Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Messages récents

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Messages récents

Pages: [1] 2 3 ... 10
1
Centre-ville de Seikusu / Protection rapprochée ~ Shun
« Dernier message par Molly Murphy le Aujourd'hui à 20:56:24 »
Point de vue de Molly.

Sienna est toujours la première debout comme si l’alcool ne l’atteint pas. Elle est assise sur le canapé, devant un dessin animé dont elle a coupé le son pour ne pas nous réveiller. Je me suis endormie de l’autre côté. J'émerge lentement avec une sacrée migraine. Je suis sûre d’une chose : on a abusé sur la vodka. Le sol me le confirme. Il est recouvert de cadavres de bouteilles dispersés autour de la table basse. Quand mon amie remarque mes yeux ouverts, elle commence à me faire une série de signes bizarres. Je penche la tête sur le côté pour tenter de décrypter son message mais… Je comprends que dalle ! « Quoi !? » Je m’indigne à voix basse.

Elle s’agace. Sienna essaye de pas trop bouger car la tête d’Hazel repose sur ses cuisses. « L’aspirine est sur la table ! » A son tour, elle marmonne doucement mais j’arrive enfin à comprendre son message. Je me relève mais bizarre, mes pieds ne touchent pas le sol ? Macy est allongée comme une merde par terre au milieu des bouteilles. Malgré l’inconfort, elle se tape sa meilleure nuit. J’essaye de l’éviter pour récupérer le verre d’eau préparé et les cachets. Heureusement qu’elle est là. Sienna est la responsable du groupe, celle qui prend toujours soin des autres.

Après avoir englouti mon verre, je me lève pour m’asseoir à côté d’elle et dépose ma tête contre son épaule. Il est temps d’attendre que les autres se réveillent maintenant… Mais un soudain message fait vibrer nos téléphones à l’unisson. Hazel continue ses paisibles rêveries mais Macy se fait soudainement réveillée. Elle se cogne la tête contre la table basse et se roule de douleur sur son lit de fortune. Son vacarme conclut au réveil de la belle au bois dormant. « C’est quoi ce bordel ? » Sienna râle en attrapant son portable. Un sms inquiétant s’affiche :

Vous avez été témoin d'événements compromettants. [...]

La suite se résume à différentes menaces si nous osons voir la police. Après comparaison de nos téléphones (quand Hazel et Macy se sont enfin levées), les messages sont identiques. Mais aucun de nous n’arrive à considérer ce qui a pu amener à cette situation.

(Macy) - On fait quoi ?
(Hazel) - On ignore, c’est de la merde. Ils veulent nous faire payer une rançon. C’est courant.
(Macy) - C’est toi, la gosse de riche ! Pourquoi on l’a toutes eu ?
(Molly) - On devrait peut-être contacter la police…
(Sienna) - Vous vous rappelez de l’autre soir où Macy a voulu aller baiser des gars dans une rue ?
(Macy) - Lequel ? Y en a tellement…
(Hazel) - Ceux avec des mallettes pleines de thunes ? Oui je me souviens de leur visage.
(Molly) - Putain…
(Sienna) - Je pense que Molly a raison, on devrait aller voir la police.
(Macy) - C’est peut-être juste un canular !
(Sienna) - C’est plus prudent.

Sienna s’occupe d’appeler la police. Après différents échanges, elle leur envoie les différentes captures d’écran des messages reçus sur nos téléphones. Hazel qui a la meilleur mémoire eidétique leur décrit les visages. Les hommes sont vite identifiés comme étant des membres éminents de la mafia japonaise ce qui n’est pas vraiment pour me rassurer mais Sienna fait de son mieux pour garder une cohésion au sein du groupe.

A la fin de la discussion, il est conclu qu’il est plus prudent que nous restions chez Hazel. Sa résidence est difficile d’accès et particulièrement sécurisée. Son penthouse offre assez de place pour que nous puissions y rester quelques jours si le besoin se fait sentir. Mais ils assurent qu’un policier va venir prendre nos dépositions complètes en fin d’après-midi et un autre lui secondera en début de soirée pour notre sécurité. Il nous invite à ne pas nous rendre au rendez-vous pour bien rester en sécurité. Nous obéissons. Nous faisons le nécessaire demandé. Nous barricadons les fenêtres avec l'aide du premier agent qui constate lors de notre entretien des nouvelles menaces.

Il prend tout en note. En début de soirée, son collègue nous rejoint. Il est à peine entré que Macy lui saute presque au cou.

(Macy) - Combien de temps allons-nous rester, Monsieur l’Agent ?
2
Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 19:39:11 »
Visiter son domaine ? … Il était difficile de répondre à cette question. Il ne savait pas ce qu’il était devenu. Il ne sait même pas si les autres dieux sont au courant qu’il n’est plus dans sa prison. Et si c’était le cas, auraient-ils préparé un piège qui se refermerait sur lui lorsqu’il y mettra les pieds ? De plus, si des créatures avaient été mise chez lui par ses semblables, les araignées étaient effectivement des adversaires ou il ne pourrait pas se permettre d’épargner son habitat. Après tout, on extermine la vermine.

-Peut-être un jour … Je dois m’assurer qu’il existe encore.

Bien que cette phrase puisse soulever d’autres questions, il esquivait au moins les autres sujets plus délicats. C’était une succube. Par définition, les problèmes de Regalis étaient loin d’être les siens. Aucune raison ne l’obligeait à partager tout ça. Ce n’étaient pas des cachoteries non plus. Cela ne concernait que lui après tout et ce, depuis le début de l’histoire.

Bien qu’elle soit mise en valeur dans cette douche, ayant un appétissant corps dont les courbes appelaient au vice, il la faisait languir tout en la titillant sur cet individu qu’elle n’avait pas puni pour lui avoir parlé de la sorte. Elle ne semblait pas apprécier, esquivant même plutôt le sujet à vrai dire, ne lui répondant pas clairement sur la raison de sa présence. Mais il n’était pas stupide non plus … Il pouvait facilement émettre une hypothèse. Les réactions des vivants étaient parfois des fables ouvertes.

-D’accord je vois …


Il n’en disait rien de plus. De toute façon, avait-il besoin ? Elle savait très certainement qu’elle avait donné des réponses malgré les cachoteries qu’elle était en train de faire. Bien qu’il ne sache pas la vrai vérité, il agissait en dieu. Elle coupait l’eau pour le rejoindre. Elle restait humide, ne se séchant pas. Il devinait la suite … il devra la réchauffer car l’eau finira par lui donner quelques frissons. Cette fois, avec la lumière, elle semblait profiter d’une manière plus intense des dessins qu’offrait son corps. Elle disait accepter n’importe qu’elle punition tout en entourant sa queue de ses doigts …

-Avec cette action … n’es tu pas en train d’essayer de réduire la difficulté de cette punition ?

Elle le guidait alors en dehors de la salle de bain. Il entrait alors dans une chambre, la sienne très certainement. Elle reculait vers le lit, petit pas par petit pas, laissant sa verge caresser ses cuisses de temps en temps, ses lèvres intimes avant de se faufiler entre ses cuisses quand elle s’arrête, laissant la chaleur de ce pieu se répandre sur cette peau encore humide …

-Le lit risque d’être mouillé … Et tu as fourni de beau effort pour que je rende honneur à ce corps … Alors …

Il posait ses mains sur ses fesses en la regardant. Elle devait bien avoir compris que ses fesses étaient appréciées du dieu. Il se penchait légèrement pour les passer sur ses cuisses et la souleva sans peine et assez haut pour que sa verge se dresse directement en dessous d’elle … Elle pointait vers ses lèvres intimes, la laissant descendre petit à petit contre lui, laissant sa peau frotter la sienne, comme un ascenseur jusqu’à ce que son gland touche ses lèvres intimes … Il s’arrête alors …

-Est-ce encore plein ? … Ou la succube a déjà bien absorbé tout ça ? …

Il ne lui laissait pas le temps de répondre, laissant la descente continuer et son gland écarter ses lèvres intimes, lui laissant le plaisir de redécouvrir la largeur de sa verge qui écartait à nouveau ses chaires étroite … gémissant lorsque le gland est entièrement en elle … Continuant la route jusqu’à deux tiers de sa longueur …

-Ce sera sauvage je te préviens …

Il laisse alors les derniers centimètres être parcouru en la laissant tomber le long de sa verge ! Son bassin bien collé au sien, il se lèche les lèvres devant elle avant de serrer ses fesses entre ses mains …

-Puis je … Te défoncer ?

3
One Shot / Re : Dans les songes de l'écrivaine. ~ Draven
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 19:15:28 »
Les gens se rendaient-ils compte à quel point ils se laissaient aller parce que c’était un rêve ? En fait, cela dépendait si l’on considérait que l’on était lucide ou pas dans un rêve. Généralement, ceux qui étaient lucides dans le rêve faisaient perdre un peu de sa saveur à celui-ci par leur non implication. Ou au contraire par leur sur-implications, en fait. Là par exemple, on était à la limite de là sur implication…
Mais j’avais la dalle, et puis bon, un peu de bon temps, ça ne devrait pas poser de problème.

« Et si cet ascenseur était celui des bureaux de ton patron ? Le risque est suffisant ? »

Je venais l’embrasser avec tendresse, mes mains à ses fesses, en place, la pelotant allègrement, ses fesses mises à nues alors que la robe était remontée par mes bras à ses hanches pour plus de praticité... elle se laissait clairement faire. Et je ne l’en blâmerais pas. Nombre de femmes – et que dire des hommes – faisaient des rêves érotiques bien débridés. Elle restait sage, pour le moment, elle…

« Lui ou un autre pourrait monter dès que l’ascenseur reprendra sa route… et tu seras alors là, à moitié nue, avec un homme qui te ferait l’amour. Devant lui… »

Les mots étaient progressifs. Comme des invitations à l’imagination.

« Mais ce qui serait vraiment gênant, ce serait de ne pas profiter pleinement de ses fantasmes… »

Je souris. Oui, les fantasmes étaient une forme de rêve. Viscéraux et prenants, alors autant qu’elle s’y livre…

« Et pour les réaliser, il suffit de les dire. »

Mais le rêve « vacilla » un court instant… comme une hésitation, je le sentis, même si rien de visible ne se fit sentir, vraiment, mais moi, je savais, parce que je connaissais les rêves. Elle avait eu un instant de doute et le rêve avait failli basculer.
Ce fuit donc avec un peu de retard et une petite hésitation que je répondais à sa phrase clichesque en l’embrassant à pleine bouche, venant la débarrasser d’un geste sec et d’un bruit de tissu déchiré de sa robe, exposant sa nudité pour continuer à jouer. Mes lèvres venant descendre à sa mâchoire, à son cou, à sa gorge… apparemment, elle voulait faire sage et gentillette et s’acharnait juste sur ma ceinture et ma braguette pour finalement venir saisir le sexe impatient et dur de l’envie d’elle…
Pourtant j’avais d’autres objectifs… je vis doucement écarter ses mains de mon sexe pour me pencher, et pour venir embrasser son sein, mordiller le mamelon ;

« Je vais te montrer comment se comporte un fantasme digne de ce nom… »

Je ne m’attardais par sur l’auréole assombrie de son sein et je descendais, me mettant à genoux, pour venir embrasser son ventre, son nombril, descendant…

« Savoure, savoure, sinon, Il pourrait revenir… »

J’avais lâché ça comme une peur, une menace, ou un avertissement, comme si son cauchemar était dehors, tant qu’elle serait à fond dans son fantasme…
Et je baisais son pubis glabre comme si je n’avais rien dit.
Mais avais-je dit quelque chose ou son esprit avait il été saisi d’une pensée que le rêve lui avait glissé ?
4
Centre-ville de Seikusu / Re : Quand le lapin devient une belle vampire ~ Em
« Dernier message par Em le Aujourd'hui à 19:08:38 »
En plein dans le mille; un tocard sur Tinder. Honnêtement, je ne me surprends presque plus, il y a seulement au moins 50 raisons pour qu'une femme se retrouve seule dans un bar, mais sa mine basse et sa tenue en avait quand même éliminé plus du trois quart. Le mec lui avait posé un lapin simplement parce qu'elle avait refusé de baiser.

Honnêtement, connaissant les mecs comme je les connais, c'est probablement l'une des meilleurs façons de perdre leur attention, mais elle a déjà le moral dans les talons, la p'tite, j'vais quand même pas lui dire oui!

"
Bah non," que je lui fais. "Mais c'est Tinder, ma grande. Si tu le suces pas avant la fin de la soirée, t'es automatiquement reléguée au titre de frigide."

Et le plus drôle, c'est via Tinder que je marque le plus grand nombre de proies. Genre sérieusement, j'ai qu'à me connecter, prendre quelques photos, puis écrire "party girl" dans la bio, et hop, en moins de trois heures, je déniche plus de 40 mecs qui font la file pour me refiler, presque sans rien demander, leur fric, leur matos et, bien sûr, leur sang. Bon, le dernier, c'est plutôt involontaire de leur part, MAIS, ça compte!

Elle me montre son téléphone, et dessus, je vois le message de ses copines. C'est chouette, les copines. Les miennes sont toutes mortes, certes, mais il y avait quelque chose de sympa à avoir son petit groupe, jouer les putains dans les rues de Târgoviște, faire les poches des passants trop naïfs et boire à leurs frais quelques heures plus tard. Des bonnes copines.

Elle me tend son téléphone, et je souris à sa question.

"Un message? Mieux."

Je prend le téléphone et je fais quelques manipulations, commençant par le mettre en mode caméra (c'est important), puis en mode selfie. Elle se présente, et je lui souris encore une fois. Molly. Putain, de toutes les nanas dans ce pays, il fallait que je tombe sur une meuf qui avait littéralement le nom de ma drogue préférée sur son passeport.

"Ember, mais les gens m'appellent juste Em. Maintenant, bouge pas~ Y'a qu'un truc qui énerve plus les mecs de ce genre que de se voir refuser une sauterie; c'est de passer à côté d'encore mieux~"

Je m'approche d'elle, et je lui ajuste quelques mèches de cheveux, puis j'arrange un peu l'angle de caméra pour cache l'angle de nos lèvres et je presse les miennes contre la commissure des siennes, avant de prendre un cliché, tout en n'oubliant pas de lui envoyer un doigt d'honneur par-dessus le marché, et je dépose le téléphone entre les mains de la jolie dame, reprenant place sur mon siège.

"S'il y a un truc que les lycéennes apprennent rapidement dans ce pays", dis-je en sortant mon miroir et mon rouge à lèvres pour faire mon touch-up, "C'est que les mecs sont des chiens. Elles apprennent donc à les traiter comme tels. D'un côté, ca rend la tâche HYPER compliquée pour les mecs bien, mais les soeurettes se protègent~"

D'où le fait que, de manière générale, je m'en prends pas aux mecs et aux nanas bien. Autant je suis presque littéralement une sangsue de la société, je trouve que la rareté d'un bon mec ou d'une bonne meuf vaut la peine de préservation. Oui, oui, je sais, je suis une vraie philosophe, ne m'écrivez pas. Une fois mon maquillage refait, je demande au barman un petit verre d'eau et une lingette, et lorsqu'il revient, je regarde ma nouvelle rencontre et je lui pointe sa joue.

"Tu as un petit peu de moi sur toi, juste là, Molly."

Une belle grosse marque de lèvres noires près de sa bouche. Si elle croisait ses copines avec ça, elle ne pourrait pas éviter des milliers de questions. Pas que ça me dérange, j'aime bien embarrasser les gens, les forcer dans des situations malaisantes ou dérangeantes, mais Molly avait déjà eu une soirée de merde en perspective. Je vois peu de sport à rendre la journée de quelqu'un encore plus misérable, c'était comme battre un chiot. Et s'il y a une chose qu'Hollywood nous as tous appris, c'est qu'on ne botte jamais,
jamais, les chiots.
5
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 18:56:43 »
2

Tant que c'est pas au placard :O
6
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« Dernier message par Lyli le Aujourd'hui à 18:55:04 »
Si j'ai le droit de le manger après, ok !

embrasseriez-vous... une photo de vous même
7
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« Dernier message par Molly Murphy le Aujourd'hui à 18:44:12 »
Bien sûr !

Embrasseriez-vous un poulpe tout visqueux ?
8
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Molly Murphy le Aujourd'hui à 18:42:49 »
1.

Je prends ! Je ne vends pas, je garde pour moi.
9
One Shot / Re : Dans les songes de l'écrivaine. ~ Draven
« Dernier message par Molly Murphy le Aujourd'hui à 18:41:44 »
Il se moque ou c’est seulement mon esprit qui souligne une seconde fois ma maladresse ? Je peine à comprendre les réactions de ce personnage mystérieux. Mais je sais qu’il faut que je m’entraîne à draguer et discuter pour trouver des mots plus justes et excitants lors de situations similaires. Nous sommes dans mon rêve. Ma gaucherie n’importe peu.

Dans un récit, une telle erreur peut sortir le lecteur de son histoire… Je ne me laisse pas décontenancer au final. Je ne sors nullement du rôle que je me donne. Personne ne viendra se moquer de mon interprétation inexpérimentée. Il n’y aura aucune répercussion sur mon quotidien car cette rêverie demeura prisonnière de mon esprit.

Je peux me consacrer à cet instant chaleureux, l'esprit léger. Je me retrouve coincée, les épaules plaquées contre la paroi glaciale de l’ascenseur. Seul le bas de mon dos en est à peine décollé pour laisser ses mains se balader à leur guise de mes cuisses à mes fesses. Ses mains m’arrachent un soupir bouillant. J’ai l’impression que l’ascenseur se transforme peu à peu en un sauna. Surtout qu’il attrape ma jambe et écarte mes cuisses, j’en profite pour me redresser un peu et coller mon bassin au sien.

Ce personnage est issu de mon imaginaire. Pourtant, plus nous avançons, plus il m’étonne. Ai-je déjà été capable de rêver d’un homme aussi torride ? La sensualité de ses gestes me décontenance et me rend fébrile. Les sensations fortes, plus que je ne les ai jamais expérimenté lors d’un songe. Jusque dans mon lit, je m’agite. Mes cuisses se frottent l’une à l’autre. Je suis incapable de rester impassible dans mon rêve comme dans la réalité.

Mais il vient accentuer mon trouble avec une question précise. « Jamais… Mais ça pourrait être intéressant. Le risque a toujours quelque chose d’excitant… » Je ne comprends pas où il veut en venir. Après son baiser, il évoque l’ascenseur et l’idée que les portes s’ouvrent. Dans la réalité, j’aurais peur d’être surprise mais là tout de suite, dans mon rêve, c’est différent. « C’est vrai mais est-ce que ça serait réellement gênant ? » Il n’y a aucune conséquence à ce que nous continuions malgré la présence d’inconnus. Ils ne sont dans tous les cas pas réels.

J’affiche une confiance en moi mais je suis terrifiée. Dans la réalité, je n’ai jamais osé expérimenté une telle situation. J’aurais tellement honte d’être prise sur le fait que mes jambes s’en sont paralysées avant d’essayer. Là, il n’y aucune conséquence certes. Mais d’autres questions se succèdent aux répercussions. Est-ce que j’apprécierais être vue ? Est-ce que ses présences, même issues de mon imagination, ne gâcheront pas cet instant ? Je n’ai jamais eu de rêve aussi intense et plaisant alors la peur de tout gâcher s’insinue discrètement et sournoisement.

Malgré sa présence, je ne la considère pas assez pour qu’elle gâche mon humeur érotique. Les mains de mon partenaire montent un peu plus. Nous découvrons en même temps l’absence de culotte. Une autre chose dont je serais bien incapable dans mon quotidien mais qui m’excite à cet instant précis. Je m’impatiente un peu plus. Mes doigts défont enfin la ceinture que je triture depuis de longues minutes. Cette fois-ci, je ne m’arrête pas jusqu’à libérer son sexe et le garder entre mes mains. « Il fait vraiment chaud tout à coup… »
10
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 17:56:03 »
10

Je m'offre! Pas a vendre derriere!
Pages: [1] 2 3 ... 10