Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Lili Ivanes le samedi 12 juin 2010, 13:22:25
-
ce jour là lili sortait de l'antre de sa maitresse pour retourner chez elle, le soleil commençait à se coucher et il fallait qu'elle sorte des quartier de la toussain, habillé d'un haut en top avec un décolleté plongeant, une mini jupe comme à son habitude, un petit string, des bas remontant à mis cuisses et des chaussures ressemblant à des rangers. habituellement elle ne rencontrer pratiquement aucun problème dans ces quartier juste quelques allusion salace, mais rien de bien grave.
mais au bout de 10 minutes de marche alors qu'elle était presque sortie de ces quartier mal famé, elle fut bloquer par une bande de loubard, devant elle une armoire à glace de 2 mètres de haut et de chaque coté deux autres individus, moins grand mais baraqué et munie de barre de fer qui bloqué le passage, lili s'arrêta net.
alors mademoiselle... on c'est perdu...
elle à peut être besoins d'aide...
non merci... je sais ou je vais
ah ah ah ... ok mais le passage n'est pas gratuit ma petite...
pris de panique lili commença à reculer et était prête à lancer un sort d'onde de choc, quand elle sentit ses poignet être empoigné et ramener dans son dos.
AAAAAH ... lachez moi noooon...
elle sentit ensuite la froideur du métal sur ses poignets, comprenant que l'on venait de lui passer des menottes, elle fut ensuite retourné et 3 autre personnages était là 2 obèses qui devaient peser dans les 150 kilos chacun et un maigrichon, lili avait de plus en plus peur, menotté elle ne pouvait pas se défendre et avait largement compris les intentions des loubards.
là... doucement ma petite ont vas bien s'occuper de toi cette nuit.
non détacher moi... au secours... à l'aide...
les larmes commencèrent à noyer ses yeux quand elle sentit les main baladeuse des loubards lui toucher les cuisses, les fesses, son entre jambe, ses seins et son dos.
mmmmh qu'elle belle petite...
... arrêter... pitié... laisser moi partir...
mais ses supplication ne servait à rien puisque elle se sentit soulevé et l'armoire à glace la pris sur son épaule comme un sac à patate.
aller ont y vas les gars... ont vas bien s'amuser ce soir ah! ah! ah!...
-
Mach était revenu dans le quartier de la Toussaint, peu de temps auparavant, se disant que s'était l'endroit parfait pour lui pour passer inaperçu parmi tant de brigands. Bien sur la vie n'y était pas rose, mais, cela, il le connaissait bien, et n'avait donc eu aucun mal à s'y habituer. De plus, s'était la zone de la ville, où il pouvait aisément trouver ce qu'il voulait en munitions, explosifs, ou armes, avec les trafics y régnant. D'ailleurs ce soir là, le jeune homme sortait d'un de ses revendeurs, où il avait fait le plein de munitions pour son pistolet seulement, lorsqu'il vit à la périphérie de son champ de vision un groupe de voyou en action.
Il ne comptait pas s'en mêler, pensant dans un premier temps à un regroupement pour une descente sur une bande rivale. En effet, même s'il avait regardé que brièvement le petit groupe, il avait pu discerner huit hommes. Leur tournant alors le dos, et s'apprêtant à s'éloigner, c'est à ce moment là, au premier pas fait, qu'il entendit la voix d'une jeune femme appeler à l'aide. Mach ne l'avait pas vu derrière l'armoire à glace qui leur servait visiblement de leader. Il s'arrêta alors, réfléchissant à ce qu'il devait faire. Intervenir signifiait bien entendu s'attirer des ennuis, mais vouloir les éviter signifiait il pour autant laisser une demoiselle en détresse.
Lâchant un léger soupir, Mach se tourna alors pour faire face à la bande. La brute avait déjà prit la jeune femme sur ses épaules, à la façon d'un sac de pommes de terres, et le reste de sa bande se mit en marche. Il ne fallut cependant pas longtemps pour que le soldat, expert en discrétion se faufilent derrière eux, au moment où ceux ci prenaient la parole. Ceux ci avaient prévu de s'amuser avec la jeune femme, mais, l'homme n'eut pas le temps de finir ses propos, qu'un bruit sourd se fit entendre derrière lui. Lorsqu'il se retourna alors, il put voir que le bruit venait du fait que le corps d'un de ses hommes était au sol, alors qu'un homme dont le corps était dissimulé par une cape se tenait derrière lui
- Et que diriez vous de jouez avec moi dans un premier temps ?
Laissa alors entendre l'homme d'un ton assez confiant et arrogant, alors qu'il lançait un regard froid et menaçant à l'armoire à glace qui portait la jeune femme. Beaucoup aurait d'ailleurs prit son intervention comme suicidaire, puisqu'il était seul et désarmé face à sept bandits armés de diverses armes contendantes, le huitième étant déjà KO étalé sur le sol, dans une position indiquant clairement qu'il avait été prit par surprise. Mach aurait d'ailleurs sans doute put prendre ses camarades de la même façon, mais il avait trouvé plus amusant, et que cela serait sans doute plus défoulant, de les prendre à la loyale, en leur faisant face. Leur compagnon servant donc simplement de mise en garde
-
alors qu'ils marchaient tous en direction de leur planque, les loubard se retournèrent en entendant un bruit sourd d'un corps tombant au sol, alors qu'il c'était tous retournés lili ne voyait rien à ce qui se passait, sa tête était à l'opposer de l'action derrière l'armoire à glace, quand elle entendit un homme parler demandant au loubard si il ne voulait pas jouer avec lui un premier temps.
putain mec... t'es barge...
il à buter Bobi...
et bien messieurs je crois que nous avons un vaillant, montrer lui ce qu'il en coute de jouer les héros...
sur ces mots 5 des loubards s'avancèrent vers Mach, barre de fer et couteaux à la main, il restait l'armoire à glace qui tenait lili et le gringalet en retrait, lili avait juste compris que quelqu'un avait tuer l'un d'entre eux.
-
Mach venait d’éliminer un des brigands s’en prenant à la jeune femme, et avait naturellement attiré l’attention de tous les autres. Il alla même jusqu’à les provoqué, sans pour autant montrer ses mans. Ses adversaires étaient clairement en colère, et leur propos ne tardèrent pas à suivre, et l’exprimer. Au moins, il avait attiré leur attention suffisamment pour que ceux-ci décident de riposter. Mais, ils ne le firent pas tous, puisque seulement cinq des sept hommes s’avancèrent barre de fer à la main. Ceux-ci se rapprochaient d’un pas lent, comme si cela pouvait inquiéter Mach.
Celui-ci ne broncha donc pas, les laissant venir, ce qui lui permettrait de mieux les surprendre, et sans doute leur faire peur quand il passerait vraiment à l’action. Son regard s’était un peu calmé, et suivait la progression de la petite troupe, qui s’était placée en arc de cercle autour de lui, tenant visiblement fermement leur armes de fortunes.
- Ben alors mon gars, on a peur tout à coup ?
- On fait plus le malin tout à coup n’est ce pas ?
Dire certains des brigands se rapprochant de lui pour n’être plus qu’à un mètre. C’est alors que le premier tenta de frapper, puisqu’il semblait avoir la barre la plus longue. Mais l’orientation de son coup vertical était des plus prévisibles, et Mach n’eut aucun mal à l’esquiver, tout en se rapprochant de son assaillant. Sortant alors son poing de sous sa cape, il décocha un coup d’une force assez phénoménale dans le menton de l’homme, qui fut soulevé du sol pour être ainsi projeté quelques mètres en arrière. Un bruit franc avait aussi indiqué à ses camarades que leur compagnon avait surement la mâchoire en miette, alors que ce dernier gisait toujours au sol, le hasard voulant qu’il ait atterri aux pieds de l’armoire à glace.
- Espèce de….
Dit l’un des brigands voulant frapper à son tour, mais Mach était lancé et se trouvait déjà sur lui, attrapant d’une main la barre de fer pour la bloquer, alors qu’il donnait un coup dans l’estomac de la brute. Celui-ci se plia en deux suite à l’attaque, et la douleur lancinante parcourant son abdomen. Le soldat en profita pour forcer sur la barre et le désarma, en jetant le bout de ferrailles à quelques mètres.
C’est alors qu’il ne vit pas venir la barre qui le frappa à l’épaule, la douleur naissante le fit grimacer, mais, il ne lâcha pas un mot, alors que ses assaillants ne cessaient de l’insulter. Mach se retourna alors pour parer le second coup, en empoignant le poignet de l’homme cette fois. Il se servit alors de son élan pour obliger son captif à se déplacer et recevoir le coup suivant de son camarade à sa place. Mais, Mach ne fut pas assez rapide, pour que le coup de barre frappe sa cible en pleine tête, et celle-ci se contenta de briser le bras de son camarade, qui lâcha par la même occasion son arme.
Lâchant alors celui-ci, qui se tint alors son bras meurtri, Mach fonça vers le quatrième assaillant, faisant toujours abstraction de sa douleur à l’épaule, qui au mieux ne ferait qu’un hématome, et au pire, la lui aurait démise. Mais, s’était un soldat entraîné, et donc capable de surmonter cette douleur. Esquivant alors le coup suivant de l’homme qui semblait encore plus remonter d’avoir vu trois de ses camarades mit hors combat, ou du moins partiellement, s’ils parvenaient à reprendre leurs esprit avant que Mach n’en ait finit avec eux, et libérer la jeune femme. Son coup fut un coup de genoux dans le ventre de l’homme, alors qu’il lui passait à côté avant de le pousser d’une main pour qu’il tombe face contre terre au sol.
Le cinquième profita alors du déséquilibre momentané de Mach pour le faucher et l’envoyer au sol dans un rouler bouler de quelques tours. Il avait tout de même suivit ce dernier, pensant le frapper au moment où il se stabiliserait, Mach le surprit en reprenant le contrôle de ses mouvements, et tournant sur lui-même pour faucher les jambes de l’agresseur, qui tomba alors à la renverse, frappant violemment la tête contre le bêton du trottoir. Le déserteur se releva alors, regardant les cinq hommes souffrir le martyre, ou étant simplement inconscient. A croire qu’ils n’avaient jamais vraiment du se battre avant ce jour, surtout que ceux qu’il n’avait à peine que toucher au ventre se le tenait toujours.
- Bon, je suppose que c’est votre tour maintenant ?
Dit il en regardant froidement l’armoire à glace et l’homme freluquet qui se tenait à ses côtés. Il fit quelques pas vers eux, levant sa main gauche à son épaule droite pour se la masser un peu et ainsi atténuer la douleur. De ce fait, il avait aussi découvert une partie de son corps, laissant voir son uniforme militaire, et un couteau rangé à la ceinture de Mach.
-
elle entendait les pas des 5 brigands s'éloigner lentement de leur boss, se demandant qui pouvait bien s'intercaler seule face à ces malfrats.
entendant par la suite les malfrats lui parler et quelques secondes plus tard des bruit de coup sourd de coup tomber, le sons d'une barre de fer qui fend l'air, des hurlement, des insultes, quand d'un coup elle vit un des loubard tomber lourdement au sol prêt de l'armoire à glace, le visage en sang et tomber dans l'inconscience ou mort elle ne le savait pas. encore quelques échange puis plus un bruit, entendant le mystérieux inconnu demander à l'armoire à glace si c'était son tour.
elle se sentie être descendu par les bras puissant du boss, et pousser en direction du gringalet, lili en profita pour se retourner et voir enfin la personne qui était sens doute en train de la sauver.
tiens Teddy, garde la moi au chaud, je vais m'occuper de lui...
ok... ok boss ...
lili vie enfin celui qui allait peut être la sauver, il n'était pas bien grand mais les corps inanimée ou se tordant de douleur prouvait qu'il savait se battre, son sauveteur avait un visage faisant ressortir la souffrance, il n'avait pas du rigoler tout les jours dans sa vie, apparemment c'était en militaire ou un ancien militaire vue les habit qu'il portait, bien musclé vue la taille du bras qui dépassait d'une sorte de cape pour ce masser l'épaule.
le combat entre les deux homme allait bientôt commencer et la peur de lili montait, se demandant comment tout sa allait finir.
-
Après en avoir fini les cinq hommes de mains de l'armoire à glace, Mach se dirigea vers lui, prenant délibérément la parole pour le provoquer. Et cela sembla fonctionner, puisque l'homme à la musculature importante descendit la jeune femme de son épaule, pour la passer, avec une certaine violence à son camarade gringalet. Celui ci, par sa corpulence, ne pourrait donc pas la porter comme son camarade, ne pouvant qu'au mieux la maintenir en place. Pendant ce temps là, son supérieur prit la parole, et s'avança vers l'ex-soldat, pour finalement s'en occuper lui même. Son acolyte, lui n'était pas sur de vouloir rester dans les parages quand il vit l'état de ses camarades.
- Si tu penses en être capable !
Provoqua une nouvelle fois Mach pour s'assurer que son adversaire ne se débinerait pas au dernier moment. Ce qu'il ne fit pas, et lança le premier coup de poing. Bien entendu, l'homme en face de lui l'esquiva assez aisément, surtout que la colère de l'homme rendait ses mouvements plus prévisibles. Mais, le coup suivant, du second poing frappa Mach a niveau de l'abdomen, l'envoyant voler sur quelques mètres.
- On fait moins le malin hein ? Avec moi se ne sera pas comme avec ces gugusse.
Dit l'homme un sourire aux lèvres, montrant clairement qu'il était assez fier de sa force. Mach devait reconnaître, quand force brute, ce dernier devait l'égaler, voir plus, mais, il ne semblait pas avoir de cervelles.
- Cela rend le combat d'autant plus intéressant !
Dit Mach en se relevant assez lentement, sans que son opposant ne cherche à l'en empêcher, comme la logique l'aurait voulu. En effet, frapper un homme à terre aurait été plus simple pour lui, et il n'aurait pas risqué de regretter de ne pas l'avoir fait finalement. Mach s'avança alors vers l'armoire à glace plus déterminer, et frappa, en échouant, car visiblement son adversaire était aussi habile que fort. Ainsi, les échanges de coups se firent sans qu'aucun ne parviennent à toucher l'autre jusqu'au moment où Mach fit une feinte, et attrapa le bras de l'homme pour l'immobiliser avant de lui faire perdre l'équilibre en frappant dans une jambe.
L'armoire à glace se retrouva alors à genoux devant le soldat qui d'un violent mouvement rapide et sec, cassa le bras qu'il tenait toujours en le tordant violemment dans le dos. S'en suivit un coup de pied dans le dos, qui fit basculer le loubard face contre terre
- Alors, tu en as assez ? Et toi le gringalet, si tu ne veux pas subir le sort de tes camarades, tu devrais peut être lâcher cette femme et en profiter pour filer, car tu es le prochain, tu sais ?
Dit Mach, à l'attention de l'armoire à glace dans un premier temps, avant que son attention se tourne vers le dernier homme des brigands, qui retenait prisonnière la demoiselle. Son regard à lui était d'ailleurs emplie de peur, alors que Mach le regardait assez méchamment pour le forcer à siller et s'enfuir à toute jambes.
-
voyant l'armoire à glace avancer vers l'inconnue bien décidé à lui faire payer ce qu'il venait de faire à ces hommes, donnant un premier coup de poing dans l'air puisque son sauveur l'esquiva, mais le second coup atteint l'estomac et lili vit son sauveur être projeté à quelques mètres de là et atterrir lourdement au sol, elle avait mal pour lui.
non... laissez le!!!
ferme là garce, le boss vas lui régler son compte... ah! ah! ah!
voyant son sauveur se relever avec difficulté, une fois debout plusieurs coups s'enchainèrent, jusqu'au moment ou l'inconnu attrapa le bras du chef des brigands dans son dos et qu'il lui cassa, entendant bruit sourd d'os briser, l'armoire à glace crier autant qu'il le pouvais sa douleur mais les coups de pied qui suivirent le firent taire.
le sauveur se tourna alors vers le gringalet en lui demandant de partir avant qu'il ne s'occupe de lui, ce qu'il fit s'en attendre détalant aussi vite qu'il le pouvait, laissant lili avec les menottes aux poignet.
hey... attend les menottes!!!
mais celui ci avait déjà tourner au détour d'une ruelle, lili se retourna donc vers son sauveur, un peut apeuré de ce qui venait de se passer.
merci monsieur... d'être venue à mon secours, je ne sais pas se qui me serait arriver si vous n'étiez pas intervenue.
bien sur elle savait se qu'ils avaient l'intention de faire d'elle, mais il ne valait mieux pas donner des idées, elle ne le connaissait pas et même si il lui avait sauver la vie, sa ne voulait pas dire qu'il lui voulait du bien.
j'espère qu'il ne vous ont pas fait trop mal?
dite moi vous pourriez les fouiller l'un d'eux doit avoir les clef des menottes, en espérant que se ne soit pas le gringalet qui est partie avec.
-
Durant le combat qu'avait livré Mach face à l'armoire à glace, le soldat avait entendu la jeune femme se défendre, et prendre la parole pour tenter de le protéger. Bien sur, cela n'avait rien changé, mais, un sourire était apparut sur le visage de l'homme, lorsqu'il se redressait. La captive s'inquiétait pour lui, alors qu'il n'y avait pas de raisons de s'en faire. Après tout celle ci aurait pu tomber entre des mains encore plus dangereuses. Mais, cela eut pour effet de motiver un peu plus Mach, qui ne tarda pas à prendre le dessus sur son opposant. Il lui cassa finalement un des bras avant de le mettre par terre, le rouant de coup suffisamment de coup pour qu'il ne se relève pas.
C'est ainsi que le combat se termina, puisqu'après s'être débarrassé de leur chef, le dernier membre du gang ne tarda pas à accepter la suggestion de Mach et détaler à grand pas, laissant leur proie derrière elle. Celle ci semblait en tout cas avoir reprit de la bête, puisqu'il ne lui fallut pas longtemps pour prendre la parole en se tournant vers le fuyard, lui réclamant les clefs des menottes en vain. Laissant donc cette idée de côté, elle se retourna vers le jeune homme qui l'avait sauvé avant de le remercier et dire qu'elle n'aurait pas su ce que le groupe de brigands comptait faire d'elle. Sur ce dernier point, Mach doutait qu'elle ne le sache pas, puisqu'il était assez évident que ceux ci allaient sûrement profiter de ses charmes. Et même lui l'avait comprit. Il lui sourit donc avant de répondre.
- De rien. Alors là, allez savoir ce qu'une bande d'hommes en rut peut avoir en tête ?
Répondit-il d'un sourire amusé, alors qu'il se rapprochait d'elle dans le but de la libérer. Bien qu'il n'avait pas les clefs, il avait une idée de comment se débarrasser des menottes. Mais avant qu'il ne pu l'appliquer, la jeune femme reprit la parole pour lui demander comment il allait, puisqu'il avait prit un coup tout de même, voir deux. Avant d'enchaîner sur la demande, s'il pouvait s'occuper de fouiller les corps de brigands étalés sur le sol dans le but de trouver la clef, en espérant que cela ne soit pas le gringalet qui l'ait. Mach en doutait, et pensait plutôt que se serait le leader qui aurait ce genre de chose. C'est pour cela, qu'il revint sur ses pas pour s'accroupir aux côtés de l'homme, laissant apparaître l'étui de son pistolet partiellement visible par l'absence d'une partie de la cape sur cette zone du corps, vu ce que Mach était en train de faire.
- Ne vous inquiétez pas, je risque jusque d'avoir quelques hématomes, mais, rien de bien sérieux....
Dit il ne finissant pas sa phrase, puisque ce qu'il s'apprêtait à dire se retrouvait à présent inutile, puisqu'il venait de s'emparer des clefs, et se redressa donc. Il se dirigea alors vers la jeune femme, et y passa dans le dos pour pouvoir la libérer des étreintes des menottes. Cela ne prit que quelques instants, et il laissa celles ci tomber au sol, avant de les ramasser, se disant que cela pourrait lui servir après tout, surtout avec la clef allant avec. Ainsi, il les accrocha à sa ceinture, pendant que la jeune femme se massait les poignets de nouveaux libres.
- Au fait que fait une jeune fille dans un quartier si peu fréquentable en plein milieu de la nuit ?
Demanda t il calmement, portant de nouveau son attention sur la jeune femme qu'il venait de libérer de l'emprise de ses ravisseurs.
-
l'entendant répondre à ses remerciements et sous entendre les intentions des brigands, il ne fallait pas être dupe pour savoir ce qu'ils avaient l'intention de faire à lili.
elle le vit s'approcher alors qu'elle venait de lui demander de fouiller les poches des brigands à la recherche de la clé des menottes, elle le vit s'arrêter et se retourner fouillant les poches de l'armoire à glace tout en lui répondant qu'il n'allait avoir que quelques hématomes, lili remarqua alors qu'il venait de s'accroupir, qu'il avait à sa ceinture un étui de revolver, était-il armé? dans ce cas pourquoi ne l'a-t-il pas utilisé contre les loubards? une question très étrange que ce posait lili.
mais elle vit celui ci se relever et s'approcher pour passer dans son dos et défaire enfin ces menottes qui lui faisais mal aux poignets.
merci.
enfin les menottes enlever lili se massa les poignet quelques minutes, écoutant la question de son sauveur qui lui demander ce que faisais une jeune fille dans un quartier si peut fréquentable en plein milieu de la nuit, lili massa toujours ses poignet et regardant le sol lui répondit.
je... rentrais de chez une copine et... voyant l'heure j'ai voulut couper par ces quartiers pour... éviter de faire un détour.
sa réponse était hésitante, ramenant son regard sur le visage de son sauveur à la fin de sa réponse, pas certaine de ce qu'elle devait lui répondre, mais elle ne pouvait pas lui dire qu'elle sortait de l'antre de sa maitresse qui lui apprenait les joie de la luxure et la magie noir.
espérant que celui ci ne se doute de rien au mensonge qu'elle venait de lui dire, elle enchaina.
bon et si nous sortions de ce quartier avant que d'autre malade ne débarque... marchons ensemble...
finissant en lui faisant un large sourire, alors qu'il se mettait en route lili lui demanda.
et vous que faisiez vous dans ce quartier en plein milieu de la nuit?
-
La bagarre était terminée, et Mach venait de libérer la jeune femme de l'emprise de ses menottes. Il n'avait d'ailleurs pas gardé le silence, et poser une nouvelle question à la demoiselle, qui le remerciait de nouveau. En effet, ce n'était pas prudent pour une jeune femme, surtout quand elle aussi jolie, de se promener seule dans un quartier si peu fréquentable. Celle ci avait alors répondu qu'elle sortait de chez une copine, et qu'elle avait boulu prendre un raccourci pour rentrer chez elle. Ce qui montrait qu'au moins, elle connaissait le danger du secteur, mais ne l'avait tout de même pas assez prit au sérieux, pensant sans doute qu'elle parviendrait à échapper aisément aux brigands.
Puis, le regard des deux personnes se croisèrent à nouveau, quand l'ancien soldat revint devant elle. Le visage de Mach était redevenu calme, et on n'aurait sans doute jamais pensé qu'il avait été l'auteur de ce carnage à lui tout seul, et sans se servir de ses armes. Il n'avait pas cherché à savoir, si la demoiselle lui avait mentit ou non, bien que sa voix parue un peu hésitante. Mach avait mit cela sur le stress que venait de subir celle ci. La seule question qu'il se posait été quelle genre de copine celle ci pouvait avoir dans ce quartier ?
La jeune femme reprit alors la parole pour suggérer de se mettre en route avant que d'autres brigands ne se manifestent. En effet, cela pouvait être un risque si l'homme qu'ils avaient laissé filer allait chercher d'autres camarades, et revenir encore plus nombreux pour s'opposer à Mach. Bien qu'il faudrait être stupide pour penser le trouver encore là une fois qu'il aurait pu trouver du renfort. La dame avait donc proposé de marcher ensemble, sans doute aussi pour que l'ancien soldat lui servent de garde du corps pendant le trajet.
- Vous avez raisons, mieux ne vaut pas trainer là. Qui sait ce qui peut nous tomber dessus, sans compter que bien que sonner, ceux là pourraient se relever aussi.
Dit l avant de lancer un regard à la bande d'homme couché sur le bitume, et en sale état. En tout cas, ils se mirent en route côte à côte, alors que la demoiselle lui souriait, comme si à présent, toutes craintes s'étaient envolées. Elle ne tarda pas à reprendre la parole d'ailleurs, demandant ce que son compagnon à présent, venait faire dans ce quartier.
- Disons que je suis venu faire quelques emplettes d'objets qu'on ne peut trouver qu'ici.
Dit il calmement, alors qu'ils arrivaient déjà dans une rue bien plus fréquentée et donc plus sûre que celle où il se trouvait. Il se demanda d'ailleurs comment il pourrait continuer la conversation, sans qu'il n'aborde des sujets qui pouvaient gêner sa camarade. Lui n’était pas entré dans les détails, pour ne pas non plus effrayé de nouveau la jeune femme, qui aurait sans doute paniqué, s’il lui avait dit, qu’il était allé acheter des munitions, et ainsi se trouver placer dans la catégorie dans les méchants de tout à l’heure.
-
alors qu'il continuaient de marcher cote à cote, le sauveur répondit à sa question en lui disant qu'il était dans ce quartier pour faire des emplettes que l'on ne pouvait trouver que dans ce quartier, lili se demandait bien qu'elle genre d'objet il avait bien put venir acheter ici, vue la mauvaise fréquentation de ces quartiers sa ne pouvait être que des armes ou de la drogue.
peut importe ce qu'il était venue faire ici, il lui avait sauver la vie ou du moins éviter de passer une mauvaise soirée à se faire labourer sans ménagement, sortant enfin de ces quartier glauque, lili en voulut en savoir plus sur ce mystérieux sauveur, voyant que celui ci n'avait pas l'air de vouloir pousser la discutions, elle pris les devant.
tiens au fait avec toute cette mésaventure, je ne me suis pas présenté, moi c'est lili...
lui dit-elle tout en le regardant et lui faisant un grand sourire, la manière qu'il avait eu de mettre ces loubard au tapis l'intriguait aussi, ce n'était pas couramment qu'elle voyait un homme se battre, surtout pour elle.
ou avez vous appris à vous battre de la sorte monsieur?
mais à force de marcher, ils arrivèrent en face de la maison de lili, s'arrêtant au portillon ou l'on voyait un petit jardin avant de pouvoir atteindre la porte d'entrée, lili se retourna face à Mach.
voilà c'est ici... nous sommes arrivées...
alors qu'elle voyait que son sauveur était près à s'en aller, elle ne put s'empêcher de vouloir le remercier en lui offrant au moins quelques choses à boire avant qu'il ne reparte.
... euh... vous voulez rentrer quelques minutes pour vous désaltérez?
c'est le moins que je puisse faire après être venue à mon secours.
-
Le duo nouvellement formé après le sauvetage de la jeune femme, se dirigeait vers la sortie du quartier de la Toussaient, et donc une zone bien plus calme et sure pour la demoiselle. En effet, pour lui qu'il soit à un endroit ou un autre, cela ne changerait rien à sa situation. Mais, il se gardait de répondre de façon exhaustive aux questions de la demoiselle, devenue bien plus gaie à présent, comme si ses péripéties n'étaient qu'un vieux souvenir. Ainsi, lorsqu'ils arrivèrent dans le quartier un peu plus chic, comme le montrait l'entretien des rues et l'éclairage bien plus lumineux de celles ci. Lili prit alors la parole pour se présenter, faisant un grand sourire à Mach, regardant ce dernier comme si elle cherchait à scanner chaque élément de son corps, grandement dissimulé par sa cape.
- Enchanté Lili, moi s'est Mach.
Répondit-il calmement, sans que la jeune femme ne puisse vraiment savoir s'il avait répondu à son sourire ou non. Cela ne l'empêcha pas de poser une nouvelle question, visant à savoir cette fois où il avait pu apprendre à se battre comme il l'avait fait face à la bande de brigands.
- Ma tenue ne te donne pas une petite idée ? Enfin, je pourrais dire sans trop exagérer, que s'est mon passage dans l'armée qui m'a apprit à me battre. Même si contre ces gugusses, je dirai que cela revenait plutôt à un entraînement léger.
Répondit il calmement, cette fois ses propos accompagnés d'un sourire, comme s'il voulait que la demoiselle conserve quelques doutes sur la véracité de ses propos. Mais au bout d'un moment, le tandem arriva devant une maison avec un petit jardin devant. Celle ci semblait assez bien entretenue, et en s'arrêtant devant le portillon, Lili prit la parole pour dire qu'ils étaient arrivés.
- Et bien, je crois que je vais pouvoir vous....
Commença t il à dire, avant que la jeune femme ne l'interrompe pour l'inviter à entrer. En effet, elle lui proposa de venir se désaltérer en guise de remerciement. Elle bafouilla d'ailleurs un peu, par peur que Mach refuse sans doute.
- Cela ne sera pas de refus, et puis, je ne veux pas non plus que vous pensiez avoir une dette en vers moi, si je refusai cette façon de me remercier.
Dit il calmement attendant maintenant que la jeune femme l'invite véritablement à entrer. Il rajouta tout de même pour ne pas que la demoiselle se méprenne.
- En plus vous êtes d'agréable compagnie, alors profitons en pour discute un peu plus.
-
son sauveteur s'appelait donc Mach comme il lui avait dit et il avait appris à se battre à l'armée, lili se traitant intérieurement de sotte puisqu'elle aurais du s'en douter vue les habit qu'il portait, entendant Mach lui dire que ces loubards n'était qu'un entrainement léger, alors qu'elle lui avait proposer de le remercier en lui proposant un boisson rafraichissante, celui ci ne refusa pas disant qui ne voulait pas qu'elle est une dette envers lui si il refusait cette offre, enchainant en la flattant qu'elle était d'agréable compagnie et qu'il voulait en profiter pour discuter.
lili ouvrit alors le petit portillon du jardin, satisfaite qu'il accepte, l'invitant à la suivre.
je vous en prit Mach suivez moi...
celui ci marchait derrière elle, sentant sa présence et ces bruits de pas, arrivé à la porte d'entrée, elle sortie ses clés et l'ouvrit, rentrant tout d'abord.
allez y rentré...
une fois rentré elle referma la porte à clé juste derrière.
enlever votre cape et installez vous dans le sofa...
alors qu'elle se dirigeait vers la cuisine.
qu'est ce que vous voulez boire?
-
Quand Mach répondit à la question de celle qui allait devenir son hôte pour quelques instants, ne sachant pas combien de temps il allait rester, Lili prit un air hébété, comme si la question qu'elle venait de poser avait eu une réponse évidente dans la tenue que portait Mach. En tout cas, cela fit sourire le jeune homme alors que la demoiselle ouvrait la porte de sa demeure et l'invite à la suivre. Et bien qu'il aurait pu se faire discret, dans le sens où ses pas n'auraient produits aucun son, il ne le fit pas, se disant que cela aurait peut être inquiéter Lili si elle avait noté la nuance. Cela aurait sans doute pu même la surprendre, quand en se retournant pour s'assurer de sa présence, elle l'aurait tout de même vu face à elle.
Une fois rentré dans la résidence de la jeune femme, suivant toujours ses requêtes, ou invitations, puisqu'elle ne les dit pas sur le ton de l'ordre, Mach retira sa cape pour la pendre au porte manteau présent dans le Hall. Il décida aussi de se désarmer, puisqu'il n'avait pas de raisons précises de craindre quoi que se soit de la jeune femme, ou du moins rien qui ne nécessite un port d'armes. Puis, alors qu'il se dirigea vers le salon, Lili allait vers la cuisine avant de se tourner vers lui pour lui demander ce qu'il voulait boire.
- La même chose que vous me conviendra très bien :
Dit il en regardant la jeune femme qui lui tournait à présent le dos, et il devait avouer qu'il la trouvait jolie. Mais, il se contrôlait assez pour ne pas laisser paraître l'excitation qu'il aurait pu avoir. Une fois dans le salon, et attendant qu'on le serve, Mach était resté debout et contemplait la décoration.
- Vous vivez toute seule dans cette maison ?
Demanda t il, continuant son inspection. Mais, il avait levé légèrement la voix pour s'assurer que malgré la distance Lili l'entende, et puisse lui répondre.
-
alors qu'elle l'avait vue enlever sa cape et ces armes pour les pendre au porte manteau, elle pouvait maintenant contempler ces bras musclé avec les qu'elle il c'était débarrasser des loubards, alors qu'elle lui avait demander ce qu'il voulait boire, celui ci lui avait répondu qu'il prendrait la même choses qu'elle.
se retournant, rentrant dans la cuisine et aller jusqu'au frigo, qu'elle ouvrit pour en sortir du jus d'orange frais, le posant sur la table, pour ensuite se diriger vers une des commodes ou ce trouver les verres et en prendre deux pour eux aussi les poser sur la table, alors qu'elle remplissait les verres, elle entendit la voie de Mach lui demander si elle habitait seule dans cette maison.
alors qu'elle avait fini de remplir les verres elle en pris un dans chaque main et revenue dans le salon, voyant que Mach était rester debout, elle lui tendit le verre et lui répondant.
tenez, c'est du jus d'orange.
non je n'habite pas seule ici, je suis beaucoup trop jeune pour avoir mon propre chez moi, c'est la maison de mes parents, mais il ne sont pratiquement jamais là.
lili se dirigeant vers le sofa et si assis, prenant un gorge de sa boisson, était encore un peut jeune et elle ne pensait pas encore à serrer ou croiser les jambes en présence d'autre personne, si bien que là elle avait les jambes quelques peut écarter et de là ou se trouvait mach, il pouvait facilement voir le string de lili et son entre jambe, sa mini jupe ne cachant pas grand choses une fois assise, elle continuer tout de même de l'interroger.
vous pouvez vous asseoir...
lui dit-elle avec un sourire, alors qu'il avait l'air de se demander si il devait s'asseoir ou non elle commença à la questionner.
... et sinon combien de temps vous avez passer à l'armée?
alors qu'elle reprenait une gorger de sa boisson, elle enchaina.
vous êtes fort, courageux et habile, peut d'homme aurais eux le courage de venir aidé une femme dans ce genre de quartier, ils y en à même qui auraient payer le chef des brigand pour pouvoir participer au festivité...
lili c'était griller toute seule en lui disant sa, alors qu'elle avait dit plus tôt qu'elle ne savait pas du tout ce qu'ils comptaient lui faire, là elle avait quand même dit ouvertement qu'elle savait très bien ce qu'il allaient lui faire mais en plus qu'elle connaissait assez bien le quartier pour connaitre les activité qui si déroulé, bien sur qu'elle savait ce qui se passait dans ces quartier puisqu'elle dormait des fois chez sa maitresse et pouvait entendre la nuit des cries de femme se faire sauvagement violer par des brigands ou des gangs. essayant de se rattraper sur ce qu'elle venait de dire en espérant qu'il n'y face pas attention.
... euh... je veut dire que... et sinon qu'est ce que vous contiez faire ce soir si vous ne m'aviez pas sauvé?
lili fini son verre de jus d'orange en écoutant les réponses de Mach.
-
Lili s'occupait de préparer les boissons, alors que Mach était resté debout, la regardant faire, ou tournait son attention sur la décoration, jusqu'au moment où elle revint face à lui, avec les verres, remplit de jus d'orange. Elle en profita alors pour répondre à sa question, lui expliquant qu'elle vivait chez ses parents, mais qu'ils n'étaient jamais là où presque. Ce qui laissa l'ancien soldat se demander ce que pouvaient bien faire ceux ci pour laisser leur charmante fille se débrouiller toute seule. Surtout que Seikusu, d'après ce qu'il en avait vu depuis son arrivée était loin d'être une ville sûre.
- Ah bon, je suppose que vous en profitez bien en tout cas ?
Commenta t il alors, sans arrières pensées, mais pensant plutôt au fait que la jeune femme devait souvent inviter des copines à la maison, voir y faire des fêtes. Puis, elle s'assit sur le sofa et l'invita à faire de même. Mais comme à ce moment là, il se trouvait en face d'elle, et bien que ce n'était pas son intention, Mach put voir le string et l'entrejambe de Lili puisqu'elle n'avait pas prit l'initiative de croiser les jambes. Etait ce volontaire ou non ? Mach ne le savait pas, et ne chercha pas à le savoir d'ailleurs, alors qu'il la rejoint, s'asseyant à ses côtés, perdant donc cette vue, dont il ne se montra pas gêné, ou le cacha suffisamment bien pour ne pas inquiéter la jeune femme.
Ainsi, il fut soulagé quand elle le questionnant, puisque cela signifiait qu'elle n'avait rien remarqué, sans savoir si elle jouait l'aguicheuse volontairement ou non toujours. Cette fois, elle voulut savoir combien de temps le jeune homme avait passé en temps que soldat. Il prit une gorgée de sa boisson avant de répondre.
- Pour dire vrai, j'ai rejoints les rangs de l'armée à six ans. Mes professeurs à l'orphelinat pensaient que cela serait un bon moyen de faire sortir mon surplus d'énergie, sans compter que cela leur permettraient d'avoir enfin la paix.
Répondit il avec un sourire amusé, expliquant ainsi qu'il avait été loin d'être un enfant de cœur. Elle avait d'ailleurs apprit qu'il était orphelin, et outre l'âge de son intégration, cela pourrait aussi être une raison de la voir surprise, chose à laquelle il s'attendait un peu quand même, comme pour beaucoup de personnes à qui il l'avait dit. Et ce n'était pas un secret, et il n'avait aucune honte ou gêne à en parler.
Mais à peine eut il finit de parler, et boire une nouvelle gorgée, que la jeune femme reprenait la parole pour le complimenter, ce qui le fit sourire, avant que la suite, ne le fasse réaliser que celle ci lui avait finalement caché qu'elle savait très bien ce qui allait lui arriver, mais bon, ce n'était pas sorcier à comprendre non plus, et jouer celle qui ne le savait pas, pouvait aussi aider à passer à autre chose.
- Ce que je comptais faire ? Et bien, vu l'heure trouver un endroit tranquille où dormir je suppose !
Répondit il calmement, décidant de ne pas revenir sur le sujet de l'agression pour éviter de troubler davantage Lili, qui avait réalisé toute seule qu'elle s'était piégée elle même, vu l'hésitation qu'elle eut sur ses dernières paroles. Alors qu'il finissait son verre à son tour, quittant l'appui du dossier pour poser ce dernier sur la table basse.
-
alors qu'elle l'entendait enchainer une autre question après qu'elle lui est répondu qu'elle vivait pratiquement toute seule dans cette maison, mach lui demandant avec surprise qui supposait qu'elle devait bien en profiter dans ce cas là. lili un peut gêné ne comprenait pas le sens de sa question, qu'entendait-il par en profiter? alors qu'elle se remémorait la nuit passer avec la petite Abie, avec ces oreilles de lapin et son énorme sexe, ou bien le jour ou elle voulut ramener à la vie un pauvre chien mort dans son jardin, ou elle avait fait la rencontre de Kira.
prenant un instant pour répondre et s'évader de ses souvenir qui commençais à l'exciter à force de se les remémorer, elle lui répondit un peut hésitante.
heu... oui j'en profite... pour étudier et amener quelques copine le week end...
alors qu'elle lui posa la question à savoir combien de temps il avait passer à l'armée, celui ci lui répondit avec un sourire amusé qu'il avait rejoins les rangs de l'armée à l'age de six ans, c'était ces professeurs à l'orphelinat qui l'avait envoyer là bas puisque apparemment c'était un enfant surexcité.
être envoyer à l'armée aussi jeune n'a pas du être facile pour lui, en plus orphelin, il n'avait rien pour lui, ces aveux chagrina un peut lili qui regretta d'avoir poser la question.
ah... je suis désoler de vous avoir poser cette question... tout ces souvenir doivent vous mettre mal à l'aise...
mais mach la rassura desuite en lui disant qu'il n'avait aucune honte ou gêne d'en parler, ce qui rassura lili qui lui reposa une question juste derrière à savoir ce qu'il comptait faire si il ne l'avait pas sauver.
mach lui répondit que vue l'heure qu'il était il se serait mis à la recherche d'un endroit ou dormir, le pauvre jeune homme n'avait pas d'endroit ou dormir, lili se dit qu'elle pouvait bien lui offrir un lit pour la nuit après ce qu'il avait fait pour elle et sans hésiter elle lui demanda.
et bien vous n'avez plus besoin de chercher, je vous offre un lit pour la nuit, je vous doit au moins sa, en plus il est déjà tard, aller accepté... accepté...
lui demanda-t-elle en venant lui prendre sa main entre les siennes
-
Mach était donc chez Lili et discutait avec elle. L’ayant d’abord questionné sur sa maison, et le fait qu’elle profite de l’absence de ses parents pour s’amuser, la laissa un peu hésitante, comme si elle avait interprété de travers le commentaire, alors qu’il n’avait pensé qu’à quelques jeux et fêtes entres copines. C’est d’ailleurs la réponse qu’elle apporta avant d’écouter une partie de l’histoire et s’en trouver désolé, bien qu’il lui avait fit qu’il n’y avait pas de problèmes avec cela. Mach n’était pas du genre à s’apitoyer sur son sort ou son passé, tout comme il ne pensait pas à son avenir.
Quand à la réponse qu’il avait fournie sur ce qu’il comptait faire s’il ne l’avait pas sauvé des griffes de ces brigands, elle ne tarda pas à répondre, d’un ton plus assuré cette fois, qu’il n’avait plus besoin de chercher un lieu où dormir. En effet, revenant encore une fois sur cette question de dettes pour lui être venue en aide, Lili lui proposa de dormir chez elles ce soir là, en guise de remerciement.
- Ce n’est pas nécessaire, je ne veux pas vous importunez…..
Commença t il à dire en guise de réponse, malgré l’insistance des propos de la jeune femme. Mais, il ne finit pas sa phrase, quand elle vint prendre une de ses mains entre les siennes. Il sentit alors la peau douce des petites mains de la demoiselle, qui avait une main plus fine et délicate que lui en tout cas. Sans compter qu’elles n’avaient pas connu la même rudesse de vie et le même entretien.
- … D’accord, mais je veux être sur que je ne vous dérange pas ? Que direz vos parents s’ils venaient à rentrer sans que vous ne le sachiez et me trouvait ici ?
Il se ferait certainement des idées sur leur relation, cela n’en faisait aucun doute. Et leur colère serait surtout dirigée vers leur fille, puisque le soldat les impressionnerait sans doute trop pour qu’ils cherchent la provocation. Et même si une fois encore, il venait à prendre sa défense, il doutait que ceux-ci décident de le croire si facilement.
-
alors que Mach semblait tout d'abord hésitant à accepter l'invitation de lili à rester dormir, son attitude changea radicalement lui demandant si vraiment sa ne la dérangeait pas et si au cas ou ses parents rentreraient pendant la nuit, ce qu'elle leurs dirait comme explication par rapport à sa présence ici.
lili toute contente qu'il accepte son invitation lui répondit avec un grand sourire au lèvre.
non rassurez vous mach vous ne me déranger pas et si mes parents revienne pendant la nuit et qu'il vous trouve je leurs expliquerais se qui c'est passer, que vous m'avez sauver des griffes de brigands qui me voulait du mal, je suis sur qu'ils comprendront.
alors que lili regarda l'heure.
bon il se fait tard, venez je vais vous montrez ou vous dormirez.
alors qu'elle traverser le salon, elle l'amena jusqu'à sa chambre, alors qu'elle arriva prêt de son lit, elle se pencha en avant prenant quelques choses sous son lit, mais la manœuvre offrit une nouvelle fois une vue imprenable sur les fesses de lili dont la jupette ne cachait pas grand choses et Mach pouvait aisément voir les petite fesse de lili avec son string qui lui rentrait dans la raie, elle tira vers l'extérieur pour sortir de sous son lit un matelas, ce matelas servait quand son amie Kira venait dormir chez elle et donc celui ci était imprégner de l'odeur de lili ainsi que son amie, plaçant donc le matelas entre le lit et la porte d'entrée de la chambre, elle se tourna vers Mach.
voilà vous dormirez là... bon si vous voulez prendre une douche, aller y, c'est cette porte.
lui dit-elle en montrant une porte qui se trouvait dans la chambre elle même.
-
La réponse que donna Mach à l’invitation de la jeune femme sembla ravir cette dernière, vu la façon dont elle se mit à sourire avant de répondre à sa remarque. Selon elle, il n’y avait rien à craindre, que ses parents arrivent pendant la présence du jeune homme ou non. Pour sa part, il pensait que se ne serait pas aussi facile, mais poursuivre le sujet aurait été vain et la regarda se lever avant de l’entendre lui dire qu’elle allait le conduire à sa chambre. A ce moment là, il pensait qu’il allait dormir dans une chambre d’ami, si bien que lorsqu’ils atteignirent leur but, il ne fit pas plus surprit que cela par la décoration de la chambre.
Par contre, ce qui allait suivre n’allait pas manquer de le surprendre. En effet, la demoiselle se pencha en avant sans aucune pudeur, ayant visiblement oublié la tenue qu’elle portait qui rendait pleinement visible ses fesses et son sous vêtements, même si dans le cas présent, s’était à peine si on le voyait, puisqu’il s’agissait d’un string. Mach ne put s’empêcher de rester quelques seconde sur cette vue des plus splendides, et cela commença même à l’exciter. Il n’avait donc aucun mal à imaginer comment les brigands s’étaient laissé tenter.
- Vous devriez faire lus attention quand vous vous baissez, surtout quand un homme se trouve juste derrière vous, et que votre tenue ne cache pas grand-chose !
Ne tarda t il pas à commenter, alors que Lili était en train de sortir un matelas de sous le lit. Il réalisa donc qu’il se trouvait dans la chambre de la demoiselle au moment où celle-ci lui dit qu’il dormirait là et que ‘il voulait se doucher, il pourrait emprunter la porte conduisant à la salle de bains.
- Dites, s’est votre chambre, non ? Ce n’est pas forcément des plus convenable pour une jeune femme d’inviter un homme qu’elle vient à peine de rencontrer à dormir dans sa chambre !
Qui aurait pu douter que Mach se montrerait aussi courtois quand on le voit ? S’était aussi une façon dérivée de calmer ses propres ardeurs, pour ne pas tomber aussi bas que les brigands précédents, en se rappelant sans cesse les règles de bonnes conduites. Sans compter que Lili semblait être mineure en plus.
- Par contre, je ne refuserais pas la douche, après avoir transpiré comme je l’ai fait.
Dit-il pour réduire un peu l’effet de ses propos précédents aussi. D’ailleurs, il ôta son tee-shirt, révélant par la même occasion son torse assez bien dessiné malgré quelques cicatrices de ci de là. Mais, la seule chose qu’il se permit de retirer alors fut ses chaussures, alors qu’il attendait la réaction de la jeune femme avant de se diriger vers la salle d’eau, où il lèverait le reste. On pourrait penser qu’il vient à se contredire lui-même, mais se montrer torse nu devant une femme n’avait pas forcément la même signification ou les mêmes ressentis chez les femmes que celles-ci montrant une partie ou la totalité d’élément de leur corps faisant envie au sexe opposé en général.
-
alors qu'elle tirait le matelas de sous son lit, elle entendit mach lui dire de faire attention quand elle se baissait, surtout quand un homme était derrière elle, alors qu'elle portait une tenue qui ne caché pas grand choses, lili rougie à sa remarque alors qu'elle terminer de placer le matelas, elle se disait qu'il avait raison mais qu'elle n'avait pas encore l'habitude de faire attention à se comporté comme une vrai femme et a faire attention à ses mouvement avec des habit si cours.
se relevant avec le visage encore empourpré, elle lui indiqua qu'il allait dormir là, mais mach enchaina en lui demandant qui c'était sa chambre.
oui pourquoi?
il continua en lui disait que ce n'était pas très convenable pour une jeune fille d'inviter un homme qu'elle connaissait à peine à dormir dans sa propre chambre. lili réfléchie quelques secondes, c'était vrai que ce n'était pas raisonnable, mais si il avait voulut l'agresser ou abuser d'elle il l'avait eut plusieurs occasion depuis qu'ils étaient arrivé chez elle, lili se sentait en sécurité avec lui.
c'est vrai mais ... je me sent en sécurité avec vous et de toute façon il n'y à pas de chambre d'amie, la seule autre chambre qu'il y a, c'est celle de mes parents à l'étage.
sa réponse avait l'ère de suffire puisque mach lui dit qu'il ne refusait pas une douche après qu'il est autant transpiré, alors qu'elle le vit enlever son teeshirt, elle put admirer le torse musclé de mach parsemé de quelques cicatrices par ci par là, s'en doute dû au mission qu'il avait du faire pour l'armée, quand elle le vit retirer ces chaussures elle put là admiré la musculature de son dos, voyant ces pectoraux gonflé et les muscle de ces bras se contracter, tout ceci émoustiller quelques peut lili qui aimé bien les jeune homme bien musclé.
malgré que son visage soit marqué par le temps le rendant plus vieux qu'il n'y parait, le reste de son corps, enfin ce qu'elle pouvait en voir était tout bonnement parfait, ne le quittant pas des yeux jusqu'à ce qu'il ferme la porte de la salle de bain.
se dirigeant ensuite sur son lit, elle s'assit et ouvrit sa table de nuit pour sortir son journal intime et y marquer ce qu'il lui était arrivé pendant la journée, écrivant sa mésaventure de ce soir jusqu'au moment ou mach était rentrer dans la douche marquant ses penser, qu'elle l'avait trouver très beau et sexy , qu'elle aurait bien voulut voir un peut plus de son anatomie et que vue sa musculature il devait être une bête au lit.
sur ce journal intime lili marqué tout ce qui lui arrivait et donc aussi toute ses aventures, de sa première fois à maintenant.
alors qu'elle entendait la porte de la douche s'ouvrir à nouveau, elle déposa son journal sur son lit et s'écria.
c'est à mon tour...
-
Se retrouvant dans la chambre de la jeune femme, Mach n’avait pas montré de gêne particulière. Mais, il avait fait remarquer à Lili que son comportement pouvait l’être pour les hommes, dans le cas où elle se baissait sans pudeur, dévoilant ses parties les plus intimes. D’autres part que s’était pas non plus des plus convenables pour un homme et une femme de dormir dans la même pièce alors qu’ils venaient à peine de se rencontrer. Quant elle se releva, et se tourna vers lui pour lui répondre, l’ancien soldat ne manqua pas de remarquer les rougeurs sur ses joues, et il se dit que peut être ne pas mentionné qu’il avait vu ses fesses et un peu plus encore, aurait été préférable. Mais d’un autre côté, la jeune femme le saurait pour la fois d’après.
Celle-ci lui répondit donc avec un peu d’hésitation, que si elle faisait cela, s’était aussi parce qu’elle se sentait en confiance avec lui, et avec certains hommes, cette annonce aurait pu les troubler, mais Mach resta calme. Mais, elle avait enchaîner sur l’explication qu’il n’y avait pas de chambres d’amis, juste celle de ses parents et la sienne. L’homme aurait pu alors dire qu’il dormirait sur le canapé du salon dans ce cas, mais ne le fit pas. Cela aurait peut être pu montrer que malgré la confiance qu’elle lui portait, Mach avait peur de se laisser tenter à faire un truc aussi bas que les brigands.
Il annonça alors qu’il prendrait bien une douche, ne contredisant pas Lili pour une fois, et s’était mit torse nu avant de se diriger vers la salle de bain, pieds nus également. Il ne se préoccupait pas, bien qu’il puisse en parti le sentir, du regard que la jeune femme lui portait. Il entra alors dans la salle de bain, et finit de se dénuder avant de se glisser sous la douche, avec un jet d’eau assez chaude, pour vraiment retirer la transpiration et la crasse qui s’était accumulée.
Il sortit alors une dizaine de minutes plus tard de la pièce d’eau, avec seulement son boxer sur le cul, et une serviette autour du cou, sans doute parce qu’il avait oublié de la redéposer. Il vit alors la jeune femme poser un livre sur son lit, et dire qu’elle allait à son tour sous la douche. Mach esquissa un léger sourire, avant d’y rendre la serviette, quand elle passa à ses côtés. Puis, alors qu’elle disparaissait dans la pièce voisine, le jeune homme se rapprocha des lits, voyant que le livre en question n’était autre que le journal intime de la demoiselle.
*Ce n’est pas très malin de laisser traîner son journal ! Quelqu’un de malveillant pourrait le lire !*
Pensa alors l’ancien soldat, alors qu’il ne comptait pas le lire. Et il ne le toucha même pas, ne serait ce que pour le déplacer sur la table de nuit par exemple. En effet, Lili aurait vite imaginé qu’il l’avait ouvert, si elle ne le trouvait pas au même endroit. Et avec les secrets que ce derniers pouvait contenir, aurait piqué une sacrée colère. Mach se contenta alors d’aller s’assoir sur la chaise du bureau scolaire de la jeune femme attendant qu’elle revienne, pour savoir ce qu’ils pourraient faire ensuite, ne serait ce que se coucher et dormir, puisque la soirée avançait tout de même elle.
-
quand elle l'entendit sortir et dire précipitamment que c'était son tour en jetant son journal intime sur le lit et sautant de celui ci, le voyant sortir elle put admirer presque entièrement son corps seulement recouvert du boxer, des gouttelettes ruisselaient encore sur son corps musclé alors qu'il avait encore la serviette autour du coup, avançant vers lui, mach lui tendit la serviette qu'elle attrapa en passant tout près de lui en lui faisant un grand sourire.
merci...
rentrant dans la salle de bain, elle referma la porte derrière elle, mais pas à clé, tout en ce déshabillant elle se disait que mach avait vraiment un beau corps, même les cicatrices qu'il avait donnait un certain charme, qui ne laissait pas lili indifférente, d'ailleurs en retirant son string, celui ci était déjà imbibé de quelques goute de mouille, une fois nue elle fila sous la douche, se lavant pendant un moment avant de ressortir et de se sécher, une fois entièrement essuyé, elle se retourna pour prendre sa chemise de nuit, mais elle l'avait oublié, hésitant un moment avant de sortir dans la chambre avec seulement la serviette autour du buste, si celle ci tombait elle se retrouverais nue devant lui et après ce que mach lui avait dit tout à l'heure sur le fait de faire attention il valait mieux qu'elle joue la carte de la sécurité.
s'approchant de la porte et l'entrouvrant à peine alors qu'elle était nue derrière, elle demanda gentiment à mach.
mons... monsieur Mach... j'ai oublié de prendre des affaires, pourriez vous aller me les chercher s'il vous plais.
alors qu'elle le voyait toujours en boxer, assis au bureau sur lequel lili révisait ses cours.
vous voyer la commode sur votre gauche, c'est là... si vous pouviez me prendre une culotte dans le premier tiroir et dans le second en dessous ma chemise de nuit elle est violette...
dans le premier tiroir il y avait plus de string de toute sorte que de culotte, mais pas que, il y avait aussi des godes de toute forme et de toute tailles que sa maitresse Ishtar lui avait prêté pour qu'elle s'entraine.
dans le second tiroir il y avait sa chemise de nuit, mais aussi son costume de sorcière en lamelle qui ne couvrais que le strict minimum de son anatomie ainsi que plusieurs plug anal et boule de geisha de différente taille et forme eux aussi.
quand elle lui demanda ce service, lili n'avait plus en tête qu'elle avait toute cette attirail dans sa commode.
-
Mach eut droit à un remerciement de la part de Lili, quand il lui tendit la serviette alors qu’elle entrait dans la salle de bains. Le temps qu’elle passa à se douche, le jeune homme le passa à attendre tranquillement assis sur la chaise de bureau. Ainsi, il s’écoula une bonne dizaine de minutes avant que l’eau ne cesse de couler, indiquant que son hôte avait fini de se doucher. Mais, au lieu de sortir peu après, celle-ci prit la parole pour lui demander de lui sortir une culotte et une nuisette, car elle n’avait pas pensé à les prendre. Il eut de quoi être surprit, en se disant qu’elle n’avait sans doute pas l’habitude de recevoir un homme chez elle, en particulier dans sa chambre.
Il se leva alors de sa position assise, écoutant les explications de la jeune femme, et se dirigea vers la commode. Il ne tarda alors pas à ouvrir le tiroir où se trouvaient les culottes de Lili. Il aurait pu être gênée ou excité, comme la plupart des hommes et jeunes hommes dans cette situation, mais non, Mach conserva son calme et sortit le vêtement. Bien sur, il ne manqua pas de voir les gadgets qui se trouvaient dans ce tiroir, puisque ceux-ci n’étaient même pas dissimulés sous les sous vêtements.
* Et bien les jeunes sont de plus en plus précoces aujourd’hui !*
Pensa t il, en posant la culotte sur sa jambe, pour éviter de la poser au sol, ne sachant pas si ce dernier était propre ou non. Puis, il s’attaqua à l’autre tiroir qu’elle lui avait indiqué et chercha un peu la nuisette de couleur violette. Et encore une fois, il tomba sur d’autres ustensiles pour se donner du plaisir, alors qu’il sortait le vêtement.
* Eh ben, elle a une vraie collection ma parole !*
Continua t il dans ses pensées, sans pour autant avoir montré une gêne quelconque à la découverte de tout cet attirail. Refermant alors le tiroir et se levant, Mach se dirigea ensuite vers la porte de salle de bains. Celle-ci était toujours entrouverte, montrant que la demoiselle attendait sa tenue, et l’ancien soldat ne se fit pas attendre pour passer la main dans l’ouverture pour tendre le sous vêtements et la nuisette à leur propriétaire.
- Tenez…Par contre, vous devriez peut être mieux dissimulé plus efficacement vos accessoires. Cela pourrait surprendre vos parents, s’ils venaient à ouvrir vos tiroirs.
Dit-il d’une voix calme, d’un ton normal, qui laisserait aisément comprendre à Lili qu’il n’avait ni été perturbé, ni choqué de voir cela, même s’il avait pu être surprit par l’intérêt que les jeunes gens portaient au sexe aujourd’hui, surtout en étant aussi jeune.
-
je le vis se déplacer vers la commode que je lui avait indiqué, de toute façon il n'y en avait qu'une, chercha un peut et le vis revenir vers la salle de bain, il passa sa main avec les habit par la porte entre ouverte, je les pris et l'en remercia.
merci mach...
mais quand celui ci rajouta que je devrez mieux dissimuler mes accessoires, qui pourrait surprendre mes parents il il ouvrait les tiroirs, la visions de tout se qui se trouvait dans cette commode me passa devant les yeux, je l'avais complètement oublier, je rougie pour la unième fois, mais mach ne put le voir puisque je referme la porte sans dire un mot trop honteuse.
je fini de me sécher et je m'habille avec ce que mach ma ramener, la culotte qu'il me choisi est une des moins osée qu'il y avait dans le tiroir, c'est une culotte blanche en coton avec des petit cœur rouge dessus, sa fait un moment que je ne l'avait pas mise celle là, il aurait put en choisir une autre, enfin bon je l'enfile et passe aussi la nuisette.
une fois prête je sort de la salle de bain, mach est toujours devant la porte et il peut me voir en chemise de nuit violette mais celle ci est transparente et peut facilement voir la petite culotte qu'il ma choisis et mes seins percé.
je passe juste à coter de lui et viens m'asseoir sur mon lit.
bon alors mach vous êtes fatiguer? vous voulez dormir ou faire autre choses?
je lui demande les jambe croiser, les mains en appui derrière moi et ma poitrine en avant.
-
Après avoir donné ses affaires à Lili, qui le remercia, refermant la porte de la salle de bains. Ce qui lui permit éventuellement de rougir à la remarque que l’ancien soldat avait pu faire sur les divers accessoires sexuels qu’il avait pu voir dans la commode. Il resta un moment à côté de la porte, s’adossant au mur, se disant que cela serait plus facile pour répondre à la demoiselle, alors qu’il dut attendre encore quelques minutes que la demoiselle se sèche et se vêtisse.
Quand cette dernière ouvrit alors la porte, pour sortir de la salle de bain, et passa devant lui, Mach se montra surprit, sans doute pour la première fois. En effet, la nuisette qu’il avait apporté à la jeune femme, s’avérait être complètement transparente, malgré ses teintes mauves. Ainsi, le jeune homme pu voir la culotte de celle-ci, et sa poitrine, de taille correcte. Il fut même surprit de voir qu’elle avait deux petits anneaux aux tétons, et se demanda bien pourquoi, elle avait pu décider de mettre ce genre de choses à cet endroit.
- Et bien, je n’aurai pas cru que cette nuisette était si transparente quand je l’ai sorti du tiroir !
Lâcha alors le jeune homme, alors que Lili s’asseyait sur son lit, adoptant une pose qui mit clairement son corps en valeur. On aurait presque pu s’imaginer voir une femme prendre une position dominante, avec les jambes croisées, les bras servant d’appui, et mettant bien en avant ses formes. Elle demanda alors à son invité, s’il était fatigué où s’il comptait faire quelque chose de particulier pour s’occuper le temps que le sommeil vienne.
- Je dois avouer que je n’ai guère sommeil. Qu’avez-vous donc à proposer pour nous occuper et distraire, jusqu’à ce que ce dernier vienne ?
Demanda Mach calmement en se rapprochant lentement d’elle. En effet, maintenant qu’elle avait fini de se laver, et lui aussi, ils n’avaient pas forcément besoin de se trouver à deux mètres l’un de l’autre. Surtout qu’il ne pouvait nier que la vue de la jeune femme était loin de le laisser indifférent. Et détourner le regard n’aurait ni été poli, en plus de laisser penser à la jeune femme qu’il avait une quelconque gêne, ce qui n’était pas le cas. Mas, il ne forcerait bien entendu pas la jeune femme à faire ce genre de chose, peu importait sa tenue. Elle avait ses goûts vestimentaires, qui étaient loin d’être déplaisants, et il n’avait aucun reproche à faire sur ceux-ci, puisqu’il n’en avait pas le droit. Ainsi, il ne pouvait que lui donner des conseils qu’elle n’était pas forcée d’appliquer. Ainsi, malgré le jeune âge de Lili, s’ils devait se passer quelque chose entre eux, cela serait du consentement mutuel.
-
avant que je ne m'assoie sur le lit, j'entendis Mach me dire qu'il n'avait pas penser que ma nuisette était si transparente quand il l'avait prise dans le tiroir, j'eus un petit sourire quand il me dit sa alors que je m'installe confortablement sur mon lit, peut être était-il trop préoccuper par les objets qu'il y avait dans le tiroir pour remarquer que ma nuisette était transparente.
il répond à ma question alors que je regarde son torse musclé, qu'il n'a pas sommeil et me demande ce que j'ai à proposer pour nous occuper et nous distraire, je ne dit rien alors que je le voie s'approcher de moi lentement, bien sur ce n'est pas comme si je n'avait pas de jeux de société à la maison, mais je doute que sa l'intéresse, je me voie mal lui proposer un monopoly ou si peut être juste pour voir sa tête, mais le début de soirer à été remplis d'émotions, entre l'agression, mon sauvetage, le combat, tout sa mélangé ma très émoustillé, moi qui pensais qu'il exagéré dans les film, quand après une fusillade ou un combat, l'héroïne tombe dans les bras du héros et qu'ils finissent par faire l'amour.
en ce moment je suis dans le même état, un état d'excitation après cette bonne douche chaude, mais j'ai besoins de tendresse pour sentir que je suis encore en vie après t'en de frayeurs, en plus de sa j'ai put ramener mon sauveur à la maison un beau jeune homme grand et fort, comme ma dit Ishtar il faut que je multiplie les rapport pour gagner en expérience, mais bizarrement Mach ne semble pas vouloir faire le premier pas, il est peut être timide.
moi non plus je n'est pas sommeil, tout ces évènements mon bouleversé, heureusement vous êtes venue à mon secours.
je n'ai pas grand choses à vous proposez, vous savez...
je prend une mine triste presque au bord des larmes.
mais... j'ai besoins de réconfort, ... j'ai eu très peur tout à l'heure... et je n'ose imaginer ce qu'ils m'orraient fait subir... si... si vous n'étiez pas intervenue...
je me redresse et décroise les jambes en les gardant tout de même serrer, avant de tendre mes bras vers lui pour lui faire comprendre que je veut qu'il me prennent dans ces bras.
-
Les deux jeunes gens étaient à présent propres, et en partie dénudée l’un face à l’autre. Mach avait été surprit par la transparence de la nuisette, et devait admettre qu’il avait du mal à se défaire de la vision de la jeune femme, à qui il avait demandé ce qu’elle voulait faire pour s’occuper le temps que le sommeil vienne frapper à leur porte. Un long silence alors que Lili ne quittait plus son compagnon du regard non plus. Celle-ci revint alors sur les évènements qu’elle venait de vivre remerciant de nouveau son bienfaiteur, qui conserva une expression calme.
- Vous ne devriez pas ressasser les derniers évènements. Plus vite on les laisse derrière soit, mieux on se porte.
Répondit-il, alors que la jeune femme n’avait visiblement pas plus d’idées que lui pour occuper leur temps. La mine de son hôte s’attrista de nouveau, comme si elle ne parvenait pas à tirer un trait la dessus, alors qu’elle demandait du réconfort, se répétant encore un peu, d’une voix hésitante, comme si les larmes n’allaient plus tarder à couler. Il la vit alors décroiser les jambes et tendre les bras pour une requête évidente. Mach n’eut pas de mal à la saisir, puisqu’elle voulait l’enlacer, pour sans doute se sentir mieux, et avoir une présence rassurante à ses côtés.
Mach n’était pas tellement un habitué de ce genre d’embrassade, ce qui le fit prendre quelques secondes avant de se rapprocher de la jeune femme. Il se mit alors à genoux, pour se trouver à sa hauteur, et s’avança pour passer entre les bras de Lili. Ses mains passèrent d’ailleurs aux niveaux des hanches de la demoiselle pour venir refermer l’étreinte dans le dos, alors qu’il passait sa tête sur l’une de ses épaules, frôlant la joue de Lili avec la sienne.
- Le danger est passé, plus besoin de se montrer si inquiète !
Dit-il de façon un peu maladroite, alors que ses mains bougèrent lentement pour caresser le dos de la jeune femme, et la réconforter du mieux qu’il pouvait. Par contre, lui, avec le contact qu’il avait, ce n’était pas du réconfort qu’il sentait, mais son excitation, bien qu’il tente de la refreinait. En effet, dans leur enlacement, les deux corps étant collés l’un à l’autre, l’ancien soldat pouvait sentir la poitrine, et les piercings de ses seins contre son torse, et évidemment, cela ne le laissait pas indifférent. Ainsi, une bosse, pour le moment assez petite, se faisait voir au niveau de son boxer, alors que l’érection commençait à peine.
-
alors que je venait de ressasser mes craintes sur ce qui c'était passer dans les quartiers de la toussaint, mach me répondit calmement qu'il fallait éviter de ressasser les derniers évènements, que plus vite ont les laisser derrière soit et mieux on se porte.
il à s'en doute raison, mais je n'y arrive pas, j'ai besoin de réconfort et c'est pour cela que je lui tend les bras, il met quelques secondes avant de comprendre ce que je veut, je le voie dans son regard, quand enfin il s'approche, se met à genoux devant moi et m'enlace de ces bras musclés au niveau des hanches, j'en frémis de sentir ces bras puissant autour de moi, c'est si rassurant.
nos joues se frôles alors que nous mettons chacun la tête sur l'épaule de l'autre, j'en frémis aussi alors que je passe mes bras sous les siens et cale ma tête sur son épaule, il sent si bon, je l'entend me rassurer et me dit que le danger est passé, que ce n'est plus la peine de se montrer plus inquiète.
alors qu'il me dit sa je sent ces mains qui me caresse le dos de bas en haut, sa me donne des frissons dans tout le corps.
inquiète je ne le suis plus quand je suis dans ces bras, ces caresses dans mon dos m'excite de plus en plus, j'ai envie de faire l'amour pour me sentir vivante, mais je ne sais pas si il voudra de moi, mais si je veut qu'il comprennent, il vas falloir que je face le premier pas, chose que je n'ai jamais faite.
de mes mains je lui caresse aussi son dos musclé et je descend jusqu'à ces fesses elle aussi musclé en passant les main sous son boxer pour venir les palper directement, en même temps je commence à lui donner quelques tendre baiser dans le cou tout en remontant vers son visage pour finir par lui baiser la bouche sans y mettre la langue pour autant juste avec les lèvres, je m'arrête, recule un peut le visage, j'ouvre les yeux et je voie dans son regard de la surprise.
gêne, je rougie et enlève mes main de ces fesses, tout en m'excusant.
... pardon... je n'ai pas fait... exprès... je pensais que je pouvais... heu...
encore plus gêné d'essayer de donner une explication à ce que je venais de faire, je baisse les yeux et arrête de parler, attendant la réaction de Mach.
-
Se retrouvant presque nu dans la chambre d’une jeune femme, Mach tentait de la réconforter après avoir prit une douche. Il l’enlaça même à la demande de Lili, glissant ses mains dans son dos pour le caresser, et sa tête au dessus de l’une des épaules de celle-ci, en prononçant quelques mots maladroits surement, pour tenter de lui remonter le moral. La demoiselle fit de même, se calant davantage pour apprécier ce contact. D’ailleurs, elle ne tarda pas à descendre ses mains sur les fesses de l’ancien soldat, faisait fi du boxer, ce qui ne manqua pas de surprendre le jeune homme. Lili avait même commencé à donner quelques bises dans le cou de Mach, et avant qu’il ne puisse réagir vint déposer ses lèvres contre les siennes dans un tendre et doux baiser.
Le jeune homme n’avait eu le temps que de placer ses mains sur les épaules de sa camarade, alors qu’elle s’écartait devenant rouge pour montrer sa gêne, alors que lui affichait la surprise. Pas tellement à cause de l’acte lui même, mais peut être parce que Lili était mineure, et se montrait des plus précoces, ou du moins que leur différence d’âge ne semblait pas la perturber. A croire que le plus pudique des deux était justement lui. Mais, il reprit une expression normale lorsqu’il l’entendit bégayer pour tenter de s’excuser en baissant le regard, cessant tout contact physique avec Mach, ou du moins ceux qu’elle faisait de sa propre volonté.
- Mais, tu n’as rien à te faire pardonner voyons. Se serait plutôt à moi de le faire.
Répondit-il calmement, sans lâcher ses bras, la maintenant à quelques centimètres donc. Cependant, il finit par ôter une de ses mains de là pour venir mettre l’index sous le menton de Lili pour soulever doucement son visage et lui faire croiser son regard, alors que sa an bougeait pour venir se poser délicatement sur la joue de celle-ci. Son regard à lui se faisait plus tendre, et prêt à se laisser aller à ce genre de chose.
- Mais, je ne ferais rien dont tu n’es pas sure d’en avoir envie, sinon, je ne vaudrais pas mieux que les voyous de tout à l’heure.
Dit-il avant de rapprocher son visage de celui de la jeune femme, et venir l’embrasser tendrement et doucement. Commençant simplement par coller ses lèvres à celles douces et chaudes, légèrement humides de celle de sa partenaire, Mach, vint ensuite faire jouer sa langue. Dans un premier temps, il la fit glisser sur les lèvres de Lili, comme s’il les gouttait et appréciait davantage leur goût. Puis, le jeune homme fit glisser celle-ci entre les lèvres de la demoiselle pour venir visiter sa bouche et caresser lentement et doucement la langue et les parois de sa compagne. La main sur le visage de Lili s’était d’ailleurs décalée vers l’oreille pour laisser plus de marge au visage du jeune homme, alors que le pouce caressait la joue de la jeune femme, et le reste des doigts restaient immobile sur le cou de celle-ci.
-
il me dit alors que je n'ai rien à me faire pardonner et que c'est plutôt à lui de faire des excuses, je me suis reculer de honte mais il tiens toujours mes bras dans ces mains, je n'ose plus le regarder en face apparemment je ne l'attire pas, peut être la différence d'age ou simplement mon physique, je ne peut pas savoir.
c'est alors que je sent deux de ces doigts venir sous mon mentons et relever ma tête, nos regard se croisent avant de se regarder vraiment dans les yeux, sa mains viens se poser ensuite sur ma joue, son regard et charmeur et détendu, il me dit qu'il ne fera rien dont je n'ai pas envie, sinon se serais se rabaisser aux voyous de tout à l'heure, il a raison.
je vois alors son visage se rapprocher du mien, c'est moi maintenant qui suis surprise par son changement de comportement, alors que je sent doucement ces douce lèvres venir contre les miennes dans un tendre baisé tout d'abord sans y mètre la langue, je ferme les yeux appréciant ce moment, je sent la langue s'imiser peut à peut entre mes lèvres cherchant à caresser la miennes, il est si doux que j'en est des frissons dans tout le corps, je n'y suis pas habitué, j'amène ma langue à la rencontre de la sienne, elle se caresse doucement l'une l'autre dans un doux ballet buccale, en même temps je sent ces doigts venir dans ma nuque et son pouce me caresser la joue, il est si tendre que je me demande si c'est normal, jamais personne ne ma montrer autant de tendresse et ce n'est qu'un baiser.
le baiser dur de longue minutes avant qu'il ne s'arrête enfin, j'ouvre à nouveau les yeux et lui fait un grand sourire tout en caressant son torse nue et puissamment musclé, partant de ces épaules, passant par ces pectoraux, le long de ces abdominaux parfaitement dessiné, je m'arrête à son bas ventre à la limite de son boxer.
je ramène mes bras autour de son cou et l'embrasse à nouveau tentant de l'entrainer avec moi sur le lit.
-
Bien que Mach ait tenté de se montrer courtois et éviter ainsi de succomber à ses pulsions, que le corps de Lili pouvait provoquer en lui, surtout dans cette tenue, ce dernier finit par se laisser convaincre par les arguments et avances de la jeune femme. Suite à un baiser de la demoiselle, et sa gêne que cela occasionna, le mercenaire prononça quelques mots avant de répondre à ce dernier par un nouveau baiser. Mach n’y alla cependant as avec brutalité, et la tendresse et la douceur de ses gestes pourraient en surprendre plus d’un, surtout lorsqu’on avait assisté à sa démonstration de violence seulement quelques heures auparavant.
Le jeune homme ne déplaça donc pas ses mains vers les zones sensibles, et souvent convoitées par les hommes, et se contenta de quelques caresses sur la joue, puis la nuque, alors que la jeune adolescente prenait enfin part au baiser, en venant partager le ballet de la langue de Mach dans sa bouche. Faisant durer cet échange buccal un temps qui sembla une éternité, celui-ci finit tout de même par prendre fin, et les yeux se rouvrirent pour se plonger les uns dans les autres. L’ancien soldat pouvait à la fois apercevoir de la surprise et de l’envie dans le regard de sa compagne, alors que celle-ci commençait à parcourir son torse de ses mains, avec une lenteur, donnant l’impression qu’elle voulait découvrir chaque recoin de l’anatomie du jeune homme.
Ce dernier se demandait, si cet étonnement de la part de Lili ne voulait simplement pas dire que la tendresse dont il faisait preuve lui était encore inconnue. Cependant, l’ancien soldat n’aurait aucun moyen de découvrir la vérité, alors qu’il appréciait les caresses de son amante, alors que ses propres mains glissèrent du visage de la jeune femme pour venir se placer sur ses épaules. La demoiselle ne tarda cependant pas à remonter ses bras pour enlacer Mach au niveau du cou alors qu’elle fit joindre de nouveau leurs lèvres dans un baiser un peu plus passionné, mais guère plus rapide que le précédant tout de même, comme si l’envie de tendresse était plus présente que tout le reste, et Mach ne voulait pas non plus brûler les étapes.
Ainsi, lorsqu’il sentit que Lili tentait de le tirait vers elle dans le but qu’il s’allonge sur le lit, le jeune homme n’opposa aucune résistance, si ce n’est pour accompagner le mouvement, sans que la chute ne soit trop brusque pour Lili qui se retrouverait dessous. Mach avait donc fait descendre une main lentement dans le dos de la jeune femme pour freiner sa chute, et la poser tout en douceur sur le matelas protégé de draps. Quand à lui, il se retrouva entre les jambes de celle-ci, pieds toujours posé au sol, alors que son torse était au dessus de celui de sa compagne, d’où il retira sa main du dos pour venir la poser sur le lit, et s’en servir d’appui.
Mettant alors fin au baiser, cela ne fut que pour déplacer légèrement son visage et embrasser de multiples baisers, la joue gauche de la jeune femme, en se dirigeant lentement vers l’oreille de celle-ci. La main sur l’épaule de Lili la caressait à présent, en descendant sur le bras de celle-ci principalement. Ses lèvres atteignirent alors le cou et y donnèrent aussi autant d’attention que le reste avec des baisers et quelques coups de langues par moments pour varier les plaisirs
- Tu es très jolie et désirable Lili !
Murmura t il alors à l’oreille de la jeune femme avant de reprendre ses jeux de bouches. Ses mots pourraient d’ailleurs peut être la surprendre, vu l’attitude que l’homme avait eu jusque là, bien que d’un certain côté cela montrait aussi qu’elle ne l’avait pas laissé indifférent, et qu’il ne s’était finalement retenu que par respect pour elle, et il lui avait déjà donné d’autres explications, comme si pour lui traiter une femme correctement était bien au dessus d’autres considérations. D’ailleurs, il ne se permit qu’à présent de laisser descendre sa main sur le corps de la jeune femme, pour le découvrir plus amplement, en arrivant sur le sein gauche, au dessus de la nuisette tout de même, et commencer de lentes caresses sur ce dernier.
-
alors que je l'entraine sur le lit de tout mon poids, pensant que la chute allait être brusque, mach pris la bonne initiative de place son bras dans mon dos pour amortir la chute de nos deux corps, faisant glisser son bras sur le drap pour que nous descendions doucement sur le lit tout en continuant de s'embrasser avec passion, sa langue était tendre et enivrante, caressant doucement ma langue, la sensation était toute nouvelle pour moi qui avait l'habitude d'avoir des partenaires plus inquisiteur cherchant plus à assouvir leurs plaisir que de m'en donner, trop impatient s'en doute de prendre possession de mon corps, mach lui était tout à fait le contraire.
alors que nous descendons toujours j'écarte les jambes pour que son bassin viennent contre le miens et j'entoure de mes jambes celui ci, je peut sentir son sexe encore en partie au repos contre mon bas ventre alors que son torse musclé viens se coller à ma poitrine, une de mes main viens caresser son dos, passant délicatement en revue tout ces muscles dorsaux si bien dessiné, alors que de mon autre main je viens caresser son épaule.
ces gestes son lent et tendre, je sais qu'il n'a aucune intention de me faire mal, il ne veut me faire que du bien, c'est ce que je demande, pourtant on ne pourrait pas se douter que derrière cette montagne de muscle il y est une telle tendresse.
notre baiser dure de longue minutes, quand il continue de me lécher et de m'embrasser la joue, je ferme les yeux et apprécie ces caresses qui me donne des frissons, cette main sur mon épaule, ces tendres léchouilles sur mon visage, je lui laisse me montrer toute l'attention qu'il à pour moi, alors que je l'entends me murmurer à l'oreille que je suis très jolie et désirable.
même ces mots son tendres et non rabaissant ou vulgaire comme j'en est l'habitude, j'ouvre les yeux et regarde son visage, il est passionner dans ce qu'il fait, il à les yeux fermé et découvre mon corps par le touché comme un aveugle, ce qu'il dit est sincère, je referme les yeux et viens de nouveau l'embrasser à pleine bouche, j'adore sa façon d'embrasser, ces lèvres et sa langue si douce m'apaise et me donne du plaisir, j'en rougie.
c'est alors que je sent une de ces mains descendre le long de ma poitrine et venir délicatement caresser et malaxer mon seins gauche par dessus ma nuisette, alors que nous sommes toujours en train de nous embrasser je pousse de petit gémissement étouffer par nos lèvres et nos langues, il y vas si doucement et tendrement que c'est une nouvelle sensation de plaisir que je découvre qui me donne la chair de poule alors que l'excitation commence à peine à animer mon corps.
-
S’est tout en douceur que Mach avait allongé Lili sur son lt, suite à sa demande gestuelle, alors qu’ils s’embrassaient tendrement. D’ailleurs dans les mouvements qui se firent, et qui permirent à l’ancien soldat de se retrouver sur sa compagne, leurs intimités, encore protégées par leurs sous vêtements, vinrent se saluer d’un simple contact. Mach ne s’en soucia d’ailleurs pas plus que cela, alors qu’il jouait délicieusement, mais sans brusquer ses mouvements, avec la langue de sa partenaire. Celle-ci avait pu profiter de leur immobilisme pour revenir enlacer son amant, et caresser son dos, faisant ressentir à l’homme de doux frissons de plaisirs.
Le mercenaire avait finalement mit fin au baiser, pour donner de nouvelle sensations à sa partenaire, toujours avec sa bouche, en se dirigeant lentement vers l’oreille où il avait prononcé quelques mots dans un simple murmure. Ses mains n’étaient cependant pas en reste, bien qu’une servait d’appui pour éviter que tout son poids ne doive être supporter par sa partenaire. L’autre caressait lentement le bras à proximité, avant qu’après un nouveau baiser, que vint quérir Lili, comme si elle était en manque, malgré la douceur de ce dernier, la main vienne glisser sur le buste de la jeune femme.
Ainsi, dans une lente caresse, Mach vint découvrir, par le toucher, les seins de sa compagne, bien qu’il ne commence à s’occuper que de l’un deux dans des caresses lentes et sans appuis. D’ailleurs pour continuer dans le sens du plaisir sans douleur, le jeune homme ne stimulait que du bout des doigts, le téton du sein, qui durcissait petit à petit. Bien sur, Mach ne faisait pas que des mouvements de bas en haut ou l’inverse, mais aussi circulaire sur ce dernier, changeant d’ailleurs régulièrement e rythme et le type de caresses pour ne pas lasser sa partenaire, dont il tenait prisonnier toujours ses si douces lèvres.
Pourtant, il finit par délaisser tous ceux-ci, alors qu’il commença à faire descendre sa main du sein vers la hanche dans une caresse, toujours à travers la nuisette, alors que sa bouche revenait embrasser le cou de Lili. Cependant, celle-ci pourrait bien sentir que petit à petit, le jeune homme descendait progressivement sur son corps. Si bien que bientôt, son visage se retrouva au dessus de la poitrine de la demoiselle, et sa main sur le flanc de sa fesse, qu’il caressait lentement, étant cette fois passé sous le tissu, qui n’allait guère plus bas de toute façon.
Puis, de sa bouche, il parsema la poitrine, n’oubliant aucun des seins, de bises et de coups de langues, qui jouaient parfois avec les tétons de la jeune femmes, comme dans un combat de pouces, dans le sens où ils se tournaient autour sans vraiment prendre le dessus l’un sur l’autre. Parfois il cessait même cela pour venir prendre ceux-ci en bouche, et faire quelques mouvements de succions, sans trop forcer non plus, juste de quoi donner du plaisir à Lili, et non lui faire mal. Il lui arrivait même parfois de combiner les deux, jouant de la langue quand un téton était dans sa bouche.
-
alors que Mach c'était un peut décaler sur le coté pour libéré un de mes seins de sous son torse musclé, je sent sa main quitter mon seins et caresser mon buste jusqu'à ma anche et remonter dans de douce caresse jusqu'à mon seins, nos lèvres et nos langue ne se quitte plus, prisent tout d'eux dans une danse charnelle.
la main avec laquelle je caresse son dos venant à gêné pour ces attouchements sur mon seins, je la retire non sans regret, mais je sais que je vais pouvoir revenir le caresser très vite.
de l'autre qui s'occupe de son épaule, je la descend sur son flan tout en appréciant chaque muscle que je sent sous mes doigts, je la descend jusqu'à ces reins avant de la passer doucement sous son boxer, caressant sa fesse, la palpant de ma petite main, sa fesse est dur et musclé comme tout le reste de son corps.
je sent le bout de ces doigts caresser tendrement mon téton, il y vas si doucement comme pour me faire languir et faire monter le plaisir en moi, utilisant mon téton comme un bouton directionnelle, il le fait aller à droite à gauche en haut en bas, le fait tourner d'un coté, de l'autre, variant la rapidité et l'appuie qu'il y met dessus, sa lenteur et sa tendresse me donne des frissons et quelques spasmes, développant l'excitation en moi, mon téton pointant petit à petit vers ces doigts, j'en tremble de désir.
j'amène ma main devenue inactive sur son ventre et caresse sa ceinture abdominal finement sculpter comme un dieu, faisant des caresses circulaire tout en descendant petit à petit vers son bas ventre, arrivant à l'élastique de son boxer, je passe seulement mes petit doigts et viens caresser sa douce toison pubienne.
Mach met fin à nos langoureux baiser, abrasant mon cou pour continuer et descendant sa main sur ma hanche, je frémis d'impatience de savoir ce qu'il compte faire ensuite, mais bizarrement la main que j'ai dans son boxer commence à ressortir toute seule, j'ouvre les yeux et je le vois faire glisser son corps contre le miens jusqu'à ce que sa tête arrive au niveau de ma poitrine, j'amène alors mes deux mains sur ces épaules musclés, au même moment je sens sa main passer sous ma culotte et caresse tendrement ma fesse, sa me fait drôle alors que d'habitude on me les claques, les griffes, les fouettes, à coté de sa, ces caresses son attendrissante.
je sent ces douce lèvres venir embrasser et donner les coups de langue sur ma poitrine par dessus ma nuisette en jouant de sa langue comme avec ces doigts pour venir titiller mes tétons qui finissent de se dresser, de doux frissons parcours mon corps à chacun de ces coups de langue, passant de l'un à l'autre de mes seins, faisant parfois seulement le tour de mes Aréoles, humidifiant ma nuisette de sa bave, allant même jusqu'à prendre un seins après l'autre en bouche, je le sent les aspirer tout en donnant de rapide coups de langue sur mes mamelons dressé, ces caresses son si douce et m'emplisse de plaisir que mon excitation continue de monter crescendo, mon bassin bouge de lui même sous le plaisir et mon entre jambe maintenant au niveau de ces abdominaux frotte contre ceux ci.
mmmmmh... Mach c'est si bon...
sous le plaisir que je ressent je me mort la lèvre inférieur et viens caresser d'une main sa douce chevelure pour l'encourager à continuer ces douces caresses buccal.
-
Toujours en douceur, Mach continuait ses jeux de bouches, en descendant progressivement sur le corps de sa partenaire. Mais, ce n’était pas le seul mouvement du jeune homme, car si ses lèvres avaient quitté la douce chaleur de celles de Lili pour la poitrine, toute aussi plaisante de cette dernière, la main qui s’occupait de celle-ci jusque là avait elle aussi suivi le mouvement pour descendre venir caresser l’une des fesses de son hôte. Ainsi, même si lui n’avait que peu frissonné sous les douces caresses des mains de la jeune femme quand elle le pouvait, cette dernière semblait prendre bien plus de plaisir aux attentions que lui procurait Mach.
En effet, son corps réagissait bien sous les diverses zones que stimulait Mach, voir même plus. Si la poitrine pointait de plus en plus, ce qu’il pouvait sentir sous sa langue actuellement, son ventre, à lui, ne tarderait pas non plus à sentir le bas ventre de la jeune femme venir s’y appuyer par intermittence, obligeant la main de Mach à suivre, ce qui lui permettait aussi de la remonter dans le dos de Lili, cette fois sous la nuisette à même la peau, et profiter de cette douceur et chaleur du corps de la jeune adolescente. Et même si ce mouvement de bassin de la part de Lili, lui fit un peu penser au fait qu’elle semblait s’impatienter et le voulait en elle, il ne comptait pas presser les choses, et se contenta de jouer sur sa poitrine et ses fesses, en conservant sa douceur et tendresse dans ses mouvements. Mais, peu après le commentaire de la jeune femme, il écarta, un peu à regret, le visage du corps de la jeune femme pour lever les yeux vers elle, et remonter pour que leurs visages soient de nouveau l’un face à l’autre.
- Tout comme ton corps l’est !
Répondit-il simplement avant de venir quérir de nouveau les lèvres de son amante et revenir jouer de la langue avec celle de Lili pendant quelques instants. Sa main sur la fesse vint alors caresser l’intérieur de la cuisse, suffisamment haut pour que la tranche de celle-ci frôle à la fois l’anus et les lèvres intimes de la demoiselle. Bon, ce ne fut que de simple passages bref, et très léger, puisqu’il vint caresser le ventre de la demoiselle avant qu’il ne mettre fin au baiser, et redescende progressivement vers sa poitrine de la même façon qu’avant. Tout cela simplement pour ne pas faire un mouvement trop rapide, u crée un petit vide dans le plaisir de la jeune femme.
Mais, cette fois, Mach ne s’arrêta que pour quelques plaisirs sur les seins de la jeune femme avant de reprendre sa descente pour atteindre le ventre qu’il parsema principalement de baiser. D’ailleurs, n’étant plus sur Lili, ou très partiellement, sa main inactive pu venir caresser une jambe de la jeune femme, alors que l’autre s’occuper de la seconde à présent, pour libérer le passage au visage de son propriétaire. Ce dernier ne tarda alors pas à avoir en vue le jardin secret de Lili, et le regarda brièvement, avant de déposer un bref baisé juste au dessus de son intimité, là où il y aura du avoir une petite toison, si la demoiselle ne se rasait pas. Puis, toujours avec la douceur qu’il avait adoptée depuis le début, Mach descendit sa bouche pour donner des baisers sur les lèvres intimes de Lili, qui étaient déjà humides.
Ainsi, alors qu’il donnait quelques baisers sur cette zone là, une des mains quitta la jambe qui lui était attitrée pour venir caresser le ventre de la jeune femme, mais de telle façon, que Mach avait la jambe sur une épaule à présent, et à laquelle il donnait parfois quelques bref baisers sur l’intérieur de la cuisse avant de revenir sur ses lèvres vaginales. Il finit même par commencer à jouer de la langue, sans chercher à s’ouvrir un passage, bien qu’il le fasse au niveau du clitoris pour pouvoir le stimuler aussi. Et il fit cela dans le silence, trouvant que cesser quelques secondes de donner du plaisirs pour prendre la parole, aurait été idiot.
-
il s'arrête quelques secondes relève la tête et répond à ce que je viens de dire, tout comme mon corps, même c'est parole son tendre, aucun mots crus, je le sent revenir sur mes seins, les chouchoutant encore un peut de sa bouche, alors que je sent la main qui caresse ma fesse remonter le long de mon dos au rythme de mes ondulations, il ramène aussi son visage en face du mien pour un nouveau baiser de braise, j'en profite pour entourer mes bras autour de son cou, tout en lui caressant la nuque.
mais il ne reste pas bien longtemps, puisqu'il descend à nouveau sur mes seins maintenant si sensible à ces attentions, mais il ne s'arrête que très brièvement sur ma poitrine et continue sa descente jusqu'à mon petit ventre qu'il couvre de baiser lui aussi, je commence un peut à transpirer alors que mon bassin se réchauffe petit à petit, mes ondulations de cesse pas, ma respiration s'accélère quand il me caresses l'intérieur des cuisses et qu'il m'écarte les jambes, je pousse un soupire de satisfaction.
ces baiser descende jusqu'à mon bas ventre, je sent son souffle chaud passer au travers de ma culotte et contre tout attente il viens enfin baiser mes grandes lèvres par dessus ma culotte toujours, celles ci est d'ailleurs un peut imbiber de ma cyprin, mon souffle deviens haletant, je le sent utiliser aussi sa langue de temps à autre venant titiller mon clitoris sous ce bout de tissu.
mes ondulation montre pourtant bien à Mach que j'en veut plus, mais il prend tout son temps savourant chaque moment, il me tarde une choses qu'il m'enlève cette barrière de tissu, avec les dents si il le faut, mais qu'il l'enlève.
mon excitation augmente encore d'un cran, alors qu'il embrasse de temps à autre l'intérieur de mes cuisses avant de revenir sur ma minette, sa main venant caresser mon ventre me rend dingue.
mmmmmh... continue Mach... tu me fait tant de bien...
je ramène alors ma main dans ces cheveux et les empoignes pour maintenir sa tête en place, alors que je frotte mon minous toujours recouvert de la culotte sur son visage en ondulant, mon excitation est telle, que j'en veut plus, beaucoup plus.
-
Mach profitait littéralement du corps de Lili, qu’il découvrait au toucher avec toute la lenteur et la douceur dont il était capable de mettre dans ces gestes. Et visiblement la jeune femme appréciait cela, vu ses réactions orales et gestuelles. En effet, elle lui demandait de continuer entre deux gémissements, et il ne se priva pas pour le faire, toujours aux travers de la culotte de la demoiselle. Ce qui ne l’empêchait pas de sentir parfaitement les parties intimes de sa partenaire, surtout qu’elle semblait si excitée que l’humidité, aidée par la salive de l’ancien soldat, ait complètement trempé la petite culotte de Lili, qu’il faudrait bientôt retirer.
Cependant, le jeune homme faisait durer le plaisir, et continuait de lécher simplement les lèvres à travers le tissu, ou de jouer avec le clitoris, bien dressé de la même façon. Notons tout de même que Mach le prenait parfois entre ses dents, sans pour autant y mettre de forces pour ne pas faire mal à son amante. Ainsi, il le faisait légèrement rouler entre elles, alors qu’il fit remonter une main sur le ventre de la jeune femme, sous la nuisette cette fois. Appréciant la douceur de la peau, et sa chaleur, cette main ne tarda pas à venir se poser sur l’un des seins de la demoiselle, qu’il caressa avec tendresse, voir malaxa de temps en temps, sans se soucier de l’anneau qu’il y avait sur le tétons, bien qu’il se montra peut être un peu maladroit avec quand il venait jouer avec le téton sur lequel il était. S’était aussi une preuve qu’il n’avait pas non plus l’habitude d’avoir des partenaires avec des piercings dans ces zones, puisqu’il en sentit aussi un sous sa langue.
- Tu sembles de plus en plus impatiente on dirait ?
Dit-il simplement à voix basse, en relevant la tête pour venir regarder le visage de Lili, alors que celle-ci ondulait du bassin pour l’inciter à aller plus loin. Il se remit alors à la tâche, mais laissa la culotte en place un instant, le temps de jouer encore un peu avec les envies de sa compagne. Cependant, il donna quand même un peu ce qu’elle voulait à la demoiselle, puisqu’il poussa un peu plus sa langue entre ses lèvres intimes, compressant peut être un peu plus Lili, puisqu’il fit cela avec la culotte Puis, la libérant un peu, de sa main libre, il vint écarter le morceau de tissu pour venir lécher son intimité directement, et en récupérer le fluide.
Cette fois, il ne se contentait pas de lécher les grandes lèvres, puisque sa langue avait forcé le passage, et s’occupait à présent de la zone derrière, sans pour autant avoir pénétré son vagin. Il y allait en douceur, et faisait monter le désir progressivement, et sa main fit d’ailleurs glisser la culotte lentement, obligeant Mach à s’arrêter et Lili à resserrer ses jambes un instant pour qu’il puisse l’ôter sans l’abimer. Cela ne prit quelques secondes durant lesquels, Mach en avait profité pour lécher et baiser les jambes de la jeune femme avant de revenir sur son entrejambes. Et cette fois, il pénétra l’intimité de Lili de sa langue, bougeant sa langue de façon à ce qu’elle donne du plaisir aux parois internes de celle-ci, alors que ses mains étaient à présent toutes les deux sur les seins de son amante à s’occuper d’eux.
-
je le sent continuer de me lécher à travers ma petite culotte maintenant toute trempé, venant parfois emprisonner mon petit bouton entre ces dents toujours au travers de ma culotte, ce qui me procure d'immenses ondes de plaisir dans tout le corps, sa douceur et sa lenteur me rend complètement folle, je gémis et halète de plus en plus, alors que je sent une de ces mains remonter sur ma poitrine et venir stimuler un de mes mamelons, je le sent le rouler entre ces doigts, le tirer tendrement, jouer maladroitement avec mon anneau.
je l'entends me demander à voie basse qu'il pressent que je suis de plus en plus impatiente, il n'a pas tord du tout, j'en veut plus, mais non pas qu'il soit plus directe, je veut qu'il m'en donne plus avec la même tendresse, il me fait fondre.
j'ouvre alors doucement les yeux et redresse la tête vers la sienne, il me regarde et retourne à la tâche et continue de me lécher, je lui réponds.
mmmmmh... oui Mach je... suis impatiente... AAAaaaaaah... jamais personne n'a été aussi... ooooh... tendre avec moi...
sous le plaisir qu'il me donne, ma tête retombe en arrière, mes yeux se ferme et ma concentration se recentre sur toutes les caresses et sensations qu'il me donne, jusqu'au moment ou je sent sa langue faire rentrer ma culotte dans ma fente, venant à la rencontre de mes petite lèvres, quand enfin je sent ma culotte être écarté et le contacte de sa douce et chaude langue sur mon minous, j'en pousse un gémissement de satisfaction, depuis les longue minutes que j'attendais sa.
je sent sa langue passer dans ma petite fente, venir lécher mes petite lèvres et récolter mon nectar qui coule à flot depuis que nous nous sommes embrassé, chacun de ces coups de langue me donne une décharge électrique dans le bassin puisque sa langue fini sa course en venant caresser mon clitoris et à chaque fois c'est un petit cris de plaisir qui sort de ma bouche.
en même temps je sent ces mains enlever progressivement ma culotte, mais c'est avec regret que je sent qu'il arrête son traitement et me resserre les jambes.
AAAAaaaaaah... non... non Mach... n'arrête pas...
je le sent faire glisser ma culotte le long de mes jambes tout en les embrassant, mais je fut très vite rassurer quand il écarte de nouveau mes jambes pour se remettre à la tâche, mais cette fois plus en profondeur puisque je sent sa langue s'insinuer dans ma fente et dilater ma minette, venant caresser de sa langue mes douce et chaude membranes internes, alors que ces deux mains viennent s'occuper de mes seins, mes gémissement sont de plus en plus rapproché alors que sa langue fouille mon jardin d'amour.
au bout de longue minutes alors que mon excitation est à son comble, un premiers petit orgasme explose en moi, tendant tout les muscles de mon corps, mon bassin pris de soubresaut, la jouissance parcours mon corps.
AAAAaaaah... ouiii... ouiiiii... Mach... MMMMMMMMmmmmmmmh...
mes muscles se relâche petit à petit, reprenant mon esprit et mon souffle, je sent toujours la langue de Mach me travailler l'intérieur lentement et tendrement.
-
Mach s’était laissé finalement laissé tenter par le charme de Lili, et tout doucement, lui procurait un plaisir qui ne cessait de monter en elle. Visiblement, personne encore n’avait jamais prit son temps avec elle, allant directement à l’essentiel en la pénétrant rapidement. Le mercenaire quand à lui mettait plusieurs minutes pour passer d’une étape à l’autre, si bien, que s’il se trouvait désormais à stimuler de sa bouche l’intimité de la jeune femme, celle-ci possédait toujours sa culotte. Il pouvait sentir son excitation au travers de la quantité impressionnante de cyprine qui se déversée de son vagin, et avait complètement trempée la culotte, alors que Mach jouait avec son clitoris, de la langue ou des dents, mais très légèrement, alors qu’une main était remontée s’occuper d’une poitrine délaissée.
Il finit d’ailleurs par parler de l’impatience que semblait avoir Lili avec ses mouvements de bassins et ses requêtes, avant de se remettre au travail, en écartant cette fois le dernier obstacle. Mais, après quelques légers coups de langues, le jeune homme s’arrêta pour relever la tête et croiser le regard de sa belle, qui venait de répondre à sa remarque.
- Et bien, on va le faire durer le plus possible alors…
Dit-il avec un sourire amusé avant de revenir goutté à ce minou humide des plus délicieux. Le liquide que produisait son amante était en effet divin, et il ne se priva pas pour enfoncer sa langue dans son antre pour en récolter davantage, et faire quelques vas et viens. Bien sur sa main ne cessait son petit jeu sur la poitrine de Lili, enfin, jusqu’au moment où il finit par tout cesser, le temps de retirer le morceau de tissu qu’il restait, ce qui prit quelques secondes. En effet, Mach le fit tout en douceur et sensualité, prenant parfois exagérément son temps pour faire s’impatienter sa compagne un peu plus. Et cela à son petit effet, puisque la demoiselle ne tarde pas à le réclamer de nouveau, lui faisant afficher un sourire.
- Ne t’inquiète pas, maintenant qu’on a commencé, je ne compte pas m’arrêté et te laissé sur ta faim.
Dit-il avant de se replonger entre les jambes de la jeune femme et se remettre au travail, et cette fois ne se privant pas pour pénétrer le vagin de sa compagne avec sa langue, et en fouiller les moindres recoins, alors que ses mains sont de nouveaux remontées sur sa poitrine. Il la stimule si bien qu’il ne fallut pas longtemps à sa partenaire pour avoir un premier orgasme, et asperger le visage de Mach, qui continuait son manège, enfin pendant quelques instants, le temps que les spasmes de Lili se calment.
- Et bien, on voit que tu as prit ton pieds. J’espère que tu en as encore envie ?
Dit-il en se redressant, et remontant entre ses jambes pour placer son visage de nouveau au dessus de celui de la jeune femme, et venir l’embrasser langoureusement. En effet, il aurait été dommage qu’elle ne soit la seule à avoir joui et qu’ils ne puissent plus partager ce tendre moment encore un moment. Mach fit donc glisser une de ses mains sur le ventre de la jeune femme, atteignant son entrejambe. Là, il commença alors à jouer avec son clitoris et l’anneau s’y trouvant, en le faisant tourner d’un doigt ou le pinçant entre deux par exemple.
- Sinon, je n’aurai jamais imaginé qu’une si belle femme aimait les piercings à ce genre d’endroit ?
Cette prise de parole avait été murmurée à l’oreille de Lili alors qu’il y Baisait, léchait ou suçait de nouveaux cette région de son corps. SA main avait en partie délaissé le clitoris pour permettre à deux de ses doigts d’entrer en Lili et faire de lent vas et viens en elle pour la maintenir toujours assez excité et lui donner envie d’en avoir plus. D’ailleurs son sexe, formait à présent une belle bosse dans son caleçon, alors que sa mains libre malaxait doucement, mais avec avidité le sein sur lequel elle se trouvait.
-
alors que je me remet encore de mon petit orgasme, je sent Mach remonter vers moi, ma respiration redeviens à peut près normal, alors que je l'entends me dire comme quoi j'ai pris mon pied et me demande ensuite qu'il espère que j'en est encore envie.
ce que tu ma apporté n'est qu'un petit plaisir, j'ai encore très envie de toi Mach, tu me donne tant de plaisir...
Mach est si doux et tendre que j'en redemanderais bien tout le reste de la nuit, mais s'en doute que la fatigue nous terrasseras bien avant le levé du jour.
de suite après lui avoir répondu, je sent ces douce lèvres venir contre les miennes, nous échangeons un long baiser langoureux, nos langues se caresses, notre salives se mélange, il me semble être en plein rêve, en même temps j'amène ma main sur sa joue pour la caresser et passer mes doigts dans sa douce chevelure.
je sent la main de Mach me caresser aussi, mais plus bas, mon petit ventre d'abord, puis je le sent descendre et venir de ces doigts jouer avec mon clitoris et mon anneau.
au premiers contacte de ces doigts sur mon petit bouton, mon bassin tressaute tout seule, celui ci restant très sensible après mon petit orgasme, je pousse en même temps un petit crie aigu étouffé dans notre langoureux baisé, mais sa ne l'arrête pas et continue de caresser mon bouton, de le pincer doucement entre ces doigts, mon bassin bougeant tout seule et ma cyprin continue d'affluer, salissant le bord du lit, alors que des frissons de plaisir parcours mon corps, poussant des gémissements de plaisir sous ces tendre caresses.
un peut déçu Mach délaisse notre tendre baisé et me dit qu'il n'aurait jamais imaginé qu'une si belle femme aimait les piercings à ce genre d'endroit.
toute émus qu'il me dise que je suis une belle femme, je ne sais quoi dire pendant de longue secondes, personne ne ma jamais appeler femme, généralement les gens me nome comme une fille, fillette, chienne et autre nom dégradant, mais jamais femme et de sur croix belle.
je me remet de ma petite émotion, ouvre les yeux et lui répond.
... heu... disons que je n'ai pas eu le choix... mais n'en parlons pas... pas maintenant...
je ne voulait pas parler d'Ishtar, pas alors que l'on prend du plaisir.
pendant que je lui répond je sent sa langue baiser, lécher et sucer mon oreille, chose que je ne trouve pas très excitante mais je le laisse faire, par contre ces doigts on délaisser mon clitoris et deux d'entre eux viennent doucement s'introduire dans mon petit four chaud et huilé.
MMMMMMMH... Mach tes doigts... aaaaaaah... oui...
j'amène ma main sur son épaule pour la caresser et descendre sur son torse muscler pour sentir sous mes doigts ces muscles contracté, je viens même caresser sa ceinture abdominales et son bas ventre à ras de son boxer.
je sent ces doigts commencer à faire de lent vas et viens, ce qui me donne du plaisir, mais pas assez pour me combler, je contracte mes membranes pour mieux sentir ces doigts qui me découvre intérieurement.
en même temps je sent son autre main malaxer mon seins, ce Mach est vraiment très doué mais je me demande combien de temps est ce qu'il vas tenir avant qu'il ne craque viennent me pénétré.
intrigué je baisse ma vue et je remarque que son boxer est largement déformé, il n'a pas remarqué que je zieute son entre jambe, trop occupé à lécher mon oreille, je décide de relever ma tête et d'amener doucement ma main sur cette bosse, mes doigts parcours le tissu avant d'empoigner ce qu'il y à dedans.
c'est dur, chaud et palpitant, je sais ce que c'est et j'ai hâte qu'il l'utilise, je commence alors à la masturber toujours par dessus le tissu du boxer et lui dit.
mmmmmh... Mach, je sent que tu es très exciter toi aussi... tu veut que je m'occupe de toi?
après tout il viens de me faire jouir une fois déjà, je pourrais lui rendre l'appareil, mais encore fallait-il qu'il accepte et qu'il puisse continuer par la suite.
-
Lili finit par atteindre un premier orgasme, alors que Mach en était finalement qu’aux préliminaires. Mais, il ne lui en tint pas non plus rigueur, et continua de s’affairer à la tâche avant de finalement remonter pour mettre son visage à la hauteur de celui de sa compagne, et lui susurrer quelques mots à l’oreille avant de l’embrasser langoureusement. Ainsi, elle dut attendre que le baiser se termine pour lui répondre et dire que ce n’était pas grand-chose, et donc qu’elle pouvait bien continuer, et qu’elle comptait le faire. Mach sourit alors avant de répondre.
- J’espère bien.
Dit-il alors qu’une main descendait lentement sur le corps de la demoiselle pour atteindre son intimité, et commencer à jouer avec son clitoris et l’anneau qui y était situé. Pendant ce temps là, les lèvres du couple furent de nouveaux scellées un temps avant qu’il n’oriente son attention vers son oreille, et faire un nouveau commentaire sur ce qu’il avait trouvé. Celui-ci sembla perturber un peu la jeune femme, et donc, après l’avoir écouté, le jeune homme ne poursuivit pas. Il se contenta de faire glisser sa main sur les lèvres vaginales de Lili avant d’y faire pénétrer lentement, et une fois au fond commencer de lents vas et viens, alors que la demoiselle donnait de la voix.
- Qu’est ce qu’ils ont mes doigts ?...
Murmura t il à l’oreille de la demoiselle, un peu amusé de la situation, alors qu’il sentait ceux-ci comprimés par les parois de son amante, qui appréciait ses attouchements et semblait toujours en demander plus, alors qu’il prenait tout son temps. Pourtant, une main vint avec douceur s’occuper de la poitrine de Lili, alors que celle-ci ne tarda pas à jouer des mains, découvrant elle aussi le corps de son partenaire. En effet, celle-ci ne tarda pas à venir se poser sur son boxer, et découvrir la bosse qui s’y trouvait. Ainsi, elle n’aurait aucun doute sur le fait que Mach soit excité lui aussi, et commença d’ailleurs à lui procurer du plaisir en le masturbant à travers le tissu.
L’homme ne put d’ailleurs s’empêcher d’émettre un léger gémissement de plaisir sous la caresse, alors que la demoiselle prenait à son tour la parole pour stimuler son partenaire. Ce dernier vint placer son visage au dessus de celui de sa compagne, si proche qu’il n’en faudrait pas beaucoup plus pour qu’un nouveau baiser soit échangé.
- Cela te surprend ? Le contraire l’aurait été, si une si jolie femme ne m’aurait pas fait cet effet, surtout quand je lui donne du plaisir !
Répondit calmement et avec sincérité le jeune homme, alors qu’il revint s’emparer des lèvres de la demoiselle, faisant de nouveau pénétrer sa langue dans la bouche de Lili pour recommencer un nouveau ballet avec celle de son hôte, alors qu’il appréciait la douceur de ses lèves, et que ses mains s’activaient toujours, celle avec les doigts dans l’antre de la demoiselle s’accélérant un peu plus.
- Hmmm…S’est si gentiment proposé, et puisque tu semble en avoir envie…
Dit-il à la proposition de sa partenaire. Cependant, il ne bougea pas, revolant un nouveau baiser à la demoiselle. Enfin, il se redressa tout de même pour se remettre debout, arrêtant ce qu’il était en train de faire, sans doute aux regrets de sa partenaire, avant qu’il n’attende tranquillement qu’elle passe à son tour à l’acte. Bien sur, elle devrait se priver un peu, mais ce n’était que parti remise, car Mach ne comptait pas s’arrêter là, et espérait encore pouvoir donné un long moment du plaisir à son amante, malgré qu’il ne sache pas depuis combien de temps il était arrivée chez Lili, et donc que la soirée était peut être déjà bien entamée.
-
je ne put répondre à sa question, à savoir ce que ces doigts me faisais, il n'y avait rien à dire, il savait que ces doigts me donnais du plaisir.
un plaisir qui ne cesse de croitre et qui me fait dégouliner de plus belle, mais ma proposition l'intéresse, me disant que c'est si gentiment demandé et puisqu'il semble voir que j'en est envie, il ne dit pas non.
après ce premier petit orgasme en douceur, bien sur que j'ai envie de lui faire plaisir, sinon je ne lui aurais pas proposé, mais avant nous échangeons une nouvelle fois un baiser langoureux dont je ne me lasse pas, lui non plus n'a pas l'ère de s'en lasser, mais se tendre baisé est rompu, alors que je sent ces doigts se retirer de mon antre, je le voie se redresser et se mettre debout au bord du lit.
encore couché, je tend les bras vers lui et lui demande.
aide moi à me relever...
ce qu'il fait déjà comme un gentleman avant que je ne finisse ma demande, maintenant assise, ma tête se retrouvant en face de son bassin, je peut voir de prêt son boxer largement déformer et palpiter d'excitation.
je lève les yeux et lui sourie, je suis tout de même nerveuse, j'ai peur de le décevoir, j'y vais donc doucement, a mon rythme.
j'amène tout d'abord mes mains sur ces cuisses musclé et je les remontent sur ces flans jusqu'à ces abdominaux, palpant sa musculature parfaitement dessiné, caressant chaque plis, chaque veines apparente, sa peau est douce malgré les nombreuses cicatrices.
c'est alors que je descend mais mains sur son boxer et immisce le bout de mes doigts dans l'élastique de celui ci de chaque coté, mais ne descend pas celui ci de suite, je viens tout d'abord donner quelques tendres baisés sur ces abdominaux en béton et inséré le bout de ma langue dans son nombril, avant de me reculer et de nouveau le regarder dans les yeux avec le même sourire qu'il y à quelques minutes.
mes doigts commence alors à descendre doucement le boxer, dévoilant centimètre par centimètre l'intimité de Mach, celui ci est quelques peut retenue par son sexe tendu, je peut voir son bas ventre décorer de sa toison pubienne brune, continuant de descendre, son membre tendu vers le bas est coincer par l'élastique du boxer.
a ce moment là, je me mord la lèvre inférieur en découvrant son sexe centimètre par centimètre, jusqu'au moment ou l'élastique ne le bloque plus et que son membre surgis d'un coup, manquant de peut de me frapper le visage
AAAaaaah... AH AH AH!
je pousse alors un cris de surprise suivie d'un rire nerveux, encore un ou deux centimètre de plus et il m'aurais frappé la mâchoire, sa queue pointe vers mon visage tel une arme, mais je sais que cette arme ne me fera pas de mal, pas celle de Mach en tout cas.
je découvre son sexe avec curiosité, celui ci doit bien faire 23 centimètres de long pour 5 de large, à moitié décalotté et parcourue de veine, ces bourses parsemé de poil brun, il n'a rien qui puisse me faire regretter de faire l'amour avec lui, d'ailleurs c'est la seule partie de son corps ou il n'a pas de cicatrice.
je lève à nouveau le regard vers lui et me lèche les lèvres avant de le complimenter.
tu est bien... équipé Mach... enfin je veut dire pour un soldat...
repensant à l'idiotie que je viens de lui dire j'essaie de me rattraper.
... heu... non pas que je couche avec pleins de militaires... loin de là je...
plus je parle et plus je m'embrouille en assaillent de rattraper la gourde que j'ai dite.
... heu... bref... tu as compris ce que je voulais dire...
arrêtant de parler, mon visage rouge de honte, baissant le regard sur son membre, j'amène une main sur la hampe de son sexe et termine doucement de le décalotter, en même temps alors que j'amène son prépuce à dévoiler entièrement son gland, je remarque qu'une goute de liquide séminal se forme au bout de son gland, exciter comme il est, sa ne m'étonne pas, je trouve sa mignon.
j'amène un doigt de mon autre main récolter cette goute et l'amène à mes lèvres, je passe alors ma langue sur mes lèvres pour gouter son gout tout en le regardant dans les yeux le sourire aux lèvres.
son gout est salé comme la plupart des hommes que j'ai put gouter.
je caresse doucement sa hampe de ma main, puis approche mon visage et je commence à donner quelques tendre baiser de mes douce lèvres sur son gland, puis sur sa colonne de chair, j'embrasse aussi ces bourses chaude et poilus, puis je reviens embrasser sa hampe tout en remontant jusqu'au gland, son odeur m'enivre, il sent la lavande, surement le savon à la lavande qu'il a utilisé dans la salle de bain, j'adore cette odeur.
je continue à lui faire plaisir, enfin je l'espère, en donnant de petit coups de langue sur son gland, je lape celui ci tout en masturbant lentement son mandrin, alors que de mon autre main je viens passer mes doigts dans sa foret pubienne avant de descendre à ces bourses pour les masser délicatement et l'exciter d'avantage.
mes coups de langue descende le long de son bâton de chair laissant une fine couche de salive, puis rabattant d'une main son sexe sur son ventre muscler, pour avoir un meilleur accès à ces bourses, je viens donner de grand coups de langues sur celles ci avant de les prendre une à une entre mes douces lèvres et les prendre en bouche pour les caresser de ma langue bien au chaud.
je l'entends pousser de petit gémissement sous mon traitement, mais je n'ai pas fini.
je délaisse alors ces bourses maintenant enduite de salive et je donne un grand coup de langue, partant de la base de son membre jusqu'à son gland, je recommence plusieurs fois cette même caresse en appuyant bien ma langue sur son pieu, je sent celui ci palpiter et du liquide séminal s'écouler le long de sa queue mais je rattrape celui ci avec ma langue.
je laisse alors son membre pointer de nouveau vers mon visage et approche doucement mes lèvres de son gland, il doit sentir mon souffle chaud contre celui ci, j'empoigne de nouveau son sexe d'une main et passe sa verge délicatement entre mes douces lèvres, je n'ai que le gland en bouche, je le lèche de ma langue, le suçote, fait racler très délicatement mes dents sur ce bout si sensible.
puis je commence à le rentrer doucement dans ma bouche, quelques centimètres, pas plus, juste de quoi pourvoir faire de petit vas et viens avec ma tête, ce que je fait doucement, j'y vais à mon rythme et sa n'a pas l'air de lui déplaire vue les palpitation de son sexe dans ma bouche.
au fur et à mesure que les minutes passe, les vas et viens de ma tête deviens de plus en plus ample enfonçant plus profondément son membre chaud dans ma bouche, elle aussi chaude, jusqu'au moment ou je sent son gland taper ma glotte.
j'effectue pendant de longue minutes de lent et ample vas et viens avec ma tête, bavant abondamment sur sa queue, mais vue sa patience, sa douceur et sa gentillesse j'ai envie de lui faire encore plus plaisir.
je viens placer mes mains de chaque coté de ces anches et continue de le sucer avec gourmandise, jusqu'au moment ou je force la barrière de ma gorge et fait rentrer son gland dans celle ci, je reste quelques longue secondes pour laisser ma gorge s'habituer et recommence à le sucer, je recommence de nombreuse fois enfonçant de plus en plus son membre dans ma gorge, il me coupe le souffle à chaque fois, mais ces râles de plaisir me font aussi plaisir, je sent son gland palpiter et racler contre ma gorge canneler, si bien qu'à force que l'enfoncer de plus en plus profondément, mon nez viens s'écraser contre son bas ventre et mon menton viens à la rencontres de ces bourses, je reste encore une fois le souffle couper et la gorge remplis de son sexe pour que ma gorge s'habitue à sa grosseur avant de le ressortir entièrement laissant dessus une épaisse couche de salive gluante.
je reprend un peut mon souffle avant de reprendre mes caresses buccales mais cette fois ci bien plus profondément qu'au début allant de suite dans ma gorge et très vite je l'engloutis entièrement, lui faisant des gorge profonde à une vitesse un peut plus soutenue qu'au début.
ma gorge s'habitue peut à peut et se décontracte, laissant le membre de Mach coulisser plus facilement dans ma gorge cannelé, maintenant il fallait savoir si il allait tenir encore longtemps ou si il aller m'arrêter avant que sa jouissance ne viennent.
-
Alors que Mach s’occupait doucement de Lili, la faisant gémir et mouiller sans discontinuer, malgré qu’elle ait déjà eut un orgasme, celle-ci, après un nouveau baiser, propose d’inverser un peu les rôles. ‘y voyant pas d’inconvénient, même au contraire d’une certaine façon, bien que son sexe était déjà bien droit, et aurait pu s’en passer. Mais, vu que Lili en avait envie, pourquoi se priver d’une fellation hein ? Le jeune homme se releva alors, restant entre les jambes de la demoiselle, pour lui laisser l’accès libre à son intimité. La jeune femme lui demanda tout de même de l’aide pour se redresser, et le mercenaire ne se fit pas prier pour cela, l’attirant à lui pour échanger un nouveau baiser langoureux avant qu’il ne se remette droit et patiente.
Sa partenaire qui se retrouvait à présent, juste à la bonne hauteur pour que son visage soit face au boxer de Mach, cette dernière ne pourrait pas manquer la bosse qui s’y trouvait et marquait l’excitation de son amant. Pourtant, s’est avec douceur et lenteur, comme si elle voulait faire durer le suspens sur la taille du pénis de son partenaire, qu’elle prit le temps de le découvrir. Ainsi, Mach sentit tout d’abord les mains chaudes et douces de Lili venir se poser sur ses cuisses dans de lentes caresses, alors qu’elles montaient progressivement vers son bassin. Là, elles s’attardèrent légèrement sur son abdomen avant de redescendre vers le dernier vêtement du jeune homme.
Ce dernier appréciait le contact de ses mains sur sa peau, et vit petit à petit le sous vêtements descendre, un peu gêner par le sexe en érection à l’intérieur. Mais, sans se presser, la demoiselle le rendit enfin visible, mais la surprise et la vitesse de sortie pour le faire remonter manqua de heurter le menton de Lili qui poussa un cri de surprise, alors que Mach se mit à rire.
- On dirait qu’il avait hâte de faire ta connaissance !
Dit le jeune homme avec humour, alors qu’il fit cesser son rire. Pendant ce temps, la jeune femme observer le membre de bonne taille devant elle, et une certaine envie semblait apparaître dans ses yeux, avant qu’elle ne lève les yeux pour prononcer quelques mots. Elle sembla d’ailleurs troubler, puisqu’elle eut du mal à exprimer clairement ce qu’elle voulait. Et alors que Lili rougissait de honte, Mach sourit.
- Tu n’as peut être pas couché avec beaucoup de soldats, mais tes propos laissent bien voir que tu l’as fait avec beaucoup d’hommes, je me trompe ?
Dit-il alors qu’il sentit une main sur son membre, le faisant frissonner alors que la jeune femme commençait lentement à s’occuper de lui. Puis, alors que l’excitation de mon corps à provoquer la sortie d’un peu de liquide séminal, cela ne stoppa pas la jeune femme qui vint le récolter pour le mettre en bouche en venant plonger son regard dans celui de Mach.
- Cela te plait-il ?
Se contenta t il de demander pour éviter de sortir une remarque trop perverse, qui n’aurait pas été avec son attitude actuelle. Puis, elle passe à la vitesse supérieure, mais toujours avec douceur et en prenant son temps. Elle parsemait son membre de baisers et de coups de langues, sans oublier ses bourses, dont elle vint jouer de la main avant de les prendre en bouche. Mach ne put d’ailleurs s’empêcher de gémir sous les diverses caresses. En tout cas, son affirmation sur le fait qu’elle ait eu plusieurs hommes avant lui était confirmée vu l’adresse de la demoiselle dans son art.
Elle finit par prendre lentement son sexe en bouche, jouant d’abord avec le gland, puis s’enfonçant progressivement, jusqu’à la gorge, et commença de lents allers-retours, donnant de sacrées sensations à son compagnon. Surtout qu’elle accéléra le rythme de plus en plus, en s’enfonçant toujours plus profondément dans sa bouche chaude et humide, jusqu’à avoir totalement le pénis de Mach dans cette dernière. D’ailleurs, elle le conservait souvent plusieurs secondes comme çà avant de le retirer pour reprendre son souffle pour recommencer.
- Hmmm…On dirait une friandise pour toi….hmmm…
Dit-il entre deux gémissements, alors que le plaisir montait et qu’il tentait de le retenir .En effet, il était un peu tiraillé entre l’idée de jouir pour se mettre à égalité avec elle ou ne pas le faire pour continuer dans une autre position. Bon, il savait que dans le premier cas, la pause serait assez courte, vu l’excitation qu’il avait, et que sa compagne semblait en vouloir encore et donc, il devrait la satisfaire. Mais, la morphologie masculine ne permettait pas d’avoir son membre entièrement tendu après une jouissance, même si ce dernier ne revenait pas forcément au repos non plus tout de suite, permettant de faire remontrer le plaisir assez vite.
- Hmmm…s’est bon, ta gorge est étroite….
S’exprima-t-il, puisque maintenant Lili faisait en sorte que le pénis de son compagnon s’enfonce au plus profond d’elle par cet orifice. Lui, avait posé ses mains sur la tête et caressait sa chevelure lentement, n’ayant pas besoin de donner un rythme à la jeune femme qui se débrouillait déjà très bien sans cela. Son regard n’était même pas posé sur elle, le plaisir étant si grand qu’il avait du mal à baisser la tête, ce qu’il fit tout de même à un moment.
- Je crois que…hmmm…Tu le veux ou on change de position ?...hmmm…
Demanda t il en ayant finalement décidé de laisser choisir Lili sur ce qu’elle voulait. Qu’il lance la purée dans sa bouche, et dans ce cas, il veillerait à le faire quand il serait enfoncé au plus profond d’elle, sauf si elle préférait se voir asperger de sa semence bien sur. Ou alors, il se retirait de sa bouche pour passer à la suite, ce qui pouvait permettre aussi à l’excitation de retomber suffisamment pour ralentir l’éjaculation pendant qu’is prenaient une autre pose, avec surement une pénétration vaginale surement.
-
alors que je venait de à descendre son boxer et que le membre de Mach avait manquer de peut de heurter mon menton, lâchant un petit crie de surprise suivie d'un rire nerveux, Mach lui avait rie lui aussi et par la suite sortie une réflexion, comme quoi son sexe avait hâte de faire ma connaissance, ceux à quoi j'avais rie encore plus et m'avais quelques peut détendue.
je vois sa... nous allons faire plus ample connaissance alors...
je lui est répondu pour rester dans son jeux de parole, le complimentant ensuite sur son sexe, ou je m'était complètement embrouiller, devenant rouge de honte, arrêtant de parler pour éviter de sortir une autre idiotie, Mach lui prend la parole et me dit que je n'ai peut être pas couché avec beaucoup de soldats, mais que mes propos laissent bien voir que je l'ai fait avec beaucoup d'hommes et me demande si il se trompe.
ce à quoi, un peut plus honteuse encore je lui répond.
ce n'est pas faux, j'ai eux quelques aventures plus ou moins bien...
ce qui n'est pas tout à fait faux, mais pas tout à fait vrai non plus, bien sur je me voyais mal lui dire que j'avais été dépuceler par une créature tentaculaire, que j'avais déjà donné naissance de plusieurs créatures cauchemardesque, que je m'était faite violé par un être étrange dans les quartiers de la toussain, que j'avais coucher avec des hermaphrodites, que ma maitresse était une dragonne, j'en passe et des meilleurs.
bien sur je n'avais pas provoquer tout cela mais depuis quelques temps ce sont ces aventure qui rendait ma vie active et passionnante.
c'est alors que je commencer à m'occuper de Mach en décalottant son gland et que je récolte le liquide séminal qui sort du bout avant de l'amener à ma bouche pour le gouter. me voyant faire sans doute je l'entends me demander si cela ma plais.
je lève mon regard sur lui et lui répond un sourire en coins.
j'aime oui... j'aime beaucoup...
je lui répond avant de commencer à m'occuper de lui, doucement et tendrement, prenant le temps de caresser de ma langue le moindre recoins de son intimité.
alors que j'ai son sexe en partie dans ma bouche et que je m'applique à le sucer du mieux que je peut pour lui donner un maximum de sensation, je l'entend me dire entre deux gémissement de sa part que son mandrin est comme une friandise pour moi.
je ne savait pas si ce qu'il venait de dire était un compliment mais c'était peut être un prétexte pour que je lui réponde et qu'il est quelques secondes de répit pour faire redescendre la pression de son plaisir.
je retire son membre de ma bouche et lui répond, un filet de bave reliant son gland à ma lèvre inférieur.
une vrai friandise font dans ma bouche... la tienne ne fait que grossir et durcir...
je lui dit avant de le reprendre en bouche et de continuer à lui faire plaisir.
petit à petit c'est dans ma gorge que je l'accueil, le faisant rentrer dans mon étroit passage cannelé ou il peut sentir les contractions de ma gorge sur sa hampe, je l'entends me dire qu'il trouve sa bon et que ma gorge est étroite, ce que je sais déjà vue la difficulté de j'ai à l'enfoncer de plus en plus, mais peut à peut en y allant doucement et en détendant ma gorge, c'est son sexe entier que j'arrive à engloutir sans mal, restant quelques secondes sans respirer de temps en temps avant de reprendre de lent vas et viens et prenant sa queue entière à chaque fois pour habituer ma gorge, accélérant peut à peut les aller et venue de ma tête santant son gland racler les cannelures de ma gorge de plus en plus rapidement et son membre palpiter dans ma gorge, je sent aussi sa main venir se poser sur ma tête, il me caresse les cheveux comme on remercie un animal de compagnie mais n'y fait pas attention mettant tout en œuvre pour lui donner un maximum de plaisir, au moins autant de plaisir qu'il m'en à donner avec sa langue et ces doigts il à de sa quelques minutes.
mais je l'entends dire qu'il croit que suivie d'un gémissement, pensant comprendre ce qu'il veut dire vue les palpitation rapide de son membre dans ma gorge il n'allait pas tarder à jouir et gentleman comme il est, il me demande ensuite si je le veut ou si je veut que l'ont change de position.
curieuse comme je le suis alors que j'ai son sexe entièrement en bouche, je le retire tout doucement de ma gorge puis de ma bouche laissant dessus une épaisse couche de salive gluante, quelques filets de bave reliant ma bouche à sa queue et lui demande à mon tour avec un sourire coquin.
que veut tu dire par changer de position? je suis curieuse de savoir à quoi tu pense Mach, dit moi ce que je doit faire et je le ferais, j'aime bien les surprises...
je lui dit tout en le regardant dans les yeux.
-
A genoux devant Mach, Lili lui procurait une fellation du tonnerre, qui empêchait le jeune homme de dissimulait son plaisir, et laissait donc des gémissements se faire entendre. Il la complimenta d’ailleurs plusieurs fois et la demoiselle répondit à chacune ou presque de ses remarques calmement avant de se remettre à lui donner du plaisir buccal. Mach n’avait même pas besoin d’imposer un rythme à la jeune femme qui variait le sien à la perfection, même s’il vint déposer ses mains dans la chevelure de celle-ci. Ainsi, leur position était plus pour les avoir quelques part qu’autre chose
- J’espère…être dans les bons…alors…hihi
Dit-il un peu amusé pour montrer qu’il ne cherchait pas à se flatter non plus, alors que son souffle était toujours rapide et saccadé. Son amante prenait visiblement du plaisir elle aussi, et il trouvait cela le plus important. En tout cas, le mercenaire se sentait proche de la jouissance, et ne tarda pas à demander à sa compagne si elle ne voulait pas changer de position, sauf si elle préférait ben sur qu’il jouisse dans sa bouche ou son visage bien sur. Après chacun avait ses goûts, comme l’acte avec une seule jouissance en variant les positions, et donc avec de légères pauses pour faire baisser l’excitation et éviter l’extase. Ou alors aller jusqu’au bout dans un sens, et changé après cela pour le faire plusieurs fois encore.
Lili ralentit en tout cas le rythme, ce qui fit diminuait la pression dans son membre, qui resta cependant bien dressée devant le visage de la demoiselle, qui le masturbait lentement, alors qu’elle demandait à son amant ce qu’il voulait entendre dire par là, et qu’elle aimait les surprise. D’ailleurs, elle semblait accepter de faire tout ce que son partenaire lui dirait. Si bien qu’après un sourire de sa part, Mach se recula légèrement pour pouvoir se baisser et l’embrasser langoureusement. Ses mains vinrent alors glisser sur les hanches de la demoiselle avant qu’il ne les empoigne fermement mais toujours avec douceur, alors qu’il soulevait Lili pour la rassoir sur le lit, veillant à garer tout de même ses jambes écartées.
- Et que dirais tu que mon petit oiseau vienne se réchauffer dans un nid bien chaud et agréable ?
Métaphorisa t il avec le sourire, alors que dans le même temps, il était venu se placer entre elle, faisant glisser la jeune femme pour l’allonger de nouveau sur le lit. Il lui donna alors un long baiser langoureux, alors que ses mains revinrent s’occuper tendrement des seins de son amante.
- Et dire que tu n’attends pas cela serait mentir, non ?
Dit-il un peu pour la taquiner, alors que son membre venait frôler les lèvres intimes de la jeune femme. Mach bougeait d’ailleurs pour que ce dernier parcoure toute la longueur de celles-ci, sans oublier le clitoris bien sur, sur lequel il appuyait légèrement plus. Bien sur, la manœuvre était là pour exciter un peu plus sa camarade, et il n’attendait donc plus que la réponse de celle-ci pour le faire.
- En tout cas, moi je n’attends plus que cela…de faire plus qu’un avec toi !
Dit-il alors que son gland entrait tout juste, avant de ressortir pour montrer l’avant gout de ce qui allait arriver, mais attendait tout de même l’accord de la jeune femme pour y aller. Pendant ce temps, Mach fit glisser sa bouche sur le visage de Lili avant de descendre dans de multiples bises et léchouilles sur la poitrine de sa compagne qu’il emprisonna dans sa bouche ne négligeant aucun sein, ni tétons.
-
après ma réponse à sa question, sa queue toujours dresser devant mon visage, je le vois se reculer un peut et se baisser pour venir m'embrasser, nos langues et nos lèvres se mélange à nouveau dans un baisé langoureux, en même temps je sent ces mains glisser sur mes hanches avant que celles ci m'empoigne, me soulève et me repose sur le lit, gardant mes jambes écartées puisque Mach est venue se placer entre celles ci.
notre baiser se termine alors que je caresse d'une main l'un de ces bras musclé et de l'autre sa nuque, je l'entend alors me demander ce que je dirais si son petit oiseau venais se réchauffer dans un nid bien chaud et agréable.
ce à quoi je répond un peut amusé par cette métaphore.
je n'attends que sa mon sauveur... mais ton petit oiseau n'est pas si petit que sa...
en même temps il viens coller son membre contre mon bas ventre et me fait glisser pour m'allonger doucement sur le lit, avant de venir m'embrasser dans un tendre et long baisé pleins de passions, à chaque fois qu'il m'embrasser je deviens toute choses, toute cette tendresse dont je n'ai pas l'habitude est très agréable si bien que mon corps se réchauffe encore, mais Mach y met aussi du siens puisque je sent ces mains venir s'occuper de nouveau de mes mes seins.
je sent mon excitation monter en flèche, mon corps se réchauffer d'avantage, ma cyprin couler continuellement de mes lèvres intimes alors que j'entends Mach me poser une nouvelle question, revenant sur ma réponse à sa questions précédente, comme quoi dire que je n'attends que sa serais mentir.
la dessus je peut dire qu'il n'a pas tout à fait tord, vue la tendresse qu'il met dans l'acte, même s'il visite ma minette pendant un long moment, je ne pourrais m'empêcher au bout d'un moment de lui demander qu'il me prennent par la porte secrète, juste pour savoir si il arriverais à rentrer sans me faire mal, tendre comme il est, il y arriverais sans doute, mais pour sa il vas falloir qu'il me garde excité un moment.
un peut gêné je lui réponds.
... c'est vrai, tu as raison, dire que je n'attends que sa serais mentir, mais chaque choses en sont temps...
je sent son gourdin frôler mes grandes lèvres, donnant de léger coups de rein pour que toute la longueur de sa queue parcourt ma petite fente jusqu'à mon clitoris ou je le sent appuyer un peut plus, ces caresses me donne des frissons, impatiente de le sentir entrer en moi, il me fait languir et sa me fait mouiller encore plus.
de mon coté mes mains parcours son dos musclé et descend jusqu'à ces reins, d'une main je l'incite à appuyer un peut plus son membre contre mon sexe et de l'autre je palpe à pleine main ces fesses musclé, mon souffle haletant je l'entends me dire que de son coté il n'attends que sa, de faire qu'un avec moi, alors que je sent maintenant le bout de son gland écarter mes glandes et petites lèvres, prêt à rentrer et ressortir comme si il hésitait, il n'y avait pas de quoi, mais sa doit faire partie de son jeux pour me faire languir encore plus.
il viens à nouveau m'embrasser et descends vers ma poitrine dans de nombreux baisés et léchouilles avant de s'occuper un à un de mes seins, gobant mes mamelons dressé, léchant et caressant mes seins.
je pousse des gémissements aigu de plaisir en sentant sa bouche s'occuper aussi bien de ma poitrine qui deviens bouillante, mais j'en veut plus.
j'amène alors mes mains sur son visage et lui relève doucement la tête, un filet de bave reliant sa lèvre inférieur à un de mes tétons, je lui dit.
... attend... je n'en peut plus...
nous nous regardons tout les deux dans les yeux, alors qu'une de mes mains quitte son visage et caresse son torse tout en descendant jusqu'à son entre jambes, je viens caresser tout d'abord ces bourses et remonte le long de son dard, amène son gland à se frotter contre ma petite fente dans quelques monter et descente de ma main qui le guide, avant de le placer à l'entrée de mon four ruisselant.
je lui demande alors.
si tu ne veut faire plus qu'un avec moi, pousse maintenant Mach...
finissant ma phrase en me mordant la lèvre inférieur attendant le plaisir de sentir son mandrin entrée au font de mon antre chaud et accueillant.
-
Mach avait fait se rallonger Lili sur le lit pour passer à la suite du plaisir. Mais, tout en reprenant la parole, pour titiller un peu la jeune femme, lui faisant sortir quelques compliments sur son physique à lui dans le même temps, il s’occupait tendrement de sa poitrine de ses mains, et entrecoupait ses paroles de baisers sur les douces lèvres de la demoiselle ou sur une zone non loin et accessible à sa bouche. Dans le même temps, son sexe était venu se coller à celui de sa partenaire, sans pour autant la pénétrer. Car même s’il en avait envie, surement autant qu’elle, le jeune homme se contenta de saluer ses lèvres intimes de quelques caresses du gland. Il poussa même le vice, jusqu’à entrer légèrement ce dernier avant de le ressortir.
Mais, la jeune femme ne tarda pas à se montrer impatiente de nouveau en disant qu’elle ne tenait plus, et venant empoigner son pénis d’une main pour le guider entre ses lèvres vaginales, sans pour autant l’attirer suffisamment pour la pénétrer. Mais, elle le lui demanda tout de même, alors que Mach sourit. L vint alors l’embrasser langoureusement, prenant entre ses doigts les tétons de Lili pour les pincer sans chercher à lui faire mal pour autant.
- Mademoiselle sera donc exaucée…aaah..
Dit-il avant d’introduire lentement son sexe dans l’antre humide et chaud de son amante. Et on pouvait dire que cela rentrait comme dans du beurre avec l’excitation de Lili, même si le membre du mercenaire se retrouva tout de même pressé entre les parois de la demoiselle. Mais, celles-ci n’étaient pas suffisamment serrées pour s’opposer à la pénétration, mais plutôt pour donner encore plus de plaisirs aux deux compagnons de sexe.
- Ta vulve est un vrai plaisir dis donc…
Dit-il avant d’embrasser de nouveau la jeune femme, alors que son sexe entrait de toute sa longueur dans la caverne secrète de son amante, comme s’il ne voulait pas restait au froid externe. D’ailleurs, Mach s’immobilisa une fois que ses bourses furent collées aux fesses de la jeune femme. Ses mains avaient quittées les seins de la jeune femme, une pour venir se glisser sur une joue tendrement, alors que l’autre alla capturer une de ses homologues chez sa partenaire. Le regard du mercenaire se plongea dans celui de sa compagne, alors que cela pourrait passer pour de longues secondes écoulées depuis qu’il s’était immobilisé en elle.
- Tu es prête ?...
Question sommes toute inutile maintenant qu’il était en elle. En effet, à quoi bon prévenir qu’il allait commencer les vas et viens. Ce qu’il se mit à faire lentement en retirant partiellement avant de revenir au fond de l’antre de la jeune femme. Il y allait donc en douceur pour habituer Lili et ne pas faire monter le plaisir trop vite non plus, même s’il veillait à ne pas se retirer entièrement de la jeune femme non plus dans ses mouvements. La main sur la joue de la demoiselle glissa alors dans une lente caresse pour revenir se placer sur la poitrine, enfin la zone que son corps à présent presque appuyé contre celui de la jeune femme, le lui permettait
-
sur ma demande Match vint pour la unième fois poser ces lèvres contre les mienne pour m'embrasser langoureusement, nos langue se caresse passionnément, nos fluide se mélange, en même temps je sent ces mains, enfin surtout ces doigts venir pincer doucement mes tétons percer, dur et dressé, me procurant de légère décharge électrique dans le dos.
quand il romps ce baisé, je pousse de petit gémissements, mon souffle est haletant, je l'entends me dire que ce que je viens de lui demander vas être exaucé, quelques secondes plus tard je sent sont gland écarter mes grandes lèvres chaude et humide, s'en suit l'écartement de mes petite lèvres, pour enfin sentir son gland suivie de sa hampe veiné écarter mes membranes douce, velouter et humide elle aussi dans une lente pénétration.
une fois son gland rentrer je lâche son sexe et amène ma main sur sa fesse pour me cramponner, je ferme les yeux et lâche un gémissement de plaisir intense alors que je sent son sexe me pénétré lentement, je suis tellement excité qu'il n'a pas grande difficulté pour rentrer.
aaaaaAAAAAAAAMMMMmmmmh... Mach...
je l'entends lui aussi gémir sous le plaisir, il devait en avoir envie autant que moi, je l'entends ensuite me complimenter sur ma vulve, mais toujours les yeux fermé, trop concentré sur le plaisir qu'il me procure, c'est une peut mon subconscient qui lui répond crument.
ta... aah... ta queue aussi est un... mmh... plaisir Mach...
je le sent une nouvelle fois venir m'embrasser, mais cette fois c'est d'une façon assez bestial que je l'embrasse, lâchant une de ces fesses pour venir empoigner fermement ces cheveux et le maintenir pour qu'il continue de m'embrasser, je suce sa langue, lui mord doucement la langue et sa lèvre inférieur.
c'est seulement quand je sent son bas ventre se coller au miens et ces bourses s'écraser contre mes petite fesses que je lâche sa chevelure et pousse un gémissement de satisfaction, rompant par la même occasion notre baisé.
OOOOoooooh...
maintenant totalement enfoncer en moi, Mach doit sentir les palpitations de ma vulve excité et les contractions de mes douces membranes sur sa verge, je sent ces mains quitter mes seins, puis quand l'une d'elle viens caresser ma joue, j'ouvre les yeux et mon regard se plonge dans le sien, c'est comme magique, il n'a aucune agressivité sur le visage, n'y de regard pervers, peut être un homme parfait, je ne le sais pas encore.
son autre main viens s'emmêler avec une des miennes, comme pour m'accompagner quelques part, peut être pour le rassurer.
nos regard plonge l'un dans l'autre pendant de longue seconde, moi je le regarde en souriant, mais bizarrement nous ne nous disons rien, jusqu'au moment ou enfin il ouvre la bouche et me demande si je suis prête.
pendant un fraction de seconde je me demande ce que veut dire sa question, prête à quoi?
il est déjà entièrement en moi, mais ne bouge pas, il me demande l'autorisation de commencer ces vas et viens, qu'elle homme demande sa une fois qu'il est à l'intérieur, peut d'homme à mon avis, pour l'instant c'est le premier que je rencontre, mais je suis encore jeune, je verrais bien par la suite.
sans plus réfléchir je lui répond en chuchotant.
oui... oui Mach je suis prête...
je le sent alors commencer de lent vas et viens, retirant en partie son sexe avant de revenir s'enfoncer jusqu'à la garde dans mon antre chaud et ruisselant de mouille, je soupir d'aise à chaque aller et retour, la sensation est douce et apaisante, je contracte de temps à autre mes membranes pour me donner et lui donner plus de plaisir encore, je pousse quelques gémissement de plaisir, maintenant coucher sur moi, il viens caresser à nouveau ma poitrine d'une main, pour ma par, de ma main libre je viens caresse le bas de son dos au niveau de ces reins accompagnant ces lent allés et retour.
-
Ca y était enfin, Mach avait pénétré Lili qui avait laissé un cri de plaisir, alors que le jeune homme gémissait en s’immobilisant au fond de l’antre chaude et humide pour partager un nouveau baiser langoureux avec la demoiselle, et écouter ses commentaire Le jeune homme était assez bien comme cela, mais, il faudrait tout de même se mettre à bouger pour donner encore plus de plaisir à sa partenaire, alors que seul ses mains sur la poitrine de son amante, et s bouche, étaient actives pour le moment. Mais, alors que la demoiselle donnait de la voix la question de son compagnon pour savoir si elle était prête aux mouvements, la surprit et elle finit par lui répondre.
Mach se mit donc à bouger lentement son bassin donnant un mouvement d’aller et venu lent de son sexe dans celui de la demoiselle. La voix de la demoiselle se fit plus intense à chaque fois que Mach venait buter au fond de son antre entourant son membre. L’excitation de Mach fut telle qu’il eut l’impression que son sexe grossit encore légèrement dans le vagin de Lili, comme si ce dernier voulait épouser parfaitement la cavité de la jeune femme.
- Hmmm…je me sens si bien en toi…
Marmonna t il sans cesser ses mouvements, alors qu’il se pencha de nouveau au dessus de la jeune femme pour venir embrasser fougueusement sa partenaire.. Puis, après quelques instants, il se redressa, se plaçant à genoux sur le lit, sans pour autant cesser ses mouvements, saufs ses mains sur les seins de Lili. Celles-ci étaient venues se positionner sur ses hanches, alors que son bassin était à présent un peu soulever pour permettre à Mach de continuer de lui donner du plaisir, alors que ses fesses étaient décollées du matelas.
Les jambes de la demoiselle était toujours de chaque côté du corps de Mach qui les laissait pour le moment libre de se mouvoir derrière lui, alors que son bassin donnait toujours ses à-coups. Certes ceux-ci étaient peut être un peu plus brutaux dans cette position, mais il avait l’impression d’aller plus profondément en elle aussi, ce qui compensait la perte de douceur dans le plaisir qu’ils partageaient.
- Aaah…Tu aimes ?...
Demanda t il en plongeant son regard dans celui de la jeune femme. Une de ses mains quitta alors les hanches de la jeune femme qui aidait aux mouvements du jeune homme sans qu’il ne fasse glisser Lili en arrière sur le lit. Cette main libre vint caresser le ventre de la demoiselle avant de glisser vers son intimité et venir stimuler le clitoris percé de la jeune femme, jouant de diverses façons avec lui, sans jamais mettre trop de forces dans ses mouvements pour ne pas faire mal à son amante. Ses seins libres s’étaient d’ailleurs mis à balloter de haut en bas pour suivre le rythme imposé par Mach, dont le souffle était court, et dont le regard ne quittait pas le regard splendide de sa partenaire.
-
je le sent se mouvoir en moi, rentrer dans de lent vas et viens tout la longueur de son membre, chacun de ces doux aller et retour me procure une onde de plaisir, je lâche de doux gémissement à chaque mouvement, je l'entends lui aussi gémir et me dit qu'il se sent si bien en moi.
sous ces mots je rougis un peut plus et lui dit d'une douce voix.
aaaaah... moi aussi Mach, je suis si bien quand tu est en moi... mmmmmh... ne t'arrête pas...
je sent ces bourses caresses mes grandes lèvres à chaque fois qu'il me pénètre jusqu'à la garde, mes membranes l'enserre, alors qu'il je penche à nouveau sur moi et m'embrasse fougueusement, j'ouvre mes lèvres sans résistance et l'embrasse moi aussi, nos langue se mélange à nouveau pendant plusieurs minutes avant qu'il ne le romps pour se redresser.
sans sortir son sexe de mon antre, il se met à genoux, ces mains qui était sur ma poitrine descende le long de mon ventre et viennent se poser sur mes anches, il me surélève les fesses et continue ces lents vas et viens.
aaaaah... qu'est ce que tu fait Mach... OOUUuuuuh...
la position qu'il viens de me donner change totalement l'angle de pénétration de sa verge, elle frotte plus exagérément sur le coté de mon bas ventre, ce qui me donne de nouvelle sensation, dans cette position ces coups de reins son plus brusque mais me donne encore plus de plaisir.
mes mains viennent enserrer le drap du lit, le plaisir m'envahis d'avantage, mes gémissement son plus sonore, mon souffle s'accélère, mes seins ballotte au rythme de ces coups de reins, mon regard se pose sur celui de Mach, puis il me demande si j'aime, je lui répond tendrement.
mmmmaaaaaah... oui Mach... j'aime beaucoup... aaaaaaah...
je sent une de ces mains remonter sur mon ventre, le caresser quelques secondes avant de redescendre sur mon bas ventre et commencer à jouer avec mon clitoris ainsi que l'anneau qui s'y trouve, le plaisir est de plus en plus intense.
mes hanches commence en bouger toute seule, elles se soulève et se rabaisse au même rytme que celui de Mach.
OOOooooh... Mach tu me fait t'en de bien... continue...
mes jambes jusque la inactive entoure sans que je ne m'en rende compte le dos de Mach, le plaisir est si grand que j'en frissonne.
MMMmmmmh... plus vite Mach... vas plus vite... AAAAaaaaah...
-
Les choses sérieuses ont enfin commencé entre Lili et Mach, bien que celui-ci prenne tout de même son temps dans les vas et viens qu’il donne avec son pénis. Ainsi, les pénétrations sont lentes et profondes, qu’il agrémente par des baisers et des caresses sur le corps de la jeune femme. Et pour cause qu’il prenne son temps, puisque tout comme sa partenaire, le jeune homme apprécie ce moment et le confort du vagin de son amante qui ne cesse de pousser des gémissements.
Pourtant, Mach finit par changer de positionnions, ce qui le fait accélérer légèrement sa cadence, et surtout lui fait faire des pénétrations plus brusques. Mais, si cela surprend au départ sa compagne, celle-ci y prend vite gout et participe bientôt au mouvement avec ses hanches, ce qui lui est rendue plus facile aussi par l’enserrement de la taille de Mach avec ses jambes.
- Aaaah…Comme si je voulais m’arrêter, ou le pouvais même…..Hmmm….
Dit-il alors que ses mains caressaient différentes parties du corps de sa belle, et qu’il se pencha de nouveau pour l’embrasser fougueusement. Et s’était vrai que le jeune homme était à présent prisonnier, ce qu’il lui convint tout à fait, de son hôte, qui l’empêchait de se retirait. Celle-ci lui demanda alors d’aller plus vite, après avoir rompu un nouveau baisers, et Mach s’exécuta alors.
- Mais…à vos ordres….hmmm…
Dit-il toujours haletants avec plaisanterie. Il accéléra alors le rythme de ses vas et viens dans l’antre chaude et humide de Lili. Et lorsqu’il ralentissait s’était simplement pour varier l’angle d’entrée légèrement où la façon de faire. Si bien que ses bourses se mirent à cogner avec un léger bruit les fesses et l’anus de sa compagne.
- Alors…tu..Hmmm…aimes comme ç ….où j’accélère encore….
Demanda t il alors que la main jouant sur le clitoris et l’anneau reprit de plus belle, calant son rythme sur celui de son membre coulissant. Tout cela jusqu’au moment où un doigt descendit et s’inséra lui aussi dans le vagin de Lili entre son sexe à lui et ses parois. Il pressa d’ailleurs sur l’une d’elle en pliant le doigt, sans forcer, mais pour intensifier le plaisir de sa partenaire avant de commencer des vas et viens décalés par rapport à ceux de son sexe.
- S’est encore meilleur comme ç, tu ne trouves pas ?
Demanda t il, alors que d’une certaine façon cela compressait un peu plus son membre en donnant l’impression que le vagin de Lili était plus étroit. En tout cas, il s’était redressé pour faciliter ses mouvements de bassins et de mains, alors que son regard lui était plongé sur le visage de son amante prenant un certains plaisirs à se faire prendre par un homme plus âgée dans sa propre chambre, sans savoir quand ses parents rentreraient. En tout cas, Mach ne se faisait pas prier lui, puisqu’elle était consentante, et savait déjà ce qu’il ferait après avoir eu les ressentis de sa belle sur ce qu’il lui procurait actuellement.
-
après lui avoir demande de continuer, Mach me répond qu'il ne veut pas s'arrêter et qu'il ne le peut pas, un peut évident puisque mes jambes son passer autour de sa taille pour l'empêcher de partir, bien sur avec la force qu'il à il pourrais facilement se retirer, mais l'envie ne lui viens pas bien au contraire.
je sent ces mains couvrir tout mon corps de caresses, que se soit mon cou, mes bras, ma poitrine, mes aisselles, mes flans, mon ventre, mon bas ventre, mes fesses, mes cuisses, rien n'est délaissé et mon plaisir n'en ressort que plus grand.
alors que je lui demande d'accéléré, celui ci me répond qu'il est à mes ordres, avant d'accéléré la cadence de ces coups de reins, mon plaisir en est décuplé, mes seins ballotte encore plus vite, je sent sa verge changer d'angle de temps à autre ce qui me fait pousser de nouveau gémissement de plaisir intense, sentant ces bourses chaude venir claquer mes petite fesses et mon anus palpitant alors qu'il s'enfonce jusqu'à la garde dans mon antre ruisselant.
je l'entends me demander tout en gémissant et haletant si j'aimais le rythme qui a pris ou si je voulais qu'il accélère encore.
alors que d'une main je continue d'empoigner le drap, je tend mon autre main et viens caresser sa ceinture abdominal à chaque fois qu'il est à ma porté avant de lui répondre tout en gémissant et haletant moi aussi.
OOOOooooh... mmmmmmh... c'est bon... aaaaaaaaah... c'est... si bon... ooouuuuuh... non... pas plus... vite...c'est... aaaaah... parfait... mmmmmmmaaAAAAAAAAAh...
ce dernier gémissement fut de surprise alors que je sent son pouce revenir jouer avec l'anneau et mon petit bouton dresser et remplie de désir, sous cette attouchement surprise mon corps se mis à se contracter entièrement, je me cambre tout en tirant sur le drap, mes membranes enserrant fortement son membre pendant quelques secondes, signe qu'un petit orgasme viens de se libéré en moi.
mon dos retombant sur le lit, le corps quelques peut tremblant Mach ne faibli pas et continue, après tout je ne lui est pas demander d'arrêter.
son pouce joue avec mon clitoris pendant un petit moment encore quand je sent un autre doigt tenter de s'introduire dans mon antre, un peut surprise je demande.
mmmmmh... qu'est ce... que tu... aaaaaaaaaaaaahooooouuuuuu...
je sent le doigt s'insérer sans mal dans mon antre à coté du sexe de Mach, celui ci déforme mon minou, tout en continuant de me pénétré, je sent qu'il plis son doigt en moi et caressant mes membranes interne avant de le faire bouger à un tout autre rythme que sa verge.
la sensation est tout d'abord très bizarre, son doigt ressemble à un corps étranger, mais très vite je m'y habitue, prenant plaisir à me faire pénétrer à la fois par sa queue et par son doigt.
d'ailleurs il me demande si ce n'est pas encore meilleur comme sa, haletante et plonger sous une vague de plaisir intense je lui répond.
aaaaaah... oui... c'est... le pied... mmmmmh... j'adore... AAAAAAAAaaaaaaah... sa...
je viens à nouveau empoigner de mes deux mains les drap et m'accroche, laissant Mach s'occuper de moi, mes jambes toujours autour de sa taille, j'ai hâte qu'il me surprenne encore.
-
Lili ne cesse de gémir et de montrer son plaisir alors que Mach la pénètre à bon rythme. Bien sur, lui aussi prend ses pieds, et tente de s’enfoncer au plus profond d’elle. Son regard posé sur le boisage de la jeune femme, et ses mains sur ses hanches, le mercenaire ne cesse ses allers retours, et ne cherche même pas à se libérer de l’étreinte des jambes de la demoiselle. Si bien, que ses mouvements n’ont qu’une faible amplitude tout de même, qu’il compense avec la vitesse. Voyant ses seins balloter, le jeune homme vint finalement s’en emparer pour les malaxer avec fermeté et douceur à la fois, alors que son amante donne encore de la voix pour répondre aux divers commentaires de son partenaire.
- Content que…cela te plaises !...
Dit-il d’une voix saccadée et essoufflée, montrant que lui aussi prenait son plaisir. D’ailleurs, il ne tarderait pas à surprendre Lili en faisant glisser une main sur le ventre de la demoiselle pour venir finalement caresser son anneau et son clitoris. Enfin, jusqu’au moment où il fit entrer un doigt avec son sexe dans l’antre chaude et humide de sa compagne. Celle-ci au départ réticente par la surprise, finit finalement par accepter le surplus de sensations, et montrer de nouveau son plaisir, au point de se contracter de telle façon, qu’elle laissa penser à Mach qu’elle venait de jouir. Celui-ci put le penser grâce aux contractions certes, mais aussi à l’affût de cyprine qui se déversa des espaces vides que son sexe laissait parfois avec ses vas et viens.
- Aurait on déjà joui ?
Demanda t il alors, s’arrêtant quelques instants, mais en étant bien enfoncé au fond de la vulve de sa partenaire. D’ailleurs, il en retira son doigt alors que sa main malaxant toujours sa poitrine vint se placer sur les hanches de la jeune femme. Le jeune homme se pencha alors en avant pour se coucher sur la demoiselle avant d’y montrer son doigt couvert de cyprine, et le présenter à sa bouche pour qu’elle le nettoie.
- Regarde comme tu as mouillé, et je crois que tu en veux encore, non ?
Demanda t il, alors que Lili se mettait à la tâche sur ses doigts. Une fois finit, il se redressa. Mais, avant de reprendre ses coups de reins, Mach empoigna la jeune femme de façon à la soulever et venir la coller à son torse. Il l’embrassa alors fougueusement, sa langue revenant saluer son homologue. S’est alors qu’il ft jouer son bassin pour reprendre ses vas et viens, de façon encore plus saccadés, mais plus profond et brutaux dans le vagin de sa partenaire de ce soir. Ses mains avaient glissé dans le dos de celle-ci pour la maintenir.
- Mais, peut m’importe combien de fois tu jouis, tant que tu en veux encore !
Dit-il avec le sourire quand le baiser fut rompu. Il revint jouer de la bouche sur ses joues, son cou et ses oreilles avant de revenir l’embrasser. Ses mains glissèrent alors sur les fesses de son amante qu’il malaxa avec avidité et écarta pour améliorer, en autre chose, ses pénétrations. Il rendait d’ailleurs celles-ci plus rapides et plus profonde encore avec leur aide, puisqu’elle aidait au mouvement de montrée-descente.
Si son plaisir à lui montait aussi, Mach tentait de se contrôler au maximum en tout cas, pour éviter de libérer sa semence avant sa partenaire. Et pourtant, cela ne l’aurait au final pas dérangé, puisque ce dernier aurait pu remettre cela assez rapidement si elle le souhaitait.
-
après mon petit orgasme, Mach continue ces allés et retour quelques secondes avant de stopper tout mouvement, son gourdin profondément en moi, son bassin collé au miens.
pourquoi il s'arrête? serait-il à deux doigts de jouir?
je l'entends alors me demander tout en continuant tout de même à s'occuper de ma poitrine, si je n'aurais pas déjà jouis.
quelques peut gêné, je détourne le regard et lui répond d'une voie timide.
jus... juste un petit peut...
je le sent retirer doucement son doigt de mon antre, alors que son autre main cesse de caresser ma poitrine pour venir sur ma anche, mon regard reviens sur lui, je le vois se pencher vers moi, il à une idée derrière la tête sa se vois sur son visage, il se couche délicatement sur moi, je sent son membre changer d’amplitude à l'intérieur de moi, son corps contre le mien, il prend soins de ne pas m'écraser.
il me montre ensuite le doigt qu'il a enfoncé dans mon minou et l'approche de ma bouche, je comprend qu'il veut que je le lèche, que je goute mon propre plaisir.
il me demande de constater comme j'ai mouillé et me demande ensuite si j'en veut encore.
sont doigt est effectivement enduit de mouille, ma mouille que je hume à un doux parfum d'excitation, de transpiration et de liquide séminal, en temps normal me mètre sa sous les yeux m'aurais plutôt dégouté, mais je suis si excité que lèche son doigts de quelques coups de langue avant de le mètre en bouche et de le sucer comme un petit sexe, le gout est fortement salé, le fait de faire cette petite choses dégradante m'excite d'avantage.
une fois son doigt bien nettoyé, il le sort de ma bouche et je lui répond.
mmmmmh... oui j'en veut encore...
je le vois alors se redresser à nouveau, il empoigne mes poignets et me tire vers lui, je lâche un crie de surprise.
AAAAAaaaaaaaah...
alors qu'il colle mon corps au sien avant de m'embrasser fougueusement, je passe mes bras autour de son cou, nos langue se caresse une nouvelle fois, sa me procure des frissons à chaque fois, mes gémissement reprennent alors qu'il reprend ces vas et viens ample et brutaux, sa hampe coulissant parfaitement dans mon fourreau chaud et humide, mes jambes toujours croisé dans son dos, je sent sa force me pénétré, chaque coup de rein me fait quelques peut décoller.
je sent ces main glisser dans mon dos et me maintenant contre lui, nos corps glisse l'un contre l'autre aider par notre transpiration, mes seins frotte contre son torse musclé.
il romps alors ce tendre baisé, laissant mes gémissements sortir de ma bouche avant de me dire le sourire au lèvre que peut importe combien de fois je jouis, t'en que j'en veut encore.
ce Mach à vraiment l'air d'être un homme parfait, du moins au lit.
je sent ces douce lèvres venir baiser mes joues, mon cou, mes oreilles, avant de revenir étouffer mes gémissement de sa langue dans un nouveau baisé, une de mes mains viens caresser son dos alors que l'autre viens caresser sa chevelure, les mains de Mach quand à elle descende sur mes petite fesses, je sent qu'il les malaxe, les écartes, d'ailleurs il s'aide de celle ci comme appuis pour accélérer et approfondir les pénétration de sa queue dans ma petite fente, il me soulève et me redescend sur son gourdin, le plaisir se ravive à nouveau. de plus le fait qu'il touche à mes fesses réchauffe mon petit trou de derrière.
je romps le tendre baisé de nos lèvre et m'aide de mes bras pour monter et descendre sur son gourdin, l'aidant par la même occasion lui aussi quelques peut, mon minou se contracte de façon irrégulière, enserrant son barreau de chair parfois quand il rentre, mais aussi quand il ressort.
AAAAAaaaaaaah... continue Mach... mmmmmmmh... c'est bon... mmmmmh...
-
Lili venait d’avoir un premier orgasme, qu’elle justifia de petit, faisant sourire Mach, qui pu continuer donc ses vs et viens, bien qu’il ne se serait sans doute pas arrêter même avec cela, sauf si la demoiselle le lui aurait demandé. Mais, la jeune femme en demandait encore, et son amant allait donc lui en donner. Son membre continua donc à remplir au mieux l’antre chaud et humide dans lequel il coulissait facilement désormais. Mais, il eut rapidement une idée pour varier les plaisir.
Il se pencha donc pour récupérer les mains de sa compagne et la soulever pour venir coller son torse contre le sien, compressant ainsi la poitrine contre son buste, et donnant une sensation agréable à Mach, et sans doute à sa partenaire. Celle-ci avait d’ailleurs lâché un cri de surprise, sans doute aussi lié au fait que le pénis de son compagnon venait fouiller plus profondément en elle. Cela rendit les mouvements de celui-ci plus lent, mais était ce vraiment un mal ?
A en croire le plaisir que prenait Lili non ! Puisque sa voix, donnait des gémissements et son souffle était court, quand celle-ci n’était tout simplement pas prise par les lèvres de Mach pour échanger un baiser passionné. Ce dernier n’avait pas non plus laissé ses mains sans attache, alors que la demoiselle venait poser les siens sur ses épaules. Mach se mit à caresser le dos de sa camarade avant de descendre vers les fesses qu’il se mit à caresser et à pétrir tendrement, sans trop mettre de forces pour ne pas faire mal à la jeune femme. Celle-ci ne tarda d’ailleurs pas à mouvoir son bassin d’elle-même sur le membre et réduire l’effort de ce dernier en aidant la pénétration de ses propres mouvements.
- Hmmm….Pour moi aussi Lili….
Répondit-il au commentaire de son amante, avec qui, il fallait avouer, il n’avait pour le moment aucune envie que cela ce termine. Mais, il fallait tout de même bien faire avancer les choses, et si cette fois, il ne changea pas de positions ou de cadence dans ses vas et viens, il ne resta pas inactif. En effet, l’une des mains sur ses fesses vint se glisser sur la raie du cul, et ses doigts commencèrent à stimuler doucement cette zone, en tournant autour tout simplement
- Aaaah…Si tu as envie de quelque chose de particulier, n’hésite pas à me le dire hein ?....Hmmm
Dit-il entre deux gémissements de plaisirs avant qu’il ne vienne de nouveau voler les lèvres et la langue de Lili dans un long baiser. Mais, quand il y mit fin, il s’écarta un peu, avant de descendre son visage sur la poitrine de la jeune femme, et commença à la choyer de baiser, coup de langue, sur diverses zone, n’oubliant pas de jouer avec l’anneau. Il prenait aussi parfois les tâtons en bouche et les suçait comme un bébé l’aurait fait pour avoir du lait, mais sans jamais le faire trop fort de peur de lui faire mal dans la manœuvre.
Tandis que sur ses fesses, ce n’était plus une mais les deux mains qui venaient stimuler l’anneau rectal, sans pour autant chercher à y faire entrer quoi que se soit pour le moment. Son sexe lui, sortait partiellement et rentrait profondément à chaque coup de rein de Mach ou geste de Lili, celle-ci pouvant d’ailleurs accélérer le rythme comme bon lui sentait, puisqu’elle avait une certaine autonomie désormais à sa disposition.
-
nos corps ruisselant de sueur continue de se frotter l'un contre l'autre, alors que je m'empale lentement et amplement sur sa grosse verge, mes seins ainsi que mes tétons dresser continue eux aussi à se frotter contre son torse musclé.
je l'entends me dire que pour lui aussi c'est bon, sa me rend heureuse de savoir qu'il prend lui aussi du plaisir et qu'il me le dise.
je sent toujours ces mains sur mes fesses, il les caresses, les écartes, les malaxes, quand les doigts d'une de ces mains se glisse dans la raie de mes petite fesses, j'ai tout d'abord un mouvement de recul du bassin par rapport à son approche, accompagné d'un gémissement de surprise, mais ce n'est que par réflexe.
alors que je sent ces doigts caresser mon anneau rectal, il doit sentir sous ceux là mon anus palpiter d'envie, ces doigts caresse la périphérie de mon anus, il me stimule ma petite porte arrière, pour moi cette orifice aussi sensible que mon clitoris, depuis qu'Ishtar la trouvé et qu'elle ma appris à avoir du plaisir quand on le prépare bien, si bien que depuis je ne peut imaginer faire l'amour sans me faire pénétrer par derrière.
la stimulation de ces doigts m'excite et me font gémir de plus belle, sans compter que je mouille d'avantage, le simple fait de m'imaginer qu'il me prenne par là m'excite encore plus, d'ailleurs il semble qu'il prépare le terrain.
c'est alors qu'il me demande entre deux gémissement de sa part, que si j'ai envie de quelques choses de particulier, je ne doit pas hésiter à le lui dire.
s'en suit un nouveau baiser langoureux de sa part que j’accepte ouvertement en caressant moi aussi sa langue avec la mienne, sa me laisse le temps de réfléchir.
je ne peut pas lui demander ouvertement si il peut me sodomiser, surtout venant d'une jeune fille, qu'est ce qu'il vas penser de moi? que je suis une cinglé, une perverse, ... ou je ne sais quoi d'autre.
non je ne peut pas lui dire, pas directement, il me fait l'amour si tendrement et me fait tend de bien.
il romps le baiser, un filet de bave rejoins nos lèvres, j'hésite à lui répondre de suite, par chance je le vois se reculer un peut et venir s’occuper de mes seins, il les lèche alors que ceux ci ballotte au rythme de mes monté et décente sur son braquemart, je me cambre sous le plaisir qu'il me donne, mais aussi pour les rapprocher de ces douce lèvres, il joue avec mes anneaux et viens même à les téter comme un bébé, c'est si bon.
mais voilà que je sent les doigts de son autre main passer eux aussi dans la raie de mes petites fesses et venir stimuler mes sphincters, je ne peut m’empêcher de me cambrer davantage avant de pousser une long gémissement de plaisir.
mmmmmmmh... AAAAAAaaaaaaaaaaaah... Mach ne... ooooooh...
je ne continue pas ma phrase, mon anus chauffe et palpite de plus en plus sous les caresses de ces doigts, je m'accroche à ces épaules et accélère mes monté et descente sur son gourdin, je sent sa verge coulisser plus violemment et profondément mon vagin, son gland venant taper l'entrer de mon utérus, sa queue me remplis en profondeur et le plaisir est immense.
au fur et à mesure que les secondes passe, ces doigts me rende folle, je ne peut plus me retenir, mon bassin ondule tout en montant et descendant, haletante je lui dit.
AAAAAAaaaaah... d'accord... mmmmh... d'accord Mach... oooooh... je voudrais que tu me... ooooouuuuuh... que tu m'enc... mmmmmmmh...
je sent que je ne vais pas y arriver, j'ai trop peur de sa réaction, et si il n’accepte pas, si il refuse? j'ai entendue dire qu'ils y a des hommes que sa rebute et si lui en faisait partie?
MMMMmmmmmmh... non... AAAaaaaaah... je ne peut pas te le demander... ooooooh... je n'y arrive pas... OOOh... aaaaaah... tu vas penser que je suis une grosse perverse... OOOooooh...
de honte je viens blottir ma tête contre son épaule, donnant sur celle ci de tendre baisés.
-
Lili s’empalait de plus en plus vite sur le membre de Mach, et montrait clairement qu’elle aimait cela, au plus grand plaisir du mercenaire. D’ailleurs, le jeune homme va intensifier le plaisir de la demoiselle, alors que ses mains pétrissant ses fesses s’infiltrent dans la raie elle-même pour venir stimuler son entrée anale. Mais, pour le moment, le jeune homme se contente de simple caresses, alors que la jeune femme frétille davantage, mais sans montrer aucune crainte sur l’idée qui germait. Cela surprit un peu l’amant, qui se dit que Lili était bien précoce pour aussi apprécier ce genre de traitement.
Mais, cela ne l’arrête pas, d’autant plus que sa partenaire gémit d’autant plus quand sa bouche est libre, et mouille aussi davantage, ce qu’il peut sentir quand son bas ventre devient plus humide malgré le frein et le bouchon que peut représenter son pénis en pleine pénétration du jardin secret de sa partenaire. En tout cas, ils échangent quelques mots, Mach souhaitant que l jeune femme lui fasse par de ses envies, avant de lui laisser la bouche libre pour répondre, alors qu’il vient s’occuper de ses seins.
Ainsi, les gémissements, et cris de plaisirs de Lili, doivent s’entendre dans toutes la maison, maintenant, lors que les doigts des secondes mains viennent s’ajouter à la première sur son anus, faisant se cambrer la jeune femme. Cela donne ainsi plus d’accès aux seins pour Mach qui ne se privent pas d’y aller plus franchement, en espérant de ne pas faire mal à la jeune femme. En effet, par moment, ce dernier coince l’anneau et les tétons d’un sein puis de l’autre entre ses dents, sans pour autant y mettre de forces. Mais, il ne peut non plus contrôler les propres mouvements de son amante sous l’excitation.
S’est alors qu’il entend sa partenaire essayait de bafouer des mots, mais, le plaisir semble si intense qu’elle ne finit pas sa phrasa, même si elle v plus loin à chaque fois. Et donc laisse penser à Mach qu’elle a du mal à lui demander ce qu’elle veut, puisque cela devrait être quelque chose de gênant. Par contre, sur sa seconde tentative, bien qu’il fut perplexe, et sans se douter que cela allait dans le sens des volontés de la jeune femme, l’un de ses index finit par forcer doucement l’entrée arrière, et aller de plus en plus loin, jusqu’au moment où il ne puisse plus l’enfoncer et commence de lents vas et viens dans son cul.
- Hmmm…Mais, pourquoi le penserai je ? On ne fait que passez du bon temps entre personnes consentantes non ?...
Dit-il suite au dernier commentaire de Lili qui semblait gêner et inquiète. Il parvenait en tout cas mieux à contrôler ses pulsions qu’elle pour parler en tout cas, même si le plaisir était intense, et qu’il ne pouvait donc savoir quand tout viendrait.
- D’ailleurs, je ne te trouve pas plus perverses que moi tu sais ! Alors tu peux tout me dire tu sais !...Par contre, si quelqu’un vient à t’entendre crier de plaisir, je ne sais pas ce qu’il en pensera lui !
Dit-il d’une voix pour réconforter Lili, alors qu’elle se blottissait contre lui, sans pour autant cesser ses mouvements. Il ôta d’ailleurs une main des fesses de la jeune femme pour venir la placer derrière sa tête et caresser ses cheveux. Pendant ce temps, il continuait de bouger ses hanches et doigts dans de amples mouvements, laissant la vitesse de pénétration gérer par l demoiselle, alors qu’il se concentrait sur la profondeur de celle-ci.
-
le fait de mettre cambré sous les caresses anal de Mach, présentant davantage ma poitrine à ces douce lèvres, celui ci avait profiter pour prendre entre ces dents, l'un après l'autre les anneaux de mes mamelons, ceux ci était tiré à chacune de mes monter et descente de plus en plus rapide, étirant mes tétons dans un plaisir quelques peut masochiste, mes gémissements n'en était que plus sonores avant que je ne me blottisse contre lui contre lui toute honteuse de ne pouvoir lui dire l'envie qui me titille.
je sent alors un de ces doigts pointer contre mon anus serré, je sursaute de surprise, mais sa ne se vois pas dans l'action, alors qu'il force pour le rentrer, dilatant un peut brusquement mes sphincters, je pousse un long gémissement de plaisir, alors que je sent son doigt s'insinuer sans interruption dans ce passage étroit jusqu'à qu'il arrive en buter de sa main.
AAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaah... mach... aaaaaaaaaaah... mach... non... ne... AAAAAAAaaaaaaaaaahmmmmmmmmmmmmm...
je n'aurais jamais penser qu'il m'enfonce un doigt dans les fesses sans mon consentement, mais c'est si bon surtout quand il commence lentement et amplement à le faire aller et venir dans mon petit trou, il doit sentit mes sphincters se contracter et enserrer sont doigt fortement.
il me demande alors pourquoi il penserait que je suis une grosse perverse, comme je lui ai dit il y a de sa quelques secondes, je l'entends me demande ensuite si oui ou non nous passons du bon entre personne consentante.
bien sur que je suis consentante, c'est même un peut moi qui lui est demandé de me réconforter.
je ne réponds pas à ces questions, bien trop concentrer sur le plaisir qu'il me donne en ce moment, entre sa longue et grosse verge sur laquelle je monte et je descends ainsi que sont doigt qui me fouille en profondeur, seule des cris et gémissements de plaisir sorte de ma bouche alors que ma respiration c'est encore accéléré.
après quelques vas et viens il m’avoue qu'il ne me trouve pas plus perverse que lui.
que les hommes soit pervers et qu'ils aient des idées salaces et dégradante est tout à fait normal, mais pour une jeune fille comme moi, ce n'est pas du tout normal, c'est pour sa que je suis si gêné.
je l'entends me dire que je peut tout lui dire, sa me rassure un peut, avant qu'il ne me dise que si je continue à crier ainsi et que quelqu'un l'entends, il risque de se faire des idées.
je pense alors à mon père ou à ma mère qui pourrais rentrer à tout moment, sa m'inquiète un peut mais en même temps sa m'excite de savoir que mes parents peuvent rentrer à tout moment et me trouver prise par un homme plus âgé que moi.
je sent sa main venir me caresser les cheveux, avant que je prenne mon courage à deux mains et que je lui réponde tout en gémissant.
MMMmmmmmh... Mach... AAAAAAH... AAaaaah... aaaaah... d'accord... mmmmmh... je vais te le dire... AAaaaaah... j'aimerais que tu me prenne... aaaaah... par... oooooooh... derrière... que tu... enfonce... MMmmmhaaaa... ton sexe... oooouuuuh... à la place... aaah... de ton doigt...mmmmmh...
je viens de lui demander sa en gardant ma tête sur son épaule, bien sur je doit être toute rouge de honte, mais il ne le voit pas, je ne veut pas voir sa réaction, j'ai tellement honte.
-
Alors qu’ils étaient en train de faire l’amour, Lili se montrait toujours réservée, et avait du mal à dire à Mach ce qu’elle avait réellement envie. Ainsi, alors qu’elle faisait toujours coulisser son membre en elle, lui s’occupa de caresser ses fesses avec ses mains, alors que sa bouche s’occupait de jouer de diverses façons de ses seins. Le tout avait pour conséquence de faire gémir de façon très audible la demoiselle, et fit sourire son amant plus âgé. Cependant quand il lui fit la remarque que cela pourrait attirer l’attention d’autres personnes présentes dans la maison, la jeune femme ne sembla pas déranger, bien au contraire, elle. Mit plus d’ardeur dans ses mouvements.
Pour sa part, le jeune homme ne sachant pas ce que voulait réellement sa partenaire, décida qu’il avait carte blanche et stimula l’anus de sa compagne avec son index avant de lentement l’y enfoncer. L’étudiante paru réticente, à ce qu’elle laissa entendre au milieu des gémissements. Mais, elle ne fit rien d’autres pour empêcher Mach de pénétrer son anus avec son index. Si bien qu’il se mit rapidement à le faire bouger en lui, et la jeune femme sembla y prendre encore plus de plaisir.
- On dirait que tu ne sais pas ce que tu veux….
Marmonna t il à l’oreille de Lili avant de jouer de sa langue sur son cou. En effet, le refus initial du doigt avait rapidement été accepté, et Mach se demandait déjà si un second n’y ferait pas plaisir avec la réaction qu’avait Lili. Mais, avant qu’il ne puisse dire ou faire quoi que se soit de plus, il sentit la tête de son amante s’engouffrer dans le creux de son épaule, alors que des paroles sortirent entre les gémissements. Et il n’était pas difficile de savoir ce qu’elle avait demandé. Si bien que Mach retira le doigt qu’il avait dans le cul de la jeune femme avant de ramener ses pains sur les épaules de Lili.
- S’est cela que tu avais si peur de me demander depuis tout à l’heure ?
Dit-il tendrement en écartant la demoiselle de son buste, pour avoir son visage en face du sien. Les rougeurs sur ce dernier étaient clairement visibles. Mais, ce qui surprit Mach, sans qu’il le montre, était la gêne qu’elle semblait avoir, alors que le fait qu’elle le demande semblait laisser penser qu’elle n’en était pas à sa première pénétration anale.
- Il n’y a pourtant rien d’honteux dans cela !
Dit-il avant d’embrasser la jeune femme tendrement. Si bien que le jeu de langue ne fut avec aucune violence ou fougue, mais avec une tendresse infinie, alors que ses mains venaient se placer sur les joues de Lili. Bien sur, les hanches continuaient de faire leur travail pour pénétrer l’antre de la demoiselle avant le moment fatidique. Il prit donc son temps pour le baiser, et s’écarta alors un instant, sans perdre la jeune femme des yeux.
- Si s’est donc ce que tu veux, je vais répondre à ta demande….
Reprit-il alors qu’il faisait coulisser ses mains sur les épaules, les bras, les hanches pour finir par les poser sur les fesses de la jeune femme. Pendant ce temps, le baiser reprit, puisqu’il colla de nouveau ses lèvres aux siennes Il se fit alors aidé de la demoiselle quand il sortit son sexe de sa vulve pour qu’elle conserve ses appuis, alors qu’il envoya une main prendre son sexe et venir frotter le gland contre l’anneau rectal. Il ne la pénétra pas tout de suite, sachant qu’en étant plus gros que son doigt, cela serait bien plus difficile à entré.
- Prête ?
Demanda t il avant d’attendre la réponse de sa compagne pour enfoncer son gland doucement dans l’anus de Lili. Il n’entra que peu pour le moment, alors qu’il guettait chaque signe de douleur de la jeune femme sur son visage, qu’il maintenait à quelques millimètres du sien. Il laissait la jeune femme décider elle-même du moment où elle en ferait entrer plus, puisque dans la position actuelle, cela était plus facile pour Lili de s’empaler sur le pénis de Mach, que lui donner un coup de rein. Ou du moins s’ils ne voulaient pas aller trop vite et brutalement dans la manœuvre, puisqu’il fallait que la cavité qui allait accueillir son sexe s’habitue à sa présence quand même avant de songer à un rythme aussi élever.
-
après avoir prononcé ma demande comme il me l'avais demandé, mon visage toujours enfuis dans son cou, inondé de honte à ce que je venais de lui demander, je sent son doigt se retirer doucement de mon anus, avant de sentir ces mains venir sur mes épaules et m'écarter gentiment de lui pour me retrouver face à son visage.
mon regard ne regarde qu'un bref instant le sien avant de le baisser par honte, l'espace de quelques instant j'ai l'impression qu'il me juge, il doit penser que je suis une grosse perverse dévergonder qui ne pense qu'à sa, surtout quand il me demande si c'est cela que j'avais si peur de lui demander tout à l'heure, une nouvelle vague de honte me rougie les joues.
je lui répond oui d'un signe de tête, alors que mon regard reviens sur le sien, mais il me rassure une nouvelle fois en me disant qu'il n'y à pourtant rien de honteux à demander sa.
un petit sourire apparait alors sur mon visage, rassurer d'entendre sa, je suis sur le point de lui répondre, mais il viens m'embrasser tendrement, nos langue et nos lèvres se caresses pour la unième fois dans un ballait humide.
des frissons parcours mon corps, Mach est vraiment un homme parfait, je sent ces mains venir sur mes joues alors que nous nous embrassons toujours, continuant aussi de m’empaler sur son membre dressé, il fini par rompre le baiser, un filet de salive reliant nos lèvres, j'ouvre à nouveau les yeux.
il me dit d'une voie douce, que si c'est ce que je veut, il vas répondre à ma demande, je lui sourie encore une fois avant de lui répondre.
merci Mach... merci de le prendre comme sa... mmmmmmh...
mes mains sur ces épaules, montant et descendant toujours sur son pieux de chair, je sent ces mains venir sur mes épaules avant de descendre progressivement sur mes bras, mes anches et enfin mes petite fesses qu'il malaxe alors qu'il viens une nouvelle fois m'embrasser.
tout en continuant de nous embrasser, je sent ces mains soulever mon bassin, je comprend qu'il veut se retirer, rompant à mon tour le baiser, je prend bien appuie sur mes pieds et me relève un peut, libérant le gourdin de Mach ruisselant de mouille, mes mains en accroche toujours à ces épaules pour ne pas tomber à la renverse.
quand je sent sa main sur mes reins appuyer vers le bas, je comprend qu'il veut que je redescende un peut, je sent alors son gland caresser mon anus, sa m'en donne des frissons.
mais tel le gentleman qu'il est, il me demande si je suis prête, je lui fait un signe de la tête que je le suis, le sourire aux lèvres, alors que je sent son gland commencer à pointer contre mon anus, je me rappelle de quelques paroles d'Ishtar qui m'avait dite, que pour une bonne sodomie sans douleur, il fallait que se soit bien lubrifier et le terrain longuement préparé.
pris d'un sursaut en me souvenant de ces paroles, je dit à Mach.
Mach... stop... attend...
trop se précipiter sous l'excitation allait être douloureux pour moi, je me redresse donc et viens me placer à quatre pattes devant Mach, qui est lui toujours assis en tailleur.
je me redresse un instant pour lui donner un court baisé avant de lui glisser à l'oreille.
je doit faire quelques chose d'important avant que tu ne me prenne... par ce petit passage...
je caresse de mes mains et de mes lèvres son torse musclé tout en descendant vers son entre jambe, de là ou il est, Mach doit avoir une vue imprenable sur ma croupe relever, alors que je commence à lécher à grand coups de langue son sexe enduit de ma cyprin, une de mes mains viens caresser ces bourses, alors que de mon autre main, je viens caresser mon anus pour me stimuler, caressant celui ci en faisant de petit cercle.
sous mes doigts, je sent mes sphincter palpiter de désir de se faire prendre par ce braquemart chaud, dur et veiné que j'excite encore plus avec ma langue.
je prends mon temps pour le rendre plus dur encore, les gémissements de Mach me font plaisir, alors que ma langue passe le long de son barreau de chair, faisant exprès de laisser un maximum de bave dessus pour le lubrifier un maximum.
d’ailleurs ma salive dégouline jusqu'à ces bourses que je caresse toujours, mais après avoir passer un bon moment à ne faire que le lécher, je me met à le prend en bouche, effectuant de lent et ample aller et retour en aspirant, venant faire taper son gland contre ma glotte, venant même parfois engloutir sa queue jusqu'à la grade pour lui donner encore plus de plaisir dans l'étroitesse de ma gorge cannelé.
quand je m'arrête enfin, retirant son sexe de ma bouche, celui ci est recouvert d'une épaisse couche de salive, dont quelques filet sont encore relier à mes lèvres, je me redresse et le regarde un sourire en coin.
sans dire un mot, je me relève, me met dos à lui avant de m'accroupir et venir appuyer mon dos contre son torse, une main sur sa cuisse, je descend progressivement mon bassin alors que mon autre main guide sa verge.
jusqu'au moment ou je sent son gland à nouveau contre ma rosette, je m'arrête un moment, le souffle haletant, je m'abaisse lentement sur son pieu de chair, son gland dilatant doucement mes sphincters, je le sent s’immiscer dans mon petit trou centimètre par centimètre au rythme de ma descente, je gémis de plaisir en le sentant rentrer de plus en plus profondément en moi.
aaaaaaah... Mach, c'est si... mmmmmh... bon...
je m'abaisse doucement jusqu'à le faire pénétrer d'un peut plus de la moitié, avant de m'arrêter, amenant mes mains sur ces hanches et poussant avec mes pieds pour remonter mon bassin, je sent chaque centimètre de son phallus être comprimer par mes sphincters qui n'arrête pas de se contracter de plaisir.
je l'entends gémir sous l'étroitesse de mon petit trou, je sent ces mains parcourir mon corps et m'aider à relever mon bassin, avant que je ne commence à faire de lent aller et retour sur son bâton de chair.
le souffle haletant, je tourne la tête vers lui et lui demande entre deux gémissement.
mmmmmmh... alors Mach, est ce que mon petit puis secret te plais?... aaaaaaaaah...
-
Les ébats se continuaient tranquillement, presque romantiquement dirait certains en observant la scène. En effet, Mach ne pénétrait pas Lili violement, et s’était sans doute même la jeune femme qui faisait tout le travail. Et pour cause, puisqu’elle était à califourchon sur le mercenaire ce qui rendait la chose plus facile pour elle. Cependant, Mach n’était pas inactif jour les pachas, loin de là. Non, il se servait de ses mains pour caresser le corps de la demoiselle, et de sa bouche pour l’embrasser. Leur voix ne servaient désormais, pour la plupart du temps qu’à émettre des gémissements de plaisirs. Mais, l’homme faisait parfois parler sa compagne, qui malgré qu’elle ne soit plus vierge, et visiblement depuis longtemps, se montrait assez honteuse dans certaines situations, comme expliquer ses envies, et les demander à son compagnons.
Ce qui pouvait aussi laisser supposer que la majorité des fois où Lili avait fait l’amour, elle avait plus souvent été forcée que consentante. Où alors, s’était la gentillesse de son compagnon qui la désarçonnait à ce point. Si bien qu’il dut la rassurer, mais même avec cela, ce ne fut qu’à demi mot qu’elle demanda à son partenaire ce qu’il voulait qu’il fasse. Chose qu’il ne refusa pas. Quel homme refuserait de sodomiser une jeune femme le lui demandant hein ? Ainsi, après un nouveau baiser, Mach commença à placer ses mains pour soulever la jeune femme et la changer de trou. Mais, Lili dut réaliser quelque chose, puisqu’elle stoppa Mach dans son élan, alors qu’il présentait son membre durcit à l’entrée arrière de la demoiselle.
- Hein !
Dit-il de façon surprise, alors que Lili ne tarda pas à lui expliquer les raisons de cet arrêt soudain. Explication qui fut rapidement suivi par un baiser avant qu’elle ne descende progressivement vers son sexe pour recommencer une fellation. Acte qui eut rapidement de l’effet, puisque le sexe enduit de mouilles de la jeune femme redevint très dur et non soumis au rythme qui commençait à l’habituer à la pénétration vaginale. S’est en baissant son regard vers Lili pour poser ses mains sur sa tête, et l’aider dans ses mouvements buccaux, qu’il remarqua qu’elle avait amené une main entre ses cuisses. Il comprit alors qu’elle se stimulait pour pouvoir l’accueillir, et donc expliquait son arrêt précédant. Mach sourit, alors que la jeune femme lui faisait sortir des gémissements jusqu’à ce que tout s’arrête de nouveau dans la montée de l’excitation.
S’était le temps que Lili se redresse et lui tourne le dos avant de venir coller ce dernier au torse du jeune homme. Elle était donc prête à passer à la suite, et Mach sentit rapidement une main enserrée son sexe avant que le gland ne vienne titiller l’entrée anale de la demoiselle. Celle-ci avait donc décidé de prendre l’initiative, et le fait qu’elle ait étrangement perdu toute honte surprit un peu le jeune homme. Pourtant, il ne dit rien, se contentant de gémir en sentant son membre se trouver de plus en plus à l’étroit au fur et à mesure, que la jeune femme le faisait rentrer dans son cul chaud. Pénétration qui se faisait d’ailleurs sans forcer, même si Lili ne cherchait pas à y aller très rapidement, comme si elle voulait en profiter elle aussi un maximum de ce moment là.
- Hmmm…tu es si étroite….
Dit il à peu près au même moment que Lili exprima son ressenti sur cette pénétration. Puis, sans qu’il ne se soucie de savoir s’il était bien au fond ou non, le jeu des allers retours commença lentement, alors que la demoiselle s’appuyait parfois sur ses cuisses à lui, parfois en venant poser ses mains sur ses hanches. Mach en profitait, même s’il ne faisait rien, jusqu’au moment où la demoiselle se retourna, enfin son visage pour savoir ce que Mach en pensait. Il ne lui répondit cependant pas tout de suite, profitant de l’instant pour venir l’embrasser tendrement, et emmêler une nouvelle fois leurs langues.
- Hmmm…. Bien sur qu’il me plait….Hmmm….Mais, tu me plaits dans ton intégralité, et pas seulement ton petit cul serré….
Répondit-il sans chercher à se montrer vulgaire malgré les mots employés. Il monta alors ses mains sur les hanches de Lili, puis jusqu’aux seins, la collant donc un peu plus à lui, alors qu’il malaxait ceux-ci. – Sa bouche n’était pas inactive non plus en venant embrasser, lécher le cou de la demoiselle, descendant parfois jusqu’à la nuque ou allant jouer avec ses lobs. Oui, Mach ne s’occupait pas que d’un côté, et changeait parfois sa tête de côté pour en faire ainsi profiter l’autre, même si cela semblait assez ennuyant à faire, ou du moins plus fatiguant.
- Hmmm…Mais, s’est quand même bizarre, que ta honte se soit enfin évaporée….Hmmm…
Reprit il dans un murmure à l’oreille droite de Lili. Qui d’après le ton pourrait tout de même comprendre aisément qu’il la taquinait un peu sur cette remarque là, et donc qu’elle était loin de se montrer méchante dans le fond. En effet, il se disait que la jeune femme devait enfin avoir laissé de côté le fait que son compagnon se montrait tendre avec elle, pour se lâcher davantage et exprimer ce qu’elle ressentait plus librement.
-
Ma tête tournée vers la sienne, je vois qu'il a lui aussi du plaisir à me prendre par ce passage étroit, attendant sa réponse, il vient tout d'abord m'embrasser.
Nos langues et nos lèvres se caresses tendrement, ses mains continuant de caresser mon corps, mes cuisses, mes fesses, mon ventre, mes seins, chaque caresse ne fait que décupler mon plaisir.
Quand il arrête de m'embrasser, il me répond.
- Hmmm…. Bien sur qu’il me plait….Hmmm….Mais, tu me plais dans ton intégralité, et pas seulement ton petit cul serré….
Sa réponse me flatte et je ne peux m'empêcher de lâcher dans un souffle court alors que je continue de monter et descendre sur son barreau de chair.
ooooooh... March...
Il est si attentionné, je n'ai jamais connu un homme aussi attentionné envers moi.
Je suis sûr que s'il m'avait dépucelé à la place de cet horrible monstre, je suis sûr que j'aurais été la plus heureuse des femmes.
Ses mains étant descendues sur mes fesses une nouvelle fois, je les sens remonter sur mes hanches puis jusqu'à mes seins, qu'il malaxe et caresse tendrement tout en me collant à son torse musclé.
Je gémis de plus belle à ces attouchements qui m'électrise de plaisir, mais il ne s'arrête pas là, je sens aussi sa langue et ses lèvres venir caresser mon cou, ma nuque et les lobes de mes oreilles, c'est si bon.
C'est alors que je l'entends me chuchoter à l'oreille une certaine remarque.
- Hmmm…Mais, c’est quand même bizarre, que ta honte se soit enfin évaporée….Hmmm…
Sur ces mots, tout mon corps se contracte de gêne, mes mains serrant ces cuisses et mes sphincters enserrant fortement son gourdin enfoncer de moitié, cessant les vas et viens de mes hanches, comme si ce qu'il venait de me dire avait fait évaporé tout le désir que j'ai pour lui.
Je reste de longues secondes immobile, le corps tendu, la tête penchée vers le lit, tourné à l'opposer de la sienne, mes cheveux cachant mon visage cherchant dans mon cerveau embrumer par le plaisir une réponse à lui donner.
Est-ce que je dois lui mentir ou lui dire simplement la vérité, pendant ce temps Mach doit vraiment penser que tout va se finir maintenant à cause des simples paroles qu'il vient de prononcer.
Ma décision prise, mon corps se détends petit à petit, amenant une main remettre mes cheveux derrières mon oreille avant de tourner la tête vers la sienne un petit sourire sur les lèvres.
C'est... C'est parce que... C'est la premier fois que je demande ça à un garç... Enfin je veux dire un homme... mmmmmh... Un homme comme toi surtout... Tendre, affectueux et à l'écoute...
Je viens d'une main caresser sa joue pour venir lui donner un tendre baiser alors que je pousse sur mes jambes pour relever mon bassin, retirant sa hampe de mon anus jusqu'à la collerette de son gland avant de m'abaisser brutalement sur son dard dresser rompant le baiser en poussant un cri de plaisir alors que son gourdin est rentré d'un peut plus de la moitié.
Reprenant les vas et viens de mon bassin, gémissant de nouveau, je commence à avoir mal aux jambes, des début de crampe sans doute.
Le souffle cours je lui dis.
aaaaaaaaah... mmmmh... Match... Si ont changé de position... Je commence à avoir des... OOoooh... crampes...
Sans attendre sa réponse, je me retire de sa tour de chair veiné, je sens comme un vide dans mes fesses, mais je sais que ce vide sera à nouveau comblé dans très peu de temps.
Je viens me placer à quatre pattes ma croupe cambré devant lui avant de tourner la tête vers la sienne, une main venant écarter ma fesse avant de lui dire d'une vois quelque peut excité.
mmmmmh... Mach... Mes petites fesses se sentent délaissées, j'ai envie que tu t'en occupes...
Je lui sors avec une bouille triste, lui qui voulait savoir ce que je désirais, c'était une façon détournée de lui montrer ce que je voulais vraiment.
Je viens de lui donner les rennes pour qu'il puisse lui aussi s'amuser, bien que dans les deux cas, il est du plaisir, mais libre à lui de me positionner comme il le souhaite et je n'hésiterais plus à lui demander ce que je veux.