promena son regard dans la salle avec avidité, cherchant le visage si particulier et familier de son frère. Cependant, elle ne le vit pas. Peut-être était-il sortit ? Peut-être la cherchait-il également ? Pas de trace non plus de compagnon de clan. En revanche, plusieurs barbares buvaient et mangeaient joyeusement.
Ïrika préféra ne pas se faire remarquer et sortit de l'établissement. Que faire maintenant ? Elle n'avait pas d'argent et avait pourtant bien besoin d'un repas, de vêtements et d'une bonne nuit de sommeil.

En attendant de trouver une solution, elle décida de visiter le port, dans l'espoir toujours, de tomber sur Caelan. Il avait forcément survécu. Elle ne pouvait pas imaginer un seul instant qu'il ai trouvé la mort. Les heures passaient et toujours aucune trace du prince. Exténuée, affamée, Ïrika tenta d'aborder quelques passants dans l'espoir que l'un d'eux lui offre une pièce, mais personne ne lui accordait la moindre attention. Elle frappa à quelques porte, demandant l'asile ou simplement un fruit à manger. Mais tout le monde lui claquait la porte au nez.
Ce ne fut qu'à la tombée de la nuit, alors que la jeune femme s'était assise sur le port, le regard perdu à l'horizon, qu'une vieille dame lui apporta une pomme. Elle fut cependant avare de paroles et lorsque l'irlandaise la remercia, la dame se contenta d'un sourire avant de s'éloigner.
Tout en croquant goulûment dans sa pomme, laissant couler un peu de jus sur son menton, Ïrika se promit de ne jamais baisser les bras. Peu importe les obstacles et les dangers, elle retrouverait Caelan et partirait libérer son peuple et récupérer ce qui leur revenait de droit !

Elle ignorait sans doute à quel point cela serait compliqué...

6
Les contrées du Chaos / La gueule du loup (Stephen Connor)
« le: vendredi 22 janvier 2016, 13:54:18 »


https://youtu.be/CcsUYu0PVxY


Comment décrire la situation ?
Seule, assise sur un rocher prêt d'une rivière calme, Ïrika trempait un orteil dans l'eau, effectuant des petits mouvements circulaires, plongée dans ses pensées. Sa vie auparavant si tranquille avait prit en peu de temps une tournure effroyable. Des barbares avaient envahis son clan, mettant son village natale à feu et à sang. On avait tué son père et réduit sa famille et son peuple en esclavage. On avait salit le nom des Ó Briain à jamais, une chose qu'elle n'avait toujours pas accepté. En son cœur, le souhait de retrouver son honneur d'antan l'obsédait, mais elle n'était rien face à tout cela. Comment pouvait-elle prétendre changer les faits à elle seule ? Padraigh, ce fourbe et répugnant personnage, avait eu la folie des grandeurs et avait eu l'idée absurde de prendre la mer vers l'inconnu dans l'espoir de trouver une terre nouvelle à envahir. Et voilà qu'ils s'étaient échoué ici, sur ces terres étrange qui n'avaient rien à voir avec l'Irlande. Il y faisait trop chaud pour prétendre avoir atteint une île du nord. S'étaient-ils trompés de direction ? Comment avaient-ils pu dériver si loin ? Et Caelan, son frère, qui était toujours introuvable !
La jeune femme n'avait pas voulu s'éloigner trop de la plage où elle avait échoué et retournait souvent sur les lieux, dans l'espoir de voir son frère. Mais le temps s'écoulait et avec lui l'espoir de retrouver un jour son cher Caelan.

Ïrika était consciente qu'elle ne pouvait pas continuer ainsi à attendre inutilement. Il fallait qu'elle trouve un village, qu'elle pose des questions aux habitants pour comprendre enfin où elle était. Il serait bienvenue ensuite qu'elle trouve un bateau capable de la ramener en Irlande. En effet, elle avait aussi laissé derrière elle sa mère et si elle devait avoir perdu son frère, il était hors de question de perdre également sa mère. Frida devait être morte d'inquiétude pour ses enfants...
La jeune femme finit par se redresser, épousseta ses guenilles et se mit en quête d'un sentier ou d'un chemin indiquant l'existence d'une civilisation quelconque.
En chemin, elle cueillit quelques baies lui paraissant comestibles. Elle ne fut certainement pas rassasiée, mais cela calma un peu les grognements de son estomac affamé.

Ïrika marcha longtemps. Elle avait chaud, peu habituée à ce climat particulièrement ensoleillé, mais ne voulait pas faire de pause avant d'avoir trouvé un village. Elle espérait seulement ne pas faire de mauvaise rencontre, car elle ne possédait rien pour se défendre. La mer avait tout engloutie.
Elle traversait à priori une forêt, incapable de savoir si elle avait prit la bonne direction. Autour d'elle, elle n'entendait que de nombreux oiseaux siffler joyeusement, mais aucune voix ou autre son particulier lui indiquant un village proche. Sans se décourager pour autant, elle continua de se frayer un chemin parmi la végétation. Lorsqu'enfin les arbres se firent plus rare, elle eut l'espoir de tomber sur un lieu habité. Mais ce ne fut pas le cas. Au lieu de ça, une immense plaine s'étendait à perte de vue. Ïrika soupira et se laissa lourdement asseoir sur le sol, désemparée. Décidément, les Dieux n'étaient pas avec elle aujourd'hui.

Après avoir soufflé quelques minutes, elle se releva, bien déterminée à atteindre son but. Relevant légèrement ce qui restait de sa vieille robe d'esclave déchirée, elle commença à s'avancer parmi les hautes herbes, espérant de pas tomber sur un serpent venimeux ou pire. Peu importe la route à parcourir, il était hors de question qu'elle abandonne ! Pleurer sur son sort n'était pas dans ses habitudes. Elle était la fille de Rodahl, chef des Ouenniknioi ! Et ce n'était pas un bout de terre comme celui-ci qui allait l'arrêter !

7
Les contrées du Chaos / Le premier acte (Rahemar)
« le: vendredi 22 janvier 2016, 13:21:13 »



Ïrika venait de quitter la plage où elle s'était échouée et ne pouvait s'empêcher d'observer les moindres détails autour d'elle. Quel était ce pays ? Il n'était pas vraiment comparable à son Irlande natale. La jeune femme aperçut un arbre immense et solide, elle décida donc de l'escalader histoire d'avoir un point de vue en hauteur et mieux voir ce nouveau monde.
Affirmant ses prises avec dextérité, elle n'eut aucun mal à rejoindre la cime, et lorsqu'elle se redressa, un paysage surprenant s'offrit à elle. Le vent était doux, chaud même et ces lieux paraissaient baigner d'une aura étrange, presque merveilleuse, fantaisiste. Il y avait un je-ne-sais-quoi d’intrigant.
Ïrika ferma les yeux un instant et tenta de se matérialiser son pays natal. Son esprit se mit à vagabonder, survolant subitement les côtes escarpées de l'Irlande, accompagné par les vents féroces, les vagues glaciales s'écrasaient contre la roche de toute leur puissance, malgré tout la falaise était inébranlable. Au mieux elle s'émiettait un peu plus à chaque décennie.
Un chanson celte tambourinait dans sa poitrine, une flûte chantait dans ses oreilles... Elle survolait la verdure éclatante de son pays. Comment ne pas parler des paysages de l'île d'émeraude sans évoquer ses innombrables nuances de verts ? Elle pouvait suivre les rivières calmes et paisibles jusqu'à rejoindre les lacs. A l'horizon, quelques montagnes dominantes. Elle se vit au cœur de son clan, tournant son regard vers les flancs de Ben Bulben et Knocknarea, comme de majestueuses sentinelles au-dessus de la ville de Μάγνατα. Une beauté sans pareille.
Et lorsque la jeune femme rouvrit les yeux, la réalité lui parut amer. Elle n'aimait pas ce qu'elle voyait. Peu importe ce qu'était ce nouveau monde, elle ne s'y sentait pas chez elle.
Mélancolique, elle descendit prudemment de son perchoir et tenta de rajuster au mieux ses guenilles. Elle n'avait pas été blessée durant la tempête, à peine quelques écorchures superficielles. Un miracle.

Il n'était plus temps de faire du tourisme, le soleil allait bientôt se coucher et elle devait encore trouver un abri. Qui sait quels animaux affamés ou bandits pouvaient se trouver dans les environs ?
Ïrika trouva un sentier et décida de le suivre, cela la mènerait forcément à une habitation quelconque, un village peut-être.
Elle marcha pendant un peu plus d'une heure, et lorsque la luminosité ne fut plus suffisante, elle commença à désespérer. C'est alors qu'elle tomba sur une vieille ferme. Celle-ci semblait cependant abandonnée vu son état. Pas un animal d'élevage à l'horizon et ce qui avait du être un potager n'était plus qu'un jardin de mauvaises herbes. Toujours prudente, elle poussa la porte de l'entrée qui grinça bruyamment et attendit que son regard s'habitue à l'obscurité. L'intérieur était à peu près ordonné, mais particulièrement poussiéreux. Plus personne ne devait vivre ici depuis des années.
Ïrika referma la porte derrière elle et commença à fouiller les lieux. Malheureusement elle ne trouva rien de comestible. Elle se coucherait le ventre vide.
Avant que la nuit ne tombe complètement, elle prit cependant le temps d'aller chercher de l'eau dans le puits en face de la ferme pour remplir un seau et l'amener à l'intérieur. Elle trouva de quoi allumer un feu et s'installa devant l'âtre réconfortant pour s'adonner à sa toilette. Sa peau était recouverte de sel, de sable et de poussière, ce qui commençait à devenir très inconfortable. Elle dénoua ses longs cheveux roux qui tombèrent en cascade jusqu'au creux de ses reins et entreprit des les dénouer un peu à l'aide de ses doigts, avant de les rattacher en un natte unique.
En revanche, aucun vêtement pour se changer. Qu'à cela ne tienne, elle trouva un vieux draps blanc dans une armoire bancale et commença à arracher le tissu. Elle noua le tout autour de son corps. L'ensemble ressemblait à une vieille tunique ou une toge grossière. Peu importe, au moins c'était sec et à part une légère odeur de renfermé, c'était convenable.

Au lieu de rejoindre une chambre austère, Ïrika décida plutôt de s'étendre prêt du feu sur le tapis, non sans garder le bouffadou qui servait à attiser le feu prêt d'elle. Juste au cas où. Elle ferme ensuite lentement les yeux, pensant à son frère et priant pour qu'il soit saint et sauf...

8
Prélude / Ïrika Ó Briain || Une jolie celte perdue ! [Validémonisée]
« le: jeudi 21 janvier 2016, 20:53:20 »


Identité : Ïrika Ó Briain
Âge : 25 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Hétérosexuelle

Physique :

Ïrika a le physique et le charme typiquement gaélique, plus particulièrement irlandais. Taille moyenne, fine et élancée, elle n'en est pas moins forte et sportive. Elle mesure environ 1m68 et 57Kg (plutôt grande pour l'époque) et ses muscles sont finement dessinés.
La jeune femme possède un beau visage, légèrement allongés, les traits fins et harmonieux. Elle a de très longs cheveux roux et lisses tombant jusqu'à la taille, ainsi qu'une frange qu'elle peut glisser derrière son oreille pour éviter qu'elle ne tombe devant ses beaux yeux verts émeraude. Elle possède un regard saisissant, électrique, empli d'autant de douceur que de sévérité. Difficile de parvenir à lire ce regard, en tous les cas envoûtant.
Elle a le nez droit et fin au-dessus d'une bouche vermeille, légèrement pulpeuse et aux dent blanches et bien alignées.
Ïrika a un tatouage au creux des reins, à la naissance de ses fesses rondes et fermes (http://www.voilamontatouage.com/images/tatouages/bas_du_dos/Tatouage%20bas%20du%20dos%2049.jpg)
Fille du Chef de clan, elle avait l'habitude de porter des robes comme celle-ci (http://i296.photobucket.com/albums/mm189/MarkizeBreena/celtic/Waiting.jpg), mais préférait parfois, surtout lorsqu'elle partait à la chasse, porter des vêtements un peu moins royaux (http://causes.c.a.pic.centerblog.net/c7060c4e.jpg). Lors de grands froids, bien entendu, ces vêtements étaient surtout composés de fourrure.
Dans l'ensemble, Ïrika reste une demoiselle coquette et féminine, mais troquant avec plaisir son allure de princesse pour quelque chose d'un peu plus... « guerrier ». Elle porte en permanence un poignard à sa cheville ou glissé dans ses bas au niveau de la cuisse et sait se servir d'une épée courte ou d'un arc en cas de besoin.


Caractère :

Ïrika possède toutes les qualités requises pour être une princesse. Sage, réfléchie, discrète, loyale, fidèle, souriante, polie. Elle est réputée pour sa grande générosité et son sens de l'honneur. Elle est douée de ses mains et aime peindre, jouer de la musique, chanter, danser ou coudre à ses heures perdues. Des activités de royale demoiselle bien entendu. Mais cette douceur et cette tendresse absolue n'est pas éternelle. La jeune femme aime sortir des sentiers battus lorsqu'elle ne se trouve pas à la demeure familiale ou en public. Non loin en elle se trouve une aventurière dans l'âme, brave, courageuse et téméraire, n'ayant peur de rien ni personne. Elle aime galoper à travers les plaines et au bords des falaises escarpées de la côte Nord, Nord-Ouest Irlandaise balayée par les vents et les vagues déchaînées. Elle aime chasser le gibier avec la discrétion et la vivacité d'une panthère, se baigner dans les eaux glaciales, escalader les falaises et pentes rocheuses... Oui Ïrika possède deux caractères bien distincts.
Elle respecte énormément sa famille dont elle est très proche. Pour elle, les valeurs familiales sont importantes. Elle aime aussi son peuple et met un point d'honneur a rendre leur vie moins misérable. Car malgré tout leur clan bien que fort et respecté n'est pas vraiment l'un des plus riche.
C'est une jeune femme plutôt têtue. Lorsqu'elle a une idée en tête, difficile de lui faire changer d'avis. Elle est aussi assez exigeante envers elle-même, n'acceptant pas faire preuve de faiblesse et met un point d’honneur réussit tout ce qu'elle entreprend.

Histoire :

Ïrika est née en 158 après J.C, sur Terre, près de la ville de Sligo au Nord de l'Irlande. Un endroit que l'on nommait plutôt Μάγνατα autrefois. Oui, oui. Vous allez comprendre.
Le Clan était appelé le peuple Οὐεννικνίους (Ouenniknioi, ou Vennicni en latin). Le chef, un celte grand et baraqué avait pour nom Rodahl Ó Briain et avait déjà engendré avec sa femme Frida, un fils du nom de Caelan. Deux ans plus tard c'était donc au tour d'Ïrika d'entrer dans la famille. Ce fut une enfant plutôt calme et obéissante que sa mère n'eut aucun mal à éduquer comme il se devait. Elle entretenait une relation très fusionnelle avec son grand frère qui n'hésitait pas à l'entraîner dans ses aventure un peu turbulentes, qui se résumaient à chasser les poules à coup d'épée en bois, à attacher de petites marmites à la queue des chiens ou a escalader les rochers du bord de mer pour attraper des œufs de mouette ou de goélands. Rien de bien méchant en somme.

La petite famille était parfaitement heureuse et le clan prospérait. En grandissant, Ïrika profitait un peu moins de son frère qui, promu à un grand avenir de chef de clan, était surtout auprès de son père pour apprendre les rudiments d'un bon chef et d'un brave combattant. C'est à cette période que la jeune femme commença à prendre goût aux cavalcades solitaires. Bien qu'inquiète pour elle, sa mère ne l'en privait pas pour autant et jugeait qu'il était peine perdu d'enfermer sa fille éternellement et d'aller contre sa nature. Son père aussi avait toujours un regard bienveillant envers elle et se montrait peut-être un peu plus protecteur que son épouse. Néanmoins, fou de sa fille, l'homme ne manquait jamais de venir l'embrasser avant le coucher.

Le temps s'écoulait et rien ne changeait vraiment, si ce n'est que les hivers étaient de plus en plus rudes et que la famine les guettait souvent.
Cependant, en cette année 178, alors qu'Ïrika avait fêté ses 20 ans, ce ne fut pas la famine qui les frappa, mais un peuple barbare venu du Nord qui, poussé par la faim et l'envie d'étendre leur territoire, vint envahir le clan.
Ils étaient très nombreux et bien équipés. Ils réussirent sans mal à repousser les hommes de Rodahl et mettre le village à feu et à sang. Les hommes étaient tués sauvagement, les femmes violées et torturées, les enfants enlevés. Ïrika et sa mère, depuis leur chambre, ne pouvaient que regarder ce spectacle d'horreur. Tout était en train de brûler et on entendait que les hurlement de terreur et de douleur, ainsi que les cris victorieux des barbares.
Rodahl tomba au combat, suppliant son fils dans un dernier souffle de protéger sa mère et sa sœur.
Les derniers survivants se barricadèrent dans la demeure souveraine. Droit et calme, Caelan était prêt à se battre jusqu'au bout. Ïrika restait prêt de sa mère en pleure, l'entourant de ses bras, contenant avec peine son propre désarrois.

La porte fut enfoncée et les barbares transpercèrent le peu de valeureux guerriers survivants. Caelan poussa un cri de stentor pour se donner du courage et fonça tête baissée dans le combat. Ïrika ferma les yeux, murmurant des prières aux Dieux dans l'espoir que l'on épargne ce qu'il restait de sa famille et de son clan.
Lorsqu'elle rouvrit les yeux, un barbare glissait sa lame contre sa gorge avec un sourire vicieux. Elle aperçut les corps des ses guerriers gisants dans une marre de sang, puis Caelan, à genoux au milieu de la pièce, les mains liées et posées sur sa nuque, la tête basse, son arme au sol. Il s'était rendu, avait plié face à l'ennemi et semblait fumer de colère et de honte. Mais il était en vie. La jeune femme serra sa mère un peu plus fort contre elle, levant les yeux vers le barbare qui la menaçait du fil de son épée tâchée du sang de ses frères.  Allait-il lui trancher la gorge ? Où bien les épargnerait-on et les enverrait-on  en exil ? Allaient-ils faire d'eux des esclaves ? Ïrika ignorait tout des habitudes de ces barbares.

Finalement, au bout d'une minute, un homme imposant entra. D'après sa démarche et son allure, la jeune femme en déduit qu'il devait s'agir du chef. Ïrika tenta de garder son calme, mais devint livide lorsque le type lança la tête décapitée de son père qui roula jusqu'à Caelan. Celui-ci serra les mâchoires et ne put retenir des larmes de rage qui glissèrent sur ses joues sales.

- Ton clan n'est plus, Caelan Mac Rodahl (Caelan, fils de Rodahl). Je prend ce qui t'appartient et en fait mien. Je t'épargne, tu fera un bon esclave, comme tout ce qui reste de ton peuple. Je prend tes terres et ta demeure, je prends tes armes, tes richesses, tes cultures et tes troupeaux.
- Maudit sois-tu, chien ! Cracha Caelan qui n'avait pu détacher ses yeux du regard vide de la tête de son père.

Le chef barbare le frappa rudement.

- Je vais te faire ravaler ta langue, misérable petit prétentieux.

Il fit un signe à ses hommes qui s'animèrent aussitôt en ricanant. Ïrika fut agrippée et arrachée de force à sa mère. Elle tenta de se débattre, mais un deuxième barbare vint en renfort. On les fit sortir de la demeure, jusque dehors ou la pluie tombait violemment. L'armée ennemie s'était rassemblé tandis que le village brûlait encore, un peu plus loin, quelques villageoises et villageois survivants étaient agenouillés dans la boue, attachés et parqués comme du bétail. Cette vision fit naître une sensation de haine dans le cœur de la belle irlandaise.
Les barbares se regroupèrent en un grand cercle autour d'eux. On fit agenouiller de force Caelan près du chef barbare, puis on poussa sa mère face à lui. L'homme prit la mâchoire de l'épouse du défunt entre ses doigts puissants, fronça les sourcils, puis poussa un grognement d'insatisfaction. Les homme qui tenaient alors la dame la traînèrent sans ménagement hors du cercle, en direction des villageois prisonniers.

- Mère !! Hurla Ïrika en essayant de se libérer de plus belle.

Mais on la força à avancer à son tour. La main énorme et rugueuse du chef ennemi attrapa sa figure. Elle le foudroya du regard et ne put s'empêcher de lui cracher au visage. Une exclamation outrée s'échappa de l'armée de barbare tandis  que leur chef s'essuyait de sa main libre d'un geste calme. Et alors qu'elle s'attendait à ce qu'il lui broie la mâchoire ou ne lui arrache la tête, l'homme esquissa un sourire diabolique et la bouscula si fort qu'Ïrika s'étala dans la boue, grimaçant de douleur et de dégoût.

- Comment osez-vous ?! Fustigea Caelan, hors de lui.

Le géant qu'était le chef des barbares se rapprocha d'elle et agrippa une poignée de cheveux roux, obligeant la jeune femme à se redresser en gémissant de douleur. Il ricana.

- Quelle arrogance. Vois, pauvre prince déchu. Et admire la manière dont Padraigh le Sanguinaire prend possession de ce qui lui appartient.

Les hommes poussèrent un cri sauvage et bruyant alors que le colosse arrachait d'une seule main la robe qui recouvrait Ïrika. Celle-ci ouvrit de grands yeux effarés et plaqua ses bras contre sa poitrine tandis que le froid venait mordre sa chair. Caelan hurla de nouveau, mais cela ne fit qu'arracher une rire à son ennemi qui s'empressa d'agripper les bras de la jeune femme pour les lui tordre dans le dos et la forcer face contre terre. Le cœur de la jeune femme battait à tout rompre dans sa poitrine alors qu'elle réalisait seulement les intentions de son bourreau. Paralysée de froid et de peur, c'était comme si le temps c'était arrêté pour elle. Padraigh lui redressa la croupe, baissa son pantalon et enfonça subitement son membre énorme, tendu et veineux dans son intimité. La douleur lui arracha un cri et des larmes glissèrent sur les joues de la pauvre demoiselle.
Il viola ainsi sa victime sous les yeux du prince, un sourire vorace aux lèvres tandis qu'il donnait des coups de reins violents et impérieux. Ses hommes l'acclamaient en riant. Ïrika ferma les yeux et n'osa pas regarder son frère, couverte de honte et de déshonneur.
Padraigh ne s'arrêta qu'après de longues minutes, seulement après avoir déversé une grande quantité de semence chaude et visqueuse en elle dans un râle satisfait. Ainsi fut salit à jamais le nom des O'Briain.

Cinq ans s'écoulèrent. Des années durant lesquelles Ïrika et tout ce qu'il restait de son clan fut réduit en esclavage. Une servitude dure et violente, impitoyable même. Les hommes de Padraigh abusaient fréquemment des esclaves, que ce soit par des tâches répugnantes ou des viols répétés. Ïrika avait disons... un petit peu plus de chance du fait d'avoir été la fille d'un chef de clan. Elle ne servait d'objet sexuel qu'aux barbares au rôle important et significatif. Pas au simple soldat. Non, on ne pouvait pas appeler ça de la chance en fait. Définitivement pas. Le reste du temps elle lessivait les sols de la demeure, celle dans laquelle elle était né et avait grandit. En revanche, elle ne voyait presque plus sa mère et son frère. Elle avait parfois la chance de les croiser, mais n'ayant pas le droit de communiquer entre eux, ils se contentaient d'un échange de regard qui signifiait « courage » ou « Dieu merci tu es encore en vie ! » ou encore « tu me manque ». Ïrika aurait donné n'importe quoi pour les serrer dans ses bras, ne serais-ce qu'une seconde ! Plus le temps passait et moins elle supportait cette situation.

Un jour, Padraigh décida de partir en expédition maritime. Aussi fou qu'ambitieux, l'homme voulait découvrir une île ou peut-être une nouvelle terre au-delà des mers. Il désigna quelques un de ses hommes, ainsi qu'une poignée d'esclave, dont Ïrika et son frère. Sa mère en revanche, trop âgée pour le voyage, resta au sol, ce qui attrista beaucoup la jeune femme. Elle s'inquiétait beaucoup pour son mère ces temps-ci.
Ils prirent la mer un jour où il faisait bon et que la mer était calme. Leur expédition était composé de trois bateaux solides et d'une cinquantaine de têtes en tout (en comptant les esclaves).
Encore une fois, on avait veillé à ce que Caelan ne soit pas sur le même bateau que sa sœur. Cela aurait été trop beau.

Les jours passèrent sans qu'on ne vit rien de plus que de l'eau salée à l'horizon. Personne n'était vraiment à l'aise avec cette idée de recherche du nouveau monde. Personne ne savait jusqu'où s'étendait les mers et beaucoup s'imaginaient déjà arriver au bout du monde et sombrer dans un vide infini... Ïrika préférait ne pas y penser.
C'est alors qu'au bout d'une semaine de navigation, le temps se gâta. Le ciel se fit noir et les vagues mesuraient plusieurs mètres. A bord, c'était la panique. Les hommes s'étaient longtemps battu sur le pont pour tenter de contrôler leur navire, mais c'était peine perdu. La majorité se contentait maintenant de s'agripper à ce qu'ils pouvaient pour ne pas tomber par-dessus bord. Ïrika était morte de peur et tremblait dans le fond du bateau, là ou on avait installé une pseudo cuisine et où elle préparait le repas avant que le cauchemar ne commence.
Elle regarda autour, mais ne vit pas Élie, la jeune esclave qui travaillait avec elle. Oh non ! Elle était peut-être là-haut !
Ïrika inspira un bon coup et décida de se diriger tant bien que mal vers le pont. Plusieurs fois elle fut projetée et malmenée contre les murs ou les sols. Elle hurlait le nom de son amie, mais rien ne lui répondait. Lorsqu'elle arriva à l'extérieur, elle fut presque emportée par la force du vent. Se retenant avec peine au bastingage, elle hurla de nouveau, incapable de voir nettement ce qui se passait. Elle était déjà trempée jusqu'aux os ! C'est alors qu'elle reconnue enfin la silhouette d’Élie, agrippée à un cordage et criant de terreur.
Ïrika aurait aimé la rejoindre, la prendre sous son bras et l'amener au sec. Malheureusement, à cet instant, une vague plus grande que les autres souleva le bateau et le retourna, envoyant tous ses occupants dans les profondeurs glacées.
Au moins, morte, elle ne subirait plus les sévices de Padraigh...

Lorsqu'Ïrika ouvrit les yeux et reprit connaissance, elle était étendue sur du sable humide et un vent doux et chaud caressait sa peau mouillée. Elle comprit rapidement qu'elle n'était pas morte, mais bien en vie, échouée quelque part. Mais où ? Elle se redressa lentement en grimaçant et regarda autour d'elle. Il n'y avait pas grand chose. Des débris épars, sans doute appartenant au bateau, deux ou trois corps appartenant aux hommes de main de Padraigh. Mais aucune trace d’Élie ni de son frère. Elle hurla néanmoins leur nom, commençant à longer la plage en ignorant le fait qu'elle n'était recouverte que par de rares lambeaux de tissu. Elle chercha longtemps, s'époumonant dans l'espoir qu'on lui réponde, mais rien.
A bout de force, désespérée, Ïrika décida finalement de trouver un endroit ou manger et dormir. Il devait bien se trouver un village avec des gens assez généreux pour lui venir en aide ?

Autre :
Ïrika vient de la Terre, mais durant la tempête, elle a traversé un portail qui l'a projetée tout droit sur Terra ! Mais est-elle la seule ? ...



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