Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => La zone industrielle => Discussion démarrée par: Rachele Florenza le mardi 17 août 2021, 16:47:07

Titre: Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le mardi 17 août 2021, 16:47:07
Ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=y9uKFgcQtz0

Coupe de cheveux / couleur et maquillage de Rachele:
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Robe / chaussures de Rachele (sans le bandeau):
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Le cliquetis incessant et régulier de son briquet résonne tel le tic tac funeste d'une horloge dans les sombres collines de la décharge. Juchée sur un trône de pneus d'où ne dépasse que les têtes de ses invités, la Baronne contemple sans les craindre les ombres de cette vallée de la mort. Piliers de carcasses de voitures, déchets toxiques mal dissimulés, monticules bouffis de tout ce que la société défèque avec insouciance, ici, la pourriture qui ronge l'humanité pour s'en nourrir est chez elle.

Max hume l'air nocturne pour s'imprégner de ses fragrances nauséabondes avant de porter le briquet à sa cigarette, le gout âcre du tabac chasse la saveur putride de la décharge et la remplace par un gout familier et réconfortant. Elle exhale un panache de fumé dans un soupir de satisfaction et lève les yeux au ciel, vers les étoiles silencieuses... elle est enfin prête à rendre la justice des salaups et c'est définitivement une belle nuit pour mourir...

Un invité terrifié se dandine dans sa prison de pneus en gémissant. Dona Florenza baisse son regard vers les prisonniers mais ne semble pas les voir, témoignant ainsi de toute la peine et du mépris que leurs actes lui ont inspiré.

Max - Bonassera... Bonassera... qu'es je donc pu faire pour que vous me traitiez avec aussi peu de respect...

Elle marche sur le monticule de pneus autour de leur têtes comme un chat en équilibre sur une fenêtre, ses talons si près de leur visages qu'ils peuvent en sentir l'odeur suave.

Max - Vous seriez venu en ami me demander mon aide et vos créanciers, vos partenaires seraient déjà en train de vous craindre. Et si par hasard vous seriez venu vous plaindre d'un ennemi alors cet ennemi serait devenu le mien... et il aurait eu très peur de vous... alors pourquoi... pourquoi vous qui êtes de notre sang... m'avez vous traité avec aussi peu de respect...

Les lèvres scellées par le chatterton, l'homme ne peut que baisser les yeux, tachant tans bien que mal de ravaler ses larmes dans l'espoir de rester digne en cet instant qu'il sait être le dernier... il a trahi... il doit mourir... il le sait... telle est la loi...

Max - Mais vous avez préféré vous retourner contre les vôtres, contre la Famille, contre MA Famille. Et pour ce faire... pactiser avec mes ennemis...

Elle recommence à jouer avec le clapet de son briquet, les deux gaillards qui partagent le sort de Don Bonassera se débattent dans l'espoir d'échapper à la mort.

Max - Vous avez ouvert d'anciennes blessures, brisé le statut-quo grâce auquel tout le monde pouvait faire du Business dans Ma Ville sans qu'il ne soit nécessaire de se battre et de perdre ce qui nous est cher... Tu m'as brisé le cœur Bonassera...

Max descend du monticule de pneus, rejoint ses deux gardes du corps. Ils tiennent entre leurs mains un jeune homme tremblant de peur qu'elle prend par le colle et soulève pour l'obliger à affronter son regard de glace.

Max - Tout ce qui vous intéresse c'est l'argent... et j'ai dormi sur mes acquis depuis bien trop longtemps. Cette ville mérite une criminalité de premier ordre... et je vais la lui offrir.

Sans un mot elle se retourne et lâche dédaigneusement son briquet au pieds du bûcher du traitre qui s'embrase instantanément, emportant vers le ciel les hurlements de ses prisonniers.

Max - Va rappeler à ton boss que c'est moi son Patron... C'est ma ville...

Elle le relâche et le laisse s'enfuir. Sur sa route, le jeune homme manque de heurte dans sa course le véritable invité de Dona Florenza. Un homme qui a gardé le silence jusqu'ici devant le spectacle de cet étrange tribunal sans avocats. Il le regarde un instant, terrifié à l'idée d'avoir commis l'erreur de trop qui lui coutera la vie. Puis reprend sa fuite éperdue.

Une fois sa justice rendue, Rachele se tourne vers Ryo et lui adresse un sourire ravageur. Visiblement très satisfaite de voir que le "flic le plus dur de la ville" a accepté sa petite invitation, elle s'approche de lui d'un pas séduisant et félin. ELle lui tend le dos de la main comme si de rien n'était, comme s'il n'y avait pas trois hommes en train de bruler quelques mètres dans son dos.

Max - Vous n'imaginez pas a quel point je suis heureuse de vous voir ici Monsieur Nagata ou puis je vous appeler Ryo ? Comme vous pouvez le voir, j'ai été très... peinée par le comportement d'un de mes oncles, Don Bonassera. On ne peut plus faire confiance à la Famille de nos jours...

Les deux gardes du corps de la Sicilienne s'approchent pour l'encadrer, ils restent en retrait un mètre derrière elle, toujours une main posée sur leurs holsters. Mais contrairement à cette posture visiblement défensive et tendue, Dona Florenza semble d'humeur frivole et volage. Elle attend que Ryo l'ai saluée d'une manière ou d'une autre avant de venir passer son bras sous le sien, comme s'il étaient deux amants qui se promènent.

Max - Vraiment... je me demande parfois s'il n'existe aucun homme à qui je puisse faire confiance... a qui je puisse me confier, partager mes expériences et le boulot... Pensez vous qu'un tel homme existe ?
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le mardi 17 août 2021, 20:36:09
Il fallait bien que ça arrive un jour. D'une manière ou d'une autre, l'élite du paysage criminel requérait toujours les services de la pourriture des bas-fonds. Quand le messager sortit du bureau crasseux qu'il occupait au commissariat, le grand flic resta affalé dans son siège de cuir défraichi et s'alluma une tige.

"Y'a quand même des gens qui viennent te voir Nagata? Je croyais que tu faisais peur à tout le monde?"

Ryo ne répondit pas au policier qui venait de passer la tête dans son antre pour lui balancer sa connerie. S'il savait qui était le type en costard qui venait d'en sortir, il se serait enfuit en se chiant dessus. Le sbire de la sicilienne avait le pouvoir de plier en quatre n'importe quel magistrat du palais de justice de Seikusu. Et ce pouvoir, il le tenait de la toute puissance de sa maitresse, en l'occurrence le problème de Ryo actuellement. Le message délivré avait été bref et courtois. Un nom, une invitation, un lieu et une heure. Ce n'était pas un piège car personne ne se risquait à jouer avec le nom qui avait été prononcé.

Fais chier... Ryo n'était pas prêt. A la Toussaint, il était chez lui et traitait les parrains locaux avec respect certes, mais sans crainte. Tous savait que le provoquer pouvait mener à une catastrophe. Là, Ryo sortait de sa zone de confort pour rejoindre les nuages où se perchaient les vrais puissants. Et au dessus de ces puissants, Rachele Florenza dictait les règles. Fatalement, il fallait bien qu'elle entende parler des "compétences" de Ryo et qu'elle s'y intéresse. Pas une seconde, Ryo n'avait songé à refuser l'invitation. On ne refusait pas une invitation de cette femme, et le messager repartait avec l'assurance que Ryo honorerait cette démarche amicale (avait-il précisé).

Le flic n'avait pas besoin de faire des recherches sur Rachele Florenza. Il savait qui elle était et les particularités de ses business. Elle siégeait au Rachele's, ce club qui accueillait des hôtes célèbres et prestigieux, des personnalités reconnues. Lui-même y était allé une fois, accompagnant un mafieux ayant besoin de conseils avisés d'un policier pourri pour y traiter une affaire. Ryo l'avait briefé au bar et y était resté pour l'attendre. Il était ressorti seul de l'établissement après deux heures d'attente. L'autre ne donna jamais plus signe de vie.

Bordel, qu'est-ce qu'elle lui voulait? Elle dirigeait un empire criminel et avait une armée de types compétents à son service. Elle avait besoin de lui pour la Toussaint. Ce territoire était âprement tenu par les yakuzas et recelait d'une ressource particulière : la viande fraîche. Une pute qui disparaissait dans les rues de la Toussaint ne présentait que peu d'intérêt. Par contre, kidnapper une lycéenne pour la transformer en objet de plaisir était une autre histoire et attirait l'attention de services de police bien différents du commissariat où officiait Ryo. Mouais ... ça devait tourner autour du commerce humain, pilier de la fortune de Florenza, à ce qu'il se disait. Le flic prépara néanmoins une liste de propositions qui pourrait lui bénéficier autant qu'à elle et étudia le cas des barons du crime de la Toussaint. Si une guerre éclatait, il lui faudrait être dans le bon camp.



La décharge, à l'heure prévue ...

Les lieux dégageaient une odeur pestilentielle et le caoutchouc brûlé des pneus crachait des volutes épaisses et nauséabondes. La démonstration de force était parfaite et impeccablement maitrisée. En retrait de la scène, Ryo avait observé et apprécié la qualité de l'exécution jusqu'à ce que le petit parasite vienne s'étaler à ses pieds pour ensuite s''enfuir, la tête pleine de cauchemars qui le suivraient toute sa vie.  C'était à son tour. Arrivé plus tôt, il avait été guidé par un gorille qui lui avait intimé d'attendre la Lady là où il se trouvait encore.

Donna Florenza en avait terminé avec les horreurs et affichait à présent une gourmandise curieuse tandis qu'elle glissait vers lui, indécente à crever. Une vraie chienne pensa t'il, le genre de salope qu'il adorait briser dans son pieu. L'élégance de cette beauté flirtait avec les bas instincts masculins de Ryo et il se vit un instant la tringler, attachée à n'importe quoi, tant qu'il pouvait ruiner cette robe obscène. Il afficha à l'objet de ses fantasmes un sourire froid et carnassier. Autant être naturel, elle devait déjà tout savoir de lui et il ne se ridiculiserait pas à se montrer sous un autre angle que le sien. Peut être un peu au début mais pas longtemps ... par courtoisie. Courtoisie mon cul ...

Dans ce décor puant, elle détonait. Belle à damnée un ange, ses cheveux blancs tranchants les ténèbres de la nuit . Maquillée comme il se devait, en l'état, elle aurai été parfaite attachée à un chevalet, sur le stage d'un club BDSM. Putain! Mais qu'il arrête de l'imaginer entravée bordel!

"Ryo ... Appelez moi Ryo" Il aurait aimé ajouté "c'est simple à gémir comme prénom"  mais se retint.

"Je suis ravi que vous ayez penser à moi pour assister à ce spectacle. Je comprends votre tristesse. La Famille représente tout."

 C'était d'une banalité affligeante venant de lui (il ne savait pas ce qu'était une famille) mais bien placée.

"Je vous présente mes sincères respects Lady Florenza".

Hors de question qu'il lui donne du "Donna", il n'était pas sicilien. Mais elle n'avait qu'à demander.

Elle se colla à lui comme une ventouse pornographique et ils firent quelques pas. C'était curieux de bavasser avec un Cobra. Le contact de cette femme était envoutant, vraiment dangereux. Ryo en fut excité.

Pour l'occasion, il avait changé son cuir râpé pour une veste propre mais il n'avait pu se résoudre à porter autre chose qu'un jean et ses grosses bottines. Il avait laisser son gros .44 sous le siège de sa voiture.

Une bise légère souffla.

"Approchons nous du feu, je n'aimerai pas que vous attrapiez froid."


Il guida la criminelle vers le bûcher et s'arrêta tout près, avant d'y tendre les mains. Les corps brûlaient encore, ça sentait le cochon grillé. les chairs fondaient et de petites cloques humides éclataient sous la chaleur. Ryo les regarda en hochant la tête et sourit, de ce sourire de requin. Il avait été poli, il avait utilisé des mots propres et une syntaxe adaptée. Maintenant le pourri reprenait sa place. Il grogna:

"Au moins ils auront servi à quelque chose, il commence à peler!"


Le loup des bas fonds lorgne sur sa voisine et son corps prodigieux.

Max - "Vraiment... je me demande parfois s'il n'existe aucun homme à qui je puisse faire confiance... a qui je puisse me confier, partager mes expériences et le boulot... Pensez vous qu'un tel homme existe ?"

Salope! Arrête de jouer et crache le morceau! Tu veux quoi?

Le grand flic se tourne face à elle pour lui répondre. A la lueur des flammes, il est immense et la domine de sa taille. Il pourrait lui briser la nuque d'un geste. Même si ce serait sûrement son dernier geste.

"Si cet homme existait, vous le tueriez aussitôt. Si en revanche, vous recherchiez un type sans foi ni loi, un type violent qui résout les problèmes avant qu'ils n'apparaissent et qui serait prêt à se montrer loyal tant que les bénéfices de cette ... coopération ... pèseraient lourds, alors ma personne pourrait toute vous satisfaire."

Il cacha de sa grosse patte la main fine de Florenza, toujours posée sur son avant-bras.

"Mais au delà de ces considérations, sachez que votre présence m'est très agréable."

C'était une dérive théâtrale, en vérité, il bandait. Dans le bûcher, un œil éclata avec un "plop" suintant.

"La Toussaint est un quartier de merde où j'ai toutes mes entrées, de quoi avez-vous besoin?"



Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le mardi 17 août 2021, 22:06:26
Ryo - Je comprends votre tristesse. La Famille représente tout.

A cette remarque Max lève un sourcil amusé et lance au grand flic un sourire entendu. Evidemment, il n'a pas de famille, Evidemment, il y a peut de chance qu'il sache vraiment ce que le mot "tristesse" signifie... et chacun d'eux sait que l'autre sait, il s'agit donc d'une simple formule de politesse.

Mais la baronne apprécie l'effort du sombre sire et le gratifie d'une pression légèrement plus forte de son bras contre le sien pour que sa poitrine effluer légèrement son biceps.  Elle s'était attendu à ce que Nagata ne sache pas faire preuve de subtilité, sa diplomatie toute en puissance retenue la surprend agréablement et lui donne par conséquent plus de... "valeur".

Celui qui ne devait être qu'un pion, une brute de plus dans sa manche, prend alors une dimension nouvelle, qui ouvre plus de perspectives et de débouchés pour le Cartel sur le terrain que Ryo occupe. En quelques mots, d'une banalité pourtant assumée pour le commun des mortels, Max à glanée des informations et a déjà ajusté ses opinions et ses plans pour le ripoux: il sera sa "Dame" sur l'échiquier de La Toussaint.

Et une "Dame" se traite avec des égards particuliers...

Ryo - Je vous présente mes sincères respects Lady Florenza.

Max - Je vous en prie, appelez moi Rachele, mes amis m'appellent Rachele et j'ai très envie de vous compter parmi mes amis

Quelques instants plus tôt, avant qu'il ne montre un talent inattendu, la mafieuse comptais lui demander de l'appeler Max, son nom de "Boss" pourrait on dire. Mais les choses avaient déjà changé et un homme de sa trempe méritait sans doute de la nommer par son nom de femme. Cette simple marque de promiscuité l'excite beaucoup et elle espère que c'est son cas aussi car le "jeu" vient de débuter entre eux.

Roy -Approchons nous du feu, je n'aimerai pas que vous attrapiez froid.

Max rit d'un voix enjôleuse, suave, séductrice et se serre un peu plus contre le bras du flic, écrasant toujours plus sa poitrine engoncée dans le vinil.

Max - N'ayez crainte mon si prévenant ami... si j'ai décidée de porter cette robe ce soir ce n'est pas que pour vous en offrir la vue, j'adore sentir la fraicheur de la nuit et la chaleur du feu me lécher la peau. Ca me donne l'impression d'être caressée tour à tour par des mains brulantes et par des glaçons, quelles sensations extraordinaires, n'est ce pas ?

La baronne n'attend pas vraiment de réponses. Ses affirmations sont pour elles et leur but est clairement de faire monter la température, elle n'essai d'ailleurs pas de s'en cacher. De part son mode de vie et son passé, la sensualité est son expression corporelle et la sexualité sa nature profonde.

Max - "Vraiment... je me demande parfois s'il n'existe aucun homme à qui je puisse faire confiance... a qui je puisse me confier, partager mes expériences et le boulot... Pensez vous qu'un tel homme existe ?"

Ryo - Si cet homme existait, vous le tueriez aussitôt.

"Touché" se dit intérieurement Rachele en lui souriant encore une fois pour le féliciter de sa vivacité d'esprit. C'est vrai, si quelqu'un devait en savoir antant sur Max, il finirait rapidement en jouet PEZ...

Ryo - Si en revanche, vous recherchiez un type sans foi ni loi, un type violent qui résout les problèmes avant qu'ils n'apparaissent et qui serait prêt à se montrer loyal tant que les bénéfices de cette ... coopération ... pèseraient lourds, alors ma personne pourrait toute vous satisfaire.

Là, la baronne hoche la tête sans briser une seconde le contacts de leurs yeux de prédateurs, montrant qu'ils en viennent précisément à la raison de sa présence ici. Jusqu'ici, Rachele trouve son nouveau partenaire reposant, il est poli juste ce qu'il faut et connait les rouages du système. Elle n'a rien besoin de lui expliquer, aucun long spitch à lui faire, ils parlent tous les deux la même langue.

Ryo - Mais au delà de ces considérations, sachez que votre présence m'est très agréable. La Toussaint est un quartier de merde où j'ai toutes mes entrées, de quoi avez-vous besoin?

Le colosse est un parfait équilibriste qui s'amuse à danser d'un coté puis de l'autre, tanto direct et brutal, tanto attentionné et diplomate, vraiment, Rachele à de plus en plus de mal à cacher sa surprise et son intérêt pour lui. La question ne se pose plus désormais, elle le veux à ses cotés pour étendre son influence dans le quartier de La Toussaint. Intérieurement, Max se promet de mettre le paquet pour l'avoir, si toute fois, il passe son teste...

Max - Je vous retourne le compliment Ryo très cher, je dois bien avouer que vous n'avez cessé de prendre de la valeur à mes yeux depuis que nous avons commencé cette charmante balade au coin du feu. Mais comme vous avez parfaitement bien compris la raison de votre présence ici: le quartier de La Toussaint, permettez moi de vous dire que c'est avant tout de confiance dont j'ai besoin. Et la confiance, vous ne pouvez pas me l'offrir par de beaux discours, francs et directs...

Rachele siffle entre ses doigts, la porte de sa limousine crème, garé au pied des monticules de déchets, s'ouvre pour laisser sortir deux femmes, visiblement d'origine Siciliennes comme Rachele, les mains menottés dans le dos. L'une d'elle semble âgée d'une cinquantaine d'années, l'autre semble tous juste majeure et ressemble beaucoup à la première. Deux gorilles les obligent à rejoindre le duo devant les corps en feu à la lueur desquels Ryo peut voir qu'elles sont bâillonnées avec un épais scotch noir.

Max - Laissez moi vous présenter Dona Bonassera et sa ravissante fille Lydia Bonassera, n'est elle pas ravissante ?

Rachele passe une main distraite dans la chevelure de la jeune femme, sa mère crie sous son bandeau et essai de s'interposer avant que le gorille derrière elle ne la retienne et la mette à genou devant le corps de son mari, déformé par la chaleur.

Max - Hélas, mille fois hélas, ma chère amie est tombée en disgrâce en ne m'avouant pas que son mari comptait me trahir... après tous ce que nous avons partagé ensemble, j'aimais tellement nos journées "ragots"...

Rachele tend à Ryo un petit pistolet équipé d'un canon très épais et d'un suppresseur de bruit, il reconnait ce type d'arme, du 22 long rifle en sous munition, d'une vélocité très faible certes, inefficace même a courte porté et contre un gilet par balle , mais parfait pour exécuter quelqu'un sans faire le moindre bruit...

Max - Je pourrais garder la mère et la louer dans la catégorie MILF de mon bordel de luxe, elle est encore belle. Mais ce soir, j'ai besoin d'une preuve de loyauté et de confiance... et il nous restera toujours sa fille pour fêter sa après, si mon nouveau cavalier compte vraiment danser avec moi bien sûr.

En entendant ces mots, la mère et sa fille se regardent, les yeux plein d'effroi essayant de se dire quelques derniers mots malgré le scotch sur leurs lèvres.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le mercredi 18 août 2021, 17:17:16
La confiance. Dans ce monde de merde, c'était bien la dernière des choses à accorder ou à demander. Et pourtant c'était peut être le mot le plus répété ou le plus justifié dans le Milieu. La confiance régnait, la confiance se brisait, la confiance permettait à tout un chacun de faire ou dire à peu près tout ce qu'il voulait ... alors qu'en vérité, c'était bien l'un des seuls mots qui n'avait pas sa place, vide de sens, au sein de l'univers du crime. Tout comme Famille d'ailleurs, mais il aurait inutile d'en débattre avec une sicilienne ...

Rachele Florenza ne dérogeait pas à la règle et usait du terme en toute sérénité. Et oui, il fallait bien un moment que "la confiance" s'établisse entre eux. C'était la condition sine qua none pour que Ryo quitte cette décharge vivant et il gratifia la sangsue qui pendait à son bras d'un sourire entendu. Peu habitué à cet exercice, il devait ressembler à un pitbull entrain de grogner.

Sa cavalière avait tout de la salope patentée. Elle maitrisait son corps aussi bien que les modulations de sa voix. D'ailleurs, elle devait faire gicler les mecs rien qu'en parlant ... Sa poitrine s'écrasait contre lui et il eut envie de la défoncer comme jamais. Putain mais qu'elle arrête ça! Bordel c'est pas de la confiance qu'il allait lui donner mais une sodo comme elle n'en avait jamais vécue!

Okay, ce serait donc Rachele, la familiarité s'installait, on avançait. Il en avait de la chance d'être son nouvel l'ami. L'inverse aurait entrainé un joyeux massacre. Le commentaire de la jeune femme au sujet de sa robe  passa sans l'intéresser. Déjà, il ne comprenait pas comment et par où on pouvait enfiler un truc pareil.

Heureusement, elle calma brièvement ses ardeurs en sifflant trivialement, comme un mec. L'apparition des deux femmes attachées signifiait la suite des festivités. Ryo ne fut pas surpris. Ca aurait été trop propre et Florenza n'était pas réputée pour sa subtilité quand il fallait régler un problème.

Max - "Laissez moi vous présenter Dona Bonassera et sa ravissante fille Lydia Bonassera, n'est elle pas ravissante ?"

"Rachele, avec vous à mes côtés, croyez-vous que je puisse trouver quelqu'un d'autre ravissant?"

La suite, il la devinait et chaque étape était gravée dans la destinée des Bonassera. Depuis l'avènement de la sicilienne, ils étaient de toute manière condamnés à mourir. Il passa sur les visages terrifiées, les gémissements étouffées, les yeux en larmes et la brutalité des gorilles. Il contemplait déjà deux cadavres de plus. Et leur mort lui reviendrait. C'était ça, le prix de la confiance. Assez peu cher payé se dit-il.

"Ma Lady, j'utiliserai un .22 le jour où les siciliens mettront de l'ananas dans leur pizza!"

C'était parfaitement clair. Il n'utiliserait pas ce petit jouet d'enfant pour abattre ces cibles. Même à bout portant, l'une d'elle pourrait survivre d'un de ces petits projectiles dans la tête. Il se ridiculiserait si ça foirait.

"J'ai d'habitude un outil bien plus gros, à ma dimension..." Il marqua une pause et sourit, le gros porc qui balance ce qu'il planque entre ses cuisses. C'était crû et tellement gros que bien à sa place dans cette scène d'hypocrisie.

"Mais ce soir, pour vous faire plaisir, je cimenterai notre union avec mes mains."

D'un geste brusque, il attrapa la mère par le cou et la traina sans encombre jusqu'au bûcher. Il l'éleva à l'horizontale, la tenant par le col et la ceinture, et lui enfonça la tête dans les flammes. La femme s'étouffa, muselée et battit des jambes dans l'espoir de .... de rien. Il la lâcha et posa sa grosse godasse sur son dos pour s'y appuyer. 110 kilos sur ce corps trop faible et elle ne put rien faire. Sa chevelure s'embrassa et quand le ruban qui obstruait sa bouche fondit sur ses lèvres, elle poussa un hurlement de souffrance à glacer le sang. De longs spasmes violents la parcoururent et elle se vida dans sa culotte. Elle vomit tandis qu'elle flambait et très vite, elle ne bougea plus. Ryo la retira des flammes et à l'aide d'un bout de drap crasseux qu'il récupéra tout proche, il étouffa la torche qu'elle était devenue. A nouveau il la souleva par le col et présenta le cadavre à Rachele et à la fille. La peau grésillait encore. Donna Bonassera n'avait plus visage humain. Ses paupières et ses lèvres avaient fondu, ses cheveux n'étaient qu'un souvenir et un œil pendait, cuit, hors de son orbite.

"Tu comprends la connerie de ta maman?"

Ryo balança le corps dans le bûcher qui s'anima d'une ardeur nouvelle. Il oublia instantanément sa victime. Elle ne serait pas la dernière de toute façon à crever de ses mains.

"Qu'est-ce qu'on va faire de toi hein? T'empaler sur une ligne d'échappement? Te chier dans la bouche jusqu'à c'que tu t'étouffes? T'as une idée?"

Lydia Bonassera n'était plus qu'une loque effondrée. Elle aussi avait vomit et n'arrivait pas à avaler sa gerbe.

"Ah putain mais t'es dégueulasse!"

Ryo arracha le ruban adhésif et elle termina de rendre ses tripes en pleurant, incapable de hurler tant la souffrance l'étrennait.

"Ouais je sais c'est dur, dis toi juste qu'elle est avec ton gentil papa ... et qu'elle est morte parce qu'ils ont trahi. C'est bien leur faute on est d'accord? Tu pourras plus jamais prononcer ton nom sans oublier cette soirée."

Ryo s'approcha d'elle et tandis qu'un des gardes la verrouillait, il la gifla. Elle hurla enfin.

"Putain t'as été longue ... Hé mec, tu dégueules pas hein?"

Le gus qui la tenait était verdâtre. Du jus de viande de la tête calcinée de Donna Bonassera fumait sur le cuir de sa chaussure.

"Argh, j'méclate même pas avec toi. On arrête."

La fille éteinte et larmoyante n'était plus là. Elle bavait. Devant l'horreur de la scène durant laquelle sa mère avait connu une fin atroce, son être s'était effacé, reclus dans les limbes de son esprit brisé.

"Balance là au feu!" dit-il en plaisantant au garde. "Non, j'déconne!"

A la lumière du brasier, il ressemblait à un psychopathe. Son regard se posa sur sa nouvelle "amie". Lui aussi passait des messages sans les dire et même s'il ne menaçait pas la sicilienne, elle devait savoir qu'il n'était pas toujours un homme raffiné.

"En vérité Rachele, je suis à présent très excité. C'est une nuit pleine de surprise et j'espère que vous m'en réservez d'autres."

Euh ouais, moyen. C'était peut être de trop mais il avait démontré qui il était. On baise Rachele? C'était pareil ou presque mais elle avait elle aussi prouvé son humeur frivole. Après tout, elle ne devait pas se lover contre chaque homme qu'elle rencontrait non? Encore un peu et il lui attribuerait la médaille d'or de la plus grande pute de Seikusu. Bon sang qu'elle était bonne!

Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 23 août 2021, 19:59:23
En regardant "travailler" son nouvel associé, Rachele découvre avec surprise que le portrait qui lui en avait été fait était bien loin de brosser toute la brutalité et la sauvagerie du mastodonte. Il est sans pitié, cynique même, au point d'être capable de faire de l'humour noir alors qu'il exécute sa proie de la plus monstrueuse des manières.

Le spectacle est à ce point odieux que la belle Baronne n'arrive pas à sourire de satisfaction en découvrant la vélocité de l'animal. Elle regarde le vrai Ryo, la Bête tapis sous sa peau, à seulement quelques millimètres sous la surface, prête à se déchainer dès qu'on lui en offre l'opportunité...

Et des opportunité, Max compte bien lui en offrir. Elle s'était demandé jusqu'ici de quelle manière elle parviendrait à instaurer SA loi dans le quartier de la Toussaint. En regardant l'Agent Nagata à l'œuvre, elle sait... ce sera la peur...

Il sera l'instrument de son courroux, le monstre tapis dans la ruelle, sous le lit, dans le placard, le psychopathe masqué qui marchera imperturbablement derrière ses victimes pour les clouer aux murs de leurs forteresse. La Famille de la Toussaint tremblera, ses gangs chieront dans leurs frocs, la terreur sera leur camisole de force et dans ce climat de paranoïa permanente, MAX règnera en maitresse absolue.

Ryo - Balance là au feu ! Non, j'déconne!

La belle brunette pousse un petit cris de détresse en se jetant dans les bras de Rachele qui l'accueil de manière réconfortante. La Baronne, très satisfaite de pouvoir jouer au "gentil flic méchant flic avec Ryo" lui passe les mains dans les cheveux et la serre contre elle de manière amicale, maternelle même.

Rachele - Allons allons ma chérie, tu ne crois quand même pas que je vais laisser le méchant méchant monsieur faire du mal à ma filleule ?

Totalement traumatisée par le spectacle que viens de lui offrir Ryo, la belle italienne, encore trop innocente pour comprendre ce qu'il se passe, ne réalise que sa marraine est en fait la maitre d'œuvre de l'exécution sordide de ses parents. En cet instant, elle ne la voit que comme une figure réconfortante et protectrice. Du point de vue du policier, cela donne l'impression de voir une ravissante petite libellule prendre dans ses bras l'araignée qui l'a piégée dans sa toile pour la dévorer.

Ryo - En vérité Rachele, je suis à présent très excité. C'est une nuit pleine de surprise et j'espère que vous m'en réservez d'autres.

En entendant sa voix, Lydia pousse un nouveau gémissement de peur.
Rachele de son coté, ricane intérieurement. Ainsi le bel étalon pense qu'il aura droit au "saint des saint" des son premier soir. C'est bien mal connaitre la mafieuse. Dona Florenza n'aurait pas tous les Puissants de la ville à ses pieds si elle se donnait ainsi, aussi facilement, sans donner à l'autre l'impression de se battre et de gagner quelque chose d'exceptionnel.

Le temps viendrait où elle gouterait avec plaisir au corps et à la bestialité de Ryo Nagata, mais avant, elle devait à tout prix lui le lui faire désirer plus que tout. Elle ne s'offrira à lui, qu'une fois qu'elle aura peuplé ses rêves enfiévrés au point qu'il n'en dorme plus la nuit...

Avant de lui répondre, Rachele raffermie son emprise psychologique sur sa petite prise tremblotante. Elle lui caresse les cheveux, lui embrasse le front, l'éloigne du brasier parental pour l'approcher subrepticement vers la limousine.

Rachele - Laaa laaa mon ange, il ne te fera pas de mal, ne t'inquiète pas, Marraine Rachele est là pour te protéger... viens avec moi, partons d'ici, je te raccompagne chez toi... tu ne seras plus jamais seule je te le promet...

Max lance à Ryo un regard plus brulant encore que les braises qui crépitent non loin de lui. Elle plisse légèrement les yeux et se mordille la lèvre en laissant très clairement descendre son regard vers le renflement de son pantalon. Puis elle lui offre le plus malicieux et pervers de ses sourires et fait un petit signe de tête pour l'inviter à les suivre. Un gorille leur ouvre la porte, Rachele fait monter Lydia, puis prend place à coté d'elle en prenant soin de laisser la porte ouverte à Ryo pour qu'il puisse les rejoindre.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le samedi 28 août 2021, 21:28:49
Une coulée de lave s'écoule du bas-ventre de Ryo jusqu'à son entrecuisses. Le regard que lui décoche Rachele est d'une lubricité sans nom. Il s'y lit des plaisirs que Nagata a deviné dès qu'il a posé les yeux sur les courbes de la criminelle. Celle-ci est une maitresse de l'hypocrisie et la manière maternelle qu'elle a de traiter sa filleule ferait froid dans le dos de n'importe qui. Alors qu'elle vient de faire exécuter les parents de la petite, elle joue avec elle comme elle le ferait avec un animal de compagnie. Le flic observe en silence le manège de Florenza et sait déjà que la suite réservée à Lydia sera du même acabit que le sort réservé à sa mère. Ryo revient sur son raisonnement et ce dit qu'il serait en fait préférable pour la petite de finir comme sa mère...

Qu'est-ce que la diablesse a en tête? De l'avis de Ryo, la preuve qu'il vient de produire est amplement suffisante mais Rachele a tout l'air d'aimer "jouer". Très bien, on repart pour un tour alors. Les mastards encadrent la berline pendant que Rachele s'y glisse, précédée de Lydia. Son invitation ne se refuse évidemment pas. Fais chier ... ma caisse ... Laisser une mustang dans un coin pourri comme celui-ci ne garantit vraiment pas qu'il la retrouvera. Le flic jette les clés de sa voiture à un gorille tout proche.

"Ma caisse est à l'angle de la rue, une américaine, une ancienne ... Débrouille toi pour me la ramener ... avec le flingue qu'est sous le siège conducteur."


Ryo se penche ensuite dans l'encadrement de la portière. Il a une vue plongeante sur le corps de Rachele, indécemment moulé dans sa robe de salope. De l'autre côté, Lydia est tapie comme une petite bête apeurée et tremble de tous ses membres. Pas besoin de l'effrayer plus encore, ca viendra bien assez tôt. Le grand flic se plie pour se poser sur la banquette aux côtés de la mafieuse. La limousine est large et confortable, il pourrait s'installer en face d'elle mais préfère profiter de la chaleur du corps de la chienne. Le temps qu'il cale sa haute taille et il a prit la mesure sexuelle  de la sangsue sicilienne. Elle représente un appel à la débauche et Ryo est prit d'une furieuse envie de la baiser sur le champ. Le moindre geste de cette femme incite à imaginer les actes les plus sordides. Bordel, il a besoin de lui faire mal, de lui retourner les entrailles à grands coups de boutoir. Hey calme toi connard! Tu parles de Donna Florenza là, pas d'une pute de rue. Un claquement de doigts et tu disparais de la surface de la terre. Tu finis en poussière et même comme ça, elle trouverait le moyen de te faire souffrir.

A regret, Ryo s'installe en face des femmes en jetant à son éventuelle future patronne en regard affamé en biais. Malgré la capacité de la voiture, il occupe une bonne partie de l'espace et touche le plafonnier du haut du crâne. Il se penche un peu en avant et la gamine couine une fois de plus. Il lui adresse un rictus désagréable, laissant à Rachele le soin évident de dicter la suite des évènements. Que lui réserve cette garce? Malgré ses œillades, il n'a aucune confiance en elle et sait qu'il doit mesurer ses ardeurs et s'en méfier comme de la peste. l ne sait pas où elle va les mener. A son repaire du Rachele's? A un autre lieu d’exécution? Quoi qu'il en soit, il dépend entièrement de la volonté de la mafieuse. La seule chose qu'il peut faire est de la surprendre quand il le peut. Mais là, en l'état, il ne peut qu'attendre de voir quelle idée tordue va sortir de cet esprit malade.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 28 août 2021, 21:46:40
L'habitacle de la limousine est aussi spacieux que luxueux, les fauteuils sont épais et rembourrés de manière à pouvoir s'y enfoncer confortablement. Deux rangée de places se font face devant une petite plateforme central, les vides poches des portières ont été remplacé par un baque à glaçons dans lequel trône une bouteille de champagne. Il y a également un porte flutes de champagne et un boitier en cristal dans lequel est disposé quelques sachets de poudre blanche, des pailles, des cachets de différentes formes et couleurs ainsi que de petites seringues  que le flic reconnaitra sans peine, le parfait petit attirail du junky de luxe...

Rachele fait s'assoir la ravissante orpheline au milieux et s'installe juste à côté d'elle, bien que sa posture corresponde presque à "sur elle" tans la mafieuse l'enserre, l'étouffe presque et se colle à elle en la gardant dans les bras. Elle fait un nouveau signe de tête pour que Ryo s'installe en face d'elles.

En le voyant entrer à son tour, Lydia pousse un nouveau gémissement de terreur et se crispe, mais Rachele la retient dans ses bras et lui parle à nouveau d'une voix qui se veux apaisante mais à laquelle le flic reconnait des notes perverses...

Rachele – Détend toi ma chérie... détend toi... n'est pas peur, oubli sa présence, dans quelques instants tu te sentira mieux, tiens prend une coupe de champagne...

La Baronne serre trois coupes pendant que la porte de la limousine se referme et que le paysage de décharge disparait peu à peu derrière les vitres teintés. Elle offre une coupe à Ryo puis à Lydia qui la prend d'une main tremblante.

Rachele – Hooo... regarde toi ma chérie, tu as l'air de tellement souffrir, ça me fend le cœur tu sais. Attend, j'ai quelque chose pour te détendre, grâce à ça tu vas passer une bonne soirée tu vas oublier toutes les horreurs que tu viens de voir...

Rachele ouvre le boitier et prend une petite pilule rose fluoressante qu'étrangement, le flic ne reconnait pas malgré son savoir quasi encyclopédique sur les stups.

Lydia – Qu... qu'es ce que c'est marraine ?

Rachele - Fait moi confiance ma chérie, tu sais que tu peux me faire confiance... tu as plein d'horribles images dans la tête n'es ce pas ?

Lydia - *retient un sanglot* Oui...

Rachele – Avec ça... envolées les images, tu vas à nouveau être heureuse, tu vas te sentir bien... tellement bien...


La belle idiote fait un "oui" de la tête et prend le cacher entre ses doigts pour l'avaler  avec une rasade de champagne. Rachele accompagne son mouvement en poussant la coupe de Lydia vers sa bouche et lui fait vider sa coupe "cul-sec".

Rachele – C'est bien ma chérie... je suis si fière de toi... c'est une nouvelle vie qui va commencer pour toi... libérée de tes peurs, de tes souvenirs, de toutes ces pensées compliquées qui t'empêchent de profiter de la vie...

Lydia papillonne des yeux en regardant Rachele d'un air interrogatif, ses pupilles commencent à se dilater doucement.

Lydia – Nou.. nouvelle vie ? Quelle nouvelle vie ? Je... je veux pas... j'ai... mes copines... ma maison... mes parents...

Rachele rit en portant sa propre coupe à ses lèvres et fait un clin d'œil aguicheur à Ryo.

Rachele – Comme tu es amusante ma chérie... tu vas oublier tout ça.. n'ai pas peur... tu ne vas plus y penser.. en fait... tu ne vas plus penser du tout... tu vas enfin profiter de ton corps...

Dit la mafieuse en déboutonnant délicatement le chemisier de Lydia de bas en haut pour révéler son ventre plat et athlétique de jeune femme tout juste entrée dans l'âge adulte. Puis ses seins, déjà beaux et bien fait, portant la marque plus claire d'un soutien gorge sur un bronzage délicatement halé.

Lydia – Plus.. plus... penser ? Comprend... comprend pas... Maraine... qu'es ce que... tu... fais quoi ?

Les mains de Lydia essaient lamentablement de monter vers celles de Rachele pour chasser ses doigts de son buste, mais ses gestes sont mous, lent, son corps tout entier se détend progressivement à mesure que sa respiration devient plus forte et profonde. Sa peau se couvre d'une fine pellicule de sueur et l'odeur légèrement acide de sa vulve encore vierge se repend dans l'habitacle.

Rachele – Chuuuuu... ma chérie... oublie tout... laisse toi aller... tu vas adorer ça...

Répond langoureusement Rachele en passant une main derrière son dos. Ryo peut entendre un petit cliquetis. C'est une des attaches de sangles de sa robe moulante noire, probablement la première derrière son buste car son opulente poitrine se déverse soudainement du vinil noir pour venir encadrer, presque emprisonner le visage de Lydia entre ses masses généreuses. Ses tétons sont plus sombres et ses oréoles juste asse grosses pour être prise dans la bouche.

Rachele frotte son corps contre celui de la jeune femme tout en lançant des regards provocateurs à Ryo. Lydia ne parvient plus à  résister, ses yeux roulent de droite à gauche et de haut en bas à mesure que son esprit chavire en s'embrume. Elle reste consciente, mais sans parvenir à se défendre ou à se refuser à la baronne qui fait glisser lentement la jupe de sa proie vers ses chevilles.

Lydia – Nan... je... je nan... je...

Rachele – Chuuuuu... chuuuu... ne résiste pas... laisse moi t'aider... ta nouvelle vie commence petite pute... et tu as de la chance... ce soir tu as ton premier client...


Lui chuchote Rachele en lui écartant délicatement les cuisses pour offrir à Ryo le spectacle de ses doigts qui viennent tirer sur la mince ficelle de son stringue pour révéler sa vulve intacte et humide. Elle lance un nouveau regard langoureux au flic et utilise sa main encore libre pour venir caresser le tissu de son pantalon, là où sa verge dessine une bosse. Elle lui chuchote:

Rachele – Vous connaissez le prix d'une vierge de sang royal Monsieur le Policier ? Es ce le genre de paiement que vous aimez pour vos services ?

Puis sa bouche se referme sur le sein gauche de sa nouvelle esclave sexuelle qu'elle commence à masser entre ses lèvres pulpeuses.

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Lydia – Haa...hooooo qu'es ce que... je... hoooo... ma tête... je...

La belle captive commence à rougir et mouiller sur les doigts de Rachele. La baronne lui écarte les lèvres intimes pour révéler la porte de son vagin encore intact et fait un petit signe du doigt au flic pour qu'il les rejoignent...
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le dimanche 29 août 2021, 16:19:27
Du champagne ... Ryo déteste le champagne. Il préfèrerait un bon whisky sec à la place. Néanmoins il accepte la flûte que la maitresse du crime lui tend. On ne refuse pas quand Rachele Florenza vous offre un verre. Donc autant faire semblant et la contenter. D'autant plus que la bouteille doit surement valoir un ou deux salaires du flic. D'un œil expert, il identifie les drogues disponibles. Du lourd, du très lourd même qui pourrait valoir quelques décennies de taule à Rachele si un magistrat avec une très grosse paire de couilles s'attaquait à elle. Le truc qu'elle fait ingérer à la gosse ressemble à une simple gélule sans rien de particulier. Il ne sait pas ce que c'est mais devine la suite. Apparemment ils n'auront pas le temps d'atteindre un nouvel endroit, ça se passera sur les banquettes de la limo.

Pauvre petite chose élevée dans la niaiserie et trop couvée par des parents moisis. Elle est trop conne pour sentir le danger alors que l'odeur de grillade d ses parents imprègne encore ses vêtements. Après tout, elle n'avait aucun avenir. Elle devait vivre jusqu'à présent sa petite existence confortable et protégée. Fallait pas merder papa, ta fille va tapiner maintenant. Elle resterait encore fraiche quelques mois avant d'être usée et remplaçable. Rachele allait en faire un sac à foutre pour hommes influents avant de s'en débarrasser et l'oublier, il en était certain.

C'était pathétique. Les questions de Lydia étaient balayées avec un mépris déguisé et la petite conne ne voyait rien venir. Même quand la pilule fit effet, l'idée ne lui vint pas qu'elle allait morfler. Florenza la désape et l'exhibe. Bordel, ce petit corps ferme ne demande qu'à être détruit. Ryo se voit déjà lui faire mal. Il pourrait la casser en deux facilement. Sa peau doit être délicieuse. Le flic salive devant le spectacle que lui offre la sicilienne même si des deux, c'est elle qu'il préfèrerait culbuter. Tu perds rien pour attendre salope!

Quand Rachele s'expose à lui, il manque lui sauter dessus. L'effort et violent et ses mâchoires se crispent autant que ses mains sur ses genoux. C'te paire de nibards! Et c'te chienne qui l'allume avec ses regards coulants ... Putain arrête de jouer!

La gamine est comme une loque. Sa marraine lui baisse la jupe pour offrir au grand flic la vue d'un joli petit abricot tout propre. Propre et déjà humide ... Toutes des salopes dans cette famille! Le manège dure et Florenza mène tranquillement son petit jeu. Ryo est prêt à exploser et quand Rachele pose sa main sur sa queue, il est déjà dur comme un bambou. Ses gros seins sont à portée de main. il se retient de les gifler.

"J'ai ..."

La connerie qu'il va sortir reste bloquée dans sa gorge ... J'ai envie de te sauter sale pute ... il se reprend.

"Je n'en ai pas la moindre idée Donna. Mais bien plus que ce tout ce que je possède. Vous m'honoreriez de ce cadeau."

C'est ta manière de dire que je viens du caniveau ou quoi? Le reste est furieusement excitant et explicite. Rachele veut qu'il se fasse la petite. ce n'est pas un cadeau ni une récompense, elle veut juste s'offrir un show. Son évaluation continue. A son invitation, le flic déboutonne son futal et fiat glisser sa braguette avec un zip définitif. Il sort son sexe, à son image, massif, lourd, imposant. Dur et raide, il est prêt. A ce stade, il pourrait être trop gros pour n'importe qui. C'est pour ça que les putes de la Toussaint le craigne. Il en a déjà déchiré pas mal, et souvent du mauvais côté.

Ryo n'est pas un tendre et jamais il ne lui est passé par l'esprit qu'il pouvait aussi donner du plaisir à une femme. Il est égoïste et ne pense qu'à lui, le reste il s'en branle. Aussi quand il se redresse, courbé sous le plafonnier, il saisit la gosse par le cou et s'affaisse sur elle de tout son poids. Il attrape sa queue qu'il guide entre les cuisses pâle et d'une poussée brutale, après avoir trouvé ce qu'il cherche, il la perfore sans ménagement. Il ne sent même pas qu'il la déchire. L'hymen de Lydia cède en craquant, pulvérisé par le passage du gland. Trois coups de reins brutaux terminent d'ouvrir la fille et il se loge au fond de son vagin. Lydia gueule. Elle est shootée mais la douleur, sa première douleur, est bien présente. Elle ne se débat pas, c'est tout. Écrasée sous le flic, elle encaisse, désarticulée. Ryo achève de la tasser dans le fond de la banquette, labourant les chairs meurtries et saignantes.

Il la baise violemment, chaque pénétration est sauvage et profonde. l'impression d'étroitesse du début laisse place à un trou béant dans lequel il bourrine. Tout en grognant, il mate Rachele. Depuis le début, il ne l'a pas quitté des yeux. Bordel qu'elle est bonne. Afin de ne pas faire l'erreur de la toucher, il serre ses doigts autour de la gorge de Lydia qui s'étouffe. La gosse glisse, il lui plaque le dos sur la banquette et relève ses jambes sur ses épaules. Il s'acharne en elle, transpire, la brise. Sa grosse queue entre en elle comme dans du beurre, et en ressort moite de sang frais. La Bête jaillit hors de lui et les yeux injectés, il martèle dans ce corps souple, comme un animal. Putain qu'il doit lui faire mal. II grogne d'une voix sourde.

"Le spectacle est bon?"

Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 04 avril 2022, 17:45:49
Ryo - "Je n'en ai pas la moindre idée Donna. Mais bien plus que ce tout ce que je possède. Vous m'honoreriez de ce cadeau."

Rachelle lui sourit d'un air carnacier pendant qu'elle lèche les lèvres de sa filleule en perçant Ryo d'un regard pervers et lubrique. La noirceur de ses pupilles promettant l'accomplissement des fantasmes les plus fou comme des tortures les plus abominables.

Rachelle – Ce n'est pas un cadeau Monsieur le Policier, c'est un acompte... ton contrat... et tu vas le signer avec le sang de son Imène maintenant...

Dona Florenza n'a pas besoin d'en demander plus, la brute se jette déjà sur sa proie et paraphe son pacte avec le Diable. Profitant que Ryo saisit Lydia par le cou, Rachelle se laisse glisser derrière le dos de celle-ci pour que l'apprentie prostituée se retrouve coincée entre le corps puissant du flic et les seins obusiers de la mafieuse. Leurs deux corps presque nu sont maintenant l'un sur l'autre. Totalement désorienté, la jeune femme gémit faiblement  et tente de lever ses bras dépossédés de toute force. Mais Rachelle les lui saisit entre les siens et les bloque contre sa poitrine pour que sa victime soit totalement offerte à son premier client.

Avec une dextérité presque arachnéenne, qualificatif qui va fort bien à la mafieuse, Rachelle se sert de ses propres jambes pour obliger Lydia à écarter les siennes. Ainsi Ryo peut admirer le spectacle de leurs deux vulves, proprement rasées et offertes à son énorme queue, même si le baroudeur des bas fond sait que l'une des deux lui vaudrait une balle dans la tête.

Pas encore... Plus tard... peut-être, s'il arrive à dresser la baronne.

La position est astucieuse et perverse, car en se couchant sur Lydia, Ryo se retrouvera également face à Rachelle, et quand il pénétrera la petite chatte de la débutante, il aura l'impression de baiser la belle italienne en même temps... mais sans le pouvoir...

Lydia gémit à nouveau et rougit de honte, mais Dona Florenza capte son regard en plongeant ses pupilles langoureuses dans les siennes. Lentement, elle lui lèche le coup avant de lui susurrer:

Rachelle – Détend toi petite pute... tu vas adorer ça tu vas voir...

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Comme hypnotisée par le regard et le discours doucereux de Rachelle, Lydia regard le gland énorme de Ryo se présenter à la porte encore intacte de sa féminité avec de grands yeux pleins de peur et d'interrogation. Rachelle la regarde en souriant avec fierté, comme une dresseuse de chevaux admirant le premier galop d'une jument de son écurie. Et sans douceur ni ménagement, le flic enfonce sa poutre épaisse et déchire son innocence en la faisant hurler tans de surprise que de douleur.

Immédiatement, Ryo sent la chaleur et l'odeur cuivrée du sang se mêler à celle, plus acre et féminine de la ciprine alors que la belle droguée commence à mouiller abondamment autour de sa queue. Alors qu'il commence à aller et venir sans ménagement, à ramoner sa petite chatte toute serrée comme si c'était celle d'une pute usée par des kilomètres de bites, Rachelle écoute les premiers cris de souffrance mêlés de plaisir de sa "protégée" en se mordillant la lèvre inférieur.

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Le plaisir du spectacle, l'excitation, la concupiscence, l'envie de subir le même sort se lisent sur son visage. Des souvenirs flous se bousculent dans sa mémoire, sa première fois avait été si semblable. En lieux et place d'une limousine, des murs de béton décrépits et un vieux matelas taché de sperme et de sang en avait été le décor mais pour le reste tout était presque identique.

La cock et les amphétamines qu'on lui avait injecté pour la rendre chaude et malléable, la pute qui lui avait liés les bras et jouait avec ses seins pendant que la grosse queue de son oncle qui lui faisait pousser ses premiers cris de douleur et de plaisir...

Contenu explicite:
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L'excitation de ce souvenir superposé au présent la fait vibrer et trembler de désir mais ce n'est pas à elle de jouir de ce moment. Pour que le flic lui mange dans la main, elle doit peupler son esprit de mec du fantasme de la baiser, pour ne leur accorder cette délivrance qu'une fois qu'il se sera damné pour elle...

Ryo - "Le spectacle est bon?"

Rachelle essai de garder sa contenance mais sa voix vibre et tremble d'excitation.

Rachelle – Je suis satisfaite... pour le moment, j'adore regarder baiser mes galgos... continuez comme ça et...

Elle passe un bras le long de son corps et vient caresser les bourses de Ryo  avant de remonte vers la base de sa queue qu'elle accompagne à chaque fois qu'il s'enfonce en Lydia...

Rachelle – vous aurez peut-être la chance de m'avoir à vos pieds une de ces nuits...
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le lundi 04 avril 2022, 21:07:17
Il existe plusieurs expressions pour décrire la situation dans laquelle se trouve Ryo: entrer dans la tanière du dragon, sauter dans un nid de serpent, prendre rendez-vous avec le diable ... Dans cette limousine, à moitié à poil, il risquait sa vie autant qu'il prenait un malsain plaisir à détruire la gosse. L'invitation était un piège mortel. Le jeu continuait et la maitresse des morts l'évaluait toujours, à sa manière. Qu'ils avaient dû être nombreux les crétins qui avaient cru que l'italienne serait leur consommable le temps d'une partie de jambes en l'air. Ces débiles devaient peupler des fosses profondes à nourrir les vers et pourrir lentement.

Rachele était une tarée de première, le genre de nénettes qu'il fallait éviter de regarder avec insistance malgré sa plastique de rêve. C'est elle qui choisissait qui elle allait baiser, et pas l'inverse. On pouvait toujours s'imaginer lui faire subir les pires saloperies mais surtout, il était primordial que ça ne suinte pas de votre esprit sous peine de vivre ... et donc mourir de mille morts atroces. Cependant, de troncher une femme pareille devait relever du divin. Elle avait une bouche à tailler des pipes interminables et un cul à damner n'importe quel ange. La salope usait de son charme comme d'une arme. Elle maitrisait la moindre expression, la plus simple mimique et la gestuelle la plus sophistiqué. Son message disait "baise-moi" mais quelque chose rappelait "n'essaye même pas..."

Rachele Florenza était donc une superbe salope aussi dangereuse qu'un cobra en colère.

Et là, dans cette putain de bagnole, la mafieuse qui faisait trembler bien au-delà de Seikusu, écartait les cuisses pour exhiber sa chatte parfaite au flic en rut qui tringlait la gamine. L'italienne s'était glissée sous sa nièce et l'offrait comme on offre un cadeau à un enfant. La sangsue se délectait de la fausse détresse de la petite qui, complètement shootée, ne savait plus si elle devait gueuler de plaisir ou chialer toutes les larmes de son corps. Elle morflait méchamment. Sa chatte saignait, pulvérisée par le gros braquemard de Ryo qui la charcutait sans merci. Lydia venait de perdre sa virginité de la plus horrible des façons ... ou presque ... A part se faire sauter par un âne ou un cheval, elle vivait ce qu'il se faisait de plus brutal en terme de descente aux enfers.

Ryo ahanait, s'acharnait, réduisant la gosse à l'état de loque. Il s'en branlait. Lui, ce qu'il kiffait, c'était le regard de Dona Florenza rivé dans le sien, l'haleine chaude de la macaroni contre son visage bestial, son odeur omniprésente, mélange de vice et de mort. Putain qu'il lui baiserait la gueule s'il le pouvait. Il se jura de la troncher elle aussi dès qu'il pourrait et quand elle saisit ses couilles pour le branler alors qu'il limait toujours, il sut que ce jour viendrait. Et ce jour-là, Rachele Florenza deviendrait sa pute. La maitresse des mafias s'agenouillerait pour lui avaler le chibre jusqu'à ce qu'elle dégueule de l'avoir trop bouffer.

Mais pour l'instant, elle promettait la mort s'il la touchait. Elle était si proche pourtant, si accessible. Ses rondeurs pulpeuses et ses courbes de mannequins volaient tous les souvenirs de gonzesses de Ryo. Comment une nénette pareille avait-elle pu finir comme ça? Oh bien sûr il avait lu son dossier et connaissait à peu près son parcours malgré de nombreuses zones d'ombres. Certains détails pouvaient et seraient utiles mais pour les exploiter, il fallait sortir vivant de se traquenard. Aussi, abandonnant une énième fois l'idée de violer Rachele séance tenante, il grogna et rendit à la femme son sourire de requin. Elle était très claire quand elle s'exprima et plutôt que de se perdre dans une fausse civilité, Ryo répondit sans prendre de détour.

"Si cette chance arrivait Rachele, vous regretteriez peut être de vous être laissée aller à vos envies. Je suis agressif quand quelqu'un me plait."

Pour ponctuer sa phrase, il se ficha violemment au plus profond de Lydia, lui arrachant un hurlement. Il reprit, vicelard malin.

"Non ... en fait vous ne regretteriez rien, vous adoreriez..."

Il rua encore une fois dans le corps désarticulé de la petite.

"... vous faire prendre comme si c'était votre dernière fois."

Il se libéra à ce moment-là. En fait, il n'en pouvait plus et il se déversa en Lydia en flots massifs, inondant sa petite cavité, laissant son sperme déborder sur les doigts de Rachele. Le grand flic s'extirpa de ce fourreau gluant et s'affala face à l'italienne, lui offrant la vision de son énorme sexe couvert des fluides de la gamine dépucelée et de son propre foutre. Il soufflait comme un bœuf et une rigole de sueur perlait le long de sa tempe. Les yeux en feu, il matait celle avec qui il venait de sceller un contrat à sens unique ... pour l'instant.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le jeudi 07 avril 2022, 00:25:51
Subjuguée par trop de sensations pour  les gérer, les comprendre, les supporter, le pauvre petit esprit de Lydia, dérivant sur un océan huileux de narcotique, se fracture et se dissous durant l'effort. Les quelques bribes de mots ou de phrases qu'elle tentait de formuler avant que sa psyché ne devienne un maelstrom se transforment en gémissements inintelligibles et cris de démence.

Ses pupilles, dilatés à l'extrême roulent dans ses orbites pour lui faire fixer intensément le plafond de la limousine pendant que Ryo continue de la désarticuler comme un pantin aux ficelles coupées. Et pendant tout ce temps, Rachele fait tout avec les yeux, regardant le flic comme si s'était elle qu'il besognait, alternant regard brulant, soumis au plaisir que lui inflige un mâle dominateur et  regard rieur de la femme qui maitrise le jeu de bout en bout.

Ryo - "Si cette chance arrivait Rachele, vous regretteriez peut être de vous être laissée aller à vos envies. Je suis agressif quand quelqu'un me plait."

A cette idée, le regard de Rachele s'embrase plus encore, comme si elle cachait au fond d'elle-même le secret désir que cela arrive mais sans pouvoir en concrétiser le fantasme par nécessité de bien faire. Toujours le même adage, les lettres d'or de la mafia: "rien de personnel, c'est le bisness". Aussi la baronne reste t'elle maitresse d'elle-même bien que sa voix tremble légèrement et que son odeur se face soudain plus forte dans l'habitacle, preuve indéniable qu'elle s'est elle-même mise à mouiller abondamment.

Rachele – Ho ? Il y a des moments où vous ne l'êtes pas ? Agressif ?

Ricane la perfection italienne, à la peau halée et diaphane.

Ryo - "Non ... en fait vous ne regretteriez rien, vous adoreriez..."

Les yeux de Rachele forment soudain deux fentes vicieuses au dessus d'une bouche légèrement entrouverte, comme celle d'une amante sur le point d'embrasser fougueusement son partenaire, ou comme un serpent sur le point de mordre...

Rachele – Je n'en doute pas...

Murmure t'elle alors qu'elle semble maintenant plus menaçante encore que quand elle fit bruler vif ce pauvre Bonnassera. Mais le piège s'est déjà refermé, et le loup ne peut plus empêcher la vipère de frapper.

Ryo - "... vous faire prendre comme si c'était votre dernière fois."

Rachele – Ho ? Vraiment ? Quelle coïncidence...


A l'instant même où Ryo commence à jouir en Lydia, Rachele, avec une vivacité terrifiante, saisit un sac plastique transparent dissimulé entre les banquettes et le passe sur la tête de sa filleule. La jeune femme plonge ses grands yeux terrifiés et plein d'incompréhension dans ceux de Ryo alors que sa tentative de respirer ne fait que plaquer le sac contre ses lèvres et son nez, épousant à la perfection les traits de son visage.

Image explicite:
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Les secondes suivantes semblent s'étendre à l'infini. A chaque convulsion du corps de Ryo, que ses couilles crachent une rasade de sperme brulant dans le corps de la jeune femme, la poitrine de Lydia se soulève et se bloque, faute de trouver l'air nécessaire à sa survie, lui faisant ouvrir toujours plus grand ses lèvres pulpeuses.

Rachele – Chuuuu... chuuuu... laisse toi aller esclave... c'est presque fini...

Son corps pantelant, totalement détendu par la drogue, ne résiste même pas. Ses bras en croix reposent, inertes, sur la banquette de la limousine pendant que ses lèvres bleuissent. Encore quelques coups de reins, quelques longues et délicieuses éjaculations, quelques contractions du corps tremblant et faiblissant de la victime. Soudain, elle se cambre doucement en arrière et un filet de ciprine commence à gicler sur le torse du flic.

Rachele – Voila... voilaaaa... c'est très bien... et maintenant on dit au revoir... au revoir Lydia... au revoir...

La baronne maintiens le sac plastique sur le visage de sa protégée pendant que celle-ci s'affaisse, le corps agité de derniers soubresaut de vie. Ses yeux roulent dans ses orbites et la giclée de ciprine de son ultime orgasme se transforme en petit filet d'urine qui s'écoule lentement hors de son corps inerte.

Rachele laisse glisser le cadavre de la jeune femme à leurs pieds et se réinstalle confortablement sur la banquette, face à Ryo, sans prendre la peine de réajuster sa robe, préférant garder sa poitrine et ses cuisses nues, lui offrant toujours le spectacle excitant de sa vulve parfaite et délicatement ourlée de quelques goutes d'une mouille odorante. Elle prend une nouvelle coupe de champagne et la porte à ses lèvres, léchant d'abord les goutes sur le rebord, le regard toujours sombre et brulant braqué sur Ryo.

Rachele – Que disiez vous à propos de baiser jusqu'à la mort ? J'étais distraite...
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le jeudi 07 avril 2022, 17:57:57
Il est des vies qu'il est préférable de ne pas vivre. Le sort qui attendait Lydia si Max avait fait preuve de clémence aurait été bien pire que celui qu'elle venait de subir. l'agonie de la gosse avait été courte et elle n'avait surement pas compris ce qui lui arrivait. Certains jeux pratiqués par les adeptes du BDSM consistaient à asphyxier l'un des partenaires pour décupler la force de l'orgasme à venir. Ryo se foutait de ces conneries mais la théorie était viable aux vues de la jouissance qui avait dévasté la fille avant qu'elle crève. Dans l'étroit couloir de sa mort, elle avait tellement compressé la queue de Ryo qu'elle lui avait arraché quelques giclées de plus. Ses spasmes avaient été délicieux à savourer et Ryo  avait frémit de plaisir au point d'en avoir le visage déformé par l'avidité.

Max avait surpris le flic. Il pensait sincèrement que La gamine finirait vivante à tapiner pour le compte de sa tante. Sa mise à mort avait été ... excitante. Putain ouais! Le coup du sac plastique était une sale idée  perverse et dégueulasse et il avait adoré voir le visage bleuir alors que l'oxygène manquait. Cette pute de Rachele était la dernière des salopes. Elle mouillait dans son délire de domination malsain et dégoulinait du résultat de son méfait. Cette femme n'avait rien à perdre, son âme ayant depuis longtemps basculé au service du Mal. Un violent spasme secoua le corps de Lydia tassé au pied des banquettes, comme s'il allait se relever.

"Que disiez-vous à propos de baiser jusqu'à la mort? J'étais distraite..."

Ryo lui accorda le bénéfice de la victoire des mots et ne fit que sourire. Il restait un tout petit rien frustré car il pensait qu'il pourrait un peu se faire sucer le poireau par la gamine. Maintenant, elle était encore chaude. Le grand flic l'attrapa par les cheveux et enfourna son sexe dans la bouche de  ce qui avait été une fille vraiment mignonne. Il s'affaira à la faire bouger autour de lui en guidant sa tête avaec précision. Comme il n'y avait plus de résistance, il lui défonça la gorge jusqu'à s'y vider. Il n'avait pas cesser de mater Rachele. Clairement, il ne fallait aucune subtilité pour comprendre que c'est a elle qu'il voulait faire subir ce traitement. Ouais, qu'elle baisse sa garde ne serais-ce qu'un instant et il en ferait une bouche à foutre de première catégorie ... bien qu'elle le soit surement déjà ... Mais pour l'instant, avant d'être un réceptacle à semence, elle restait Dona Florenza et était la patronne. Ryo termina son show et s'essuya la queue avec les cheveux de Lydia avant de l'abandonner. Les yeux morts de la gosse le fixait comme ahuris qu'il est osé faire ça. Ryo se refagotta,  cachant aux yeux de la mafieuse la vision de son mandrin. Il avait déjà buté des putes pendant qu'il les baisait mais jamais il ne s'était amusé à jouer avec ... un corps.

Les jeux étaient faits et chacun avait prouvé à l'autre ce dont il était capable. Mais mieux encore, l'attirance qu'ils éprouvaient n'étaient pas un secret qu'ils cherchaient à cacher. Pour Ryo, il faudrait juste être patient et éviter de faire un faux-pas. Plus facile à dire qu'à faire mais il plaisait à Rachele, il le voyait bien.

Ca sentait le foutre et la pisse dans la bagnole mais pas question de la quitter sans l'assentiment de la folle. Ryo sert donc du champagne dans deux flutes, bordel ce qu'il ne donnerait pas pour un whisky qui cogne plutôt. il attend qu'elle commence à boire pour suivre. Si elle s'habille pas dans trente secondes, qu'importe les conséquences, il la viole!! C'est ce qu'il se dit et fournit un effort intense pour se maitriser. Son corps puissant est tendu à se rompre. Il faudra que Rachele apprenne aussi qu'i ne faut pas tirer la corde trop fort. Si elle pète, ce sera un carnage.

Le liquide pétillant rafraichit la gorge du flic qui garde pourtant un timbre rauque.

"Je pense pouvoir m'avancer en disant que notre collaboration sera fructueuse. J'ai déjà ma petite idée sur ce qui pourrait vous intéresser mais quit à ce que vous me fassiez part de vos ... souhaits ... pourrait-on le faire dans un endroit plus approprié?"


Le club de Rachele était ciblé bien évidemment. La curiosité malsaine de Ryo le poussait à vouloir explorer ce lieu de débauche dont beaucoup parlaient en termes édifiants. Que ce soit maintenant ou plus tard, de toute manière, elle ordonnait et il exécuterait.

Il désigna la gamine.

"J'aimerais bien conserver son visage si vous le voulez bien. C'était une première pour moi."
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 16 avril 2022, 22:26:53
Impressionnée par la capacité du flic à surmonter sa surprise et même à surenchérir dans la monstruosité, Rachele lève un sourcil en le regardant se finir une seconde fois avec la bouche de leur victime. Rarement dans sa courte vie de baronne du crime, elle n'a rencontré quelqu'un qui pousse le vice et la noirceur de son âme dans de tels retranchement. Ce constat fait naitre en elle deux sentiment profondément liés dans son esprit par son passé, un sentiment de familiarité et aussi, de crainte. Car cet homme lui ressemble en tout point, il est brutal, pervers, impitoyable et intelligeant. La différence majeur qui les séparent est qu'il porte tout cela sur lui quand Rachele les dissimule derrière le masque de la beauté.

Ce cocktail de peur et de désir lui brule l'entrejambe tans cet homme représente tous ce qu'elle aime et tous ce qu'elle redoute. C'est un Jucio, mais jeune et beau, quand son oncle lui, déclinait déjà quand il avait fait d'elle une esclave. Et bien qu'elle se refuse à l'admettre, aucun homme ne l'avait plus fait jouir que ce monstre libidineux qui avait détruit son esprit, quelques années plus tôt.

Rachele dissimule son trouble et son désir derrière un sourire en acceptant la coupe de champagne que Ryo lui tend, elle la vide d'un trait en voyant que leur courses est presque terminée, dehors, la porte en acier d'un souterrain s'ouvre sur leur passage.

Ryo - "Je pense pouvoir m'avancer en disant que notre collaboration sera fructueuse. J'ai déjà ma petite idée sur ce qui pourrait vous intéresser mais quit à ce que vous me fassiez part de vos ... souhaits ... pourrait-on le faire dans un endroit plus approprié?"

Rachele – Comme c'est étrange... encore une fois vous semblez lire dans mes pensées... à moins que ce ne soit moi qui lise dans les votres... mais je commence à penser que nous lisons peut-être l'un en l'autre comme dans un livre ouvert...

La baronne fait signe à Ryo de regarder par la fenêtre, il a juste le temps d'apercevoir l'enseigne lumineuse du Rachele'S Club avant que la limousine ne s'engouffre totalement dans le passage souterrain. Visiblement, le flic n'a pas simplement droit à une petite visite de la partie émergée de l'Iceberg mais bien de son véritable cœur, celui que les pires dépravés de la ville ne chuchotent qu'à demi-mots: "l'Asylum"...

Ryo - "J'aimerais bien conserver son visage si vous le voulez bien. C'était une première pour moi."

Rachele sourit et pousse le cadavre de Lydia du bout du pied. Il s'affale entre leurs jambes, comme un simple sac de détritus que l'on jette après usage.

Rachele – Rassurez vous, je compte en garder bien plus que son visage...

Sur ces paroles énigmatiques, Rachele se terre dans un mutisme total en caressant le visage figé de la défunte du bout des orteils jusqu'à ce que la limousine atteigne enfin un large parking souterrain au plus profond de la structure. Le véhicule s'immobilise devant un grand sas à double battants portant les lettres "SOUS-SOL 5 - AZYLUM" peintes en gris délavé. Deux femmes vêtues d'une curieuse tenue d'infirmière en vinyle blanc qui auraient plus leur place dans un film porno BDSM que dans un hôpital sortent par le sas et s'approchent de la voiture pour ouvrir les portières à leurs occupants.

Rachele – Esclaves, mettez ça au frigo.

Dit la baronne en poussant le cadavre de Lydia d'un coup de talon. Sans un mot, les deux "infirmières" saisissent le corps par les bras et les jambes et l'emmènent vers le sas. En les regardant de plus près, Ryo peut remarquer que leurs pupilles sont totalement dilatés et leurs paupières semblent lourdes et tombantes. Rachele se retourne alors vers lui et lui lance à nouveau son regard prédateur.

Rachele – N'y voyez aucune malice mon ami... c'est juste une assurance, pour le bien du business, pour le cas où vous voudriez revenir sur notre amitié, ce qui m'attristerais vraiment beaucoup...

C'était un "coup classique" de la mafia, faire commettre un crime à un allié et conserver la preuve au frais pour le cas où, mais il avait été perpétré avec maestria. Max disposait désormais du corps violé et assassiné d'une jeune femme, plein de l'ADN du flic et dont les parents avaient été brulés vif.

Rachele – Mais rassurez vous, je ne vous ai pas fait venir ici pour vous prendre au piège mais bien pour vous faire découvrir mon "petit" univers, les petits cadeaux que j'ai préparé pour vous et bien sûr, discuter de ce que je voudrais que vous faciez pour moi...

Comme pour valider ses paroles, un nouveau véhicule arrive par la pente souterraine, une ambulance curieusement, bien que ce genre de véhicule soit un excellent moyen  de déplacer un corps ou des objets sans éveiller les soupçons. Elle s'immobilise a coté de la limousine et les battants arrières s'ouvrent.

Elyse – Pitié laissez moi ! Je ne suis pas folle ! C'est une erreur !

En entendant cette voix, Ryo comprend sans nul doute à quel point Rachele à bien étudié son dossier avant de l'inviter à sa folle nuit de rencontre. Elle a utilisée chaque points notables de son passif, chaque connaissance, chaque contacte pour préparer ses réjouissances et ses "cadeaux" afin que le flic ressente un profond désir de lui plaire et de lui être fidèle.

Car cette voix, délicate et chantante bien qu'érayée par la peur n'est autre que celle d'Elyse Catsy, LA Némésis des fric pourris de cette ville. D'abord jeune policière idéaliste qui bossait dans l'unité de Ryo, elle avait tenté de balancer les méthodes de ses collègues. Mais l'affaire ayant été étouffée elle avait rejoint l'Inspection Générale des Services, la Police des Polices, dans l'espoir de le faire tomber lui et les autres ripoux. Depuis ce jour, elle les surveillait de près et bien des fois, une affaire ou une prise n'avait pas pu ce faire de crainte qu'elle ne se tienne en embuscade pour les faire tomber.

Infirmière – Allons Allons patiente numéro 720, calmez vous, nous allons vous soigner n'ayez crainte.

Elyse – Me soigner ?! Mais je ne sgooogl... goooo ... gooo !

Les paroles de la flic s'étouffe dans sa gorge, probablement à cause d'un bâillon qu'on lui a passé. Une nouvelle équipe de deux infirmières, vêtues de manière plus "classique" cette fois-ci, probablement pour capturer leurs victimes sans éveiller les soupçons, sortent de l'ambulance en tirant avec elle un brancard sur lequel est sanglée la belle brunette qui a causé tans de tors aux ripoux de la ville.

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En voyant Ryo et Rachele devant "son" ambulance, la belle flic comprend le piège dans lequel elle est tombé, la raison de son internement pour "burn-out professionnel et risque de suicide" comme il est stipulé sur le faux dossier que tiennent les infirmières. Et elle se débat de plus belle en hurlant dans son bâillon, le regard brulant de rage et de haine envers la mafieuse toute puissante et son ancien collègue pourri jusqu'à la moelle.

Tout a été fomenté par Max pour offrir à son nouveau pion une raison supplémentaire de jouer dans son équipe. Encore une fois, les règles immuables de la mafia: "travail pour moi et on te protègera, tue pour moi et on  te vengera, tes ennemis deviennent mes ennemis"...

Les sangles qui retiennent Elyse à son brancard tiennent bon et les infirmières ignorent les récriminations de leur patiente en passant devant leur "Directrice" et son invité.

Rachele – Beau travail les filles, installez la aux admissions, dites à Curie et Sonia de venir l'ausculter dès que possible pour savoir ce qu'elles peuvent faire.

Elle se retourne vers Ryo. Les deux infirmières poussent la civière au travers du sas pendant que la flic incorruptible continue de se débattre et de grogner sous son bâillon.

Rachele – Vous voyez, pas de piège entre nous, juste des assurances. Trahissez-moi et j'utilise Lydia, satisfaisez moi et j'utilise mademoiselle Catsy... pardon, la patiente 720...
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le dimanche 01 mai 2022, 17:58:17
Entrer au Rachele'S Club, c'est pénétrer le premier des cercles infernaux. La réputation de l'établissement court sur toutes les lèvres à Seikusu, mais de manière discrète. Ce sont des rumeurs chuchotées, des ont-dit mystérieux. Le folklore local attribue à cet endroit l'origine de nouvelles légendes urbaines mais personne n'est capable d'en dresser une réalité édifiante. Pour ceux qui ont de l'argent à dépenser, le club est un havre de luxe ou tout un chacun, dans le respect total de la légalité, peut venir s'y ressourcer. Les services proposés sont les mêmes que dans des centaines d'autres club de ce monde mais au Rachele'S, tout y plus ... sophistiqué. Pour ceux qui ont de l'argent à dépenser, beaucoup plus bien sûr que les premiers, et sans être trop regardant envers les lois, un panel de distractions sera mis à disposition pour la plus grande débauche du client. L'accès à ces services n'est pas à la portée de tout le monde mais une fois entré dans ce cercle de privilégié, la garantie d'une offre extraordinaire et d'un voyage dans l'irréel est à prévoir. Et enfin, pour les sales bâtards de pervers friqués qui peuplent les hautes sphères du pouvoir mondial, ceux qui n'ont peur de rien et qui pensent pouvoir se hisser aux niveaux des dieux, il y a la fosse, l'immonde cœur de l'établissement, ce qui se cache en dessous des apparences luxueuses et feutrées, il y a l'Azylum. Ce nom est connu dans les bas-fonds. On ne le murmure pas, on le cite à mots cachés, prudemment. Si quelqu'un le décrit précisément en donnant des détails précis de ce que c'est ... et bien c'est un menteur qui plus est, suicidaire. L'Azylum est la somme de toutes vos peurs, l'abîme atroce duquel on ne ressort pas. Et pourtant, il attire, ce trou sans fond. On s'y intéresse comme si les trésors qu'il recèle sont aussi faramineux qu'on l'imaginerait. Mais chaque trésor à son gardien et s'y heurter signifie l'horreur avec un grand H.

Et c'est là, là où personne ne souhaiterait être, que Ryo entre, accompagné par la maitresse de ces gardiens qui font frémir l'imaginaire de chacun. La limousine disparait dans les entrailles du Rachele'S et les lourdes portes d'entrée se referment sans un bruit. La descente rappelle à Ryo la scène d'un mauvais film où rien de bon n'attend en bas. Mais contrairement au film, le héros du jour n'a rien à craindre de ce qui l'attend. Ils descendent de la voiture et Ryo arrache sa tenue et passe ses doigts dans ses cheveux. un vague odeur de viande trop cuite flotte encore un peu sur ses vêtements et il se masse les poignets en regardant les infirmières s'occuper de feu Lydia. Drôles de nénettes ces deux là ... Dans le genre scène timbrée, c'est pas mal. Il se racle la gorge et acquiesce sans changer d'expression quand au chantage de Rachele.

"J'aurais fait la même chose Milady, je vous rassure."

De toute manière, quoiqu'il arrive, il était cuit depuis qu'elle s'était intéressée à lui. Elle n'avait pas vraiment besoin de preuves pour l'inculper de quoi que ce soit. A la limite, elle monterait une petite manœuvre pour s'amuser, et lui, qui serait mort de toute façon, n'en verrait pas le dénouement.
On approchait du but. Le petit univers de Rachele, des petits cadeaux ... Mon cul ma vieille, montre moi encore tes nibards et vient agiter ton cul sous mon nez! Ca remplaçait n'importe quel cadeau ça! Et ... OH PUTAIN!

Elyse Catsy! Bordel!

Une crampe étreint les entrailles du flic qui fait l'effort de ne pas réagir. Néanmoins ses pupilles se dilatent à l'extrême, la tension qui anime son corps monte de trois crans et la Bête tapie en lui semble prête à s'extérioriser. La jolie minette est prise en compte de manière très professionnelle. Ses protestations ne font même pas sourire Ryo. Il peut souhaiter tout le mal du monde à ses ennemis, mais ce qui attend la petite ici n'est enviable pour personne. Que pense Rachele? Qu'il est un monstre sans foi ni loi? C'est pas faux mais là, c'est avec une flic qu'elle s'amuse ... et qu'il aura peut être l'occasion de tourmenter aussi. Il est de notoriété presque publique qu'Elyse et lui sont en très mauvais termes (pour ne pas dire autre chose). C'est lui qui l'a coachée quand elle a commencé sa carrière. Elle était idéaliste, volontaire, pétrie de valeurs, obstinée, bref, tout ce qui pouvait l'emmerder lui et ses petites affaires. Elle avait tenu un an avant de péter un plomb et foutre le bordel dans son business. Il ne s'en était sorti que grâce à l'intervention d'un magistrat obligeant à son égard. Mais depuis Elyse lui menait la vie dure et lui collait aux basques. Apparemment, c'était fini.

Le scandale se termina dans un grognement étouffé et la petite équipe disparue assez vite avec le brancard. Les deux flics eurent un bref échange de regard. Elyse avait peur et derrière son masque de haine, elle n'en menait pas large. Ryo ne montra aucune satisfaction qui aurait pu faire croire qu'il était heureux de la voir comme ça. Elle avait été dans son équipe et ils avaient partagé des moments sympas aussi.

Encore une fois, il hocha la tête pour signifier qu'il avait bien compris. Il roula ses épaules sous sa lourde veste et se tourna vers Rachele. Jusqu'à présent, elle menait la danse. Lui, observait et enregistrait tout ce qu'il voyait. Aucun détail ne lui échappait. Il était plus grand que Rachele, beaucoup plus grand.

"Je ne veux pas qu'elle meure. Ni qu'elle devienne tarée. Si quelque chose doit lui arriver, ça viendra de moi."

Putain que c'était con d'être flic dans ces moments-là. Rachele avait le pouvoir, Ryo la puissance. Il laissa planer sur la signora un regard indéfinissable qu'elle pourrait interpréter comme elle le voudrait. Il n'était pas un gentil toutou et pouvait lui aussi faire de gros dégâts. Il fallait qu'elle cesse son petit jeu avant qu'il s'énerve. Les veines de son cou pulsaient sous l'afflux de ce retour sanguin et ses pupilles s'empourprèrent de quelque chose d'aussi dangereux que cet endroit, contrastant avec le sourire qu'il décida finalement d'afficher.

"Pas de pièges non, ce n'est pas nécessaires, vous avez déjà toute mon attention ... pour vous seule."

Il lui donna le bras, attendant de voir où elle allait l'emmener.

Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le mercredi 01 juin 2022, 21:09:50
Rachele passe délicatement ses doigts sur l'avant bras puissant de Ryo et le caresse jusqu'à ce que sa main  atteigne le renflement de son muscle. Elle le presse légèrement et le guide à la suite de la civière sur laquelle est sanglée la belle incorruptible, véritable ange de justice, rayonnant de sa droiture et de son idéalisme, prise dans les toiles d'une araignée venimeuse.

Elyse se débat dans sa camisole de force, contracte ses jambes galbées et athlétiques dans l'espoir de libérer ses chevilles de leurs épaisses sangles de cuir. Elle grogne des insultes sous son bâillon en lançant en tout sens des regards tantôt courroucés, tantôt terrifié, parfois elle croise celui de Ryo.

Des moments ressurgissent dans leurs mémoires, les bons, comme quand elle sortait à peine de l'académie de police et vouait une admiration à ce loup solitaire, si sombre et viril qu'était Ryo. Ces moments où il lui apprenait le métier, comment survivre, comme apprécier, comment vivre comme un flic. Leurs fou rire devant les petites racailles qui les défiaient, leur peine quand un ami se faisait buter...

Puis les mauvais moments, quand elle avait refusé la corruption, l'argent facile, le pouvoir, pour rester "pure". Et pure, elle l'était toujours, un parangon, tout ce que Ryo ne serait plus jamais. Elle l'avait traqué, d'affaire en affaire, tous les autres pourris étaient tombés, mais à chaque fois, pour Ryo, son ancien mentor, elle n'avait jamais eu le cœur de bosser aussi bien... et les avocats du flics avaient toujours flanqué ses procédures par terre... acquitté... acquitté... acquitté... jusqu'à maintenant.

Les infirmière ignorent ses gesticulations inutiles et poussent sa civière jusqu'à la double porte flanquée des lettres ASYLUM. Elles s'ouvrent sur leur passage et un torrent de sons et d'odeurs assaillent toute la petite bande. Des hurlements, parfois de douleur, parfois de plaisir, mais le plus souvent de démence pure s'échappent des diverses portes vitrés et numérotés qui flanquent un long couloir central inondé d'une lumière d'hôpital, blanche et crue. Une étrange odeur de désinfectant se mêle à celle, prégnante et âcre du sexe féminin, de la sueur, du sang, de la chaire brulée et des narcotiques.

Rachele – Qu'elle meure ? Quelle grossièreté voyons... je ne me serais pas donnée tans de mal si j'avais voulu qu'elle meure. Non, comme je vous l'ai dit, si je suis satisfaite de votre travail elle fera partie de vos "récompenses"... Laissez moi vous expliquer...

La civière arrive devant la premières portes vitrés. Ryo voit Elyse tourner son regard vers celle-ci et écarquille les yeux d'horreur en gargouillant sous son bâillon-boule:

Elyse - Hog ?! Ho... (m)on  (d)ieu... ho (m)on (d)ieu !

Rachele et les deux infirmière ne font même pas attention à ses cris étouffés par la boule entre ses lèvres et continuent leur route en discutant:

Rachele – Chacun de mes "Champions", comme vous, dispose d'une "hôtesse privée" à chaque fois qu'il vient se détendre et parler affaires au Rachele'S Club.  Une esclave qui lui plais particulièrement et qui lui est réservé quand il vient.

Ryo et la mafieuse arrivent à leur tour devant la porte vitrée et le flic peut voir le spectacle qui a frappé d'horreur la belle flic pourtant si courageuse. Une esclave ou plutôt une cobaye livrée aux savants fou de l'Asylum, le corps enchâssé dans une machine infernal, subit les assauts sexuels brutaux de gods monstrueux pendant que des tubes fichée dans ses cuisses l'abreuvent en permanence de drogue, d'aphrodisiaques et de d'hormones sexuels. Ses seins on gonflé de manière surprenante, ils crachent a chaque orgasmes de la prisonnière de petites giclées de lait récolté par les ventouses d'une machine à traire le bétail.

Mais plus que son corps, c'est son visage qui choque sans doute le plus les spectateurs non initiés. Ses yeux révulsés et fou submergés par le plaisir ne laissent aucun doute sur la démence pure qui fragmente son esprit. Sa bouche ouverte d'où pend sa langue, gesticulant de manière obscène sur ses lèvres. Elle hurle de plaisir, à s'en briser la voix, elle en demande encore plus, toujours plus. Des électrodes, enfoncés directement dans son cerveau par les oreilles, grésillent a intervalles réguliers à chaque fois qu'une impulsion électrique vient ravager ses neurones.

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Pendant qu'il regarde, Rachele continue son discours, mais en venant lui susurrer à l'oreille:

Rachele – Nous avons de nombreuses méthodes pour faire de bonnes hôtesses, mais je ne vous cache pas qu'il faudra accepter la folie dans le contrat... même si ce n'est qu'un tout petit peu... croyez moi, vous ne serez pas déçu et vous pourrez même participer à sa... formation...
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le vendredi 03 juin 2022, 15:48:46
Elyse disparut dans un concert de cris étouffés et quand son regard capta celui de Ryo avant de s'éteindre, il y lut une terreur sans nom accompagnée de supplications déchirantes. Il lui rendit ce regard en y apportant une lueur de compréhension. Son infime signe de tête signifia à la jeune femme de ne pas perdre espoir, qu'il serait là pour elle. Sous sa carapace de dur, il ne pouvait se résoudre à la laisser crever comme ... quoi? Le truc caché un peu plus loin dans la cellule?

Ryo se jura que si Elyse mourrait ou devenait un légume, Rachele la suivrait de près. Maintenant, ils n'en étaient pas là non plus. La mafieuse l'entraina sur le même chemin en lui tenant le bras. Les pensées sombres de Ryo s'évaporèrent devant la vision étrange qui lui fit face. Mais qu'est-ce que c'était que ce bordel? Des pervers, il en connaissait un paquet. Mais ce spectacle là dépassait l'entendement. La pauvre chose lourdement pénétrée n'était même plus humaine. Ryo lâcha un rire surpris.

"Vos occupations me surprennent Signora. C'est intéressant mais juste entre nous, je préfère les brunes. J'ai un mal fou à résister à celles qui affichent sensualité et confiance en soi. J'ai entendu dire que la Sicile est mère des plus belles d'entre elles."

Flatterie quand tu nous tiens ... Seulement, ce n'était pas un mensonge mais l'exacte vérité. Il omettait seulement de préciser que plus sa cible était solide, plus il prenait plaisir à la briser. En cela, ils n'étaient pas différents. Ils continuèrent d'avancer sans se presser. Ryo venait de montrer qu'Elyse lui importait, ce qui était un aveu. Mais quelles étaient les faiblesses de Rachele? Les informations qu'il avait sur elle étaient confuses, faites sur des rumeurs, elles mêmes propagées par des on-dit. Elle aurait été une pute de trottoir, puis escort de luxe, voleuse d'une identité qui n'était pas la sienne. Ou était la vérité? Le seul élément plus ou moins recoupé sur tous les dires serait une addiction, ou une ancienne addiction aux stupéfiants. Ryo s'amusa à baiser la main de son accompagnatrice et en profita pour observer le creux du coude qu'il tenait. En effet, certaines cicatrices ne disparaissaient pas facilement et son œil d'expert capta immédiatement les stigmates des piqûres. Ainsi, certaines rumeurs seraient vraies? Si Rachele était sevrée, la tentation devait quand même être grande. Il garda cela en mémoire.

La pièce où il fut amené changeait radicalement d'ambiance avec la folie de l'azylum. Ils firent un bond de 100 ans en arrière, dans le Chicago d'Al Capone, celui de la prohibition. Moquettes feutrées, tentures rouges, bar et mobilier en bois luxueux, musique adaptée, bref, confort luxueux pour brigands de luxe ...

Allait-elle enfin lui expliquer ce qu'elle convoitait? Et quels étaient ses plans pour la domination de Seikusu, puisque c'était ce que tous les grands mafieux locaux voulaient. Drogue, prostitution, extorsion, jeux, le panel était vaste et l'enjeu économique, sidéral.

Ryo se laissa tomber sur un large divan avant de se raviser et de se lever pour aller au bar. Les alcools présentés coutaient tous une véritable fortune. En parfait majordome, il demanda à Rachele sans la regarder.

"Et qu'est-ce que ce sera pour vous Signora?"

Il opta pour un scotch antique aux fragrances fortement tourbées et ramena les deux verres. Ils trinquèrent à nouveau, en bons complices. Dans l'intimité du domaine de Dona Florenza, il pouvait mourir à n'importe quel moment alors ... il ne se priva pas d'anticiper cette éventualité et lorgna sur la poitrine de la sicilienne. Il avait envie d'une bonne branlette espagnole et sa queue tendit la toile de son jean la seconde d'après.

"Et si nous scellions cette nouvelle association en partageant un petit rail de coke? Je serais curieux de tester la qualité de vos produits. Vous ne me refuseriez pas ça Rachele, pas par provocation, mais par jeu je vous rassure? Tentons ... l'interdit vous et moi."
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le vendredi 03 juin 2022, 20:47:44
Ryo - "Vos occupations me surprennent Signora. C'est intéressant mais juste entre nous, je préfère les brunes. J'ai un mal fou à résister à celles qui affichent sensualité et confiance en soi. J'ai entendu dire que la Sicile est mère des plus belles d'entre elles."

Visiblement satisfaite par ce badinage et ses flatteries, Rachele lui souri de toute sa dentition parfaite, ses grands yeux clairs pétillent sous la lumière crue des néons blancs, ses traits parfaits et pleins, ses lèvres pulpeuses resplendissent. Elle semble si jeune par rapport à son pouvoir, son titre et sa cruauté...

(https://zupimages.net/up/22/22/ozu0.jpg) (https://zupimages.net/viewer.php?id=22/22/ozu0.jpg)

Rachele – Merci beau champion. J'apprécie vraiment et je connais vos gouts, c'est pour ça que j'ai trouvé que notre belle petite Elyse sera parfaite en temps que votre hôtesse privée. Rassurez vous, elle sera toujours "elle", je vous le promet... elle sera juste un peu plus... chaude... *rire* et si vous ne me croyez pas vous pourrez assister à sa thérapie de conversion.

Les infirmières tournent finalement sur la droite et s'engouffrent avec la civière dans une des salles numéroté encore vide. Ryo entend Elyse se débattre frénétiquement dans sa camisole de force et hurler sous son bâillon boule au moment où le sas vitré annoté d'un "6" se referme derrière elles.

Elyse – (n) oooooonnnnn...

Rachele entraine Ryo toujours tout droit dans le couloir, vers un bel ascenseur. Quand ils passent à leur tour devant le sas vitré numéro 6, le flic à le temps d'entre-apercevoir une pièce similaire aux autres, blanche, équipée d'innombrables machines sexuelles et objets insolites, des armoires à pharmacie et à sextoys bien remplies, des tables de travail en inox pourvus de divers objets: seringues, spéculums, écarteurs et biens d'autres. Une infirmières semblent être en train de consulter un porte-vue sur lequel sont inscrits des instructions pendant que l'autre parle à Elyse qui se débat toujours en la foudroyant du regard.

Le duo laisse finalement le sas 6 derrière lui et atteint les portes de l'ascenseur qui s'ouvrent à leur passage. L'intérieur est feutré, agréable et il y règne un léger parfum de femme, une odeur épicée et subtile de sexe et du parfum de Rachele. La baronne du crime sort une clef cachée entre ses seins et la passe dans une serrure situé sous les boutons des étages. La serrure porte plusieurs mentions: AZYLUM, MAISON CLOSE, VIP1, VIP2, PRIVATE. Elle tourne la clef jusqu'à VIP1 et la cabine s'ébranle.

Dans la loge VIP1, il n'y a que quelques clients visiblement triés sur le volet, parmi eux, Ryo reconnait Dario Galdo, dit "Le Galgados" dans le milieux. Un riche homme d'affaire qui a fait les gros titres des journaux à scandale ressament parce que poursuivi pour harcèlement sexuel par une de ses secrétaires. Il prend un verre, torse nu, décontracté et souriant pendant qu'il discute avec une barmaid uniquement vêtue d'un harnais d'esclave en vinyle noir.

Rachele – Bienvenue dans ma première loge VIP mon ami... j'espère que le style vous plaira. Mettez vous à l'aise, ici, il n'y a qu'une seule règle: "fait ce que vouldra".

Pendant qu'elle prononce ces mots et que Ryo s'installe dans un divan à l'écart, Rachele dégrafe sa robe et la laisse glisser le long de ses jambes jusqu'à ce retrouver seins nu, uniquement vêtue d'un string noir à dentelle, de bas à porte jarretelle noir, de longues chaussures à talon et d'un harnais en vinyle noir qui souligne sa poitrine parfaite.

Elle s'installe à la droite de Ryo dans une position lascive, la pointe de ses orteils à seulement quelques centimètres des jambes du flic et laisse sa chevelure cascader librement sur ses épaules.

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Ryo - "Et qu'est-ce que ce sera pour vous Signora?"

Ryo termine à peine sa question qu'une barmaid vêtue comme l'autre apporte  déjà un Cuba Libré à la Maitresse des lieux avant de demander au flic ce qu'il veux.

Ryo - "Et si nous scellions cette nouvelle association en partageant un petit rail de coke? Je serais curieux de tester la qualité de vos produits. Vous ne me refuseriez pas ça Rachele, pas par provocation, mais par jeu je vous rassure? Tentons ... l'interdit vous et moi."

Rachele essaie de cacher sa gêne et sa confusion mais le regard expérimenté du flic ne manque pas de desceller l'envie et le combat dans les yeux de la jeune femme. Ne laissant que peu de doutes sur son passé d'esclave sexuelle tenue par la drogue. Elle fait semblant de savourer son verre pour cacher sa déglutition involontaire, preuve indiscutable du combat qui fait rage dans son corps et sa tête, puis elle sourit de nouveau et fait un petit non de la tête.

Rachele – Jamais, la règle d'or pour une baronne du crime c'est: "ne consomme pas ce que tu produit". En revanche, je me ferais un plaisir de vous offrir un petit échantillon promotionnel des différentes merveilles qui sorte de mes labo.

Sa voix tremble presque imperceptiblement. Mais elle se ressaisit et claque des doigts,  la barmaid revient quelques instants plus tard et tend à Ryo un pilulier rempli de divers substances qu'il reconnait pour la plupart: extasie, cocaïne, cristal meth, GHB, mais il reconnait également l'étrange substance rose bonbon que Rachele avait donné à sa nièce pour la rendre chaude et malléable et qui lui avait tourné la tête et le corps au point qu'elle jouisse de son viol.

Rachele – Servez vous, prenez tout, vous les testerez sur vos futurs conquêtes.

Rachele prend une nouvelle gorgée, son grand verre ne semble jamais se finir, même à mesure que la discussion avance. L'ascenseur s'ouvre de nouveau et Ryo remarque qu'une infirmière en sort en tenant par le bras la belle jeune femme blonde qui était harnachée à la machine sexuelle de la salle numéro 1 quelques minutes plus tôt.

La ravissante prisonnière se précipite alors dans les bras de Dario Galdo et l'embrasse fougueusement avant de se blottir contre lui. Elle le regarde avec amour et désir, en se mordillant les lèvres comme une adolescente nymphomane face à son plus grand  fantasme. En la regardant Ryo réaliser alors qu'il s'agit de la jeune femme qui apparaissait sur tout les tabloïdes, celle qui avait poursuivi Le Galgados en justice pour harcèlement sexuel. L'Azylum avait transformé la belle féministe et idéaliste en nymphomane fougueuse et consentante.

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Rachele – Vous voyez Champion ? Ce n'est pas si mal d'avoir son hôtesse privée finalement... Excusez moi quelques instants.

Rachele se lève et se dirige vers Le Galgados pour le féliciter et le brosser dans le sens du poil. Ryo se retrouve seul à table pour quelques instants...

Rachele – Vous êtes satisfait par votre achat Monsieur Galdo ?
Dario – Elle est parfaite Max, je ne pensais pas que ce serait à ce point.
Rachele – Je peux donc vous compter parmi mes amis désormais j'imagine.
Dario – Tout ce que vous voudrez Max. Demandez moi ce que vous voulez.
Rachele – ça viendra mon ami, ça viendra, rassurez vous et amusez vous bien avec votre hôtesse, elle n'attend que ça et elle aimera tout ce que vous lui ferez... j'y ai veillé...


Puis Rachele revient à la table et s'installe à nouveau à coté de Ryo. Elle reprend son verre et prend une nouvelle gorgée.

Rachele – De quoi parlions nous mon Champion ?
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le samedi 04 juin 2022, 16:28:47
Après la visite surprenante de l'Azylum où Ryo avait pu constater l'étendue de la perversité de l'industrie mafieuse de Rachele Florenza, l'aspect cozy et agréable du lounge VIP faisait office de paradis pour ces occupants. Son voisin le plus proche n'est à présenter à personne. Tout le monde connait Dario Galdo à Seikusu. Quand celui-ci aperçoit Le flic, il agite la main dans sa direction, d'un geste qu'on voudrait croire presque amical. Les deux hommes se sont déjà parlés dans le cadre de leurs affaires personnelles et illégales. Que l'un et l'autre se retrouvent ici n'est pas une surprise. L'un est un homme d'affaires plus que fortuné et l'autre est la force de frappe qui fait trembler les récalcitrants. Avec Galdo, Ryo avait empoché une belle somme qui n'était rien comparée à celle qu'avait gagné l'homme d'affaire en faisant appel à ses services. C'est bien qu'ils se retrouvent ainsi. Ca leur rappelle l'existence de l'autre. Ryo lève donc son verre en lui répondant.

L'ambiance feutrée atténue les discussions et l'échange qu'il a avec Rachele est comme murmuré. la mafieuse boit beaucoup. Un Cuba Libré? le champagne et le rhum ne font pas bon mélange, elle pourrait le payer un peu plus tard. Quand l'alcool fort du rhum monte au cerveau, décuplé par l'acidité pétillante du champagne, ça peut faire très mal. Qu'importe, il saurait en profiter si elle venait à s'effondrer dans ses bras. Pour l'instant, Rachele jouait la carte de la provocation, non ... de la pornographie plutôt. Presque nue et s'exposant sans complexe, elle l'allumait comme elle le faisait depuis le début de leur rencontre. Oh, elle savait très bien que la moindre petite étincelle pouvait faire dérailler le flic mais n'étais-ce pas aussi en jouant avec le  feu qu'elle s'était hissée à la première place?

La musique d'ambiance apaisait la tension, heureusement. Bien que peu adepte du chill, Ryo appréciait ce petit moment de calme où à travers la fente de ses paupières alourdies par l'alcool, il pouvait observer la Signora tout à loisir.

Ca y est. Il l'avait trouvé! Sa faiblesse! Il connaissait ce regard fuyant, ce sourire qui n'en était pas un, cette esquive de la tête volontairement et faussement désintéressée. Il avait appuyé là où ça faisait mal. Ainsi, les rumeurs étaient vrais. Lady Florenza aurait été une camée, une accroc à la coke ou quoi que ce soit d'autre. Tout en elle trahit la confusion. Pourtant, elle a l'air sevrée. Peut être est-ce récent mais l'appel de la poudre est toujours là, coriace et tentant comme jamais. L'effort qu'elle fournit pour répondre est flagrant de souffrance et sa réponse en est d'autant plus ridicule. Toi, ma petite pute, tu vas replonger...

Elle tente de faire diversion en offrant à Ryo un panel de ses "produits". Trop tard, elle est harponnée. Ryo côtoie suffisamment de camés pour reconnaitre les signes de l'addiction. Le flic hoche la tête en guise de remerciements non sans avoir palper l'arrière train de la barmaid.

La scène suivante est pathétique. la Blonde de l'Azylum est de retour, chaude comme un tison. Voilà une histoire qui va encore bien finir. Un scandale qui sera classé sans suite dans les faits divers et qui sera oublié.

"En effet, en la voyant, votre formation prend tout son sens. Je reviens sur ce que je pensais et je vous suis reconnaissant pour votre offre."

Rachele s'excuse pour rejoindre Galdo. En bonne maitresse de maison, elle prend soin de ses clients. Oh que c'est tentant de verser dans son verre une substance qui la moucherait comme une feuille. Ryo n'a que quelques secondes pour décider de son avenir. Pour survivre, c'est simple, il lui faut contrôler Rachele sinon, un jour elle l'éliminera. Il connait son point faible et l'occasion ne se présentera peut être pas. En un geste bref, i dilue dans le verre de Max un soupçon de GHB pur. Quand Rachele tourne le regard vers lui, il est entrain de tendre son verre vide à la barmaid et quand la mafieuse revient, un deuxième Cuba Libré bien plus corsé l'attend.

"Nous parlions de l'attrait que les hommes puissants exercent sur vous."

Ils rient ensemble et Rachele s'avère être une hôte cultivée et remarquable en plus d'être une salope patente. L'atmosphère s'alourdit, Galdo disparait on ne sait où avec sa blonde, la barmaid s'éclipse discrètement. Ryo se satisfait de voir que Rachele encaisse difficilement le cumul de la drogue et de l'alcool. Pourtant il ne tente rien et parle d'une voix apaisante. Il exhibe le pilulier et énumère ce qu'il y voit, y compris le GHB qui n'y est plus. S'agenouillant à côté d'elle, il se fait un rail de coke, se poudrant volontairement les narines afin de demander à max de l'aider à nettoyer tout ça.
Le lounge tourne un peu au ralenti et Ryo ne cache plus l'envie qu'il a de la baiser. il la complimente sur son physique parfait et glisse même quelques sous-entendus assez précis. Ils rient encore. Il fait semblant. Ce qu'il a bu plus la poudre ne représente rien pour lui. Il se défonce au whisky depuis des années et se shoote régulièrement. Là, il n'y a rien pour l'ébranler.

Max parait cuite et Ryo lui offre son bras pour l'accompagner. Aux gardes qui s'interposent, Rachele grogne un ordre que personne ne comprend donc plutôt que de s'attirer l'ire de la patronne, ils préfèrent se retirer, d'autant plus que c'est elle qui a invité le policier.

"Rachele, vous devriez faire attention à vous. je suis peiné de voir à quel point vous vous faites mal. Où voulez-vous aller?"

Par là? il l'accompagne sans prendre le temps de noter le chemin qu'ils empruntent. ils arrivent dans l'antre priée de la mafieuse, le saint des saints. Il lui souhaite un bon repos et fait mine de se retirer en la remerciant. Il a besoin d'être sûre qu'elle est out. Et effectivement, elle s'effondre après un pas. Ryo ne la rattrape qu'in extremis.

"T'es cuite Max, tu t'en rends compte? Qu'est ce que t'as branlé?"

Ryo la trimbale jusqu'au pieu et l'y balance sans ménagement. Il la suit de près et quand elle veut se redresser, il s'assoit sur sa poitrine en lui bloquant les bras.

"Je crois que t'as très envie de te faire baiser là, je me trompe?"

Il lui saisit la mâchoire avec force et lui ouvre la bouche. il tire de sa poche le pilulier et en extrait la pastille rose, le truc miracle qui transforme une femme en pute. Il lui fait avaler. Qu'importe qu'elle se débatte, il ne bouge pas d'un iota et l'empêche de gueuler en couvrant sa bouche de sa grosse main. L'effet sur la gamine avait été rapide aussi i attendit sans bouger de voir ce qui allait arriver. et quel bonheur quand ça arriva! La terreur sicilienne n'était plus que l'ombre d'elle -même.

"J'ai pas compris ... tu veux me sucer c'est ça?"

Il colla une gifle aux grosses loches pâles qu'elle exhibait devant lui.



Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le dimanche 05 juin 2022, 23:21:31
Ryo - "Nous parlions de l'attrait que les hommes puissants exercent sur vous."

Rachele ri de bon cœur à cette boutade et boit une gorgée, se condamnant sans le savoir. Puis elle reprend sa posture lascive et érotique pour jouer avec son désir et lui répondre nonchalamment:

Rachele – Je pense plutôt que la véritable force à l'œuvre ici bas est l'attrait que MOI j'exerce sur les hommes puissants.

La fierté vibre dans ses paroles. Mais Ryo peut y entendre également une autre émotion, plus amer et reconnaissable entre toute: celle de la haine et de la revanche. L'attrait, ce pouvoir dont Rachele  use et abuse depuis de début de la soirée avec Ryo comme elle le fait avec tous les hommes de pouvoir, n'est pas qu'un jeu, c'est une vengeance. Une rétribution faites aux hommes pour ses années d'esclavage sexuel où elle était réduite à ramper à leurs pieds dans l'espoir d'avoir sa dose.

La discutions continue, Rachele ri de plus en plus facilement aux remarques de Ryo, elle se détend également et son regard s'alourdit doucement à mesure que les quelques petites goutes de GHB affaiblissent sa volonté et sa maitrise d'elle-même. Le flic à parfaitement bien dosé la drogue pour que la belle Baronne reste consciente mais ne puisse rapidement plus se défendre. Au bout de dix petites minutes pendant lesquelles le ripou meuble la discutions pour distraire sa proie, Rachele semble parfaitement disposée. Elle s'est légèrement affaissée sur elle-même, son regard est troublé et sa bouche reste légèrement entrouverte entre chaque phrase de plus en plus décousue qu'elle prononce.

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C'est le moment que le loup solitaire attendait pour attaquer sa proie et l'entrainer dans la foret...
Il lui tend son bras, Rachele le regarde quelques instants, réfléchir lui est devenu difficile. Puis elle comprend qu'il veux l'aider à aller se reposer et dit faiblement.

Rachele – Oui, vous avez rai... raison... j'ai ... *rire* j'ai un peu trop bu... je suis désolée *rire* je suis plus résistante généralement... l'esclave à due mettre beaucoup d'alcool.

Elle saisit son bras et se relève péniblement. Elle manque s'affaisser de nouveau mais s'agrippe aux muscles puissants du bras de Ryo avec ses deux mains. Le flic détend tous son bras pour la maintenir debout pendant qu'elle se dirige instinctivement vers l'ascenseur, congédiant les gardes au passage.

Ryo - "Rachele, vous devriez faire attention à vous. je suis peiné de voir à quel point vous vous faites mal. Où voulez-vous aller?"

Rachele – L'ascenseur Ma suite... je... j'ai besoin de me passer le visage sous l'eau froide... ça... ça ira mieux après... on pourra... pourra conclure le marché...


La mafieuse laisse Ryo l'aider à prendre l'ascenseur. Elle utilise à nouveau sa clef qu'elle tourne jusqu'au mot: "PRIVATE" et la cabine monte jusqu'au sommet du Rachele'S, jusqu'au "trône" de son empire. Quand la porte s'ouvre, Ryo découvre un superbe loft de style New-Yorkais, fait de verre et d'acier, de murs parfaitement blancs.

En lieu et places de décoration, des alcôves sont percées dans les murs pour y exhiber de ravissantes jeunes femmes et hommes attachés et réduit à l'impuissance. Leurs visages sont totalement masqués pour les priver de leurs sens, une sonde naso-gastrique enfoncée dans leur nez permettant de les nourrir et de les hydrater pendant les innombrables jours "d'exposition". Le sexe des hommes semblent figés dans une monstrueuse érection permanente et douloureuse et leurs couilles sont ceinturées à la corde de cuir pour contenir le semence, soumis à la folie d'un désir intense de jouir mais qui ne peut être assouvi. Les femmes quant à elles ont les seins gonflés et lourds, souvent percés d'anneaux ainsi que leur clitoris odieusement mis en exergue et leur vulve laissent couler un mince filet de mouille. Ryo peut compter au moins 3 hommes et 6 femmes dans la Suite.

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Alors qu'il entraine Rachele vers sa chambre, Ryo remarque également un superbe bureau d'ébène et son grand fauteuil tournant, installés devant une grande baie vitrée qui domine les toits de la ville. Sur celui-ci, un unique objet, une tablette noire et luisante, cœur névralgique de l'endroit qui permet d'observer et de contrôler le Rachele'S.

Enfin, derrière une épaisse porte d'un noir poli, Ryo découvre une pièce spacieuse avec un grand cube rouge au centre en guise de lit surplombé d'une immense miroir. Une rampe et des anneaux en font le tour et des chaines pendant du plafond pour pouvoir attacher quelqu'un comme on le désir. Les murs sont couverts de miroirs et d'armoires sur lesquels le flic peut découvrir d'innombrables objets de torture, de sextoys de toutes les tailles et formes et divers objets d'une technologie étrange et futuriste.

C'est à ce moment qu'il décide de jouer le jeu du "gas bien" et lui souhaite bonne nuit avant de faire mine de partir. Séparée de sa puissante béquille, Rachele se cramponne à la porte de sa chambre et commence à glisser par terre. C'est à ce moment que Ryo la rattrape et raffermi enfin sa prise.

Ryo -"T'es cuite Max, tu t'en rends compte? Qu'est ce que t'as branlé?"

Rachele regarde le flic dans les yeux, elle semble confuse et surprise par la façon dont elle lui parle. Il la tutoie, il utilise un terme très impoli et ose lui poser une question, à elle, la baronne du crime. Elle voudrait répondre mais elle ne trouve pas de mots, elle se sent si faible et Ryo semble si fort, si sur de lui. Mais le mastodonte n'en reste pas là, maintenant qu'il la maitrise et qu'il est certain qu'elle est sans défense, il la traine jusqu'au lit et l'y jette comme une vulgaire pute de bordel. Rachele trébuche sur le lit et s'affale dessus.

Rachele – Haa ! Mais... que...

Arrivé au pied du lit à son tour, Ryo remarque qu'une petite table de chevet est installé à coté. Un superbe casque de réalité virtuelle est posé dessus et à coté de lui, il reconnait plusieurs petits coffrets qu'il à l'habitude de voir chez les maquerots et les esclavagistes. A l'intérieur il reconnait l'attirail du fabricant de junkys: un garrot, des lingettes alcoolisées et une dizaine de seringues annoté pour savoir quand les utiliser: 0 heures pour la première dont le liquide d'un blanc parfait laisse imaginer la pureté de la substance. 2 heures pour la seconde, légèrement diluée, puis plusieurs autres sont annotés d'un "4 heures" pour créer l'addiction. Enfin, celles annotés d'un "6 heures" sont les plus clairs et servent à "fixer" l'esclave devenue accro. Ainsi c'est ici que Rachele transforme ses victimes en esclaves sexuelles...

Pendant qu'il examine tout cela, Rachele essaie faiblement de se redresser sur le lit, mais le flic est plus rapide qu'elle et s'installe lourdement sur elle.

Rachele – Hoch ! Qu'es... qu'es ce que... vous faites ? souffle

Ryo - "Je crois que t'as très envie de te faire baiser là, je me trompe?"


Rachele écarquille difficilement les yeux d'effroi en comprenant soudain ce qu'il se passe. Elle n'est pas simplement saoule, elle n'est pas juste fatigué, Ryo l'a piégée...

Il la saisit par la mâchoire et sort une pilule rose de sa poche. En la voyant, le regard de Rachele s'empli de terreur et une larme de désespoir roule le long de sa joue. Elle se dégage et lui hurle:

Rachele – Nan pitié pas ça ! Je veux pas redevenir une GAAAgl...

Les doigts de Ryo se sont enfoncé dans la gorge de Rachele pour lui faire avaler la pilule et il referme sa main sur sa bouche pour l'empêcher de recracher. La jeune femme se débat faiblement et sans aucune vigueur à cause du GHB, ses mouvements sont lents et lourds, à peine plus fort que des frémissements, le flic n'a aucun mal à la tenir ainsi pendant qu'elle le regarde en pleurant, les yeux grands ouverts où se mêlent peur et supplication.

Après deux ou peut être trois minutes de lutte désespérée, les joues et les paupières de Rachele se mettent à rougir comme si elle avait honte. Ryo la sent transpirer entre ses doigts et l' odeur enivrante de son sexe moite envahie ses narines de prédateur sexuel, comme pour la fille dans la limousine. A son regard horrifié, Ryo devine que la belle jeune femme réalise ce qui est en train de lui arriver. Elle essaie de résister, elle agite sa tête de gauche à droite pour chasser la brume perverse qui voile doucement son esprit et mimer des "non, non, non !" silencieux.

Quelques secondes plus tard, les pupilles de la belle se dilatent progressivement pendant que ses paupières retombent légèrement, ses gestes se font plus lent encore, puis elle cesse de luter. La terreur commence à se noyer sous le désir, Ryo peut le lire dans ses yeux, le sentir sur ses jambes sous lesquelles il sent pointer les tétons de sa prisonnière. Enfin sous sa main il la sent ouvrir la bouche et baver contre sa paume, il peut alors la retirer:

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Ryo - "J'ai pas compris ... tu veux me sucer c'est ça?"

Rachele papillonne des yeux, comme si elle comprenait ce qu'il dit mais extrêmement lentement, elle tente de lui répondre alors qu'un mince filet de salive coule de sa langue.

Rachele – Sucer ? Ra... Rachele... veux... sucer ?

Sans même s'en rendre compte, la belle Sicilienne se met à parler d'elle à la troisième personne, comme si elle n'était qu'un objet, preuve de son passé d'esclave sexuelle brisée. La main de son nouveau maitre s'abat alors sur ses superbes seins gonflé de désir en une série de gifles qui lui cuisent les tétons. La belle se met à crier faiblement d'une voie brisée et également à gémir comme une trainée en train de se faire baiser, l'odeur de mouille devient encore plus forte et Ryo, toujours sur elle, peut sentir le jus de plaisir de la jeune femme souiller le bas de son pantalon.

Rachele – Su... Non.. si.. sucer... maitre... non... Rachele... pas escla HA !

Une nouvelle gifle vient lui faire perdre le fil et brise sa maigre résistance.

Rachele – HA ! Nan... pitié... pi... maitre... sucer... Rachele... sucer Maitre... pas... pas frapper, pitié... sucer maitre...

Les mains lascives de Rachele glissent sur les cuisses de Ryo, elles sont encore toutes frêles et tremblent alors qu'elles débouclent sa ceinture, descendent sa braguette et libèrent son énorme phallus, déjà revigoré de la baise précédant, encore puant de la vulve qu'il a déflorée dans la limousine. Mais Rachele n'arrive plus à réfléchir, son cerveau se noie sous les molécules de la "Pink Paradise" que Ryo lui a fait avaler.

Une main à sa base pour le tenir comme un sceptre, elle regarde l'énorme sexe dressé en bavant, les yeux plein de fascination et de terreur, comme ceux d'une prêtresse devant l'incarnation de son dieu. Elle murmure des paroles qu'elle avait depuis longtemps oublié mais qui lui reviennent si facilement:

Rachele – pas... pas taper esclave... bonne esclave... Gaaa...

Les mots suivants s'enfoncent dans sa bouche à mesure que ses lèvres coiffent le gland de Ryo et descendent lentement vers sa gorge alors qu'elle avale le reste de sa longue queue. Les yeux fermés, le corps en feu puant de désir et la mouille, elle commence à faire de longs vas et viens sonores entre les cuisses de Ryo.

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Sans les lunettes:
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Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le lundi 06 juin 2022, 15:36:32
L'effondrement de Rachele est un véritable plaisir à suivre. L'arrogante baronne du crime, celle qui fait trembler la sphère criminelle japonaise tout comme sa classe politique, se tord sous le poids de Ryo. Sa résistance est futile, ridicule, décevante ... Elle fond sous le regard du flic, passant de toute puissante à loque humaine. Sa supplique signifie tout le malheur qui lui tombe dessus: pas redevenir quoi? Une vulgaire pute? Une arpenteuse de trottoir? Une sale trainée? Mauvaise nouvelle pour toi ma vieille, ça va être le cas pourtant.

Il ne faut qu'un court instant pour quelle abandonne et que son esprit torturé cède à ses faiblesses. La dope n'a aucune pitié, que vous soyez un faible ou un puissant. La reine bave, ses yeux affichant un début de démence à peine voilé. Elle demande, non ... supplie, exhorte à la clémence. Il n'en aura aucune. Rachele s'est hissée à la première place à force de terreur et de cruauté. Elle descendra du podium de la même manière sauf que seul Ryo sera au courant de sa déchéance.

La maitresse des lieux tremble entre ses cuisses, défaisant difficilement le pantalon du flic. Le sexe libéré en jaillit, raide comme un piquet. Bordel! Depuis qu'elle le chauffe, elle va morfler. Ryo exhale quand les lèvres de la mafieuse se referment autour de son gland. Putain que c'est divin! Sous réserve que Dieu existe, ce dont il doute.

"T'es une bonne petite pute Max! J'vais t'déboiter la gueule et tu vas adorer."

C'est encore moite entre les cuisses du flic. Il est toujours imbibé des jus de la gamine et l'odeur n'est pas des plus agréables. Bien sûr, Rachele s'en fout et le bouffe comme si sa vie en dépendait, ce qui est un peu le cas.

"Attends salope, c'est encore trop gentil pour toi!"

La repoussant sans ménagement, Ryo farfouille dans l'une des boites recelant une quantité incroyable de toys et autres objets sexuels. Il en sort des liens, des menottes et attache ls poignets de Rachele à ses chevilles. Une fois ligotée, il la tire au bord du lit de manière à ce qu'il puisse accéder à sa tête.

"Crois pas que je vais me limiter à ça ma jolie."

Là, dans l'instant, il pourrait l'égorger. Il toucherait un sacré pactole des yakuzas pour son élimination mais il ne le fait pas. La suite s'annonce prometteuse et la perspective d'un nouveau tournant dans sa carrière criminelle le décide à l'épargner. En revanche, il ne lui fera pas de cadeaux. Les seringues qu'ils trouvent lui arrachent un rictus mauvais. Facile ... trop facile. Il chope son briquet et prépare une dose d'héroïne, assez légère mais suffisante pour ce qu'il veut. Une fois prête, il l'aspire dans une seringue qu'il vient agiter devant le nez de la salope.

"Tu sais c'que ça veut dire hein? Tu vas replonger. J'vais t'mettre à genoux. Tu seras une bonne petite chienne bien obéissante."

Le flic sait y faire et il injecte la dose en piquant entre les orteils de Rachele ... pas de trace visible ...

Puis il revient face à sa victime et avec une brutalité inouïe, il s'enfonce dans sa gorge et bourrine immédiatement comme un enfoiré. La gueule de la petite pute se fait défoncer et s'écrase contre les abdos durs du clic à chaque retour. Il la tient par les cheveux (https://zupimages.net/up/22/23/kxe5.jpg) et imprime un rythme de taré. Il veut la faire dégueuler, l'humilier, la filmer couverte de ses miasmes. La sensation est grisante et même si elle encaisse difficilement, il s'en branle et continue sa torture orale jusqu'à ce qu'il décide de se ficher au plus profond d'elle. Vicelard, il ondule du bassin pour presser là où ça blesse. Rien à foutre des réflexes nauséeux, il emmanche la pute sans lui laisser le loisir de se reprendre ... pour un peu qu'elle veuille. Quand il se retire de sa bouche de suceuse professionnelle, il ramène avec lui un monceau d'immondices glaireux qui s'étale le long du menton de Rachele avant de s'écraser au sol.

"T'as une sacrée bouche à pipe Baronne. On va essayer autre chose."

Il la retourne sur le dos et l'écartèle pour arranger sa position qu'elle soit toujours disponible ET attachée. Quand il revient dans sa gorge (https://zupimages.net/up/22/23/3lb1.jpg), c'est pour se déchainer sans limites. Il l'explose, la détruit, pulvérise le gosier qu'il envahit comme un gros porc. Encore une fois, la scène est dégueulasse aussi bien en violence qu'en visuel avec Rachele qui morfle sévèrement. Les sons qu'elle produit sont écœurants, mélange d'éructation, de vomissements étouffés, de cris contraints et de respiration saccadée. Une pure poésie pour le flic qui s'éclate tant qu'il peut.

Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 11 juin 2022, 21:51:32
Ryo - T'es une bonne petite pute Max! J'vais t'déboiter la gueule et tu vas adorer. Attends salope, c'est encore trop gentil pour toi!

"Tu vas me sentir taper ta glotte petite pute..."

Rachele est frappé par une voix, un souvenir vieux de quatre longues années de sevrage et de combat pour la liberté. Pendant quelques instants, la voix de Ryo et de son oncle Jucio se mêlent et elle ne parvient plus à les distinguer. Son corps se rappel du plaisir, de la drogue et il rappel à sa tête qui la lui donnait, qui elle baisait et à qui elle obéissait pour en avoir plus... toujours plus...

Quand Ryo la malmène avec brutalité pour la ligoter sur le lit, c'est toute l'image du flic qui se mélange à celle du mafieux de son souvenir. La "Pink Paradise" ne la fait pas délirer, non, elle fait ressurgir son passé enfoui lors de sa cure de désintoxication. Toutes les horreurs que son propre oncle lui avait infligé quand il avait tué son père pour lui voler son héritage. L'esprit en feu, la belle Sicilienne réprime désespérément ces souvenirs pornographiques dans l'espoir de ne pas re-sombrer.

Mais son corps est plus coopératif que sa tête et se laisse attacher de manière humiliante par Ryo.

Ryo - Crois pas que je vais me limiter à ça ma jolie.

Rachele ne le voit pas faire mais elle reconnait le bruit de la petite boite en métal, celui du briquet qui crépite... Elle reconnait l'odeur du cristal qui fond dans la cuillère mais elle refuse d'y croire. Elle refuse d'accepter que tout cela est vraiment en train de se passer, qu'elle est à nouveau à la merci d'un homme pervers et sans pitié. Et par dessus tout, elle refuse jusqu'à l' idée de redevenir une simple petite pute accro qui rampe aux pieds de son maitre. Mais le flic lui, est bien réel et le lui prouve en agitant la seringue pleine sous ses yeux.

Ryo - Tu sais c'que ça veut dire hein? Tu vas replonger. J'vais t'mettre à genoux. Tu seras une bonne petite chienne bien obéissante.

Rachele écarquille les yeux d'horreur en voyant l'arme ultime de sa déchéance, prête à la briser de nouveau et la retransformer en esclave dépossédée de toute volonté. Les souvenirs remontent à nouveau, des innombrables fois où elle à vu cette longue tige de métal percer sa peau pour déverser sa camisole chimique infernale. De ces interminables heures de flou et d'un bien être artificiel et toxique, des journées, des semaines entières à ne servir qu'a satisfaire les fantasmes d'ignobles porcs sans avoir la force ni la volonté de dire "non". Une demi-vie à ne ressentir que dégout de soit, orgasme et folie.

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Rachele – N... non... pitié... pitié tout mais pas ça... non... non !

Hurle la jeune femme en sentant Ryo lui saisir le pied et lui écarter les orteils.

Rachele - Naaaan... je vous en supplie je ferai tout ce que vou HA !

Ryo voit tout le corps de Rachele se cambrer d'horreur et de refus quand elle sent l'aiguille pénétrer la peau fine de son pied. Elle est comme prostrée et se met à trembler de tout son corps, alors qu'une terreur authentique l'étreint.

Rachele – Nan... ne fait pas...hooo ?

Souffle Rachele en sentant le liquide se rependre dans son sang et serpenter vers son cerveau. Ryo voit alors tout son corps de déesse se détendre doucement et s'offrir alors que ses yeux perdus vagabondent vers le miroir du plafond et que sa bouche s'ouvre lentement pour lui permettre de gémir et de souffler de bien-être. Sa chaire reconnait cette intrusion et s'abandonne à elle en de longs souffles qui agitent sa poitrine brillante de transpiration.

Rachele - Hennn... hoooo...pietà... signore dio... salvamiiii... hoooo.... hoooo...

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Elle tressaute deux petites fois, dernières réflexe défensif de refus avant que tout son corps s'ouvre au butor qui se jette alors sur sa bouche délicate et lui empale la gorge d'un geste souple et sauvage. Rachele le sent taper au fond, elle sent son gland contre sa glotte, comme à l'époque, comme avec Jucio dont les paroles répugnantes résonnent à nouveau dans sa tête. Totalement déchirée entre le bien être de l'héro, la nymphomanie brulante de la Pink et le tournis du GHB, son esprit et son âme basculent et se fracture.

Sa personnalité d'il y a quatre ans se précipite contre la portes de sa raison et la fait voler en éclat pour fusionner avec ce qu'elle est devenue depuis. La "Rachele" d'aujourd'hui fond dans un hurlement silencieux, dans la répugnante répétition des bruit de gorge que produit la bite de Ryo qui lui déforme la mâchoire pour lui baiser la gorge:

Rachele – Ga ! Ga ! Ga ! Ga !

Sa gorge gargouille au rythme des coups de reins frénétiques de Ryo. Les yeux levés vers lui pour le regarder à chaque fois qu'il recule sa tête pour pouvoir l'empaler de nouveau. Oncle Jucio adorait qu'elle le regarde pendant qu'il baisait sa bouche, il voulait qu'elle le regarde la violer et l'humilier et Rachele était une bonne esclave, elle voulait que son maitre soit content...

Ryo - "T'as une sacrée bouche à pipe Baronne. On va essayer autre chose."

Dit le flic alors qu'il libère enfin la bouche de la jeune femme pour la manipuler d'avantage. Rachele ne vomi pas, son corps à déjà retrouvé ses habitudes d'esclave, ou es ce son conditionnement mental qui n'a jamais vraiment disparu. Toujours est il qu'une bonne pute ne vomi pas sur les pompes de son maitre. Elle se contente de laisser couler de ses lèvres le mélange visqueux du pré-sperme de Ryo et de sa propre salive.

Quand il lui saisit de nouveau la mâchoire et lui violente encore la bouche dans une nouvelle position, les vannes de ses souvenirs s'ouvrent grand et un flot ininterrompu d'images pornographiques et ignobles viennent fusionnent avec le moment présent. Elle se revoit il y a quatre ans, belle et innocente, lors de la nuit de son 18ème anniversaire, les liens qui l'entravent, son premier shoot d'héroïne pure, la folie, le sexe, Jucio et ses hommes qui lui baisent la gorge pour sa première fois avant de lui prendre le reste...

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Mais Ryo n'a pas besoin d'avoir des comparse pour lui faire revivre pareil et même pire. Car il surclasse la brutalité de son rêve éveillée et lui besogne les lèvres mieux que Jucio et ses amis ne l'avait fait. Submergée par les drogues qui se mélangent dans son cerveau et lui grillent les neurones, par le fantasme des nuits passé qui se mêlent à l'instant présent en une orgie sexuelle d'images, d'odeur et de sensations, Rachele commence à gémir et à grogner à chaque fois que la bite de Ryo lui pénètre la bouche et s'enfonce en elle.

Depuis sa position dominante, le flic en passe de devenir maitre de Sekuzu profite pour l'heure du spectacle du bassin et des hanches de Rachele qui se dandinent et se frottent au lit au rythme de ses coups de reins pendant que sa queue trace un épais sillon sur la trachée de sa future esclave.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le mardi 14 juin 2022, 18:34:22
Le supplice de cette gorge profonde d'anthologie dure ce qui pourrait sembler être une éternité. Ryo est infatigable quand il s'agit de détruire une fille. Et là, ce n'est pas n'importe laquelle qu'il est entrain de molester. La maitresse du crime à Seikusu se tortille sur le lit, empalée jusqu'au plus profond de sa gorge par une queue impitoyable. Le flic s'affaisse au dessus d'elle pour prendre appui sur le lit. Il lui déboite la gueule comme un taré. A chaque fois qu'il vient se loger en butée contre on menton, il y reste fiché, roulant des hanches, s'éclatant à voir sa queue imprimée dans le cou de la chienne. Chaque retrait entraine l'afflux d'un flot de salive qui tartine le visage de la Signora. Ca coule gras et visqueux, la macule d'humeurs qui terminent collées dans ses beaux cheveux.

Les trois derniers coups de reins de Ryo sont terrifiants. Rachele se plie sous lui, le dos cambrer à se briser. Quand le flic se lâche, c'est une vague de foutre qui déferle dans l'œsophage de la baronne, accès direct à son estomac. Les quantités sont énormes tant le désir de la défoncer était grand. L'homme éructe. Rien n'est plus foutrement bandant que d'avoir cette pute à disposition sous lui. L'éjaculation est puissante et Ryo attend bien de vraiment terminer pour ce retirer de ce fourreau brûlant. Il fait un pas en arrière pour contempler son œuvre. Le tableau est une véritable pièce pornographique. Rachele git, souillée et haletante, à des années-lumière de ce qu'elle était ne serait-ce qu'une heure avant. Une épave, une dépouille, un pantin déglingué, voilà ce qu'elle est à présent.

Ryo l'attrape par les cheveux pour lui relever la tête, elle n'a même pas la force de réagir et il lui crache un molard à la gueule, gratuitement. L'homme va chercher son portable et filme la scène en l'insultant copieusement. Il prend aussi un certain nombre de clichés qu'il transfère sur un cloud perso. En plus de ça, Ryo fait un tour complet de la suite. Bien évidemment, l'ordinateur attire son attention et il revient vers Rachele qu'il tire par terre par les cheveux. Son corps tombe au sol avec un bruit sourd et Ryo s'agenouille sur sa poitrine en lui bloquant les bras le long du corps. Juste entre ses cuisses, le visage de la Belle reste malgré tout un appel au viol.

"Max, jolie pute, donne moi le code d'accès de ton ordi. Ho! Tu m'entends bouffeuse de bite?"


Il la gifle avec sa queue, un aller retour brutal où son pieu s'écrase contre les joues de sa chienne.

"Si tu veux pas répondre, je vais être obliger de te décapiter. je donnerai ton corps à bouffer à des clébards et je foutrai le feu à ce putain de club avec tous les dégénérés qui le peuple dedans. Alors?"

 Ryo se penche et introduit deux doigts de chaque mains dans la bouche de Rachele pour l'écarter grande ouverte. il y crache de nouveau, puis encore avant de poser sa grosse paluche sur les jolies lèvres pour lui verrouiller la bouche et le nez. Il l'emmène presque jusqu'à l'asphyxie et ne la relâche que quand i la sent convulser. Il recommence plusieurs fois ce traitement, et quand il comprend enfin ce qu'elle bave, il sourit satisfait. L'homme se recule de quelques centimètres et vient s'offrir une bonne branlette espagnole entre les obus de son nouveau jouet. Comme pour le reste, il est brutal et les grosses loches ballotent au gré de son rythme.

"PU.TAIN!"

Ces nibards sont aussi doux que du satin. Il les défonce sans merci et son gland vient s'écraser un coup contre la gorge de Rachele, un coup contre son menton ou encore s'enfoncer dans une joue. La giclée qui s'ensuit tapisse le visage de la pute et s'insinue dans le moindre de ses orifices. les orbites de ses yeux sont rougis, irrités et Ryo pousse même le vice à presser son prépuce contre une narine pour terminer de s'y purger.

"C'est bien Max! Si tu continues comme ça, on va bien s'entendre tous les deux."

Ryo retourne à l'ordinateur et tape le mot de passe. Miracle ... Avant de commencer, il lui jette un gros plug anal dont la taille est effrayante.

"Occupe toi avec ça! Quand je vais revenir à toi, ce sera pour te prendre le cul alors autant le préparer si tu veux pas que j'le déchire!"

Les informations qu'il trouve sont démentielles. Le transfert de fichiers en tout genre vers son cloud prend un moment et encore, il n'a pu consulter qu'une infime partie des dossiers et n'a pas compris tout ce qu'il trouvait. Et puis, les retours de caméras posent des questions. C'est quoi ce bordel, tout en bas, à l'Azylum. Combien de captives peuvent bien être là? Lorsqu'il retourne à Rachele, il est d'humeur massacrante. Cette chienne est une tarée de première. Il la prend par la gorge et la soulève sans difficulté. Le plug est là où il a demandé ...

"Au moins, t'as compris dans quelle merde tu es!"

Il la jette sur le lit. La sicilienne s'avachit comme un sac, sur le ventre, et Ryo s'installe sur elle. Il retire le plug avec force et s'y loge à la place. Sa grosse queue pénètre le rectum de la salope sans difficulté et il s'y acharne aussitôt. il lui serre la gorge, lui écrase le visage dans les draps, la martèle aussi durement qu'il le peut, lui ramène les bras dans le dos, les tirent à les briser. La sodomie est féroce, inhumaine.

"Alors Max? On aime bien se faire démonter par son Ryo hein?"
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le jeudi 23 juin 2022, 22:08:33
Quand elle sent qu'il commence à venir et que les première rasades visqueuses et salés inondent sa bouche et sa gorge, Rachele pousse un gloussement de dégout et se cambre dans l'espoir d'échapper à la poigne de fer du flic. La semence lui ressort par le nez et s'échappe par les interstices entre ses lèvres et le membre de Ryo.

Mais l'homme est bien trop fort et elle n'a plus les capacités physiques ou intellectuelles pour luter. Ainsi, après trois petits soubresaut de révolte et de refus, elle se fige et commence à avaler chaque gorgée dans un bruit de déglutition sonore. Depuis son point de vue, Ryo peut admirer les seins de la jeune femmes rebondir à chacun de ses coups de reins pendant que sa trachée fait de longs vas et vient à chaque fois qu'elle ingurgite une nouvelle rasade de sperme.

Quand il s'écarte enfin pour admirer son ouvrage, les dernières rasades de foutre souillent tous le visage et la poitrine de Rachele qui reprend péniblement sa respiration.

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La jeune femme est si épuisée et brisée par les drogues que lui a administré Ryo qu'elle n'arrive plus à se défendre. Il la manipule à loisir et quand il lui crache au visage, elle se contente de baisser les yeux de hontes. Elle parvient à grands peine à retenir un "Merci Maitre", preuve qu'elle résiste encore désespérément aux automatismes et au conditionnement d'esclave que Jucio lui avait infligé. Malgré sa faiblesse, elle se souvient de cette petite chose pitoyable et soumise qui attendait sagement attachée à un matelas que ses clients la visite et un fragment encore pure d'elle-même  refuse toujours de le redevenir.

Mais cette maigre "victoire" ne lui donne pas pour autant la force d'empêcher Ryo de la trainer au sol par les cheveux. La belle trouve à peine la force de gémir de douleur et s'effondre au sol, incapable de se dresser sur ses jambes pour fuir ou se battre. Tout son corps est prisonnier de son sang saturé de substances, comme si une énorme chappe de plomb était tombé sur ses muscles et son esprit.

Ryo - Max, jolie pute, donne moi le code d'accès de ton ordi. Ho! Tu m'entends bouffeuse de bite?

Accéder à son ordinateur ? Non, Rachele ne peut le tolérer. Outre les secrets de la Famille et ceux du Club, la mafieuse crains par dessus tout qu'il accède aux enregistrements de l'Azylum. Ryo pourrait découvrir le sort qu'elle à réservé à sa jolie flic idéaliste et cela risquerait de le rendre plus cruel encore. Le membre épais et à nouveau turgessant du flic vient gifler son visage avec vigueur et la couper dans ses tergiversations, la ramenant à l'instant présent.

Ryo - Max, jolie pute, donne moi le code d'accès de ton ordi. Ho! Tu m'entends bouffeuse de bite?

Non, elle ne veux pas, elle ne doit pas. Elle sent la salive du flic couler dans sa bouche, ajoutant le gout de l'alcool à celui de son sperme alors qu'il emprisonne son visage tout entier entre ses doigts immenses. Elle suffoque, elle voudrait mourir, ce serait plus simple et moins humiliant mais son instinct de survie est trop fort, elle craque et quand Ryo ouvre les doigts elle crache le mot de passe en hurlant d'une voix désespérée. Mais cela ne dissuade pas son tortionnaire qui continue de la manipuler comme la plus misérable des salopes. Pour la récompenser de lui avoir donné le code, il s'offre une nouvelle partie de son corps: ses seins sur lesquels il bavait depuis leur rencontre. Et dire qu'elle pensait que ce serait peut être un jour la plus belle des récompense qu'elle lui offrirait pour ses services...

C'était il y a seulement quelques heures et pourtant c'est comme si une éternité de souffrance s'était écoulée. Plus tôt, ses seins étaient le but ultime à atteindre, maintenant, son gland souillé entre et sort brutalement entre ses deux obus pour cogner son visage, encore et encore, jusqu'à ce qu'il jouisse de nouveau et l'ettoufe presque avec de nouvelles rasades de sperme qu'il semble produire indéfiniment.

Ryo - C'est bien Max! Si tu continues comme ça, on va bien s'entendre tous les deux.

La belle mafieuse n'ose imaginer que cela va continuer. Son esprit est troublé par les drogues, son corps est en feu à cause de la "PinkP", elle arrive à peine à rassembler les bribes de sa conscience pour former des idées cohérentes. Elle est même trop faible pour le retenir ou l'arrêter alors qu'il se rend à son bureau et lui lance un nouveau sex toy ignoble et humiliant qu'il lui ordonne d'utiliser.

A nouveau le passé et le présent s'entrechocs dans ses souvenirs. Jucio est de retour devant elle et elle est de retour dans son cachot en Sicille, sous le domaine de son père assassiné. La caméra est branchée pour tourner un nouveau film porno, le mafieux l' obligera de le voir quand il sera fini pour qu'elle ressente toujours plus de dégout pour elle-même. Les amis du nouveau baron sont là eux aussi, pour profiter du spectacle avec le maitre d'orchestre qui lui lance la... "baguette"... avec laquelle elle va devoir jouer.

Incapable de se relever ou même de s'assoir, Rachele offre à Ryo, confortablement installé dans le fauteuil du bureau, l'image de son cul bombé alors qu'elle se met à quatre patte et fait glisser ses bras entre ses cuisses pour pouvoir y tenir le sextoy pendant qu'elle se laisse lentement glisser dessus en soupirant de plaisir et de honte. Avec une lenteur et un bruit de chaires écartés, le plug élargie la plissure de son anus et s'enfonce en elle.

Sur l'ordinateur, Ryo découvre de nombreuses informations sur son Clan et sur le club. Il découvre que Rachele dispose de 3 lieutenantes dont il va devoir se méfier pour prendre le contrôle du business. Quand il ouvre le fichier AZILUM, il voit d'innombrables fichiers vidéo dont les vignettes laissent imaginer les actes aussi fou que dépravés qui y sont filmés pour transformer les prisonnières et prisonniers et esclaves sexuels.

Un des fichiers retient son attention, celui qui porte le nom "Elyse Catsy", la belle flic qui fut jadis l'amie et l'admiratrice de Ryo. En cliquant sur ce fichier, il remarque qu'il y a déjà plusieurs vidéos à l'intérieur. La vignette de la première, qui s'intitule "Première séance", montre la jeune femme, le regard terrifié, le corps harnaché dans une étrange machine, qui regarde vers l'objectif de la camera en disant: "Que... qu'es ce que vous allez me faire ?!"

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Mais les soupirs de plaisir de Rachele ramènent Ryo au lit qu'elle occupe et à son cul bien dilaté qui réclame du plaisir en faisant de petits aller retours sur le jouet en plastique enfoncé en elle. C'est dans sa nature, l'attrait de la perversion et du mal sont plus fort que tout.
Et plutôt que de regarder ce qui est arrivé à Elyse, il retourne vers sa nouvelle esclave.

Ryo - Au moins, t'as compris dans quelle merde tu es !

Rachele pleure de dégout et n'arrive pas à lui répondre. Parler est trop dur, trop compliqué pour son esprit fragmenté. Et lui est si fort, si imposant et dominateur, elle se sent totalement écrasée et impuissante, à sa merci...

Alors qu'il lui arrache le plug et la sodomise brutalement en l'écrasant de tout son poids, Rachele se remémore la scène traumatique d'un film qu'elle a vue des années plus tôt et qui l'avait terrorisé: Irréversible. Elle réalise alors qu'elle est  Alex, cette belle brune, violée sous un pont. Elle supplie de la même façon, gémit et hurle avec le même dégout et grogne avec la même douleur teinté d'horreur alors qu'il s'enfonce en elle ressort. Puis s'enfonce encore et ressort.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le dimanche 03 juillet 2022, 10:28:34
La sodo, c'était le péché mignon de Ryo. A chaque fois qu'il tirait une fille, il se devait de faire un passage par son cul, qu'elle le veuille ou non. Outre braver les standards, percer l'interdit et fendre les codes de la correction, c'était surtout d'écarteler la fille, de la faire crier, et de lui distendre le rectum que le flic kiffait. Sa grosse queue provoquait des dégâts ignobles et à chaque fois, le même scénario se répétait. Pleurs, hurlements de douleur, insultes, le tout pour se terminer de toute manière par un coït anal hyper violent.

Rachele n'échappait pas à la règle et même si sa résistance avait été émoussée par les drogues, son conduit rectal avait opposé à la queue de Ryo un frein qu'il fit voler en éclat. Sodomiser la mafieuse était la plus belle chose qu'il lui soit arrivé depuis bien longtemps. Ce corps splendide ne demandait qu'à être détruit et il s'y attelait sans retenue. Sous lui, Rachele n'était plus qu'une chiffe molle maltraitée qui ne pouvait plus rien faire d'autre que d'accepter ce traitement. Ses fesses étaient marquées des traces des doigts cruels qui s'y ancraient. Chaque coup de reins était un supplice effroyable tant Ryo y mettait d'ardeur. La  rondelle de la sicilienne saignait, dilatée au maximum, irritée, usée par les allers retours incessants de cette grosse queue qui la démontait. Ryo remontait loin en elle, dépassant les limites de l'acceptable. Autour de son gland, c'était l'intestin de la femme qui protestait contre cette entrée contre nature.

Le flic haletait. Il ne réfléchissait plus. Le reste du monde avait disparu pour lui. Il était complètement accaparé par le cul de la Belle et ne relâcherait la pression que quand il l'aurait rempli de foutre.

"Bordel de petite salope! Tu vaux rien Max! Bouge ton cul! J'suis sûr que t'adores ça, te faire violer le fion par un bâtard de flic hein? Va falloir t'y faire chienne!"

A l'image de ses actes, Ryo n'était pas fin quand il baisait. Le besoin d'humilier et de rabaisser la fille faisait partie de ses excentricités. Les insultes fusaient, gratuites et lourdes, n'attendant aucune réponse puisque ce qu'il disait faisait foi. Ouais, Rachele la Terreur ne valait pas mieux qu'une catin de trottoir à présent, et pour le peu qu'elle puisse encore comprendre, c'était très clair.

L'acte dura longtemps. Comprimé dans le cul de la pute, Ryo n'était pas prêt à tout lâcher. il avait voulu ça dès l'instant où ses yeux s'étaient posés sur la patronne, dans la décharge. Dans sa robe outrancière, elle s'était dévoilée sous un jour provoquant et elle le payait maintenant. La mafia sicilienne à Seikusu venait de perdre sa représentante la plus puissante. Ryo s'affala sur elle, de tout son poids et s'immobilisa. Rachele bavait, hagarde, parfaitement réduite à l'état de chose. Il était temps.

Ryo se redressa, lui écartant les cuisses avec les genoux. Elle en garderait de sacrés bleus. Toujours en elle, il serra son cou à l'asphyxier. C'était risqué mais il fallait qu'elle aussi l'accompagne dans son orgasme et par expérience, il savait que couper l'arrivée d'air au cerveau provoquait des hallucinations sexuelles sans précédents. Il la sentit gigoter, tenter faiblement de se débattre. Elle devait croire sa fin proche et il la laissa à peine déglutir. Il serrait, il l'enculait, terminait de pulvériser son fondement et seulement quand il la sentit partir, il se vida en elle, purgea le contenu dans ses couilles au plus profond de ce cul divin. Il la libéra. L'afflux d'air fut aussi brusque que la vague de sperme qui la remplit. Dans le cerveau blessé de Rachele, ce devait être un véritable chaos tandis que dans son cul, le foutre du flic balayait tout sur son passage. Ryo s'effondra sur elle, trempé, repus de sexe. Sa queue pulsait encore, rejetant les dernières gouttes de son plaisir.

"Putain, quel pied!"

D'un geste brusque, il se retira d'elle pour replacer aussitôt le plug anal et empêcher l'éviction de ses fluides. S'agenouillant près d'elle, il s'essuya le chibre souillé sur son visage et termina par un polissage du gland avec ses cheveux. Rachele le pantin sexuel était loin, très loin d'ici à présent.
La nuit était avancée et Ryo se leva. Il alla prendre une douche et quand il revint, elle n'avait pas bougé. L'homme s'installa au bureau et consulta à nouveau l'ordinateur. Il envoya de nouveaux fichiers sur un cloud sécurisé et se décida à ouvrir ceux d'Elyse. Il grinça aussitôt des dents et jeta un regard meurtrier sur la chose qui gisait dans le lit. Il se contint difficilement. Qu'il serait simple de la buter maintenant. Mais non ... pour la suite, il fallait qu'elle vive ... un enfer.

Après une heure de visionnage, il bailla. il se leva pour aller près de Max. il prépara un dernier fix léger et la piqua dans la nuque, s'assurant une docilité quasi éternelle. Puis il se coucha et s'endormit paisiblement. La journée du lendemain serait un cauchemar pour Rachele.

Quelques heures plus tard, au matin,  un bruit léger le réveilla. Quelqu'un ouvrait la porte de la suite, surement une lieutenante de Rachele, inquiète de ne pas la voir émergée. Ryo passa un bras par dessus le corps de sa victime et feinta le couple étreint et amoureux après une nuit de bonheur. une présence s'approcha d'eux, attendit quelques instants. La respiration de Rachele était mesurée, rassurante aussi la personne s'en alla, préférant éviter d'être surprise près du lit de sa maitresse alors qu'un homme y était.

Sitôt l'intruse partie, Ryo se leva et arracha le drap qui recouvrait la mafieuse.

"Putain, t'as l'air d'un zombie Max, va falloir corriger tout ça. T'arrives à te lever?"

De son gros pouce, il souleva les paupières de la fille toujours inerte. Il la prit dans ses bras et l'emmena dans la salle de bain pour la poser dans la baignoire. Il dirigea sur elle le jet d'eau glacée et ne cessa que quand elle fut totalement réveillée.

"Ca y est? T'es avec moi? Alors écoutes bien. Ton business, je l'ai dans la poche. Ton ordi, je l'ai en double donc si tu me fais chier, je te grille toi et toutes tes tarées de service. Je pense que ça va suffire à te faire réfléchir avant de faire une connerie. Donc tu as compris, on va bien s'entendre tous les deux et tu vas beaucoup m'aimer hein?"

Il la força à ouvrir la bouche et y glissa une pilule blanche, une drogue douce destinée à la faire évoluer sur un petit nuage de bonheur.

"Ca va le plug? Tu veux le garder? Allez! Fais toi belle, on doit t'attendre de l'autre côté. Tu vas m'introduire à ton monde et t'avise pas de merder petite pute ok?"
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 04 juillet 2022, 18:11:51
Ryo - Bordel de petite salope! Tu vaux rien Max! Bouge ton cul! J'suis sûr que t'adores ça, te faire violer le fion par un bâtard de flic hein? Va falloir t'y faire chienne!"

L'homme qu'elle pensait transformer en pantin utile est désormais en train de besogner son petit cul et la traiter comme sa pute. Mais Rachele n'est pas en état de réfléchir à ce qui l'a mené là, à ses erreurs. Une folie sexuelle, cet étrange nuage rose qui embrouille son esprit autant que son champ de vision s'est emparée d'elle et lui impose de se soumettre au mâle qui est en train de lui plisser l'anus avec brutalité.

Et encore une fois ce sont les songes de sa vie d'esclave passé qui se mêlent aux images et aux sensations du présent. Car personne n'avait eu l'honneur de baiser son petit trou depuis qu'elle avait été libérée de Jucio. Et comme lui il donnait à la sodomie de sa victime une signification et un "soin" particulier. Les deux hommes avaient la même logique, les mêmes méthodes, nul doute que si Ryo était né dans une autre famille, avait fait d'autres choix de carrière, il aurait été un grand baron du crime. Désormais il le serait mais devrait toujours se cacher derrière son jouet, raison pour laquelle il s'assure de bien le "régler" pour qu'il obéisse.

Débordée par la douleur mais aussi par des vagues d'un plaisir malsain, nymphomane et masochiste qui remonte à la surface de son âme d'esclave, Rachele se met à rire nerveusement en bavant contre le tissu de son lit, les yeux à demi révulsés et la langue qui pend largement hors de ses lèvres. Ryo sent son cul palpiter autour de sa queue et son vagin se contracter juste derrière alors que de petites gouttelettes de mouille viennent souiller ses bourses. C'est alors qu'il la fait se cambrer, lui écarte les cuisses et la saisit par la gorge pour l'étrangler.

Dans le cerveau bien dressé de Rachele, le brusque manque d'oxigène sonne comme la mort de tout espoir de résistance, le déclique, l'interrupteur placé là des années plus tôt par Jucio pour lui ordonner de jouir en récompense de sa soumission. Rachele, la bouche toujours grande ouverte pousse un gargouillement si fort que Ryo peut le sentir forcer le passage dans sa gorge, sous ses doigts puissants. Mais ce qu'il sent par dessus tout, c'est l'anus de la belle se contracter autour de son membre et se mettre à se crisper et palpiter au rythme de son vagin, de ses hanches qui viennent onduler et battre le bassin du flic pour accroitre leur plaisir.

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La baronne le sent jouir en elle, profusément, encore et encore, elle plisse les yeux et grimasse de dégout en sentant son corps qui jouit d'être ainsi souillé. Elle dodeline de la tête, de droite à gauche pour signifier toute l'horreur et le refus que ses propres spasmes orgasmiques lui inspirent. Puis, quand Ryo la relâche, comme une marionnette aux ficelles coupées, elle s'effondre, le visage et les bras affalés sur le lit pendant que son cul reste bombé et cambré sous les yeux et entre les doigts du flic.

Ryo - Putain, quel pied!

Le butor utilise sa surprenante rapidité et dextérité pour glisser à nouveau le plug entre les fesses de Rachele qui soupir de surprise et gargouille un nouveau "naaan..." entre ses lèvres baveuses et souillées de sperme. Mais elle n'a plus la force de faire le moindre geste pour se soustraire à ses décisions, il la domine totalement.

Quand il se lève pour aller prendre sa douche, la jeune femme reste dans cette position sans bouger, inerte et gémissantes mais toujours le cul bombé et tendu vers le haut, les cuisses grandes écartés. Et bien qu'il prenne tout son temps pour se détendre sous l'eau brulante, elle est dans la même position quand il revient et s'installe sur l'ordinateur.

Contenu explicite: (pose sur le lit)
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Quand il rallumer l'ordinateur et décide enfin de consulter le fichier qui portait le nom d'Elyse et un bref extrait  de ses conditions de détention, le flic réalise que bien que vaincue, la baronne avait déjà lancé d'autres plans pour le tenir en laisse. Et comme elle le lui avait dit sans détour, cela impliquait que la belle flic subisse quelques changements, mais même lui ne s'était pas attendu à une telle brutalité dans ceux-ci...

--- Patiente: Elyse Catsby ---
--- Conditionnement jour 1 ---
--- Protocole nymphomaniaque ---
--- Vidéo n°1 à 4 ---

Vidéo 1 [15 minutes]: Comme sur l'extrait qu'il avait regardé plus tôt, Elyse est attachée, les bras derrière le dos et les cuisses écartés sur une étrange machines qui déploie des fils armés d'électrodes et des tuyaux équipés d'aiguilles autour d'elle. Terrifiée, elle regarde vers la personne qui tient la caméra pour lui demander d'une voix tremblante:

Elyse - Que... qu'es ce que vous allez me faire ?!

Curie – Détendez vous patiente 720, nous allons débuter votre thérapie, vous allez beaucoup mieux vous sentir dans quelques instants.


Répond une voix féminine et profonde derrière la caméra. Celle-ci passe devant le champ et s'avance vers la belle flic attachée avec une paire de ciseaux chirurgicaux qu'elle utilise pour découper ses vêtements.

Elyse – Non ! Mes vêtements , ne me touche pas salope, je ne suis pas folle, laissez moi tranquille !

Curie – Votre comportement témoigne du contraire numéro 720...

Elyse – Je m'appel Elyse ! Je ne suis pas un numéro !


Curie termine sa découpe, Elyse se retrouve nue. La doctoresse active la console de la machine.

Curie – Ce n'est plus important maintenant. Dans quelques instants vous vous sentirez très heureuse et vous oublierez toutes ces choses inutiles pour une bonne pute.

Les câbles électriques et les tuyaux frétillent autour du corps d'Elyse qui s'est mise à transpirer abondamment. Elle regarde leur étrange balais avec de grands yeux ronds de terreur.

Elyse – Une ? Une pute ? Non... ça jamais... jamais vous m'entendez... jaHO !

Les filaments et les tubes qui entouraient sa tête se sont infiltré dans ses oreilles et se sont enfoncé profondément jusqu'à ce que la belle les sente se ficher dans sa matière grise. Tous les autres filaments qui entouraient ses bras et ses cuisses se sont enfoncé en même temps dans ses muscles et ses veines.

Elyse – N.. nan... pitié... faites pas ça...

Supplie la belle flic en voyant Curie diriger ses doigts vers la console de mise en marche de la machine infernale.

Curie – Chuuuuu... chuuuu... caaalme... tout va bien se passer esclave... ta nouvelle vie commence...

Lui répond la doctoresse avec un sourire narquois alors qu'elle active la machine.

Elyse – Nan ! NAN ! HOWW ?!

Les tuyaux fichés dans ses seins, ses membres et sa cervelle commencent à pomper un liquide que Ryo reconnait, c'est de la Pink Paradise, cette étrange cocktail d'hormones et de narcotiques qui rendent ses victimes extrêmement sensibles et nymphomanes. Sauf que le produit est ici si pure et épais qu'il en est presque violet et les quantité qui affluent dans le corps et les méninges d'Elyse sont sans commune mesure.

Elyse – Hoooooo... Qu.. qu'es ce... qu'es ce qui... m'arrive... hummm... huuuu... je..  je brule... mon corps... mon dieu... mes seins... mes seins ! Il vont exploser ! Pitié stop !

Les pupilles de la belle flic se dilatent et son expression se trouble, ses seins gonflent et ses tétons rougissent et pointent en tremblant. Elle qui n'a jamais pris aucune substance interdite, qui a toujours été pure et droite, est totalement subjuguée par le poison qui coule dans son corps et inonde sa tête.

Curie s'esclaffe et vient lui glisser deux doigts entre les lèvres intimes. Elyse sursaute, comme si elle avait été frappé et ouvre grand la bouche en gargouillant de plaisir.

Curie – Et ta petite chatte aussi est en feu à ce que je vois petite dévergondée... tu vois... toi aussi tu es une petite salope avide de baise... rassure toi, je vais rassasier ta faim de bites... et je vais même faire mieux...

Curie utilise sa main libre pour appuyer sur une autre commande, cerclée de rouge et portant une icone "Danger". Les électrodes fichées dans les oreilles et les zones érogènes d'Elyse grésillent et vibrent.

Elyse – GAAAAAAA !!!

Hurle Elyse en se cambrant de tout son corps. Un filet de cyprine jailli de son méa et souille les talons aiguilles de Curie qui ricane à nouveau en voyant la jeune femme convulser de plaisir et jouir d'un seul coup.

Curie – Voilaaaa voi...laaaa... Ho la ravissante petite femme-fontaine que voila... on est une bonne petite pute et maintenant on va jouir jusqu'à ce qu'on soit devenue une bonne esclave obéissante...

Elyse, toute choquée parce qui vient de lui arriver, lance un regard plein d'interrogation et de terreur vers Curie, mais elle n'a pas le temps de dire quoi que ce soit que le grésillement des électrodes reprend.

Elyse – HAAAAAG !

La ravissante prisonnière se cambre de nouveau, le corps déchiré par un nouvel orgasme. Curie toujours sur sa console active le dernier programme, deux énormes gods commencent à monter vers la chatte et le cul de la belle pour lui porter le coup de grace...

Curie – Nous allons partir sur un traitement de trois heures pour commencer...

Elyse – Quoi ?! Nan ! Pitié stop nan je GAAAAAAAAA !!!


La première vidéo se termine sur les deux gods qui pénètrent sauvagement la jeune femme en même temps qu'un nouvel orgasme arrache un hurlement toujours plus fort et plus dément à Elyse.

Vidéo 2 [15 minutes]: Elyse lutte encore désespérément et la fatigue se lit sur ses yeux d'où coulent toujours des larmes de désespoir. Mais la machine continue imperturbablement à la pilonner avec ses gods et à la faire jouir brutalement. Entre deux hurlements incontrôlables de jouissance, elle supplie désespérément la doctoresse maléfique d'arrêter.

Elyse: - Haa.. haaa... J'en... j'en peux plus... pitié... plus jouir... je peux plus jouir... vais mourir... HOOOOOG !!!

Curie – Mais non, mais non, tu ne vas pas mourir esclave, juste devenir une brave petite pute nymphomane... Fin de la première heure de traitement, la patiente résiste encore, je procède à l'injection de la Pink Paradise concentré directement dans le clitoris interne pour en augmenter le volume et la sensibilité. Traumatisme neurologique et psychologique à prévoir...


Une nouvelle aiguille se fiche dans le bas ventre d'Elyse et lui injecte une énorme dose du poison qui la détruit de l'intérieur. Tout le corps de la jeune femme se met à trembler et la fatigue disparait soudain de son visage qui se met à rougir de honte.

Elyse – Hooo.. hoooo Je.. je jouiiii je... je jouiii !

La vidéo se termine sur son visage qui commence à changer alors que son expression de lutte et de courage disparait...

Vidéo 3 [15 minutes]:

Elyse – HOOO ! JOUIR OUI ! ENCORE ! ENCORE ! JE JOUIIII ENCORE HOOO ! ENCORE ! HOOOO

Toute forme de raison ou de combat à déserté le visage d'Elyse pour ne laisser qu'une expression de plaisir extatique intense. Elle ne pleure plus. Ses lèvres affichent un large sourire dans une impression de bonheur et de plaisir absolu, ses grands yeux plein d'innocence sont levés vers le ciel et louchent dans une expression de folie et d'hébètement total. Elle ne combat plus la machine, elle l'accompagne et ondule des hanches contre les deux gods qui la fourrent pour qu'ils puissent la baiser plus profondément et plus rapidement.

Curie – Fin de la seconde heure de traitement, la patiente 720 répond très bien à l'augmentation de ses sensations clitoridiennes. J'augmente la fréquence des impulsions électrique pour obtenir un état orgasmique permanent.

La vidéo se termine sur les doigts de Curie qui presse la commande "+" de sa console jusqu'à ce qu'une icone "danger" apparaisse.

Vidéo 4 [15 minutes]: Les yeux d'Elyse sont maintenant totalement révulsé et se sont remis à pleurer alors que les électrodes grésillent de manière permanente dans ses oreilles. La bombardant d'orgasme seconde après seconde alors que son esprit et sa volonté se fracturent, fondent et se dissolvent sous la jouissance.

Elyse – Hooooo... hooogg.... ho... hoooo...

Ses hurlements se sont mués en un long gargouillement ininterrompu de plaisir et de folie. Ses tétons, devenu énormes et rouge, crachent des filets de lait en même temps que son méat éjacule de manière permanente des jets de ciprine brulante.

Tout son corps n'est plus que plaisir, orgasme et abandon de l'esprit à la chaire triomphante. Les deux gods se sont enfoncé si profond en elle qu'ils lui déforment le bas ventre en crachant une sperme épais et visqueux.

Curie – Fertilisation par sperme de succube terminée. A permis la lactation des seins et un décuplement des sensations orgasmiques de la patiente. Elle semble prête pour les phases de dressage suivants. Fin du rapport Jour 1.

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Fin de la vidéo. Le flic ravale ses envies de meurtre, mais sans doute pas de désir après la violence sexuelle dont il vient d'être témoin. Il s'approche du lit, Rachele est en train de reprendre ses esprits. Elle n'a pas changé de position mais ses doigts et ses jambes recommencent à bouger. Elle dodeline de la tête alors qu'elle reprend ses esprit et cherche un moyens de bouger, de se sortir de se traquenard.
Ryo est sans pitié avec elle. Après ce qu'il vient de voir, il n'a aucune raison de l'être. Il dose jusque ce qu'il faut pour la fixer à nouveau et la garder bien sagement sous sa coupe pour la nuit et la lui plonge dans la nuque, directement vers le cerveau.

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Les idées de moins en moins nébuleuses de Rachele explosent à nouveau et elle replonge dans les méandres d'un délire narcotique. Elle le sent, il s'allonge contre elle, elle sent son alène, son sexe poisseux de foutre et de ciprine qui souille sa cuisse, ses mains immenses qui se referment sur son cou et ses seins pour les caresser et masser pendant qu'il s'endors. Rachele sent tout ça, mais son corps reste inerte, sans défense, elle est là, pantelante, a attendre que le sommeil la gagne aussi...

--- Au matin ---

Ryo - Putain, t'as l'air d'un zombie Max, va falloir corriger tout ça. T'arrives à te lever?

Elle arrive à peine à battre des cils tant les drogues de la veille lui ont démoli le cerveau. Elle est encore faible et vaseuse, incapable de dire un mot et déjà, elle ressent le besoin, le manque. Il n'est pas encore trop présent, trop écrasant mais il est à nouveau là, prêt à la faire souffrir, à lui faire accepter n'importe quoi. Rachele vit un cauchemar, le pire cauchemar, Ryo a remplacé Jucio et elle a à nouveau peur, elle à a nouveau faim et elle a à nouveau besoin de sa dose.

Elle se sent soulevée dans les air, c'est agréable, le contact de la porcelaine de la baignoire aussi, l'eau froide elle ne sait pas. Une partie de son corps, toujours en feu et qui réclame du plaisir et du sexe se contracte et pointe à son contact. Ses seins obusiers couverts de gouttelettes d'eau, offrent à Ryo un spectacle d'une rare splendeur.

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L'autre partie de son corps en revanche déteste cette intrusion et ramène la jeune femme à elle. En d'autres circonstances, celui qui se serait permis de la réveiller comme ça aurait pris une balle dans la tête. Mais cette homme était Ryo...

Ryo - Ca y est? T'es avec moi? Alors écoutes bien. Ton business, je l'ai dans la poche. Ton ordi, je l'ai en double donc si tu me fais chier, je te grille toi et toutes tes tarées de service. Je pense que ça va suffire à te faire réfléchir avant de faire une connerie. Donc tu as compris, on va bien s'entendre tous les deux et tu vas beaucoup m'aimer hein?

Rachele s'empourpre de rage, elle voudrait lui cracher au visage. Mais elle réfléchi à ce que Ryo vient de lui dire et bien qu'en colère, elle se ravise et elle se contente d'acquiescer de mauvais grâce. Elle n'a pas le choix si elle veux que le Rachele'S et son empire continuent d'exister, elle doit devenir sa pute, elle n'a pas le choix.

Ryo - Ca va le plug? Tu veux le garder? Allez! Fais toi belle, on doit t'attendre de l'autre côté. Tu vas m'introduire à ton monde et t'avise pas de merder petite pute ok?

Rachele - Espèce de... hummm..


La baronne enrage, même si elle semble encore fragilisée par le fixe que Ryo lui a donné la veille. Elle baisse finalement la tête résigné à devoir respecter le chantage:

Rachele - Oui... Maître... Comment voulez vous que je m'habille et laquelle de mes Lieutenantes désirez vous rencontrer en premier ?

Ryo - Une sale pute ne demande pas comment elle doit s'habiller. Tu te vêtiras conformément à ta condition de salope. Je veux que tu sois aussi vulgaire qu'une catin des rues. Je suis sûr que ca te branche hein? Et fais en sorte que Curie m'apprécie. Elle m'a l'air d'être la plus timbrée de toutes. Ne te foire pas ou je lui ferais exploser le crâne si je sens que ca part en couilles.

Rachele - (dégluti) Bien, Maître. Pour préserver les apparences et le business, il faudrait que vous endossiez le rôle d'un de mes lieutenant... mon bras droit vous permettrait de ne pas éveiller les soupçons malgré le... temps.. que nous passons ensemble...

Ryo - Ouais c'est évident. Et évite de me prendre pour un débile à le faire la leçon. T'as pas assez morflé encore? Tu veux d'la bite?


Rachele frissonne et se frotte les bras et le cou, preuve qu'elle est en train de reprendre ses réflexe de junky et qu'elle commence à être en manque. Cela trouble son esprit, la rend moins intelligente et la pousse à faire de mauvais choix. Mais elle ne peut pas faire autrement, son corps réclame, et pour ne pas souffrir, elle doit obéir à son maître pour qu'il la récompense.

Rachele - Non Maitre... pardon... je veux juste que le business continue de fonctionner et que personne ne soit tué. Curie et Sonia sont très intelligentes, il faut que notre histoire soit bien monté ou elles devinerons tout.

Ryo - Pas mon problème ces détails. C'est toi Max, arranges toi pour que ca passe. De toute manière, tout échec ou hésitations entrainera une punition.

Rachele - Je... je n'échouerais pas Maitre, je vous le promet... mais... mais pour que je soit en état... je vais avoir besoin de ma récompense...pi... pitié... je ferais tout ce que vous voudrez...


Dit elle en se frottant les bras et en détournant le regard comme la petite accro qu'elle est entrain de redevenir.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le mardi 05 juillet 2022, 13:33:54
Maître, elle lui donnait du maître à tout bout de champ. Terminée la mafieuse qui faisait trembler Seikusu. Maintenant qu'elle était sur le carreau, Ryo avait les coudées franches pour la suite. Devant lui, Rachele n'avait plus rien de glorieux ni d'effrayant. Elle se tenait misérable telle la junkie qu'elle redevenait. Les tics typiques du manque commençaient à apparaitre. Elle avait replongé si facilement dans la poudre que Ryo se demandait comment elle avait fait pour en sortir. Elle vivait pour la drogue et en crèverait surement aussi d'ailleurs.

"Tout ce que je veux?"


Il n'entendait pas qu'il en fut autrement. Et ce qu'il voulait, ce pervers déjanté, c'est se repaitre de sa putain tant qu'il le pourrait.

"Viens par là, fous-toi à genoux!"

Bien obéissante, c'était un bon début. C'est comme ça que Rachele allait passer le restant de sa vie à ses côtés. Ryo se dévêtit et s'approcha d'elle. C'est contre son beau visage qu'il se frotta la queue et se branla pour durcir. La peau douce de la sicilienne était un appel à la luxure et de la voir si soumise, presque larmoyante d'envie, le désir du flic arriva sous forme d'un afflux sanguin qui propulsa sa bite au rang de grosse queue fonctionnelle.

"J'te défoncerais la gueule plus tard, faut que tu sois pas trop pourrie pour après."

On était loin des belles paroles de leur rencontre où chacun jouait le jeu de la fausse séduction.

Ryo, debout devant son fantasme, fléchit ses jambes et vint se loger entre les gros seins encore tout frais du passage par la douche. Putain, c'était pas croyable d'avoir une paire de loches pareille! Gros, doux, fermes mais pas trop non plus, les seins de Rachele n'avaient plus qu'une fonction: l'englober pour le faire gicler. Ryo se paya une branlette espagnole d'anthologie, insultant Rachele, crachant sur sa queue pour la lustrer pour un meilleur glissement. La salope devait s'activer, faire en sorte qu'il prenne un max de plaisir. Elle dut presser ses seins autour de lui et jouer son plus beau rôle de chienne, en attente de sa récompense.

"Putain que t'es bonne à ça Max! Mais t'es faite pour tapiner! C'est la seule chose qui te réussit"

Il devenait brutal, molestant cette poitrine sublime de coups de reins dantesques. Les gros nibards de Rachele ballotaient autour de lui, l'excitant, l'irritant et amenant progressivement l'acte à son terme. Ryo gicla furieusement, arrosant la poitrine de la patronne d'un sperme épais et flasque qui garda sa consistance compacte plutôt que de couler le long des courbes charnelles. Le flic se recula et se laissa tomber sur un fauteuil. Son smartphone cliqueta tandis qu'il immortalisait la scène de quelques clichés bien cadrés. Rachele luisait de foutre et même ravagée, était superbe.

"Va t'fringuer, pas de douche, je veux que tu garde mon foutre sur ta peau. Et oublie pas, je veux que ce soit une pute qui sorte de cette chambre. Ce sera carnaval, tu inventeras un truc."

Pas besoin de réponse, elle allait obéir. En attendant, i passa ses affaires, se servit un whisky, puis un deuxième avant d'aller se passer un coup d'eau sur le visage et dans les cheveux. Fidèle à lui-même, il avait tout l'air du typa pas aimable qu'il ne fallait pas faire chier.

Encore assez fragile, Rachele mit un certain temps à se préparer. Ryo pensa à tous les évènements passés depuis leur rencontre et à ce qu'il avait découvert. les rouages de son intelligence négative se mirent en route et il se livra à une analyse générale des choses. Elyse ... Le traitement qu'elle subissait allait l'abrutir complètement mais Ryo y mettrait sa patte pour en faire ... SA Lieutenante. Si il réussissait , elle serait un atout de grande importance sur son échiquier. Ensuite Curie serait sa première cible. Elle était selon lui la plus dangereuse mais aussi la plus utile des subordonnées de Rachele. Il avait parcouru son dossier. Des individus de ce pédigrée pouvait intéresser des nations comme Israël, toujours à la recherche de criminels antisémites. Le Mossad était réputé pour ses méthodes d'exécution et son efficacité. Il lui fallait neutraliser Curie en priorité pour avoir accès aux machines de l'Azylum, nécessaires pour dompter l'ensemble des personnels de Rachele, et Rachele elle-même aussi bien qu'elle fut déjà plus que docile. Ryo n'avait pas bien compris ce dont il s'agissait. Technologie Tekkane? Un nom qu'il ignorait. Il allait devoir poser des questions mais une fois seulement Curie asservie.

Sur l'ordinateur, il créa un dossier intitulé Curie Nazie qu'il mit en disponibilité sur son cloud.  c'était très simple. Si le cloud n'était pas ouvert chaque semaine, les fichiers seraient envoyés à l'ambassade d'Israël au Japon, peut être l'un des lieux auquel la mafia de Rachele ne pouvait pas s'attaquer, que ce soit physiquement ou par hacking. Personne ne faisait trembler l'Etat Hébreux.

Il dut s'arrêter là car Rachele apparut, superbement salope et outrancière.

"Tu es très belle Rachele, viens me voir."

Quelle ironie ...

Il la fit asseoir sur ses genoux et la piqua entre les doigts: une nouvelle dose très légère qui en nécessiterait une autre assez rapidement. Le contrôle ... il le gardait.

"Allons-y Max! c'est toi la patronne."

Quand elle sortit de sa suite, il se tenait légèrement en retrait derrière ele, sûr de lui mais affichant un respect appuyé pour celle "qu'il servait" dorénavant.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le vendredi 29 juillet 2022, 22:41:48
Ryo - J'te défoncerais la gueule plus tard, faut que tu sois pas trop pourrie pour après.

Rachele ne répond rien, elle n'en trouve pas la force, à peine en exprime t'elle l'envie, intérieurement, mais cette petite voix qui l'appel à résister pour le salut de son corps et de son âme  se fait de plus en plus discrète à mesure que Ryo la tient avec ses petits cocktails.

Au lieux de ça elle fixe la queue monstrueuse de son nouveau Maître, gonflée de veines palpitantes, qui s'écrasent contre son visage pour y grossir et y essuyer son pré-sperme qui déjà ruisselle de son urètre affamé de jouissance. Machinalement, comme poussée par ses plus bas instincts mais surtout par son dressage d'esclave sexuelle, la belle brune saisit ses propres seins entre ses mains pour les relever vers le haut tout en les écrasant l'un contre l'autre. C'est alors que le puissant minotaure qui règne désormais sur son labyrinthe les empale d'un coup sec et écrase son gland sur ses lèvres.

Hoo... doucem.. euuu... pardon... je veux di..dire... merci Maître... merci...

Mais il semble ignorer totalement ses murmures pour se concentrer sur son plaisir égoïste et brutale. Il commence à aller et venir bestialement entre ses deux superbes mamelons. Il est si fort et animal que Rachele à du mal à suivre le rythme, sa queue est si énorme et agressive qu'elle parvient à lui faire mal aux seins ! C'est la première fois qu'un homme parvient à lui donner la sensation de se faire violer de cette manière... sans même la pénétrer...

Ryo - "Putain que t'es bonne à ça Max! Mais t'es faite pour tapiner! C'est la seule chose qui te réussit"

Grogne sauvagement le flic pendant qu'il lui baise les seins et la bouche en même temps, tans sa queue est longue. Au fond d'elle, Rachele sait que c'est faux, elle sait ce qu'elle a crée avec son club et ses relations, elle ne veux pas le perdre et surtout, elle a besoin de sa dose quotidienne pour bien se sentir. Alors, elle doit se soumettre pour préserver son empire et le petit cadeau de son Maitre...

Elle lui lance de petits regard de chienne honteuse pendant qu'il lui bourre le creux des seins encore et encore, pilonnant ses mamelons qu'elle peine à serrer contre sa verge en acier jusqu'à ce qu'enfin, il jouisse. Il éjacule dans sa bouche grande ouverte, sur son visage parfait qu'il souille entièrement au point de lui faire fermé un œil atteint par une chaude rasade de foutre. Enfin il jouit encore et son sperme ruisselle dans la vallée formée par les seins obusiers de son esclave qui dégluti difficilement pour avaler la semence qui empli sa bouche.

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Quand il se lève pour la prendre en photo, la belle ne bouge toujours pas, elle reste dans la même position, retenant le sperme sur sa poitrine en maintenant ses mains sur ses seins. Ryo prend de superbes clichés de son esclave fixant l'objectif d'un regard innocent et un peu perdu dans cette position de soumission totale.

Ryo - Va t'fringuer, pas de douche, je veux que tu garde mon foutre sur ta peau. Et oublie pas, je veux que ce soit une pute qui sorte de cette chambre. Ce sera carnaval, tu inventeras un truc.

Pour toute réponse, la belle mafieuse ferme les yeux, une larme de résignation coule de son œil droit pendant qu'elle hoche la tête si bas qu'on dirait qu'elle se prosterne. Puis elle se dirige à quatre pattes vers sa buanderie...

Pendant ce temps là, le flic fait ses plans, prépare son piège, élabore diverses possibilités avant de choisir sa cible prioritaire: Curie. En cherchant bien dans les affaires de Rachele, Ryo découvre un objet aussi incroyable qu'inattendu, le poteau rose même. Une photographie, ancienne mais en parfait état de Curie mais quand elle était encore un médecin nazi pendant la seconde guerre mondiale. Et bien que l'uniforme la rende détestable, le flic découvre également qu'elle est d'une beauté époustouflante elle aussi.

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Une fois la photographie récupérée et le dossier Curie Nazie crée dans le cloud, il se retourne et découvre une Rachele absolument somptueuse en soumise. La robe qu'elle avait porté jusqu'alors était faite du même matériaux, du vinyle noir, mais celui-ci reflète totalement la soumission et l'invitation au viol. De superbes cuissardes à talons hauts, des gants qui se finissent par des sabot de jument et un corset noir ouvert sur les seins et qui forme un collier autour de son cou gracile. Le tout, ligoté d'une superbe corde d'un rouge étincelant qui lui li les bras et passe dans l'anneau autour de sa gorge pour en faire une laisse:

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Malgré toute sa cruauté et son inhumanité, le démon de la basse-ville ne peut s'empêcher d'avoir le cœur empli de fierté, de désir et de satisfaction à l'idée de savoir que cette splendeur, cette perfection féminine, lui appartient désormais. Et pour que cela continue, encore et encore, il sait ce qu'il doit faire, tout les jours, régulièrement, pour la garder toujours auprès de lui...

Ryo - Tu es très belle Rachele, viens me voir.

Elle approche à quatre patte en dandinant des fesses, toute émoustillée à l'idée de recevoir sa récompense, chassant la voix de la raison qui lui hurle de fuir, préférant s'assoir sur les genou de son geôlier pour qu'il puisse lui passer une chaine de plus autour du cou, pire que cela, jusque dans les veines. Comme une enfant, elle le regarde faire, hypnotisée par la couleur de l'acier qui pénètre sa peau, par celle de son sang qui trouble la transparence du liquide maudit, par le subtile sifflement du piston qui pousse inexorablement la drogue vers son corps vulnérable qui se pâme de plaisir...

Rachele – Hooo... c'est... c'est bon... hooo

Elle se cramponne à Ryo pour ne pas chavirer sur le sol, ses yeux se révulsent et se ferment à moitié pendant qu'elle se laisse retomber contre sa poitrine puissante et virile, cherchant stabilité et réconfort entre les bras du bourreau qui la condamne à la servitude. Puis le tournis commence à passer et elle se sent bien, toutes les choses compliquées de la vie ont été chassée de son esprit, la peur, les tracas du quotidien, la complexité de ses pensés confronté à ses innombrables choix, envolés... désormais tout est simple, il n'y a plus de choix, plus de pensée, le maitre décide pour elle et elle fait selon ses désirs, en échange de quoi il la fait jouir et lui donne son cadeau pour qu'elle se sente bien, comme le faisait Jucio il y a longtemps. Sous l'influence de la drogue, la vie et l'esprit de Rachele deviennent une page blanche sur laquelle rien ne s'écrit jamais car son seul rôle est d'essuyer le foutre de Ryo comme s'il s'agissait de papier toilette...

Ryo - Allons-y Max! c'est toi la patronne

Rachele se relève et prend la laisse entre ses dents pour que Ryo puisse s'en saisir. Puis elle le guide vers l'ascenseur. Une fois à l'intérieur, elle couine comme une chienne pour lui montrer le panneau de commande. Elle pose son nez sur le mot: "AZYLUM" et vient lécher la main du flic qui tient le trousseau de clef qu'elle utilisait avant qu'il ne devienne le nouveau "boss".

Bien entendu, le flic comprend et l'ascenseur descend vers les profondeurs du club, vers l'Azylum, ses laboratoires abominables, vers Elyse et Curie...


--- RETOUR A L'AZYLUM ---


Les portes de l'ascenseur s'ouvrent sur un concert feutré et terrifiant. Ses instruments sont les innombrables gorges de celles qui finissent ici. Leurs hurlements de folie, de douleur et de jouissance parvenant des différents sas des laboratoires qui ornent les couloirs de l'asylum, l'usine à esclave de Rachele, territoire incontesté de Curie...

La baronne du crime guide son nouveau Maître vers celle-ci de coursive en coursive, de couloir en couloir, traversant des laboratoires dans lesquels Ryo découvre l'incroyable diversité de machines à esclaves, aux technologies folles.

Dans l'une d'elle en particulier, il reconnait les casque de lavage de cerveau qu'il avait déjà vu fixé au visage d'Elyse pendant qu'une machine la violait et remplissait son ventre. Là, ces casques sont fixés sur les visages d'une dizaine de jeunes femmes de diverses origines, enchainées à des lits sur lesquels elles sont impitoyablement baisées par des clients du bordel. Leurs visages ne laissent que peu de secret sur l'état mental dans lequel les plonge cette odieuse "thérapie". Certaine gémissent de plaisir, totalement épuisées par les orgasmes à répétition, la bouche entre ouverte et la bave au lèvre, totalement hébétée et décérébrée. D'autres hurlent de plaisir, le sourire au lèvre, la langue pendante de manière pornographique alors que leur esprit fond et que leur personnalité vole en éclat. Une seule chose subsiste, la nymphomanie...

La chose la plus impressionnante sur ces jeunes femmes, c'est la taille de leurs seins, de leurs hanches, l'aspect charnu et gonflé de leurs lèvres intimes et de leurs tétons ainsi que la pilosité de leurs dessous de bras et de leur vulve.

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Curie – Traitement hormonal de stade 4

La voix vient de derrière Ryo et Rachele. La doctoresse se trouvait derrière un moniteur de contrôle et s'en est levée pour rejoindre la baronne et son "lieutenant". Curieusement, Curie ne fait aucune remarque sur le fait que Rachele soit couverte de sperme et harnachée de manière humiliante comme une esclave. Le flic comprend alors que la baronne doit s'adonner de temps à autres à ce genre de jeu et que sans le savoir, elle s'était déjà condamnée en le faisant, puis ce que cela n'éveille pas les soupçons du personnel...

Curie – Augmentation de la taille des seins, des hanches, de la vulve qui devient plus épaisse et serrée, idéal pour les sensations de la queue du client. Explosion de la libido et de la fertilité également. Pour les poils, nous les faisons épiler au laser si le client préfère les modèles lisses...

Totalement absorbée par son plaisir d'expérimentation maléfique, l'ancienne doctoresse nazie, qui ne semble pas avoir plus de 20 ans, continue de décrire son travail et ce qu'elle inflige à ses pauvres jeunes femmes pour en faire des objets de plaisir. Elle utilise les mots "modèles lisses" comme si elle parlait de produits, de jouets, de poupées gonflables.

Elle leur passe devant et leur fait signe de les suivre en écoutant ce que Ryo pourrait lui dire. Elle traverse la foret de corps violés et conditionnés pour la baise et les entraine vers le fond de la pièce où une voix familière participe au concert de hurlement de jouissance...

Elyse... oui, c'est elle et elle est en train de jouir, très fort, elle hurle de plaisir quelque part devant eux, au milieux de ces corps attachés et transformés.

Curie – Ce sera la prochaine étape que nous franchirons avec votre hôtesse Monsieur Le Policier. Pour le moment nous la rendons oro-sexuelle...

Avant qu'il ne puisse demande ce que c'est, Ryo à un début de réponse en voyant la belle et jeune flic. La ravissante idéaliste est attachée nue à une chaise de laboratoire, un énorme god enfoncé dans l'anus la pilonne sans relâche. Sa bouche est maintenue grande ouverte et sa langue sortie pour permettre d'y accrocher des électrodes et des capteurs qui donnent de petites impulsions. Sa tête est équipé d'un attirail similaire qui grésille à chaque fois qu'un électrochoc lui est administré et la fait hurler de plaisir. Ses yeux enfin, sont maintenu grand ouvert pour l'obliger à regarder en boucle des images hypnotiques de femmes en train de sucer des queues et faire des gorges profondes.

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Curie – Pour faire plus simple, nous lui apprenons à jouir par la bouche. Pour qu'elle ressente chaque fellation que vous lui imposerait comme une pénétration anal ou vaginale.

La doctoresse infernale ricane, elle laisse glisser ses ongles sur un sein de Rachele qui tressaille avant de passer sa main dans le bras libre de Ryo.

Curie – Vous verrez, quand elle sera prête, elle vous suppliera pour que vous la laissiez vous sucer

Chuchote t'elle à l'oreille du flic.

Curie – Vous êtes venu voir l'avancement des travaux sur votre jouet ou juste promener Rachele pendant ses rares envies de soumission ? Vous êtes un chanceux vous savez ? La baronne ne laisse presque personne la traiter en esclave. Vous devez être quelqu'un de particulier.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le dimanche 31 juillet 2022, 21:53:25
Putain de bande de tarées!

c'est exactement ce que penses Ryo et plus il évolue dans l'Azylum, plus il a envie de foutre le feu à tout ce bordel, de se barrer de cet endroit et de l'oublier. Mais cela lui est impossible. Il est des retours qui ne peuvent être accomplis une fois qu'on a mis le pied dans un engrenage infernale. Et le Rachele's était justement un piège qu'il fallait dompter plutôt que fuir. En ce sens, il s'en sortait bien pour l'instant. Max obéissait, dominée par l'afflux de drogues dans son organisme et plus ou moins dépendante de la queue du flic corrompu. Alors certes, elle était la maitresse incontestée de ce foutoir mais il fallait aussi se méfier de son environnement.

Le spectacle grotesque de filles se faisant tringler comme des vaches le fit ricaner. Elles, il s'en foutait, elles pouvaient bien crevées. En revanche, quand il vit Elyse la bave aux lèvres et sévèrement pilonnée, ses mâchoires se crispèrent autant que la bosse dans son pantalon enfla.

"Boulot remarquable!"

Curie les avait rejoint après avoir quitté son pupitre. Ryo la détailla. un joli bout de femme complètement barrée.

Putain de nazie!

Elle, il pourrait la buter gratuitement, juste pour le plaisir. il existait des monstres en ce monde mais très peu aussi répugnant que cette engeance aryenne. Néanmoins, il n'en laissa rien paraitre et reprit de son ton bourru pour dissiper d'éventuels soupçons.

"Ouais, qu'elle suce bien. C'est le genre de pute que j'kiffe."

Il jeta un regard en biais à Rachele. Ca, c'était aussi pour elle. Avec la patronne, il usait d'un langage correct en public. C'était un jeu et tous le savaient. Personne ne se permettrait de parler à Max sur un ton familier. En revanche, avec ses employées, il n'y avait aucune raison que Ryo joue les culs bénis. Il restait lui-même et ne mettait la puce à l'oreille de personne. Et quand Curie lui prit le bras, il passa directement au tutoiement.

"Ouais, j'ai été le premier surpris et je t'avoue que j'ai jamais passé une nuit pareille. J'ai failli crever de plaisir. Ta patronne m'a emmené dans un monde d'une perversité que je n'imaginais même pas."

Il désigna discrètement Rachele d'un hochement de tête.

"Et elle continue à me surprendre. J'ai les couilles vides et la bite en feu. Mais ... j'ai gagné un pari cette nuit et nous sommes descendus te voir pour appliquer un gage à ta maitresse. Ça reste gentil mais je suis fier de l'avoir fait jouir cinq fois de suite sans discontinuer."

Il fit un clin d'œil à Curie.

"Moi aussi, j'ai une certaine endurance."

Il se tourna vers la sicilienne, divinement délicieuse ainsi harnachée et odorante d'effluves masculines.

"Quel était le gage ma chère? Que je vous attèle à l'une de ces machines pour une durée raisonnable?"

Rachele approuva évidemment, suivant de toute manière tout ce qu'imposerai Ryo. Il désigna la place libre à côté d'Elyse et un court instant après, la mafieuse s'y installait d'elle-même.

"J'espère que c'est pas dangereux pour elle, on peut régler ce truc au plus bas?"

Il avait noté le sursaut de surprise de Curie mais Rachele restait la patronne ici et elle approuva le traitement avec une expression parfaite de sincère perversité. Cette pute était une actrice de premier rang! le flic laissa la scientifique s'occuper des détails techniques et la machine se mit en branle. A l'instant où le gode s'enfonça entre les fesses de la sicilienne, il vit dans son regard l'étincelle de l'absolue soumission.

"Remarquable! Le gage commence! Appréciez maitresse, je n'en ai pas pour longtemps! Tu me fais visiter ton royaume?"

Il donnait toujours le bras à Curie et essayait de deviner ses préférences ou ses répulsions. Elle povait être lesbienne, ne pas supporter le contact des hommes aussi n'imposa t'il pas sa force brute pour la guider. Au contraire, il la suivit pas à pas, s'émerveillant devant des merdes dont il n'avait rien à foutre mais qui semblaient importantes à la scientifique. L'atmosphère de l'Azylum était pesante, mélange de technologies surprenantes couplé aux bas instincts de l'humanité. Il posait des questions crades mais qui attendaient une réponse technique. Dans une cellule, elle lui présenta un nouveau sujet d'expérience. Une jeune femme avait fait l'objet de mutilations atroces et une infirmière tentait de la réanimer à l'aide de poignées de défibrillation. Ryo n'eut que quelques secondes pour échafauder un plan. L'occasion ne se représenterait pas de sitôt. Ils venaient de passer devant la salle de surveillance que personne n'occupait aussi n'avait-il pas à se soucier des regards. Il s'approcha de l'employée et lui saisit les poignées de l'appareil de réanimation.

"Tu sais pas y faire, regarde j'te montre."

Ryo se retourna brutalement, pressa le dispositif de défibrillation sur la poitrine de Curie et activa une décharge électrique. Le choc fut d'une grande violence et propulsa l'allemande contre un mur qu'elle heurta de la tête avant de s'affaler mollement. L'infirmière n'eut pas non plus le temps de réagir que Ryo lui brisait la nuque dans un craquement sec. Sa réaction était instinctive. Plutôt que de perdre du temps à élaborer un plan compliqué pour dompter la scientifique, il avait sauté sur l'occasion pour la neutraliser. La pièce dans laquelle ils se trouvaient ressemblait à une morgue. Dans un coin, il repéra un énorme broyeur à viande et y fit disparaitre l'infirmière qui fut réduite en charpie. Il y balança également le corps du sujet d'expérience et quand son regard se posa sur Curie, il hésita. Il aurait bien débarrasser le monde de cette abomination mais si il avait bien compris, elle seule maitrisait les technologies de l'Azylum. Il la chargea donc sur son épaule et l'emmena dans la cellule où Rachele et Elyse bavaient de plaisir.

"J'te ramène ta copine. T'inquiète! Elle est pas morte."

Curie était dans les vapes, secouée par les milliers de volt qu'elle n'avait pas vue venir. Ryo la désapa sans ménagement avant de siffler.

"T'as un corps à finir sur le trottoir ma vieille. On va lui trouver une utilité..."

Il installa la nazie sur le dernier siège disponible à côté de Rachele et enclencha le processus comme il l'avait vu faire, sauf que pour elle, il sélectionna un gode énorme qui dû forcer l'accès du petit cul allemand pour commencer son ramonage. Ryo observa les commandes disponibles et choisit l'intensité maximale pour le mouvement du pilon d'acier. Le gode écartelait la rondelle de Curie à l'extrême et la douleur surement lui fit ouvrir les yeux. Elle n'eut pas le temps de gueuler qu'il lui envoya une décharge préventive qui la fit couiner. Quand à la molette définissant la durée du traitement, il orienta l'aiguille sur le "unlimited". Curie se ferait pilonner le cul jusqu'à ce qu'il décide que cela cesse. Le ventre de la jolie brune gonflait à chaque insertion et un dernier réglage fit en sorte qu'elle ne tombe à aucun moment inconsciente. Le traitement n'altèrerait pas ses capacités intellectuelles mais au moins pour l'instant, elle était neutralisée. Le flic arrêta ensuite les fonctions de béatisation d'Elyse avant d'aller se planter devant elle. il lui releva le menton.

"J'y suis pour rien pour ce qu'il t'arrive et je peux pas changer ça. par contre, je vais faire en sorte que tu en reviennes gagnante."

Elle bavait comme une débile mais au fond de son regard luisait toujours une farouche envie de combattre.

"Mais il va falloir que tu fasses des efforts."

Il allait réenclencher le système quand elle parla, épuisée.

"A...attends!"

"Quoi?"

"Je veux pas crever ici."

"J'le permettrai pas mais tu retrouveras pas ta vie d'avant. Fais moi confiance."

L'instant d'après, Elyse retrouvait le chemin de la docilité, bouche ouverte et cul plombé.

Enfin, Ryo se planta devant Rachele.


"Et toi? Tu mérites de vivre tu crois? Je t'enverrais bien dans le broyeur sale chienne. T'as du bol d'avoir la meilleure bouche à pipe du coin."

De la baronne, il ne restait que le souvenir lointain d'une femme respectable. Quand Ryo l'extirpa de sa machine infernale, elle laissa derrière elle une trainée dégueulasse qui le fit grimacer. ils remontèrent dans sa suite sans croiser grand monde, tout juste quelques sbires sans importance. Au passage, Ryo avait prélevé et effacé les preuves de ses méfaits dans l'Azylum et la cellule où Curie se faisait ravager était verrouillée. il avait trouvé un panneau interdisant l'accès à la pièce et l'avait collé sur la porte pur éviter que le cycle de destruction de l'allemande soit  perturbé.

Pour l'heure, il avait à la main une bouteille de whisky et buvait au goulot pendant que Rachele passait à la salle de bain. Il beugla à son attention.


"J'ai la dalle! On sort bouffer? Tu m'emmènes à ton adresse préférée? Mets du rouge à lèvres, j'ai envie de me faire colorier la bite en public."



Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le dimanche 14 août 2022, 23:06:13
Curie est d'abord surprise par les libertés que prend l'impressionnant personnage, mais cela semble rapidement lui plaire. Peut être quelque chose de prussien dans sa manière de tout dominer naturellement, comme si tout lui était du, cela lui rappel les hommes qu'elle fréquentait durant son court âge d'or. Aussi le laisse t'elle babiller et se venter de ses prouesse tout en s'amusant de sa vantardise. Ce nouveau "pion" était de toute évidence bien plus intéressant qu'elle ne l'avait cru.

Ryo - Quel était le gage ma chère? Que je vous attèle à l'une de ces machines pour une durée raisonnable?

En désignant la machine à côté d'Elyse, Curie fronce les sourcils et lève son index en direction de Rachele.

Curie – Attention ma chérie, tu sais que cette machine utilise de la pink paradise... et avec ton... passif.. c'est dangereux, tu pourrais vite replonger, une simple dose pourrait suffire.

La doctoresse ne crois pas si bien dire et toute l'ironie de la chose est précisément qu'elle ignore que sa protégée est déjà retombée dans ses anciens travers. Pire que ça, elle ignore que la belle baronne est en ce moment même sous l'influence d'un petit cocktail prodigué par Ryo et que par conséquent, la brancher à la machine risque d'aggraver encore plus son état.

Mais Rachele n'a pas le choix et ça, Curie ne le sait pas. Aussi acquiesce t'elle sans faillir, malgré le risque, détournant quelques instants le regard pour écraser une larme de désespoir entre ses cheveux, consciente que cette machine va la briser toujours plus et offrir toujours plus de contrôle à son nouveau maitre. Elle s'installe sur le siège de la machine sous le regard dubitatif de Curie qui active la console de commande.

Ryo - J'espère que c'est pas dangereux pour elle, on peut régler ce truc au plus bas?

La doctoresse lui montre le système de commande et la manière de s'en servir pendant qu'elle active le programme pour Rachele.

Curie – Ce n'est pas qu'une question d'intensité mais aussi de durée de traitement. Plus l'esclave reste longtemps attachée à la machine, plus son cerveau est reprogrammé pour désirer et ressentir des orgasmes buccaux. Plus les orgasmes sont intenses et plus l'esprit de la victime se brise vite et plus ça dure, plus sa volonté diminue.

Elle se retourne vers Rachele alors que la machine commence à vrombir et que le god gluant de lubrifiant s'approche de son cul.

Curie – C'est pour ça qu'on ne va pas faire durer ça trop longtemps ma chérie, il faut que tu reste toi-même malgré ton gage.

Rachele ne dit rien. Elle est faite. Dos au mur. Elle doit obéir ou son empire sera détruit. Elle prend une grande inspiration et réprime de nouvelles larmes quand le casque de lavage de cerveau se pose sur ses oreilles, que les électrodes et les tubes se faufilent dans ses oreilles jusqu'à sa matière grise.

Curie – Qui inflige un châtiment à le devoir d'y gouter comme on dit... Enfin bon, c'est toi qui voit ma chérie... tu vas faire un petit voyage au pays des merveilles...

Curie active le bouton de lancement du programme et le god commence à lisser la plissure de l'anus de Rachele en s'y enfonçant lentement. Au même moment, le casque commence à bombarder la jeune et belle mafieuse de sons et d'image pornographiques de fellations et de gorges profondes, exactement comme Elyse, pendant que les tubes éjaculent la pink paradise directement dans son crâne. Ses grands yeux bleus se révulsent d'un coup alors qu'elle jouit brutalement.

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Curie – Voila, après ça elle voudra bouffer de la queue pendant quelques jours... mais si ça ne dure que quelques minutes ça passera vite.

Dit elle en se retournant vers Ryo pour lui sourire d'un air pervers.

Ryo - Remarquable! Le gage commence! Appréciez maitresse, je n'en ai pas pour longtemps! Tu me fais visiter ton royaume?

Curie lui sourit de nouveau et lui reprend le bras en se levant.

Curie – D'accord. Par contre on fait vite, on ne doit pas laisser Rachele plus de quelques minutes sur la machine. Sinon les doses de pink et le programme vont vraiment lui flinguer le cerveau comme les autres putes.

Sur ces mots elle le guide en blottissant son corps sculptural contre sa jambe gauche et son membre viril. De toute évidence, elle aime les hommes mais aussi les femmes, au vue de ses victimes de prédilection. Pour ne pas perdre de temps et risquer la santé mentale de Rachele, elle lui présente les pièces adjacentes pour lui montrer ses machines et ses expériences.

Le flic comprend vite qu'en contrôlant Curie et ses technologies, il peut remodeler n'importe quelle femme à sa convenance, physiquement, mentalement, à tous les niveaux. C'est comme ça que le Rachele'S Club fourni des esclaves sexuelles exceptionnelles et de toute natures à sa clientèle riche et puissante. Elle les fabrique à partir de femmes et d'hommes qu'elle brise, qu'elle broie puis qu'elle remodèle pour convenir aux fantasmes les plus fous. Et désormais, se sont ses fantasmes les plus fou à lui qu'il va pouvoir réaliser.

Il y est presque, il ne lui manque pas grand chose, juste une occasion, une chance...
Quand il voit le défibrillateur, il sait que cette chance est venue, que c'est le moment.

Ryo - Tu sais pas y faire, regarde j'te montre.

En quelques secondes seulement, tout est fini. Aucun témoin de ce qui vient de ce passer, pas même la lieutenante de Rachele qui git à ses pieds et qui n'a rien vu venir. Une de moins, plus que deux, et celle là lui permettra de prendre le contrôle des autres s'il "la joue bien". Les besognes d'homme de main, il connait bien, ramasser un corps, le placer dans la broyeuse, attendre, puis recommencer... c'est long mais Ryo est méthodique, la récompense est trop belle pour commettre la moindre erreur.
Quand il a enfin fini, il juche Curie sur son dos et prend la route de la salle où l'attendent Elyse et Rachele...

Quand il entre dans la pièce, Rachele et Elyse sont dans un état de prostration et t'extase. Les yeux écarquillés dans une stupéfaction total, les pupilles levés au ciel pendant que coulent des larmes de folie et de désespoir à mesure que la machine leur ravage le cul et le cerveau.

Ryo - J'te ramène ta copine. T'inquiète! Elle est pas morte.

Rachele n'est plus en état de lui répondre, pas même de remarquer sa présence. Curie lui avait dit qu'elle ne devait pas dépasser quelques minutes d'exposition pour préserver sa santé mentale, la balade qu'il avait fait puis son petit carnage lui avait pris plus d'une heure. Heure pendant laquelle Rachele avait été abreuvée d'orgasmes, de suggestions hypnotiques et de pink paradise.

Ryo - T'as un corps à finir sur le trottoir ma vieille. On va lui trouver une utilité...

Le ripou installe la troisième femme sur la machine encore vacante et suis les instructions de la machine pour un programme hyper hard et efficace, histoire de la rendre plus malléable quand il voudra "négocier" avec elle.

Curie – Que... quoi ?! Mais qu'es ce que ! HAAA !

La doctoresse se réveille brutalement en sentant le god monstrueux s'enfoncer imperturbablement dans son cul. Elle regarde autour d'elle et soudain, elle comprend.

Curie – Non ! Pas moi ! Pitié pas moi ! Je...

Le casque de lavage de cerveau vient de lui tomber dessus et un sexe énorme en latex gris s'est enfoncé entre ses lèvres pour l'obliger à le sucer, transformant ses cris de refus en gargouillement de gorge profonde.

Elle commence à pleurer en sentant le programme se lancer et son esprit se dissoudre de plaisir alors que les orgasmes commencent à la faire bondir sur son siège.

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Ryo contrôle enfin la situation, mais il doit faire attention, Sonia et Zéro sont encore hors de contrôle et peuvent le faire tomber d'un claquement de doigt. Il doit donc continuer de la jouer fine, quitte à laisser la belle Elyse en proie aux machines de l'Azylum...

Il lui accorde quand même un répits en désactivant le programme. La belle petite flic est toute groguie mais elle est toujours consciente d'elle-même, elle lance un regard de détresse et de peur déchirant à Ryo.

Ryo - J'y suis pour rien pour ce qu'il t'arrive et je peux pas changer ça. par contre, je vais faire en sorte que tu en reviennes gagnante. Mais il va falloir que tu fasses des efforts.

La jeune femme le regarde, un filet de salive coulant du coin de ses lèvres devenues pulpeuses à cause des traitements hormonaux, lutant pour ne pas le supplier de la laisser lui sucer sa grosse queue. Elle secoue la tête pour rejeter ce désir nymphomane et absurde, mais c'est désormais douloureux, car la machine l'a déjà changée, et maintenant, elle a envie de jouir en suçant des bites.

Elyse - A...attends!

Ryo - Quoi?

Elyse - Je veux pas crever ici.


Visiblement, la jeune femme n'a pas encore compris le sort qui lui était réservé ici. Qu'il n'avait jamais été question de la tuer, mais de la garder comme une pute, une esclave sexuelle de luxe pour servir Ryo dans ses moindres caprices.

Ryo - J'le permettrai pas mais tu retrouveras pas ta vie d'avant. Fais moi confiance.

Conclut il en réactivant la machine.

Elyse – Non ! Je t'en supplie je veux pas devenir uneGAAAA.... Hooooo... gaaaa oui... oui... sucer oui ho gaaaaag gag gag...

Le god en latex gris vient de se faufiler à nouveau dans sa bouche, elle se met à le sucer avidement en faisant d'épais bruits de gorge quand il lui déforme la trachée. Le casque recommence à la bombarder de stimuli hypnotiques et tout son corps se met à danser comme celui de Curie et de Rachele. Le spectacle est à couper le souffle.

Ryo - Et toi? Tu mérites de vivre tu crois? Je t'enverrais bien dans le broyeur sale chienne. T'as du bol d'avoir la meilleure bouche à pipe du coin.

Quand il désactive la machine et la saisit par le bras pour la laisser tomber par terre, Ryo découvre pour la première fois le visage de Rachele, celle qu'elle aurait du être, c'est à dire celui d'une belle jeune femme de 22 ans pleine de désir. Bien dressée par la machine à vouloir sucer de la queue, elle se met directement à genou et lui lance un regard totalement soumis et pervers, ouvrant grand la bouche pour tirer la langue en guise d'invitation à lui prendre la gorge.

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Mais le flic résiste à la tentation, continuer de la traiter comme une chienne est presque aussi excitant que de la voir supplier pour sa queue. Elle le suit à quatre patte, peinant à retenir son envie de se jeter sur sa braguette pour en extirper son membre imposant.

Elle y parvient à grand peine jusqu'à ce qu'elle atteigne la salle de bain où elle commence à faire sa toilette, luttant toujours contre son désir. Mais quand celui-ci lui lance depuis la chambre:

Ryo - J'ai la dalle! On sort bouffer? Tu m'emmènes à ton adresse préférée? Mets du rouge à lèvres, j'ai envie de me faire colorier la bite en public.

Son esprit vacille de nouveau et son conditionnement à sucer des queues la dévore totalement. Elle enfile une nouvelle tenue, toujours plus provocante et pornographiques, met le plus vif de ses rouge à lèvres, puis revient à quatre patte se glisser entre les cuisses de Ryo pour le supplier du regard de lui baiser la gorge, exactement comme elle l'a fait quelques minutes plus tôt à l'Azylum.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le jeudi 01 septembre 2022, 20:18:25
Le sourire de satisfaction qui étira le visage du flic n'avait rien d'engageant. Il s'apparentait plus à un dangereux rictus de mise en garde qu'autre chose. Mais venant de lui, c'était la preuve qu'il menait la barque comme il le voulait. Entre ses cuisses, sa Chose se dandine avide de foutre, le regard brillant et impatient. L'homme but à la bouteille, rota, et s'essuya la bouche du revers de la manche. il ne comprenait pas encore bien le fonctionnement du Rachele's ni de ses technologies mais de ce qu'il en avait vu, il y avait du potentiel. Comment la sicilienne avait-elle pu mettre la main sur ces machines infernales, ou même en imaginer l'utilisation? Il chercherait et obtiendrait des réponses plus tard.

Du bout du pied, il repoussa sa Salope et termina de s'habiller.

"Tu crois qu'il te suffit de dandiner du cul pour me plaire? Tu t'trompes ma vieille. J'te prendrais la gueule quand j'en aurais envie. Là, tu commandes ta caisse, tu joues bien ton rôle, et on va bouffer."


Maintenant qu'il arrivait un peu à se repérer, il notait les détails les plus importants qui pourraient lui être utiles pour plus tard. il savait qu'il restait deux lieutenantes à neutraliser et si elles étaient aussi tarée que Curie, il allait falloir faire gaffe. Il ne les vit pas et suivant Rachele, ils rejoignirent la berline de luxe dans les souterrains de l'établissement. La patronne avait repris son rôle et lui, jouait celui du nouveau lieutenant donc, s'écrasait derrière elle. Seule la démarche de Rachele trahissait un certain trouble mais qui parmi ses sbires oseraient poser la question en l'absence de Curie ou des autres? Personne. La voiture remonta les niveaux pour émerger dans les rues de Seikusu. Ryo eut l'impression d'avoir quitter ce monde "normal" il y avait une éternité alors que cela faisait si peu. Il s'était passé tant d'évènements fou qu'il avait presque oublié être policier.

Sur la banquette arrière, il repoussa Rachele plus d'une fois et dû même la coxer par la gorge et la menacer de la décapiter pour qu'elle se calme. il répondit à des sms professionnels, passa quelques coups de fils à des yakuzas qui demandaient un service et appela enfin son patron pour lui dire qu'il était sur un gros coup. il lorgna sur les nibards de sa Pute en prononçant ces mots. un très gros coup oui ... Son supérieur n'insista pas, trop heureux de ne pas avoir l'encombrant inspecteur Nagato dans les pattes pour un moment.

Le trajet est plus court que ce que Ryo attendait. Le chauffeur les laisse devant la façade exceptionnelle d'un bel hôtel réputé pour son restaurant de luxe. Des grooms se précipitent pour ouvrir les portières et le couple s'extrait de la berline devant les yeux médusés des employés. La tenue de Rachele est indécente au possible, plus que suggestive, à la limite de la pornographie. Et derrière elle, Ryo ressemble à l'incarnation d'un dieu barbare. Le majordome chargé de l'accueil manque s'évanouir en les voyant. Il se précipite, insupportablement obséquieux.

"Signora! Comme toujours, votre venue nous honore! Votre table? comme d'habitude?"

Il se plie en quatre et les guide jusqu'à un ascenseur dont les portes s'ouvre sur un employé dont le sourire s'efface devant ces personnes d'importance. Il rougit, son regard plongeant malencontreusement dans le décolleté profond de Rachele et il tente tant bien que mal de détourner le regard.

"Sors de là." grogne Ryo en lui intimant de dégager d'un signe de la tête.

Le gamin manque s'étouffer et s'éclipse pour les laisser entrer. Sur le panneau de commande, le restaurant est indiqué au dernier étage.  Les portes se referment et l'ascenceur s'élève progressivement. Au douzième, Ryo appuie sur le bouton Stop et la machine s'immobilise. Aussitôt une voix anonyme retentit, sortant d'un haut parleur dissimulé.

"Un problème messieurs-dame?"


C'est Ryo qui répond à l'employé chargé de gérer la machinerie de l'hôtel.

"Aucun, laissez nous dix minutes, ne rappelez plus."

"Entendu monsieur, c'est bien compris."

L'homme ne prend aucun risque. Il tient à rester en vie. En quelques minutes, tout l'hôtel a été au courant de l'arrivée de Donna Florenza. Ryo se tourne alors vers sa patronne, superbe, délicieusement fatale mais tellement fragile à présent. Il la fait pivoter et appuie sur sa tête pour qu'elle se cambre et saisisse la rambarde dorée de l'ascenseur. Il remonte sa longue robe sur ses hanches et admire ce cul divin. Le flic lui arrache la culotte, marquant la peau pâle et extrait de son pantalon son gros sexe veiné et déjà tendu. Il peut dire ce qu'il veut mais Rachele l'excite plus que tout, et tout le temps. Il lui perfore l'anus d'une poussée brutale et exhale un long soupir de satisfaction. En elle, il est comme dans un nid trop petit pour l'œuf du coucou. En deux coups de reins, il l'écartèle et le sphincter de la sicilienne s'étire en une jolie corolle rosée. Il lui défonce le cul méchamment, basiquement et très vite, il jouit en elle, emplissant sa cavité anale d'une semence abondante. Il la libère sans se soucier de rien et s'arrange avant de refermer sa braguette, soulagé. Et sans attendre que sa Pute ne se soit fagotée, il laisse l'ascenseur reprendre son ascension. Quand les portes s'ouvrent au dernier étage, une rangée d'employés les attend, frémissants et trop effrayés à l'idée de contrarier la signora qui par miracle est présentable.
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 17 octobre 2022, 20:45:54
Malgré la brutalité de son amant qui la réduit de plus en plus à son ancien état d'esclave, Rachele garde une forme étrange de clarté d'esprit. La drogue que son nouveau Maitre n'oubli jamais de lui injecter à beau la maintenir dans un état de servilité et d'abrutissement, la belle Dona preserve parfaitement les apparences tout en obeissant efficacement à ses ordres.

L'hypnose de la machine Thekane et le comportement autoritaire de Ryo ont fait ressurgir son "autre elle", celle qu'elle était devenu sous l'endoctrinement d'esclave parfaite que lui avait infligé son oncle. Et cette autre elle a été formée, non, formatée pour obeir au mieux aux ordres du mieux qu'elle peut.

Au font de son esprit, enchainée dans une petite cage gluante, la vrai Rachele assiste horrifié au spectacle, se débattant et hurlant pour sortir et reprendre le contrôle. Mais pour le moment, elle est trop faible, et Ryo trop précautionneux.
Et elle l'accompagne dans la limousine couleur crême.

Rachele – Silvio, nous dinons à "L'Au-Delà" ce soir.

Le chauffeur acquiesse de la tête et Rachele referme la vitre sans teint qui les sépare. Les mains tremblantes, l'esprit toujours surchauffé par le lavage de cerveau que la machine vient de lui infliger, elle ne pense qu'à une chose, jouir en empalant sa gorge sur le membre de son flic. Mais celui-ci la repouse et la maitrise en la prenant à la gorge, ce qui l'excite encore plus...

Très vite la limousine arrive à sa destination, mais pas suffisament pour empécher qu'une petite flaque de mouille se soit formée là où elle était assise les fesses à même le cuir du fauteuil. La belle mafieuse dégluti, rabat les pants de sa robe sur son intimité jusque là offerte à la vie de Ryo et le guide vers l'ascensseur de l'hotel particulier, le repaire de son ancienne Lieutenant... et probablement la plus dangereuse... Vierna.

Quand il arrête l'ascensseur, Rachele à l'impression d'être en train de fondre de désir, ses pensées totalements obscurcies par son désir. Mais même alors, la brutalité du ripou la surprend et lui fait pousser un petit gémissement de surprise quand il la retourne contre la rembarde de l'abitacle.

Rachele – Ho je...

Elle n'a pas le temps de dire un mot de plus que déjà il lui arrache le fin tissu de son string et presse son gland turgessant contre la délicate plissure de son anus trempée de mouille. La jeune femme parvient à lever une main à ses lèvres pour etouffer ses propres cris au moment où il commence à s'enfoncer en elle.

Rachele – Hen! Mmmph...

Le premier coup de rein a été un mélange si brutale de douleur, de plaisir et de satisfaction du désir qu'elle n'a pas reussi à retenir son premier cri. Ryo la sent se cambrer toute entière devant lui et sent sa queue se faire écraser dans un  étau de chaire brulante tant l'anus de la belle se contracte autour.

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L'échange est aussi sauvage que silencieux. A chaque coup de butoir, Rachele ettouffe un hurlement entre ses doigts et se cambre contre lui. Deux fois, trois fois, quatre fois, cinq fois... elle n'arrive plus a compter parce qu'elle commence déjà a jouir. Et visiblement il la sent venir tant elle lui écrase la queue, car très vite, il vient à son tour.

Rachele pousse un long râle de plaisir et souille sa robe de quelques goutelettes e ciprine alors que son ventre se rempli de foutre chaud. Puis sans un mot, il se retire et referme sa braguette, Rachele de son coté se redresse et remet les pants de sa robe en place, comme si de rien n'était, dans une synchronicité parfaite. Ça été rapide, brutal, elle a jouit, elle est satisfaite et peu reprendre son rôle.

L'ascenssion reprend quelques instants et les portes s'ouvrent sur un aéropage de serviteurs qui l'assaillent de question bienveillante et hypocrites: "Dona désir la baie vitrée ou le petit salon ?" "Votre ami mange avec vous ou il restera debout ?" "Quel fleurs préférez vous à votre table Sinora Florenza ?"

Cette mascarade est interrompu par un rire cristalin et envoutant suivi d'une voix suave.

Vierna – Comment ? Ma cliente préférée s'invite chez moi sans me prévenir ?

VIERNA
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La femme qui fend une foule subjuguée par sa présence est élancée, rousse et dispose comme Rachele d'un corps d'une perfection sculpturale. En la voyant, tous les instincts du flic, du dur à cuir rompu au danger, se mettent en alerte pour résister au magnétisme écrasant de la jeune femme.

Elle semble parfaite, trop parfaite, son visage , véritable gravure de mode, est trop lisse, trop dépourvu d'imperfection humaines. Sa splendeur appel à des désirs fou et défendus, à lâcher prise, à perdre le contrôle et même lui ne doit qu'a sa volonté d'acier  de ne pas ressentir un sentiment d'admiration, non, pire, de dévotion.

Elle arrive devant le duo et plonge son regard étincelant dans celui de Rachele, elle  plisse les yeux l'espace d'un instant avant de les tourner vers Ryo. Ce sont deux puits étincelants, des gouffres d'une eau claire mais toxique et le flic sent qu'au delà de ces abysses, quelque chose de bien plus grand le regarde.

Vierna – Ho... je comprend mieux maintenant... tu voulais me faire la surprise et me présenter ton nouveau cavalier... Ou serais ce un roi ?

Vierna le scrute plus profondément encore, un malaise est sur le point de s'installer quand saisit à son tour le bras de Ryo pour guider le duo vers le carré VIP.

Vierna - Peu importe ! Vous etes mes invités ce soir et je vous veux à ma table ! Vous serrez beaucoup plus amusant que mon dernier client.

Ryo est désormais entouré de deux superbes et sulfureuses créature. Aucun homme sur son passage ne peut s'empêcher de le regarder avec envie, jalousie, admiration, comme s'il était un Grand de ce monde, un de ses maitres. Et c'était peut etre ce qu'il était en train de devenir après tout...

La rousse leur fait emprunter un vaste escalier de marbre blanc, veiné d'un rouge artériel, presque sanguin, jusqu'à une estrade qui surplombe toute la salle de réception où un orchestre est en train de jouer.

Sur cette estrade, une table décorée d'une nappe de soie blanche brillante et un bouquet de roses rouge également, le même rouge que le marbre. A cette table est déjà installé un jeune homme qui ne doit pas avoir plus de 16 ans, visiblement mal à l'aise et introverti. Il est entouré de deux femme, la première est la plus grande et belle. Elle doit avoir dans les 35 ans et porte un tailleur élégant et une paire de lunette, quand l'autre semble avoir le même âge que le garçon et porte un uniforme d'une prestigieuse école privée de la ville.

Vierna - Excuse moi Yaochi mon garçon, je devais recevoir mes amis. Je te présente Rachele, oui, tu as bien entendu, la Reine du Rachele'S Club et son cavalier Monsieur ?

Le garçon rougit, il semble encore plus gêné. Les deux femmes qui l'entourent lève leur regard vers Ryo et lui sourient. Le flic remarque immédiatement que quelque chose ne va pas chez elles. Elles lui sourient d'un air un peu niais et regardent fixement les choses en caressant distraitement le dos, les bras ou même... l'entre-jambe du garçon...
Titre: Re : Roman noir [PV Ryo]
Posté par: Ryo le mercredi 26 octobre 2022, 18:36:52
L’expérience du flic à développer chez lui un sens inné pour reconnaitre le danger et en mesurer la teneur. Lors de sa rencontre avec Rachele, il avait ressenti cette impression qui incitait à la méfiance bien qu’il sache très bien qui elle était. Devant Vierna, il ressentit exactement la même chose sauf qu’avec Rachele, il avait eu une furieuse envie de baiser. Avec Vierna, il eut brutalement besoin de la voir humiliée. Son corps trop parfait inspirait la dépravation. Elle serait parfaite allongée sur un matelas tâché avec une centaine d’hommes prêt à se purger sur elle. C’est ce que l’esprit dérangé de Ryo lui envoya comme image alors que la rationalité du flic lui hurlait de se barrer. Mais il ne pouvait pas. Tout était allé très vite depuis le début. Ses décisions s’étaient fondées sur des opportunités et ses temps de réflexion avaient été restreints. Il agissait instinctivement, mesurant les bénéfices en quelques secondes. Il n’avait pas droit à l’erreur et s’en était plutôt bien sorti jusqu’à présent. Le cercle proche de Rachele était limité et il pouvait méthodiquement le contraindre à sa volonté. La sale pute de Curie le payait à présent d’ailleurs. Mais là, il était hors de sa zone de confort et nageait dans l’inconnu. Rachele allait le payer plus tard. Elle aurait dû lui parler de Vierna et du lieu où ils allaient. Qu’elle l’ai fait volontairement ou pas, elle allait morfler.

La rouquine qui l’observe est comme un cobra devant sa proie. La sicilienne semble être une amie mais existe-t-il vraiment des amis dans ce monde de merde ? Ryo la laisse jouer son rôle d’hôte et ne fait pas l’erreur de l’interrompre. Il est jugé, analysé, décrypté … et Rachele aussi puisqu’il intercepte le regard interrogateur de la maitresse des lieux. Elle aussi est une superbe salope qu’il doit être difficile de duper et le policier reste à sa place légèrement en retrait de la belle brune. Néanmoins, il n’est pas un laquais mais un lieutenant de la puissante organisation mafieuse d’une criminelle reconnue et respectée. Il hoche donc la tête, courtoisement, même si son énorme physique et sa sale gueule peinent à le faire croire. Il sourit à la rouquine qui instaure un petit jeu destiné à satisfaire sa curiosité.

"Ryo Nagata... Dona Florenza a décelé en moi de quoi satisfaire ses orientations. Je m’applique à la préserver de tout désagréments pouvant perturber les rouages de son entreprise. Et j’ai le privilège d’être remercié de la meilleure des façons."

Vierna - "Ho, je ne doute pas que vous soyez particulièrement efficace... dans un cas comme dans l'autre. Je suis même certaine que vous êtes si doué que vous dépassez allègrement le cadre de vos attributions..."  répond elle en lui faisant une œillade assassine et lourde de signification, mais sans se départir de son sourire carnassier.

Il laissait entendre ce que Vierna voudrait bien imaginer. Il restait flou en se mettant en avant. Et il était facile de comprendre que Rachele se faisait troncher comme une folle pour qu’elle se soit offert sa présence à ses côtés. Vierna pouvait le croire gigolo, garde du corps ou tueur efficace, il validerait toutes ses interrogations.

Et c’est son bras à lui qu’elle saisit pour les emmener dans un espace plus personnel, plus luxueux. Ses doigts fins serraient son gros biceps et il avança, monstrueusement énorme à côté d’elle. Rachele le flanquait de l’autre côté et il lui palpa le cul alors qu’ils disparaissaient des vues du personnel.
En haut, sur une plateforme surplombant la salle du restaurant, un trio les attendait. Un gamin mal à l’aise et deux nanas bien foutues végétaient comme des fruits. Le gosse avait l’air perdu et les filles shootées. Ryo pensa aussitôt aux machines de l’azylum qui transformaient les femmes en épaves sexuelles. Qui étaient-ils ? Il n’en savait rien et s’en foutait, peut-être un divertissement pour la rouquine ? Ils s’assirent et un service efficace et discret commença. Ryo demanda un champagne d’exception pour sa maitresse et un whisky sec, écossais, pour lui. Il était assis entre les deux panthères sur un sofa large et confortable. Une douce musique berçait l’atmosphère et en contrebas, les clients dinaient dans une ambiance feutrée. L’aù dela offrait un service de qualité identique à celui du Rachele’s. Est-ce que la pipe de la patronne était aussi au menu ?

Rachele parvenait à produire une image respectable et digne de la criminelle qu’elle était. L’effort qu’elle devait fournir était louable car connaissant la vérité, Ryo devinait bien au fond de ses prunelles l’envie de se délecter d’autre chose que du champagne.

L’homme avait la voix rugueuse et n’était pas fait pour les conversations de salons mais il se plia à cet exercice comme Vierna les avait accueillis. Il les laissa discuter un peu et dès qu’il y eut un silence suffisant, il s’inséra dans le fil.

"Dona Florenza ne m’avait pas dit qu’elle avait une amie si charmante. Comment dois-je vous appeler ? Vous travaillez dans les mêmes domaines ou avez-vous des spécificités professionnelles bien précises ?"

Vierna - "Et flatteur avec ça... vraiment, je suis certaine que je vais vous adorer... Je m'appelle Vierna mais mes amis intimes m'appellent Vi, appelez moi Vi, ça me fera plaisir. Et oui, j'ai moi aussi mon petit business comme Rachele, mais à un niveau moins... industriel et j'ai mes propres méthodes. Je préfère travailler au cas par cas, voir sur... comment dire... "sur demande", oui, c'est cela, sur "contrat" pour être plus précise, comme avec ce beau garçon ici présent"

Vierna désigne Yaochi qui rougit encore plus.

Il ne savait rien d’elle. Etait-elle une mafieuse avec un clan personnel et un réseau particulier ou alors une maquerelle doublée d’une patronne de club tout simplement ? Quelque chose clochait avec elle. Trop belle … trop pute.

Le gosse nommé Yaochi gigotait sur son séant. Quoi ? Il avait la bite en feu ?

"Et qui est ce jeune homme fringuant qui semble se noyer dans les yeux de ma maitresse ?"

Vierna - "Yaochi ? C'est mon dernier client. N'est ce pas mon grand ?" Le garçon  baisse les yeux et se gratte la nuque. "C'est qu'il est très intelligent et qu'il sait ce qu'il veut malgré ses airs d'introverti. Il a réussi a me contacter tout seul pour avoir son contrat. Surprenant pour un jeune homme de son âge."

Yaochi est toujours plus mal à l'aise. Il implore Vierna des yeux pour qu'elle arrête d'attirer l'attention sur lui.

Vierna - "Ne t'en fait pas mon garçon, je te taquine, tiens, prend tes achats et va dans ma suite, je vous y rejoindrais plus tard..."

Yaochi quitte la table. Les deux jeunes femmes qui l'encadraient le suivent, l'air toujours absent.

Tu parles. Les nibards de Rachele semblaient prêts à lui sauter à la gueule. Si Vierna n’avait pas été là, Ryo aurait forcé sa pute à le sucer. Par pure hypocrisie, Ryo osa laisser son regard coulé sur les formes de Vierna. C’est ce qu’elle attendait, superbe salope !

"Et vous Vierna, avez-vous un cavalier ou un roi qui nous rejoindrait ?"

Vierna - "Ho un époux ? Bien entendu, mais il a un caractère de chien et il a beaucoup de travail.. Disons que c'est le PDG d'une firme qui recrute tous les jours..." * rires*

Si elle essayait de se le faire, il allait la cartonner. Ce cobra mortel devrait avoir droit à une visite très personnalisée de l’Azylum. Un séjour sur une machine à corrompre lui irait parfaitement. Mais pour cela, il fallait voir ce que la suite réservait. Malgré l’impression qu’elle dégageait, si Vierna ne représentait pas une menace majeure, il pourrait éviter d’avoir à gérer une menace de plus. A moins qu’il ne se la mette vite dans la poche elle aussi, mais seulement dans un domaine qu’il maitrisait parfaitement.

Vierna eut à se lever pour gérer un petit incident en salle à un moment et Ryo glissa à l’oreille de sa patronne :

"Je te trouve bien sage. Où est ma salope préférée ? Sois un peu plus pute et tu auras ta récompense dans la bagnole."

Et puis la corruption insondable de Ryo refit surface.

"Ça te dirait un plan à trois avec elle ? Elle serait partante ?"