Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - La troupe de Luxuria

Pages: [1] 2 3 ... 8
1
Bogan réveilla en effet l'androgyne grâce à ce coup de pied bien placé et rempli de colère, il l'observa se relever lentement avant d'être traité lui et ses compagnons de lâches. Bogan souris.

« Lâches? Nous ? C'est toi qui dit ça alors que tu viens de menacer un homme désarmé avec un flingue il y a quelques minutes. »

Il gifla le garçon pour l'envoyer à terre, alors deux membres de la troupe lui tinrent les pieds pour qu'un troisième lui enlève son pull. Des dizaines de vieux pervers malodorants se déshabillèrent alors, la ruelle était parfaite, d'un côté se trouvait un immeuble en construction qui avait été déserté il y a moins d'un heure tandis qu'en face se trouvait un vieux studio apparemment inhabité. Les hommes qui tenaient les jambes du garçon lui enlevèrent le short qui découvrit alors une chose à laquelle la troupe ne s'attendait pas du tout, une culotte noire qui laissait apercevoir une proéminence. Ce qu'ils croyaient être une fille se trouvait finalement être un garçon. L'un des membres du groupe lui arracha la culotte laissant apparaître le pénis du jeune homme. Bogan appuya son pied sur le pénis garçon.

« Alors petit con, tu sais que ça ne te sauvera pas ? Tu es suffisamment mignon pour qu'on te défonce jusqu'à l'os sans que ça ne nous dérange. Et quand on en aura fini avec toi on prendra une petite photo pour l'envoyer à ta chère maman afin qu'elle rejoigne la fête. »

Un pervers gras et puant arracha le débardeur d'Asuka avant de lui lécher les tétons. Puis alors qu'un autre tentait d'enfourner sa queue dans la bouche de l'androgyne, un dernier releva ses jambes pour lui enfoncer son membre sans lubrifiant ni autre forme de procès...

2
Bogan vit l'androgyne baisser son arme, il laissa alors son bras descendre lentement pensant avoir fait suffisamment peur au jeune garçon pour qu'il abandonne mais à ce moment l'enfant se retourna et tira dans la masse d'hommes se dressant face à lui en prenant au passage la clé des champs. Bogan Hurla alors qu'un bonne demi-douzaine de ses compagnon tombèrent, peu de balles atteignirent leur but mais le fait que l'arme se situe à bout portant causa deux mort pour un seul tir.

« Rattrapez-moi cette salope, je la vivant !!! Je l'entendre me supplier ! »

Tout les hommes se mirent à courir tandis que Bogan et quelques autres s'occupèrent des blessés. La troupe perdit rapidement de vue le garçon et ils divisèrent alors, un groupe arriva en trombe dans une ruelle et dans sa hâte, l'un des membres trébucha sur une poubelle qui découvrit alors ce qu'elle contenait : le jeune homme poursuivi. Les huit hommes qui composait cette unité se mirent à sourire.

« Hé bien, qu'avons-nous là ? »

Le choc contre la poubelle avait secoué l'androgyne qui saignait légèrement du front, il semblait assomé. L'un des homme l'attrapa par les cheveux avant de le traîner vers Bogan qui tenta de réveiller le garçon d'un coup de pied dans les côtes.

« Debout sale chienne. »

Bogan sentait toute sa colère l'habiter, certains de ses meilleurs amis était mort tout ça à cause de cette pute et il comptait faire payer au centuple la douleur qu'il ressentait avec la perte des ses hommes, ces guerriers qui comptait tant à ses yeux. Ce crime ne resterai pas impuni.

3
Kisaku marchait, il se trouvait dans le quartier St-Marc à une centaine de mètre de chez lui, il est très rare qu'il ne sorte de son antre mais Bogan lui avait demandé de chercher une dernière fille en ville, en effet les deux dernière sont mortes d'épuisement et les mecs avaient les crocs. Donc il partit pour faire un petite reconnaissance histoire de tâter le terrain et plus si affinités, c'était le deuxième depuis leur arrivée dans cette ville, en général Bogan préfère ne pas rester trop longtemps au même endroit mais il leur manquait encore quelques provisions pour la route et une esclave n'aurait pas été de trop. Le pervers se mit à scruter des deux côtés de la route et il vit pas très loin une boutique de robe de mariée et il se souvint de l'époque où il n'avait pas encore la troupe pour le fournir en viande fraîche, à ce moment de sa vie son terrain de chasse favoris était ce genre de magasin où la vitrine était toujours léchée par les jeune filles rêvant d'amour, ce sont les plus amusantes à briser et en plus on tombe assez fréquemment des vierges pour peux que la victime soit traditionaliste. Kisaku eu un moment de nostalgie

*Ça fait si longtemps que longtemps que l'on a pas eu de vierge...*

Le type se dirigea vers le magasin mais il fit une rencontre qui lui donna un choc, il vit l'une des victimes, une femme d'âge assez mûr accompagnée d'une petite fille. Il resta bouche bée et détourna le regard lorsqu'il vit les yeux de mère se diriger vers lui.

Un mois plus tard

Kisaku gardait les volets fermés et hésitait à sortir, il avait depuis quelques temps l'impression d'être épié et cela depuis qu'il avait vu son ancienne victime, il avait peur et si elle avait appelé les flics pour dire que ses violeurs sont en villes. Kisaku sortit de chez lui la nuit pour aller à la cabine téléphonique la plus proche, le portable et fixe étant trop dangereux. Il décrocha, mit une pièce et composa le numéro. Au bout de deux bip une voix répondit, il devait maintenant parler sans faire référence à leurs activités nocturnes.

-Allô ?
-D. ? C'est moi K.
-Qu'est-ce que tu veux ? T'as trouvé de la viande ?
-Non mais j'ai plus important à te dire, j'ai revu l'un des animaux que l'on élève et te parie qu'elle a aboyée chez les poulets.
-....Tu as tes affaires ?
-Ma valise est prête.
-Ok rejoins-nous à la rue habituelle, je préviens, les autres et on part ce soir.

Kisaku raccrocha et se remit en route, il marcha une bonne demi-heure avant d'arriver près de la rue indiquée et à ce moment une petite fille sortit du coin de la rue avec un flingue à la main en criant qu'il allait payer.

-At-Attends petite, je n'ai rien fait de quoi parles-tu ?

A ce moment des pas se firent entendre de tout les côtés. Des tas d'hommes plus laids les un que les autres arrivèrent des côtés c'était la troupe enfin arrivé au lieu de RDV. Bogan avança.

-Lâche ton arme petite !

Dit-il en pointant un Colt .45 vers l'androgyne.
 

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 30 mai 2013, 23:52:59 »
23:49

Plectrum de point culture ?  ???

5
Le coin du chalant / Re : Un massacre
« le: jeudi 30 mai 2013, 23:51:54 »
Ca marche pour moi de plus je suis un grand fan de MGS

Ps: Ceci est mon deuxième compte.

6
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: jeudi 30 mai 2013, 01:14:19 »
Salut,

Je sais pas si c'est le bon forum pour cette requête mais voilà je viens de me reconnecter avec ce compte et j'aimerais bien récupérer mon autre compte: "The Boogeymen" mais lorsque je tente de me connecter ça me dit que le nom d'utilisateur n'existe pas et ce même lorsque je tente le "Mot de passe oublié". Alors ma demande est la suivante m'autorisez-vous à me refaire un compte portant un nom légerement différent mais qui sera le même personnage que celui du compte "The Boogeymen" ?

Cordialement.

7
Archives / Re : Notre histoire
« le: mercredi 29 mai 2013, 23:58:41 »
Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, un kikoo-lol maléfique débarqua pour voler une cuisse de la dinde et ainsi subir le traditionnel bombardement de mouchoir goût bolognaise organisé tout les six cents quatre-vingt-quatre mille millions d'années, soit un peu plus d'un siècle, plus deux. Ce kikko-lol maléfique était d'ailleurs peu connu de l'agence de notations Moody's... Ce qui était con d'ailleurs car c'était ces employeurs. Ainsi devint-il le premier disciple du roi, dans son combat contre les goodies japonais pas cher fabriqués par les Vieux Gars, mystérieuse tribu issue du fin fond, pour ne pas dire fion, car celui-ci était tout-à-fait... Aussi sombre qu'un lama que l'on aurait émasculé au paprika sur la place publique... De st martiens ! Cependant dans une soucoupe volante, on se livrait à d'étranges activités, particulièrement d'ordre intellectuel, telles que la rage du gros orteil ou le viol de cerveau humain avec des chansons pourries comme le générique de champs-Elysées. Pas de bol comme King Kong qui, par bêtise, a accepté l'invitation de Michel Drucker, et décidé d'interpréter le chant de
l'ornithorynque qui balayait l'immense terrasse du batiment appartenant à un calamar yakuza, à la langue de tapir. Aujourd'hui, le Seigneur Gilgamesh, gobeur de gallinacées gomorrhéennes, gâche la gastronomie guerrière de Guadeloupe grâce à des gambas gustativement agaçantes et agressives. C'est alors que débuta la sixième guerre du sushi sacrée, lorsque le vélociraptore géant lança une banane sur...

8
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: mercredi 29 mai 2013, 23:14:02 »
Bien sur si ça le transforme en prince qui m'emmenera ensuite dans son beau château où nous vivrons longtemps et heureux avec plein de petits enfants avant de les torturer puis de leur trancher la tête et la manger à la gloire de Pazuzu...




Embrasserais-tu les fesses d'un babouin ?

9
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: mercredi 29 mai 2013, 23:08:45 »
Aimerais des détails de la part de son VDD.

10
Prélude / Re : Par son arme, des larmes jaillissent de son masque..
« le: mercredi 29 mai 2013, 23:05:44 »
Bienvenue à toi !

11
Vous nous quittez déjà ? / Retour du groupe de viol le moins productif
« le: mercredi 29 mai 2013, 20:19:24 »
Je tiens d'abord à m'excuser auprès de tout ceux avec qui j'avais un RP en cours (principalement Lili Ivanes que j'ai lachement abandonné), en effet j'ai eu une pagaille de problème (connexion, déménagement, cours...)

Je suis donc de nouveau frais et dispo et donc je m'excuse aussi auprès de ceux qui avait un RP avec Djinn (je ne me rappelle plus s'il y en avait ou pas...)

12
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: mercredi 29 mai 2013, 20:03:06 »
La troupe se bat contre les VDD de sa VDD pour le fromage.

13
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 29 mai 2013, 19:58:51 »
Ca doit être ironique de ma part mais c'est vraiment horrible ce que tu vois, je n'aimerais pas être à ta place sincèrement...
 :-[

19:55

14
Bienvenue habitant des sous-sols de mon JDR favori.

15
Archives / Re : Notre histoire
« le: mercredi 29 mai 2013, 14:02:35 »
Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, un kikoo-lol maléfique débarqua pour voler une cuisse de la dinde et ainsi subir le traditionnel bombardement de mouchoir goût bolognaise organisé tout les six cents quatre-vingt-quatre mille millions d'années, soit un peu plus d'un siècle, plus deux. Ce kikko-lol maléfique était d'ailleurs peu connu de l'agence de notations Moody's... Ce qui était con d'ailleurs car c'était ces employeurs. Ainsi devint-il le premier disciple du roi, dans son combat contre les goodies japonais pas cher fabriqués par les Vieux Gars, mystérieuse tribu issue du fin fond, pour ne pas dire fion, car celui-ci était tout-à-fait... Aussi sombre qu'un lama que l'on aurait émasculé au paprika sur la place publique... De st martiens ! Cependant dans une soucoupe volante, on se livrait à d'étranges activités, particulièrement d'ordre intellectuel, telles que la rage du gros orteil ou le viol de cerveau humain avec des chansons pourries comme le générique de champs-Elysées. Pas de bol comme King Kong qui, par bêtise, a accepté l'invitation de Michel Drucker, et décidé d'interpréter le chant de
l'ornithorynque qui balayait l'immense terrasse du batiment appartenant à un calamar yakuza...

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