Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le coin du chalant / Re : Tu seras bienvenue chez moi !
« Dernier message par Sören le jeudi 16 mai 2024, 21:42:07 »
Je Up pour 1 RP, si ça intéresse quelqu'un !
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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Quand tu me tiens par ... [Pv.]
« Dernier message par Lilly le jeudi 16 mai 2024, 19:17:32 »
L'argent … Pour le commun des mortels, c'était la première de toutes les obsessions, passant bien avant le pouvoir ou plus hypocrite, avant l'amour. Pour Eunyee, il n'en était rien, il ne s'agissait que d'un prétexte, un justificatif à sa lubricité débordante. Son petit fantasme à elle, c'était de s'agenouiller devant un garçon et de le sentir vibrer jusqu'à explosion dans sa bouche. Elle en mouillait d'anticipation, surtout quand son partenaire était gâté par la nature, et qu'il assurait hygiéniquement …

Elle avait toujours réussi à se sortir des situations les plus compliquées quand ça dérapait et elle entretenait une double réputation savamment orchestrée. Mais elle n'était jamais tombée sur un "protecteur", un fan soucieux d'elle et de ce qui se disait à son sujet. La perspective de ses lèvres verrouillées autour du manche suffisait à annihiler chez ces messieurs toute forme de correction.

Hors, Taro semblait bien être dans cette catégorie très particulière de "super-chiants super-mignons", ce qui expliquait son visage défait et ses tentatives de commentaires étranges.

"Ah …"

Aussi Eunyee fit ce qu'elle avait de mieux à faire.

"Je peux te prendre une clope ?"

Imitant Taro, elle s'adossa au dossier de sa chaise et bascula sa tête pour exhaler le nuage toxique rejeté par ses poumons vers le plafond. Pauvre Taro … De profil, Eunyee était encore plus impressionnante que de face...

"Tu me juges sans me connaître ? On dirait que tu vis une grande déception..."

Les cigarettes du garçon était plus fortes que les siennes mais comme elle avait oublié son paquet chez elle …

La coréenne avait abandonné toute forme de jeu et s'exprimait normalement, avec quand même un léger sous-entendu de reproches dans le ton de sa voix.

"Je reprends tes mots donc que dit on de si infamant à mon sujet qui te révolte à ce point ? Parce que tu n'as pas vraiment été clair non plus."

Elle agita l'enveloppe.

"Et si comme tu le dis, j'ai déjà tout ce que je veux puisque mes parents sont pleins aux as, tu ne t'es pas demandé pourquoi je m'amusais, ou m'adonnais à ces choses là ? Sous réserve que ce soit vrai puisqu'encore, tu ne m'as rien précisé."

Elle toussa alors qu'une inspiration laissait un goût acre dans sa gorge.

"J'ai tout ce que je veux oui, et je dois être Eunyee la petite perle, Eunyee l'étudiante parfaite, Eunyee que tout le monde admire, Eunyee qui n'a pas droit à l'erreur … Mais tu crois que j'ai envie d'être toutes ces potaches là moi ? Tu sais que ma première soirée ciné avec des amis, je l'ai eu à 15 ans, et le chauffeur de mon père m'accompagnait ?"

Elle croisa et décroisa ses jambes, avant de les recroiser encore une fois et agita sa clope sous le nez du garçon.

"Tu sais que si mon père me voit avec ça, je pars direct en cure ? Tu crois que j'en ai envie ? Alors ne me juge pas trop vite si j'ai envie de m'éclater comme je le fais. Au moins cette Eunyee qui semble te déplaire est libre et décomplexée. Tu sais, en vérité, maintenant que tu sais, tu devrais être content pour moi."

Merveilleuse Eunyee ! Qu'est ce qui était vrai et qu'est ce qui ne l'était pas ? En tout cas, elle respirait la sincérité et parvenait même à rester ultra sexuellement désirable alors qu'elle assenait cette leçon de vie.

"Et à quoi je pensais ? Sûrement à la même chose que toi, alors assume au lieu de raconter ce que disent les autres. On y va ou pas ?"

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One Shot / Hollywood Trap
« Dernier message par Leon Redgrave le jeudi 16 mai 2024, 19:16:46 »
Dio Brando était une nouvelle star hollywoodienne connu pour sa présence charismatique et son talent incontesté en tant qu'acteur. Agé de seulement 25 ans, le jeune acteur venait d’éclipser la star montante d’Hollywood : Kim, une jeune actrice, qui avait le meme âge, et qui fut à un certain montant, la star montante d’Hollywood. Tout le monde prédisait qu’elle serait « the Next big Ting », la nouvelle reine de l’industrie cinématographique américaine. Mais un évènement imprévu se passa : les réalisateurs commençaient soudainement à abandonner Kim, pour une raison obscure, et se tournèrent vers Dio, comme s’ils étaient aimanté par ce dernier. Peu à peu, le jeune homme accumulait les contrats pour les gros blockbusters, réalisateurs comme producteurs se l’arrachaient, et Kim, quant à elle, sombra dans l’oubli. On l’appela « l’ange déchu d’Hollywood ».

Et justement, en cet instant précis, se déroulait un événement majeur à Hollywood : Académie Awards, la plus grosse cérémonie d’Hollywood, rassemblant les figures les plus importantes du monde cinématographique américain afin de leur discerner le prix le plus prestigieux de l’industrie : les oscars. Crée dans les années 20, soit au commencement de l’industrie cinématographique, les oscars représentaient le summum de l’excellence, le saint-graal dont tout acteur rêvait.

La cérémonie s’ouvra sous un coup d’applaudissements, l'air était chargé d'excitation et d'anticipation. Les projecteurs illuminaient le tapis rouge, où les célébrités défilaient dans des tenues à couper le souffle, leurs sourires éclatants rivalisant avec les étoiles dans le ciel nocturne.

Puis Cesar Flickerman fit son entrée. Cesar était l’animateur principal de la cérémonie des oscars, animant l’émission depuis maintenant plus de dix ans. Icone incontesté de l’academy Awards, Cesar était un homme charismatique et débordant d’énergie, sans lequel les academy Awards ne seraient pas ce qu’elles sont aujourd’hui. Son costume étincelant reflétait la lumière, sa cravate d'un rouge éclatant faisant écho à la passion qui émanait de lui. Chacun de ses pas sur le tapis rouge était comme une déclaration de confiance et de charme.

À mesure que César s'approchait de l'entrée du Dolby Theater, l'excitation de la foule atteignait son paroxysme. Les cris de joie et les applaudissements enthousiastes le saluaient, témoignant de l'admiration et de l'anticipation que son arrivée suscitait.

Les caméras des médias du monde entier capturaient chaque instant de cette entrée triomphale, immortalisant l'instant où César Flickerman, l'icône des Oscars, allait ouvrir l’enveloppe contenant le gagnant de l’oscar.

Le suspense fut à son lorsque césar reçut l’enveloppe scellé dans ses mains. Les regards de tous les invités étaient rivés sur lui, retenant leur souffle dans l'attente fébrile de découvrir le nom du meilleur acteur de l'année.

Le théâtre était plongé dans un silence presque palpable, seulement rompu par le doux frémissement des tissus et le léger crépitement des caméras. Les visages des nominés étaient empreints d'espoir et d'anxiété mêlés, chacun priant silencieusement pour que son nom soit celui qui serait proclamé.

Les secondes semblaient s'étirer alors que César dépliait le papier, ses yeux parcourant rapidement le texte imprimé. Un sourire énigmatique se dessina sur ses lèvres alors qu'il relevait les yeux vers l'assemblée, prolongeant le suspense pour une fraction de seconde de plus.

« Et le gagnant de l’oscar du meilleur acteur revient à… »

Un silence tendu suivit ses mots, la salle retenant son souffle dans l'attente de la révélation ultime.

« DIO BRANDO ! »

Et finalement, le nom fut prononcé, brisant le suspense dans une explosion d'applaudissements, de cris de joie et parfois même de déception. Dio, Le lauréat monta sur scène, avec un air confiant, armé d’une certaine aisance, comme s’il savait déjà qu’il allait être sélectionné comme vainqueur. Dio arriva donc sur scène, saluant Cesar, avant de prononcer un discours :

« Je voudrais remercier l’académie des oscars de m’avoir honoré avec ce présent. Un présent précieux dont je suis reconnaissant. Enfin, je souhaite remercier mes collègues de l’industrie sans lesquels je n’aurais jamais remporté cette distinction. Merci à tous. »


Dio quitta la scène sous un tonnerre d’applaudissement, il avait charmé le public et écrasé la concurrence. Sur son chemin de retour, il remarqua cependant une personne au milieu du public : Kim. Dio s’approcha d’elle, un sourire aux lèvres :

« Bonsoir Kim, ça va ? »

Kim et Dio s’étaient déjà rencontrés par le passé, Kim ayant embauché un contrat pour un blockbuster qui lui donnait le rôle d’héroïne dans un film d’action, avant que le réalisateur ne juge qu’une femme héroïne dans un film d’action ne serait pas rentable. Le réalisateur avait alors décidé d’embaucher Dio comme acteur principal et de refourguer à Kim un rôle plus secondaire.

« Je viens d’apprendre pour votre conjoint, sachez que ça m’attriste énormément… ça a du etre difficile pour vous de traverser une telle période ?»


Vêtu d’un magnifique costume-cravate, Dio attirait les regards tel un aimant. La main droite sur la poche, le sourire aux lèvres (un sourire presque sadique...), Dio avait volé la vedette à Kim. Il dégageait une certaine aura de mystère, que Kim put sentir à l’instant. Une aura troublante, presque maléfique, comme si l’acteur sortait de l’ordinaire…
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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Les liens de la destinée [Pv. Brittany]
« Dernier message par Shun le jeudi 16 mai 2024, 19:12:23 »
La classe était bien plus ordonnée dans cet établissement de renom que dans le lycée précédent de Shun. Même si d'une façon générale les étudiants japonais étaient assez studieux et disciplinés, il fallait reconnaître qu'ici, la concentration et l'excellence étaient de mises. Enfin … c'est ce qu'avait cru Shun les dix premières minutes de cours tant le silence avait été assourdissant alors que la professeure s'exprimait. Mais très vite, des petits riens étaient venus perturbés cette mécanique scolaire. Shun était observateur, c'était une habitude. Un type au deuxième rang n'arrêtait pas de se gratter le bas du dos, au point d'irriter la fille qui était derrière lui. Ailleurs, un stylo plume avait fui et tâché le chemisier d'une blonde qui faisait des efforts faramineux pour ne pas hurler de rage. Miss Fumiko semblait avoir chaud et sa poitrine imposante semblait prête à faire craquer les boutons de son haut à chaque inspiration. Et puis surtout, ce maudit soleil dardait ses rayons à travers les fenêtres et se réfléchissait sur les mocassins en cuir lustrés de sa voisine au point de l'aveugler, lui.  Il avait ce point réfléchissant dans les yeux et quelle que soit la position qu'il prenne, ce désagrément le suivait.

Ne voulant pas le premier jour se prendre la tête avec quelqu'un, il se tut, d'autant plus que la star de la classe avait été courtoise et agréable pour le peu qu'elle ait parlé. Polie la nénette … Il avait été surpris de son accueil et s'était même mentalement flagellé pour s'être dit qu'elle devait être une chieuse de première. Après tout, il était bien placé pour savoir que l'apparence ne faisait pas tout. Elle avait parlé de ménage ? Il avait dû raté l'info mais la chose était assez commune dans les établissements scolaires. Bon … il repousserait sa ballade au parc d'un petit moment, rien de grave …

L'heure passa, seulement troublée par des crissements discrets, des regards fiévreux et des odeurs parfois étranges. Heureusement pour Shun, être assis dans le fond de la classe permettait d'être un peu plus détendu qu'au premier rang. Et puis on entama la deuxième heure sans qu'il y est de pause. Quoi ? Et personne ne bronche ? Le gros type du troisième rang semble transpirer comme un cochon. Il doit avoir une furieuse envie de pisser et se trémousse sur sa chaise. Shun le plaint.

Et puis, l'esprit du garçon s'évade, il perd un peu le fil du temps et quand il revient à la réalité, il s'aperçoit qu'il fixe Brittany d'une manière un peu trop cavalière. Uuuuuhh … Depuis quand ça dure ? Il revient à un e attitude plus adéquate mais repense à ce joli profil et à cette mèche rousse délicatement tenu derrière une petite oreille toute jolie. Arrgghh arrête ça !

Oui elle est canon mais elle plane à des années lumières de son monde à lui. Elle a une peau tellement parfaite que tout doit lui être servi, à la maison comme à l'extérieur. D'ailleurs, Shun est presque sûr qu'un chauffeur vient la chercher à la fin des cours.

Ah ! Une parade est trouvée pour faire cesser la réverbération solaire … à l'aide d'une trousse placée pour faire écran. Mais comme s'il voulait se venger, l'astre coquin redouble d'ardeur et frappe directement Brittany. Quel spectacle ! Son chemisier semble disparaître, quasiment transparent pour dévoiler une merveille esthétique. Bien malgré lui, Shun ne peut que s'imaginer certaines scènes qui forcement déraillent.

Et puis enfin, la sonnerie libère tout ce petit monde transpirant et irrité, Miss Fumiko filant en premier comme si elle avait le feu aux fesses. Le ménage … C'est pour maintenant ou plus tard ? En tout cas, Shun traîne un peu et range ses affaires, le temps que les autres filent et le laisse seul.

Seulement, la fille qui lui a fait un clin d’œil semble aussi traîner, curieusement, et ça, juste avant que les deux sbires de Brittany ne l'encadrent et lui murmure un truc qui la fait filer. D'ailleurs, Brittany aussi n'a pas l'air pressée et Shun se sent comme obligé de dire quelque chose.

"Merci pour ton accueil. C'est … très gentil."


Le sourire du garçon est quasiment vibrant de sincérité, ce qui étonne Shun car il a l'impression de perdre le contrôle de son faciès un court instant. Bizarre comme sensation …

Que dire d'autre pour éviter de passer pour un débile reclus ?

"Tu accepterais de me faire visiter le lycée, si ça ne te dérange pas ?"

Aaaargh !! Idiot ! Tu sautes à pied-joints dans un plat que tu détestes !!
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One Shot / Re : Prince & Princesse. [ft. Tenshi]
« Dernier message par Astral Bonds le jeudi 16 mai 2024, 18:10:25 »

Aizen & Tenshi

Les paroles qu'elle laisse échapper, mêlées à nos corps transpirants, ne font qu'attiser davantage mon désir insatiable. Les gros seins de Tenshi, écrasés contre moi, sont une invitation à l'extravagance et au plaisir décadent. C'est dans ces instants que je me sens véritablement vivant, ma domination absolue sur Tenshi m'emplissant d'une satisfaction perverse et délectable. Je ne suis qu'un instrument de plaisir, et elle, ma muse, m'inspirant à des hauteurs de débauche que je n'aurais jamais cru possibles.  L'orgasme est un feu dévorant qui consume chaque fibre de mon être, m'arrachant des gémissements de plaisir inhumains. Dans un dernier accès de luxure, mon sperme jaillit en un torrent sauvage, traversant l'espace entre nous pour s'épancher dans sa chatte avide. Son corps se contracte sous l'impact de mon orgasme, répondant à chaque poussée avec une ferveur indomptable. Les sensations sont indescriptibles, un mélange enivrant de plaisir et de domination, qui me transporte vers des sommets inexplorés de débauche et de désir.

« HUUM... ! Put... AIN !! »

Et alors que je me vide en elle, je sais que rien ne sera plus jamais pareil. Notre lien est scellé dans le feu de notre passion, gravé à jamais dans les méandres de nos âmes. Et même après que l'orgasme se soit dissipé, son empreinte sur moi reste indélébile, une marque de notre union interdite et pourtant si délicieusement perverse. Je régule ma respiration, chaque souffle semblant être un murmure de satisfaction dans l'air chargé de luxure qui nous entoure. Des gouttes de sueur perlent le long de ma peau, témoignant de l'intensité de notre échange passionné. « Tu penses que je vais te laisser repartir après ça... ? » D'un geste impérieux, je l'invite à descendre de ma bite, à s'agenouiller devant moi comme la soumise qu'elle est. Je la regarde avec un mélange de désir et de satisfaction, sachant que son corps m'appartient entièrement, à ma merci pour assouvir tous mes désirs les plus pervers. Et dans cette position d'adoration absolue, je trouve un plaisir indescriptible, une extase qui dépasse toutes les limites de la raison.

« La vie de noble est tellement ennuyante... Tu vas perdre ton temps là-bas, alors que là j'ai vu ta vraie nature de petite perverse que tu nies tant... »

Dans un geste délibéré, je saisis fermement ma queue entre mes doigts., l'érigeant fièrement en l'air comme un symbole de ma domination absolue. Mon regard intense fixe Tenshi, lui transmettant silencieusement l'ordre implicite de me sucer jusqu'à ce que je jouisse une dernière fois. Dans ce moment de silence chargé de tension sexuelle, je sens mon pouvoir sur elle atteindre son paroxysme. Elle sait ce que je veux, ce que je désire.

« Et arrête d'être dans la défiance... »
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Le Musée / Re : Entre les nus & les aquarelles [PV ASTRAL BOND - HEI]
« Dernier message par Astral Bonds le jeudi 16 mai 2024, 17:12:00 »

Hei & Tenshi

Mes mains agrippent ses cheveux, la maintenant fermement en place alors que ma queue dure comme de l'acier glisse entre ses lèvres pulpeuses. Elle s'étouffe légèrement, mais je ne m'arrête pas, poussant plus profondément dans sa gorge, savourant chaque gémissement étouffé de plaisir. Je la domine de toute ma puissance, la faisant mienne avec une férocité inégalée.  Elle s'abandonne à moi, acceptant ma queue avec une soumission totale, me laissant la posséder à ma guise. Je la baise la bouche avec une vigueur dévorante, lui faisant ressentir chaque pouce de ma virilité. Chaque coup de reins est un rappel brutal de ma domination, un témoignage de ma puissance sur elle. Je la fais gaguer de plaisir, la sentant lutter pour respirer alors que ma queue remplit sa gorge jusqu'à la garde. Je suis impitoyable dans ma quête de satisfaction, poussant plus fort, plus profondément, jusqu'à ce qu'elle soit au bord de l'asphyxie.

« Tu sais y faire bordel... ! »

Elle gémit et tremble sous moi, prise dans les tourbillons de plaisir qui l'emportent vers des hauteurs inconnues. Je la fais jouir avec une intensité dévorante, lui arrachant des cris de plaisir étouffés alors que ma queue envahit sa bouche avec une passion inégalée. Je la fais mienne, la possédant corps et âme, la soumettant à ma volonté sans concession. Elle s'abandonne à moi, se laissant emporter par la tempête de plaisir qui fait rage entre nous. Je la marque de mon empreinte, la laissant tremblante et haletante, reconnaissante pour l'extase que je lui ai procurée. Je sens la tension monter en moi alors que je m'enfonce plus profondément dans sa gorge avide. Les sensations m'envahissent, me submergent alors que je me déverse avec force dans sa bouche, la remplissant de mon sperme chaud et épais. Je la regarde avec satisfaction alors qu'elle avale chaque goutte de mon plaisir, reconnaissant en moi le seul et unique maître de son plaisir du moment.

« Bonne petite... »

Je retire lentement ma queue de sa bouche, laissant derrière elle une traînée de bave épaisse et visqueuse. Elle est couverte de ma salive, offrant un spectacle excitant avec ses veines saillantes et ses muscles tendus. Tel un maître jouant avec sa proie, je prends son visage entre mes mains et claque mon gland contre ses joues avec un mélange de désir et de dominance. Chaque coup résonne dans la pièce, marquant ma supériorité sur elle et la soumettant à ma volonté sans équivoque. Un sourire carnassier s'étire sur mes lèvres alors que je laisse échapper un rire rauque et satisfait. D'un geste assuré, je passe ma main dans mes propres cheveux blonds, les plaquant en arrière avec une assurance palpable.

« Il te reste encore quelques membres du groupe à rencontrer, mais t'es validée par le manager ma beauté toute puissante... »
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le jeudi 16 mai 2024, 14:49:15 »
Quelle erreur d'interprétation de la part de Priscilla ! Sa mésentente lui avait fait parler de son éducation passée au lieu de celui qu'elle faisait en ce moment. Elle rectifia son erreur. Elle ne trouvait pas de raison de mentir cette fois, car si Tachibana-sensei avait déjà fait le rapprochement, mentir ne servirait strictement à rien.

« Ah ! Désolée j'avais mal compris ! Je suis maintenant en marketing et j'ai aussi réussi à intégrer l'équipe des majorettes, comme à Manches... Je veux dire comme je voulais le faire à Manchester. » se rattrapa-t-elle.

Même si Priscilla ne voulait pas mentir, elle ne voulait pas s'associer si possible à son passé si elle le pouvait, au moins pour ne pas que son professeur ne le découvre. Aussi, attirer l'attention sur un autre sujet semblait porter ses fruits, il parlait avec passion pourquoi il enseignait, sûrement il ne réfléchirait pas trop sur sa relation par rapport aux rumeurs de son ancien établissement.

L'étudiante pensait avoir passé l'interrogation avec succès, ou du moins elle ne pensait pas avoir trop révéler qui elle était vraiment. C'était maintenant au tour des exercices d'arriver. Celui proposé était plutôt ludique, elle devait rapidement prononcer les kanjis affichés sur les cartes que Tachibana-sensei lui montrait. Les premières cartes mettaient Priscilla en confiance, même si elle était consciente que ce n'était que des exemples. A chaque bonne réponse, on pouvait facilement voir la jeune femme s'amuser et éveiller son esprit compétitif, et malgré son temps de réponse assez conséquent et ses quelques erreurs répétitives sur certains kanjis, elle semblait réellement investie dans l'exercice. Après un temps, Priscilla était tellement engagée dans l'exercice qu'elle commençait presque à crier ses réponses.

« Oh, pardon ! J'ai trop l'habitude de motiver en parlant très fort. » dit-elle en faisant allusion à sa participation avec les pompom girls.

Priscilla savait qu'elle avait été très moyenne mais au moins son professeur pouvait voir qu'il n'était pas là juste parce que les parents de la jeune fille avait payé son éducation, mais qu'il était là pour enseigner la langue à une étudiante investie à réussir son année académique. Et peut être qu'il oublierait entièrement la mention de l'université de Manchester, mais ça c'était sans doute impossible.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Regalis le jeudi 16 mai 2024, 11:42:27 »
Regalis n’avait pas trop compris le cinema qui s’était produire à l’extérieur de la salle. Ils avaient croisé un humain qui, visiblement, avait quelque chose contre la succube ? Il lui avait parlé grossièrement. Même si sa nature était celle d’un démon, ce n’était pas une raison pour avoir un tel vocabulaire. Il méritait un coup de pelle …

Mais comme Sareeth semblait l’ignorer, il ne dit rien. Il suivait la succube qui lui faisait prendre un taxi. N’ayant aucune idée de la destination, c’était peut-être le moyen le plus rapide. Bien qu’il puisse voler … pas elle ? Il en oubliait bien vite que les humains n’avaient pas l’habitude d’observer des pigeons à leur image. Durant le trajet, bien que les baisers soient chastes, il lui faisait sentir d’une main sur sa cuisse son envie, pressant celle-ci de temps en temps en la caressant discrètement pour que le chauffeur reste concentré sur la route.

La ou il mettait les pieds, tout lui semblait avoir un certain luxe. Il observait en silence avant d’être attiré par la voix de la succube qui lui demandait s’il n’avait pas un chez lui. Cela faisait juste longtemps qu’il n’y avait pas mis les pieds. Il n’osait même pas imager l’état de celui-ci.

-Cela fait longtemps que je n’ai pas visité mon domaine … Il doit être envahit par les araignées.

Ce n’était qu’une métaphore pour dire qu’il était certainement impropre. Mais en réalité, il ne serait pas étonné d’y voir une colonie de ces monstrueuses bestioles … Après tout, les autres dieux ont très bien pu faire de son domaine une demeure de monstre en tout genre. Mais bon, ce n’était pas vraiment important pour le moment. Ils arrivaient à la porte qui dissimulait l’appartement de la demoiselle, observant celui-ci en entrant dedans …

-Avec de telle parole … considère toi comme pouvant être attrapée en tout temps, quoi que tu fasses pour que ce pacte soit rempli …

Il lui sourit avant de l’observer faire tomber le tissu au sol et d’aller vers cette fameuse salle de bain. Il la laissait disparaitre avant de soupirer, amusé, et il commençait à retirer ses vêtements pour se mettre nu. La nudité n’était pas un problème pour le dieu ! Il était d’ailleurs vêtu de tissu assez léger, même s’ils couvraient une bonne partie de son corps. Il entrait donc dans la salle de bain, la regardant alors sous la douche … s’accoudant à l’entrée de celle-ci en la regardant se dandiner sous l’eau … Elle pouvait observer sa verge bien droite … rien que d’imaginer la prendre suffisait, surtout après une telle séance de cinéma …

-Et si tu me parlais de cet humain qui t’a si mal parlé au cinéma ? … Pourquoi ne l’as-tu pas déchiqueté ? Selon ta réponse … il faudrait que je pèse comment t’octroyer une punition … Surtout que ces fesses ont l’air de vouloir encaisser mes coups de bassin … Et que je continue de remplir ce corps, cette chatte ? …
9
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Rieseth le jeudi 16 mai 2024, 10:46:53 »
J’invente le 8 eme jours!
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One Shot / Re : Dans les songes de l'écrivaine. ~ Draven
« Dernier message par Draven Dairn le jeudi 16 mai 2024, 08:23:33 »
« Totalement. »

Je souris, entrant dans son jeu, dans celui de l’écrivaine qui était dans son livre. Je ne connaissais pas son livre, les rêves n’auraient jamais où être aussi précis, bien sûr. Mais d’un autre côté, ils en révélaient beaucoup sur la psyché de l’autrice du rêve. Même si je pouvais y ajouter plus que ma touche personnelle, voir la tirer dans un rêve ou un cauchemar qui ne lui appartenait pas.
Mais apparemment le simple fait qu’elle soit ici, avec cette scène en tête faisait vaciller ses pensées, le jogging se volatilisa, pour ne révéler qu’une petite culotte noire très simple. Je n’en disais rien, mais je me rapprochais un peu d’elle, pour, faisant, sans même avoir besoin d’y réfléchir, monter un peu la température des lieux. Pas bien difficile. Elle semblait à la fois hésitante et en même temps, impatiente. Elle formait un joli contraste amusant.
Nouvelle tenue, la robe, courte, très courte, le classique qui se voulait sexy, un peu outrancier. Se donnant, en se pendant un peu à mes épaules, un côté fille facile, qui, dans ce rêve en tout cas, était sa nature, d’une certaine manière.

« Oh… ça c’est un vilain cliché… »

Faire plus amples connaissance… depuis quand on se montrait ainsi ? Je ricanais un peu, alors qu’elle venait m’embrasser. Je répondais à son baiser, mes mains venant à ses hanches, doucement, glissant le long pour descendre un peu et, sans aller caresser ses fesses, descendre pour venir caresser ses cuisses doucement.
Vous n’imaginiez pas à quel point, dans cette ville, les rêves érotiques étaient présents. J’aimais manger épicé, bien sûr, mais à force, j’allais me faire un ulcère. Et j’en venais à apprécier de plus en plus les autres saveurs qui venaient marquer les rêves. Non que je désapprouve ou déprécie le piquant, bien sûr.
Elle était impatiente. Pensait-elle, sans doute que ce rêve étant le sien, elle pouvait éviter de jouer les ingénues, ou autre… c’était fortement possible…
 Prouve preuve, elle avait déjà une main à ma ceinture et une main en train d’ouvrir la chemise pour dévoiler une peau particulièrement pâle. Aussi pâle que la sienne. Aller à la plage ne semblait être ni son fort ni le mien.
Je la coinçais un peu, contre la paroi de la cabine d’ascenseur et je venais doucement caresser la peau nue de la cuisse, enfin, avant de venir doucement soulever la jambe en soutenant la cuisse par-dessous, écartant, de ce fait, ses cuisses.

« Avais-tu envisagé la peur d’être ainsi vue dans tes écrits ? »

La main qui tenait sa cuisse remonta sous la robe à sa fesser, doucement, alors qu’il l’embrassait à nouveau.

« L’ascenseur pourrait vite redémarrer et se retrouver rapidement plein, dans ce building… »

La main remonta trop loin pour ne pas se rendre compte.

« Et tu n’as même pas de culotte… »

De mon fait ? Du sien ? Les émotions et les envies jouaient une drôle de place, parfois, poussant à faire apparaitre ou disparaitre des choses. Par exemple, l’ascenseur n’avait pas de boutons pour choisir un étage, parce que ça, elle s’en foutait, par exemple.
Ou l’ascenseur qui semblait sensiblement plus grand, une fois que j’avais évoqué l’idée de la foule. C’était tellement facile de faire travailler l’imagination…
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