Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - La légion de l'Eternel Ardant

Pages: [1] 2 3 4
1
La nuit semblait permanente. Reprit-il conscience ? Possible, mais tout restait sombre, flou, la douleur et le mal ne lui offrait aucune échappatoire autre que l’oubli rude de l’inconscience…. Le heures suivantes furent seulement une suite de conscience endormie et d’inconscience, en boucle, offrant parfois de petits moments de lucidités où sa vision était trouble. La fatigue n’avait rien aidé, bien sûr. Et il passa sans doute plus d’un jour à dormir ou à rester évanoui, selon les moments, alors que l’on s’occupait de lui. Il délirait peut-être un peu, même, pendant ses périodes assoupies, des choses incompréhensibles, des prières à la flamme éternelle de l’Ardant, aussi sans doute….

Quand il se réveilla, il était….
Où est-ce qu’il était ?

Machinalement, il chercha sa longue épée à portée mais elle n’était pas là. Et une violente douleur cisailla le bras. Il tourna la tête et au-delà de son bras, pansé, qui montrait qu’on s’était occupé de lui et dont il venait probablement de ruiner une partie des efforts étant donné la teinte sanglante que ceux-ci prenaient. Il releva la tête sur le visage de celle qui semblait le veiller. Son premier réflexe fut d’essayer de voir si elle portait une arme. Non. Pas d’arme a priori. Il la scruta un peu.

Elle était penchée sur lui, dans une robe blanche simple et pudique, mais ce n’était pas cela qui le choqua. Ce fut son air… tiré…. Fatigué… éteint… elle aurait pu sembler être fanée…

« Qui êtes-vous ?  Où suis-je ? »

Deux questions essentielles mais qui étaient nécessaires… il porta sa main valide à son crâne, qui lui faisait un mal de chien.

« Ma tête… j’ai dormi longtemps ? »

Nouvelle question. Il la dévisageait. Elle était jolie, et le serait plus si elle avait été plus en forme, elle aurait été très belle, alors. Il regarda autour de lui. Il était sur une couche de mousse et de végétaux dans ce qui semblait être une petite clairière, dans une cabane, sans doute.
Il essaya de se lever. Peine perdue.

2
One Shot / Le lion et la nymphe (non, ce n'est pas une fable) [Pv]
« le: dimanche 19 mai 2024, 22:52:30 »
« Général, général, vous devez fuir ! »

L’aide de camp, un homme lézard particulièrement vilain avec cette espèce d’écailles dressées sur la tronche, avait un bras en moins. Cela repousserait, bien sûr… mais les choses étaient claires pour le seigneur Pyrrhus, les légions des nuées étaient vaincues et étaient actuellement joyeusement massacrées. Et voilà où ils en étaient… le Champion des nuées avait de nombreuses blessures, rien de grave selon lui. Au fond, même la mort n’était pas grave. Mais il savait ce qu’était la captivité et il ne voulait pas y retourner… et ils savaient qu’il ne mourrait pas assez facilement pour éviter cela, au rythme où les choses allaient. Alors oui, la fuite était la seule option. Il pesta et saisit son griffon ardant pour se mettre en selle et fit claquer les rênes sur l’encolure de l’animal. Il se mit à courir et battit des ailes un moment, commençant à s’élever.

Les flèches sifflaient autour, et une cuisante douleur atteignit son épaule suivit d’une autre, dans le bas. Ne pas retirer les flèches, ne pas retirer les flèches, malgré la douleur, ça évitait au sang de sortir à flot. Une nouvelle flèche qui siffla à deux pouces de sa tête. Et là, ce fut un cri qui déchira les oreilles du général. Et sa monture commença à perdre de l’altitude, battant des ailes pour rien ou presque, parce que l’une d’elle commençait à se tordre. La flèche avait atteint la jointure… et quand elle percuta le sol, le terranide lion fit un roulé boulé et se releva péniblement pour se mettre à courir. Il tu avait de l’eau plus loin. Un bon moyen de faire perdre sa trace. Mais alors même qu’il commençait à nager, la douleur à son, épaule, et celle à son bras, lui firent comprendre que c’était peine perdue. Alors, au lieu de nager, il tenta au moins d’avancer d’un bras l’autre pendant mollement. Il savait laisser du sang dans l’eau.

Tant pis. Il ne chercha pas à remonter le courant, mais se laissa porter, jusqu’à s’échouer sur une berge, dans une forêt. Il faisait nuit. Mais il n’avait plus la force, c’était se reposer ici ou se noyer. Au moins était-il en forêt. Il toussa, essaya de se relever, mais c’était peine perdue. Alors, il se traina juste dans un fourré, à proximité, et s’abandonna. Allez, un peu de repos, juste un peu de repos. Il allait fermer les yeux quelques minutes. Essayer de se reposer pour se relever vraiment et partir. ?
Il tomba dans l’inconscience.

3
La jeune femme, lorsqu’ » elle montrait sa véritable apparence était belle, un esprit du feu comme on en voyait rarement… et rien que pour cela, son apparence était sujette à une forme d’admiration. Encore fallait-il qu’elle la montre. Et le demi dieu n’était pas complètement sur qu’elle puisse la montrer sur terre comme elle pouvait le faire sur terra. Sur terra, au moins, on la reconnaitrait pour ce qu’elle était ; c’était préférable, non ? Ici, la différence était la norme, lui semblait-il. Donc elle pouvait se montrer comme sa vraie nature le lui permettait, comme un esprit du feu dans toute sa pureté.
Toutefois, elle cessa bien vite pour revenir à une apparence qui était sans doute plus naturelle, et sans doute aussi plus discrète.

Le principal souci serait la langue, pour le long trajet qui s’annonçait. Callisteros était toutefois assez content de voir qu’ils arrivaient à se comprendre. Mais cela ne suffirait pas. Bien vite, les concepts abstraits empêcheraient une conversation réelle, et sans doute cela nuirait-il à la confiance. En outre, il lui faudrait peut-être expliquer des choses au demi dieu qu’elle était incapable de faire sans explications compliquer, Ne serait-ce que se laver ou demander à aller uriner ou autre. Ça risquait fort de devenir compliqué… il allait falloir trouver une autre manière de communiquer. Ils ne s’en sortiraient jamais, sinon…
Enfin, puisque pour ce soir, au moins, elle avait un peu confiance, il vint doucement faire non de la tête avant de finalement dessiner une ligne et un demi-cercle. Ils partiraient à l’aube, pas en pleine nuit. Et lui, il avait besoin d’un peu de repos. Peut-être, maintenant qu’elle était réveillée, ils pourraient se débarrasser du chariot et se contenter de chevaucher, mais il lui faudrait une tenue pour ça…
Il lui faudrait une tenue plus pratique de toute manière. Cette robe ne serait pas pratique quelle que soit la situation, et il lui faudrait aussi de meilleures chaussures.
Il lui indiqua le chariot avant de finalement indiquer, plus précisément, les deux chevaux qui la tiraient. Puis il lui fit mine de tenir les rênes et claqua de la langue plusieurs fois avant de la désigner d’un air interrogateur. Savait-elle monter à cheval ?
Le temps gagné ne serait pas négligeable.
Si elle n’avait plus rien à demander, il serait temps de dormir. Enfin, il ne dormirait jamais que d’un œil, pour leur sécurité à tous les deux.

4
Apparemment, les informations faisaient leur chemin. Et Callisteros était assez content qu’ils arrivent, aussi simplement, à se comprendre un minimum. C’était plus facile que prévu. Il y avait parfois un phénomène étrange sur les gens qui arrivaient à Terra. Souvent, ils semblaient n’avoir aucun mal à parler les langues locales comme s’il y avait une langue universelle. Mais ce n’était pas le cas, là ce qui aurait pu être un peu compliqué. Et ça resterait compliqué pour l’abstrait et pour les choses compliquées. Mais tant qu’on restait dans les informations les plus simples… le demi dieu songeait qu’il pourrait s’en sortir.
Et avec la démonstration de son bras dans les flammes sans être brulé – pouvait-il seulement l’être davantage ? Pas sûr. Il lui fit un signe de tête positif quand il vit son regard plein de questions… au moins, maintenant, elle savait qu’ils avaient peut-être quelque chose en commun, en partie.
Elle prit le poignard ; elle pouvait. Elle devait bien avoir constaté qu’il avait plusieurs épées, donc est-ce que cela ferait une grosse différence ? Pas sûr. Il lui fit un sourire entendu néanmoins, montrant qu’elle avait bien fait.

Et là, elle montra çà son tour…e t sans dire qu’il en fut émerveillé, il y avait une forme d’admiration, quand il la vit se mêler aux flammes, doucement, sa chevelure devenir de flammes sauvages, ses yeux étincelant du flamboiement du soleil. C’était plus que du feu. C’était un soleil miniature qui se trouvait en elle. Il ne s’attendait pas à une telle flamme. Pyraetus avait-il mal vu ? Ou lui avait-il minimisé les choses ?
Son regard se posa à nouveau sur Callisteros, rempli de questions muettes. Elle avait besoin de plus d'informations, de comprendre ce qui se passait et quel était son rôle dans tout cela. Même si elle était encore loin de saisir toute la vérité, elle était prête à suivre cette étrange route tracée par le destin, avec son nouveau compagnon de voyage aux allures de feu.

« Magnifique… »

C’était vrai. Elle ne faisait pas sienne la flamme, elle était la flamme, elle était le feu et il sentait qu’elle devait être particulièrement bien installée. Sublime. Il opina du chef. Elle avait compris ce qu’ils avaient en commun, peut être… mais comment lui expliquer…

Il tendit la main et vint doucement prendre ses doigts de braise sans se brûler… l’Eternel Ardant soit loué, elle était vraiment un esprit du feu et un des plus beau qu’il ait pu voir. Les quatre généraux étaient bien pâles en comparaison, devant tant de flamboyance…
Il fallait qu’ils réussissent à se faire mieux comprendre. Mais il n’était pas très doué en pyromancie, l’empêchant de communiquer par les flammes aussi bien qu’il l’aurait voulu, hélas…
Il eut une idée.

Il dessina au sol à nouveau, sortant un nouveau poignard. Oh allez, il n’en avait pas qu’un. Mais il était moins pratique ça plus long.

Il fit un trait qui partait du feu, une flèche, vers elle, puis une autre vers lui, mais sa flèche à lui, il la barra en suite en partie, comme pour montrer que si elle était née du feu, il ne l’était pas. Enfin, pas totalement.

La pureté de sa flamme était impressionnante.

Puis du doigt, il lui désigna le feu, et ensuite le sud, en mimant quelque chose de plus gros, un feu plus gros. Puis il se désigna et la désigna, puis désigna le sud aussi.

5
La langue inconnue n’allait pas simplifier la communication. Pyratetus lui, aurait pu lui parler, les flammes avaient leur langage universel. Mais Callisteros ne le parlait pas. Pas assez compatible avec, sans doute, il suffisait de voir sa silhouette à moitié charbonneuse pour comprendre cela. Mais du coup, faute de grives, eh bien les merles pouvaient bien finir dans leur estomac, non ? et en parlant d’estomac, il y en avait une qui avait faim, besoin de manger, semblait-il, vu comment elle engloutit rapidement la première bouchée du repas qui n’avait rien d’un festin. Elle découvrirait bien vite qu’elle aurait droit à de bien meilleurs mets, une fois arrivée. Elle serait traitée en vrai princesse. L’Eternel Ardant était quelqu’un ne faisait pas peu de cas de ses enfants.

Utilisant la même gestuelle que lui, elle finit par se présenter. Soleda comme prénom. Plutôt joli, ça avait une consonnance…. Il ne savait pas trop, mai il pressentait le côté flamboyant du prénom. C’était l’évidence même. Son accent roulant sur les « r » avait quelque chose de chantant, de musical à l’oreille, il fallait le reconnaitre. Cela donnait une douceur à sa voix, d’une certaine manière.
Même si la crainte perlait quand même quand elle reprit la parole.
Logique.

Mais il comprenait ce qu’elle voulait dire. Grace au symbole qu’elle dessinait du manche de sa cuillère. Au moins, ce langage là était-il universel. Il fit un signe de tête positif pour valider sa question, qu’il l’avait comprise. En même temps, s question était légitime.
Il dégaina un couteau, san geste brusque et l’utilisa pour tracer dans le sol des symboles. Un rond, symbolisant la terre, un bonhomme bâton dessus, puis une flèche qui indiquait le rond d’à côté. Les ronds ressemblaient un peu à des patates, mais il faisait rapidement. Voilà, elle pouvait voir le dessin.

« Soleda. Terra. »

Il indiquait le petit bonhomme de la pointe de son couteau pour la désigner, puis désignait le rond où allait la flèche. Puis, il la regarda à nouveau, et eut une idée pour lui signifier la raison de sa présence ici. Il plongea la main de charbons ardents dans les flammes et le ressortit, laissant les flammèches aviver les veinures flamboyantes avant qu’elles ne s’éteignent. Puis il la désigna, puis désigna son bras. De quoi expliquer la raison de sa présence, d’un certain point de vue.
Il déposa le poignard à côté du dessin, sans se soucier qu’elle l’attrape et le garde.

6
Ville-Etat de Nexus / Re : Fêter dignement une victoire [Pv]
« le: lundi 13 mai 2024, 20:34:48 »
Les jeux étaient là, ils dérivaient et chacun semblait trouver son compte dans ces moments de plaisir. Entre Jun qui suçait et se faisait lécher, et Nea qui semblait bien partie pour faire la même mise en bouche que Jun… autant vous dire qu’elles ne semblaient pas effrayées le moins du monde par les chances d’être battues par leur compare…

« Quel manque d’imagination mes mignonnes… personne n’a dit qu’il fallait vous comparer à Ada ce soir forcément… ce serait l’occasion de revenir. Sauf si vous êtes trop impatientes bien sûr… »

Soliès ricana, glissant mes gros doigts sur la joue de Nea et venais les glisser dans la soie de sa chevelure. Il la regardait, et regardais Jun bien occuper. Déjà entre les deux, quelle serait celle qu’ils préfèreraient ? Rien n’était écrit sur le sujet…
Le comparse que Jun suçait gémit d’un coup, un vrai gémissement, quand Jun déforma sa gorge pour le prendre en entier… eh bien… il ne s’y attendait pas à ça… bien plus élastique à cet endroit qu’il ne l’aurait cru…
Mais vu comment aucune d’elle n’était effrayée par rien, il fallait se douter qu’elles seraient toutes aussi élastiques. Ils auraient dû le savoir, ils connaissaient Ada, après tout…

« Je crois que je ne vais pas attendre plus… »

Le géant qui se trouvais derrière Jun semblait en avoir marre de lécher et s’était redressé pour approcher son sexe de celui de la petite Nyora, son gland se mit à frotter contre elle, prêt à la pénétrer. Il n’attendit aucun feu vert mais commença alors à s’enfoncer. C’était amusant, il semblait y aller précautionneusement, comme s’il avait « peur » de lui faire un quelconque mal… comme c’était amusant…
Quant à Nea, elle semblait vouloir passer aux choses sérieuses. Ce qui fit rire Soliès.

« Hum…  Eh bien, montre-moi ce que tu fais de mieux, ta spécialité… mais sois sure d’une chose. Gorge, cul, chatte, je serai le premier à m’y enfoncer, de nous trois. D’ici là, t’es ma chasse gardée… privilège de chef. »

7
One Shot / Re : Une offrande de paix [PV]
« le: lundi 13 mai 2024, 20:34:27 »
C’était marrant, elle couinait déjà comme si elle avait attendu ça toute sa vie… ça allait être amusant, tiens… elle pensait quoi ? Que le géant allait lui laisser la possibilité d’apprécier ? Elle n’était pas là pour ça, hélas pour elle. Elle allait devoir subir et supporter. Il la regarda avec amusement alors que, à peine à la moitié, elle devait déjà faire passer à la grosse verge l’entrée de sa gorge… il allait salement l’étouffer.
Ses grands yeux larmoyants de la situation, et le bruit des hauts le cœur le faisait marrer. Il n’y avait pas à dire, il allait bien s’amuser avec cette nouvelle possession… il lui fit un regard un brin moqueur avant de finalement la voir faire ce qu’elle pouvait. Et pourtant, non, rien… elle n’arrivait pas à avancer d’avantage, malgré ses efforts et malgré ses apnées qui duraient un peu. Impossible pour elle, n’est-ce pas ? [/color]

Mais elle semblait bien partie pour satisfaire son nouveau propriétaire puisqu’elle était en train de frotter sa minette contre le gros doigt du gêant. Pourtant, sans prévenir, il donna une pichenette à son sexe qui s’humidifiait, histoire de lui faire passer un peu son envie apparente d’aller trop vite. Puis il se retira de sa bouche pour poser la longue verge contre son visage, une bite qui était largement plus imposante que ce qu’elle pouvait prendre ici. Et c’était sans parler de comment elle allait devoir encaisser cela ailleurs. Elle en était consciente mais la frayeur était passé. Ou du moins, c’était l’impression qu’il en avait.

« Ce n’est pas fameux. Je suppose qu’il va falloir que je fasse tout moi-même… »

Il enferma ses cheveux dans une poigne ferme et il venait remettre son gland devant ses lèvres jusqu’au ce qu’elle ouvre grand, et cette fois, il força, força, malgré les éventuelles plaintes de douleur, malgré ses signes de refus ou autre, il ne s’arrêta que quand ses couilles e calèrent contre son menton. Et là, il la maintint. Il la maintint en la regardant changer de couleur, devenir rougeaude, puis bleuir sous le manque d’air, et il continua pourtant. Ce ne fut que quand il la sentit mollir, à deux doigts de tourner de l’œil, qu’il lui permit de se retirer et de respirer, cracher la salive, vomir, même, peut-être.

« Refais-le ; si tu échoue tu seras punie. »

8
Ville-Etat de Nexus / Re : Fêter dignement une victoire [Pv]
« le: mardi 07 mai 2024, 21:02:15 »
Les deux Nyoras semblaient se réjouir de la non-ambiguïté de la situation. La baise était au programme, et les mettre dans un état pas possible quitte à tirer à sexe à la fin, c’était un peu l’objectif clé, il fallait le reconnaitre… et chacune semblait avoir ses bonnes idées… même si pour le moment, ‘une était plus passive que l’autre. Non que ce soit un reproche. Quand on était, comme Jun, coincée entre deux géants, difficile de faire autrement.  D’autant que l’un d’eux semblait se ravir de l’idée de la faire couiner et glapir à coup de langue… une langue grosse et bien baveuse qui s’infiltrait facilement entre ses chairs.

« T’es pas dur à démarrer hein… »

Brontès gloussa. Et Stéropès en éclata de rire, les doigts dans les cheveux de Jun se resserrèrent un peu pour l’encourager à gober plus, voir à quel point elle allait prendre avant de s’étouffer dessus. Pour les deux géants, impossible qu’elle gobe ou qu’elle encaisse sans broncher. Merde, c’étaient des géants, la différence de taille était non négligeable…

« Faudra pas casser, mes jolies, hein… »

Soliès ricana à la remarque de l’un de ses compères, alors que Nea, agenouillée obscènement devant lui, sur la table, se mettait à faire ce qu’elle devait – et surtout ce qu’elle voulait – à savoir sucer et cajoler le sexe de l’ancien roi des géants… et ses loches étaient un parfait écrin. Elle ne laissait rien au hasard et cela faisait soupirer le géant de plaisir… il adorait vraiment cette petite pute ne Nea. Pas froid aux yeux et prête à encaisser. Combien de femelles avait-il brisé de ses assauts ? Trop, lui semblait. Ici, elles tenaient le coup, clairement, et cela faisait du bien…

« Méfie-toi, il va falloir que l’on compare le confort de ton cul et celui de Nea… »

Stéropès soupira avant de finalement s’exclamer.

« Mais c’est qu’elle avale sans hésiter la salope ! »

Une idée brilla dans le regard de Soliès. Pas une bonne idée peut être.

« Okay, voilà ce que je propose… mesdemoiselles, donnez tout ce que vous avez, et à la fin de la soirée, nous choisirons la meilleure et elle aura droit à une récompense spéciale… »

Il hésita un instant.

« Non, il faudra comparer la gagnante à Ada en direct pour ça…. Mais la gagnante finale… eh bien je suppose qu’elle pourrait bien s’éclater car elle aura une récompense très spéciale… »

9
One Shot / Re : Une offrande de paix [PV]
« le: mardi 07 mai 2024, 21:00:55 »
Elle se cambrait quand le géant lui triturait les mamelles. De grosses mamelles bien sensibles comme on les aimait. Brave fifille… et elle ne se débattait pas des masses, tout simplement. Elle ne luttait pas et acceptait, même si elle avait la trouille. Elle se laissait quand même bien aller, non ? Brave fifille aux mamelles débordantes… une vraie génisse. Soliès lui donna une petite tape sur les rondeurs, et donna ses ordres.
Des ordres qui la firent avoir peur un instant puis rougir violemment, mais elle obéit sans discuter. Elle sembalit douée pour ça, obéir sans discuter. Et elle obéissait bien. Elle était en train de se mettre à quatre pattes sur le lit, ses mains sur les énormes cuisses de son possesseurs, et là, elle n’hésita pas, venant embrasser et lécher, cajoler le sexe énorme pour sa morphologie.
Surprenant son manque d’hésitation.

« Eh bien, quel entrain… »

Il glissa ses doigts à sa tête, caressant ses cheveux avant de les empoigner sans la brutaliser, juste pour ne pas lui gâcher la vue qu’elle offrait obéissant à des obscénités qu’elle ne connaissait a priori pas.
Elle poussait même le vice à venir prendre en bouche - et il fallait bien toute sa bouche – le gland pour le têter. Elle avait vraiment un petit don, si elle n’avait pas menti…. Même si c’était maladroit, même si elle semblait ne pas vraiment être à son aise… elle avait ses grosses loches reposant sur la cuisse et les couilles et puisqu’elle était à quatre pattes, autant en profiter, non ?

Soliès tendit le bras pour venir envelopper de sa main sa belle coupe qu’il claqua fermement.

« Allez, pousse un peu plus, vois i tu peux prendre un peu plus que le gland… »

Il se mit à lui flatter le cul, avant de laisser un gros doigt descendre, le long de son sillon inter-fessier, titillant l’anneau rectal au passage sa s’arrêter, pour finalement arriver à sn sexe qu’il commença à caresser assidument, comme une récompense pour ses efforts.

« Je vais beaucoup t’apprendre, et tu verras tout se passera bien… »

10
Ville-Etat de Nexus / Re : Fêter dignement une victoire [Pv]
« le: jeudi 25 avril 2024, 08:07:36 »
Les deux Nyoras étaient clairement chaudes comme la braise, il fallait le reconnaitre, impatientes de passer à de plus rudes corps à corps. En même temps, elles n’étaient pas à pour enfiler des perles, à moins de jouer elles-mêmes le rôle de perles, cela allait sans dire. Mais il ne fallait pas qu’elles s’inquiètent. C’était clairement dans les projets des géants. Et des projets à court terme. Entre Brontès et Stéropès qui se répartissaient un peu Jun, et Soliès qui avait sorti son sexe pendant l’exhibition de Nea… une exhibition bien rapidement rendue vulgaire, mais au fond, Nea était une femme qui avait la vulgarité chevillée au corps, non ?
Jun était désormais avachie entre les deux géants qui s’en donnaient à cœur joie, l’un se jouant de son sexe avec ardeur, de ses doigts, on de sa langue, tandis que l’autre avant un appendice prêt à être dévoré. Et apparemment, il y en avait une qui se jetait dessus comme une affamée. Léchant le sexe, l’astiquant avec ardeur, pendant qu’elle se faisant bouffer le minou. Même si la langue ne restait pas ici, et remontait parfois lui titiller la rondelle.  Ouais, rien ne lui serait épargné.

« Goulue va… »

Soliès ricana en voyant Nea s’approcher un peu pour commencer à jouer avec le sexe, se penchant pour caler le barreau de chaise entre ses lourdes mamelles qui peinaient à se refermer dessus. Elle commençait à s’activer dessus avec ses mains et ses seins pour branler le sexe de l’ancien roi des géants qui soupira d’aise… déjà la salive coulait à flot. Il imaginait comment ce serait quand il l’étoufferait avec.
Non, inutile d’y penser, elle ne pourrait pas tout encaisser… trop gros, trop long. Ce serait inhumain de sa part. il referma les mains sur les seins de la belle catin pour les presser davantage contre son chibre, histoire de savourer un peu plus.

« Tu ne pouvais plus tenir, n’est-ce pas ? Alors montre un peu tous tes talents…»

Les deux autres géants étaient eux aussi ravis, surtout Brontès qui avait la chance d’être le premier à se faire sucer le chibre comme il fallait. Enfin lécher.

« T’as pas autant de seins que ta copine, mais je suis sûr que tu sais mieux gober. Pas vrai ? »

11
One Shot / Re : Une offrande de paix [PV]
« le: jeudi 25 avril 2024, 08:07:05 »
L’elfe se dévoilà complètement cette fois, rougissait, alors, nue, sans raison ni manière de se cacher. Son sexe glabre, qui semblait si mince… ses hanches, son cul, ses seins si lourds, presque disproportionnés pour sa silhouette… un corps de putain, oui, en effet. Ça lui alait bien mieux, et elle le comprendrait bien à un moment ou à un autre… enfin bon, d’ici là, il allait falloir l’éduquer. La former. La déformer.

Elle s’assit sur le lit, prenant par cela même quelques petites aises que le géant ne lui lui reprochait pas pour cette fois, elle apprendrait à ne pas trop s’installer comme chez elle tôt ou tard… et sans doute plus tôt que plus tard.
Mais ça y était, elle était face au loup, à la monstruosité à l’échelle elfique ou même humaine, qui allait devoir se frayer un passage dans son corps. Et devanyt ses réactions gface à cela, Soliès ricana. Allait-elle mourir ?

« Peut-être, oui, mais sache que tu ne seras pas morte sans raison alors. »

L’idée l’amusait. Il doutait de la tuer avec un coup de boutoir, quoique…
Pourtant elle ne s’arrêta pas là, venant continuer à admirer la largie et longue verge lourde qu’elle allait devoir apprendre à choyer… elle se cambrait et il voyait les tétons se dresser, arrogants…  il ‘approcha ses mains et les pinça, tirant un peu dessus alors. Elle était offerte, et alors, il lui signifia les premiers ordres.

« Bien, Princesse Putain, cajole donc l’outil de ta mort… »

Ça allait sans doute rester, cette idée de la tuer à coup de braquemart. Je venais saisir ses mains pour les poser sur l’objet de plaisir palpitant presque d’impatience de déchirer ce délicieux petit corps à la fois frêle et voluptueux. Elle avait le corps fait pour ça, alors que serait-il du reste ?

12
One Shot / Re : Une offrande de paix [PV]
« le: vendredi 19 avril 2024, 20:38:32 »
La belle elfe avait quand même un peu de timidité, au fond, il semblerait, puisqu’elle rougit violemment. Ben tiens… qu’importe. Elle avait le corps fait pour jouer les putains. Il fallait bien le reconnaitre. Elle en avait de la chance, d’entrer à mon service… il lui fit un sourire avant de finalement de finalement lui caresser les cheveux, et l’encourager à se dévêtir, chose qu’elle semblait attendre un peu avant d’obéir.

« Dons si on résume, une vierge au corps de putain, issue d’une famille noble mais sans plus aucune forme de dignité, c’est ça, non ? »

Il ricana alors qu’elle se retournait pour se changer, comme pour éviter qu’on la voie trop directement. Pourtant, ce faisant, elle révélait ses hanches généreuses et ses fesses à l’avenant. Il avait tendance à préférer les petits culs aux gros culs, mais là… eh bien il se forcerait. Il aurait bien besoin de se forcer dites-donc, ironisait-il mentalement.
Ailleurs dans le camp, il y eut un cri, de douleur. Une femme qui devait découvrir ce que ça faisait d’encaisser un géant…. Est-ce que ça l’inquiéta ?
Cette noble elfe vierge, il allait en profiter jusqu’à plus soif. Et avec un peu de chance, il ne la casserait pas.

Elle se tourna de nouveau pour me faire face, un peu tremblante, mas nue, face à moi, se cachant le sexe de ses mains. Quelle pudibonderie inutile. Même si ça mettait ses pis en valeur.

« Dégage tes mains et écarte les cuissots que je vois un peu aussi moment t’es foutue ici… »

Il l’encouragea d’une petite claque sur le sein assorti d’un pincement du gros tétons rose bien visible et bien joli. Il fallait le reconnaitre, c’était un joli corps dont le géant allait savourer chaque abus. Et pas qu’un peu. Et comme pour montrer ce qu’elle risquait, il sortit son membre de ses braies, révélant une chose énorme en train de durcir… c’était clairement une troisième jambe, et plus encore, à son échelle.

« Ça te fout la trouille ? »

13
Le demi-dieu avait anticipé que les choses ne seraient pas simples à son réveil. Mais s’il avait été dans son cas… il aurait sans doute dégainé et tranché sans réfléchir. Parce qu’il n’avait pas pour principe de laisser la place au doute. Tout simplement. Cela ne voulait pas dire qu’il était violent. Et pour cause, il ne l’était pas outre mesure en cet instant. Même s’il se doutait qu’elle ne serait pas ravie par la situation. Personne ne le serait à sa place, bien sûr. Il lui fit un air doux, même si elle était difficile de l’imaginer avec la moitié de son visage qui ressemblait à un charbon aux veinures flamboyantes. Ça devait forcément causer un froid…

Sa voix était douce, chaude, encore un peu ensommeillée, elle parlait une langue que l’Eternel Ardant ne lui avait pas permis de comprendre cette langue. Si tel était son choix, alors soit. Autant vous dire qu’il ne comprenait pas grand-chose. Mais il en devinait un peu le ton général. S’il avait traduit ses paroles, ça aurait été sans doute quelque chose comme. « Qui êtes-vous et où sommes-nous ? » ou alors « qu’est-ce que vous m’avez fait et ou est-ce qu’on est ? ». Des questions assez simples dans le fond. Et assez logiques. Ou alors c’était quelque chose de complètement différent et il était à côté de la plaque.
L’Augure incandescent aurait compris ses mots, bien sûr. Mais pas sur qu’il aurait fait meilleure impression. En outre, pour escorter cette femme, Callisteros valait mieux, de toute façon. Le Flambe-Dieu. Le combattant aux cents lames.

« Paix ! »

Il leva les deux mains pour montrer que tout ce qu’il avait entre les doigts en cet instant, c’était une cuiller en bois qui servait à remuer le simili ragoût. Il prit l’écuelle et la remplit du contenu de la panse tannée qui servait de marmite. Puis il la lui tendit avec la cuiller en bois.

« Mangez. »

Elle ne le comprendrait pas plus que lui ne la comprenait, sans doute, mais bon. Il y avait des gouts et des odeurs universelles. Comme des gestes qui voulaient tout dire. Il tenta un sourire à nouveau.
Il se tapota la poitrine.

« Callisteros. »

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One Shot / Re : Une offrande de paix [PV]
« le: dimanche 14 avril 2024, 19:54:31 »
L’elfe ne sembla pas particulièrement repoussée par cela, se laissant faire docilement ; il se demandait si ce n’était pas dommage, qu’elle se montre si docile si facilement. En même temps, aux vues de sa situation, elle n’avait pas vraiment le choix. Me mécontenter risquait de lui apporter son lot de problèmes, à commencer concernant sa vie, et ensuite, pour les raisons qui la rendaient présente ici…
Je la regardais avec un sourire en continuant à masser sa poitrine volumineuse.

« Non, si tu crèves, ce sera parce que je me serai débarrassé de toi… »

La tenue avait été défaite et sa poitrine sortait. Enfin, bon, à quoi cela pouvait-il bien servir de la garder dans cette tenue… je donnais une petite tape au sein alors qu’elle reconnaissait que j’étais sa seule planche de salut, plus ou moins… je la laissais caresser le torse, au milieu des fourrure, sous la broussaille de ma barbe qui descendait un peu en dessous de mon sternum. Je faisais barbare, je le savais. Et elle tranchait avec ses airs délicats.
Fermement, je venais écarter ses mains de moi.

« Retire le reste de ta tenue, que je puisse voir un peu ce que j’ai gagné dans cette histoire. »

Je croisais les bras, et je la regardais – de haut – et pour cause, En plus d’un mètre nous séparait, en termes de taille. Ricanant alors je disais, en louchant toujours sur sa poitrine suffisante pour pouvoir jouer avec moi, ce qui n’avait rien d’une normalité. C’était dire comme elle était équipée…

« En tout cas, tu as une poitrine magnifique… de vrais pis de carin. Tu n’es pas d’accord ? Je suis sur qu’on te les complimentait quand on te les bouffait, chez toi… c’était quoi ton rang dans cette ville d’ailleurs ? Ils ne m’ont pas refilé de la putain quand même ? »

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One Shot / Re : Une offrande de paix [PV]
« le: samedi 13 avril 2024, 21:06:20 »
« Raison de plus pour que je ne t’en donne pas… »

Le géant fit un sourire à la jeune. Elle savait se servir d’un sabre, donc ?  Le roi déchu ne comptait pas lui donner d’arme à l’origine, et s’il avait eu besoin d’une bonne raison pour le lui refuser, elle la lui avait donnée. Il ne manquerait plus qu’une potentielle assassine dans le camp. Faire confiance à des cadeaux diplomatiques, ce serait pour le moins stupide, non ? Et… brut, il pouvait l’être, rustre aussi. Souvent le disait-on inculte. Mais stupide… non.  L’Eternel Ardant lui en soit témoin, il n’était pas question que les choses se passent mal.

« Et ce n’est pas ce qui a été dit selon la déclaration de ta délégation… selon elle, tu es un cadeau, comme tes compatriotes. Et la seule raison pour laquelle nous ne devrions pas bruler la cité. »

Il lui tapota la joue, tout simplement. La traitant un peu comme une gamine ignare avec son ton condescendant. Il lui fit un sourire avant de finalement s’écarter un peu et la détailler un peu plus de haut en bas. Son œil était clairement lubrique.

« En somme, tu m’appartiens. J’ai laissé les autres à la libre disposition de mes troupes, nul doute que chacun y trouvera son compte. Mais j’avais justement besoin d’une servante, la dernière a pris une flèche perdue dans une embuscade. »

Il ne se gêna pas pour venir poser la main sur son sein, sans la moindre vergogne. Il ne faisait pas si gros dans la main. Il semblait même faire… pas presque petit, mais pas loin. Le paillard invétéré qu’il était s’en frottait les mains.

« Tu vas être utile, ma belle, mais pas sur le champ de bataille. Dis-moi, quel est ton nom ? »

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