Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Val’Arrinian

Pages: [1] 2 3 ... 11
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Les terres sauvages / Re : Le voleur attrapé [PV Denna]
« le: dimanche 26 décembre 2010, 11:45:30 »
Val revint à lui dans le chaos de la bataille mais ne bougea pas, il était complètement sonné, par terre dans la voiture. Autour de lui, des éclats de voix, le bruit des lames qui s’entrechoquait, le bruit mat des flèches se fichant dans la chair ou la loupant de peu. Où était-il ? Que faisait-il ici ? Où était Denna ?

Il leva légèrement la tête, assez pour apercevoir qu’un homme l’observait, un peu fluet, les cheveux longs et sales, une balafre sanguinolente lui barrant l’œil, un cimeterre à la main, dans l’autre, un petit bouclier rond. Endurcis, l’homme d’un peu plus de trente ans avait le regard intéressé, comme si il se demandait combien pouvait valoir la vie de notre jeune ami.

Il ordonna qu’on prévienne un certain Bane, sans doute le chef du groupe de bandits, et on le fit sortir sans ménagements.  Pour le mettre face à un homme qui devait avoir la quarantaine vétu d’un gris proche de la couleur des rochers environnant. Celui jeta son mégot, roula une nouvelle cigarette, et leva juste un regard rapide vers le captif.

« Alors mon garçon, dis-moi comment tu t'appelles, ton pays d'origine et pourquoi cette charmante jeune fille a jeté son dévolu sur toi. »

Un ricanement parcouru les bandits pendant qu’on trainait la mord sith devant Val dans la poussière, ils se foutaient complètement de son importance, ou de qui elle était. Ou alors, c’était parce qu’ils savaient qu’ils ne faisaient preuve d’aucune délicatesse.

« Si tu coopères sans me faire perdre mon temps, ajouta Bane. Je te laisserais peut-être t'amuser avec ta copine quand elle sera réveillée. Tu dois surement avoir plein de choses à lui dire après tout ce temps passé en sa compagnie. Mmmh? »

Val ne savait que répondre, devait il accepter la proposition. ? Ce devait être la meilleure solution pour sa propre survie, mais est ce qu’il pouvait faire confiance à ce Bane ? Non, bien sur que non, il n’avait aucune valeur marchande, il était un otage que personne ne viendrait réclamer. Avait-il donc les moyens d’inventer quelque chose de crédible ? Peu de chances, aussi il se contenta de dire la vérité, toute aussi peu crédible au passage.

« Je…je suis Val’Arrinian, je viens des terres du Chaos. » Il déglutit puis réfléchit à ce qu’il allait dire. Il avait du mal à savoir pourquoi il avait été capturé et pourquoi il avait subi pareil traitement. « Je… je ne sais pas, sans doute parce que je me suis introduis en douce dans sa tente pour chercher quelque chose à piquer, et je me suis fais prendre la main dans le sac. »

Voila, il leur avait signalé qu’il n’était personne, qu’il ne valait rien. Avait-il la force de tenter quoique ce soit ? Il n’aurait pas la force de faire ce qu’il s’apprêtait à faire deux fois, il était, avec ces personnes, un mort en sursis, et avait plus de chances de survie tout seul avec Denna qu’avec eux. Au moins, elle ne chercherait pas à la tuer, elle le maintiendrait vivant.

Il se souvenait juste de grands éclairs de lumière, qui avait cramé les gardes de la diligence. L’un d’eux utilisait la magie. Mais qui ? Son clone n’aurait pas le droit à l’erreur. Il ne pouvait tirer que deux volées, et de son coté, il voyait au sol trois poignards. Il ne matérialiserait qu’un clone, pour gardeer assez d’énergie pour se battre. De quoi tuer trois soldats de la douzaine de bandits encore vivants.

Il releva les yeux vers Bane, le défiant des yeux, matérialisant son clone à une centaine de pas de lui. Celui-ci banda l’arc du soldat mort à ses pieds, visa et décocha sa flèche en direction de la nuque de bane, mais à peine avait il décoché qu’il encochait une autre et tirait sur le bandit à la droite et un autre à la gauche. Une volée.

De son côté, Val avait saisi un poignard et l’avait planté dans l’aine du premier soldat qu’il avait rencontré, puis il l’avait lancé dans le torse d’un autre, ricochant contre la cage thoracique. Le dernier poignard se trouvait devant lui et li fonçait dessus dans un cri de colère, son clone n’avait plus de flèches, il était dans la merde. Plus d’armes à porte. Il était mort ! Ah si ! Une arme ! Non, pas ça ! Il venait d’aviser que l’agiel pendait toujours au poignet de Denna qui se trouvait inconsciente au sol, tenant l’agiel dans sa main.

Il saisit le bras de la mord sith et le leva assez haut pour que dans sa course le garde se le prenne dans les valseuses. Il pensait avoir fait ce qu’il fallait por s’en débarrassé, il donna un coup de pied maladroit dans son arme et un atre dans son nez. Mais alors, son clone disparut. On l’avait abattu.

Il s’agissait des renforts des bandits qui s’étaient cachés dans des rochers. Mais  ils ne fonçaient pas sur Val et Denna, mais dans le sens inverse. Quand Val tourna la tête, il vit ce qui avait fait peur au reste des brigands, ces gens étaient sans doute une patrouille Ashnard. Val leur fit signe alors qu’il hissait Denna à bord de la diligence, avait de s’écrouler de fatigue, harassé par les émotions et l’état se son corps, sur les genoux de Denna.

2
Les terres sauvages / Re : Le voleur attrapé [PV Denna]
« le: dimanche 19 décembre 2010, 23:11:18 »

Etrangement, dire que la séance fut une partie de plaisir était le façon la plus réaliste de définir ce qu’il avait ressenti. Il n’y avait eu aucun rapport entre cette séance de l’après midi et la séance de la veille. C’aurait presque pi passer pour de la douceur en comparaison. Il n’en ressortait pas avec des blessures supplémentaires. En même temps, ça aurait été difficilement envisageable.

Oh bien sur il cria de douleur, mais moins souvent, et moins fort. Même en y allant doucement, chaque toucher de l’objet était une torture. Il en vomit même le repas qu’il avait eu la chance de prendre. Pas grand-chose, certes, juste assez pour qu’il ne crève pas de faim. Toutefois ce n’était pas resté bien longtemps dans son estomac. Enfin, il se reposerait et récupérerait dans la diligence les menant à la capitale. Il n’arait pas pu y aller à cheval de toute manière.

Ce qui impressionnait Val quand il était lucide, c’était la proximité de la capitale. Le centre du pays était si près des frontières, assez impressionnant. Ils ne craignaient donc aucune attaque de Nexus ? D’un autre côté, on disait là bas tellement de choses horribles, qu’au final, il semblait logique que personne d’autre qu’un ashnard ose s’en approcher. On murmurait souvent que les murs étaient faits avec des pierres provenant des carrières infernales. On disait que les portes de la cité faisaient deux pieds d’épaisseurs, et que seules les ténèbres du Gardien étaient plus profondes que la noirceur di métal des portes. De quoi donner des frissons. Et ce qu’on racontait sur l’empereur était d’une telle horreur que rien que dy penser, cela lui retournait l’estomac.

« Monte »

Un ordre sans appel, et bien qu’il voulut obéir dans l’instant, son corps était assez douloureux pour qu’il ne réponde pas par instant. Ce qui, au passage, lui valu quelques coups d’agiel pour qu’il se dépasse et finisse par se hisser dans le chariot.

Heureusement que Val n’était pas claustro, sinon, une crise aurait été inévitable dans cette boite guère plus grande qu’un placard à balais sans vue sur l’extérieur où tout ce qu’il y avait, c’était sa tortionnaire et des banquettes bien usées absorbant les cahots moins qu’elles ne devraient.

-Je suis sûre que tu te remettras vite Val, lui assura Denna. N’ai pas peur de là où nous allons. Tu as sans doute entendu d’affreuses choses au sujet d’Ashnard, mais je t’assure que c’est un endroit magnifique.

Dr voulait elle rassurante ? Peine perdue. Car si dans un premier temps son visage radieux y parvenait, la disparition de ce sourire, le frisson et l’aur terrifié que l’on pouvait lire dans le fond de ces yeux durant un court instant montrait le contraire, o du moins, qu’il y avait des choses bien horribles là bas.

-Tu t’y plairas, je n’en doute pas. Et puis, je serais toujours là pour toi.

Le sourire qu’elle lui lança ne lui plut pas du tout, il ne comprenait pas vraiment ou elle voulait en venir. Elle aurait juste là bas de quoi mieux le torturer et c’est tout. Mais son corps criant halte, il ne finit par s’endormir, fourbu par des efforts qu’il n’avait pas fourni.

Peu de temps après le bruit mat d’une flèche se plantant dans le bois retentit.

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 19 décembre 2010, 01:27:27 »
hésite entre aller se coucher et regarder le dernier samourai, cruel dilemme

01h30

4
Les terres sauvages / Re : Le voleur attrapé [PV Denna]
« le: mercredi 08 décembre 2010, 18:16:33 »
[HRP : Oups, pas vu que t'avais repondu, je suis vraiment à la ramasse en ce moment !]

Lentement, il vit la jeune femme commencer à bouger, sortant de la pâle imitation de la mort que l’on appelait sommeil. Lentement, maîtresse Denna puisque c’était ainsi qu’il fallait l’appeler remonta le long du corps de Val, remontant lentement pour déposer ses lèvres dans son cou, ce contact chaud, doux, ses lèvres sont un peu sèches, normal au réveil. Un contact assez agréable pour le faire frissonner malgré lui. Il tourna légèrement la tête vers elle, et pendant un court instant, il put voir ses prunelles embrasées de désir. Etait ce bon signe ? Val était loin d’en être sur. Mais une partie de lui avait envie d’aller plus loin alors que tout le reste, chaque fibre de lui hurlait le non.

Il la sentit se glisser pour être légèrement au dessus de Val. Ses lèvres se trouvaient à portée des siennes, si proches, et si lointaines à la fois. Quelle sensation étrange qu’il ressentait alors. Un mélange bizarre entre la compassion et le dégout, entre l’envie de ces lèvres et l’envie de partir.

Il sentait son souffle, inspirait ses expirations expirait ce qu’elle inspirait. Petit à petit ses lèvres se rapprochaient de celles de Val, lentement, très lentement, jusqu’à les effleurer un court instant qui dura des lustres. S’il avait pu bouger plus facilement et sans douleur, il aurait sans doute hésité entre repousser et embrasser plus franchement Denna. C’était vraiment étrange, très étrange. Finalement, elle l’embrassa vraiment, pas avec pour but de lui arracher quoique ce soit, ou de le mordre comme l’autre fois, quoiqu’il ne pouvait rien affirmer pour le moment.

Le gout de ses lèvres chaudes, comment décrire de situation plus exquise, il n’avait jamais gouté quelque chose d’aussi doux, d’aussi agréable que ces lèvres carmins. Il sentait la langue de Denna se faufiler pour aller taquiner la sienne, à ces taquineries, sa langue répondait par réflexe, instinctivement, comme si c’était juste ce qu’elle attendait.

Il sentait sa peau contre la sienne, cette peau douce, vierge de toute imperfection, au travers, il sentait son cœur battre la chamade à un rythme absolument faramineux. Il prenait conscience alors que son cœur battait encore plus vite, toujours plus vite, à s’en faire péter les ventricules. Chaque instant était chargé de sensations plaisantes, oui c’est cela, des décharges de plaisir, comme si chaque fraction de seconde lui accordait une nouvelle dose de plaisir.

Hélas, elle sépara ses lèvres des siennes dans un soupir commun. Dans ce genre de situation, ce que l’on relevait en premier, c’était que l’haleine du matin n’était pas toujours des plus fraiches, on pensait généralement cela en sentant celle de l’autre, mais sur le coup, Val était sous le choc de ce moment d’infinie douceur. Il ne comprenait qu’à moitié ce qu’il venait de se passer. Cela finit en étreinte, puis elle posa la tête à l’endroit habituel, le creux de sa clavicule.

-Lorsque tu seras guéri je finirai ce que je viens de commencer, murmura Denna d’une voix chargée d’érotisme, mais qui résonnait comme une sérieuse menace. Il faudra vraiment que tu sois en pleine forme, car j’ai tendance à ne pas savoir me retenir dans ces moments là.

Il blêmit devant la menace à peine dissimulée, mais qui n’enlevait rien à l’érotisme de la situation. Elle en tira un petit sourire de satisfaction, pourquoi ? Il ne savait pas et cela avait le don de le faire paniquer, ce sourire ne présageait en général rien de bon. Il en était à se demander si la mort ne serait pas moins désagréable. Non, ce n’était pas une solution, loin de là.

Une voix s’éleva depuis la porte qui avait été ouverte discrètement, et une voix e soldat , pas de troufion de base, mais plutôt de gradé, résonna dans la pièce.

-Maitresse Denna ?

Lentement, elle se redressa vers le soldat qui avait interrompu ce qu’elle était en train de faire. Ni surprise, ni gêne sur ses traits. En même temps, elle avait de quoi être fière de son corps et le montrer ainsi était un peu comme une sorte de camouflet au visage du garde peut être. Comme un genre de « tu vois ça ? Et ben rêve pour avoir plus que le simple coup d’œil. ».

Elle prit la missive, fit sauter le sceau d’un coup de dague bien placé, et c’est presque si elle se liquéfia sur place quand elle lut le message, elle blêmissait à vu d’œil.  De quoi pouvait-il bien s’agir ? Quand elle lâcha le message, il put en voir une petite partie, il ne semblait pas qu’il y ait quelque chose d’alarmant, le plus incroyable étant plutôt que la missive soit parvenu au bon endroit au bon moment et ce, depuis la capitale. Impressionnant le réseau d’information. Enfin, peut-être qu’elle n’était pas si éloignée que cela, qui sait.

Alors que le soldat s’éloignait, lentement, il sentit à quel point Denna était bouleversée. En allant même à se serrer comme lui, comme si elle cherchait une forme de réconfort. C’était assez ironique. Lui, il était le réconfort de sa tortionnaire.  Dans d’autres circonstances, il aurait sans doute été moins compatissant, mais avec cette femme, il espérait que ^peut être, elle lui montrerait que cela n’aurait pas été vain, elle connaissait la douceur, elle savait en faire preuve. Il ne restait pas grand-chose de cela, mais en réveillant cette partie d’elle, il éviterait peut être les ennuis, et peut être même plus de douleur.

-Nous allons devoir aller à la capitale un peu plus tôt que prévu.

Il sentait presque son corps trembler, alors l’un de ses bras, le moins abimé commença à doucement lui tapoter l’omoplate. Enfin, il lui caressa, effleurant plus que caressant, en se remettant à fredonner, mais cette fois, il fredonna l’air qu’elle chantonnait, pourquoi ? Il n’en avait aucune idée. Mais il s’appuya comme il put dans ses bandages au montant du lit, puis, il appuya son autre main,  sur l’arrière de la tête blonde de la jeune femme.

Au fond de lui, il se demandait si sa situation n'empirerai pas une fois à la capitale.

5
Les terres sauvages / Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]
« le: mardi 07 décembre 2010, 18:01:11 »
Elle obéit directement, cette petite chienne était vraiment douée, mais alors très, très douée.  Sous lui, il sentait les muscles du bras, du poignet bouger au fur et à mesure qu’elle enfonçait ses doigts comme il l’avait ordonné. Et bien ! Elle avait l’habitude de se faire déchirer l’anus celle-ci ! Entrer tous ses doigts aussi facilement ! Et en plus elle en gémissait de plaisir. Ceux-ci étaient étouffés par l’objet dans sa bouche, mais des gémissements quand même.

Il regarda derrière lui. C’était une véritable rivière de cyprine qui s’écoulait, non, un torrent. Ce flot de cyprine ininterrompu montrait à quel point c’était une putain, elle ne devait faire que ça, et il n’osait même pas imaginer ce que cela donnerait si elle était droguée. Non ? il ne fallait pas l’imaginer, elle serait sans doute comme une machine. Et alors qu’elle enfonçait le dernier doigt, elle se mit à faire de beaux va et viens rapides, il sentait le corps de la jeune femme se tendre, alors il se pencha, appuya ses genoux sur sa superbe poitrine, transférant involontairement tout son poids dessus, l’écrasant donc par cette occasion, et retira la ceinture et le vibro, trop tard pour entendre le cri de la jeune esclave, mais bon tant pis, il voulait gouter à ses gémissements, qui ne seraient pas tous de plaisir il pensait. Enfin, elle jouit. Déjà ? Quelle putain !

Pendant ce temps, son autre main jouait avec son membre bien dur. Elle y allait de main de maître, elle montait descendait, taquinait les bourses qu’elle voulait vider, là, même Val se permit un petit gémissement de satisfaction.  Mais pendant ce geste, il attrapa la main et se dégagea, se levant sur le lit, et lui marchant sur l’abdomen en descendant maladroitement.

Avant qu’elle ne sorte ses doigts de l’endroit où elle les avait tous mis, il maintien la main, tout en la forçant à se mettre sur le ventre et lever la croupe vers lui, trop haut pour son engin, mais la pénétrer n’était pas son but à l’heure actuelle. Non, il avait d’autres projets, bien d’autres projets. Souriant, il empoigna le vibro et l’introduisit sans douceur, mais sans non plus être trop brusque, l’anus était très sensible, oh, non pas qu’il fasse attention à son bien être, mais plutôt parce qu’elle n’était pas sa chienne. La sienne, il en aurait rien eu à cirer de la blesser.

Puis il lui fit comprendre qu’elle devait de cette même main qui était enfoncée, le maintenir à l’intérieur. Puis, il se retourna vers la commode, et trouva ce qu’il cherchait, cela ressemblait à un dilatateur à tuyaux. Et ça lui donnait de mauvaises idées pour la chienne. Elle avait joui, et il comptait en profiter. Mais ce ne fut pas lui qui se retourna pour aller utiliser le dilatateur, mais un de ces clones, elle se retrouvait avec deux Vals sur les bras ! Enfin, ici plutôt sur le cul puisqu’ils semblaient avoir eu une drôle d’idée, une sorte de jeu.

Alors que le clone utilisait le dilatateur pour, petit à petit, élargir son sphincter anal, Val disposa sur le lit à côté une petite quantité de bougies bien grasses plus ou moins grosses, toutes inentamées. Cette cire grasse allait leur permettre de rentrer toutes seules, il suffisait de leur ouvrir un peu le passage. Mais avant de commencer à insérer la première des bougies, il retira la main de l’anus.

« Nettoies la avec ta langue, tu vas bientôt en avoir à nouveau besoin ! » Un sourire lubrique illuminait le visage des deux Vals.

Puis, alors que l’un jouait sur les parois de l’anus avec le dilatateur à tuyau glacé, l’autre commençait à enfoncer une bougie mèche la première, puis une deuxième, puis une troisième, et ce jusqu’à entendre le cri de douleur de la dilatation maximale qu’elle pouvait atteindre. Remplir l’anus avec tout ça  était bien drôle mais le plus divertissant, c’était encore était de l’entendre quand ils s’amusaient à enfoncer les bougies plus profondément avec le pied. Endin, cette envie leur passa. Mais rien n’était encore fini. Ils avaient d’autres idées en réserve.
 Ils lui ordonnèrent de se lever et de marcher un peu histoire se faire à avoir le cul bien bourré. Ils étaient amusés à l’idée de la voir marcher avec autant d’objets dans le derrière. En serait-elle capable ? C’était un peu comme un pari entre les deux Vals.

Enfin, une fois qu’elle eut réussi à donner raison à l’un des deux Val. Ils la forcèrent à se coucher à terre sur le sol froid, à même la cyprine qu’elle laissait derrière elle. Ils donnèrent encore un ou deux coups de pied dans les bougies, puis se placèrent chacun d’un côté, commençant à jouer avec les dents sur sa magnifique poitrine, commençant par sucer lentement les tétons avant de commencer à les mordiller, puis enfin à mordre, pas assez pour que le sang coule, mais juste de quoi laisser une petite marque, étendant peu à peu leurs morsures à l’ensemble du sein dont chacun s’occupait.
 

[HRP : désolé pour ce retard monstrueux, je suis impardonnable !]

6
Vous nous quittez déjà ? / Re : Pause
« le: vendredi 03 décembre 2010, 20:24:59 »
On t'attendra !



Kamui, s'il te plait, parle pas de malheur (et en plus elles se feraient une joie de faire ces horreurs à plusieurs).

7
Les terres sauvages / Re : Le voleur attrapé [PV Denna]
« le: samedi 27 novembre 2010, 13:49:11 »
Val se réveilla en sursaut, et le seul mouvement qu’il fit lui arracha un léger gémissement, à peine plus qu’un souffle. Un souffle qui ne réveilla pas la personne dormant contre lui. Il tourna la tête, Denna, non, maîtresse Denna comme il devait l’appeler maintenant, dormait, la tête posée sur un carré de chair préservée. Il ne pouvait pas bouger autre chose que la tête et le bras sur lequel elle n’était pas appuyée, il ne sentait pas son épaule, mais il pouvait bouger son bras sans qu’il n’émette plus qu’une grimace.

Il tâta le reste de son corps, il était enroulé dans les bandages, presqu’une momie. Cette femme était vraiment déroutante. Elle prenait plaisir à le mettre en morceau, et un plaisir peut être même plus grand à le soigner. Un subtil mélange entre la douceur et la violence que quiconque aurait cru incompatible.

Il fouilla dans sa mémoire. Que lui était il arrivé pour qu’il soit dans cet état ? Peu à peu, les souvenirs remontèrent à la surface. Son arrivée dans cette pièce, le changement d’attitude de sa geôlière, puis la douleur. Elle l’avait fait pendre aux anneaux du plafond par des soldats, puis avait sorti l’objet haï un objet qu’il maudissait plus que tout au monde. Elle s’était mise à frapper, encore et toujours, coup doroit, revers, chaque coup lui tirait un gémissement plus ou moins fort en fonction de l’endroit touché et de la manière dont elle avait frappé.

A chaque coup, il espérait que celui-ci serait fatal, et à chaque coup, s’ajoutait à un cri de douleur une note claire résonnant le désespoir du jeune homme. Bientôt sans volonté à force d’être frappé, il n’était plus qu’une chose, l’envie de mourir, tout son être était tourné dans cette direction, chaque fibre était comme un appel à la séparation des sensations charnelles. Dans l’état où il était, refuser la douleur, tenter de s’évader en pensée de son corps ne pouvait même pas lui être utile, il ne pouvait pas. Quand à s’évader avec un clone, il sentait la douleur quand il essayait.

Bientôt, il ne fut qu’un amas de douleur, qu’une masse allait du rouge au violet en passant pas le bleu et le marron. Une masse de chair sanguinolente. Il avait la malchance d’être en vie, il avait encore la possibilité que ses blessures s’infectent. Il se sentait honteux de désirer si ardemment la mort. Les parties que l’agiel n’avait pas touchées étaient la tête, à cause de sa distance au sol, et les bras qui étaient le lien entre les liens au plafond, et le reste du corps, mais ceux-ci étaient aussi douloureux que le reste parce qu’ils soutenaient l’intégralité de sa carcasse.

Son corps devenait de plus en plus lourd, il perait peu à peu les sensations de son corps, à force de souffrir, comme si le sang n’allait partout où il devrait. Ce furent ces orteils qui commencèrent à s’engourdir, remontant lentement vers le tronc lentement, très lentement. Bientôt, il serait privé de toute sensation, pour son bonheur ou pour son malheur. En fin de compte, il avait fini par plonger dans le baume de l’oubli nommé inconscience, quel doux moment, la fin de ses souffrances, la fin de tout, pour l’instant. Sans dote le meilleur moment de la journée, il perdait contact avec tout ce qui l’entourait.

Eveillé, a souvenir de la veille, une larme roula sur sa joue/ Pourquoi lui ?  Qu’avait il fait aux dieux pour mériter cela ? Mais pire, qu’avait on fait à cette femme pour qu’elle devienne aussi violente malgré sa douceur naturelle ? Quelles horreurs avait elle subi ? Toutes ces questions s’entrechoquaient dans sa tête dans l’anarchie la plus complète.

Il observa sa geôlière avec pitié. Par la torture, elle perdait son humanité, par la tendresse, elle en récupérait une partie, mais pas autant qu’elle en perdait. Bientôt, cette femme n’aurait d’humaine que l’apparence, rien de plus. Etant donné la tendresse et la douceur qu’elle pouvait montrer, ce serait dommage. S’il pouvait l’aider, il s’aiderait lui-même. Mais il ne voyait pas comment. Alors, avec sa main valide, il alla caresser ses cheveux alors qu’il se mettait fredonner lentement une mélodie de chez lui. Chacun son tour. Si elle était capable de tendresse, alors celle-ci pouvait l’affecter aussi.

C'est étrange la réaction que l'on peut avoir dans ce genre de situation. Des réactions complètement incohérentes. Savait il seulement pourquoi il faisait cela ? Peut être pas consciemment, il le faisait, c'est tout, parce qu'il sentait qu'i devait le faire.


[HS : Dsl pour le retard, beaucoup de boulot]

8
Les terres sauvages / Re : Le voleur attrapé [PV Denna]
« le: vendredi 19 novembre 2010, 22:00:07 »
Le petit matin était arrivé ! Les oiseaux commençaient à chanter ! Il était l’heure de se réveiller ! C’est d’ailleurs un coup avec sa baguette de cuir tressé qui le lui signala d’une douleur dans le ventre. Comme un nouveau né, il s’éveillait à sa nouvelle condition par un hurlement, de douleur certes, et ce cri devait être moins plaisant, mais une telle analogie était sans doute la plus appropriée. Mais ce hurlement montrait quelque chose, il montrait que Val avait récupéré plus ou moins sa voix, elle était encore un peu éraillée, mais c’était toujours mieux que ce qu’il avait eu la veille en tout cas.

Mais au delà de cela, il comprit que ce coup serait le seul du voyage quand elle l’attacha a cadre d’un chariot et le fit comprendre qu’il devait monter dedans. Il allait pas se plaindre ! Une fois la jeune femme partie, un sourire vient sur son visage un court instant. Il se recroquevilla dans le coin. Observant ce qui l’entourait. C’était un chariot tout ce qu’il y a de plus commun. Il était casé dans n coin dépourvu de marchandise, et comme par peur, on avait entassé les marchandises en travers, pour que même délié, il ne puisse pas s’approcher des personnes usant de ce transport.

Ce voyage fut long, et éprouvant. Même si il n’y avait pas vraiment eu d’effort physique, vous comprendrez aisément pourquoi si vous vous teniez sur le un chariot cahotant au rythme des nids de poule et des obstacles jonchant la pistes, car personne n’aurait pu qualifier cela de route sans mentir, les mains attachées l’obligeant à prendre une position relativement inconfortable, replié sur lui-même à cause du manque de place.

Lentement, enfin, à ce qu’il put entendre, cela correspondait à une bonne allure, il voyait le paysage défiler, il voyait sa liberté disparue s’éloigner de plus en plus, elle avait trainé les pieds et ne pouvait désormais plus le rattraper. Le vent s’était tu, le vent lui-même l’avait laissé tombé, le symbole même avait déserté le champ de bataille contre cette forme d’emprisonnement. Il ne pourrait pas s’échapper, c’était certain. Il commençait à se résigner au fur et à mesure que le paysage changeait. Le sol devenait plus riche, fertile, remplaçant les maigres herbes par des plantes vertes grasses et devenant de plus en plus luxuriantes plus arable. Les plantes auparavant rachitiques et sèches commençaient à proliférer et devenir plus grasses. Une renaissance de la terre. Ça et là on apercevait même des âmes, animales surtout, notamment des troupeaux. Vinrent ensuite des paysans, faisant le lien entre la ville la plus proche et les pâturages, ils croisaient aussi des commerçants itinérants. Quels qu’ils soient ils avaient deux réactions, ceux qui regardaient Val avec compassion, et ceux qui le regardaient avec dégout. Les premiers avaient vu Denna et savaient au moins de réputation ce qui l’attendait, les autres ne l’avaient pas vu.  Lorsqu’un voyageur avait proposé de l’eau à Val, le chauffeur du chariot avait reprit de volée pour l’en empêcher.

Il apprit grâce à certains voyageurs qu’il avait pénétré dans l’empire d’Ashnard, et plusieurs heures plus tard, il aperçut Rang, une ville fortifiée défendant les marches de l’empire. Entrer dans la ville ne fut pas difficile, le rythme ne ralentit même pas, comme si les gardes savaient qu’ils pouvaient laisser entrer cette caravane. Pourquoi ? Il n’en savait rien. En tout cas, il voyait que la cité avait fière allure. Ses murs de pierres blanchies par les intempéries où subsistaient quelques marques de sièges avaient fière allure !

C’est ici qu’il apprit que le périple s’arrêtait pour lui et Denna, au grand plaisir des caravaniers, intérieur sans doute, lkes au revoir furent vraiment navrants, on aurait dit un concours de celui qui ferait gober le plus gros poisson à Denna. C’était navrant, mais en même temps, l’hypocrisie était tellement forcée que l’on se demandait s’ils essayaient vraiment de se rendre crédible.

Sa seule réaction fut de détacher la lanière qui retenait Val a chariot de l’attacher à sa selle, au pommeau plus précisément, et sans autre forme de cérémonie, remonter en selle et repartir, entrainant à sa suite Val sans ménagement. Ce dernier, habitué au comportement des caravaniers fut un pe déboussolé par le plaisir que certains citadins éprouvaient devant le malheur des autres. Certains avaient de la pitié, d’autres étaient horrifiés, mais la plus grande partie se moquaient sans gêne sur son passage, tentant croche-pieds, bousculades, ou encore lui crachant dessus, il prit même un fruit complètement pourri dans le dos. Une chose était sur, c’est qu’il e bavait le pauvre, mais si il se plaignait pour ça, qu’en serait il de la suite…

Enfin, elle se stoppa sur une sorte de petite place surplombée d’ne place forte en pierre grise taillée pour empêcher l’escalade. Aux vues des allées et venues, c’est à l’intérieur que l’on stockait tous les prisonniers. C’était vraiment le cœur de la ville, il y avait ici des baraquements pour les soldats, la cantine, le mess, bref, tout ce qui était utile ) la vie des soldats. Concernant les filles de joies et les tavernes, il fallait s’éloigner de cet endroit pour les trouver. C’était ne caserne ici, pas un bordel !

Comme sovent dans l’entourage de Denna, dès qu’on la voyait, on suait à grosse goutte, puis on voyait Val, et on se rassurait un peu, elle avait un peu de travail pour la nuit et pour les jours à venir. A peine eut elle le temps de demander une audience au général de la garnison, enfin, demandé, plutôt ordonné de lui accorder ne audience vu l’empressement à s’exécuter, qu’un garde était déjà parti en courant prévenir le commandant de la garnison.

Pendant ce temps, l’autre garde, un sourire forcé aux lèvres la précéda, lui indiquant le chemin à suivre, Val continuait de coller aux basques de Denna et fut vite impressionné par la peur que dégageait le soldat. Il suintait la trouille et on se demandait combien de tems il lui faudrait pour qu’il vide sa vessie en public devant la mord sith.

Quant au général et bien, il faisait bien rire, il n’en menait vraiment pas large. La cicatrice barrant son front et son œil droit montrait qu’il avait eu de belles batailles, mais le voir, non pas paniqué parce que ce n’était pas le mot, mais un peu apeuré devant la mord sith, ça faisait discrètement sourire Val, ne serait ce qu’un peu. Mais en même temps, cela montrait que cette femme était bien plus dangereuse que le jeune homme le pensait, ce qui effaça aussi vite qu’il était venu le sourire de ses lèvres.

Trop content qu’elle ne demande que le gîte et le couvert, le soldat accepta avec empressement avec autant de politesse, de courbette, et de sincérité complètement feinte, mais qui en un sens ne l’était pas, qu’il pouvait en proposer. Il tenta même de l’inviter à sa table, un véritable honneur pour ses subordonnés de la base, mais apparemment pas pour elle qui refusa net.

Elle donna un petit coup de laisse pour que Val comprenne qu’il était temps d’y aller. Pour la première fois, Val eut l’impression de disparaitre. Contrairement à ailleurs, personne ne lui adressa le moindre regard, personne ne le vit, personne n’eut ce regard de fausse pitié qu’il avait si souvent vu ces derniers jours. Pour les autres, il avait cessé d’exister.

On les conduisit à travers un dédale de couloirs jusqu’à une porte  située selon lui à l’atre bout du complexe, mais qui savait exactement où ils étaient ? Pas Val en tout cas, si, il savait qu’il était dans la merde jusqu’aux sourcils avec la bouche grande ouverte, mais à part ça…

Quand il entra dans la pièce Val ne fut pas vraiment surpris de la décoration. Deux pièces, dont la première avait un grand lit, une baignoire en étain, enfin, c’était une cuve plus qu’une baignoire, mais pour un QG militaire, il fallait reconnaitre que c’était grand luxe ! Il y avait aussi un guéridon, sinonla pièce était vide de tout. Spartiate, c’était le mot qui convenait le mieux pour décrire l’endroit.

Denna le poussa dans la pièce suivante avec sa « baguette magique ». C’était une pièce simple, aux murs de couleur anthracite, des anneaux étaient fixés sur les murs du fond, et d’autres pendaient du plafond.  Elle se plaça de manière à empêcher toute fuite. Ça commençait à sérieusement craindre du boudin.

« Nous allons changer certaines choses. Considère que la première règle est annulée. Dorénavant, tu m’appelleras "maitresse Denna" et chacune de tes phrases devront finir par ces deux petits mots. Nous allons enfin pouvoir commencer un véritable dressage. Je suis toute à toi, Val. »

Oui, ça craignait vraiment du boudin ! Il était dans une merde noire ! Elle était de mauvais poil par-dessus le marché ! Il ne passerait pas la nuit. A ces pensées, il en resta amorphe pendant un moment. Il était complètement désespéré. Un peu plus, et il aurait souiller ses chausses.  Bon vu sa position, il fallait carresser dans le sens du poil.

« Comme vous voudrez Denn…..Maitresse Denna. »

Sa voix était sans intonation, si ce n’est pur désespoir. Et ans cette forme de désespoir, il faillit se planter. Puis il courba la tête, aussi bien en signe de déférence que de soumission. Et ça sortait bien malgré lui !

9
Les terres sauvages / Re : Soirée mémorable chez le receleur [PV Saori]
« le: lundi 15 novembre 2010, 13:04:14 »
Il sentit qu’elle appréciait les coups de langue qu’il donnait, son vagin se contractait régulièrement, elle aimait vraiment ça la putain ! Elle en voulait vraiment ! Après qu’il eut commencé à donner ses coups de langue, le flot de cyprine qui s’écoulait redoubla d’intensité. Elle en avait combien de litres en elle ? A croire qu’elle n’avait que de quoi jouer les putains. Et dire qu’elle n’était pas droguée. Il tentait d’imaginer ce que ça devait donner sous ses effets.

« Hummmmmmmm… Ohhhhhhhhhh… Hummmmmm… »

La catin était déjà en train de gémir, et plus que ça, il sentait se croupe faire de petits mouvements pendant que sa langue jouait sur son clitoris et dans son vagin. Vraiment chaude comme jeune femme. Il comprenait alors la valeur du cadeau pour la nuit. Il stoppa alors son geste, sortant la langue de l’endroit bien chaud où elle se trouvait. Il se releva, et sans ménagement, il hissa l’esclave sur son épaule, non sans peine il du l’admettre. Il tituba plus qu’il ne marcha jusqu’au lit, l’alcool se cumulant au poids, c’est qu’elle n’était pas légère la garce !

Enfin, il jeta son jouet sans douceur sur le lit, la tête manquant de pue l’un des portants en chêne. Puis il se pencha à nouveau sur son clitoris et le palpa de la main, entrant deux doigts à l’intérieur brusquement, la douceur ne semblait pas être de mise ce soir. Quand il les ressortit, ils étaient trempés.  Mais au lieu de passer à la phase suivante, il décida de jouer un peu, l’entendre gémir, l’entendre le supplier de la pénétrer.

Il lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe en l’air, et de ne pas bouger. Puis, ne semblant pas se soucier de savoir si elle obéissait, il se retourna vers une commode. Il semblait qu’il lui avait dit que c’était là qu’il rangeait son petit matériel pour s’amuser avec ses esclaves. Il se demandait si elle se doutait de ce à quoi elle allait avoir droit.

Quand il ouvrit la commode, il trouva dedans, des objets dont il connaissait l’utilisation, d’autres dont il ne saurait probablement pas se servir. Enfin, il trouva un objet intéressant. Il s’agissait d’un cylindre d’une matière étrange, c’était plus souple et plus résistant que le bois ou l’acier, il ne connaissait pas les matières plastiques. Il y avait, tout au long de l’objet, comme des froufrous bizarres, et sur la partie plate, il y avait une sorte de loquet qui, quand il l’activa, créait d’étranges choses sur l’objet. Il se mettait à s’agiter tout seul, comme si il avait sa vie propre.

Il posa l’objet sur le lit, et se remit à jouer de la langue sur la fente de cette putain. Puis d’un coup de langue rapide, il remonta jusqu’à son anus et après une ou deux léchouilles, il se stoppa à nouveau, et ordonna à la fille aux cheveux de parme de se coucher sur le dos. Il prit l’objet, mit le loquet, et, il le fit remonter lentement, commençant par lui titiller l’anus avec l’objet, remontant le long de son intimité, très lentement, avant de le rentrer d’un coup sec et de le ressortir juste après. Grâce à cela, il était largement lubrifié, et il passerait partout. Il remonta lentement jusqu’à sa bouche.

A ce moment, il s’assit à cheval sur son bassin. Oui, il était lourd, mais ça il n’en avait rien à carrer. Lui pinçant le nez jusqu’à ce qu’elle ouvre la bouche, il lui dit :

« Allez hop ! Ouvre-moi ça bien grand, que je te donne un cadeau. » Un sourire naquit sur son visage, accompagnant ses yeux lubriques. »

Ainsi il lui forçait la main, même si elle ne voulait pas le prendre, elle finirait par manquer d’air, et ouvrir la bouche. Et dès que cette bouche s’ouvrit, il y fourra l’objet aussi loin qu’il le pouvait, sans retirer la fonction de vibrations. Puis, pour le maintenir, il enleva sa ceinture et bloqua l’objet dans sa position en l’empèchant de sortir, entourant la tête de la jeune femme au niveau de la bouche et faisant un nœud. Sensation peu agréable sans doute encore une fois, mais il s’en foutait. Il se rassit sur son bassin et lui donna un nouvel ordre.

« Donne moi du plaisir avec la main, quand à l’autre, et bien, je veux que tu l’enfonce lentement dans ton anus d’abord un doigt, puis deux, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’ils y soient tous. »

Pour faire bonne mesure, lui faire comprendre qu’il n’attendrait pas, il fit comme avec les chevaux, il serra les genoux le long de ses côtes, et donna un léger coup de talon qui se trouvaient au somment des cuisses. Il se releva juste un peu pour qu’elle puisse tendre le bras et aller faire ce qu’il lui demandait s’asseyant sur le bras, il n’avait rien à carrer de la douleur qu’il lui procurait, attendant que son autre main se mette au travail sur son outil.

10
Le quartier de la Toussaint / Re : Perdu dans un nouveau monde[PV adia]
« le: lundi 15 novembre 2010, 13:00:20 »
Une fois ceci fait, je me met à psalmodier ce qui me sort par la tête. C'est alors qu'une voix se fit entendre, c'était la police ? Un ancien proprio ? Il était hors de question de rester dans le coin plus longtemps, je me mis à courir vers le toit, là-bas il y avait un petit conduit qui permettait de sortir de l'entrepôt du côté du poissonnier, mais à cet instant je vis une personne avec un cheval. Je regarde vite fait les environs et me cache derrière une caisse de pièce détaché, essayant de calmer ma respiration qui était trop bruyante, en espérant qu'il ne me repère pas.

La voix s’arrêta. Lui avait il fait peur ?  Sans doute. Lui-même n’était pas très à l’aise, et les yeux dilatés de son cheval montrait que lui aussi avait la trouille. Il se hissa en selle, puis il guida des genoux sa monture à travers la pièce, lentement, afin de ne pas la blesser. La belle alezane obéit sans protester, en jument bien dressée. Lui de son coté, scrutait la pénombre, toujours son arc à la main, et sa flèche armée.

Finalement, n’arrivant à rien, il se pencha sur l’encolure de son coursier et fouilla une des fontes, pour finalement en sortit une torche éteinte. Il la coinça entre sa jambe et la selle, il l’alluma, et rangeant arc et flèches, il brandit le flambeau dans toutes les directions. Cela éclaira assez la pièce pour remarquer un peu de tissu bleu. Il coinça la torche entre sa jambe et la selle, en faisant attention que les flammes ne touchent pas le cheval, il reprit alors son arc, encocha une flèche dont il passa la partie inflammable dans le feu que dégageait la torche.

« Je vous ai vu, sortez maintenant ! Je veux juste rentrer chez moi ! »

Aucune manifestation d’aucune sorte, par conséquent, il décocha la flèche à coté de l’endroit où il avait vu le tissu bleu. La flèche ignée vola et se ficha à une dizaine de centimètres de la personne qui se cachait à cet endroit. Maintenant que l’endroit était éclairé, il mit pied à terre, dégaina sa dague, et s’approcha silencieusement tel une ombre se rapprochant de son corps avec le soleil depuis l’aurore jusqu’à midi.

Il préféra faire le tour des caisses et se retrouva derrière celle qu’il pensait être responsable de son arrivée dans ce lieu étrange. Tout doucement, la point de sa lame vint chatouiller la jeune femme entre les omoplates. Il ne s’agissait même pas d’une femme ! Juste une jeune fille ! Etait elle vraiment responsable de ce fait ? Cela lui apparaissait soudain peu probable. Il écarta sa dague, et lui prenant l’épaule, la fit pivoter sans ménagement, et pendant ce geste, il lui posa juste une question. Mais dans sa voix, on sentait poindre le desespoir. Il ne savait pas ou il était, comment il y était venu, et comment rentrer.

« Où est ce que je suis ? »

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 15 novembre 2010, 00:17:45 »
00h20

Durdur quand même comme façon de faire ! Un sacré coup de poignard dans le dos ! Je compatie !

12
Les terres sauvages / Re : Le voleur attrapé [PV Denna]
« le: lundi 15 novembre 2010, 00:11:45 »
Après la séance de soin et de tendresse, quoique cela le surprenne Val prit peur. Que comptait-elle faire ? A nouveau utiliser son espèce de tige de cuir tressé pour le faire souffrir ? Fort probable. Cela fit remonter sa boule d’angoisse depuis les intestins jusque dans l’estomac. De son regard, elle semblait se demander ce qu’il pourrait encaisser, peut être était elle déjà en train de penser aux futures tortures qu’elle lui ferait subir. Il avait peur. Quoi de plus normale que cette sensation dans ce genre de circonstances. Avec ce qu’il avait subi, il avait déjà e son quota normal de souffrances pour toute sa vie. Mais sa tortionnaire serait sans doute d’un avis différent du sien.

Finalement, elle le laissa se reposer, le laissant sur le lit. Combien de temps cela durerait il ? Peu de temps à son avis. Pas assez pour qu’il puisse reprendre des forces même. Non, il était déjà sous la torture. Son corps en grande partie bandé lui faisait même un mal de chien !  Chaque parcelle bandée était un hymne à la souffrance, une ode à la gloire de la douleur.

Elle se leva et partit prendre une écuelle en cuivre et une cruche d’eau claire. Ne voulant pas lâcher sa main, Val’Arrinian tenta de suivre celle qui pour son malheur restait à ses cotés, mais un léger tapotement sur la main lui fit comprendre qu’il avait l’autorisation de la lâcher, ce qu’il fit avec un empressement non feint. Puis, rendant grâce à tous les dieux de l’univers du fond de son cœur, sentait enfin ce qui pour lui équivalait au plus doux nectar que les dieux puissent lui offrir. Juste ce qui lui fallait, moment de paradis.

Ses lèvres craquelées par la déshydratation et douloureuses à cause de la poussière eurent elles aussi droit à un traitement de faveur. Du bout des doigts, sa geôlière appliqua une sorte de baume, une sorte de graisse soulageant ses lippes à un point tel qu’il en poussa presque un gémissement de contentement.

Quand elle s’éloigna légèrement du lit, il se lova, en position fœtale et commença à piquer du nez. Il l’entendit toutefois retirer ses bottes et sentit les draps se soulever doucement, et un corps chaud s’y glisser, il avait envie de se caler contre, mais il se retint car il savait qui était entrée dans le lit. Qu’espérait-elle de lui ? Pas ça ! Il ne l’avait jamais fait, et il était tellement mal qu’il ne pourrait rien faire, sauf peut être hurler de douleur, et encore, ce qu’il avait bu n’avait pas encore fini de remettre en état sa gorge, ni ses cordes vocales.

Il entendit le zip d’une fermeture éclair glisser. Il se retourna vers elle. Elle avait ôté le haut de sa tenue, dévoilant son corps des épaules à la taille, mettant à nue sans aucune pudeur. Elle avait donc décidé de le faire ? Il en fut effrayé, vraiment effrayé. En plus de lui causer de la douleur, elle allait lui voler ce qu’il considérait comme un gage qu’il donnerait à celle qu’il aimerait. Un peu fleur bleu dans ce monde, mais néanmoins, c’est ce qu’il pensait.

Il la sentit se coller contre lui, il sentait sa poitrine douce et ferme contre les bandages de son torse. Il sentait l’essence de son odeur, mêlée à celle du cuir qui faisait office de seconde peau pour elle. Il sentait sa peau aux endroits qui n’étaient pas bandés. Comment pouvait-elle être aussi douce mais en même temps si repoussante ? Il n’en savait absolument rien. Il sentit ensuite ses mains courir sur ses côtes, pour rejoindre doucement son dos, comme une sorte de prison, une étreinte qui le maintiendrait près d’elle. Puis il sentit que sa tête cherchait un endroit où se caler, dans le creux de son épaule, elle finit par trouver n endroit à sa convenance.

Sentir la respiration douce et calme de la jeune femme le calma lui aussi, sentir sa poitrine se soulever lentement, au rythme des inspirations et des expirations de la jeune femme, commençait à le bercer. Et même si il n’aimait pas cette femme, il fallut remarquer qu’elle était vraiment touchante au repos, comme ça, on aurait presque pu dire qu’elle ressemblait à la douceur incarnée. Mais c’était loin d’être le cas. Il finit par piquer du nez, et pendant qu’il commençait à s’endormir, son bras glissa sur le corps de la jeune femme, et sa main s’immobilisa sur son omùoplate alors qu’il plongeait dans les bras de Morphée, enfin, du moins, dans les bras de denna.

13
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 13 novembre 2010, 11:54:52 »
11h56

Est encore au plumard mais sait que si il ne se lève pas, c'est son ptit frère qui va venir sauter sur son lit.

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Prélude / Re : Un baroudeur pas né de la dernière pluie (Valithé)
« le: samedi 13 novembre 2010, 11:53:04 »


Bon et bien, bienvenu...à moi même !

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Prélude / Re : Agito/Akito (Valithé)
« le: samedi 13 novembre 2010, 02:23:24 »
wilkommen !

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