Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Maelie

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Le parc et son sous-bois / Mauvaise idée. [Yukio Onoki]
« le: vendredi 31 mai 2013, 03:48:29 »
Maelie était de retour sur Terre, après un long séjour sur Terra. Les mondes parallèles médiévaux, ça va bien cinq minutes, mais le confort d'une douche moderne ça ne se remplace pas. Elle avait donc loué une chambre d'hôtel à Seikusu et avait passé une heure sous le jet d'eau chaude, avant d'être enfin satisfaite. Une fois sèche, elle s'était étendue nue sur son lit, profitant de la tiédeur de la chambre et de la douceur des draps, pour se caresser. Elle commença par faire glisser ses mains sur son ventre et sa poitrine et ne tarda pas à descendre jusqu'à son entre-cuisses. Cela faisait plusieurs semaines qu'aucun homme ne l'avait touchée, et une flopée de scènes voluptueuses s'imposèrent à son esprit tandis que ses doigts glissaient sur son sexe et que son excitation s'emballait. Les fesses relevées et ses doigts traçant des cercles frénétiques autour de son clitoris, elle finit par jouir dans une série de soubresauts, et se laissa glisser dans la longue torpeur qui suivait chacune de ses extases. Elle aimait ces moment ; lorsqu'une sensation de plénitude envahissait ses muscles impuissants et qu'elle restait juste assez éveillée pour en avoir conscience. Lorsque ses forces lui revinrent, elle se rhabilla et traina un peu, avant de décider d'aller faire un tour au parc municipal. Il faisait beau, et elle n'avait pas grand chose d'autre à faire...

Vêtue d'un simple jean et d'un débardeur blanc, elle se rendit à destination à pied, avec une certaine gaieté. Le soleil sur sa peau lui faisait le plus grand bien. Elle se promena dans les allées du parc, perdue dans ses pensées. Elle était tellement distraite qu'elle ne remarqua même pas le panneau de délimitation de propriété privée qui se dressait sur son chemin et continua sa progression. Quelques minutes plus tard, elle aperçut un banc en fer forgé et décida d'aller s'y assoir. Avec un soupir d'aise, elle observa les alentours ; non loin se dressait une sorte de manoir. Elle se demanda où commençait le parc privé de cette bâtisse, et si par hasard elle n'y était pas déjà entrée par inadvertance. Mais si c'était le cas, les détenteurs du terrain n'avaient qu'à placer des délimitations, après tout ! Curieuse, elle se mit à marcher en direction de la demeure. Et si elle croisait quelqu'un, elle dirait qu'elle ne savait pas, qu'elle était désolée, elle leur ferait un petit sourire innocent... pas de quoi s'inquiéter.

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Arrivée si prêt du but de son périple, Anastasia souffrait du mal du pays. Elle se sentait seule, et sale. Avant d'errer au Japon elle avait traversé toute la Russie, seule, armée de son sac à dos et de toutes ses économies. Cette partie du voyage avait été relativement facile ; malgré la solitude, elle avait tracé son petit bonhomme de chemin jusqu'à la mer. Il lui suffisait de penser à ce qu'elle cherchait pour se redonner courage, et d'éviter de penser à ce qui allait arriver au Japon. et puis les paysages, les visages et la langue étaient quelque peu familiers.

Toutes les craintes qu'elle repoussait s'étaient révélées justifiées dès qu'elle avait débarqué sur l'ile ; elle ne connaissait rien et ne parlait pas un mot de Japonais. Égarée dans les rues de Otaru elle avait interrogé tous les passants qu'elle avait pu dans un anglais approximatif, avait réussi l'exploit de prendre le train jusqu'à Seikusu, et avais traîné son corps fatigué jusqu'au lycée tant recherché. Elle resta plusieurs minutes à contempler le bâtiment devant lequel des adolescents en uniforme discutaient.

"Alors c'est ici..." murmura-t-elle.

Depuis quelques jours, l'habitude de se parler à elle même s'était installée. Chaque fois qu'elle s'en rendait compte, elle reprenait conscience de son état de solitude et le découragement s'abattait sur elle. Chaque fois sauf cette fois. Aujourd'hui elle voyait enfin son but approcher.

"Je ne peux pas entrer comme ça... sans uniforme avec mes cheveux... de nuit... de nuit c'est mieux..."

Anastasia n'avait aucune idée de comment se procurer un uniforme, et puis elle ne parlait même pas Japonais. Pour s'empêcher de penser avant la tombée de la nuit, elle alla dépenser ses dernières économies dans une robe noire rapide à enfiler. Elle revint vers 2heures du matin devant le mur d'enceinte du lycée, vêtue uniquement de sa robe, pieds nus, toutes ses affaires rentrées de force dans son sac. Personne en vue ; c'était le moment ou jamais ! Elle enleva sa robe, et la jeta avec son sac par dessus le mur d'enceinte, avant de se téléporter au dessus de celui-ci. Ne voyant personne à l'intérieur, elle se téléporta dans la cour et récupéra ses affaires, presque fière d'elle.

"Bon et maintenant ? ..."

Regardant autour d'elle, elle chercha des yeux un indice sur la fonction des bâtiments qui s'offraient à elle. Lequel d'entre eux était le dortoir ? Comment entrer ? Comment reconnaitre la faille ? Est ce que la faille existait toujours, est-ce qu'elle avait vraiment existé ? La fatigue et le désespoir lui revinrent soudain, à deux pas de la réussite. La poitrine écrasée par un poids invisible, Anastasia laissa son corps s'affaler contre le mur d'enceinte. Assise sur le sol, agitée de sanglots silencieux et incontrôlables, elle se maudit en se tirant les cheveux ;

"Petite conne... t'es trop conne... t'as rien prévu... t'es finie... petite conne... ça n'a jamais été possible..."

Vidée de toute force, elle leva son visage vers le ciel, sanglotant encore à demi ;

"Aidez moi... que quelqu'un me vienne en aide..."

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Le coin du chalant / (Presque) n'importe où, n'importe comment
« le: mardi 09 avril 2013, 21:40:14 »
Bon, j'ai vidé ma liste, qui de toute façon n'était pas à jour...

Je ne joue pas pour l'instant. Peut être dans le futur. Je vous ferais signe. Ou canard, si vous vous identifiez mieux à la bête.

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Prélude / Maelie, la succube deffectueuse (valiprimée !)
« le: dimanche 07 avril 2013, 22:00:50 »
Maelie est est ce qu'on pourrait appeler un specimen rare : un croisement humain/démon. Demandez autour de vous : "les croisement humain/démon, ça existe ?", vous verrez bien ce qu'on vous répond. Déjà, les démons et les humains sont deux espèces bien distinctes. Ensuite, lorsque vous êtes enceinte d'un démon, la meilleur réaction n'est-elle pas d'avorter ? Force est de constater qu'Aleksandra Boukavitskaia n'eut pas cette présence d'esprit.

Cette jeune femme russe au physique avantageux avait attiré l'attention d'un incube. Celui-ci était un mouton noir parmi les habitants des enfers ; un petit faiblard aux pouvoirs vacillants, dont la vie s'atténuait peu à peu, tel un mortel. Alors agé d'un siècle,  il sentait déjà ses forces diminuer, et son énergie vitale arriver à son terme. Affligé par son sort et méprisé par les siens, il descendit sur terre pour finir ses jours aux côté des humains. Aleksandra attirait l'attention de beaucoup d'hommes sur son passage, et le vieil incube ne fut pas moins sensible à ses charmes - bien au contraire. Décidé à la faire sienne, il la suivit et la séduit en usant de ses pouvoirs. Contre toute attente, les fornications répétées auxquelles il se livra avec elle la firent tomber enceinte. Sa grossesse dura 14 mois, au terme desquels elle donna naissance à Maelie. Son père, alors presque au terme de sa vie, la baptisa Maelie, et s'éteignit quelques semaines plus tard. Sa mère, qui préférait un nom plus conventionnel, la nomma Anastasia.

La beauté d'Anastasia était frappante, dès son plus jeune age, et ce malgré des cheveux rouges vif qui lui donnaient un air étrange. Elle vécu une enfance semblable à celle de toutes les autres jeunes Moskovites. Bien que sa mère ne lui ait jamais caché ses origines, elle découverte de son don fut une expérience pour le moins surprenante. Vers 12 ans, alors que la puberté commençait à se manifester, elle commença à se téléporter, d'abord involontairement, pendant son sommeil, sur de courtes de distances. Le froid la mordait soudainement et elle se réveillait allongée, parfois sur le carrelage de la cuisine, parfois sur le goudron humide de la rue, totalement nue. Elle courait alors à son lit, et fondait en larme en découvrant son pyjama sous la couverture, dessinant encore la forme de son corps en position fœtale.  Elle se rendit compte peu à peu qu'elle pouvait provoquer ces déplacement par la simple volonté, et qu'elle pouvait atteindre des lieux aussi lointains qu'elle le souhaitait.

Alors qu'elle apprenait à maitriser ses pouvoirs et que leurs manifestations nocturnes se faisaient plus rare, elle se rendit compte qu'elle avait hérité des désirs charnels incontrôlables de son père. A cette époque apparurent également une pléthore de dysfonctionnements dans son corps et ses dons, dont voici la liste non exhaustive :

-Le contact avec les matières plastiques bloque son pouvoir de téléportation (vêtements en fibres synthétiques compris)
-Lorsque quelqu'un l'appelle par son nom de succube, "Maelie", son don la quitte jusqu'à ce que quelqu'un reprononce son nom. Par conséquent elle tient se nom secret.
-Lorsque qu'elle jouit, son don disparaît pendant environ 24 heures, et ses forces physiques l'abandonnent pendant près d'une heure, la laissant inerte et demi-consciente.

Son physique attirait les prétendants comme des mouches ; à l'âge de 14 ans elle perdit sa virginité. Elle était de petite taille, ne dépassant pas le mètre soixante, dotée d'une silhouette indubitablement féminine et d'un visage doux. La plupart du temps, elle maintenait ses attributs aussi discrets que possible, à renforts de manteaux, jupes longues et pulls informes, avec un succès tout relatif.  Aucun vêtement n'aurait pu masquer totalement la courbe généreuse de ses hanches et leur balancement sensuel, ni empêcher son visage de poupée de rosir à là moindre émotion. Aussi, malgré une certaine timidité, malgré ses pertes de conscience après la jouissance, et malgré les rumeurs que cela faisait naitre, Maelie laissa un certain nombre de prétendants passer la frontière de ses habits. Ils découvraient alors une peu lisse, des courbes soyeuses et un ventre plat, un corps blanc de venus immaculée et un buisson rouge foncé.

A l'âge de 16 ans, un de ses amants profita de son coma post-orgasmique pour la prendre en photo dans des positions indécentes et fit circuler les images dans son lycée. Abattue par la honte, elle fugua. N'ayant nulle part où aller, elle se mit à la recherche de la faille vers l'Autre Monde dont sa mère lui avait parlé, et par où était passé son père. Elle en savait peu sur cette faille, si ce n'est qu'elle était située dans un dortoir du lycée de Seikusu.

Anastasia est une jeune fille intelligente et empathique, souvent en lutte contre ses désirs charnels. Si ses ascendances démoniaques sont la cause chez elle d'une libido sur-développée, sa mentalité n'en reste pas moins celle d'une jeune fille humaine, bien éduquée et dépendante du regard des gens qui l'entourent. C'est donc poussée par la volonté de trouver sa place qu'elle a entamé son voyage, et malgré les risques dont elle n'a pas pleinement conscience : car bien qu'elle soit relativement futée et qu'elle ait déjà été gravement trahie et humiliée, sa gentillesse la rend souvent naïve, et elle peine à imaginer que qui que ce soit puisse être réellement mal intentionné.

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