Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Lucie Backerlord

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Lucie Backerlord

Pages: 1 [2] 3 4 ... 10
16
La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: jeudi 23 août 2018, 23:53:39 »
Au final, Alix commanda pour moi. Je n'allais pas vraiment me plaindre, je n'étais pas vraiment habituée à ce genre de lieux. Et comme elle vivait ici depuis longtemps, j'allais tout de même lui faire confiance. Si je ne lui faisais pas confiance, je n'avais strictement rien à faire ici. Le lieu n'était pas si top, mais j'allais tout de même jeter un coup d'œil à la bouffe. Je n'étais pas ici pour me délecter de la décoration, mais pour manger. Une fois mon assiette devant moi, je commençais à manger, rapidement, comme à mon habitude. Je ne savais pas manger lentement. Je mangeais certes très vite, mais je faisais tout de même attention. Il était hors de question que je commence à m'étouffer pour si peu. J'aurais de toute manière fini avant elle, car je ne comprenais tout simplement pas comment on pouvait manger ce genre de choses. Je ne trouvais pas cela fondamentalement mauvais, mais la texture me gênait un peu parfois. Je refusais donc poliment, car à mon sens, il valait mieux ne rien mélanger.

- Je ne mélange en aucun cas la viande et le poulpe. Je ne supporte pas ce genre de choses. Mais c'est gentiment demandé.

Après quelques bouchées, j'en avais terminé. C'était même assez bon d'ailleurs. Généralement, quand quelque chose était plutôt bon, je mangeais bien plus vite que lorsque je n'aimais pas un aliment. J'attendais donc patiemment qu'elle ai fini sa propre assiette. Je n'allais tout de même pas la laisser toute seule pour aller vagabonder dans cette gargote. Je n'allais tout de même pas lui demander de se dépêcher. Ce n'était clairement pas dans ma nature. M'étendant donc sur la banquette, je jouais lentement avec mes doigts. Je ne savais pas vraiment quoi faire, mais au moins, cela me ferait passer le temps. Au moins, ici la décoration était dégueulasse, alors que la bouffe était hautement correcte. C'était l'une des raisons principales pour lesquelles on ne devait jamais juger un établissement sur l'image qu'il donnait. Surtout sur Terra.

- Au final, j'peux vraiment tirer quelque chose de toi. Tu choisis bien tes fringues, tu choisis bien à bouffer, tu sais te servir de tes dix doigts, t'es pas trop cruche avec une arme entre les mains... Avec un peu d'entraînement, j'peux vraiment faire quelque chose de toi. Après c'est à toi de voir si tu veux faire des efforts dans cette voie-là ou non. J'te laisse le choix.

17
Je ne me sentais pas du tout outrée par de tels propos, mais je me devais d'au moins faire semblant. De ce fait, je pris une mine particulièrement outrée, et je me mis à regarder ailleurs pendant quelques instants, avant de ricaner franchement. Il fallait vraiment trouver autre chose pour m'outrer. On pouvait parfaitement critiquer mes performances, tant que ces critiques étaient évidemment constructives. Si la critique était gratuite, et non fondée sur un quelconque argument, je pouvais le prendre très mal. Mais généralement, je tombais sur des gens suffisamment bien élevés pour ne pas avoir à entendre de telles choses. La façon que j'avais de ricaner devait lui faire comprendre que ce qu'elle venait de dire ne m'avait absolument pas vexée. De toute manière, si j'étais vexée, je me serais rapidement barré. Si je restais en elle, cela voulait tout dire.

- Moi aussi je me suis déjà tapé des succubes. Heureusement que ces charmantes créatures existent. Comment on ferait sinon, si on a rien sous la main? On a pas toujours une consœur à se mettre sous la dent, malheureusement.

Je trouvais ça parfaitement scandaleux. A mes yeux, faire ce genre de choses, surtout entre consœurs, était quelque chose de totalement naturel, et devrait être acquis partout. Malheureusement, les gens ne pensaient pas toujours comme moi. Je redevenais ensuite quelque peu active. Il ne fallait pas que je passe mon temps à ne rien faire, car même si j'appréciais fortement ce qu'on pouvait me faire, dans mon esprit, j'allais commencer à tourner en rond, et cela allait être très néfaste pour moi. Agrippant plus que fortement son fessier avec mes mains, je le malaxais, mais surtout je l'utilisais comme une sorte d'amplificateur. En le faisant bouger à un certain rythme, je ne faisais qu'amplifier les mouvements de Bayonetta, ce qui avait pour but d'amplifier ce que je ressentais. Et je ne pouvais que m'en mordre les lèvres, tellement je trouvais que cette idée était une bonne idée.

A mes yeux, ce n'était pas un concours d'endurance. Mais il fallait tout de même que je sois performante. C'était pour cela que je m'envoyais régulièrement en l'air avec de nombreuses créatures. Pour augmenter mon endurance, car je n'en étais pas vraiment satisfaite. Plus j'étais endurante, mieux c'était. Pouvoir faire durer les choses était une bonne idée. C'était à la fois bénéfique pour moi mais aussi pour mon partenaire. Instinctivement, je venais resserrer mes jambes autour d'elle, formant une sorte d'étau, qui avait comme effet de modifier l'angle de pénétration, ce qui me tira un profond gémissement. Si je continuais à avoir des idées de génie de ce style, j'allais très rapidement perdre face à elle. Mais au moins, si je perdais, j'allais perdre avec le sourire, puisque de toute évidence, elle était un bon coup. Je détestais faire des classements, mais je ne pouvais pas nier cette évidence.

18
La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: jeudi 02 août 2018, 21:45:23 »
Je me mis donc à suivre Alix lorsqu'elle proposa d'aller bouffer quelque part. J'étais persuadée que j'allais encore me prendre une remarque, due au fait que je mangeais rapidement. Très rapidement. Toute personne me voyant manger me faisait toujours la même remarque. Celle de manger moins vite car autrement, je pouvais m'étouffer. Mais cela faisait des siècles que je mangeais ainsi, et je ne m'étais jamais étouffée. Je savais très bien ce que je faisais, et si j'avais eu le moindre doute, je n'aurais jamais fait une chose pareille. J'étais par moments totalement stupide, j'étais même la première à le dire, mais il ne fallait surtout pas m'infantiliser non plus. Cela ne pouvait qu'attirer des problèmes à la personne qui faisait une telle chose. Je ne supportais pas que l'on puisse m'infantiliser, même lorsqu'il s'agissait de ma propre famille. Ce qui était paradoxal, puisque j'agissais comme une seconde mère avec mes hommes. Mais je n'avais jamais prétendu être quelqu'un de totalement cohérent.

Une fois sur place, je ne pouvais que constater que la décoration était d'un goût des plus douteux. Mais j'avais toujours à l'esprit qu'une gargote, aussi minable soit-elle, pouvait être pleine de surprises. Je connaissais quelques bonnes adresses sur Terra, et je savais surtout que Terra était une zone pleine de surprises. Je m'étais même surprise à rentrer dans un restaurant des plus miteux, où j'ai pu trouver de la très bonne nourriture. Me jetant sur la banquette où Alix avait prit place, je jetais un coup d'œil autour de moi. Vraiment, je n'étais pas du tout fan de la configuration des lieux, mais je devais faire abstraction, et laisser sa chance à cet établissement. Je notais aussi de ne pas toucher à la moindre goutte d'alcool ici. L'expérience chez Alix m'avait suffi, pourtant, je n'étais pas du genre à ne pas tenir l'alcool, bien au contraire. Je pouvais facilement boire une bouteille d'absinthe pure sans ressentir le moindre effet.

- J'ai déjà vu franchement pire comme déco, mais au moins, la bouffe était bonne. Donc, je ne vois pas pourquoi ça ne serait pas la même chose ici. Je réfléchissais à ce que je pouvais bien manger. Je n'avais pas vraiment d'idées en tête, et sans la carte, je ne pouvais pas vraiment deviner ce qu'ils pouvaient bien faire ici. - Ah, c'est à la fois un restaurant et un bordel... Intéressant ça. J'en ai déjà vu faire ça, même sur Terre. Au moins, ici, je ne suis pas dépaysée.

Je ricanais car il m'était déjà arrivée de faire quelque chose comme cela, sous couverture, bien évidemment. Pour trouver mes informations, tous les moyens étaient bons. Je faisais bien évidemment attention à ne pas sur-utiliser mon pouvoir pour lire dans les pensées. Alors si je pouvais obtenir des informations, en faisant une chose que j'aimais beaucoup, c'était tout bénéf à mes yeux. Mais encore fallait-il tomber sur quelqu'un aimant les personnes comme moi.

19
La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: lundi 23 juillet 2018, 18:33:57 »
Bordel que ce canapé était confortable. Un endroit parfait pour une féroce partie de jambes en l'air. Mais j'aurais pu très bien m'endormir dessus tellement il était confortable. Néanmoins, cela ne servirait à rien, puisque je ne dormirais pas vraiment. Lyssandra n'était pas du genre à traîner en besogne. Elle pouvait ajuster des dizaines de vêtements en seulement quelques minutes. Elle avait un véritable don, que je lui enviais souvent. Mais comme je n'étais pas dans le même domaine qu'elle, il ne me servirait pas vraiment. Mes pouvoirs me suffisaient largement, même si, je devais l'avouer, je rêvais secrètement d'être bien plus puissante que je ne l'étais actuellement. Car une véritable sorcière n'était jamais réellement satisfaite de sa puissance. Certaines passaient même toute leur vie dans la quête d'un plus grand pouvoir. Du moins, c'était ainsi que je voyais les choses. J'étais donc confortablement installée dans un bon canapé, et je patientais, tranquillement. Cela n'allait pas vraiment durer très longtemps.

En voyant Alix revenir avec des fringues parfaitement à sa taille, je souriais. Lyssandra était géniale. Même quand elle faisait les choses rapidement, elle s'arrangeait toujours pour que ce soit bien fait. Je ne savais pas vraiment comment elle fonctionnait, mais elle savait parfaitement à quel point je l'admirais pour le travail qu'elle fournissait en permanence. Et, comme d'habitude, je la complimentais sur son travail, toujours bien fait. Alix avait surtout choisi des fringues assez jolies. Si tel n'avait pas été le cas, je l'aurais une nouvelle fois traînée en plein milieu du marché pour qu'elle choisisse avec plus de parcimonie cette fois. Je pouvais très bien lui acheter des fringues, sans aucun problème, mais il fallait tout de même qu'elle soit présentable, même si je trouvais qu'elle prenait les vêtements les moins chers possible. Mais je n'allais pas lui en tenir rigueur.

Je restais donc quelques minutes de plus, pour parler de choses sans réelles importance avec Lyssandra. Je l'aimais beaucoup, et elle le savait très bien. Je savais surtout que je pouvais compter sur elle en permanence, surtout en cas de coup dur. Si jamais il m'arrivait un pépin, je pouvais d'office compter sur elle. Un véritable amour. Après cette discussion fort passionnante, je la remerciais une nouvelle fois avant de quitter sa maison avec Alix, en souriant. Je tapotais doucement la tête d'Alix, aussi doucement que possible, pour ne pas la froisser ou quelque chose de ce genre-là.

- Bon, au moins maintenant, t'es bien fringuée, et en plus c'est joli. Moi, j'ai tout ce qu'il me faut pour le moment. Tu veux faire quelque chose d'autre en particulier?

20
Je ricanais en la voyant réagir de la sorte. Il était évident qu'elle n'allait pas en rester là. Il aurait été bien stupide de penser le contraire, et comme je n'étais pas née de la dernière pluie, je savais comment fonctionnait une sorcière, puisque j'en étais moi-même une. De ce fait, j'allais devoir passer une nouvelle fois à table, ce qui ne me dérangeait pas vraiment, en fin de compte. Dire non serait puérile, et je ne fonctionnais pas ainsi. Je ne pouvais pas vraiment aller contre ma véritable nature. Lorsque j'avais faim, j'avais faim. Il n'était évidemment pas question de manger au sens strict du terme. A moins de se tourner vers le cannibalisme, il fallait voir ça comme une sorte d'expression. Et à vrai dire, me nourrir de chair humaine, ce n'était pas quelque chose qui me branchait véritablement. Il y avait bien d'autres choses, bien plus sexy à faire que de s'attarder à une pratique aussi barbare.

- Si tu m'avais dit que tu voulais en rester là, j'aurais personnellement très mal pris cet état de fait. Mais heureusement, ce n'est pas le cas.

En la voyant faire, et en connaissant ce dont une sorcière pouvait être capable, je comptais me laisser faire pour le coup. Je n'allais pas rester active en permanence. De temps à autre, de la passivité, cela ne pouvait apporter que du positif, et je savais de quoi je parlais. Se laisser faire, c'était donner carte blanche à l'autre, afin qu'il puisse faire ce qu'il voulait, sans retenue. Du moins, je voyais les choses de la sorte, ce qui, par moments, pouvait me valoir les foudres de mes consœurs, mais je n'en avais cure. Je faisais ce que bon me semblait, et peu importe si cela ne plaisait pas à grand monde. J'étais libre de choisir la vie que je voulais mener, sans rendre de compte à qui que ce soit. Je me laissais donc totalement faire, la laissant aller et venir sur moi, regardant tout de même ce qu'elle faisait, pour ne pas en perdre une miette. Vu qu'elle comptait remettre le couvert, j'allais faire en sorte de durer bien plus longtemps cette fois.

- J'te laisse aussi ma culotte vu que c'est toi qui pilote ou tu n'en as plus besoin pour le moment?

21
Prélude / Re : Les dragonnes débarquent sur Terra [Validarthées]
« le: dimanche 15 juillet 2018, 22:52:30 »
Tiens, une faction avec plein de dragonnes.
Ça m'intéresse ça, tiens :3

Bienvenue

22
La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: jeudi 12 juillet 2018, 18:52:23 »
J'attendais donc patiemment qu'elle fasse ses petites emplettes, tout en fumant une clope. Évidemment, elle prit ce qu'il y avait de moins cher. Il était clair qu'elle n'était pas habituée à avoir quelque chose de relativement coûteux sur le dos, et je ne pouvais pas la juger. Si j'avais vécu la même galère qu'elle, je ferais la même chose. Je pouvais donc tout à fait comprendre son point de vue, même si je n'avais jamais vécu de la sorte. Je la regardais choisir des vêtements, sans faire vraiment attention si tout cela était à sa taille. Je souriais en coin, car même si rien n'était à sa taille, je pouvais faire quelque chose pour elle. Il nous suffirait de faire un petit saut chez une consœur, et tout irait pour le mieux ensuite. Une sorcière spécialisée dans la couture, et qui pouvait rajuster des vêtements avec ses pouvoirs, sans utiliser le moindre instrument.

Je payais donc tout ce qu'elle venait de prendre et lui demandait donc de me suivre. Ma consœur n'habitait vraiment pas loin. De ce fait, nous n'allions pas mettre des plombes pour trouver sa baraque. Elle avait eu la très bonne idée d'habiter pas loin d'une zone commerciale. Le contraire aurait été l'une des pires imbécilités que j'aurais pu voir de ma vie. Sur le chemin, je faisais des ronds de fumée, en regardant de temps à autre derrière moi pour voir si Alix suivait toujours. Une manie que je gardais depuis mes débuts à l'armée. Je regardais tout le temps derrière moi pour savoir si mes hommes suivaient, et s'il n'en manquait pas un. Une fois arrivées sur place, je jetais mon mégot dans un caniveau et le vit s'éteindre instantanément. Frappant à la porte, je n'eus qu'à attendre moins de 4 secondes avant de la voir m'ouvrir la porte. Ne l'ayant pas vue depuis des mois, je la pris dans mes bras, et la serrai aussi fort que possible. Elle était habituée de toute manière, à ce que je ne contrôle pas ma force avec elle.

- Lyssandra, ma chérie, je suis contente de te voir. - Lucie, Lucie, Lucie.... Toujours aussi discrète à ce que je vois. Quel bon vent t'emmène? Je tapotais doucement la tête d'Alix. - Ma grande, j'ai cette petite chose sous le bras, je lui ai acheté des fringues, mais j'ai bien peur que tout ne soit pas à sa taille. Comme tu es une maîtresse du sur-mesure, tu vas bien pouvoir me rattraper ça, non? Elle me regarda avant de regarder longuement Alix, en souriant. - Ma petite, je ne sais pas ce que tu fais avec cette tarée, mais si tu lui fais confiance, tu t'en feras une très bonne alliée. Lucie, j'veux bien te faire ça, en échange de ce que tu as fait pour moi par le passé.

Elle amenait donc Alix avec elle pour faire en sorte de mettre tous ces vêtements à sa taille. Cela n'allait pas prendre longtemps, de ce fait, je me contentais simplement de m'asseoir dans le canapé en attendant.

23
La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: samedi 30 juin 2018, 19:41:12 »
Elle m'emmenais donc avec elle, ce qui me laissait le temps d'avoir une idée. Évidemment, il était hors de question que je lui en parle avant de pouvoir la mettre en pratique. Je savais ce que je voulais faire, mais si je lui expliquais ma façon de voir les choses avant de pouvoir réaliser ce que je voulais faire, elle allait sûrement mal le prendre et m'empêcher de le faire. Mais j'étais en position de force, même si j'étais chez elle. Pendant le trajet, j'écoutais avec attention ce qu'elle me disait, et je pensais également à quelques fringues que je voulais acheter. J'espérais sincèrement pouvoir trouver mon bonheur, mais je me rappelais que pour trouver quelque chose ici, il ne fallait pas chercher cette dernière. C'était comme si elle venait à vous de son plein gré. C'était quelque chose que je n'avais jamais vraiment compris.

- Ma chérie, tu sais, j'ai pas l'habitude de laisser deux trois petits vendeurs tenter de m'avoir sur des tissus de médiocre qualité. Je teste toujours tous les tissus avant d'acheter, je suis loin d'être conne.

J'avais même pour habitude, généralement, pour tester si un blouson vendu comme du cuir était réellement du cuir, de gratter la surface de ce dernier. Un faux cuir laissait toujours des résidus sur les ongles. Mais de toute manière, s'il n'y avait rien sur mes ongles, mon briquet restait mon plus fidèle allié dans ma quête de vérité. Le cuir ne brûlait tout simplement pas. Je cherchais d'abord un petit blouson, que je voulais impérativement en cuir. Pour ne pas perdre mon temps dans des tests inutiles. Sortant mon briquet, je passais sa flamme dans un endroit assez peu visible, afin de voir si cela était du vrai cuir. Évidemment, cela brûlait. J'en essayais un autre, qui cette fois, ne brûla pas. J'en voulais un bon prix, par conséquent, je négociais pour tirer le prix vers le bas. Il était hors de question que je laisse un vendeur tenter de m'avoir.

- 200. - Il est à 300 madame. - J'ai dis 200. - Je ne descendrais pas en dessous de 300. - Écoutes mon petit, tu tiens vraiment à ce que je te fasse coffrer parce que tu essaies d'enculer tes clients avec de la contrefaçon que tu vends pour des produits de luxe? - Vous savez que vous n'avez aucun pouvoir ici? Je me mis à ricaner. Visiblement, il ne savait pas qui j'étais. - Je t'en donne 200, c'est ça, ou une balle dans la tête si tu continues à faire le malin avec moi. J'avais un air tellement déterminé qu'il se mit à réfléchir avant d'accepter, de peur que je le fasse réellement. J'enfilais donc ce blouson après lui avoir filé sa thune. - Toujours négocier avec un pétard sur soi. Tu auras de toute manière toujours raison. Je tirais Alix par la main pour l'emmener sur le stand d'à côté. - Tu prends ce que tu veux. Considères ça comme une avance sur salaire. Si tu restes avec moi, il te faudra de meilleurs oripeaux. Il est hors de question que je te laisse avec des vêtements trop vieux.

24
La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: lundi 25 juin 2018, 20:43:39 »
Je terminais de cloper une fois devant la boutique, avant d'y rentrer. Je ne partais pas sur des a priori. Je connaissais quelque peu Terra, et je savais par conséquent qu'une fois dans un lieu, on pouvait trouver absolument de tout, sans même y penser. Ainsi, je commençais à regarder de tous les côtés, pour savoir si je pouvais trouver ce que je cherchais. Il m'était déjà arrivé, de trouver dans un lieu comme celui-là, des balles en argent, alors que le bâtiment ne ressemblait en rien à une armurerie. J'aimais beaucoup Terra pour cette raison. Le fait de pouvoir trouver de tout, n'importe où, n'importe quand, et ce pour n'importe quelle raison. Ce qui, pour quelqu'un comme moi, était d'une logique imparable, mais cela pouvait ne pas du tout paraître logique pour quelqu'un d'extérieur. Il fallait y être habitué.

En farfouillant à droite et à gauche, je trouvais par moments des baguettes, des accessoires pour faire de la magie, parfois des armes blanches. Mais pas le moindre petit bout de ferraille à mettre dans un flingue. Mais je ne désespérais pas. Je savais que c'était en ne cherchant pas une chose qu'on finissait par la trouver ici. Je partais donc dans l'optique de ne plus rien chercher ici, jusqu'au détour d'un présentoir, où étaient disposés plusieurs objets en métal. Coup de chance, il y avait plusieurs balles en argent, sur ce même présentoir. Un grand sourire se dessinait sur mes lèvres, alors que je m'empressais de toutes les prendre. Plus mon stock de balles en argent était important, mieux c'était. Il était hors de question que je puisse manquer de balles. Je ne savais jamais sur quoi ou sur qui je pouvais tomber à l'extérieur, par conséquent, je devais toujours en avoir sur moi. La chance était avec moi car en voulant tester le calibre de ces balles, ces dernières rentraient parfaitement dans mon arme. J'allais donc payer toutes les balles, y compris celle présente dans mon arme.

En sortant, j'étais toute contente. Une bonne chose de faite. Je devais aussi m'acheter des fringues, et je faisais confiance à Alix. Elle allait sûrement me montrer une bonne boutique. Prenant mon arme je sortis toutes les balles normales, les mettant dans une de mes poches, avant de les remplacer par les balles en argent que je venais d'acheter. Ceci fait, il reprit sa place, sous mon tee-shirt. J'avais envie de fumer une nouvelle clope, mais je devais me retenir. Sinon, j'étais persuadée que j'allais avoir le droit à des sermons. Et je n'étais pas là pour me faire enguirlander par une nana que j'étais de toute évidence censée surveiller.

- Bon trésor, maintenant que j'ai trouvé des balles en argent pour mon vieux pétard, je dois me trouver des fringues. Je te fais confiance pour me trouver une bonne boutique. Il me faut à la fois des robes, mais aussi une nouvelle combi. Tu dois pouvoir me trouver quelque chose comme ça, n'est-ce pas?

25
En la voyant agir de cette manière aussi importune, je décidais de passer à l'offensive. Cela ne sous entendait pas que je détestais me faire claquer le cul, loin de là. Au contraire, j'adorais cela, quand c'était bien fait, évidemment. Et mine de rien, elle savait s'y prendre, la petite. Après tout, elle devait être comme moi, avoir plusieurs siècles sous le capot. Cela aidait pas mal dans de tels moments. L'expérience jouait pas mal, et cette dernière ne pouvait s'acquérir que de deux manières. Avec l'âge, mais aussi avec la pratique. Une débutante ne saurait pas du tout comment le faire de la bonne manière. Il fallait déjà savoir observer, être attentive aux réactions de l'autre, et s'y adapter. Sans adaptation, pas de chance de réussite, même avec de l'expérience et de la pratique. Je la laissais donc me claquer le cul, mais en passant à l'offensive. A chaque fois qu'elle le ferait, mes mouvements du bassin seraient de plus en plus brutaux.

Et c'était ce que je fis. Je mis mes pensées à exécution. Pour chaque claque, mes coups de bassin devenaient de plus en plus puissants, mon bassin tapait tellement contre le sien qu'au final, mes gémissements n'étaient pas assez puissants pour camoufler le bruit de nos bassins. Et ce genre de bruit avait le don de m'exciter au plus haut point. Ce qui amenait à un but unique. Me faire aller de plus en plus vite. Elle avait me claquer le cul, je n'allais pas lâcher le sien pour autant. Je le malaxais tellement qu'il ressemblerait bientôt à de la pâte à pain. Mais si cela la dérangeait, elle me l'aurait fait savoir, d'une manière ou d'une autre, donc je n'avais pas grand chose à craindre.

- Très chère, ne sois pas vulgaire, c'est mal, et je n'ai guère envie de devoir te laver la bouche avec du savon.

J'avais beau essayer de parler d'une façon correcte, mes gémissements trahissaient mon état d'esprit. Je n'allais plus tenir très longtemps, et j'en étais suffisamment consciente, cependant, je n'allais pas aller moins vite pour autant. Une fois à mon régime maximal, il ne me restait que quelques secondes d'endurance, avant de basculer de l'autre côté du miroir. Mais il n'était pas vraiment question de battre des records d'endurance, loin de là. Je pourrais très bien utiliser mes pouvoirs pour ralentir le temps, mais je détestais tricher à ce sujet. Après de très longs gémissements, je venais me taire, venant mordiller la peau de son cou, alors que je m'immobilisais totalement, me laissant fortement aller en elle, avant de pousser un long gémissement de bien-être une fois tout ceci fait. J'étais réglée comme une horloge. Ma poitrine, collée à celle de Bayonetta, venait lentement se soulever et se baisser, alors que je tentais de reprendre un rythme cardiaque stable.

26
Je m'attendais bien évidemment à ce qu'elle ne soit pas d'accord avec ma façon d'agir. Si elle l'était, je commencerais à me poser des questions. En me basant sur ses réactions, je vis qu'elle s'attendait à ce que j'aille bien plus vite. Elle était frustrée, et c'était typiquement la réaction que j'attendais. J'allais pouvoir par conséquent passer à la deuxième phase de mon plan. Le simple fait de sentir sa main me claquer le cul me suffisait pour comprendre qu'elle était bien frustrée. Je la laissais donc mariner une fois de plus avec des mouvements assez amples et lents. Ceci fit, je pouvais enfin faire ce que je savais faire de mieux. Le pilonnage de bassin. Un concept très simple, puisqu'il s'agissait, en fait, de faire des mouvements de vas-et-viens très puissants. Il suffisait simplement, grossièrement, de taper du bassin sur l'autre bassin. Donc, d'avoir des mouvements très rapides.

Et c'est ce que je fis, sans crier gare. Mes mouvements passèrent brutalement du mouvement lent et ample au mouvement très rapide et on ne peut plus puissant. Je savais très bien m'y prendre, mais il y avait une contrepartie. Mon endurance était bien plus réduite, et je ne pouvais rien faire contre cela. J'avais pourtant essayé de m'améliorer sur ce domaine, mais sans succès. Ce genre de mouvements me tiraient de longs gémissements, ce qui fit que ma poigne sur son fessier devint de plus en plus puissante. A vrai dire, je ne savais pas qui allait flancher en premier. Je pariais sur moi. Je ne pouvais pas mesurer son endurance, vu que c'était seulement la première fois où je m'envoyais en l'air avec elle. Je connaissais mes limites, mais pas celle des autres. J'étais donc persuadée que j'allais flancher avant elle, mais j'allais faire de mon mieux.

Mon bassin, qui claquait contre le sien de manière aussi régulière, produisait des sons tellement obscènes qu'ils en devenaient excitants, à mon sens. Ce qui me poussait à aller encore plus vite, mais je me retenais, car ma vitesse actuelle allait me faire basculer bien assez tôt. Je devais par conséquent garder une vitesse stable tout en me contrôlant. C'est ce que je fis, tout en gémissant de plus en plus fort. Je venais nicher ma tête contre son cou pour en étouffer certains. J'entrais donc dans une course contre la montre, et je devais battre mon meilleur temps. Dans l'état actuel des choses, c'était ainsi que je voyais les choses.

27
En la voyant réagir de la sorte, je souriais. Je savais parfaitement que j'avais bien fait de la faire attendre. J'avais appris, durant ma jeunesse, que par moments, il suffisait de faire flancher la personne pour obtenir tout ce que l'on voulait par la suite. De temps à autre, je mettais ce conseil à exécution, comme ici. Je ne comptais pas en faire mon esclave ou quelque connerie de ce genre là, bien évidemment. Il n'en était tout simplement pas question. Une sorcière pouvait très bien se sortir toute seule de ce genre de situations, et si cela devait arriver, je n'allais pas faire le poids, surtout si elle était plus puissante que moi. Et je n'avais pas vraiment envie de faire un combat de magie alors que j'étais en elle. Ce qui pouvait se comprendre facilement. Ce n'était pas vraiment une position que j'affectionnerais particulièrement.

Mes mouvements de bassin se calquèrent sur la fréquence de ses soupirs pendant un temps certain. Même dans une situation comme celle ci, je ne pouvais pas m'empêcher de jouer avec ses nerfs. Pour quelle raison? Tout simplement par j'adorais cela. Mais je savais que tôt ou tard, elle allait me rendre la monnaie de ma pièce, j'en étais certaine. Une sorcière qui ne se vengeait pas, n'était pas une sorcière, à mes yeux, tout du moins. Mes mains venaient agripper fortement son popotin, alors que mes doigts caressaient lentement sa peau, comme si elle était faite de soie. Bien évidemment, elle n'était pas en sucre, et je lui réservais quelque chose d'autre par la suite. Mon bassin suivait toujours ses soupirs, jusqu'au moment où je décidais de ne plus bouger. Pour la faire flancher, encore une fois. Je venais mordiller la peau de son cou, malaxant toujours son fessier.

- Combien il m'inspire? Par la suite, trésor, si je te le montre réellement, je crois que tu vas devoir utiliser tes dons de soin sur ton propre bassin.

Il était vrai que parfois, je pouvais être extrêmement violente dans ma façon de faire. Mais ces moments-là étaient rares. Je pouvais devenir violente lors d'un coït si la situation s'y prêtait, et uniquement si je me sentais en phase avec mon partenaire sexuel du moment. Mais si elle comptait là-dessus, elle allait être servie, mais avant toute chose, je devais voir si elle était compatible avec tout ce remue-ménage. Sans prévenir, les mouvements de mon bassin reprirent de l'activité, cependant, ils ne se calquaient plus sur ses gémissements, bien au contraire. J'adoptais mon propre rythme, qui était bien plus rapide. Ce qui me tirait des gémissements, que je n'arrivais pas vraiment à dissimuler.

28
La zone industrielle / Re : It's too late to run [Lucie Backerlord]
« le: mercredi 30 mai 2018, 17:30:29 »
L'air de rien, je me disais qu'elle devait un peu exagérer la force de cette bouteille d'alcool. Mais je voulais en avoir le cœur net. Il fallait que je goûte pour savoir si je me trompais ou non. Par moments, je pensais avoir raison sur certaines choses, et lors de la mise en pratique, je me rendais compte que je m'étais plantée sur toute la ligne. Je pris donc un verre, inspectant l'aspect avant de le sentir. Rien que l'odeur m'indiquait que j'allais prendre cher, du moins, si je connectais deux neurones. Mais je décidais de passer outre l'avertissement olfactif, buvant ce verre cul-sec. Monumentale erreur. A peine le liquide dans ma gorge que les larmes me montaient aux yeux. Cette saloperie était d'une puissance... Je me demandais même comment on pouvait boire un truc pareil sans en subir les conséquences. Mais elle avait raison sur ce coup-là. Alors que j'essayais tant bien que mal d'aspirer de l'air pour atténuer le goût on ne peut plus désagréable que j'avais sur la langue, je pris deux grands verres de jus de pomme pour faire passer le tout. Prenant la pomme avec moi, je la laissais passer devant, et la suivait.

- J'ai besoin de quelques trucs, pas grand chose. Des balles en argent, deux trois petites feuilles toxiques si on les mangent directement, mais qui font une très bonne potion, et surtout, j'ai besoin d'acheter des fringues.

Je la suivais en mangeant ma pomme. De temps à autre, je jetais un œil autour de moi. Je me demandais comment on pouvait vivre dans des conditions pareilles. Au fond de moi, je savais très bien que je n'étais pas à plaindre, mais tout de même. Il y avait des choses que l'être humain pouvait supporter, et d'autres non. Par conséquent, je soupirais. Mais j'étais persuadée qu'il y avait ici des personnes qui le méritaient, par leurs actes passés. Je n'étais pas sûre qu'Alix fasse partie de cette catégorie, au final. Mais je pouvais me tromper. Cependant, j'espérais ne pas me trouver dans ce domaine. Je m'allumais également une clope. J'alternais donc taffes et bouchées de pomme, avant de jeter le trognon dans la première poubelle qui me tombait sous la main. Je me demandais combien j'allais dépenser aujourd'hui. Sans doute bien plus que ce que j'avais prévu, mais cela semblait logique ici. Certains articles présents sur Terra n'existaient tout simplement pas sur Terre, et le prix s'en ressentait.

- En vrai, j'aime bien venir ici, mais bordel, je pense que jamais de la vie je ne vivrais ici. A moins que je trouve le moyen d'améliorer tout ce merdier. Ceci dit, je sens que je vais me faire pigeonner, comme d'habitude. J'ai horreur de ça, mais j'ai pas envie de coller une bastos au premier commerçant que je croise. Je trouve qu'ils en jouent beaucoup trop.

29
En l'entendant me parler de la sorte, je ricanais ouvertement. Ainsi donc, elle n'était pas patiente, et je pouvais la comprendre. Après tout, qui serait patiente dans ce genre de configurations? Je pouvais l'être, seulement si tout était bien amené. J'avais une patience différente du commun des mortels, étant donné que j'étais une tireuse d'élite. Certains considéraient que c'était de la triche, mais dans un métier tel que le mien, la patience était la mère des vertus. On ne pouvait pas passer notre temps à tirer sur tout ce qui bougeait, et à pourchasser les méchants en galopant farouchement derrière eux. Pour ceux qui voulaient de l'action pure, il suffisait de s'enrôler dans l'armée, et d'aller au front, en première ligne. Là, l'action était garantie, dans tous les domaines. Mais je n'avais aucune envie d'aller galoper sur une ligne de front. Je tenais trop à ma vie pour cela.

- Suffisait tout simplement de demander, trésor.

Sitôt dit, je fis glisser le reste de ma combinaison avant de la balancer dans un coin. Par conséquent, j'étais totalement nue, avec un bassin qui criait au grand jour le simple fait qu'il voulait entrer en action. De ce fait, je me frayais un chemin à travers sa combinaison, afin de pouvoir voir ce que je faisais. Il était hors de question de mettre un grand coup de bassin sans savoir où j'allais, cela n'avait aucun sens. En ricanant une fois de plus, je plongeais mon regard dans le sien, alors que mon bassin s'approchait lentement mais sûrement de son entrejambe. L'idée était de lui faire croire que j'allais être aussi lente que possible, non pas pour la frustrer, mais bien pour mettre mon plan à exécution. Et, d'un coup, sans prévenir, je donnais un grand coup de bassin. Et cette fois, il était hors de question d'y aller avec mes doigts. Une fois en elle, je bougeais lentement le bassin afin qu'il soit parfaitement aligné avec le sien.

- Pauvre petite chose impatiente.

Il ne me restait plus qu'à donner de grands coups de mandrin pour illustrer mes propos.

30
Alors que j’étais concentrée dans mes actions buccales, je ne pensais pas à grand-chose. Par moments, je réfléchissais à ce que j’allais faire par la suite. Un moment somme toute normal. Je savais très bien que tout ceci allait finir dans une grande partie de jambes en l’air. Après tout, ce n’était que justice. Il y avait certaines personnes qui passaient leur vie sans copuler. Je me demandais sérieusement comment ils pouvaient vivre sans ça, car je ne pouvais tout simplement pas m’en passer. Toutefois, je n’étais pas non plus un exemple de vie. En pleine concentration, bien que j’écoutais avec attention la moindre manifestation sonore, je m’en pris plein la bouche. Je devais m’y attendre. Secouant la tête et me léchant les lèvres, je souriais. Maintenant, il allait falloir que je mette mes idées à exécution. Et pour cela, j’allais avoir plusieurs moyens. Je savais comment agir dans de nombreuses situations, et par conséquent, j’adaptais mes actions aux situations que je rencontrais. L’adaptation, à mes yeux, était la clé de la réussite. Sans adaptation, j’allais droit dans le mur, et je voulais à tout prix éviter ce genre de choses.

J’enlevais ma combinaison que pour quelques occasions particulières. Aller me doucher, aller dormir, aller faire du sport, et bien entendu, copuler. Il était assez complexe de bien faire les choses avec une telle chose sur le dos. Du moins, c’était ma vision des choses. Je savais parfaitement que ce genre de chose excitait certaines personnes, mais je préférais tout de même être entièrement libre de mes mouvements durant ce genre de moments. Faisant glisser la fermeture de ma combinaison, je fis en sorte d’avoir le champ libre par la suite. A califourchon sur Bayonetta, je m’étirais, alors que je ne gardais que le bas de ma combinaison. Le haut totalement nu, je faisais craquer mes os avant de faire glisser mes doigts sur son buste. Je savais finalement ce que je voulais faire.

Je la pris contre moi, mon bassin étant collé au sien, l’embrassant langoureusement. Il fallait être un aveugle pour ne pas comprendre ce que mon entrejambe exprimait. Finalement, je la plaquais sauvagement au lit. Je ricanais en la dévorant des yeux, car j’allais prendre les choses en main.

- Chaton, j’ai vraiment l’impression que tu crèves la dalle. Mais comme je suis une bonne fille, je vais te nourrir.

N’importe qui aurait compris ce que je sous-entendais. Il n’était pas question d’aller dans la cuisine pour préparer un repas de star. Quoique, j’en étais bien capable par la suite. La plaquant toujours au lit d’une main, je me frayais un passage avec mon autre main, mes yeux ne quittant pas les siens. Et, sans prévenir, je donnais un grand coup de bassin, et terminais en elle. Pour le moment, mes mouvements de vas-et-viens étaient relativement lents, alors que mes doigts glissaient une nouvelle fois sur son buste. La suite allait venir. Tout vient à point à qui sait attendre.

Pages: 1 [2] 3 4 ... 10