Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hana Midorikawa

Pages: [1] 2 3
1
Le regard de James le trahissait déjà, il était clair que ce garçon avait un lourd secret. Et la phrase qui allait suivre allait me prouver que j'avais raison.

"T....Tu m'as suivi...?"

Un large sourire vint éclairer mon visage. Cette phrase était un début d'aveu, il ne restait plus qu'a entendre les détails. J'allais enfin savoir d'ou venait sa magie, et s'il était comme cette petite fée, Flavia, quelqu'un qui vient de ce monde mystérieux : Terra.

"C'est... c'est mal de suivre les gens...! Mais... bon je... Oui... je peux me téléporter... en quelques sortes... même si c'est un peu plus compliqué que ça..."


James posa ses mains délicatement sur mes épaules, me poussant un peu. C'est là que je me rendit compte que j'étais très proche de lui... trop proche peut être, ça avait du être gênant pour lui, en plus de mes questions inquisitrices. Je n'opposait aucune résistances, afin de le laisser passer. Je vis alors James sortir son téléphone de sa poche et me le montrer.

"Puisque tu as tout vu, autant t'expliquer les choses, mais ne répète ça à personne. Tu vois ce téléphone? En réalité ce n'est pas un téléphone. Enfin si, on peut s'en servir comme d'un téléphone classique mais c'est surtout dans le but de le camoufler en objet du quotidien. Et puis son interface est pratique et accessible. La fonction principale de cette machine est de me faire voyager à travers le temps, l'espace et les dimensions."

Je n'étais pas sur d'avoir bien entendu ce qu'il venait de dire. Basiquement son téléphone lui avait permis de se téléporter... mais pas seulement, il lui permettait de voyager à travers le temps et l'espace? Qu'est ce que c'est que cette histoire de fou? J'ouvrais la bouche, essayant de dire quelque chose, mais rien ne voulais en sortir. Milles questions se bousculaient dans ma tête. Tout cela me semblait impossible. Il n'y avait en réalité qu'un seul moyen de savoir si c'était vrai ou pas... qu'il me montre comment se servir de sa machine.

"O...ok... je... j'ai peut être un peu bu, mais je ne peux croire une histoire aussi farfelue James! Si ta machine marche vraiment, prouves le! Emmène moi... le 15 Juin 2012 vers 21h, ici même à Seikusu!"

Je veux voir ça de mes propres yeux. La téléportation en soi c'est quelque chose de surprenant, mais là, me faire croire qu'en plus il est possible de voyager dans le temps, c'est beaucoup. Je traînerais James au dojo, nous nous installerons dans le public, et nous regarderons la compétition. Si il dit vrai, si il nous fait vraiment voyager dans le temps, alors je verrais une autre moi...remporter la compétition de karaté...

"Alors... voyageur du temps... tu peux le faire n'est ce pas?"

2
Le visage de ma Sensei, trempé non de sueur, mais de ma propre cyprine... Une vision gênante et excitante à la fois... Je venais de m'excuser de lui avoir trempé le visage, bien que ce soit quelque chose que je n'ai pu contrôler, et c'était assez naturel finalement, vu la façon dont elle s'occupait de moi juste avant. Je ne sais pas s'il y avait vraiment lieu de s'excuser, mais... c'était tellement embarrassant que j'en ressentait le besoin. Ichtora-Sensei, ma belle sensei récolta un peu de ma cyprine sur son visage avec ses doigts, confirmant mes pensées selon lesquels il n'y avait pas lieu de s'excuser et... enfonça ses doigts dans sa bouche pour avaler cette mouille. Mes yeux s'ouvrirent grand devant cette scène.

« J’adore la cyprine ! »

Oh mon dieu, alors ça, c'était encore plus excitant! Encore plus embarrassant dans un sens mais bon... franchement, cette scène, son sourire, son regard, tandis qu'elle se délecte de ma propre cyprine... ça me donne juste envie de lui sauter dessus! Elle s'éloigna alors pour s'asseoir sur son fauteuil pour me dire qu'il n'y avait qu'une seule chose à faire si j'étais gênée...

*Va t'elle vouloir me gicler dessus elle aussi?*

« Assieds-toi sur mes cuisses, et nettoie mon visage... Avec ta langue. »

Nettoyer son visage... avec ma langue...? Voila une requête très... perverse et très... gênante... Avaler ma propre cyprine me ferais vraiment passer pour une perverse non? J'avais déjà goûté à ma propre cyprine une fois, par curiosité, mais je m'étais senti sale et un peu malsaine après coup... Pourtant une partie de moi avait aimé ça. Peut être ai-je un côté malsaine après tout?

"Je... c'est...Oui...M...maîtresse..."

Je ne pouvais pas vraiment refuser à ma sensei après ce qu'elle m'avait fait, j'avais jamais rien ressentit de tel. Bien qu'un peu embarrassée, je me levais donc, les jambes tremblotantes et un peu engourdies à cause de l'orgasme subit peu de temps auparavant, puis vint m'asseoir à califourchon sur ses cuisses, m'accrochant à elle en passant mes mains dans son dos. Puis, plongeant mon regard dans les yeux bleu de ma sensei, je rougissais fortement.

"C'est... c'est un peu...embarrassant..."

Timidement, j'approchais ma bouche de la joue d'Ichtora-Sensei, tirant ma petite langue. Petit à petit, la distance séparant ma langue de sa joue diminuait et finalement...Elle entra en contact avec. Le gout de ma cyprine se mélangeait à celui de sa peau, un mélange exquis. Je la léchais donc, avec peu d'assurance au début, mais rapidement, je pris confiance en moi et léchait la moindre parcelle de sa peau de plus en plus goulûment. En vérité, ça m'excitait, m'occuper de ma sensei de la sorte et je commençais même à pousser de petit gémissements d'excitation. Une fois la première joue finis, une de mes mains vint écarter les mèches de cheveux de la Sensei afin de me permettre de lécher son front lui aussi inondé de cyprine, puis je vint m'occuper de la seconde joue à son tour. Mes hanches bougeaient d'elle même désormais, à cause de l'excitation provoquée par cette scène. Enfin il ne restait plus que le menton d'Ichtora-Sensei. La langue vint se glisser sur celle ci, s'appliquant à récolter les dernières gouttes de cyprine... puis sans prévenir, ma langue vint lécher les lèvres de ma sensei, tentant de forcer le passage pour l'embrasser. J'avais envie de goûter à sa délicieuse langue après avoir goûté à sa délicieuse peau!

3
Prélude / Re : D.Va au rapport ♥ !
« le: lundi 13 juin 2016, 21:06:26 »
Une soeur de prénom!  ;D
Bienvenue  ;D

4
Après m'avoir raconté quelques anecdotes sur un fils de riche ayant eu la flemme de faire ses lacets et ayant demandé 100 livres (ce qui correspond à 16 000 yens environs) pour que quelqu'un au pif dans la rue les lui fassent, j'ai eu le courage, peut être grâce à l'alcool, de lui en demander un peu plus sur les fameuses résidentes du manoir Bowmore, étant suffisamment à l'aise pour laisser traîner ses sous-vêtements sexy dans le salon. Le jeune homme bredouilla quelques mots, en rougissant.


"C'est euh... compliqué...Elles ne sont pas mes amantes, mais plutôt des amies qui avaient besoin de moi pour les loger... Sans moi elles seraient en quelques sortes à la rue... Et ouais, pour la culotte, je comprend que tu trouves ça bizarre... C'est Candy, elle est un peu sans-gêne...Il faudra que je l'engueule à son retour."


Il était gêné, mais difficile de dire si c'était du à sa timidité ou au fait qu'il me cache quelques chose. Bien que l'alcool commençait à faire son effet, j'arrivais encore à remarquer les quelques tics nerveux qu'il faisait malgré lui. C'était possiblement signe qu'il me mentait, ou du moins qu'il ne me disait pas toute la vérité. Si c'est le cas, James est un très mauvais menteur. En me basant sur sa réaction actuelle, je pourrais le tester en essayant d'aborder le sujet de sa téléportation que j'ai surpris quelques jours plus tôt en le suivant discrètement alors qu'il rentrait chez lui. Provocatrice, je décidais de rentrer dans une sorte de duel verbal... un duel verbal dont l'enjeu était la vérité sur sa téléportation. Je me levais de mon petit tabouret, m'approchant de lui en le regardant droit dans ses yeux fuyants, essayant d'avoir l'air le plus sur de moi possible (Encore une fois l'alcool fut très utile pour ça), jusqu'à arriver à quelques centimètres de son visage (créant malgré moi une grosse tension sexuelle) avant de lui demander :

"Tes résidentes sont chanceuses... J'aimerais risquer de me retrouver à la rue rien que pouvoir vivre ici avec toi... mais dis moi... Tes résidentes sont elles au courant de tes pouvoirs...?"


Je marquais une petite pause afin d'analyser sa réaction avant d'ajouter.

"Tes pouvoirs de...téléportation?"

Encore une fois c'était couillu. Au départ je ne savais pas trop comment aborder le sujet, mais là, grâce à l'alcool, j'étais visiblement capable de me montrer bien plus entreprenante que d'habitude.

5
La douce et chaude langue de ma Sensei s'engouffrait dans mon intimité, bougeant à l’intérieur de celle ci telle une tentacule. Je criais avec de moins en moins de retenue, je sentais ma frustration s'envoler peu à peu grâce à cette langue salvatrice. Enfin quelqu'un s'occupais de mon corps, moi, la pauvre Hana Midorikawa, toute juste bonne à être vue comme la castagneuse de service.

*Cette réputation, tu l'as un peu cherché Hana...*

Oui, il faudrait que je me calme, que j'apprenne à mieux contrôler mes accès de rage, et peut être qu'avoir ma Sensei comme amante m'y aiderais. Enfin si on oublie le fait qu'entretenir ce genre de relation avec ma prof risquait d'être stressant bien sur. Mais pour l'heure, il était impossible de me concentrer la dessus... La langue de ma Sensei s'occupant de mon intimité pendant que ses mains tripotaient mes fesses étaient déjà bien suffisant pour accaparer mes pensées. Le plaisir que je ressentais était tellement plus intense que lors que je me masturbais... Je ne contrôlais rien... Ma Sensei arrivait même à me soulever de temps en temps en rythme afin d'accompagner son mouvement. Mes cris étaient de plus en plus intense, il ne me faudrait pas longtemps pour atteindre la jouissance. Au bout de quelques minutes, ce qui devait arriver arriva...

"HAAAAAAAAAAAAAA!"

L'orgasme fut violent... mon corps tout entier fut pris de spasmes incontrôlables tandis que je hurlais d'une telle force qu'il ne valait mieux pas que quelqu'un passe au même moment dans le couloir menant au bureau de ma Sensei. Durant l'orgasme un jet de cyprine avait aspergé le visage de ma prof, mais je ne m'en rendis pas compte tout de suite. Puis mon corps se relâcha, entièrement. J'haletais, poussant de nombreux soupirs adorables, affalée sur le bureau, ayant à peine conscience de ce qu'il venait de se passer. Mes yeux se fermèrent un instant, le temps de récupérer. Mais soudain le clic d'un appareil photo m'incita à les rouvrir. Ma Sensei venait de me prendre en photo, nue, sur son bureau. Mes sourcils se froncèrent, je n'aimais pas trop ça....

« Ne t’en fais pas, c’est pour ma collection privée… »

Je tirais une moue qui laissais transparaître le fait que je désapprouvait, chose qui incita Ichtora-Sensei à me dire en souriant que je pouvais la photographier aussi. Je hochais la tête.

"Oui, j'aimerais bien vous prendre aussi en photo tout à l'heure..."

Ma Sensei vint caresser mon ventre en m'embrassant le front. Mon corps était en sueur et je commençait à avoir un peu froid à cause de cela.

« Alors, dis-moi tout… Quel effet ça te fait ? »

Je fit mine de réfléchir un moment avant de répondre doucement..., en rougissant un peu.

"Je... J'ai un peu la tête qui tourne... Mais ça m'a donné beaucoup de plaisir... Je n'ai jamais ressenti ça avant... mon corps c'est emballé... C'était incontrôlable... Mais je me sens toute légère maintenant... comme si j'avais été libérée d'un poids..."

Je m'attardais un moment sur le visage humide de ma Sensei.

"Et... je vous ai mouillé le visage... désolé... "

C'était un peu gênant... J’espérais qu'elle ne m'en veuille pas à cause de ça.

6
Bienvenue à Seikusu! Si des garçons t'embêtent au lycée, préviens moi, je me chargerais de les atomiser pour toi  ;D

7
J'ignorais totalement que la petite fée tentait de s'enfuir de la salle de bain, et j'étais bien trop occupée pour me rendre compte qu'elle m'épiait de derrière mon canard en plastique. Mes doigts jouaient avec mon bouton d'amour à une vitesse folle. Mes petits gémissements et le bruit de l'eau qui coulent couvraient largement le bruit du canard qui se mettait à vibrer. Je pensais à Ichtora-Sensei, au plaisir intense, plus intense que tout ce que je n'avais jamais vécu auparavant, dans cette salle de retenue. Ma main massait ma poitrine avec force, se crispant légèrement dessus. C'était sur le point de venir, je sentais que j'allais jouir d'une seconde à l'autre.

*Oui... ouiii... ouiiii! OUIIII!*

Et finalement non...

"Kyaaaaaaaaaaaa!"

A deux doigt d'exploser de jouissance, le jet d'eau devint subitement glacial, stoppant net ma sensation de plaisir. Les jambes un peu engourdies, je me précipitais donc vers le robinet afin de remonter la température de l'eau... avant d’apercevoir, à côté de mon pied droit la coupable. Cette petite peste de fée. Rouge de honte, de frustration et de colère, je plaçais mon pied sur elle, laissant seulement son visage dépasser par delà mes orteils. Je ne l'écrasait que légèrement, ne souhaitant pas la tuer, mais suffisamment pour lui faire comprendre qu'elle venait de commettre une grave erreur.

"Espèce de petite saloperie! Tu m'as espionnée?! Qu'est ce que tu as vu au juste? Raaaaaaah, je te jure je vais te tuer! T'es qu'une sale perverse dégueulasse!"

C'était sur, elle avait vu. Elle était venu m'espionner alors qu'elle savait très bien qu'elle devait rester la bas! Et j'étais à deux doigts de l'orgasme en plus...  Je coupais finalement l'eau. Au point ou on en était elle avait vu des choses inavouable... Autant prendre un max de plaisir avec cette petite chose à ma merci...

*Je vais m'amuser avec cette petite peste... Je vais lui faire payer sa curiosité mal placée, et tant pis si je lui brise quelques os au passage, elle l'aura bien méritée... *

Ce genre de pensée malsaines, je ne les auraient probablement pas eu avant qu'Ichtora-Sensei ne m'initie au sexe. Peut être aurait-je simplement été énervée sur le coup au moment ou elle m'a vue nue pour la première fois mais qu'au final je l'aurais simplement libérée... J'étais peut être devenue un peu perverse et peut être que plus tard je regretterais ce que je vais faire, mais pour l'heure, il fallait faire revenir l'orgasme qui m'avait échappé d'une façon très désagréable. Je desserrais l'étreinte exercée sur la petite fée entre le sol et mon pied. Cela devait être un réel soulagement pour elle, mais de courte durée, car sans ménagement je l'attrapais pour arracher ses vêtements trempés. Puis finalement je la posais dans la paume de ma main.

"Tu m'as vu me toucher hm? Alors tu vas m'imiter. Je veux que tu reproduise exactement ce que tu m'as vu faire, c'est compris? Je te regarde! Et mets y du coeur, si tu n'es pas convaincante, je t'arrache les bras!"

Le ferais-je? Difficile à dire, dans un élan de rage j'étais parfois incontrôlable... Il ne valait mieux pas que la petite fée me mette trop au défi... L'eau froide m'avait coupé dans mon élan et c'était de sa faute, j'attendais d'elle qu'elle rallume la flamme qui venait de s'éteindre et qu'elle m'excite de nouveau.

8
James posa sa main sur mon épaule, inquiet en ayant remarqué que j'avais les larmes aux yeux.

"Wow, ça va? C'est si impressionnant que ça? Ne t'en fait pas, ce n'est pas parce que je suis riche que je suis comme ces espèces de vieux bourge à l'égo surdimensionnés qui passent leurs journée à siroter leurs flotte hors de prix en écoutant du jazz! Règle numéro 1 : Ne jamais laisser l'argent nous monter à la tête."

"O-oui, tout vas bien, désolé, je sais pas ce que j'ai ce soir... Mais ne t'inquiète pas, je vois bien que tu n'as pas le profil type des bourges, tu es modeste pour un riche..."

Je rougissais légèrement. Mais James m'invitait à le suivre avant même qu'il n'ai le temps de le remarquer, du moins j'espère. Je n'ai pas envie de passer pour une cruche devant lui ou un truc du genre. Nous arrivions alors dans une grande pièce impressionnante! Consoles, télé, flippers, machine à sous et autre joyeusetés! On pourrait passer des semaines dans cette pièce sans avoir le temps de s'ennuyer, c'est fou! Tout d'un coup, morceau de tissus sur le canapé en cuir noir attira mon attention. C'était une culotte rouge! Stupéfaite, ma bouche s'ouvrit et mes yeux s'écarquillèrent. James sembla aussi remarquer la culotte puisqu'il tenta de se justifier.

"Je... euh... j'ai quelques résidentes dans mon manoir... Certaines sont un peu... désordonnées comme tu peut le voir..."

Reprenant une expression faciale un peu plus neutre, j'essayait de ne pas me montrer trop inquisitrice à ce sujet pour l'instant, même si ça me démangeait d'en savoir un peu plus sur ces fameuses résidentes. Oh dieu qu'elles étaient chanceuse... Je ressentais une pointe de jalousie vis à vis de ses personnes qui vivait avec elle.

"Euh... d'accord..."

James se dirigea vers le bar et me présenta une bouteille de Bowmore. Sur le coup je me suis demandé si ça avait quelque chose a voir avec son nom de famille mais il vint rapidement dissiper mes doutes.

"Voici une bouteille de Bowmore,  12 ans d'age. Rien a voir avec mon nom de famille. C'est un whisky écossais à vrai dire."


James déboucha la bouteille et remplis deux verres.

"Jolie bouteille... Mais tu sais je..."

Je n'eu pas vraiment le temps de finir ma phrase, James tendait déjà son verre attendant que je trinque avec lui. Je comptait lui dire que je n'avais jamais bu et que techniquement je n'étais pas en age de boire, mais bon... tant pis... quitte à boire quelque chose d'interdit, au moins ce serait avec un bon whisky. Je trinquais donc avec James en souriant nerveusement.

"Je te préviens, ce whisky est un peu tourbé, ça fait un peu bizarre la première fois, si tu n'es pas habituée."

Je portais alors mon verre aux lèvres, buvant une gorgée généreuse, peut être un peu trop pour une première fois. C'était fort, très fort... trop fort... Ma gorge me brûla, le gout était assez étrange et me fit tousser. Je sentais rapidement mes joues chauffer, ça par contre, ce n'était pas trop désagréable.

"En effet, la première fois c'est violent! Et toi tu bois ça comme ça, sans problèmes?"

J'imagine qu'au bout d'un moment notre corps s'habitue... Peut être qu'au bout d'un ou deux verres moi aussi je pourrait boire ça plus facilement. Par la suite, je ne sais pas si c'était psychologique mais je commençait à avoir l'impression que l'alcool me tournait la tête. C'était pas totalement impossible, commencer par du whisky pur la première fois qu'on bois de l'alcool, ça faisait de l'effet. Je reprenais des gorgées de temps en temps, et je sentais que ça me brulait de moins en moins. En revanche ça me tournait la tête de plus en plus. Maintenant que nous étions attablés au comptoir, je souhaitait en savoir plus sur les fameuses "résidentes" de James.

"Dis moi... Tu as des euh...résidentes tu disais? Qui sont-elles? De la famille? Des amies? Des...amantes? Pour laisser traîner leurs culottes comme ça... excuse moi mais... c'est un peu bizarre..."


Oui, ma question était direct... Étrangement direct d'ailleurs. L'alcool devait commencer à faire effet j'imagine.

9
Ma Sensei n'eut aucun mal à se rendre compte à quel point je mouillais abondamment quand elle caressa ma culotte, touchant mon intimité au travers de celle ci. Entre deux gémissement je m'étais excusé, en quelques sortes, du fait que c'était trempé. J'étais embarrassé mais le désir brûlant mon corps surpassait tout le reste. Ichtora-Sensei vint alors m'embrasser. Sans ressentir trop de gêne, m'habituant petit à petit à la situation, je glissais ma langue dans sa bouche en gémissant de désir. Cette langue caressant la mienne allait bientôt caresser mon intimité et à cette pensée, mon excitation, si elle le pouvait encore à ce stade, augmenta d'avantage. Ma prof me proposa de me prêter une culotte après l'acte... Ce n'était peut être pas plus mal en effet, je n'aimais pas trop l'idée de rentrer chez moi sans culotte. Mais pour l'heure mes pensées n'étaient pas centralisées sur ce sujet mais plutôt sur mon désir sexuel.

La libération approchait à grand pas, et cela passait par retirer mes derniers vêtements. Me sensei s'en occupa, et ça sembla durer une éternité... mais je dois admettre que la voir ôter ma culotte avec ses dents m'émoustilla grandement. Une fois nue, elle me fit un compliment.

« Diable, que tu es belle, Hana... »

"V...Vous êtes belle aussi maîtresse..." Répondit-je alors, toute rouge, perturbée par la situation.

Les regards voraces qu'elle me lançait en détaillant mon corps étaient embarrassants mais flatteur. Mon corps semblait sincèrement lui plaire. Finalement elle s'écarta un peu du bureau, me faisant glisser plus près du bords. Elle fit glisser ses mains sous mes fesses et... sa langue s'attaqua enfin à mon intimité.

"Aaaaaaaaaah!!!"

Mon corps se figea quelques secondes alors que je poussait un long hurlement de plaisir, le temps de m'habituer au contact chaud d'une langue sur mon intimité. La sensation était très agréable et bien différente de lorsqu'on se masturbait. Notamment de par le fait qu'on avait l'impression de ne rien pouvoir contrôler. Rapidement je me mis à crier de plaisir alors que la langue de ma sensei faisait son office. Je bougeait le bassin dans tout les sens comme pour accompagner ses mouvements. Ma main vint se perdre dans ses cheveux pour les caresser. Mes jambes vinrent encercler la tête de ma prof, la piégeant condamnant presque à continuer. Je sentais que très rapidement je risquais de jouir sans rien pouvoir contrôler du tout. C'était tout simplement divin! A ce stade, toute notion de gêne était loin derrière moi...

10
Prélude / Re : Let's teach ! [Violidée ~♥]
« le: vendredi 13 mai 2016, 15:57:23 »
Une nouvelle prof  ;D Bienvenue Fujikawa-sensei  :)

11
Ma belle et tendre prof venait m'embrasser... Je sentais nos seins nus se toucher et c'était tout simplement divin... Cette langue qui caressait la mienne, j'avais qu'une hâte c'est qu'elle vienne aussi caresser le reste de mon corps. Lorsque le classeur toucha le sol provoquant un bruit sourd, je sursauta de peur que quelqu'un soit rentrait mais je compris rapidement que c'était juste ma sensei qui venait de faire tomber quelque chose. La langue salvatrice de ma sensei vint me libérer de ma frustration grandissante en venant s'occuper de mes seins. Elle me donnait beaucoup de plaisir notamment quand elle s'attarder sur mon tétons, c'était divin. Je ne put retenir quelques cris trahissant mon désir et mon plaisir, et j'en avais un peu honte. Je gigotais dans tout les sens et sincèrement, si Ichtora-Sensei n'était pas au dessus de moi à ce moment là, je n'aurais probablement pas pu me retenir de me tripoter. Mes mains vinrent simplement caresser les cheveux de ma profs, rester totalement passive me frustrait un peu et c'était tout ce que je pouvais faire dans la position actuelle...

La main de la sensei se glissa le long de mes hanches... ses doigts avaient un effet quasi-électrique sur mon corps et je ne pouvait m'empêcher de frissonner. Mais alors elle se décala sur le côté et sa main arriva sous ma jupe frotta ma culotte. Le petit cris de surprise que je poussais était presque enfantin et machinalement mes mains vinrent poings serrés se plaquer au dessus de ma poitrine. Mon visage était rouge pivoine...


« Tu veux que je descende plus bas, Hana... ? Que ma langue s’aventure en toi ? »

"O-oui Sen...euh...Maîtresse... Je veux votre langue..."
 
Ma réponse avait été donnée d'une voix faible et peu assurée. Mais si ma voix avait du mal à l'exprimer, mon corps et mon esprit le voulait, et pas qu'un peu. L'excitation était tellement forte qu'elle faisait bouillonner mon corps comme jamais il n'avais bouillonné.  J'avais besoin de cette langue... Mais j'avais honte... ma intimité était trempée et je n'allais probablement pas pouvoir remettre cette culotte quand on aurait fini... Je me demandais comment ma sensei réagirait à ça...

"Je... euh... C'est...très...Mouillé...  c'est embarrassant..."

12
Je ne savais pas trop si j'avais bien fait... Au lieu de rentrer dans son jeu j'aurais très bien pu partir en courant, et aller me soulager toute seule au toilette... mais le désir avait eu raison de moi et là il était trop tard pour faire marche arrière. Et j'en avais pas envie de toutes façon... M'enfuir ça aurait été me mentir à moi même. Ichtora-Sensei semblait ravie et elle s'approcha de moi en souriant...

« Très bien, Hana... Je vais te faire l’amour, alors, ma chérie. »

Elle me caressa la joue. Je fermais les yeux en rougissant. Une caresse agréable... Rassurante... Elle me poussa ensuite sur le bureau en me demandant de m'allonger dessus. C'est ce que je fit, timidement. J'allais bientôt être totalement à sa merci... Mais elle allait bientot me faire l'amour et me libérer de cette frustration qui me torturais... Qui me rongeait tellement que j'étais en sueur. Mes jambes se frottaient l'une contre l'autre machinalement... ça chauffait au niveau de mon entrejambes comme ça n'avait jamais chauffer! Ma Sensei me déshabilla petit à petit et à mi chemin fit une remarque sur le fait que j'avais l'air de bouillonner sur place.

"C'est vous... vous me donnez tellement envie..."

Elle termina finalement d'enlever tout les vêtements encombrants que je portait sur le haut de mon corps. J'étais sein nu face a ma prof de math, si j'avais su qu'un jour ça arriverait... Elle ne tarda pas à me pincer les tétons ce qui me fit pousser un petit cris de surprise.

« Tu aimes ça, ma petite esclave ? »

Elle me léchait le cou en me posant cette question. Je frissonnait de désir, je voulais que cette langue léche l'intégralité de mon corps... et plus précisément mes seins et... mon entrejambe...Je souhaitais qu'elle me face jouir...Connaitre le vrai plaisir... ça s'annonçait bien mieux que mes plaisirs solitaires en tout cas!

"Oh... Oui... j'en veux plus Maîtresse... donnez moi beaucoup de plaisir s'il vous plait..."

Je respirait très fort, et je commençait même à pousser de petits gémissements.

13
Encore une soirée de merde... Dans une baraque de merde... avec ma solitude de merde... Nous étions Samedi soir et j'avais rien a faire, comme d'hab. J'avais passé toute ma frustration en me masturbant sur des hentais et ça m'avais fait passé le temps au moins un petit peu. Puis je me suis sentit effroyablement seule après cet orgasme provoqué par moi même et me suis mise à pleurer contre mon oreiller. J'ai chialé comme une madeleine. J'avais besoin de quelqu'un, d'un réconfort, pour n'importe quoi. J'aurais pu inviter Ichtora-Sensei mais elle m'avait bien fait comprendre quelle était prise ce week end. Dans quel sens du terme, ça j'en sais rien... Avec ma prof de math, ça pouvait vouloir dire bien des choses. Le seul numéro qui me vint en tête, c'était ce garçon. Cet Irlandais arrivé dans ma classe il y a quelques semaines. Il est arrivé peu après l'incident avec Ichtora-Sensei en fait... J'avais pas eu le cran de l'interroger sur ce que j'avais vu le jour ou je l'ai suivi. Ce jour ou il s'est volatilisé devant mes yeux dans une ruelle. Peut être devrais-je tenter ma chance ce soir? Je l'ai donc appelé... J'avais encore le nez bouché après avoir pleuré de la sorte et j’espérais que ça ne s'entendrais pas trop. Je lui ai demandé si je pouvais passer chez lui et... il accepta assez vite. Avait-il senti la tristesse dans ma voix? Mais ce n'était pas le plus important. Ce qui me choqua c'est qu'il me dit de ne pas bouger de chez moi et m'envoya ... un chauffeur!

La limousine se gara devant chez moi et vint sonner à ma porte. C'était un homme ultra bien habillé! Il me conduisit jusqu'à la limousine en me traitant comme une princesse. J'étais un peu déçu de voir que James n'était pas à l'intérieur mais bon... Peut être préparait-il son appart de son côté? Que dis-je... son appart... haha... S'il envois quelqu'un me chercher en limousine, il fallait s'attendre à une baraque plutôt grande! Nous arrivions donc à la résidence Bowmore... C'était impressionnant! La voiture passait dans une allée entourée d'un gigantesque jardin avec au bout un grand manoir dans un style européen. Qui aurait cru que James était si riche? Cela dit ça explique comment il a pu débarquer au japon si facilement. Le majordome me conduisit jusqu'au hall d'entrée et me laissa face à James qui commença par une blague qui laissait un peu à désirer.

"Ne t'en fait pas, c'est pas la taille qui compte."

Je clignait des yeux, ne comprenant pas trop si c'était une façon de lui faire des avances ou pas.

"C'était une blague..."

"Oh... je vois... Désolé... Je suis un peu nerveuse! Je... je ne m'attendais pas à ce que ... Tu possède tout ça! C'est vraiment à toi? C'est incroyable!"

Le hall d'entrée était décoré de divers tableau, de bibelots hors de prix, et de nombreuses portes donnaient sur probablement des tas de pièces gigantesques. J'étais tellement impressionnée que j'en avait limite les larmes aux yeux.

"Totalement dingue même..."

14
Ichtora-sensei ne me donna pas ce que je voulais... pas encore en tout cas.

«  Ton tour… Vraiment ? Ça, ma chère, je crois que c’est uniquement à moi d’en décider. »

Mon dieu, que cette phrase était frustrante...Elle jouait avec mon désir depuis le début si bien qu'elle l'avait fait monter bien plus que jamais. Et là, elle voulait me faire encore patienter un peu? Elle se déshabilla devant moi entièrement et jeta sa jolie culotte sur moi. En voyant le corps nu de ma sensei, je n'avais qu'une envie, lui sauter dessus, et c'est bien une chose que je n'aurais jamais envisager juste avant...  Mais malgré tout ce désir, j'arrivais encore à tenir bon... Il ne fallait pas qu'elle prenne ça pour une agression...

« Je veux que tu me le demandes, Hana… Je veux l’entendre de ta bouche. Je veux que tu te lèves, et que tu dises : ‘‘Maîtresse, je souhaite vous que me fassiez l’amour’’. »

Je me levais donc, les jambes un peu tremblotantes. Je ne savais pas si j'allais arriver à dire une chose pareille mais le désir était si fort... il fallait que j'y arrive...

« Pour le reste, je te laisse décider si je te déshabille ou si tu te déshabilles, mais… Dans tous les cas, ma chérie, tu vas finir toute nue d’ici quelques minutes… Sauf si tu décides de partir, ou que tu refuses de prononcer les mots sacrés… »

J'était rouge, mes jambes tremblaient, mon entrejambe était trempée. Baissant la tête en me mordillant la lèvre inférieure, j'allais essayer.

"M-mai... maitr...mai..."

Ça n'allait pas du tout...

*Courage Hana... c'est qu'une petite phrase, ce ne sont que des mots... tu peut le faire... tu dois le faire! Détends toi...*


Je pris une longue inspiration avant d’expirer par la bouche. Je répétai ce processus plusieurs fois. C'était une technique que j'avais en cas de stress extrême, et généralement ça marchait plutôt bien. Ou peut être que ça avait un effet placebo sur moi, difficile à dire. Quoi qu'il en soit aujourd'hui ce fut particulièrement efficace. Soudainement après avoir répété ce processus plusieurs fois, et avec les yeux remplis de détermination je regardai ma prof droit dans les yeux.

"Maîtresse, je souhaite vous que me fassiez l’amour!"

C'était dit. C'était pas... si terrible que ça finalement... d'ailleurs le fait d'avoir réussi à dire cette phrase... je me sentais comme libérée d'un poids énorme sur ma poitrine. Ma respiration était forte et je n'attendais qu'une chose... que ma sensei s'occupe de moi...

"Dé...déshabillez moi s'il vous plait...Maîtresse..."

Hana essayais de jouer le jeu. Sa sensei voulait se faire appeler maîtresse, et bien soit. Cela donnerais du piquant à la situation et puis ce n'est pas comme si j'étais vraiment capable de prendre les devants dans une relation sexuelle. Quand à me faire déshabiller, ce serait clairement plus excitant que de me déshabiller toute seule...

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« Haaa... ! Ha.... Hana, hmmm... Petite cochonne, tu les aimes, hein, mes seins ? »

Quand la sensei me lança cette réplique, je ne répondit pas. La façon dont je m'occupais de ses seins par la suite fut en quelques sorte ma réponse. Les seins d'Ichtora-sensei étaient fabuleux et m'en occuper de la sorte me donnait de plus en plus d'envies.

*Ses tétons sont devenus vraiment durs...*

Mon corps commençait a gigoter sous le poids de ma prof et j'avais très envie de me caresser... et j'étais assez frustrée de ne pas pouvoir le faire. Je continuait de gouter à la douce poitrine de ma sensei pendant plusieurs minutes. Mon entrejambe était désormais brûlante de désir. Finalement je revint sur les lèvres de ma sensei pour l'embrasser. On ne peut pas dire que j'avais réellement confiance en moi mais je commençais à oser des trucs. J'étais peut être un peu maladroite mais j'essayais de faire de mon mieux avec ce que je venais d'apprendre pour donner un bon baiser à Ichtora-Sensei. Pendant le baiser, je pouvais sentir ses seins nus se frotter contre les miens.

* Sa bouche.... sa langue... son corps... C'est tellement bon... C'est ça qui me faisait paniquer tout à l'heure? C'est pas si terrible que ça...*

"Hm...Sensei...je..."

Je...ne pouvais pas finir ma phrase. Parfois des gestes valent mieux que des paroles et bien que rouge, tant d'excitation que de gène, je me permis d'attraper la main de la prof pour la poser sur mon sein gauche et lui fit faire quelques petit mouvements dessus.

"C'est...Mon tour non?" Lui dis-je timidement.

Je ne sais pas si j'allais trop loin... Mais j'avais envie, vraiment envie qu'on s'occupe de mon corps...


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