Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Corona Taddeucci

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Corona Taddeucci

Pages: [1]
1
Sa première invocation solitaire ! Corona était ravie. Depuis le temps qu’on lui avait offert de renaître en tant que succube, elle n’avait fait qu’être l’ombre d’une succube plus expérimentée. Que ce soit pour les invocations, les marchés, les balades sur Terre ou les tortures de prisonnier, elle n’était jamais seule. Même pour les orgies ! (Même si, okay, c’était un peu le but de ne pas être seule pendant une orgie)

Alors quand sa mentor lui avait dit qu’elle était prête pour une petite invocation mineure en solitaire, Corona avait sauté de joie. Pour un peu, elle aurait même embrassé la succube ! Elle s’était ensuite préparée soigneusement. Elle portait peu d’atours mais ceux-ci étaient méticuleusement choisis. D’abord, des cuissardes en cuir à talon aiguille, anthracites, couvraient ses jambes jusqu’à mi-cuisse. Le bord était ouvragé, finement brodé et incrusté d’argent. Un tanga, de même teinte, couvrait sa féminité, et parait ses hanches de lacets de cuir et d’un anneau d’argent. Un bikini, de cuir également, de même teinte, englobe sa poitrine. Il possède les mêmes ornements brodés et incrusté que les cuissardes, mettant en valeur la courbe de ses seins et la pâleur de sa peau. UN fin collier d’argent ornait sa gorge, et un diadème en os recouvert d’argent ornait son crâne, entre ses deux cornes.

Celles-ci étaient lustrées avec soin, les incrustations d’argent et d’or dedans brillant de mille feux à la lueur des chandelles. Les plumes de ses quatre ailes étaient aussi soigneusement arrangés, et une cape spécialement découpée pour les laisser passer couvrait le dos de Corona. Le col de cette cape était en fourrure, et se prolongeait pour faire comme une écharpe, ou un boa, et s’enroulait à présent autour des bras de la succube.

Fin prête, elle s’était rendue dans la chambre des autels. Là, elle s’était installée sur l’un d’eux, et avait attendu patiemment qu’un mortel ne décide d’invoquer une succube. Corona était sereine. Et impatiente. Elle ne craignait pas sa première mission en solitaire. Mais peut-être qu’elle aurait dû…

Depuis quelques temps, certains démons invoqués ne revenaient pas. Ils cessaient de donner des nouvelles, et personne ne savait où ils étaient. La seule chose certaine, c’est qu’ils étaient encore en vie. Et encore, pour certains, leur nom se rayait dans le registre après quelques temps. Personne n’était capable de comprendre la raison de leur disparition. Leur seul point commun, c’était que la dernière fois qu’ils avaient été vus avait été dans la chambre des autels, à attendre une invocation.

Corona avait suivi l’affaire des disparitions d’une oreille distraite, et elle la chassa de ses pensées alors que la chaleur familière de l’invocation à venir se propageait dans son corps. Elle ferma les yeux, laissant la magie dissiper ses cellules et les reformer à un tout autre endroit.

« Qui ose m’invoquer ? Commença-t-elle d’une voix doucereuse. »

Elle n’eut pas l’occasion d’aller plus loin. A peine avait-elle fermé la bouche qu’un filet tomba sur elle, scintillant dans la lueur des chandelles, et s’intégra sous sa peau. La seule manifestation physique de ce filet était un ras-de-cou niché sous sa chaine en argent, de la même teinte argentée.

Furieuse de cette « surprise », Corona tenta de mettre le feu à la pièce autour d’elle, espérant brûler cet invocateur qui ne jouait pas dans les règles. Mais elle eut la désagréable surprise de ne pas pouvoir accéder à ce puits de magie démoniaque comme elle le pouvait depuis sa renaissance.

« Qu’est-ce que… ?! Interrogea-t-elle, une nuance de panique dans sa voix.
Silence, succube, ordonna une voix féminine, ferme et autoritaire. »

La succube tenta de répliquer, mais elle se rendit compte que son corps ne lui répondait plus. Les dents serrées, elle darda un regard furieux sur la femme qui sortit de l’ombre.

« A partir de maintenant, tu m’obéiras en tout point. Et pour m’en assurer… Ouvre la bouche ! Ordonna-t-elle. »

A son grand dam, Corona obéit. La femme fit couler le contenu d’une fiole dans sa gorge, et lui ordonna d’avaler. Puis, avec un sourire froid, elle lui commanda d’éteindre les flammes des chandelles. Furieuse, mais incapable de se révolter, la démone utilisa la magie -à laquelle elle pouvait désormais accéder- et moucha la flamme des bougies. Elle tenta de diriger le feu vers la femme, mais la magie échappa à son contrôle dès qu’elle songea à brûler celle qui l’avait emprisonnée, retournant hors de sa portée. Elle avait envie de jurer, et ne pouvait même pas exprimer son mécontentement de cette manière.

« Parfait. Suis-moi. »

Incapable de refuser, la succube suivit la femme. Les jours qui suivirent consistèrent en des batteries de tests, d’expériences, et d’observations du même acabit. Corona était incapable de refuser d’obéir à la femme, mais elle pouvait refuser quand quelqu’un d’autre que son invocatrice essayait de la contrôler. Et si elle ne pouvait atteindre sa magie quand elle songeait à blesser cette dernière, elle découvrit qu’elle pouvait y accéder quand elle songeait à tout sauf à ça. Comme pour faire s’effondrer un pan de plafond au-dessus d’elles en songeant que la pièce était trop petite.

Malheureusement, l’invocatrice s’occupa de ces failles. Avec son propre sang, mêlé à celui de la succube, elle devisa une substance qui permettait de la contrôler. Apposée sur un autre, cet autre pouvait faire de même. Pour plus de sûreté, l’invocatrice dessinait des symboles occultes de contrôle et de protection sur les sujets tests.

Quand elle s’estima enfin satisfaite, elle ordonna à Corona d’entrer dans une cage et de s’allonger dans une boîte en bois rectangulaire, ressemblant à un cercueil bas de gamme, et la recouvrit d’un drap en lui ordonnant de ne pas bouger et de ne pas faire de bruits jusqu’à ce qu’elle lui ordonne autre chose.

Bouillonnant de rage, la brunette s’exécuta. Elle ignorait combien de temps passèrent ensuite. Elle ne ressentait pas vraiment la faim, et l’ennui lui donnait l’impression qu’une heure s’écoulait aussi lentement qu’une année entière. Quand enfin le drap se souleva, elle fixa l’invocatrice d’un regard meurtrier, ignorant le jeune homme à côté d’elle. Elle détestait qu’on parle d’elle comme d’un objet. Pire, elle haïssait le contrôle que cette femme avait sur elle. Elle méprisait cette sensation de faiblesse, cette impression d’être impuissance.

Des hommes de mains s’attelèrent à sortir la cage du camion pendant que Corona frémissait de fureur, allongée, immobile, dans son pseudo cercueil. Elle brûlait d’envie de se lever, et d’éviscérer chacun de ces hommes. Elle se languissait de serrer ses mains autour du cou de l’invocatrice et de sentir la vie lui échapper lentement, en la regardant dans les yeux avec ses prunelles écarlates.

Alors qu’elle songeait à la façon délicieuse dont elle pourrait se venger de l’invocatrice, cette dernière se pencha justement au-dessus de la caisse.

« Tu obéiras à ce jeune homme, sur qui j’ai apposé les sceaux avec l’encre qui t’y oblige. Et tu ne me trahiras pas, qu’importe ce qu’on t’ordonne. Tu me tiendras au courant des faits et gestes de ce pourceau, tous les jours, susurre-t-elle en se penchant, le visage à quelques centimètres de celui de Corona. Pour l’instant, adopte ton apparence humaine, succube, et va te mettre à ses ordres. Comme je te l’ai appris, ajoute-t-elle d’un ton froid et en même temps brûlant de cruauté. »

Incapable de résister, la succube ferma les yeux. Ses cornes, et ses deux paires d’ailes pourpre, disparurent. Sa queue en pointe également, pourtant soigneusement dissimulée en étant enroulée autour de sa jambe droite. Elle était en tout point semblable, si ce n’est la disparition de ses attributs démoniaques.

Elle se releva, et enjamba le rebord sur cercueil pour en sortir. Après un regard incandescent de furie envers l’invocatrice, Corona se dirigea vers le jeune homme et s’agenouilla à ses pieds.

« Je suis à vos ordres, Maître, siffla-t-elle d’un ton venimeux. Il n’y était pour rien, mais il était protégé par « l’encre spéciale », et elle détestait devoir se soumettre à la volonté d’un mortel. Commandez, et j’obéirais, termina-t-elle en serrant les dents, incapable d’atteindre la magie pour le faire brûler comme elle le voulait. »

2
Prélude / Fiat via illorum tenebræ, et lubricum ! [Validemonisée]
« le: mardi 07 août 2018, 23:57:48 »
Identité : Corona Delilah Taddeucci.
Âge : Elle avait 22 ans, quand elle est morte.
Sexe : Féminin, indubitablement.
Race : Elle était humaine, et c'est désormais une démone.
Sexualité : Hétérosexuelle. Expérimentée.

Et sinon, c'est qui ?

Physiquement :

Corona est une jeune démone comme une autre. Avec des cornes, une queue, des ailes, et tout. Oui, enfin. Elle est sexy aussi. Pas très grande, peut-être, vu qu'elle fait un mètre cinquante les bras levés (oui, non, c'est une exagération, c'est plutôt de l'ordre du cinquante-six, avec les bras le long du corps). Mais Mère Nature a été généreuse. Elle l'a faite bien proportionnée. Avec de jolies jambes galbées, des cuisses fuselées, des hanches fécondes, des fesses bien rebondies, une taille fine, une poitrine qui n'est pas trop opulente mais qui n'est pas non plus négligeable, et des traits fins, accompagnés d'une jolie crinière brune, qui s'est parée de reflets violines avec sa transformation.

Ses traits fins, d'ailleurs, ne sont pas doux, comme ceux de sa sœur cadette. Enfin, ils peuvent l'être, bien sûr, mais elle affiche régulièrement une expression renfrognée, ou meurtrière, ou encore séductrice. Elle n'est pas innocente. Ses prunelles d'azur, lorsqu'elle était humaine, sont devenues écarlates. Ses jolies lèvres pulpeuses ont toujours leur sombre teinte grenat. Sur ses tempes naissent deux cornes pourpres striées d'or. Ses oreilles se sont légèrement allongés, ressemblant étrangement à celles d'un de ces elfes des folklores humains, et semblent avoir une ouïe et une mobilité plus développée, un peu à la manière des animaux.

Dans son dos, à la cambrure de rein qui donnerait envie à un ange de se damner, peuvent s'étirer deux paires d'ailes aux plumes pourpres et écarlates. Et, un peu plus bas, un appendice caudale vient se nicher, juste à la fin de sa colonne vertébrale. Souple, et longue d'environ sa taille, la queue se termine en pointe, tout simplement. Elle est de la même teinte que ses ailes, tranchant ainsi sur la chair pâle de sa peau.

Mentalement :

Humaine, Corona n'était pas un modèle de vertu. Là où sa sœur était douce et généreuse, elle était égoïste et incisive. Elle était égocentrique, préférant son bien-être à celui des autres. Elle ne se souciait pas vraiment de sa famille. Ils étaient là, malheureusement, pour l'emmerder. Et si au début elle était satisfaite d'être fille unique, ses parents ont eu la désagréable idée de pondre une petite sœur. Non, mais vraiment !

Décidée à s'attacher le moins possible à cette créature blondinette, l'aînée s'isolait donc, préférant mépriser sa famille de loin, et se vautrer dans ses vices en passant le moins de temps possible avec eux. Et ça, les vices, elle adorait ça. La cigarette, commencée juste pour ennuyer sa mère. La boisson, pour rendre fou son père. Le sexe, pour choquer sa pure petite sœur. La drogue, parfois, pour tester quelque chose de différent. Elle aimait être du "mauvais côté de la barrière" comme disait les flics en la ramenant à la maison, ivre morte, défoncée ou prise la main dans le sac en vol à l'étalage. Faire du mal à autrui ne la dérangeait pas. Au contraire.

Et tout ces défauts se sont exacerbés à sa mort, à son changement. Ses qualités -comme la détermination, l'audace, l'intelligence, la vivacité- sont restées, bien sûr, mais elle est devenue plus cruelle, plus avide de péchés, de mal. Elle se souvient à peine de sa vie humaine, refoulant ces souvenirs pour agir comme la bonne petite démone qu'elle est devenue.

Biographiquement :

Comme annoncé plus haut, Corona est la fille aînée d'un couple qui en avait eu deux. Sa cadette, Celestina, incarnait la bonté, la générosité, la douceur. Tout son contraire, quoi. L'une était brune, l'aînée, l'autre était blonde, la cadette. Aussi différente que le jour et la nuit. Et la brune ne se satisfaisait pas de la vie qu'elles avaient, au contraire de la blonde.

Déjà, elle était fille unique, avant l'arrivée de Celestina. Et ça lui convenait très bien. Et puis, ses parents étaient tellement vieux jeux ! Elle se faisait une joie de les défier, dès qu'elle le pouvait. Leur petite maison en bois n'était pas belle. Elle n'était même pas "de charme" comme disait les agences immobilières. Et ils espéraient qu'elle se fasse une joie d'y vivre ? Elle essayait donc d'y passer le moins de temps possible.

Quand elle n'était pas à l'école (quand elle séchait, par exemple), elle traînait avec ses amis. Elle a commencé à fumé très tôt, à l'âge de 13 ans. Elle s'est mise à la boisson deux ans plus tard. Entre les deux, elle s'initiait au vol à l'étalage, aux dégradations de biens publics, et de tout ce qui avait le don d'énerver sa famille. Et quand elle n'était pas à l'extérieur, à se dévergonder, et bien elle s'enfermait dans sa chambre, dans son sanctuaire. Elle se plaisait à enfumer sa chambre avec les cigarettes, ou avec la chicha qu'un gars lui avait dégotté. Elle passait le moins de temps possible avec ses vieux ou avec sa cadette. A quoi ça servait ? Dès qu'elle le pourrait, elle se tirerait de cette baraque moisie.

Et elle grandit, se fit arrêter plusieurs fois, se fit aussi virer de plusieurs emplois malgré les notes excellentes de son dossier scolaire (lorsqu'elle prenait la peine d'aller en cours, elle retenait assez facilement). Indiscipline, abandon de poste, insolence, vol, agression... Les causes étaient multiples. Autant que les infractions sur son casier judiciaire. Et elle devait donc rester chez ses parents, dans cette bicoque qu'elle haïssait.

Pourtant, alors qu'elle avait 22 ans, elle s'absenta plusieurs jours de la maison. Elle traînait avec des individus peu recommandables, elle s'amourachait d'un type louche, et elle se fit "légèrement" influencer. Juste ce qu'il fallait pour enfin passer à l'acte pour ce qu'elle avait rêvé depuis des années.

Elle rentra, de nuit, avec quelques bidons d'essence. Elle dévalisa le coffre des billets et des bijoux qu'il contenait. Elle arrosa la maison, du toit au plafond, avec un sourire sadique. Puis, d'abord à l'étage, et enfin au salon, elle craqua une allumette. Et tout flamba. La fumée, épaisse, âcre, montait. La chaleur aussi. Non loin de la demeure, la brune observait avec fascination les lueur orangées des flammes qui dévoraient tout sur leur passage, inconsciente des arbres tout proches qui prirent feu également.

Elle avait croisé sa sœur, et l'avait toisé d'un air narquois, sans répondre à sa question. C'était évident, ce qu'elle avait fait. Non ?

Puis, elle décida de s'enfuir, avant que la chaleur ne roussissent ses vêtements. Mais c'était sans compter sur l'incendie qui s'était propagé, et qui ravageait les arbres alentours. Elle se fit piéger par un tronc immense, mourant sur le coup.

Elle ne croyait pas à Dieu, et à ces conneries. Pourtant, elle fut forcée de se rendre à l'évidence. Son âme quitta son enveloppe charnelle, et elle aperçut sa cadette. Enfin, l'âme de sa cadette. Elle aussi était donc morte.

Puis, avant qu'elle n'ait pu esquisser un geste, des mains semblèrent sortir du sol. Elles attrapèrent ses chevilles, griffant ses mollets, et l'entraînèrent vers le sol, de là où elles venaient. Corona hurla, effrayée, surprise. Elle hurla, quand les doigts fantomatiques propagèrent des tsunamis de douleur dans son âme. Elle hurla, et elle disparut, témoin de la vaine tentative de Celestina pour l'aider.

Elle était en enfer, avec toutes les autres âmes damnées. Elle était torturée, comme toutes les autres âmes damnées. Mais, contrairement à beaucoup de ses âmes, on décela en Corona le potentiel pour devenir une parfaite petite démone. Une jolie petite succube. Et on lui offrit sa chance. On lui permit de se recréer un corps, pratiquement semblable à celui qu'elle avait perdu. On lui offrit une éternité de vice. Evidemment, elle accepta. Elle se fichait bien de son âme immortelle et blablabla. On lui proposait de se vautrer dans tout ce qu'elle adorait faire en étant vivante. Elle n'était pas débile, elle n'allait pas refuser.

Et depuis le jour de sa mort, elle n'a pas entendu parler de sa sœur. Elle n'y pense même pas, refoulant cette partie de sa vie dans un coin sombre de son esprit. Elle est bien trop occupée à s'amuser, à torturer les mortels, à récolter leurs âmes.

Autre : Boarf, magie démoniaque and co, ça va de soi. Non ? Tout ce qu'il faut pour se montrer cruelle, en plus de son imagination. Tout ce qu'il faut pour se faire plaisir, et pour être perfide et sournoise.

Fiche de Celestina : http://lgj.forum-rpg.net/index.php?topic=21400.0

Pages: [1]