Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Marcus Baritello

Pages: [1] 2 3 ... 11
1
Prélude / Re : Barbare ! [Valisuccubisée]
« le: mercredi 21 octobre 2015, 23:49:08 »
Putin ! Quel caractère ! Je l'achète !

Merde, n'est pas à vendre ?

Bon...

Bien venue quand même.

2
Les terres sauvages / Piège en haute terre [PV: Sakuya Enjou]
« le: mercredi 24 juin 2015, 19:11:32 »
Marcus aime voyager et arpenter le monde de Terra. Comme beaucoup le savent, la raison première de cet enjouement n'est pas l'augmentation de ses connaissances géographiques mais plutôt simplement pour éviter, le plus souvent possible, de se trouver au manoir Baritello, au grand désespoir de son père qui ne sait plus comment convaincre son fils d'embrasser le commerce d'esclaves sexuelles haut de gamme, la profession familiale depuis de nombreuses générations. Cartographe et aventurier, le jeune héritier préfère découvrir de nouvelle civilisation ou explorer de mystérieuses ruines.

Armé d'une « carte au trésor » achetée au marché noir de Nexus à un mystérieux personnage, Marcus monte immédiatement une énième expédition. Celle ci va le mener dans un dangereux territoire des terres sauvages,  où le chaos est encore le seul maître des lieux. Mais seulement, cette fois, son père lui a coupé  les vivres et lui a interdit l'emploi de ses serviteurs pourtant nécessaires à cette mission dangereuse. Qu'à cela ne tienne, Marcus n'a pas baissé les bras et a puisé dans ses fonts propres pour se payer l'une des meilleures escrimeuses et chasseuses de monstre de la cité. Celle ci lui avait été recommandée par une sorte de moine/guerrier rencontré dans la bibliothèque pendant ses recherches pour la préparation de son voyage. Son nom est Sakuya Enjou. C'est une jeune femme au physique irrésistible. Celle ci accepta positivement la mission principalement parce que leur destination était un territoire propice pour aller combattre le chaos là où il se terre.

Préalablement à leurs départ et pour tester leurs compétences mutuelles, les deux jeunes gens se défièrent en duel à l'escrime dans la cours intérieure de la demeure Baritello. La belle aux cheveux rose n'eut pas de mal à résister aux attaques du jeune homme. Elle réussit même à le désarmer plusieurs fois et à esquiver les bottes secrètes du jeune bourgeois. Rassuré par ses compétences techniques et physiques, Marcus engagea Sakuya sur l'heure comme garde du corps personnel pendant la durée de cette expédition.

Les deux voyageurs ne rencontrèrent aucune difficulté à quitter le royaume. Les problèmes commencèrent une fois dans les terres sauvages. Ils durent faire face notamment à une tribus de cannibales affamés, à des gluants monstres des marais et à des plantes géantes carnivores et tentaculaires. Ou, plus loin encore, fuir devant un géant des montagnes en rut. Lorsqu'ils arrivèrent enfin à destination devant la sinistre entrée du donjon enterré renseigné par la mystérieuse carte au trésor...

A peine les premiers pas posés sur le dallage poussiéreux du souterrain qu'une herse se rabat lourdement derrière eux pour leurs barrer toute possibilité de retraite. Pris au piège, ils durent bien se résoudre à continuer leur exploration. Des torches allumées en mains, ils pénétrèrent dans les sombres profondeurs du sinistre édifice. Une lourde et lugubre ambiance intérieure leur impose un silence. A voix basse, Marcus fait état de son intuition à sa compagne de voyage.

- Je ne sais pas pour toi mais je crois que nous étions attendu ?

L'épée à la main droite et sa torche à la main gauche, le jeune homme ouvre la marche. Tous les passages sont condamnés, seul un chemin libre semble être l'unique voie à suivre dans les ténèbres. Celle-ci s'enfonce dans les profondeurs rocheuses d'une montagne. Il fait humide et une légère brise les informe qu'une sortie les attends probablement au bout de ce chemin.

Sur les parois de nombreux bas reliefs représentent des personnages diaboliques qui martyrise dans d'obscènes postures des jeunes et jolies femmes. Un étrange et incessant murmure vient rythmer leur progression. Ils ne sont pas seuls. Instinctivement Marcus se rapproche de Sakuya pour se rassurer. Il murmure à nouveau.

- Où penses tu que l'on soit arrivé ? Tous ceci ne me dit rien qui vaille.

3
Dame Markisa ne s'était pas fait bernée par la diversion du jeune Baritello. Seule, sans garde et à pied, elle inspecte attentivement la petite ruelle. Sa persévérance et son intelligence allaient payer. Car C'est sans une grande surprise qu'elle tombe nez à nez sur une terranide qui, pensant profiter du désordre momentané provoqué par Marcus, surgit d'un promontoire en cul de sac au font de la ruelle. Celle ci n'a alors d'autre échappatoire que de passer sur le corps de la courtisane pour tenter de conserver sa précieuse liberté.
La grande femme est par contre agréablement surprise par la qualité physique de sa découverte. Elle s'exclame en lui barrant le passage les bras grands ouverts.

- Ohh? Joliiii morceau ! Tu vaux une petite fortune, toi ! Bien plus que tous nos évadés réunis.

La terranide tente de forcer le passage. Vivement, dame Markisa qui n'a pas l'intention de revenir bredouille de sa journée de chasse, attrape un poignet de la la jolie blonde. Elle saisit le deuxième lorsque celle ci se débat. Désespérée, sa proie appel à l'aide ?

- ...A l'aide !

Markisa n'est pas une femme d'action mais ses cours hebdomadaires d'escrime sportive l'ont maintenue en forme. Plus grande d'une tête. La kitsune n'a aucune chance de lui échapper. Elle ricane.

- Ha ha hhh...Qui crois tu va venir te sauver ? ...Petite idiote. Humf... Laisse toi faire, ...hume...je serai magna...nime !

La courtisane se voyait déjà félicitée par ses amis nobles et compter les nombreuses couronnes d'or que la vente de cette beauté lui reportera. Petit a petit elle prenait le dessus et pourrait bientôt la maintenir immobilisée complètement dans ses bras. Lorsque, soudain...

 -  Attention !

Ce cri venait de derrière elle. Machinalement elle tourne la tête pour voir trop tard le plastron habillé d'une monture lui foncer dessus. Pendant qu'elle savourait sa bonne fortune, dans la rue principale Marcus avait chassé le cheval abandonné de Markisa et pénétrer dans la ruelle sur sa monture. Sa compétence en équitation est mise à rude épreuve.  Mais avec une peu de concentration il sut éviter les obstacle pour terminer son petit trop sur les deux femmes qui s'empoignaient au fond de la ruelle. Déséquilibrée par l'impact et la masse du cheval de guerre de Marcus. Les deux filles se retrouvent par terre mais séparées l'une de l'autre. Le jeune homme saisit l'occasion pour se pencher et offrir sa main à la kitsune pour l'inviter a monter avec lui.

- Viens ! Je ne te veux pas de mal !

Il espérait que la jeune terranide ne réfléchirait pas de trop, car dans la grand rue, les ordres fusaient de toutes part et les hommes d'armes n'allaient plus tarder à se réorganiser ! Au sol à côté cheval, apeurée et énervée à la fois, dame Markisa fulminait de rage.

- Rhhhaaaa Marcus ! Tu nous paiera cette trahison !

4
Alors que Canillia disparaît derrière la porte de la salle d'eau, le jeune homme se maudit de ne pas lui avoir immédiatement proposé de la laver. Suite aux mauvais traitements qu'elle a du subir de sa famille, il lui doit bien cela. Bon, il doit aussi bien admettre qu' il a une envie folle de lui faire du bien et de se faire du bien au passage.

Alors qu'il s'affale sur un fauteuil en cuir de grand prix, soulagé que le risque de se faire prendre est maintenant passé, il a l'agréable surprise de voir un bras de la jolie renarde s'insinuer entre le bâti de la solide porte pour laisser tomber tous ses vêtements dans la chambre et refermer le battant sans le verrouiller.
Marcus sourit. C'était manifestement un message à prendre au second degré. Se délester de ses habits maintenant est au moins la promesse de s'offrir bientôt nue à son sauveur.
Intrigué, le jeune héritier se lève et va ramasser la robe de Canillia. Il ne manque rien, tout est là. Meme sa petite culotte. Inévitablement, le jeune homme toujours excité des premiers attouchements dans la cave, porte à son nez la petite pièce de tissus blanche. Il respire profondément du nez pour en humer l' intime fragrance.

- Ouff que c'est enivrant, je ne suis pas le seul à avoir apprécié l'inspection improvisée.

S'il avait encore un léger doute, celui ci s'évanouit avec les vêtements qu'il jette négligemment dans la pièce. Tres décidé et sur de ce qu'il veut, il ouvre la porte et voit Canillia nue dos à lui qui se prélasse dans l'eau chaude de sa baignoire en cuivre.
Dans le mur en face de lui un feu crépite dans un âtre majestueux. Les flammes inondent la petite pièce d'une aura orangée qui se reflète dans l'eau et sur le bassin métallique. Il s'approche calmement à pas feutré sur le riche parquet huilé. Il s'agenouille et sans prévenir, délicatement posé ses deux mains sur les épaules délicates de la jolie renarde.

- Enfin seuls ! Il est temps de se faire un peu de bien, tu ne trouves pas ?

Se voulant rassurant, il l'invite à se laisser faire.

- Chuuut, laaaaa, laisse toi border par la douce chaleur de l'eau. Je m'occupe de tes tentions.

Faisant référence à son état avoué, il y a une minute, Marcus commence par lui masser lentement sur les trapèzes puis la nuque. Son regard est rivé sur le deux intrigantes collines de chair qui effleurent la surface de l'eau juste devant lui, il lui murmure à l'oreille d'une voix savoureuse.

- Tu dis être tendue ? Je crois que je le suis plus que toi, ma belle Cani.

Ses caresses se prolongent du bout des doigts pénétrant, tel un peigne, l'impressionnante masse de cheveux bleu nuit de la kyuubitsune jusqu'à la base du crâne. Là, il s'applique d'avantage à lui masser le cuir chevelu., observant la moindre de ses réactions.

5
L'auberge du Coucher de Lune / Re : affaire conclue? [pv Marcus]
« le: mardi 16 juin 2015, 20:18:21 »
Marcus regarde à son tour la serveuse terranide. C'est une jolie kitsune dont l'attitude de soumission le rendait déjà malade. Pour la libérer de son attente, il lui transmit poliment sa commande.

- Un simple verre d'eau pour moi, mademoiselle. Merci d'avance !

Le jeune héritier n'avait pas très envie de prolonger trop cet entretient qu'il souhaite voir avorter le plus tôt possible. Il suffirait ensuite d'avouer à son père que le client en question n'avait pas assez d'argent que pour s'offrir ne serai ce qu'une simple Neko. D'où, il attaqua la tractation directement par le nerf de la guerre.

- Sir Eden, je suis flatté que vous vouliez faire appel à notre maison pour trouver une esclave de qualité. C'est, pour ainsi dire, la spécialité des écuries Baritello. Seulement, vous n'êtes certainement pas sans savoir que celles-ci ont un prix à la hauteur de leurs raretés.

Marcus marque un temps d'arrêt pour observer la réaction de son interlocuteur. Il espérait le dégouter. Il est déjà temps de parler chiffre.

- Pour vous donner un exemple, une esclave haut de gamme pleinement dressée vaut au minium 1000 écus d'or. Pour les plus rares d'entre elles, cela peut monter à dix fois ce prix.

Sur ce point Marcus mentait partiellement. Non pas sur le prix maximum, puisque c'est à peu près ce que vaudrait sa nounou Rachel sur le marché, les terranides-vaches étant très prisées. On se demanderait bien pourquoi... Mais sur l'entrée de gamme qui se situe à la moitié du prix annoncé à l'acheteur potentiel. En effet, l'on pouvait trouver un produit de qualité / prix très abordable à partir de 500 écus d'or. C'est déjà un prix élevé pour le commun des mortel qui n'aurait pas assez d'une vie pour se l'offrir. Mais un prix très commun pour la riche bourgeoisie de Nexus.


Soudain ils sont interrompu par la serveuse qui est déjà de retour avec les boissons commandées. Évidement en tant que geste commercial, Marcus se proposa d'offrir les boissons à son client potentiel.

- Laissez ! C'est pour moi !

Joignant le geste à la parole, il glisse sa main dans sa poche de son gilet et en sort un pistole d'argent pour payer les deux boissons. Mais contre toute attente en sort une deuxième, cette fois carrément un écus d'or, et le glisse dans la mains de la serveuse à titre d'exceptionnel pourboire.

- C'est pour vous, faites en bon usage !

Plus gênée qu'autre chose, la serveuse fit une courbette à Marcus et s'en alla vivement entre les tables, manifestement paniquée de posséder, probablement pour la première fois, une vraie pièce d'or. Sans se soucier d'avantage de ce que pouvait en pensez son client, il reprit la conversation là où elle avait été interrompue.


- Vous comprendrez que, avant d'aller plus avant dans notre tractation,  je doive m'assurer que vous puissiez au moins répondre à votre future obligation de paiement ?

Sur ce, assez fier de lui, Marcus porte le verre d'eau à ses lèvres, attendant avec malice la réponse du sir Eden qu'il espère avoir grandement embarrassé.

6
L'auberge du Coucher de Lune / Re : affaire conclue? [pv Marcus]
« le: vendredi 12 juin 2015, 12:37:54 »
Marcus avait reçu par un ami de la famille une offre de rendez-vous personnel avec un inconnu qui se disait intéressé par un achat de "qualité". Malgré ses suppliques, son vieux père avait refusé de le remplacer sur le pouce. Non seulement, il était bien trop occupé pour se déplacer voir un "petit" client mais aussi et surtout il vit là l'opportunité de confronter enfin son fils à la dure réalité commerciale.
Hors, Marcus, à l'âge de reprendre les affaires de son père, n' a toujours pas compris que la seule loi qui régit le genre humain est celle de l'offre et de la demande. Seulement, le jeune idéaliste ne pouvait concevoir cette vision mercantile concernant les êtres vivants et pensants. Depuis son adolescence, l'âge de raison, il s'était mi à détester plus que tout au monde le métier de son père et à tout fait jusqu'ici pour s'en tenir éloigné.
Pire, il n'hésite pas, quelque fois, quand une occasion lui est donnée, sans risque de se faire prendre, à faire échouer les affaires de son père. Dès lors, inutile de préciser que même s'il avait finalement accepter de se rendre à ce rendez vous, le client potentiel en question risquait fort de rentrer bredouille chez lui.

Marcus est déjà sur le lieu du rendez vous depuis près d'une demi heure, alors qu'il allait quitter l'auberge du Coucher de Lune, tristement connue pour employer des esclaves Terranides comme serveuses, un bel homme grand et blond l'accoste enfin et le salue en s'excusant de son retard.

La politesse de l'inconnu désarma l'énervement naissant du jeune héritier. Il se rassit à la table qu'il avait choisi un peu à l'écart de l'animation permanente du lieu. Non pas pour que leur conversation ne soit pas entendue mais pour que lui ne puisse être le spectateur de la vulgarité humaine tyranniser les jeunes esclaves au travail.


- Ce... Ce n'est rien... Asseyez vous! Je me présente... Marcus Baritello, fils du trop célèbre Irialo Baritello, marchand d'esclave. Mais vous le savez déjà. Monsieur Éden qui êtes vous exactement ? ... Et que puis faire pour vous ?
  

7
Marcus vit une terranide femme renarde, une kitsune, comme on les nomme étrangement, descendre du toi suite à son avertissement. C'est une jeune femme blonde aux jolies formes. Celle-ci devrait valoir une fortune sur le marché. Il en était d'autant plus fier de l'aider à s'échapper. C'est avec soulagement que le jeune héritier la regarde filer loin d'eux dans la direction opposée de leurs troupes. Soudain, contre toute attente celle ci fit demi tour et s'engouffra dans l'une des nombreuses ruelles latérales.

Mais... Mais que fait elle ? Murmure t'il effaré.

- Vous dites mon chère ? Demande Markisa qui venait de le surprendre à soliloquer.

Marcus fait volte face et bonne figure devant la courtisane en maitrisant sa monture. Plus loin derrière leurs hommes faisaient déjà demi tour revenant bien évidement bredouille.

- Heu... Rien de particulier. Madame. Enfin, si,... Je suis consterné de constater l'inefficacité de nos hommes. Ils ont dû... encore... laisser filer une proie potentielle. Pfff !

La belle cavalière ne semblait pas convaincue par cette improvisation. Tout en écoutant Marcus, elle jette des regards suspects vers l'endroit où l'attention de celui-ci se portait plus tôt. Méfiante elle décide de le tester.

- Peut-être ne se sont ils pas dirigé dans la bonne voie ? Ou tout simplement n'ont ils pas été correctement informé ?

Interloqué par cet échange, sir Lancastri s'intéressa également à cette conversation.

- Comment ? Oseriez vous insinuer... S'insurgea l'héritier.

Marcus se mis à transpirer malgré lui et le ton de son indignation ne fut pas plus convainquant que précédemment car le jeune noble l'interrompit à son tour. Cette fois avec un ton passablement énervé et autoritaire.

- Oui, permettez moi d'oser, monsieur Baritello. Je suis convaincu que nos mauvais résultats de cette journée sont uniquement dû à votre présence. Alors que les autres places ont déjà remplis plusieurs chariots, nous n'en somme pas encore au bout du nôtre.

A peine avait il terminé sa remontrance que les deux cavaliers se dirigeait vers la ruelle où la kitsune s'était réfugiée. Si jamais elle y était découverte, aidé de la patrouille volante , ses comparses n'auraient pas trop de mal à la capturer dans leurs filets. Marcus devait réagir. Un peu sans réfléchir, laissé seul dans le carrefour, alors que ses égaux allaient pénétrer dans la ruelle, Marcus donna un franc coup d'épée sur le cadenas du portillon du chariot cage. La porte s'entrouvrit... Et il crie.

- Fuyez !!!!

Pendant que tous les gardes et les cavaliers hallucinaient, les 15 prisonniers ne se le firent pas répéter et s'échappent sans plus attendre de leur prison mobile. Marcus s'écarte de leur chemin et interpose même sa monture entre la troupe d'homme en armes qui s'était mis à courir vers leurs butins en fuite. Le jeune Baritello espérait que la diversion permettrait à la kitsune de ne pas être découverte.
Cela fonctionna avec le jeune noble. En effet sir Lancastri se lança immédiatement au galop pour rattraper les fuyards. Mais cela ne marcha  pas avec dame Markisa qui après avoir lancé un regard noir à Marcus, insista pour pénétrer dans la ruelle après être  descendue de son cheval...

8
Message envoyé ! :)

9
Petit UP parce que je suis assez curieux de decouvrir l'imagination dépravée de nouvelles partenaires..
J'attend avec délice toutes propositions indécentes via MP.

10
Nexus est un monstre capable de digérer ses habitants. C'est ainsi que le jeune héritier de la famille Baritello voyait sa ville natale. Pour certains, aujourd'hui est un jour de fête. Mais pour d'autres, comme lui, c'est une honte. La « grande chasse des terranides» au cœur de la cité royale est un évènement d'ampleur qui a lieu tous les cinq ans à peu près. Il a de particulier que son organisation reste strictement secrète jusqu'à sa veille pour ne laisser aucune chance aux proies potentielles.

Marcus est juchés sur son cheval accompagné d'une dame de cours, une certaine Markisa, la belle trentaine et d'un jeune noble du nom pompeux de sir Lancastri, à peine 17 ans. A son opposé, ceux ci sont aux anges. L’événement en question auquel ils participent de façon tacite leurs permets de jouir d'un peu de distraction.

- « Combien en avez vous fait attraper aujourd'hui sire ? » Lance élégamment la jolie Markisa.

- « J'en suis à mon cinquième Terranide et vous ma chère ? » Répond trop fièrement le nobliaux.

- « Il faut croire que la troupe dont j'ai la charge fait preuve de beaucoup de zèle aujourd'hui. Mon prochain sera le dixième ! Hihi » Avec tout de même un ton judicieusement modeste pour ne pas vexer son interlocuteur. « Et vous M. Baritello, êtes vous en veine aujourd'hui ? »

Marcus qui n'écoutait que d'une oreille fut tiré de sa triste rêverie. Aujourd'hui est jour de deuil et il n'avait pas l'humeur à plaisanter.

- « Heu... Un.. Je crois ? » Répond-t-il distraitement en regardant le chariot grillagé qui contenait déjà 15 malheureuses personnes.

En effet, ses hommes avait capturés un pauvre vieux homme bouc qui avait du mal à se déplacer appuyé sur sa canne. Pour celui là, il n'avait pas pu faire grand chose. Heureusement vu son grand age et son impotence, il y a beaucoup de chance qu'il sera relâché parce qu'inutile sur le marché de l'esclavage.
« Mais comment dieu faites vous ? Il n'est point permis d'avoir si peu de chance. Ha ha ha ! » Cette fois, le ton était moins respectueux voir critique.
Markisa a pertinemment bien compris que le jeune héritier de la famille Baritello faisait tout depuis le levé du jour pour que cette chasse ne soit pas un succès.
Les trois « capitaines » sont chacun accompagné d'une patrouille loyaliste de cinq hommes d'armes. Ce qui fait 18 personnes pour seulement garder un carrefour et les quatre rues qui en partent.
Pendant que les deux motivés riaient et se vantaient de leurs bonnes fortunes, Marcus remarqua soudain un reflet blond bouger à la limite de son champ de vision au dessus d'une corniche de l'une des maisons du carrefour. D'abord intrigué, il lève la tête mais lorsqu'il reconnais une queue de renard ondulé par dessus le faitage. Vivement, il redresse le visage, faisant l'air de rien pour éviter de dénoncer malencontreusement cet individu à ses comparses. Seulement l'un de ses hommes semble avoir remarqué son étrange manège et jette un œil intrigué dans la direction non souhaitée.

- "Jidéon !"

L'homme griffé aux armes de la famille Baritello se met immédiatement au garde à vous.

- "Oui monsieur ?"

- "Allez me chercher quelque chose à boire, j'ai grand soif !"

Jidéon s'exécute mais, surtout, oublie d'approfondir sa curiosité. Soulagé, cette fois Marcus regarde plus discrètement dans la direction des toits. Pas de doute quelqu'un s'y est caché. Une queue de renard appartenant certainement à un terranide et excitée par le danger de la situation fouette l'air de temps en temps. Il fallait faire quelque chose parce que les 17 autres personnes présentes allaient finir par le repérer aussi. Pire, ce terranide ne sait certainement pas qu'une troupe ailée survole également la ville tel des rapaces près à fondre sur les resquilleurs funambules... Sans réfléchir Marcus crie...

- "Là ! Une queue de fourrure !"

Il montre à ses compagnons la direction opposée à celle de l'endroit où s'est caché le terranide. Les trois troupes alertées se mettent immédiatement en branle et courent dans la direction indiquée en espérant trouver la cibles avant l'équipe concurrente. Seuls les deux « capitaines » montés restent hélas auprès de Marcus pour garder le carrefour abandonné. Ce dernier place sa monture dans leurs dos et se met sur la pointe des pieds dans ses étriers pour faire signe des bras au terranide de quitter rapidement sa mauvaise cachette en espérant que celui ci comprenne ses simagrées...

11
La belle Kiubitsune lui demande délicatement d'arrêter là cette très agréable fouille en posant l'une de ses douces queues sur ses avant-bras. Très respectueusement mais non sans une certaine frustration, Marcus obéit. Pourtant il avait à peine entamé la zone érogène qu'il affectionne particulièrement. A cela s'ajoute l'excitante frustration de n'avoir pas pu aller jauger et voir du bout des doigts les deux belles pointes hérissées. Leurs tailles promettaient pourtant d'être exceptionnelle parce que déjà fort peu discrète même au travers de son bustier. Elle lui chuchote alors.

Garde s'en un peu pour tout à l'heure...

Une phrase qui lui redonna du baume au cœur. Et elle de rajouter à voix haute.

Suis-je à votre goût, Monsieur ?

Pour toute réponse, Marcus lui fait d'abords un discret sourire en coin en levant le sourcil gauche et dirige son regard vers le bas, intimant par là à Canillia de faire de même et de baisser le sien vers son pantalon. Elle peut y constater à nouveau une longue bosse qui n'a rien à faire là, témoignant par là que son état d'excitation s'est franchement aggravé. Rien n'est plus parlant pour Canillia que ce témoignage corporel mais le jeune aristocrate ajoute quand même à propos de saveur gustative.

Ce fut un amuse bouche des plus savoureux. Il me tarde d'attaquer l'apéritif, l'entrée, le plat de résistance et le dessert.

Marcus éclata de rire à la trop gourmande vantardise de ses propos.
Gradius avait toujours l'air méfiant, il trépignait d'envie de parfaire le travail de son jeune maître. Seulement il se ravisa de peur de le contrarier à nouveau.

Tu vois bien que je n'ai rien trouvé. Alors ? Qu'est que tu attends ? Vient la détacher !

Crache le maitre à son employé. Celui ci s'exécute immédiatement.

Tout de suite monsieur.

Une fois libérée de ses chaînes, d'un geste galant, Marcus invite sa jeune captive à quitter la cellule la première. Il la suit et s'adresse au gardien resté dans la cellule.

Nettoie moi ce bouge, ça pue le renfermé et la graisse...
Te voilà occupé pour l'après-midi !


Rassuré, Marcus venait de se garantir un alibis suffisamment long que pour permettre le retour de Rachel. Ils gravissent alors l'escalier en colimaçon qui leurs permet de passer de l'ombre à la lumière. Passé la lourde porte de la cave. Ils arrivent au rez-de-chaussée où le contraste est saisissant. Les matériaux qui composent la demeure des Baritellos sont tous d'une richesse et d'une rareté exceptionnelle. Les boiseries sont exotiques, les pierres précieuses, l'éclairage naturelle assuré par de grandes fenêtre à carreaux vitrés, l'éclairage artificiel par de magnifiques lustres et candélabres. Tout est propre et une armée de jolies servantes s'acharne à ce que cela le rester.

Marcus qui devance légèrement son invitée ébahie doit de temps en temps se retourner pour l'inciter à avancer. Il ne tient pas vraiment à se faire surprendre par son père. Heureusement l'immense demeure compte de nombreux salons, bureaux et chambres. Les probabilités sont minces. Il chuchote à Canilllia.

Ne traînons pas, j'espère que Rachel ne va pas trop tarder en attendant allons nous réfugier dans mes appartements. Suis moi !

Le jeune prend Cani par la main et continue son chemin . Ils empruntent un nouvel escalier pour passer au premier étage. Là passé la grande mezzanine il l'invite à entre dans une pièce, très bien éclairée par deux très hautes fenêtres. La pièce est aussi grande qu'un salon et pourtant ce n'est qu'une chambre. Deux autres portes sont visibles. Il y a deux divans, un âtre, des coffres, une chaise, un lustre, des tapis et un immense lit à baldaquin. Enfin soulageé Marcus se détend.

Je t'en prie met toi a l'aise, ici tu es en sécurité. Si tu veux prendre un bain, la salle d'eau est derrière cette porte.

Pour s'assurer du parfait anonymat de son invitée, il referme a clef la porte derrière lui.

12
Royaume Terranide / Re : Le bain de vérité [Asceltis]
« le: lundi 02 mars 2015, 22:45:33 »
La première fois est toujours inoubliable dit on, et cette première fois ne manquera pas à cette tradition. Jamais Marcus n'aurait cru que de tels sensations puissent exister. L'envie insatiable qu'ils partagent avec sa partenaire est tout aussi enivrant pour lui que le plaisir charnel de leurs contact intime. Ce feu qui les possède est comme une synergie que leurs corps et leurs âmes réclameront encore tel une irrésistible accoutumance. Le jeune homme n'avait que faire de ses limites physique que son endurance humaine lui impose. Il avait sa volonté pour lui.

Les sourires qu'Asceltys lui a offert pendant leurs ébats sont des cadeaux tout aussi précieux. Mais par dessus tous ceux qu'elle a eu la bonté de partager avec lui, il y a un présent qui le marquera pour le restant de sa vie. Au moment béni par les dieux, lorsqu'il dû défaillir en elle, Asceltis lui fit plonger son visage entre ses deux volumineux seins. Ceux-ci lui caressèrent les joues pendant qu'il mourait en elle comme pour le féliciter de sa fougue. Ce touché moelleux et cette chaleur maternelle l'on poussé au bord du précipice. Jamais plus beau cadeau ne lui avait été fait. Ce qui l'incitera à y survivre pour recommencer de nombreuses fois dans le futur.

Déséquilibré par l'assaut final, ils tombent en arrière dans l'eau explosant en gerbe autour de leurs corps enlacés alors que sa jouissance est encore vive.
Marcus ne bouge plus, ils respirent ensemble, heureux d'être en vie. L'héritier rouvre les yeux la peur au ventre de découvrir que tout ceci n'était qu'un rêve. Mais non, l'ange est bien toujours là, au dessus et tout contre de lui. d'une voix douce elle lui murmure.

"Veux-tu t'arrêter là jeune homme ? Tu as beaucoup joui."

Marcus la regarde dans les yeux sans rien dire. Malgré le plaisir dont elle a témoigné avec ses intenses gémissements, il sait et il a bien senti qu'elle aurait aimé en avoir d'avantage. Le jeune homme est partagé entre le bonheur de sentir ce doux épuisement en lui et la honte de s'être égoïstement abandonné trop tôt. Non, il ne veut pas noircir le tableau. Aujourd'hui est un jour merveilleux et il la désir comme jamais il désiré une femme.

Pour toute réponse, il l'embrasse avec autant de fougue sinon plus que leur tout premier baiser échangé. Elle peut sentir sa force et sa puissante volonté. Sa langue vient chercher celle de la belle. Toutes deux, elles reprennent le combat dans une savoureuse et interminable bataille dans laquelle il n'y aura pas de perdante. Presque en apnée, les jeunes amants se partage le même et rare air qui arrive a s'infiltrer entre leurs lèvres soudées. Marcus sent son énergie se décupler. Comme possédé, le rythmes de ses baisers va crescendo. Ses mains parcourent la sublime silhouette de celle qui le surmonte.

Il quitte à regret les lèvres charnues de sa bien aimée pour enfin aller dévorer ce corps qui lui a tant donné de plaisir. La prenant délicatement par l'épaule, il la repousser légèrement pour aller cueillir l'une des juteuses mamelles. Il en connaît déjà la douceur et l'odeur mais il en découvre enfin le goût sucré. Il s'aide de son autre main pour s'offrir au mieux la pointe. L'heureux téton capturé se réveille entre des lèvres aspirantes. Le moelleux de cette volumineuse poitrine lui caresse à nouveau le visage. Il prend plaisir à s'en étouffer d'avantage. Quel bonheur de savoir que son volumineux jumeaux juste à côté en attend tout autant. Marcus se délecte sans retenue du délicieux repas en perspective. Lorsque... Soudain, une voix grave et résonnante à travers le temple se fît entendre au loin.

Maaaarcuuuss !  Mmmaaaarcuuuusss ! Où êtes vous ?  

De toute son âme, le jeune héritier souhaite n'avoir rien entendu mais hélas aucun doute n'est permis.
Oh Non ! Gedeon !
Gémit'il.

13
Royaume Terranide / Re : Le bain de vérité [Asceltis]
« le: samedi 21 février 2015, 08:01:26 »
Marcus est heureux. Néanmoins des ressentis négatifs tels que de l'impatience, de la contrariété, et voire même de la détresse, sont venus s'insinuer et polluer ce moment d'intense plaisir.  Il voulait ardemment prendre cette femme. Mais débordé par le florilège de nouvelles sensations qui l'assaillent, à l'instant crucial de la pénétration, le novice ne maîtrisait pas encore suffisamment ses gestes. Malgré sa grande motivation, il ne pouvait trouver l'entrée du paradis. Il doit encore apprendre à se contrôler et à savoir utiliser son corps pour en jouir au mieux.

Son chibre gonflé et tendu à l'extrême est bien trop écrasé et relevé contre le bas ventre de sa partenaire. Sa respiration trahis ce désagrément. Asceltys le compris. Avec une sensualité hypnotique, elle lui montre lentement les bons gestes. Tel un élève attentif, Marcus l'observe sagement prendre les choses en main. C'est le moins que l'on puisse dire. S'aidant d'une main, avec grâce et volupté, d'un savant mouvement de hanche le professeur vient d'elle même s'empaler sur son sexe.

A peine a t-elle amorcé son geste, que le jeune homme est pétrifié par cette sensation inconnue. Marcus découvre enfin le plaisir à l'état pure. Les deux sexes mouillés d'excitation coulissent lentement l'un dans l'autre. Son long membre s'impose petit à petit aux juteuses parois vaginales. Plus emboîté ils sont et plus il ressent l'extase tant recherchée.
Cet instant qu'il n'oubliera jamais est véritablement magique. Comme pour le punir d'oser lui donner du plaisir, Asceltys accompagne la fusion de leurs corps d'un profond gémissement qui ne fit alors qu'aggraver l'état d'excitation du jeune homme pourtant déjà au bord de l'explosion. Marcus respire fort. Il doit supporter cette jouissive épreuve et se dépasser pour que cet instant ne soit pas trop éphémère. Masqué par le puissant cri féminin, l'homme libère également un râle de plaisir.

OOOHHH

Ses yeux grands ouvert n'ont rien raté de l’événement. Le sublime corps féminin est maintenant parfaitement emboîté sur lui. Asceltys  ouvre la bouche, se cambre en arrière et gémit encore de toute ses forces. De son côté, lui, au contraire, serre les dents et se contracte. Tous ses muscles sont tendus. Très bien ainsi, il en serait sagement resté là a ne plus bouger le temps que ses trop forts ressentis se calment. Mais c'était sans compter la gourmandise de sa partenaire. Celle ci profite alors de la force musculaire de son viril compagnon de jeu pour grimper sur ses hanches, le ceinturer de ses cuisses et se suspendre à sa verge.

Immédiatement, la pénétration s'accentue à l'extrême. La vulve et le clitoris vont jusqu'à embrasser et s'écraser contre l'aine masculine. Ce qui électrise d'avantage les deux amants. Marcus a tellement chaud que le haut des joues rougeoie. Sa verge bien plantée en elle ne peut plus bouger, elle occupe tout l'espace disponible. Il est heureusement surpris de la légèreté de celle qui le monte. Serait ce dû a l'adrénaline qui l'exalte ou à la faible masse osseuse de la belle colombe. La conjonction des deux très probablement.
Ses bras autour de ses épaules, elle se serre tout contre lui. Pour garder l'équilibre, Marcus se saisit des fesses rebondies. Ses doigts bien ouvert sont plantés dans la chair du postérieur féminin. La poitrine généreuse de sa cavalière manque de place et s'écrase sur son torse. Il doit à nouveau gérer une délicieuse contrariée. Depuis le premier instant de leur rencontre, le jeune homme avait rêvé de palper, de jouer et surtout de dévorer ces gros seins prétentieux. Ses bras étant sévèrement réquisitionnés et son visage trop éloigné, il ne lui restait que ses yeux pour mirer. Ceux-ci sont rivés sur ces deux appétissantes collines. Il répète désespérément.

Que j'ai soif de ton corps, si parfait.

L'affamé décide alors d'aller se venger plus bas. Revigorer par ces représailles, serrant les dents, il entame enfin le mouvement de vas et vient tant espéré par sa compagne. L'attente en a valut la peine. Elle ne sera pas déçue. La rude verge coulisse d'abord par de petits à coups maladroits. Mais très vite, l'élève trouve la bonne cadence et synchronise ses coups de bassins avec les appels féminins.

Les deux amants ont perdus la notion du temps. Ils se concentrent sur le rythme des obscènes bruits de succion mouillés que leurs sexes emboîtés font à chacun des allers et des retours.
Seulement le porteur a préjugé de son endurance. A chacun de ses allers, il se demande si le retour ne sera pas le dernier. Il lutte éperdument pour prolonger leurs plaisir. Repoussant encore et encore, l'extase qui le menace d'une fin prématurée.

Il se délecte de voir Asceltys faire danser ses seins devant lui, ceux-ci ballottent de haut en bas. Ses tétons hérissés griffent l'air. Quelle sublime vision. Par réflexe, Marcus entrouvre légèrement la bouche. Il désire tant s'y abreuver. Cette image fatale fini par le faire chavirer.

Une première explosion prenant naissance dans ses bourses bien accrochées, se propage le long de son chibre qui se contracte, pour autant que cela soit encore possible. L'éruption de sperme jaillit au sein même des entrailles de sa compagne. Il défaille et se vide en elle sans retenue. De nombreux jets chauds et généreux viennent la remplir. Marcus qui n'a enfin plus le statut de puceau lâche un puissant cri de jouissance et de remerciement à  l'adresse des dieux.

RAAAAAAAHHHHHHH

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Prélude / Re : Emiko, plus pucelle ça n'existe pas [Valicidée]
« le: mardi 17 février 2015, 20:49:37 »
Bien venue Emiko.

NB: Tchuuu Alice ! Quand tu fais ton taf de "demi-valicidatrice" tu ne le fais pas avec le dos de cuillère. :)

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Archives publiques / Re : Hot for Teacher - Nouveaux modos !
« le: mardi 17 février 2015, 20:44:22 »
Pour autant que mon avis intéresse quelqu'un, que dire, sinon que c'est amplement mérité !  :)
Salue respectueusement les heureux élus.

Frotte manche, moi ? Mais nooooonn !  ::)

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