Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Telka

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Je reviens [6 Mai -> 16 Mai]
« le: mardi 06 mai 2014, 15:38:01 »
Bonjour !

J'annonce ma première absence prévue historique. Je vais être absent du 6 au 16 Mai pour cause d'examens terminaux. Je n'avais pas très envie de m'absenter pour ça mais je crois que cela va être tout-de-même nécessaire.

Je m'excuse à tous ceux que je fais patienter et j'espère les retrouver à mon retour.

Cela concerne les comptes dans ma signature, ainsi que Kåre, le Messager, Lemme et le Maître.

À la fin de semaine prochaine ! :)

2
L'Art / [Programme(s)] Tout art est une disposition...
« le: lundi 28 avril 2014, 23:54:51 »
...accompagnée de raison, tournée vers la création. (Aristote)

Heureuse rencontre. :)
Beaucoup de gens mettent ici leurs créations graphiques ou littéraires. Moi je n'ai pas forcément beaucoup de talent pour ça.

En revanche, je fais des programmes, parfois. Souvent ce sont des jeux vidéos. Je vous en présenterai peut-être un lorsque j'en aurais un vraiment présentable.

***

En attendant, j'ai essayé de faire quelque-chose d'utile ! Du moins, pour moi. Voilà une réaction irrationnelle que j'ai souvent : lorsque j'attends furieusement un RP (ou une validation :D), j'ai tendance à rafraîchir la page peut-être une vingtaine de fois en une heure. Du coup, je perds pas mal de temps assez stupidement.

Aussi j'ai développé une petite page, de son petit nom "Brevb", ou page à fureteurs.


Ceci est un fureteur. Mignon pas vrai ?

Le lien : http://siamlab.fr/tra/brevb/

Voilà comment cela fonctionne.

Le rôle d'un fureteur est d'observer un topic, et de vous alerter par une petite fenêtre en bas à droite de votre écran si un nouveau message est posté.

Vous configurez un fureteur en lui indiquant le lien d'un topic.

Notez que la page enregistre automatiquement vos fureteurs, elle les restaure donc dès que vous la lancez !

Conditions :
-La page doit être ouverte en continu. Une adaptation en extension chrome est prévue pour bientôt.
-Les alertes ne fonctionnent que sous google chrome (n'oubliez pas d'autoriser la page à vous afficher des alertes en cliquant sur le bouton !). Sous les autres navigateurs, seul le favicon (la petite image en haut en l'onglet) changera, ce qui est beaucoup moins pratique.

Bogues connus :
-Il y a parfois quelques faux positifs, surtout quand l'hébergeur du forum a un moment de faiblesse.
-Le fureteur vous indique un faux-positif si quelqu'un édite un des messages du topic, ou si quelqu'un sur le topic change de pseudonyme.
-Plein d'autres sans doute puisque je viens de terminer ce programme. Libre à vous de me les signaler ! Bien sûr, tout ne sera pas parfait dès le départ. Il y a même des chances que cela ne fonctionne pas vraiment sur le long terme. Je l'ai néanmoins utilisé toute la journée sans vrai problème ! Je vais la mettre à jour régulièrement.

Vous l'aurez compris, cet outil s'adresse surtout aux mordus. Il peut quand même être pratique pour suivre les réponses de vos partenaires si vous avez beaucoup de topic différents.

J'espère que cette première création vous plaira ! :)

3
Les chrétiens, au japon, ne sont pas beaucoup, à peine un demi-million de personnes. Alors, forcément, le rapport à la religion n'est pas tout-à-fait le même que dans mon pays, la Pologne, où elle est majoritaire à presque 90%. Je ne cherche pas absolument à imposer ma croyance aux habitants de l'archipel qui ont déjà leur propre sagesse païenne, cependant, je ne rate jamais une occasion de participer à un rassemblement des fidèles du Seigneur. C'est l'occasion de rencontrer des gens fascinants qui partagent ma foi : des individus assez rares, donc, ici. Seikusu ne possède qu'une seule église, dans un style qui n'est pas vraiment occidental, mais assez neutre. Si on ne sait pas qu'il s'agit d'un lieu de culte, on peut facilement passer à côté, ou la prendre pour un centre culturel quelconque.

Les règles, d'une manifestation à l'autre, sont souvent les mêmes. Et s'il y a une chose qui ne change presque pas, à l'exception d'un jour saint dans l'année, c'est la présence d'une messe, à un moment où à un autre. À la chaire, c'est le père Emmanuel qui célèbre l'eucharistie. C'est un saint homme que je connais bien : c'est lui qui m'héberge lorsque je suis sur Terre. Contrairement à ce que son nom semble indiquer, il est asiatique. Sa famille est l'une des assez rares survivantes chrétiennes des persécutions des différents régimes, et restée cachée, mais fidèle au Christ depuis le XVIe siècle. Il commence la prière eucharistique, en langue vernaculaire : pour des questions d'accessibilité, cela a été, après vifs débats, décidé ainsi. Je préfère les textes latins, plus fidèles au sens original, plus empreints de sacré mais je ne crois pas que cela compte beaucoup, dans le fond.

Père infiniment bon,
   toi vers qui montent nos louanges,
nous te supplions
   par Jésus Christ, ton Fils, notre Seigneur,
d'accepter et de bénir ces offrandes saintes.


Je jette un  œil autour de moi. Il n'y a pas que des japonais dans la salle, loin de là. Beaucoup des fidèles sont européens, sans doute expatriés. Un léger vertige me prend. Puis des picotements remontent le long de mes jambes. Je sais ce que cela signifie, ces signes augurent toujours la même chose. Bientôt, dans quelques secondes, je vais disparaître sans laisser d'autres traces que mes habits sur le sol. Je grimace : la salle est grande, j'ignore si j'aurais le temps d'en sortir avant que cela arrive. Aussitôt, je me lève. Je ne dois pas traîner.

Nous te les présentons,
   avant tout pour ta sainte Église :
accorde-lui la paix et protège-la,
   daigne la rassembler dans l'unité
   et la gouverner dans toute la terre ;


Je suis presque obligée de sauter par dessus les jambes pour sortir du rang : bon sang, les gens ne pourraient-ils pas être un peu plus maigres ? La panique me prend, alors que je me sens ma tête qui tourne de plus en plus. Je réalise que je ne sortirais jamais à temps. J'aurais du rester à ma place, sans attirer l'attention, et avec un peu de chance, personne n'aurait rien remarqué. Maintenant, l'attention de certains, outrés, se tourne vers moi. C'est normal, ce que je fais est extrêmement peu respectueux. Je cours aussi vite que je peux, j'abandonne l'objectif de la porte. M'éclipser derrière ce pilier porteur en béton, auquel on a vissé un bénitier, fera l'affaire.

Souviens-toi, Seigneur, de tes serviteurs
   de tous ceux qui sont ici réunis,
   dont tu connais la foi et l'attachement...


Les fidèles, sur un signe du père Emmanuel, choisissent ce moment précis pour se lever. Je ne me suis pas encore extirpée de la foule. Je me sens presque déjà soulevée du sol, complètement déséquilibrée. Ma vision, jusqu'alors simplement chancelante, commence à se brouiller. Dans ma précipitation, je heurte assez violemment un jeune homme. Je veux m'excuser, mais je réalise que ma bouche a perdu le contact avec l'air, et ne peut plus émettre le moindre son. Trop tard. Les chants, repris par toute la salle résonnent à mes oreilles, de plus en plus lointains, de plus en plus déformés.

Saint ! Saint ! Saint, le Dieu de l'univers !
   Le ciel et la terre sont remplis de ta gloire,
   Hosanna au plus haut des cieux.
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ;
   Hosanna au plus haut des cieux...


***

J'ignore combien de personnes se sont rendues compte de ma disparition. Pour moi, la sensation de décoller (ou de tomber, ayant perdu, en réalité, toute notion de bas et de haut) est habituelle, je sais ce qui m'attend me sentir peu à peu débarrassée de la gravité, du poids de mon propre corps. Pourtant, cette fois, quelque-chose ne va pas. Au lieu d'éprouver une légèreté croissante, je suis un instant lourde et incapable de m'élever, comme si un poids tirait sur mon être, me tenait attachée au sol. Puis, la puissance du phénomène augmentant de façon exponentielle, cette masse inconnue est emportée elle aussi. Je ne peux m'empêcher de regarder autour de moi pour tenter de la distinguer. Il n'y a qu'une lumière intense, évidemment, comme à chaque fois. Je ferme les yeux, pour éviter la nausée.

Pendant un très court moment, je ne suis qu'un pur esprit, sans corps, c'est toujours ainsi que cela se passe. Cependant, ici, je perçois comme une seconde présence qui vient frapper contre mon âme. Je me rends compte que la place est limitée. Il n'y a pas la place pour deux essences, dans ce voyage. Que se passe-t-il ? Je me sens comprimée contre cette autre entité, serrée dans un espace infiniment petit. Nous ne rentrerons jamais dans ce... cet... endroit, tout les deux, c'est impossible. Je n'ai plus d'enveloppe, mais étrangement, je parviens à souffrir. Alors que normalement, cette étape ne dure qu'un instant, elle me semble ici se prolonger pendant une dizaine de secondes. Enfin, la pression retombe. Je retrouve le poids de mon corps, infiniment moins lourd !

***

Et je chute, d'une demi-dizaine de centimètres, sur un sol en pierre. Étrange, jusqu'ici, ma téléportation m'avait toujours exactement transportée sur un solide, au millimètre près, et jamais dans les airs. Je soupçonne la singulière sensation d'avoir à voir avec l'imprécision de mon voyage : j'arrive quand même à atterrir debout, ce qui était loin d'être le cas, les premières fois. Une très forte odeur de pourriture arrive à mes narines. Ça sent la vieille charogne. Je rouvre rapidement les paupières, et aperçois le plafond en pierre brute de ce qui semble être une grotte. Je suis dans un coin obscur, un dénivelé, presque un trou, d'environ un mètre trente de haut. La seule source de lumière est lointaine et irrégulière, comme les flammes d'une torche, le reste de la pièce, qui paraît assez petite, est plongée dans le noir.

Portant mon attention sur le sol, je vois que non-loin, des carcasses d'animaux plus ou moins gros sont entreposées, à côté de quelques denrées. La plupart sont dans un état de décomposition peu avancé, ce qui ne les empêche pas de puer. Je sais que sur Terra, il est d'usage de manger du gibier faisandé de plusieurs semaines, mais cela ne me met pas l'eau à la bouche pour autant. L'une des premières choses que je m'attache généralement à faire, lorsque je suis projetée dans un endroit, quel qu'il soit, est de chercher un quelconque vêtement, drap, tapis, pour m'habiller. Cette idée n'occupe toutefois pas plus longtemps mon esprit, car je distingue, à quelques centimètres de moi, un individu qui bouge. Était-il là avant mon arrivée... où était-ce lui, la fameuse masse qui m'empêchait de m'élever ? J'entends des pas de quelqu'un qui vient en notre direction, en provenance de ce qui paraît être un couloir.

Par réflexe, je me baisse. J'hésite un instant, puis je fais en sorte que l'inconnu à côté de moi adopte lui aussi une position moins visible. L'obscurité m'empêche de distinguer ses traits, mais dans le même temps, je parviens à appuyer sur sa bouche, pour prévenir tout cri susceptible de nous faire repérer. La grotte ressemble à la demeure d'une quelconque peuplade primitive, terranides, gobelins, humains archaïques, je l'ignore, mais ce sont presque toujours des chasseurs peu amicaux avec les étrangers. J'espère simplement qu'il n'est pas trop sujet au vertige, comme moi lors de mes premières téléportations, cela éviterait qu'il vide dans ma paume le contenu de son estomac... Les pas continuent de se rapprocher.

4
Prélude / Telka, par la grâce de Dieu [Validora !]
« le: mardi 02 avril 2013, 00:32:29 »
Généralités :

Je suis née Telka Gliczanki. Lorsque je me présente, j'indique cependant rarement mon nom de famille.

Je suis une femme de dix-huit ans. L'ordre des choses fait que mon attention irait vers les hommes, si je n'avais pas fait vœux de chasteté. Toute autre pratique me semble profondément contre-nature, mais je ne stigmatise personne. Quoiqu'il en soit, je suis vierge, et je compte le rester.

Physique :

A capite ad calcem, ma peau est immaculée, et n'a pas l'habitude du soleil. Mes cheveux, eux, sont châtains, pas trop longs, pas trop gênants. J'ai de beaux yeux gris-vert, au milieu de mon visage rond, qui vous plaira peut-être. Il est assez délicat, avec un nez et des lèvres discrètes, des sourcils fins et expressifs. Si ma figure peut déchaîner les passions, avec le reste de mon corps, c'est plus difficile. Il est plus frêle que voluptueux. Je suis d'une bonne taille : un mètre soixante-cinq, et encore que musclée par l'exercice, je suis plutôt fine. Trop ? C'est votre avis, même s'il est vrai que le relief manque un peu, il n'est, heureusement, pas exactement inexistant. Je ne ressemble pas à un homme ! Disons que les habits que je porte, généralement épais et amples, ne les mettent pas en valeur. Rappelez-vous, ça n'est pas le but. J'ai toujours un crucifix en cuivre au cou, et parfois, mes vêtements affichent d'autres motifs religieux. J'ai fais vœux de pauvreté, aussi, ils ne sont pas supposés paraître précieux... Quelques fois, malgré moi, ma coquetterie prend quand même le dessus. Je ne parle pas bien japonais, j'ai un fort accent, et les mots me manquent souvent. En revanche, j'exprime à peu près couramment en latin, en plus du polonais.

Mental :

Vous l'aurez peut-être compris, après tout ce que je viens de vous dire, mais j'ai un certain intérêt pour le spirituel. Je suis d'éducation catholique, mais ensuite, il n'existe pas vraiment d'église dans laquelle je me reconnais. Je ne reconnais pas non plus de mortels qui me soient arbitrairement supérieurs en autorité. En outre, comme je vous l'ai déjà dis, j'ai fais vœux de pauvreté, de chasteté, mais aussi de charité et de soin au malades. Je suis quelqu'un qui essaie d'être altruiste, à l'écoute et au service des autres. Je sais me défendre et je ne me laisse pas marcher sur les pieds, toutefois, j'évite de prendre les armes. Je préfère régler les problèmes qui se posent à moi par la diplomatie et la grâce du seigneur. Quelques gens me disent coincée, ça n'est pas vrai ! Je ne suis pas gênée par le sujet, j'en parle très facilement. Je ne suis même pas trop dogmatique, dans les limites du raisonnable. Je tiens simplement à rester pure, et ce, malgré ma curiosité. Je peux être solennelle quand la situation le demande, sinon, je suis plutôt enjouée et sympathique. Je ne suis pas trop compliquée, j'ai la conversation facile. J'ai quelques vices : je fume beaucoup, encore que cela ne présente pour moi pas de risque. Je bois aussi, parfois aux frontières du raisonnable. Je me laisse facilement enivrer, et ma volonté n'y fait pas grand-chose.

Histoire :

Je suis une terrienne. Mes parents étaient des agriculteurs polonais, vivant en périphérie de Szczecin, des gens simples. Ils m'ont élevé dans l'amour de Dieu et des sacrements. J'ai été a une école religieuse, où j'étais plutôt bonne. J'y ai appris le catéchisme, la philosophie, le latin. Toutefois, malgré mon parcours assez normal, il était clair que je ne l'étais pas. Suis-je ce qu'on appelle une ESPer ? Je ne sais, il me semble que ces gens là ne naissent que sur Terra, et ne possèdent qu'un unique pouvoir. Je pense plutôt avoir reçu une bénédiction divine, que ma foi vient compléter, à moins que ce ne soit un peu de sang sacré qui coule dans mes veines. Les gens de la ville me prêtèrent rapidement des dons de guérison. Je soignais les brûlures, les maladies, de façon de plus en plus impressionnante.

Vers l'adolescence, on m'attribua plusieurs miracles. Un petit culte se forma même autour de moi, me considérant comme sainte. C'était... assez stressant. Puis on voulu me conduire à Rome. Malgré tout l'honneur que cela représentait pour moi, je ne voulais pas quitter ma terre et mes parents, et je refusais. Jusqu'à ce que ma nature surnaturelle devienne plus évidente encore : je me découvrais un jour des facultés de téléportation. En peu de temps, je devins aventurière. Une condition forcée, car la plupart des mes voyages étaient involontaires. J'appris à me défendre avec l'assistance d'un chevalier de Terra, qui, impressionné par mes dons et voyant en moi une incarnation divine, m'enseigna le maniement des armes, et s'assura que je ne manque jamais de rien. Lorsque je fus capable de revenir chez-moi, je n'étais plus la même personne. J'étais devenue une femme indépendante qui, constatant la misère du monde, était bien décidée à la combattre.

Je visitais Nexus, mais aussi des mondes étranges, où les éléments se déchaînent, où les rayons laser sont des choses courantes. Je me trouvais assez de talent pour m'adapter à toutes ces situations. Fut même une fois où j'apparu dans une dimension qui avait la prétention d'être le paradis... ce qui est assez troublant, pour une croyante comme moi. Mais si j'ai vu des dieux, je n'ai pas vu Dieu, aussi je cherche toujours ! Ce n'est de toute façon pas dans les plans célestes que se trouve ma mission, mais ici, sur Terre, et également sur Terra. Je ne sais pourquoi, mais mon pouvoir de téléportation me ramenait en priorité au japon, dans une ville nommée Seikusu. Il m'est beaucoup plus difficile de voyager ailleurs sur la planète bleue, y compris pour retourner en Pologne. La cité nippone agit sur moi comme un aimant... Aussi j'ai fini par m'y trouver un emploi : j'anime occasionnellement des classes de latin, une matière peu enseignée, qui est surtout l'occasion de faire des ateliers culturels. Sur Terra, je cherche à réduire la cruauté de l'esclavage, mais faute de pouvoir agir sur la globalité du phénomène, je me concentre généralement sur des cas particuliers.

Autres :

Le premier de mes dons est la guérison. Je suis particulièrement efficace contre les maladies. Sur les plaies, je ne suis pas assez puissante pour restaurer des membres ou des organes, mais je suis capable d'arrêter les hémorragies, et d'accélérer les cicatrisations.

Mon second don est une capacité de téléportation. Avec de la concentration, je peux traverser les dimensions, sans limite de distance. Souvent, cela apparaît aussi de façon involontaire. Je ne suis pas capable, que ce soit voulu ou non, de me téléporter plus d'une fois par jour, et cela me laisse épuisée. Je ne peux non-plus téléporter autre-chose que moi, mon être, ma peau et mes os. Je suis donc nue, lorsque j’apparais... autant dire que j'essaie de ne pas le faire n'importe où.

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