Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Foot Szél

Pages: [1] 2
1
-HS- Je change de couleur pour marquer la corruption de Foot. -HS-

Cela me surprenais d'avoir cette sensation que petit à petit je prenais le dessus sur ce type. Les femmes avaient-elles un avantage sur les hommes lors des ébats ? Ne pense pas ainsi, tu te pervertis.  Mais ... si je peux le dominer de cette manière, sans doute puis-je regagner ma liberté de cette manière. Je continue donc mon geste, en essayant de changer l'angle et d'autre éléments pour obtenir le meilleur effet. Mon esprit se mit à me susurrer des pensées perverses, avec une certaine réticence je me mis à en appliquer quelques une. Le résultat fut surprenant, ce type semblait avoir un peu plus de mal a jouer avec son pied, son corps semblait réagir à chacun de  mes gestes. Mon corps ne fut pas épargné par cette série d'action, sentant un liquide couler le long de mes cuisses.


J'entendis ce mec demander à m'arrêter, désirant passer à la suite, mais il n'allait pas me laisser perdre cette dominance aussi facilement. Comme réponse je me mis à essayer de prendre entièrement le membre, faisant des descente un peu plus prononcées pour arriver à la base de son chibre. Il était surprenant de voir que je pouvais rester une dizaine de seconde, son chibre dans les tréfonds de mon gosier, avant de devoir reprendre de l'air. Le rythme fut plus lent, son membre s'approchant encore plus doucement vers l'orgasme.

Je me sentais bizarre, avais-je l'esprit aussi mal tourné depuis ma naissance ? Suis-je un être corrompus par la luxure ? Mon envie de jouer et de le dominer de cette manière peu catholique confirmait cette supposition.

J'allais jouer un peu plus quand il se mit à se vider alors que je l'avais pleinement en bouche. Je pus sentir quelque chose d'épais partir vers mon estomac et remonter, devant avaler pour éviter de suffoquer. Je me mis à sortir vite se membre, me renversant en arrière. J'eus un léger rire essoufflé. J'avais réussi à le forcer de jouir, une étape importante pour pouvoir retrouver ma liberté.

Mon corps semblait s'embraser, mon intimité me renvoyant une sensation bizarre. Mon esprit détourné me dis qu'il désirait quelque chose pour le contenter, je compris vite de quoi il s'agissait. Je vis rapidement comment prendre le dessus sur lui, ce type semblait avoir perdu un peu de ses moyens et je me mis donc à m'approcher, lançant d'un air joueur et narquois.

- Que vous arrive-t-il ? Vous ne semblez pas aller bien.

Je me mis en face de lui. Mon esprit détourné avait beaucoup d'idée à me proposer. Je comptais le laisser corrompre ma pensée, je ne savais pas pourquoi mais cela semblait l'idée la plus judicieuse. L'appel à la luxure me semblait d'un coup tellement attirante et irrésistible.

Sans l'avertir, je m'assis sur ses jambes, son membre se plaçant sur mon intimité humide. Je fis quelque mouvement de hanche pour garder son chibre bien dure, chargeant mon corps de plaisir. Désirant un petit plus, je me mis à dire d'une voix faussement suppliante.

- Vous ne voulez pas punir votre trainée pour vous avoir désobéit ?

Je ne savais pas pourquoi mais je désirais sentir son membre m'empaler, ce désir étant aussi fort que mes sentiments envers la Reine de Nexus.

2
J'eus un frisson de peur quand il se mit à poser sa main sur ma tête. Allait-il me forcer à le prendre davantage en bouche ? Mon corps se mit à trembler, je ne pouvais pas contrôler ses tremblements, mon corps semblait me désobéir. C'est alors que je sentis qu'il me caressait la tête avec douceur, je ne comprenais plus rien de lui. Comment pouvait-il faire preuve d'une immense violence et par la suite être très doux, il est imprévisible. Je ne pouvais faire qu'une seule chose pour éviter sa colère, me laisser manipuler par lui, mais aurais-je assez de force pour ne pas que mon corps ou mes réflexes s'y oppose ?

Je me mis à comprendre un peu le principe, en tout cas d'après ce qu'il me faisait et m'expliquait. Il fallait stimuler le membre avec tout les muscles de la bouche. Je me mis tranquillement à m'approcher de la base, habituant ma gorge en douceur. Lentement mais surement je pus caler ma respiration suivant le niveau du membre dans ma bouche, à chaque fois que je ressortais je devais expirer le surplus d'air et inspirer une nouvelle réserve pour la descente. Il vint à donner des conseils, que je me mis à essayer avec plus ou moins de facilité.

Je me mis à essayer d'initier un geste qui suivait celui de ma bouche, non sans me demander si cela lui plaisait. Très vite mon corps sentit son pied se diriger vers mes cuisses, le frottement me perdant un peu dans mon rythme. J'eus un gémissement quand il vint jouer avec ma boule de chair.

Je pus sentir le membre se mettre à tressauter, était-il proche de jouir ? Je ne sus pourquoi je voulais lui jouer un vilain tour, mais mon corps agit avant de comprendre ce que je faisais. Mes descente furent un peu plus importante, ma gorge se contractant pour stimuler le membre. Le rythme se mit à augmenter pour pouvoir respirer convenablement et garder la cadence sans s'essouffler. Je m'empourprais car je savais que c'était bizarre, j'avais l'horrible impression que j'étais habitué à faire ça, pourtant ce n'est pas moi ... Mon esprit s'embrouille encore dans un débats stérile où aucune réponse ne peut surgir. 

3
Quelque chose vint frôler mon visage et s'éclater contre la porte. Immédiatement je fis un petit bond en arrière et fut ahuris de voir qu'il s'agissait d'acide. La clenche était encore disponible et je me mis à la saisir, tentant en vain de la tirer pour sortir. J'eus beau tirer, la porte était impossible à ouvrir, avait-il usé d'un charme pour m'empêcher de passer cette porte ? Je me mis à tourner la tête pour voir s'il tentait quoi que se soit.

Mal m'en prit car une main vint frapper, avec une violence voulut, ma joue gauche. Ce geste me fit tourner le dos à ce monstre qui en profita pour me plaquer, sans douceur, contre le mur froid près de la porte. Il colla son corps pour ébouillanter le miens aussi froid que la glace.

Je sentis alors quelque chose se placer sur mon intimité, il ne fallait pas sortir d'un école de militaire pour savoir ce que cela pouvait être. Je me mis à paniquer, essayant de me débattre, mais sa prise était efficace. Il comptait abuser de moi sans douceur, cela se sentait dans sa voix chargé de colère. C'est alors qu'il ceinture ma taille et me balance.

Malgré ma volonté de bien atterrir ce fut à plat ventre que l'atterrissage se passa. La douleur se mit à transpercer mon corps, je me rendis compte que le fait d'être devenu un zombie me rendait plus résistant physiquement, cependant cela n'empêchait pas mon esprit d'être grogis à cause de l'impact.

Il vint à me donner un ultimatum : obéir ou souffrir. Cela suffisait, mon corps et mon esprit ne pourrais supporter plus de violence, cela était déjà un miracle que je ne perde pas la boule et devienne comme une de ses esclaves que l'on vend après leurs avoir fait perdre la mémoire. Je ne souhaitais pas finir comme ça. Comme pour sceller mon choix il vint à le donner un coups de pieds dans le visage, me recroquevillant, en me protégeant la face d'une toute nouvelle agression. J'étaie  en pleurs, je ne pouvais même pas fuir, je ne voyais même plus pourquoi je devrais lutter contre lui. Il était plus fort que moi et avait tout pour me faire du mal. Je me demandais même s'il ne valait pas mieux se considérer à présent comme une femme, pour éviter qu'il n'use de ses pouvoirs pour m'obliger à passer cette étape, mais pour l'instant cela semblait encore difficile à faire.

Je me relève, restant à genoux pour ne pas le défier et m'approche doucement, sans faire de geste trop vif. Il semblait être du genre à frapper à la moindre agression, alors mieux valait éviter.

- Je vais le faire ... cela prendra  ... un peu de temps.

J'eus un moment d'hésitation, puis avance mes mains tremblante, touchant le membre en premier lieu du bout de mes doigts, puis le prit à pleine main, sans forcer. Je me mis à ouvrir la bouche et lèche une première fois le membre, c'était très difficile pour moi, me rappelant de la suffocation. Non il ne fallait pas à nouveau fuir, sinon il n'hésiterait plus à me faire mal.

Timidement je mit le bout du sexe en bouche, usant de la langue pour passer dessus, espérant que cela serait suffisant ... pour l'instant en tous cas. Après tout je suis un novice et faire cela à un homme était difficile à cause de ma morale.

4
Prélude / Re : Gnoll
« le: mercredi 16 janvier 2013, 13:53:48 »
T'approche pas de moi boule de poil.

*A toujours eut un a priori sur les hyènes.*

[Bienvenue. Désolé la transformation en zonzon l'a mise un peu sur les nerfs.]

5
J'entendis ce type se mettre à bouger et inévitablement je me mis à regarder ce qu'il faisait. Bien mal m'en pris, si j'avais prévu qu'il se déshabillait, j'aurais gardé ma tête tournée, ne serait-ce que pour éviter d'avoir dans mon champs de vision son membre qui tendait le tissu. Une vision qui me faisait frémir de peur en pensant à la suite. Ma gorge se mit à se serrer, sans doute à cause de l'appréhension du futur. Quand il vint à initier son geste pour retirer son unique vêtement, je me mis à détourner la tête, vous ne savez pas ce que c'est de voir un homme nu ... c'est gênant, très très très gênant.

Sa main, puissante et assez large, vint saisir le haut de mon crâne, pinçant des cheveux, d'où une petite douleur quand il vint à raffermir sa prise. J'eus un léger sursaut en sentant son chibre se poser sur ma joue, bon dieu voulait-il que je devienne vraiment une de ses femmes vouée à la débauche ? Il me faisait peur à nouveau, je me mis à oser espérer qu'il ne s'en tienne qu'à ce simple contact, mais très vite il se mit à présenter son bâton de chair à l'entrée de ma bouche. Par peur et ne désirant pas le faire, je fus sur la défensive, refermant ma bouche pour éviter qu'il n'entre.

Il vint à me parler de le sucer, que voulait-il dire par ce terme barbare ? Ne me dite pas que ... Il se mit à me dire de le prendre en entier, comment diable aurais-je pus faire cela  ?  son membre semblait si gros et si long, jamais ma bouche ne serait suffisante pour le faire. Il rajouta qu'il pourrait devenir plus doux à l'avenir si je le faisais bien.

D'un coup il me tira la tête en arrière, me faisant crier, car il tirait un peu sur mes cheveux. Son membre se mit à entrer d'un coup sec. Je me  mis à crier et pleurer, jusqu'à ce que le membre s'enfonce profondément dans ma gorge. Je pouvais le sentir s'avancer inexorablement, m'empêchant de respirer, je suffoquais. Ma gorge se contractait par a coups pour tenter de rejeter le membre imposant de ce type.

Quand il vint enfin à me libérer, ni une ni deux j'use de mes mains pour reculer et sortir ce membre de ma bouche. S'en suivait une succession de toux pour reprendre ma respiration, j'avais presque faillit être asphyxié par son membre. Ce type est effrayant, je ne sais plus quoi faire. Je ne pouvais pas reprendre ce membre en bouche, non il était trop gros et le prendre en entier serait ressentir encore cette asphyxie.

Il me faisait peur, ayant un sursaut en le sentant se poser à côté de moi. Je me mis à le regarder. Je tente un petit regard vers la sortie, avec un peu de chance je pourrais courir assez vite pour atteindre la porte, de l'autre côté je sera sauf. Je tremblais à l'idée de l'échec, mais son membre me faisait trop peur.

Je fis semblant de baisser ma tête pour contenter son membre, puis pris une impulsion, me mettant à courir à toute jambe vers la porte. La peur me donnais des ailes, je semblait rapide et il me suffisais de tendre la main pour saisir la clenche, étant mon salut.

6
J'entendis l'autre se mettre à craquer ses mains. Il se mit à se dévêtir, comptai-il continuer ? Ne pouvait-il pas voir que j'étaie encore un peu dans les vapes ou faisait-il exprès pour me pousser à agir comme il le souhaitait. Quoi qu'il en soit il vint à attirer mon attention en me sifflant, telle une chienne ... non, arrête de penser que tu es une femme ... je ne devrais pas penser ainsi, non c'est mal ... je suis, je suis ...  mon esprit semble avoir du mal à savoir ce que je suis. Il vint à me donner un ordre. Il dominait complètement la situation et je me sentais si faible après cette explosion interne.

Avec une certaine difficulté je tente de me relever. Mes bras se mettent à trembler, le plaisir sillonnant encore mon corps, comme un poison qui mettait son temps à disparaitre. Mon souffle était devenu plus régulier, mais restait rapide. Mon regard se porta sur deux éléments, le liquide luisant d'une lueur inquiétante et les yeux de ce type. Il me narguait, cependant je voyais bien qu'un mauvais mots ou un mauvais geste pouvait le rendre mauvais.

Je m'approche de la plaie et sortis ma langue. Ce dernier vint petit à petit sur la plaie, j'appréhendais le goût que pouvait avoir cette chose, sans doute quelque chose d'infecte. Je donne un premier coup de langue et l'avale vite fait, le goût n'était pas fameux en effet. Ce type semblait s'impatienter, aussi je dû aller plus vite, non sans grimacer. Le pire fut sans doute le bruit à chaque fois que j'ouvrais la bouche ou déglutissais.

J'étaie là à lécher un homme, rien que cette idée me fit rougir, mon corps semblait se rafraichir, ayant des frissons. Rien de plus normal quand on est enveloppé de sueur.

Je finis rapidement le travail, non sans détourner la tête à la fin, le goût restait en bouche et c'était peu agréable.

7
Enfin eus-je un temps de ... repos dirons-nous, mon corps continuait à être irradié du plaisir, mais il me fut possible de respirer et reprendre mon souffle, mais ce type vint à me dire que je ne parlais pas assez fort et semblait décider à ce que je craque. Il revint donc à la charge et intensifia même son agression en passant mes deux barrières de chair pour explorer l'intérieur.

Au final il était vain de mordre la couverture, l'air me manquait cruellement et je n'eus d'autre solution que d'abandonner cette astuce, ouvrant grand la bouche. Irrémédiablement je me mis à avoir des cris, je vais être atteint de folie, je n'arrive pas à avoir une pensée fiable, mon esprit est tellement assaillit par le plaisir que je n'arrivais plus à avoir une pensée personnelle.

Plus il jouais avec mon corps, plus j'avais du mal à penser. Le coups final fut quand il pinça ma boule de chair. Je me mis à parler, en tout cas essaya.

- Haaa ... Je ... Mon corps ... Hiii ... je v haaa ... expl ... haaa ... exploser ... Haaa.


D'un coups mon corps entier se mit à se tendre et je pus sentir un liquide jaillir de mon intimité. Cette sensation fit place à un petit temps où mon cerveau ne semblait plus pouvoir marcher. Puis mon corps s'effondra sur le lit moelleux et trempé.

Mon souffle était irrégulier, tentant de récupérer, j'avais presque du mal à avaler la salive qui restait dans ma bouche, une grande partie ayant fuit par les commissures de mes lèvres.

8
Une fois la porte passé nous étions dévisagée, normal pour des étrangers. Mais, leurs regards ne me plaisaient pas, il y avait une lueur à la fois de dégout et d'envie. Je devrais y être habitué depuis le temps que j'étais ambassadeur, mais sous cette forme cela me causait une horrible gêne, je sentait mes joues comme bruler tellement j'avais honte d'être regardé dans cette tenue, dans les bras d'un pervers de surcroit. Ce dernier fit bouger son doigt de plus en plus rapidement et m'obliga à enfuir mon visage contre son torse pour étouffer mes gémissement, mon corps tremblait tellement que les habitants les plus perspicaces devait comprendre ce qui se passait. Pour qui me faisait-il passer  ce monstre ? Un petit cris étouffé perça ma gorge quand il vint à conquérir un nouveau territoire, sur le coup mon corps entier se crispe serrant son doigt à l'intérieur de moi. Le plaisir me faisait défaillir, je sentais mon corps commencer à devenir humide.

Il vint à légèrement ralentir et j'entendis le commerçant nous souhaiter la bienvenue. Je me mis à regarder ce que ce sale type voulait acheter. Le résultat me fis rougir, il avait acheté une tenue des plus osée. Faire la description de ce que je voyais était tellement gênant que je ne le ferrais pas. Dans cette tenue, si elle était à ma taille, j'aurais l'image de ses quelques filles de joie trainant près de la caserne, une idée qui me révulsait.

Le plus surprenant fut que ce type avait de quoi acheter n'importe quoi, sa bourse était remplis de pièces d'or et de platine, il avait sur lui une somme phénoménale, sans doute le vol sur des marchands. Comme pour étaler son argent, il prix la chambre la plus spacieuse. Il était dépensier, le genre de personne que je déteste pour jeter son argent par les fenêtres.

Il vint à me déposer sur le lit. Il avait bien réagit car vu mon état à cause de son amusement j'aurais eu toute les difficultés à rester debout, mon corps semblait si faible à cause du plaisir qui envahissait la moindre parcelle de mon être. Mais je ne fus pas au bout de mes surprise, ce sale type vint à m'écarter les jambes et je n'eus pas la force de résister.

Mon corps se mit à se cambrer quand il joua avec la petite boule de chaire. Quand j'étaie hermaphrodite je ne la possédait pas et me rendis compte combien cette zone était vulnérable. Il vint à arrêter, me disant que je serais un simple jouet sexuel, mais qu'il ne serait pas le seul à en profiter, car ce monstre avait des amis. S'en était presque risible, qui pouvait-il avoir comme amis à part d'autres monstres dans son genre. Il me donna un autre ordre, qui me fit prendre un air gêné, il voulait ... ce pervers ... il voulait que je décrive que je ressent. Il se remit à jouer avec mon intimité.

Mon corps était sans cesse irradié par le plaisir, partant de l'intimité et remontant jusqu'à mon cerveau. Très vite mon souffle devint rapide, ayant presque du mal à avoir une respiration correcte, j'avais l'impression qu'une fois sur deux j'étaie en apnée. Mon corps se mit à réagir bizarrement, mon bassin se leva et resta figé dans cette position, elle était inconfortable mais le foudroiement que chacun de ses coups de langue ne laissait pas à mon corps l'opportunité de se détendre. Mes mains qui avaient essayé de le repousser finirent par saisir le drap et le froisser en se crispant. Le plus gênant fus que j'avais l'impression de baver, le plaisir était si intense que je ne pouvais même pas aligner deux mots, à la place il n'y avait que des cris de plaisir. Pour me rendre moins honteuse ... non je suis un homme pas une femme, ne commence pas à parler de toi  au féminin. Pour étouffer mes cris je pris un bout de couverture et le mit à ma bouche, serrant la mâchoire, même si cela rendait ma respiration plus difficile. Je sentais des larmes couler, mais ce n'était pas du chagrin, le plaisir semblait créer de drôle de réaction. Je ne pouvais pas parler de ce que je ressentais, c'était si gênant et si difficile.

 

9
Prélude / Re : Otaké, l'eau t'as coulé! - Au taquet, l'otaku l'est!
« le: lundi 14 janvier 2013, 23:54:46 »
C'est zabel zarock.^^

10
Prélude / Re : Otaké, l'eau t'as coulé! - Au taquet, l'otaku l'est!
« le: lundi 14 janvier 2013, 23:39:41 »
Bienvenue.

11
Le baiser sur le front me déstabilisa complètement. C'était à croire qu'il ne me considérait plus comme sa proie, mais comme quelqu'un d'autre. J'eus donc un regard vers lui, les yeux dévoilant mon incompréhension à son égard. Je vis son sourire qui n'avait pas changé, était-ce une forme de moquerie de sa part.

Je ne vis pas sa main avancer vers mon entre-jambe et fut surpris de sentir comme un léger coup de foudre dans mon corps. Une simple caresse à cet endroit avait suffit pour me faire pousser un petite gémissement de surprise. Il vint à me dire que c'était normal, comment cela pouvait-il être normal ? Un autre foudroiement parcouru mon corps, en me collant contre lui il m'empêcha de me recroqueviller par réflexe.

Je sentis alors quelques chose entre en moi et vois, avec une certaine stupeur, qu'il s'agit de son majeur, seulement cela n'était pas douloureux et je pouvais sentir son doigt jouer à l'intérieur de moi. La chaleur devint suffocante rapidement, je devais avoir le visage rouge, suis-je bête un mort de rougis pas, enfin je crois.

Plus il jouait, plus je sentais comme un liquide se créer, je n'osais même pas demander de quoi il s'agissait, sentant qu'il allait encore plus m'embarrasser que je ne l'étais actuellement. Je fus assez intelligent pour comprendre que le plaisir charnel était ce sentiment qui commençais à me faire un peu dérailler l'esprit. Un sentiment qui n'est pas déplaisant, mais qui dans mon ignorance était assez effrayant.

Il semblait attendre ma réponse, alors je répondis pour ne pas avoir à le faire devant les portes du village et me taper la honte. Ma voix le disais précipitamment, pour ne pas avoir à gémir entre deux.

- Oui c'est doux et oui je la sens.

Plus nous approchions de la porte, plus je tentais de retenir mes gémissements, déjà qu'on devait avoir l'impression que j'avais là fièvre, alors si en plus on m'entendais ...  je n'ose même pas imaginer.

12
Je sentis la main puissante de ce type me saisir aux joues. Cela faisait tout de même mal, ma mâchoire luttant pour rester fermer, sinon j'aurais encore plus mal. Il se mit à appuyer là où cela faisait mal. Je comprenais bien à présent pourquoi ce corps me semblait si vide de vie. Me faire crier dessus par cette personne fit descendre en chute libre mon morale. En plus de sa force inhumaine, il avait l'art de savoir user de mot qui m'affectais. Me faire traiter de putain et d'ingrat me fit mal, j'avais presque l'impression qu'à l'entendre j'avais toujours été ainsi.

Un vent venant des terre vint lécher mon corps, ce dernier frissonnant. J'allais vraiment devoir allez au village ainsi. Je sentais la gêne de devoir me mouvoir ainsi devant les habitants, non oublie, mieux vaut ne pas y penser tout de suite. Le regard lubrique de ce type, je ne pouvais pas dire son nom, trop complexe pour que je puisse le dire et il serait capable de m'en flanquer une si je me trompe.

Il vint à se faire une ovation à lui-même. Il aimait se vanter, d'un autre côté sa puissance le permettait. C'est en pensant à puissance que je me mis à essayer d'utiliser mon pouvoir discrètement, mais rien n'y fit. Ce corps en changeant avait perdu son pouvoir, tout les ESP.er devaient les perdre lors de leurs morts. Le monstre se mit à dire qu'il ferait de moi l'esclave maître du monde. Il voulait sans doute dire son esclave personnel et qu'il comptait dominer le monde. Il était fou, il ne pourrait même pas franchir les mur de Tekhos sans se faire désintégrer. Le fait qu'il emploi des qualification pour souligner ma petite taille était énervant, mais je tiens ma langue pour éviter qu'il ne s'énerve à nouveau.

Il vint à me porter, comme l'on porterait un enfant. Ce geste vint troubler mon jugement, était-il si mauvais que je le croyais ou était-ce encore un de ses coups pour me soumettre à lui. Ensuite la direction du village me fut montré, recevant un premier ordre, suivit d'une menace que je pris très au sérieux, il était tout à fait capable de le faire.

Mon corps se mit à réagir face aux estocades données par les doigts de ce type. Un frisson se mit à parcourir ma nuque, mais je ne dis rien. Quand il vint à clairement montrer son envie de jouer encore une fois avec mon corps je me mis à essayer de l'en empêcher, tout en ne forçant pas trop pour éviter qu'il ne s'énerve. Seulement ce pervers était beaucoup plus agile que moi, sans doute n'étais-je pas le premier à subir ce genre de traitement.

Je sentait de nouveau la chaleur se propager dans mon corps et cette drôle de sensation. Je me mis à douter qu'il use d'un sortilège, était-ce simplement ses mains qui me faisait autant d'effet ? Je compris à ce moment pourquoi père me réprimandait en me disant que mon manque d'intérêt pour mon côté féminin viendrais à me nuire. C'était exactement le cas ici.

Mon corps se mit à avoir de léger tremblement, s'accentuant avec se sentiment qui augmentait et cela me fis peur.

- Arrêtez ça tout de suite ... je ... je ne me sens pas ... à l'aise.

Il m'étais impossible de croiser le regard de ce monstre, il allait en rire et en un sens il aurait raison. J'espérais seulement qu'il n'allait pas s'énerver.

13
Le fait qu'il me parle comme une femme me fit mal, mais avait-il tord d'agir ainsi ? Certainement pas, mon corps n'avait rien d'un homme et c'est justement là que le bas blesse. Cependant il avait raison sur une chose, je devais me réjouir d'être dans un état me permettant de vivre. C'est alors qu'il se mit à poser un de ses immondes pattes sur ma poitrine, l'effet fut sans attente, je me mis à pousser un cris de surprise. Le plus horrible dans tout cela fut ma voix qui était celui d'une jeune fille, rendant la scène encore plus humiliante.

Il naquit à l'intérieur de moi une sensation nouvelle, qui ne semblait pas néfaste, mais la façon de faire et la situation actuelle rendait très gênante cette sensation. Je ne me débattais pas, la raison ? S'il avait le pouvoir de me faire devenir un zombie, rien ne me disais qu'il pouvait aussi faire le contraire. Que pouvais-je faire si ce n'est subir cette humiliante expérience sans tenter à le nuire ou m'attirer ses foudres. Oui il me fait peur, mais ne seriez-vous pas ainsi à ma place ?

Voilà que je parle à des personnes invisibles, deviendrai-je aussi fou que le bouffon de la cour ? Un autre cris sortie de ma bouche quand il vint à jouer avec ma poitrine. Mon visage exprimait du dégoût et pourtant cette chaleur à l'intérieur de moi ne cessait de croitre, quel enchantement me faisait-il subir pour que mon corps réagisse ainsi ?

C'est alors qu'il se mit à parler d'aller dans un trou paumé. Avait-il envie de me faire marcher dans mon plus simple appareil ? Voulait-il continuer à me donner une leçon en agissant avec une telle cruauté ?

Le clou du spectacle fut la demande de ce sale type, l'embrasser, ni une ni deux un commentaire sortie de ma bouche.

- Quoi !!! Vous abusez de mon corps, vous me dîtes que je vais aller nu dans un village et en plus je dois vous embrasser ?!!!

Des larmes se mirent à venir, il me prenait pour un esclave, la pire chose après la mort, que je pouvais imaginer comme destin funeste. Mais en y repensant je n'avais plus vraiment le choix, il pouvait me tuer en défaisant sa magie et le tuer reviendrais au même. Je ne pouvais pas fuir, j'étais prisonnier de mon geôlier par une chaine invisible.

Mon corps se mit à trembler devant cette pénible conclusion. Je me lève, tentant de cacher ma poitrine et mon sexe féminin avec mes fines mains. Autant dire que ce monstre pouvait quand même bien voir mon corps. Je me dirige vers lui à petit pas, étant dégoûté de ce que j'allais faire, mais le choix ne m'appartenait plus. Une fois assez proche je ne cache plus mon corps, laissant pendre mes mains et l'embrasse.

Mon dégoût était visible à mes poings qui se refermaient avec force, comme pour souffrir pour oublier. Je ne pouvais pas retenir des larmes de chagrin, je n'étaie rien de plus qu'un outil et cela me faisait mal de devoir admettre cette idée.  

14
Je n'arrivais plus à comprendre ce qu'il disait, cela me paraissait si éloigné, si étranger. Il semblait s'amuser à me garder éveillé, pourtant j'avais une sensation de fatigue si importante. Seul la douleur arrivait à me garder éveillé. JE sentait mes os disparaitre petit à petit, comme si on me les faisaient fondre, sans doute était-ce cela qui se passait. J'eus des nausée en sentant mes organes se plaquer contre la peau à l'intérieur, se répandant comme le ferait un slime, il était ignoble, il humiliait mon corps sans la moindre vergogne, ne me laissant pas mourir. Mourir me faisait peur, les héros se faisaient mourir, mais moi je ne suis pas un héros.

Je sentit mes organes se faire arracher, un liquide chaud se répandant sur mon visage. Je fus certain qu'il détruisait mon corps de l'intérieur, au vu de son rire lointain, il semblait bien se marrer de me charcuter l'intérieur. Mon hermaphrodisme semblait l'amuser, détruisant ce qui le prouvait en dernier.

Il se mit à parler de radiation, je ne savais pas ce qu'il s'agissait, une magie ? Comment aurait-il put tuer autant de personne d'un coup si ce n'est pas le cas.

C'est alors que je sentis mon abdomen se faire remplir d'un liquide, étant remplit telle une vulgaire gourde. Le liquide se mit à rentre dans mes cellules, les faisant bouillir, comme si j'étaie plongé dans un lac de magma. J'avais peur, allait-il me tuer de cette manière ... non ... non je ne veux pas ... je ne veux pas mourir, j'ai peur ... père ... mère ... à l'aide ... je ne veux pas mourir.

Mon tortionnaire se mit à demander si je tenais à la vie ... oui, je ne veux pas mourir, par pitié ne me tue pas ... je veux vivre , simplement vivre. Il se mit à me parler d'un pacte qui me maintiendrais en vie et en zombie. Je ne sais pas ce qu'est un zombie, mais si cela me permet de rester en vie alors soit. Je devais dire une phrase dans une langue inconnue, je tente d'imiter son dialecte, la peur faisant trembler ma voix, la mort était proche, sentant la lame de la faux me gratter la gorge.

- He ... is my ... lord

J'eus une horrible douleur au moment que ma phrase fut prononcé. L'horreur me vint en sentant la chaire se mouvoir et se recoudre, les os fondu poussèrent. L'extérieur se mit à se réparer avant l'intérieur, me causant une horrible douleur. Puis ce fut le tour de ce qui était à l'intérieur, la douleur fut moins importante, mais mon ventre me faisait mal. 

Ma vue revint et j'eus l'horreur de voir ma peau prendre une teinte bleuâtre, comme un cadavre. Le sang semblait noir comme les ténèbres. Mon corps changeait beaucoup. Je sentais mes cheveux se raccourcir prenant aussi une teinte orange, comme des flammes ardentes, mes muscles aux bras fondre sans perdre de leurs force, bien au contraire. Ma poitrine vint à s'exprimer, chose qui me dérangea. Une peur me vint et je fis un regard entre mes jambes, je fus rouge de honte. Moi qui me considérait comme un homme j'étais une femme.  Le pire était sans doute que mes vêtements étaient éparpillé et inutilisable, étant nu devant ce tortionnaire.


Comment ! Comment avait-il put me faire cela ? Mais très vite je me rappel encore de sa torture qui me fis frissonné de peur. Mon regard était à la fois du dégout et de la peur. Que comptait-il faire de moi à présent ? J'avais peur de la réponse.  En échange d'une vie j'avais tout perdu, mon identité, ma fierté d'être un homme, même si ce fut en partie. Mon assurance c'était envolé comme pour me fuir.

Je ne savais pas ce qu'être zombie voulait dire, mon corps semblait n'avoir aucune limite de force, mais avait-il des points faibles ? Le regard de ce monstre montrait que lui savait.

15
Rien qu'en entendant sa misérable voix, je savais que mon attaque semblait avoir échoué. Je le vie s'approcher de moi, prenant bien son temps, comme un chat s'amuse à narguer une souris avant de l'avaler. Je le vis s'approcher et d'une simple impulsion du pied me retourner, me mettant dos au sol. Il se mit à me désarmer, mais ce ne fut pas le plus douloureux. Cet ordure vint à mettre tout son poids sur mon poignet, je savais ce qui allait se passer et serre des dents en entendant le "crac" annonçant qu'il me l'avait brisé. La douleur était encore surmontable jusqu'à ce qu'il enfonce sa main dans mon estomac.

La douleur dépassa ma tolérance, je sentit des sucs remonter de ma gorge, avec un arrière goût de sang. Je me savais perdu et bon Dieu que la douleur était insupportable, j'en avais presque de mal à crier. Mon ennemi était cruel, je le ressentais, il voulait me faire le plus de mal possible avant ma mort. Horrible fut le destin de me faire confronter ce monstre, mes yeux étaient embrumée par mes larmes qui ne cessèrent de couler, ma gorge peinant à sortir des cris de douleur malgré la bouche grande ouverte.

Je sentie la chair de ma poitrine se faire transpercer par des griffes, mais je ne pouvais plus tellement crier, j'avais l'impression que mon cerveau allait exploser sous la douleur. Je sentis ses griffes m'ouvrir en deux, comme l'on ouvre un vulgaire poisson, pourtant ... pourtant je voulais que cela cesse, qu'il me laisse mourir.

Je ne pouvais pas entendre ses paroles, mon cerveau ne pouvant que ressentir cette horrible impression que l'air s'infiltre en moi et la douleur au combien insurmontable.

J'étaie effrayé à l'idée qu'il continu, j'avais la sensation que la folie allait m'envelopper, je voulais oublier cette rencontre et oublier même la douleur, mais cette dernière revenait sans cesse à la charge. J'avais du mal à voir, la brume semblait devenir de plus en plus sombre. J'avais la sensation que la vie me quittais, que mes sens s'endormaient, mais tout cela était d'une telle lenteur, mon tortionnaire pouvait encore me faire souffrir le martyr.

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