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Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

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Cordis plumbum

Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

dimanche 15 novembre 2009, 15:34:05

Cela faisait bien longtemps depuis sa perte de mémoire, qu'elle n'avait pas trouver ce sentiment qu'est la curiosité et la peur mélangées. Depuis bientôt une semaine elle faisait divers démarchent dans toutes les baques et même à la police de la ville, pour trouver l'origine de la création de son compte et surtout, le plus déroutant, les sommes astronomique, que ce dernier comportait, c'est sans doute cela qui avait dut mettre en place le piège diabolique qui se passerait dans peu de temps, plus précisément dans moins d'une demi-heure.  Ce que Cordis ne savait pas c'est que depuis la début des démarchent pour trouver une, possible, réponse à ces questions, sur son passé, ces origines. Venait-elle de Terre ou de ce que certaine personne appelais Terra, elle ne le savait nullement, mais la personne qui la traquait avait ces réponses et pas q'une petit fragment, toute sa vie de A à Z en passant par la raison de sa perte de la vue et la fragmentation de sa mémoire.

Aujourd'hui Cordis avait rendez-vous avec un détective qui avait résolue plus d'une énigme sur Terre et Terra, pour lui le paiement était de se "nourrir" de ces mystère laissé sur le monde des mortel, on avait même l'impression qu'il n'était pas humain.

M -20

- Voilà Miss, j'ai deux nouvelle, une bonne et une mauvaise. Je commence par laquelle ?

Cordis ne parut pas surprit, cela fasait bien la cinquantième personne qui essayait de découvrir son passé et la plupart avaient disparut sans laisser de trace.

- La mauvaise.

Le détective, bu son café et s'approcha de l'oreile de sa client, pour être discret et ne pas être entendus.

- Je n'ai rien trouvé de concret, même avec les petit fragments de vos autre sources, enfin pour ceux qui sont en vies et qui veulent bien parler, c'est-à-dire une seule personne, ils sont faible de nos jours, avant ils auraient avoués, même si c'était pour les trouver mort plus tard.

- Et la bonne.

Il s'approcha davantage et murmura tellement bas que seul les oreilles fines de Cordis pouvaient entendre.

- Je vous conseil de résilier ce compte et de partir le plus loin possible, car celui qui vous donne de l'argent ne doit le faire que pôur une raison que j'ignore et cela ne doit pas être pour votre bien.

Il prit son chapeau et quitta la table du restaurant, en payant la facture pour lui et Cordis.

- Appliquez ce que je vous ai dit et il ne devraient plus y avoir de problème, mais si vous avez besoin d'une aide, sachez que Alfred Blash sera toujours là pou vous servir.

Le détective prit une ruelle sombre et il ne put dire un mot, car l'espion lui mit une balle entre les deux yeux à bout portant, avec une pistolet équipé d'un silencieux. Le corps était contre le mur avec le sang qui coulait de sa plaie.

Cordis ne le savait pas encore, mais celui qui la traquait avait mit au point un stratagème assez horrible, nul ne saurait ce qu'il se serait passé et nul ne saurait si Cordis reverrait le jour.

M-10

LA demoiselle faisait les boutiques, cherchant de nouveau vêtements, elle se demandait si elle devait vraiment fermer ce compte, car c'est grâce à ça qu'elle pouvait s'acheter les habilles et la pension, de plus il fallait bien en racheter, car les élèves de l'internat s'amusaient à déchirer ces habits, elle ne pouvait pas s'en passer par nécessitée et elle voulait surtout avoir des affaire sentant le propre et non l'odeur du viol. Elle prit divers affaires, allant de la tenue classique, au tenue de soirée, elle aimait les robes, elle ne savait pas pourquoi, mais sentir la soie glisser sur sont corps l'apaisait, comme une enfant est bercé par la berceuse de sa mère. Elle partie donc essayer ces futurs achats, la couleur, elle ne pouvait pas la voir, mais elle pouvait sentir les colorant, elle savait donc que tels odeur voulait dire que la robe était rouge, une autre vert ect ...

M-0

L'espion mit le feu à un vendeur de tapisserie, ce qui eut comme conséquence d'enclencher les système incendie et l'alarme, seulement il avait bloqué l'arrivé d'eau des bouche d'incendie et tous ce qui aurait put éteindre le feu, enclenchant de cette manière une véritable panique dans le centre commercial. Cordis fut prit de court et se trouva enfermé dans la boutique, elle ne fut pas prit de panique, le feu était encore loin et elle avait encore de l'oxygène. Elle trouva la serrure et entreprit de al crocheter, son ouïe étant très utile pour ce genre de chose, en moins de cinq minute, elle réussit à déverrouiller la porte et la cage de fer, puis elle partie en courant vers un courant d'air. L'espion qui avait suivit de loin la fuite de la demoiselle arma son fusil snipe, il régla sa lunette et tira juste à côté du cœur de la proie, pour la voir s'écrouler de douleur, il sortie de sa cachette et marcha d'un pas tranquille vers Cordis, cette dernière avait réussi à se relever, mais une balle frappa chacune de ces jambes l'immobilisant au sol. Cordis eut le droit de voir l'agresseur de près, c'était une femme qui faisait dans les 1m70, tous sont corps était fin et gracile, l'aspect de la parfaite tueuse invisible.

- Alors Cordis ... ou devrais-je plutôt dire Phantom, on est bien contente de ce mode de vie qui ne convient pas à une morte ?
" La lune nous guide dans la lumière et la joie, elle ne  m'a apporter que plus de ténèbres et de souffrance dans mon cœur, ne me berçant pas plus que ce que vous appelez amour."

" La lumière m'aveugle et les ténèbres m'enlise, que choisiriez-vous à ma place ?"

http://www.youtube.com/watch?v=rKV195eXg7I&feature=related

"Une lueur peut offrir un espoir, mais peut tout aussi bien vous bruler au plus profonde de votre être, sans s'arrêter et ne connaissant pas la mot pitié"

http://www.youtube.com/watch?v=QNWG3eN8r3c

Hirano

Humain(e)

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 1 dimanche 15 novembre 2009, 16:20:46

La journée avait bien commencé, il faisait beau et pas trop chaud de plus le prof. Était malade, on avait l'après-midi de libre, je décida d'aller faire un tour au centre commercial. Grendel toujours en quête de se mettre un truc sous la dent m'accompagnait. C'était toujours amusant de le voir volé au dessus de la foule sans que cette dernière ne pique une crise de panique. Le centre commercial était bonder de monde et j'avais aperçu beaucoup d'élève du lycée se promenait dans le coin.

-et si on se manger un truc, hein dit, dit, dit,...


Grendel devenait insupportable, la gourmandise était sont plus gros défaut.

-d'accord mais s'il te plait, la ferme. Je vais avant m'acheter des fourniture.


La journée se passe sans encombre d'aucune sorte. En passant devant un magasin d'habile, je vis Cordis dans le magasin, je ne la connaissait que de vu, on m'avait dit qu'elle était aveugle et qu'elle était la victime de la brimade des autres élève. J'ai toujours regretter de ne rien pouvoir contre se genre d'agissement. Elle avait l'air de passer un bon moment. Je continua ma route en direction d'une cafétéria. Installé je ne pus commander qu'un puissant bruit suivit de l'alarme incendie provoqua le chaos dans tous le centre.

-vite barons-nous.


Grendel voulait partir et moi aussi. On commença à suivre la foule quand un clique me passa par la tête. En poussant un jurons je fit demi-tour tout en repoussant les passants.

-mais qu'est ce que tu fabrique encore ??

-on à oublié Cordis !!

-et alors ?

-elle ne voit rien merde, je ne vais pas la laisser seul.


Il me fit de remarque mais ne l'écouter déjà plus. Je courais tous ce que je pouvais. Sa y est je l'ai retrou... !?!

elle était au sol baignant dans son sang. La foule s'écarta un peu et je put apercevoir une femme fine armée avec un puissant fusil à lunettes, normalement ils sont réserver au commando. Elle parlait avec Cordis. Sans réfléchir je couru vers et agrippa son fusil pour la désarmée, mais il semblerai que je me sois un emporté. Je n'ai pas tous compris mais je me suis retrouvé à valser dans les air et à   atterrir de l'autre coter de la femme.

Je me releva péniblement et en voyant l'aspect menaçante de la femme armée je lui parla dans l'espoire de gagner un peu de temps.

-oupf..., mais pourquoi vous en prenez-vous à elles ?, elle n'a rien fait. En prenez-vous à quelqu'un de votre taille.


C'était très mal parti...

Cordis plumbum

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 2 dimanche 15 novembre 2009, 17:03:50

La chasseresse avait vue de loin l'action de Hirano, elle le voyait comme un humains, bien que le démon qui l'accompagnait n'était pas humain et donc se devait d'être abattue, mais elle s'occupa de montrer à ce jeune homme, bien imprudent, qu'il ne faisait pas le poids, elle fit un pas en arrière et profita du fait que le poids de cet agresseur, bien peu dangereux, ai son centre de gravité en avant pour le faucher et le mettre au sol, sans ménagement, mais en s'assurant de ne pas le blesser, L'Organisation aurait put la tuer pour avoir blessée mortellement un humain. Puis vint une question qui tira un sourire sadique à la femme.

- Primo jeune homme je m'appelle Rosalia, ensuite, elle a fait une grosse erreur en ne voulant pas obéir un ordre d'un supérieur, enfin, toi et le démon qui t'accompagne, vous faites autatn le poids que des nouveaux née.

L'attention fut portée à Cordis qui avait agrippées désespérément une gouttière pour se relever, elle n'eut pas l'occasion de continuer son action, que deux balles atterrissèrent dans ces paumes, la faisant lâcher en criant de douleur, le femme pointant le démon avec l'arme.

- Tu dois être un démon des plus basses sphère pour devoir avoir un humain comme accompagnateur. Phantom ! Tu savais que les ordres étaient d'abattre ce shinigami et cette futur déesse, pourquoi t'es-tu mise une balle à la place. Il me semblait que L'Organisation t'avais offert un nouvelle vie, non ? C'est comme-ça que tu nous remercie ?!

D'un mouvement rapide, la femme courut vers Codis pour lui donner un méchant coup de pied au ventre la faisant voler trois mètre plus loin, puis elle la jeta trois colliers, pour ensuite se retourner vers les deux compères.

- Vous ne le saviez pas ? Votre Cordis s'appelle en vérité Phantom, elle ne peut pas vivre sans nous et est donc l'équivalent de ce que vous humains, vous appelez esclave, oui c'est ça, elle est notre esclave.

Rosalia s'assit sur le carrelage, dans le sang de cordis, comme-ci la flaque n'existait pas, signe révélateur des tueurs, elle sortie une cigarette et l'alluma, pour en tirer une bouffée de nicotine.Seul le démon pouvait sentir une présence dans ce corps, car Rosalia n'avait pas le même niveau que Cordis, cete dernière étati plus forte dans le passé.

- Bon vous allez faire quoi, maintenant, si vous m'attaquez, j'aurais le temps de mettre une balle à l'être abject qui te suis comme un toutou, humain. De plus je n'ai pas le droit de tuer directement un mortel, si vous voulez, pendant que Cordis choisit entre la mort paisible ou une nouvelle formation, je peut vous parler de L'Organisation, sur Terre, il n'y a a aucun risque que cela est des conséquences sur Terra.

Cordis pendant se temps tremblait, elle tremblais de peur, qui était cette femme, que lui voulait-elle, c'était quoi cette histoire de tueuse de shinigami ou de futur déesse, cela ne pouvait pas être vrais, c'était un cauchemard, elle devait se réveiller. Elle tenta de bouger, mais c'était trop douloureux, elle en pleurait tellement cela lui faisait mal, elle avait peur pour sa vie et malgré la douleur, elle tenta de fuir en rampant, laissant une trainée de sang, puis une balle lui effleura le visage, aussitôt elle se replia sur elle même tremblant davantage et criant de peur, elle était devenue phobique, elle avait la phobie de la mort, mais aussi celui de la punition de cette femme, ainsi que celui de se faire frapper voir tuer. Il avait suffit que Rosalia joue un peu avec elle pour la rendre encore plus peureuse que le terranide le plus craintif. LA chasseresse soupira.

- Il va falloir durcir un peu l'entrainement pour qu'elle est un peu plus peur de moi. Tss. Bon les deux limace, vous voulez savoir quoi.

Elle réarma en un clin d'oeil son fusil pour crier à Cordis.

- Phantom si je t'entends encore bouger ou chialer je te met deux balle à des endroits qui feront vraiment mal.

Cordis en entendant cette remarque ne bougea plus essayant de ne même plus respirer trop bruyamment, elle avait une peur bleu de cette femme qui avait sut en peu de temps à la dominer psychologiquement.
" La lune nous guide dans la lumière et la joie, elle ne  m'a apporter que plus de ténèbres et de souffrance dans mon cœur, ne me berçant pas plus que ce que vous appelez amour."

" La lumière m'aveugle et les ténèbres m'enlise, que choisiriez-vous à ma place ?"

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Hirano

Humain(e)

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 3 dimanche 15 novembre 2009, 18:33:02

La femme était redoutable, je suis un témoin gênant alors pourquoi suis-je encore en vie?

-Primo jeune homme je m'appelle Rosalia, ensuite, elle a fait une grosse erreur en ne voulant pas obéir un ordre d'un supérieur, enfin, toi et le démon qui t'accompagne, vous faites autatn le poids que des nouveaux née.

-très bien,... mademoiselle Rosalie... heu, je ne comprend pas en quoi une pauvre aveu... NON !!

elle avait encore tiré deux coup feu contre Cordis qui avait essayait de se relever, une fois son méfait accomplit elle tourna son fusil contre Grendel.

-Tu dois être un démon des plus basses sphère pour devoir avoir un humain comme accompagnateur. Phantom ! Tu savais que les ordres étaient d'abattre ce shinigami et cette futur déesse, pourquoi t'es-tu mise une balle à la place. Il me semblait que L'Organisation t'avais offert un nouvelle vie, non ? C'est comme-ça que tu nous remercie ?!

Avec un mouvement rapide, elle se retourna et alla frappé Cordis qui était à terre. Je voulut réagir mais Grendel me retint. Mais qu'es  ce qu'il à,  il semble paralysé par la peur je ne l'avait jamais vu comme sa. ensuite Rosalia lança trois collier vers nous.

-Vous ne le saviez pas ? Votre Cordis s'appelle en vérité Phantom, elle ne peut pas vivre sans nous et est donc l'équivalent de ce que vous humains, vous appelez esclave, oui c'est ça, elle est notre esclave.

À présent elle fumait à coter de Cordis. Grendel me suppliait de ne rien faire de stupide, il me disait qu'elle était pas de notre monde. Mais bon sang je ne pouvait pas la laisser comme sa. je sentais en moi la colère monter.

-Bon vous allez faire quoi, maintenant, si vous m'attaquez, j'aurais le temps de mettre une balle à l'être abject qui te suis comme un toutou, humain. De plus je n'ai pas le droit de tuer directement un mortel, si vous voulez, pendant que Cordis choisit entre la mort paisible ou une nouvelle formation, je peut vous parler de L'Organisation, sur Terre, il n'y a a aucun risque que cela est des conséquences sur Terra.


Elle menaçait Cordis de la faire souffrir encore plus qu'elle souffrait déjà. Je murmura à Grendel de partir discrètement pendant que je fais diversion. Je me plaça entre Grendel et la chasseresse. Et j'essayai de me montrer le plus convainquant. Je prend ma respiration et je me mit à marcher doucement vers sa direction les mains lever. En route je lui parlait.


-allons, ne nous énervons pas, il y à plein de monde qui vous en vue et la police est surement en route pour nous rejoindre. Il est encore tant de partir et vous avait ma parole je ne dirai rien du tout à la police.

En voyant qu'elle n'aller surement pas partir de si tôt je continua.

-et si je vous offrait un verre et que vous me dite tous ce que je veux savoir sur cette organisation.


Décidément, c'était nul comme ruse,et d'un coup la colère m'emporta et je lui cria.

-arrêtait sa maintenant!! je ne permettrait que vous lui faite encore du mal. Il faudra me tuer avant, alors lâchait la et poser votre fusil, on pourra discuter tranquillement comme sa.


j'avais envi de courir et lui sauter dessus, mais j'avais aussi peur de se qui pourrait se passer, il me faut calmer.

Cordis plumbum

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 4 dimanche 15 novembre 2009, 19:45:17

Rosalia eut un léger rictus en voyant le démon retenir l'humain, elle pensait qu'une bonne leçon à ce dernier lui aurait fait comprendre qu'il ne pouvait être qu'un témoin et rien d'autre, mais elle était patiente, c'est comme lorsqu'elle devait tuer quelqu'un, patienter, attendre que le groupe de scinde pour qu'il soit plus aisé de frapper. Elle voyait bien que ce jeune homme avait des sentiments, celui de ne pas laisser une faiblarde, comme était devenue Cordis au sévices d'une tarée comme la chasseresse. Elle en rit même intérieurement, s'il voulait l'aider, cela serait un bon moyen de faire encore plus de mal à Cordis, pour lui donner le prélude du châtiment que le demoiselle doit recevoir. Aussi écouta-t-elle avec un intéressement faussement montré, tout en continuant à fumer sa cigarette. Puis vint le moment qu'elle adora, Hirano s'énerva et voulut le faire à la diplomatie, tout ce qu'il eut le droit c'est d'entendre son rire, un geste, un geste avait suffit pour être derrière le démon et l'immobilisé complètement, le fusil sur sa tête.

- Je suis désolée de te décevoir vers de terre, mais d'une, j'ai le pouvoir de sortir de vos prison qui ne retiendrait même pas un behemot, de deux, je suis tout à fait capable de rendre tous les témoins aussi silencieux qu'une tombe et enfin Phantom est un jouet de L'Organisation et rien d'autre, la considérer comme un être vivant et pire, comme une humaine (rire), je trouve cela désopilant. Je vais vous apprendre pleins de chose sur elle et vous allez me dire si après vous la verrez pareil.

Elle prit le démon par le cou et le fracassa contre le mur plusieurs fois pour la balancer au pied de Hirano, le pauvre démon devait se demander s'il n'était pas tombé sur un genre de Lucifer humain.

- Sache qu'il existe deux chasseurs, ceux dont on a transfusé du sang de démon, comme moi et les Phantom, comme cette chose qui vient juste de gigotée ...

Rosalia tira une balle, qui érafla la joue de Hirano, faisant voler ces cheveux et allez se palnter dans le cou, ratant de très peu la carotide, la pauvre Cordis se mordit l'index pour bouger le moins possible et ne pas crier. La femme continua comme-ci de rien n'était.

- Ces dernier peuvent ce compter sur une paire de main, il y en a sept, tous on eus une vie presque similaire, mais leurs initiation et l'entrainement diffère. Pour ce machin par terre, elle est la survivante d'un village de terranide ayant subit l'assaut de L'Ordre Immaculée, des idiots qui croient comme nous en un dieu, mais qui ont prit la grosse tête, quoi qu'il en soit, elle a trouver refuge dans une autre village terranide, alors qu'elle n'avait que 1 ans, l'instinct de survie est parfois bien utile pour ces choses fragile. 6 ans plus tard je suis allez demander la petite, ils n'ont pas voulut, aussi ai-je fais ... un peu de ménage, un village d'esclave de plus ou de moins qu'elle différence, quoi qu'il en soit elle avait le choix, soit elle était sauve, soit elle mourrait et pour sceller le contrat, elle a du tuer sa propre famille. cela se passe toujours de cette manière, tuer les personnes que l'on chéris détruis plus facilement les sentiments, chose inutile et qui ne sert qu'à justifier nos actes.

Elle remarqua que sa cigarette était finit et se leva pour se diriger vers Cordis, le flingue sur son épaule, près à tirer sur n'importe qui tentant de l'empêcher de faire ce qu'elle voulais, Hirano y comprit. une fois assez proche on n'entendis plus rien, comme-ci le vent et tous ce qui faisait des bruit parasites avait disparut, ce qui accentua le gémissement de la pauvre petite quand la femme écrasa sa cigarette sur une de ces plaie, causant encore un sévices de plus.

- Respire moins cela me dérange.

On pouvait voir que Cordis était totalement sous le contrôle de cette horrible femme et le pire c'est que l'on voyait bien que la petite respirait moins vite, étant à la limite entre le manque d'air et l'essoufflement. Une situation qui ne tira pas un seul regard de pitié de la part de Rosalia, juste du dégoût.

- Où en étais-je déjà (Rosalia mit un de ces talon aiguille sur la jambe de la petite), Ha ! Oui ... une fois cela fait j'ai été désignée pour être sa tutrice, s'en suivit de long et délicieux entrainement jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus bouger un muscle tellement cela lui faisait mal, ainsi que des séances pour résister à la torture des paladins et savoir coucher avec une personne pour profiter de cet instant pour le tuer, en sachant que je la châtiait si ces résultats n'étaient pas satisfaisant.

La femme se mit à rire, attendant la réaction du jeune homme, Cordis avait prit les trois collier, malgré le fait que le deuxième talon écrabouillait et transperçait presque sa main, le petite ne pleurait plus, ni ne criait, on entendait juste ces gémissements de douleurs, mais elle essayait de ne pas faire trop de bruit et de respirer lentement, les yeux regardant le femme, des yeux dévoilant la terreur dans laquelle elle se trouvait, elle écoutait tour, mais n'arrivait pas à comprendre où le femme voulait en venir et en même temps elle ne voulait pas en écouter plus, tous cela ne pouvait être elle, c'était impossible qu'elle est fais du mal à une personne, déjà qu'elle ne voulait pas écraser ne serais qu'une fourmis, alors comme Cordis aurait put faire cela.
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Hirano

Humain(e)

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 5 dimanche 15 novembre 2009, 21:02:42

Je fut surpris pas sa réponse, elle riait. Mais en même temps il n'y avait rien de surprenant la dedans. Cette femme étais d'un sadisme hors du commun. Elle fondit sur nous à une vitesse folle et parvint à venir derrière moi pour attraper Grendel et le plaquer aux sol le menaçant de son fusil. Elle semblait invincible du moins elle le laissait paraître avec une telle conviction que j'ai presque faillit la croire. Elle disait que rien ne la retiendrait et qu'elle pouvait rendre les témoins silencieux. Donc les mettre hors d'état de nuire. J'essayais de pas paraître effrayait mais en réalité j'étais mort de trouille, mort de trouille pour Cordis qui se mourrait et pour Grendel à qui  je l'ai laissé de coter pour me concentrer sur la pauvre Cordis. J'aurai pas du, maintenant il à pris chère pour mon affront à ma place, je m'en voulait, je m'en voulait de ne rien pouvoir faire. De regarder encore une fois les choses mal aller sans que je puisse rien faire.

-Sache qu'il existe deux chasseurs, ceux dont on a transfusé du sang de démon, comme moi et les Phantom, comme cette chose qui vient juste de gigotée …


elle désigna Cordis en lui tirant une balle qui m'effleura le visage me mettant ainsi à genou. Je n'ai pas bien vu mais j'aurais juré qu'elle se l'ai prise dans le cou. C'était un véritable miracle de la voire encore en vie.

Elle me raconta une histoire dont je ne comprenais rien à ce qu'elle disait. Mais le terme Terranide revins plusieurs fois et je l'avait déjà lut dans le manuscrit sans savoir ce que c'était. Puis vint un moment où elle me conta un massacre dont Cordis serai à l'origine. Je ne pouvais pas croire cela d'abord elle serai incapable d'un telle horreur, et ensuite ce que Rosalia disait n'avait aucun sens à mes oreilles.

Il n'y avait plus personne dans le centre commercial et le silence s'installa progressivement. La chasseresse se senti ennuyé par Cordis et continua à la torturé. J'en profita pour me relever et avancer discrètement sentant le sang couler par la blessure provoqué par le tir d'avant, je compris assez rapidement que si je tenter quelque chose elle me descendrait, hors mort je ne pourrait plus, mais je ne pouvait pas laisser Cordis comme sa. la femme continua de me parler de son rôle dans cette histoire.

-j'ai été désignée pour être sa tutrice, s'en suivit de long et délicieux entrainement jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus bouger un muscle tellement cela lui faisait mal.


Elle me parler des entrainement violent et sans respect qu'elle faisait subir à la pauvre fille. C'est pas possible, cette femme est complètement folle et pourtant elle était convaincu de ce qu'elle disait. Il fallait faire quelque chose, Cordis était en train de mourir. Une idée me vint mais elle me plaisait pas du tout mais j'ai pas vraiment le choix, il faut absolument gagner du temps. Je respire un grand coup en lança avec un air de défi et de provocation.

-donc si je comprend bien, toi et Cordis faite parti d'une puissante organisation?, vous n'avait pas honte de vaut agissement ?

Je me mit dans une position en me tenant le plus droit possible

-je me suis juré de ne plus jamais tourné le dos au difficulté et aux autres, je suis persuadé que vous vous trompait de personne.


En réfléchissant deux secondes j'avais compris pourquoi elle m'avait pas encore tuer, elle devait surement éviter le plus de problème possible ou un truc du style, je tenta un pari risqué

-je vous laisse deux choix, soit vous me tuer ici et maintenant ou vous partait. Dans ce cas la je ne vous laisserai plus lui faire encore du mal.


Maintenant, j'avançais vers elle, en m'attendant de me prendre une balle.

-sachez que je n'abandonne jamais même si le combat est perdu d'avance.

Cordis plumbum

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 6 dimanche 15 novembre 2009, 21:30:33

La femme eut moins le sourire en entendant le jeune homme lui faire la morale, elle détestait ce genre de personne faible qui croyait en un idéal purement utopique, de plus il croyait pouvoir prendre le dessus ? Il ne savait pas à qui il avait à faire. Aussi eut-elle envie de rembarrer ce jeune présomptueux qui croyait pouvoir donner des ordres à Rosalia.

- Tss ...  reste par terre c'est ton terrain de prédilection.

La femme disparut et apparut derrière Hirano, tenant en respect le démon et ayant filez au passage un coup de poing au ventre.

- Je n'ai pas honte car je suis les ordres, ce qui n'est pas le cas de "ça".

Le "ça" désignait Cordis, c'était sa chose, sa possession, son esclave et rien d'autre, elle n'était qu'un pantin qui devait obéir aux ordres, d'ailleurs se pantin agrippa avec ces maigres forces un des trois collier et une magnifique claymores avec une dague incrusté à la garde apparut dans les mains de la petite, ce qui sembla ravir Rosalia.

- Et bien on dirait que tu as retrouvée ton arme, je savais que tu n'avais pas tous oubliée. Je vais te récompenser.

Des chaine apparurent au sol et attachèrent le poignet de l'humaine, soulevant son corps, la tête penchée en avant.

- Tu veux savoir pourquoi je ne t'ai pas tué humain ? Très simple L'Organisation veut que les divinités, les anges et les démon n'interfèrent plus avec les humains, quitte à les détruire, il nous est par contre formellement interdit de tuer les humains, sauf cas particuliers, mais l'on peut les torturer et leurs infliger des séquelles qu'il peuvent avoir à vie. Si je ne t'ai pas blessé énormément c'est que j'attendais que mon esclave trouve enfin l'arme qui lui a servit à tuer toutes les personnes qu'elle chérissait, ainsi que les cible que l'on lui ordonnait d'abattre. C'est aussi parce que je veux que ce soit elle qui te tue.

Un sourire sadique apparut sur ces lèvres, c'était un de ces but, un choc émotionnel en plus suffirait à, théoriquement, briser les chaines qui confinait les souvenir de Cordis, mais cette dernière ne semblait même pas en état de parler ou de faire un geste, continuant de se vider de son sang. Rosalia approcha de sa victime enchainée et lécha le cou ensanglanté, non sans relever son menton, on pouvais voir qu'elle était pâle et quelle se trouvait à mi-chemin de la mort.

- Ben alors, on ne supporte pas ce petit traitement, avant tu pouvais réussir à tenir une journée complète dans cet état avant de tomber dans le coma. Il va falloir que je refasse ton éducation, tu es trop restée dans ce monde de vivant et tu t'es vraiment ramollie.

Cette pouffiasse avait dit cela comme-ci l'on demandait pourquoi une lycéenne avait fait une faute sur un mot qu'elle connaissait par coeur.
" La lune nous guide dans la lumière et la joie, elle ne  m'a apporter que plus de ténèbres et de souffrance dans mon cœur, ne me berçant pas plus que ce que vous appelez amour."

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Hirano

Humain(e)

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 7 lundi 16 novembre 2009, 14:15:19

Me tenant prêt à me protéger au cas où elle voudrait se battre, je ne la vit pas venir. Elle avait disparue pour réapparaitre derrière moi. C'est comme si elle s'était téléporté derrière. J'eus soudain le souffle couper, comme si on m'avait fortement frapper dans le ventre, j'arrivais plus à respirer normalement. Je tomba sur le genoux en me tenant le ventre. J'essayais désespérément de ne pas céder à la panique, mais le faite de me sentir totalement désarmé et inutile me rendais encore plus en colère. Je n'avait pas vu qu'elle tenait en joue ce pauvre Grendel qui était trop épuisé pour tenter quoi que se soit.

-Je n'ai pas honte car je suis les ordres, ce qui n'est pas le cas de "ça".


Dès que la chasseresse eu terminé sa phrase, une grande épée apparue dans la main de Cordis. Comment est-ce possible un truc pareil ?!?, cette femme avait t'elle raison? Cordis ne serai en faite qu'une arme sans âme au service d'une organisation sans scrupule ? Non je ne peu pas le croire, mais malgré tous, le doute s'installe en moi. Et pour couronner le tout, Rosalia fit apparaître une chaine qui suspendit la pauvre fille par un bras, soit disant pour la récompenser.

La femme m'avoua pourquoi j'étais encore en vie. Quel que soit le but ultime de cette mystérieuse organisation il leur était strictement interdit de tuer les humains eux même, donc elle contait sur les fait de Cordis pour se débarrasser de moi. Si ce qu'elle dit est vraie, cela signifierait que si Cordis redevenait ce qu'elle était, sa signerait ma perte. Comment pouvait-on tuer quelqu'un de sang froid sans éprouver le moindre sentiments.

Rosalia était en train de torturer à présent psychologiquement la pauvre petite qui étais suspendue comme un porc et train de se vider de son sang. Je ne savait plus quoi faire tout espoir et donc perdu ? J'ai encore échoué face au difficulté ?, une personne était en train de mourir sous mes yeux et rien, je ne pouvais rien faire. Me battre? Cette femme ma prouver à plusieurs reprise qu'elle était de loin supérieur à moi dans se domaine.
 Ce qui oublie les horreurs du passer sont condamner à les revivre à nouveau. Cette phrase ! Elle traine dans ma tête. Si Cordis redevient l'esclave de cette femme. Tous les chose affreuse qu'elle avait commis recommenceront, toute cette haine reviendrait. C'était donc inévitable ?? et ma promesse ? Celle de ne plus tourner le dos à quoi que se soit, de ne jamais abandonner. J'ai aussi échoué la dessus?, non ! Pas encore. Je respire, Cordis vie encore. Tout peu encore changer. Il faut juste trouver le point faible de cette femme. Ma force est inutile et les mots ?, ils ne se sont pas révélé très concluant à présent. Tous simplement que je n'ai pas dit les bonnes phrase et m'être adressé à la bonne personne.

Je pouvais à présent respirer normalement. Je me sent faiblard au niveaux des jambes, elles tremblotes de fatigue mais j'arrive à me mettre à nouveau debout. Et avec une certaine assurance, m'adressa Rosalia.

-ET TOI !!, obéis-tu toujours au ordres donné? Et si tes supérieurs t'ordonne de te faire maltraiter comme une esclave, te laisserais-tu faire ? Ou mieux. Si ils t'ordonne de mourir, te trancherais- tu la gorge sans réfléchir un seul instant? Voilà la différence entre toi et nous.


Je désigna Cordis d'un simple regard.

-nous avons des sentiments. La joie, la peur, le chagrin ou encore, les regrets. Mais nous finissons toujours par pardonner ou à se pardonner


Je visait clairement Cordis avec les derniers mots. Puis je repris en m'adressant cette fois si à elle.

-Ce qui oublie les horreurs du passé sont condamné les revivre à nouveaux !!, Cordis quoi que tu es fait par le passé. Il ne te faut pas les oublier,  ni même t'accrocher dessus comme d'une encre qui te coulera. Souvient toi de ceux qui ton aimé et ceux que tu as aimés. Où qu'ils soient à présent, je suis sur qu'ils ne t'en veulent pas pour tes agissements. Je suis sur que tous se qu'ils désirent à présents et de te voire en vie et peut-être même de te voire heureuse. Alors rappelle toi qui tu as été, et ne commet pas les même erreurs que tu...


un violent choc me coupe alors la parole me mettant violemment à terre. !!!

Cordis plumbum

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 8 lundi 16 novembre 2009, 21:05:01

Rosalia n'avait nullement hésité à écraser la tête de Hirano par terre, pour le faire taire, elle n'allait pas laisser un vulgaire humains mettre à l'eau un plan qui a demandé autant de préparation et d'attente. Mais elle sembla surprit en voyant que Cordis régissait au parole de Hirano, pire même, une larme tomba le long de sa joue, allant au menton et tombant sur le sol ensanglanté, on put entendre sa voix, pour la première fois elle parlait, mais sa voix était lointaine et faible. Ce que la femme ne pouvait voir c'est que la claymores bougeait, tous démone aussi faible soit-il savait qu'une arme avait un lien profond avec son propriétaire et le voir bouger pouvais dire deux chose, soit l'arme voulait en finir avec Cordis, soit les sentiments de Cordis allaient éclater d'un seul coup, ce qui se serait traduit par une super déflagration, donc il pouvait avertir son compagnon de cette situation qui pouvait s'avérer dangereuse pour lui, qui n'était qu'un simple humain.

- ... Je sais ... pourquoi j'ai ...oubliée.


La femme prit son fusil et releva le menton de la petite demoiselle en disant avec un certains sadisme.

- Met nous au parfum et je consentirais peut être à lui laisser la vie sauve.

Cordis regarda le jeune homme avec une regard qu'elle n'avais jamais eut, on pouvait lire une tristesse profonde et aussi uen demande, celui de la pardonner.

- Hirano-sempaï, gomen.

La chaine qui la retena se mit à vibrer et ça mains gauche se libéra de l'entrave, alors que la claymores bougea d'un coup, tranchant la bras droit de la demoiselle jusqu'à l'épaule, alors que la mains gauche prit la claymores dont le bout toucha le sol. c'est alors qu'une incroyable puissance partie du corps de Cordis, tous le sang qu'elle avait perdu se précipitèrent vers les plaies les soignant, les yeux de Cordis se mirent à briller d'une lueur annonçant le retour de sa vue, elle se mit entre Rosalia et Hirano.

- Je suis les ténèbres et je mord la lumière.

Rosalia sourit, puis elle rigola, jetant son fusil et sortant un colier qui devint une rapière.

- Heureuse de te revoir Phantom, alors prête à obéir à mes ordres ?

Cordis sembla à ce moment à ne plus être là, même le démon aurait une sacré chance de pouvoir percevoir un minimum de vie dans le corps de la demoiselle. Son corps était complètement décotracté, la claymore raclant le sol avec un bruit crispant.

- Donnez moi votre parole que vous ne désignerez personne pour le tuer.

- Tu sais que j'accède aux demandes à ma façon, si tu te montre à la hauteur je m'arrangerais pour que ce jeune homme et son démon ne soient jamais des cibles à abattre.

Dès cet instant s'en suivit un silence de mort et les deux femmes s'élancèrent l'une contre l'autre, la claymores et la rapière entrèrent en contact, créant de belles étincelles, s'en suivit une joute sauvage que seul les membres de L'Organisation savaient créer, un duel dans toute sa splendeur où la moindre faute serat sanctionné par la mort de la personne. Rosalia avait l'expérience pour elle, cordis ne pouvait compter que sur l'instinct de son corps qui n'avaient nullement oublié tous les combats fait, la demoiselle n'était ni Cordis, ni Phantom, elle n'avait que la moitié de ces souvenirs et cela était déjà assez éprouvant pour la petite, ous ces souvenirs concernait les meurtres qu'elle avait orchestrée et aussi comment elle était devenue aveugle et amnésique. Cordis savait une chose, sa vue n'allait pas durée, elle avait en elle un sort qui dormait et tous les sentiments qu'elle avait eut d'un coup l'avait activé, ce qui offrait à la petite une guérisons temporaire, une horloge, invisible pour les autres, tournait dans son oeil gauche, chaque minute rouvrait une plaie, affaiblissant la demoiselle.

- Alors, on fatigue ?

Cordis n'avait aucun sentiments dans son corps, mais il était tout à fait visible que la demoiselle n'était pas en état de la vaincre, mais l'on voyait que Cordis faisait son maximum pour sauver la peau des personnes ayant libéré une partie d'elle. Tous le couloir était parcourut de trace de sa claymores et du sang de la demoiselle et de Rosalia, car la pouffiasse avait quand même des blessures.

- Bon finit de jouer, amène toi avec tous ce que tu as.

La demoiselle ne se fit pas attendre et fonça avec pour but de transpercer la femme, cette dernière prit Hinaro et s'en servit comme bouclier, le demoiselle dévia l'attaque, mais n'empêcha pas la lame de le traverser, aussitôt le visage de Cordis se teinta de terreur et de larmes venant d'une douleurs très profonde, la claymores disparut et reprit la forme de collier, Rosalia mit une coup de pied à la petite qui s'éclata contre le mur.

- Alors c'était donc ça ? Tu était amoureuse de tes deux dernière cibles ? C'est pour deux misérable déchets que tu t'es tirée une balle dans le coeur !!!

Rosalia jeta le jeune homme vers le démon, ce qui arriva ensuite parut surréaliste, le sort de Cordis disparut, laissant réapparaitre toute les plaies y comprit la blessure de son bras amputé, pour soigner de manière définitif la blessure de Hinaro, pendant que Rosalia laissait sa colère déferler sur la petite.

- Tu es mon esclave, comment as-tu put me faire ça sale pétasse, j'aurais du te tuer en même temps que le village.

Cordis ne réagissait pas une seule fois sous les coup et les insulte de la femme, qui avait au passage laissé une ouverture pour la tuer, elle était trop occupée à tabasser et pas en finesse la petite. Puis d'un coup Rosalia eut une surprise, la claymores la transperça sans prévenir, Cordis avait utilisée ce qu'il restait de sa raison pour activer de façon volontaire la claymore, elle dit d'une voix faible.

- Je suis ton esclave pour l'éternité, aussi vient avec moi en Enfer.

Rosalia se mit à rigoler et le corps disparut dans une volupte de fumée.

- Tu iras seule en Enfer, tâche de t'améliorer sinon nous te retrouverons et tu mourras.

laissant Hirano, son démon et Cordis seul dans le cente commercial, le feu c'était éteint de lui même. La petite tenta de se lever avec sa seule main, mais réussit à s'écrouler en avant, elle n'avait pas peur, on la voyait sereine, comme-ci la mort serait pour elle une façon de purger tous ce qu'elle avait commit dans le passé.
" La lune nous guide dans la lumière et la joie, elle ne  m'a apporter que plus de ténèbres et de souffrance dans mon cœur, ne me berçant pas plus que ce que vous appelez amour."

" La lumière m'aveugle et les ténèbres m'enlise, que choisiriez-vous à ma place ?"

http://www.youtube.com/watch?v=rKV195eXg7I&feature=related

"Une lueur peut offrir un espoir, mais peut tout aussi bien vous bruler au plus profonde de votre être, sans s'arrêter et ne connaissant pas la mot pitié"

http://www.youtube.com/watch?v=QNWG3eN8r3c

Hirano

Humain(e)

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 9 mardi 17 novembre 2009, 18:18:07

Rosalia apparu devant moi et me plaqua au durement au sol, je senti ma nuque heurter violemment ce même sol. Ce coup me sonna au point où je ne su plus où j'étais. En mettant ma main sur ma derrière la tête je senti que cette dernière saignait. Je n'avait notion de quoi que se soit et une dernière chose que je vit c'était le regard de Cordis qui demandait pardon. Qu'avait telle l'intention de faire? J'avais peur de se qu'elle pourrait faire et comme une réponse à ma question une chose impressionnante se produisit. Dans un geste sanglant Cordis s'empara de son épée et pendant qu'elle se plaça entre la chasseresse et moi, ses yeux se mirent à briller. Elle parla avec cette femme un moment mais trop sonné par le précédant coup, je n'arrivais pas à entendre normalement. Qu'avait-t-elle l'attention de faire? Était-elle redevenue ce que je redouter et pour cela elle c'était excusé ? Pendant un instant le silence s'empara de la pièce.

Puis sans crier gare, les deux femmes se battirent ensemble. Le spectacle était sans pareille. Malgré ses blessures, Cordis parvenait à maintenir en respect Rosalia. Mais il était claire qu'elle ne tiendrait pas longtemps. Je chercha du regard de quelque chose qui pourrait nous aider. Sa y est !! j'ai trouvé! Le fusil de Rosalia! Elle semblait fort occupé pour se souciait de moi, peut-être qu'avec cette arme je pourrait nous en débarrasser une fois pour toute. Avec beaucoup de peine et un certain manque orientation, je me dirigeais vers le sniper qui trainait à même le sol. J'allais à quatre pattes pour ne pas trop attirer l'attention sur moi, mais surtout que j'avais mal partout. Puis soudain, je sentais que l'on m'agrippais et qu'on me souleva, j'ai n'ai pas eux le temps de comprendre quoi que se soit qu'une vive et forte douleur me traversa les entrailles. C'était insoutenable, je sentais quelque chose remonter le long de ma gorge et en baissant mon regard je vit une grande lame qui me traversais. Puis, mes yeux se levèrent et je vis avec horreur que la personne qui m'avait fait sa n'était pas autre que Cordis elle-même. Était-elle redevenue cette de son passer? Allais-je mourir comme sa ? Mais je compris rapidement que se que je voyait était le contraire de se que je penser. L'expression de son visage me montrait qu'elle n'avait pas voulut sa. elle fut repoussé par un violent coup de pied. Avant d'être abandonner comme un simple pantin à l'article de la mort je pus entendre se que disait Rosalia.

-Alors c'était donc ça ? Tu était amoureuse de tes deux dernière cibles ? C'est pour deux misérable déchets que tu t'es tirée une balle dans le coeur !!!

je m'écrasa lourdement sur le sol. Je porta ma main sur mon ventre et senti un liquide chaud, et amenant ma main devant mes yeux je pus voir que cette dernière était pleine de sang. Je vis ensuite Grendel qui semblait s'en remettre de son coup et l'instant d'après, ma vue commença à se brouiller. Je me sentais sombré, tous devenait noire, c'était surement la fin. Puis, d'un coup, j'avais l'impression que le poids qui était en train de me coulait disparu, c'était comme si je nager pour rejoindre la surface.

 Dans un souffle profond, je revint à moi, Rosalia avait la grand épée qui la traversait et dans une ultime menace, elle disparue dans un nuage. À présent, le silence étais revenue. Je voyait mieux à présent et j'ai pus constater que j'étais plein de sang, mais ma blessure avait disparue. Affolé, je chercha Cordis du regard et la trouva allongé au sol. Je ramper avait beaucoup de mal, la douleur dans mon ventre était encore bien présente. Quand j'arriva enfin vers la pauvre fille, elle était dans un sale état, mais encore vivante. Je tenta à l'aide de ma ceinture de stopper l'hémoragie de son bras perdu, mais si les secours n'arrivais pas elle mourait à coup sur. De plus je sentais qu'elle se laissais mourir. Et prenant sa main dans la mienne, je me mis à la supplier.

-par pitié, reste avec nous. Ne te laisse pas mourir,... tien bon !... Ne m'abandonne pas.

La pression de sa main diminuait petit à petit. En ces moment le temps passe encore plus long. Pris par le chagrin, je la sera contre moi, comme si je voulait l'empêcher de s'en aller. Quelque larmes pelaient le long de mes joues.

-Je t'en supplie... il est trop tôt,...!!

j'avais peur, puis j'aperçus Grendel qui voleter dans les airs. C'était mon dernier espoir.

-Grendel !! je sais que tu peux faire quelque chose, tu peux la sauver, je suis sure que tu en ai capable.

Le désespoir était perceptible dans le son de ma voix, le petit démon s'approcha de moi et avec un sourire malicieux il me demanda.

-que serait tu prêt à faire pour elle? Échangerais-tu ta vie pour la sienne ?

Je lui répondis « oui »! sans réfléchir. Le petit démon rigola encore une fois.

-ha ha ha.., tu es naïf l'humain, ou trop gentil, sa te perdras un jours, soit ! Je vais essayer quelque chose, mais pour cela je te demanderais de t'éloigner. Tu ne dois pas entendre ce que j'ai à lui dire.

J'obéis à Grendel et déposa délicatement la pauvre mourante. Puis je me traina péniblement pour m'adosser contre un mur. Je le voyait parler à Cordis sans comprendre ce qu'il lui disait.

Grendel se stabilisa juste au dessus pour que sont regard croise celle de Cordis et dans un ricanement, s'adressa  à elle.

-hin hin, avec 2600 ans d'existence, je n'avais jamais vu un être comme toi, mi-humaine, mi-démone. Deux siècle et demi de vie, étonnant pour un  démon de ma classe, non? Je t'expliqurais bien le pourquoi du comment, mais je doute qu'il te reste assez de temps pour tous écouter. Alors je vais abréger. Vois-tu? Je suis le gardien d'un puissants livre, mon devoir est de faire en sorte qu'il ne tombe jamais en de mauvaise main et d'apporter tous mon soutien à son propriétaire actuel, donc Hirano. En échange, se manuscrit m'apporte une long vie et un moyen d'avoir une excellente santé. Accepte de partager mon devoir si tu veux vivre. Mais je vois très bien que la mort te convienne parfaitement et que tu désire en finir. Mais pense deux secondes. Tu as tord te laisser aller, ok Hirano est un imbécile, mais il pourrait très bien t'aider et te soutenir, même moi j'ai confiance en lui. Et je peu même t'assurer qu'après cette histoire, il va rechercher tous ce qu'il pourra sur cette mystérieuse organisation. Alors? Si tu veux vivre, il te faut accepter ce pacte et me serrer la pince.

Sur ces derniers mots, Grendel tendit une de ses pattes en direction de la main encore valide de Cordis.

Cordis plumbum

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 10 mardi 17 novembre 2009, 21:38:14

*Pourquoi tous le monde veux me protéger, m'aider, je ne veux que mourir en paix.*

C'est ce qui traversa l'esprit de la petite Cordis, elle qui avait temps soufferts de sa vie, mais elle ne savait aps que ces souvenirs encore en stase allaient lui montrer les pires horreurs qu'un être vivants peut avoir commis ou avoir reçu, c'est dire si toutes ce qu'elle avait connut en temps que amnésique n'était qu'une grain de sable face à l'Enfer de son ancienne elle. La petite eut une larmes en sentant le corps de hirano, non pas qu'elle pleurait pour une raison évidente, mais elle versait des larmes traduisant sa pensée "Laisse moi mourir, laisse moi partir avant que je refasse du mal aux autres" voilà ce que ces gouttes d'eau salées voulait transmettre à l'humain, mais bien sur il ne pouvait pas savoir ce que les larmes. Le démon pouvait avoir une vague idée de ce que ressentait la demoiselle, mais là encore seul lui pouvait décider d'en parler à Hirano ou non.

Cordis fut encore plus choquée quand l'humain lui demanda de rester en vie, qu'il était trop tôt pour elle de partir, mais cette dernière pensait bien le contraire, elle avait cévu trop longtemps dans le monde des vivants, en tous cas sous forme humaine. Aussi ne fut-elle aps du tous réactive quand le démon lui demanda si elle acceptait de proter une fardeau de plus sur ces épaules. Elle sentait bien la main tendu et cela débrida une autre souvenir, la situation était presque similaire, une belle jeune femme, la futur déesse était là, tendant sa main pour aider Cordis à se relever en disant.

- Prend ma main, quand tu en auras besoin, souris aussi plus, tu ressemble à une de ces filles dans les films d'horreur.

Le souvenir se brouilla l'espace d'un instant et elle voulut tendre la main droite mais sentit qu'elle en l'avais plus, c'était vrais que la claymores l'avais amputée et il ne fallait pas esperer pouvoir réussir à le récuperer, même si elle devait le payer de sa vie, ce bras de perdu était pour elle un serment de ne plus refaire les erreurs du passé, à commencer par vivre et retrouver le dieu de la mort et la déesse qu'elel devait tuer, pour en savoir plus sur son passée et sur Phantom, elle parla au démon.

- Je te confie ma vie et mon destin, si tu veux que je sois un instrument de mort, alors je le serais, mais sache qu'une fois que tu m'auraus donner une nouvelle vie, je ne vous reverais plus, je partirait sur Terra et ceux de manière définitif, pour retrouvé mon passé.


Elle prit la main du démon et serra avec le plus de force possible, pour montrer la nouvelle lueur d'espoir qui naissait dans le cœurs et l'esprit de la petite, elle deviendra à coup sur une femme qui fera parler d'elle et fera des étincelles, reste çà savoir si ces étincelles seront accompagné de sang ou non.
" La lune nous guide dans la lumière et la joie, elle ne  m'a apporter que plus de ténèbres et de souffrance dans mon cœur, ne me berçant pas plus que ce que vous appelez amour."

" La lumière m'aveugle et les ténèbres m'enlise, que choisiriez-vous à ma place ?"

http://www.youtube.com/watch?v=rKV195eXg7I&feature=related

"Une lueur peut offrir un espoir, mais peut tout aussi bien vous bruler au plus profonde de votre être, sans s'arrêter et ne connaissant pas la mot pitié"

http://www.youtube.com/watch?v=QNWG3eN8r3c

Hirano

Humain(e)

Re : Quand le rideau de la vérité tombe. (PV Hirano)

Réponse 11 mercredi 18 novembre 2009, 15:51:48

-Je te confie ma vie et mon destin, si tu veux que je sois un instrument de mort, alors je le serais, mais sache qu'une fois que tu m'auras donner une nouvelle vie, je ne vous reverrais plus, je partirait sur Terra et ceux de manière définitif, pour retrouvé mon passé.

Sur ces mots ils se serrèrent la main afin de conclure le pacte. Une marque en forme de serpent  fluorescent parti de la pâte de Grendel et longea le bras pour aller s'enrouler autour du poignée de la jeune fille. Puis dans un sourire narquois Grendel lança à Cordis

-ne t'en fait pas petite. Tu ne seras pas une arme à mes yeux encore moins des ceux de Hirano. Mais sache toutefois, quand tes plaie seront cicatrisé, cela ne devrais pas prendre beaucoup de temps à présent, tu pourras retourner à tes occupations et même à ta quête pour trouver les traces de ton passé. Mais un jours, peut-être qu'il n'arrivera jamais, un jours ! Hirano aura besoin de toi, il sera de ton devoir de lui porter secours à ton tour. Regarde! Le serpent qui s'est enroulé autour de ton bras est le signe que tu nous devras un et un seul service. Et quand il partira tu sera libre de plus jamais nous revoir. Fait moi confiance, se genre de chose arrive plus rapidement que l'on veuille et jamais au bon moment.

Le symbole du serpent s'estompa. Le petit démon accentua son sourire. Puis comme sortie de nul part. Un sceau apparu. Grendel savait lire ce genre de phénomène et il rigola la dessus.

-hin hin hin...!, il semble que le carrosse de madame est en avance, ce sceau te concerne et il semblerai que que l'on t'appelle. Tu es pleines de surprise! Mais avant ton départ, j'aimerai te dire un truc que Hirano t'aurais surement dit. N'oublie pas les horreurs du passé, car tu pourrais les refaire à nouveau. Bonne chance !!

et dans un rire Grendel s'envola.

Grendel parlait depuis un bon moment avec elle. Leur discutions se termina avec l'apparition d'un étrange symbole. J'avais un mauvais pressentiment la dessus. Mais la fatigue me pris d'un coup et je ne put voire ce qu'il se passa par la suite car je perdit connaissance.

Quand mes yeux s'ouvrit à nouveau je vis un plafond de couleur blanc, je n'étais plus au centre commercial. En tournant la tête à gauche et à droite je me rendit compte que j'étais dans un hôpital. Je sursauta quand Grendel fondit sur moi.

-bien dormi? Belle au bois dormant.

-et Cordis elle va bien?

-tes pas drôle quand même, bien sur qu'elle va bien. Mais je t'arrête tout de suite, elle n'est pas ici.

-elle à été amené ou?

-dans aucune hôpital de ce plan en tout cas.

-quoi !?! mais où alors

-calme toi, elle est partie dans un autre plan à la recherche de son passé, mais t'en fait pas, un jour tu la reverra, je te donne ma parole.

-tas parole démoniaque. ?
-ouaip!!


je riais sur cette phrase. Puis je reposa ma tête et me laissa vagabonder dans mes pensé. « où que tu sois, Cordis, je te souhaite de trouver ce que tu désire découvrir sur toi. ». je ne pouvais m'empêcher de me faire du soucie pour elle. Mais qui était réellement Cette « Organisation »? quel but avaient-ils? Et vais-je encore les recroiser à nouveau? Tant de question et pas l'ombre d'une réponse. Je sais se que je ferais à ma sorti de l'hosto, faire des rechercher dans la bibliothèque. Bien que je doute y trouver des réponse, mais c'est tous ce que j'ai pour le moment. Si j'avais su que je vivrais de pareil situation en quittant la maison familiale. Mes dernières pensé étaient tourné vers Cordis Plumbum juste avant de fermer les yeux et de m'endormir à nouveau. Sans savoir que Grendel m'avait cacher la véritable envi de mourir qu'avait ressentit la jeune fille.


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