Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Myumi Ichtora

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Elle n’aurait jamais cru que Taylor puisse être un amant si endurant, si brutal, si... Si énergique. À Mishima, on trouvait de tout, au niveau des partenaires sexuels, mais il fallait bien admettre que Myumi avait plus souvent l’occasion d’être avec des garçons adolescents soumis, qui s’agenouillaient devant elle, et qu’elle éduquait sexuellement, à sa manière. De fait, c’était ça qu’elle préférait, et c’était bien pour ça qu’elle était devenue professeur. Si, souvent, un professeur venait pour enseigner sa matière, Myumi, elle, avait, dès le début, eu des visées sexuelles. Elle n’était devenue professeur que pour répandre la luxure, et ses fonctions de professeur de mathématiques n’étaient qu’une couverture. Ça, ce moment, ce qu’elle faisait avec Taylor, sous les yeux ravis de son amoureuse, c’était clairement sa raison d’être. Elle grognait, soupirait, hurlait même, en sentant l’épaisse trique de Jack s’enfoncer en elle.

« Haaaaaaaaaaaaa... Hmmmmm... !! »

Avec lui, Mélinda avait fait une formidable acquisition, l’homme mélangeant jurons et provocations avec un talent exquis. C’était un véritable plaisir de le sentir ainsi se perdre en elle, la labourer sèchement par l’arrière, lui pilonner le cul. Il la défonçait, tout simplement, et elle ne pouvait qu’aimer ça, car c’était bien là le but premier d’une sodomie.

« Hoooo... J-Jack, haaaaa... »

Myumi haletait, gémissant encore, jambes écartées. Elle sentit Jack attraper Elianne, la rapprochant. La femme mouillait contre le bureau, frottant son intimité contre le rebord de ce dernier, au fur et à mesure que son puissant amant la labourait. Il n’était nullement question de la ménager. Jack avait une bonne prise, se plaquant contre elle, humant ses cheveux, mordant son cou, pour le plaisir de l’entendre hurler, et elle-même n’était pas en reste. Sa main partit ainsi en arrière, et s’agrippa à la nuque de Jack, le griffant, tandis qu’il continuait à la prendre, à s’enfoncer lourdement en elle, l’épée de chair l’écartelant en s’engouffrant sans ménagement dans son corps.

La professeur continuait à se faire prendre, à sentir les élans fougueux de Jack, jusqu’à ce que son amant n’approche de l’orgasme. Elle sentit alors le rythme décroître pendant quelques secondes, les crispations musculaires... Puis son corps se relâcha, et des filaments de foutre fusèrent en elle. Dans des grognements et des soupirs, son amant se mit à jouir voracement, venant la remplir, la faisant haleter et grogner, sa salive coulant de ses lèvres sous l’intensité des vagues qu’elle ressentait.

« Haaaaaa... Haaaaaa... !! »

Jack lui palpa les seins, et elle l’embrassa goulûment, en soupirant longuement, elle-même ayant bien sali son bureau. Pour le final, Jack ordonna à Elianne, en lui attrapant sèchement les cheveux, de nettoyer les fesses de Myumi. Ce fut donc avec un plaisir virulent que Myu’ sentit le visage de sa protégée se glisser contre ses fesses, puis sa langue fondre en elle. Elle écarta les jambes, bombant les fesses pour faciliter l’accès de sa chérie, se pinçant les lèvres en sentant cette petite langue, ainsi que le frottement de son nez contre sa chair.

« Oh, Elianne... »

Elle sourit, et se retourna, venant l’aider à se relever en glissant ses doigts sur son menton.

« Maî-Maîtresse... »

Myumi l’embrassa tendrement, en enroulant ses bras autour de sa taille, et la souleva, avant de la poser sur le bureau, où elle poursuivit son baiser. Elianne était chaude, toute vibrante. Elle avait tenu sa promesse, frottant ses cuisses entre elles, mais sans glisser ses doigts, conformément aux instructions de Myumi. Ses seins étaient tendus, sa respiration précipitée, ce que Myumi put réaliser en pinçant l’un de ses tétons.

« Haaaaa...
 -  Voir ta Maîtresse se faire prendre comme ça, ça t’a bien échauffé, hein ? Jack est un sacré amant, hum ? Je suis sûre que tu as envie qu’il te laboure, toi aussi...
 -  Haaaa... O-Oui, Maî-Maîtresse... »

Le sourire de Myumi vint à doucement s’accentuer Qui mieux qu’elle pour juger de ce qu’Elianne voulait ? Myu’ la connaissait par cœur, après tout, et continua à la provoquer un peu... Avant de s’arrêter là.

« Ce serait tentant de te prendre sur place, ma chérie, mais Jack a raison. Il ne faut pas faire attendre les autres. »

Elianne se pinça les lèvres, et baissa la tête, encore plus excitée qu’avant. Elle savait combien sa Maîtresse aimait jouer avec elle, la titiller, la provoquer, et jouer sur sa frustration. Et, tandis que Myumi remettait sa tenue en place, une idée très perverse venait de germer dans son esprit.

« Tiens, je vais mettre ta dévotion au défi, Elianne... Si tu couches avec personne pendant la première partie de la soirée, moi et Jack te prendrons en sandwich, et nous te baiserons bien fort. Qu’en dis-tu ? »

La question n’était pas adressée à Elianne, mais à Jack.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Porno Star [Magdalena Takao]
« le: dimanche 22 janvier 2017, 22:24:54 »
Myumi était ravie de voir que Magdalena était à la hauteur des images qu’elle avait eu d’elle, et de la réputation qu’elle lui connaissait. C’était une femme sulfureuse, et, ensemble, elles allaient beaucoup s’amuser. Descendant ainsi des marches, telle une diva jetant son regard sur ses invitées, Myumi rejoignit la femme, qui s’inclina respectueusement, tout en lui demandant le programme. En retour, Myu’ sourit, gloussa presque, et sa main vint caresser la joue de la jeune femme.

« Qu’elle est polie... Mais, permets-moi de t’ôter d’un doute. Ici, on se salue comme ça... »

La professeure se pencha alors vers la jeune femme au beau corps, et l’embrassa tendrement, collant ses lèvres contre les siennes, dans une tendre et délicieuse étreinte, sa bouche se pressant agréablement sur la sienne. Elle l’embrassa ainsi pendant quelques secondes, avant de s’écarter, conservant sur ses lèvres un délicieux sourire.

« Une bouche magnifique, un corps parfait... Je t’aime déjà, Magdalena ! »

Myumi lui sourit une nouvelle fois, tout en restant proche d’elle, et attarda ses mains sur son corps, caressant à nouveau sa joue, puis son autre main alla se poser sur le fessier de la femme, le massant à travers son manteau bleu.

« Quant au programme de la journée... Eh bien, il est plutôt simple, et tient en un seul mot... »

Elle esquissa un sourire malicieux, et s’approcha de l’oreille de la femme, venant susurrer ces quatre simples lettres :

« Sexe. »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Porno Star [Magdalena Takao]
« le: dimanche 15 janvier 2017, 23:09:59 »
Belles et parfumées, Ikiko et Asura faisaient d’excellentes hôtesses, étant digne de l’image qu’on se faisait de la villa. Elles s’avancèrent donc, guidant Magdalena à travers les couloirs et les pièces de l’immense villa, véritable château moderne, labyrinthique, comprenant de multiples chambres, des salons, des salles de bains, des piscines... Il y avait même une salle de cinéma. Erelda avait pensé à tout, de manière à diversifier les scènes érotiques. C’était un endroit très cossu, très agréable, vivifiant, plein de modernité, mais abritant aussi des pièces faites en bois, plus anciennes, plus traditionnelles. Magdalena avait droit à une brève visite guidée.

« Le manoir de Maîtresse sert aussi de studio d’enregistrement, précisa Asura. Tu auras le temps de découvrir toutes ces pièces...
 -  Même moi, qui suis ici depuis plusieurs mois, je n’ai pas encore eu l’occasion de tout explorer. »

C’était donc un vaste manoir. Les deux femmes rejoignirent un salon intérieur avec des fauteuils rouges, des canapés, et un grand escalier intérieur partant en deux après un perron introductif.

« Voilà, tu peux t’asseoir ici, et attendre... Maîtresse va venir te chercher. »

Ikiko et Asura hésitèrent ensuite à s’éloigner, puis se regardèrent entre elles.

« On ne va tout de même pas la faire attendre seule, si ? Je suis sûre qu’elle n’aime pas être seule...
 -  Ah oui ?
 -  Hmmm-mhhmmm... »

Des sourires espiègles naquirent sur les lèvres des deux femmes, puis elles s’assirent à droite et à gauche de Magdalena, et chacune entreprit de l’embrasser tendrement. Celle qui ne l’embrassait pas finissait par attraper le menton de Magdalena, et l’embrassait à son tour. Partagée par les baisers, Magdalena était ainsi magnifiquement bien traitée, jusqu’à ce que des bruits de pas se fassent entendre.

Une magnifique silhouette descendait lentement les marches. Ce n’était pas Erelda, mais Myumi, dans une tenue de haute lingerie terriblement sensuelle, qui mettait en valeur ses formes et son corps somptueux.

« Bienvenue chez nous, Magdalena... Je m’appelle Myumi, et je suis la fille d’Erelda. J’espère que tu vas te plaire chez nous... »

Ça avait, visiblement, l’air d’être déjà le cas...

34
Résoudre un problème mathématique sur les vecteurs n’était pas, en soi, facile, mais, quand on avait deux godes qui remuaient en soi... Myumi se régalait de ce spectacle, et retenait un sourire, ne pouvant néanmoins s’empêcher de se mordiller les lèvres en voyant Mira se dandiner sur place. La jeune fille peinait à se concentrer, et ça, Myumi pouvait le comprendre. Les vibromasseurs remuaient en elle. Tous les élèves de Myumi avaient eu droit à ce genre de traitements, tôt ou tard. Mira y était donc passée, et, fort heureusement, elle s’en sortit plutôt bien, même si elle chancela un peu en revenant à sa place.

« C’est très bien, Mira... »

Le cours put ensuite se poursuivre, pendant que Mira reprenait ses forces. Myumi, elle, continua à travailler, et personne ne sembla rien remarquer. Les élèves continuaient à travailler, et l’heure défila donc.

Quand Myumi libéra les élèves, ces derniers filèrent, et, quand Mira s’approcha d’elle, elle posa brièvement une main sur son épaule, la retenant sur place, et déposa un baiser sur son front.

« Bienvenue dans ma classe, Mira... Tu es maintenant l’une de mes élèves ! »

Pour Mira, une nouvelle vie s’offrait à elle...

...Et ce n’était encore qu’un début.

FIN

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Après sa magnifique préparation, Myumi put passer aux choses sérieuses, et s’empressa d’enfoncer sa verge dans le corps de la jeune femme. Un long soupir s’échappa des lèvres de la professeur quand elle retrouva la joie immense de la sodomie. Oui, s’enfoncer ainsi dans le corps d’une femme, c’était délicieux. Elle adorait déjà le cul de Mira, à l’image du reste du corps de cette petite beauté. Myumi aimait tout simplement tout chez elle, et elle se régalait des couinements et des hurlements que la jeune élève pouvait pousser. Posant ses mains sur ses hanches, Myumi appuyait dessus, griffant sa peau, et continuait à la prendre, enfonçant son mandrin en elle, la baisant vigoureusement. La sodomie devenait de plus en plus intense, et, comme Myu’ avait pensé à bien préparer le postérieur de la jeune femme, elle pouvait s’y mouvoir avec grande aisance.

« Hmmmm... Haaaaaaannn... !! »

Myumi gémissait, et les minutes défilèrent. Son corps massif s’enfonçait dans celui, plus petit, de Mira, d’avant en arrière, jusqu’à la pousser à l’orgasme. Dans un énième soupir, Myumi se vida en elle joyeusement, répandant son sperme dans son corps, et relâcha la pression. Épuisée et heureuse, Mira s’écroula alors sur le sol, et, à la surprise de Myumi, qui respirait lourdement, avec de la sueur sur son corps, elle la vit... S’endormir.

Surprise, Myumi fléchit les genoux, et aventura sa main sur le corps de la lycéenne, caressant ses cheveux, la poussant très lentement, la couchant sur le dos, de manière à ce qu’elle constate qu’elle était bien en train de dormir. Épuisée, Mira s’était lancée dans ses derniers retranchements, et avait finalement fini par succomber à la fatigue, provoquant un sommeil instantané. Étonnée, Myumi finit par sourire encore, et se pencha encore, faisant délicatement crisser le latex, et déposa un baiser sur le front de la femme.

« Repose-toi bien, ma chérie... »

Myumi n’en avait pas encore fini avec elle... Mais, pour ce soir, c’était terminé.


Plusieurs  jours après...

Myumi animait un cours de mathématiques portant sur les vecteurs. Le cours avait lieu dans la même salle où, il y a de cela quelques jours, Mira et elle avaient fait l’amour. Il ne restait, bien sûr, physiquement aucune trace de leurs ébats, mais Mira était bien là... Et suivait, parallèlement au cours sur les vecteurs, un autre exercice, donné par sa Maîtresse. Myumi avait donné à la classe un exercice de mathématiques à résoudre, et elle finit par demander à Mira d’aller au tableau pour résoudre l’exercice.

Ce qui était plus difficile, c’est qu’elle avait, sous son uniforme, une culotte noire en latex comprenant deux godes orientés vers l’intérieur, et, quand elle se redressa, une autre élève de Myumi, Elianne Roy, utilisa une télécommande pour déclencher les vibromasseurs.

« Allez, Mira, montre-nous la solution que tu as trouvée... »

Myumi n’avait jamais cessé de la former, sexuellement parlant, comme en ce moment !

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Le dernier acte de la soirée... Ça ne dérangeait pas particulièrement Myumi. Finir sur une levrette, c’était, en réalité, une manière tout à fait honorable et jouissive de finir leur première formation ensemble. La professeur sourit donc, et se rapprocha de Mira, qui, après lui avoir expliqué qu’elle était une magnifique perverse, s’était mise à quatre pattes, bombant amoureusement ses fesses. Les deux mains de Myu’ se posèrent sur sa croupe, caressant et s’appuyant sur ses fesses. Ses doigts appuyaient sur sa chair, s’enfonçant dessus, et elle esquissa un léger sourire, en se cambrant lentement vers elle, s’amusant à caresser le bassin de Mira avec sa verge, qui glissait lentement sur sa peau.

« Oui... Ce serait... Comme criminel de ne pas finir en beauté, ma chérie... »

Myumi fléchit alors les genoux, et écarta, avec ses pouces, la croupe de la jeune femme, puis lécha sa petite porte arrière. Elle ne s’intéressait désormais plus à sa chatte, mais bien à l’autre trou, son délicat et discret fondement rosâtre. Sa langue partit à l’assaut de cette partie de son corps, qu’elle lécha avec appétit, titillant le trou rosacé pendant quelques instants. Maîtrisant sa langue, Myumi continuait à s’y attaquer, encore et encore, avec calme et avec patience, usant d’une solide maîtrise d’elle-même. Plusieurs minutes passèrent, pendant lesquelles elle ne faisait rien d’autre que lécher son fondement, y fourrant sa langue, cherchant à humidifier et à dilater autant que possible les parois internes de la jeune femme.

Pour terminer cette soirée, Myumi avait donc en tête une sodomie, et elle se délectait des soupirs et des couinements que Mira pouvait pousser, qui étaient comme autant de signes et d’invitations à la baiser férocement. Elle se redressa finalement, et tapa sa verge contre le corps de Mira.

« Je crois que ton corps n’est pas contre l’idée de terminer notre soirée par une magnifique sodomie... »

Myumi, en tout cas, y était largement favorable, comme on pouvait fort volontiers s’en douter. Se pinçant les lèvres, elle crispait ses mains sur les fesses de la jeune femme, et, maintenant que son anus était bien dilaté, elle approcha sa verge, la tenant par la main. L’extrémité de sa verge caressa le trou étroit, et, avec son autre main, elle griffa un peu le cul de la jeune beauté.

« Haaaa... »

Pendant quelques secondes, le temps sembla se suspendra, car Myumi reprenait son souffle, bandait ses muscles... Puis commença ensuite à s’enfoncer en elle. Sa queue heurta la chair étroite de la femme, cet anneau tendu et étroit, dans lequel le phallus de Myumi commença à s’enfoncer doucement

« Hhhmmmm... Oh putain, j’aime... Aaaaah, que c’est bon, Mira... !! »

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Myumi ne savait pas qu’Elianne avait eu un faux-départ en matière de sodomie, une première fois ratée, et, si elle l’avait su, ça n’aurait de toute manière rien changé. Elle ressentait vis-à-vis de la jeune femme basanée une attirance tout à fait particulière, et, avouons-le, difficilement explicable. Elianne... Elle n’était pas comme les autres. Myumi avait une foule incroyable d’amants, probablement plusieurs centaines, mais il n’y avait qu’avec cette jeune femme qu’elle ressentait une attirance si particulière, tellement troublante qu’elle était elle-même incapable de l’expliquer clairement. Généralement, elle voyait ses amants, soit comme des élèves, soit comme des amants d’un soir, et, à chaque fois, il y avait, toujours, l’idée de brièveté. Elle adorait le sexe, mais n’avait pas envie de construire quoi que ce soit de sérieux. Cependant, avec Elianne, Myumi était instinctivement en train de sentir... Autre chose. Comme une attirance supplémentaire, une force qui s’insinuait en elle, faisait frémir ses poumons et tout le reste de son corps. En ce moment, Myumi commençait, peu à peu, à apercevoir qu’Elianne ne serait pas comme les autres. Peut-être qu’Elianne était juste tombée au bon moment, ou peut-être que, inconsciemment, Myumi en voulait plus... Mais, dans tous les cas de figure, elle se sentait en ce moment particulièrement excitée.

Sa bouche se posa donc sur la croupe d’Elianne. Elle n’allait évidemment pas lui faire une sodomie à sec. Plus tard, Elianne pourrait peut-être l’endurer, mais, pour l’heure, elle était une délicate fleur fragile. Et puis, les préliminaires, ça n’avait jamais dérangé Myu’, surtout quand il s’agissait de lécher un anus. La petite croupe de sa Elianne d’amour était magnifique, tendre, chaude, douce, étroite... Et, si Myumi avait pu sentir les réticences et les hésitations de son amante, elle les vit toutes s’envoler quand sa langue partit à l’assaut de son corps, s’enfonçant dedans.

« Hhhhmmmm... »

Elle se régala en entendant les couinements d’Elianne, dont l’intensité la surprit. Myumi sourit silencieusement en comprenant que, sans aucun doute, sa petite Elianne serait une grande sodomite. Elle se tortillait sur place, et, au bout de quelques instants, alla mordre un coussin, s’appuyant dessus, rehaussant du coup son petit cul, tout en approchant ses mains, s’en servant pour écarter davantage ses fesses, les tirant autant que possible. Sans l’interrompre, Myu’ en profita donc, et glissa sa langue en elle, remuant dans son fondement. Elle s’y enfonçait aussi loin que possible, encore et encore, tout en émettant des gémissements supplémentaires.

Le temps défilait, tandis qu’elle continuait à humidifier ce petit cul. Son nez capta alors l’odeur délicieuse d’un fin liquide séminal qui glissa également près de son menton, et, profitant du fait qu’Elianne maintenait ses fesses, elle déplaça ses mains. Si l’une était posée sur le haut d’une cuisse, s’appuyant sur sa jambe, l’autre se déplaça pour titiller son bourgeon intime, les ongles venant caresser les pétales de sa fleur intime pour en recueillir un peu de sa sève, qu’elle avala ensuite rapidement, avant de recommencer à lécher.

Myumi faisait tourner sa langue dans ce petit cul, une fois avoir réussi à s’y enfoncer. Elle attaquait ce fondement avec sa langue, donnant des coups dessus, puis insistant fortement, jusqu’à sentir les parois s’écarter, s’ouvrant comme une délicate porte circulaire. L’étau de chair se desserrait, lui permettant d’y fourrer sa langue, et elle léchait donc, avec envie, et avec le plus sincère et le plus honnête des appétits.

« Haaaaa... Hmmmmm... »

Cette magnifique situation dura encore un petit moment, Myumi léchant la femme, tout en venant finalement glisser deux doigts dans sa fente intime, où elle la pénétra. Et elle continua ainsi, jusqu’à ce qu’Elianne ne se relâche, et ne répande sa sève sur ses doigts lors de son délicieux orgasme. Elle dégoulinait finalement de salive et de mouille, et Myumi se redressa, posant une main imbibée de cyprine (celle d’Elianne) sur sa queue.

« Regarde... Je lubrifie ma queue avec ta mouille, ma Elianne d’amour... »

La main de Myumi glissait de haut en bas. Elle se masturbait, frottant vigoureusement son sexe. Maintenant qu’elle avait bien dilaté le fondement d’Elianne, elle devait commencer à ressentir des bouffées d’impatience, des frissons à hauteur de cette partie de son anatomie. Myumi se masturba bien, puis approcha sa main, ordonnant à Elianne de la lécher rapidement. Et, tandis que la beauté s’exécutait, elle caressa ses cheveux avec son autre main.

« Bon... Et si on passait aux choses sérieuses, ma chérie ? Allez, montre-moi ton beau petit cul... »

Elianne se mit en position, et, en souriant, Myumi alla attraper son vit, et caressa la croupe de la jeune lycéenne avec, glissant dessus.

« Mais... J’ai senti comme une hésitation en toit, tu sais, quand... Quand j’ai décidé de m’attaquer à tes fesses. Et, comme je ne voudrais pas te forcer, ma petite fleur adorée, je veux que tu me supplies de te prendre... Je veux que tu supplies ta Maîtresse de te prendre le cul, de te baiser avec force, et de te faire hurler de plaisir à t’en briser les cordes vocales ! Car... C’est exactement ce que je compte faire avec toi... »

38
Il fallait se fier à l’inspiration de Myumi, qui, en matière de sexe, savait toujours comment rebondir. Elle venait de le prouver, en utilisant ce shorty comme un genre de préservatif improvisé, et bourrait avec la belle bouche de Mira. Ses deux mains se crispèrent sur ses cheveux, et elle fila d’avant en arrière. Les cordes de son costume en latex permettaient de retenir plutôt bien la culotte, offrant à Myumi l’opportunité de lui baiser puissamment la bouche. Inutile de prendre des gants, maintenant, la combinaison crissait sous la multiplicité et l’intensité des coups de reins que la senseï était en train d’infliger à la jeune femme. Elle la prenait donc vigoureusement, plantant son phallus en elle, la culotte s’enfouissant dans sa bouche, pour repartir ensuite.

« Hmmmm... Haaaaaaaaaaaa... !! »

Myumi finit par atteindre un nouvel orgasme, et, encore une fois, se vida dans le corps de la belle Mira, répandant sa semence chaude sur sa culotte, qui se retira, sous l’impulsion, des lanières en latex, et finit ainsi dans la bouche de sa jeune amante.

« Hmmmm... C’était bon, hein ? »

Elle sourit encore, et vit Mira attraper sa culotte, venant la lécher, avalant le sperme qui était encore coincé dessus, puisque Myu’ avait essentiellement joui dedans. Elle se frotta ensuite dessus, ce qui ne manqua pas d’amener sur les lèvres de sa Maîtresse un délicieux sourire, durcissant un peu sa verge.

« Tu aimes te tartiner de foutre, hein ? Tu es vraiment incroyable, Mira... Je n’avais encore jamais rencontré une élève qui évolue aussi vite... »

Myumi souriait toujours autant, et s’humecta les lèvres, tout en tendant sa main, s’en servant pour caresser les cheveux de Mira.

« Si je m’écoutais, je viendrais te prendre en levrette, maintenant... Mais es-tu sûre de pouvoir tenir le rythme ? »

Après tout, elles avaient eu l’occasion de faire l’amour un certain nombre de fois, déjà, mais... Eh bien, c’était comme si rien ne semblait devoir épuiser définitivement Mira. Mais ça, en soi, ça ne dérangeait pas vraiment Myumi. Pour être honnête, c’était même tout le contraire !

39
One Shot / Vertes & Roses années [PV]
« le: samedi 17 décembre 2016, 21:20:08 »
La main de Myumi était posée sur la délicate fesse de son amante à la peau légèrement bronzée, Elianne, dont le corps nu se reposait contre le sien, également nu. Elles respiraient lourdement, en sueur, la verge de Myumi encore plantée en elle, et, alors qu’Elianne léchait ses seins, dans ce moment entre deux orgasmes, elle lui avait demandé...

« ...Comment j’étais au lycée ? répéta Myumi, en souriant légèrement. Oh, ça... Tu es sûre de vouloir l’entendre ? Je pourrais te choquer, tu sais... »

Elianne insista tout particulièrement, multipliant les baisers. La « choquer », c’était, par excellence, un argument trompeur, elle qui, depuis qu’elle était proche de Myumi, avait connu une véritable chute sans fin vers la lubricité la plus absolue. Orgies, tournantes, zoophilie, sodomies en rafale, séance de sexe avec des Incubes, et même avec des tentacules, Myumi n’avait rien épargné à Elianne, et avait même drogué son corps à l’aide de stimulants magiques, pour renforcer son endurance sexuelle, ainsi que son appétit, faisant d’elle une insatiable nymphomane.

Fouineuse et amoureuse, Elianne savait que Myumi avait grandi à Seikusu, et avait rejoint Mishima, il y a de cela une quinzaine d’années. Elle avait réussi à avoir son dossier scolaire, probablement en couchant avec les secrétaires, mais n’avait pas pu obtenir grand-chose, car ce dernier était... Étonnamment vide.  Elianne avait été néanmoins très étonnée d’une chose : elle avait lu que Myumi avait été la Présidente du club social de Mishima ! Dès lors, il lui avait suffi de faire de plus amples recherches pour découvrir que le club social avait été fondé il y a... Quinze ans !

Or, le club social de Mishima était le premier club du campus, présent aussi bien au lycée qu’à l’université. C’était le club des Morimoto, dirigée par la belle et puissante Leona Morimoto, petite-sœur de Reina Morimoto, une belle surdouée qui gérait le groupe financier Morimoto. Les Morimoto formaient l’une des plus vieilles familles de la ville, les premiers fondateurs, et étaient alors de riches négociants. Depuis lors, leur influence n’avait jamais cessé de grandir sur la ville, le groupe Morimoto disposant d’un vaste empire immobilier, et ayant pour demeure un gargantuesque manoir. Leona dirigeait donc le club social, et la principale activité de ce club, c’était l’organisation de somptueuses orgies. Le club avait ainsi pour but de former sexuellement la plupart des nouveaux élèves de Mishima. Elianne aurait pu en faire partie, si Myumi n’avait pas posé sa main sur elle, mais, même malgré ça, elle avait participé à plusieurs des orgies du club.

Depuis lors, sa curiosité n’avait cessé de grandir, jusqu’à ce que, finalement, elle ne lui pose la fatidique question. Myumi et Elianne formaient un couple extrêmement libertin, mais Myu’ ne cachait rien à Elianne, et entreprit donc de lui parler... De ses vertes années.

« J’étais une adolescente, à l’époque... Je savais que j’avais des gènes de succube, mais ma mère n’avait rien fait pour m’aider à les calmer, au contraire. Avant qu’elle ne me prenne toutes mes virginités, elle me forçait à la regarder faire l’amour avec ses multiples amants, et m’initiait sexuellement. Elle me donnait des interrogations érotiques, me demandait d’écrire des rédactions sexuelles, me posait des questions sur des films pornographiques... »

Erelda avait offert à Myumi une sacrée éducation.

« Quant aux Morimoto... Tu sais, ce n’est pas un hasard si Seikusu a été fondée vers la fin du 16ème siècle. C’est à cette période que les premiers missionnaires chrétiens, des Jésuites, ont commencé à déferler au Japon, apportant avec eux une morale chrétienne qui s’opposait à l’érotisme japonais, dont les Morimoto étaient de fervents défenseurs. Quand j’ai rejoint le lycée, Mishima était déjà très axée sur le sexe, mais connaissait ses premiers scandales sexuels. De fait, j’ai été l’un des premiers soucis de préoccupation de l’administration de l’époque.
 -  Pourquoi ça ? demanda Elianne, qui continuait à remuer ses fesses, Myu’ continuant à les palper.
 -  Ma mère est membre du conseil d’administration. Si on apprenait que la fille d’un membre du conseil était une nymphomane notoire, et qu’on continuait à creuser, on apprendrait aussi que ma mère organisait déjà, dans sa villa, des orgies pour son industrie pornographique. Je te laisse imaginer la teneur du scandale qui aurait résulté... Et moi, j’étais... Extrêmement prolifique. »

Et un léger sourire évasif remua le long des lèvres de Myumi, tandis qu’elle se rappelait, avec joie, et avec un brin de mélancolie, ses vertes années.


Quinze ans plus tôt...

« Tu... Tu es vraiment... Une vilaine fille, haaaa...
 -  Hmmmm...
 -  Tu... Haaaa... Tu as provoqué une rixe dans la cantine, My... Myumi, hmmm... Tout ça parce que... Parce que tu... Haaaa...
 -  Je trouve ça très sexy que des hommes se battent pour moi, même si je préférerais qu’ils utilisent leur énergie pour défoncer mon corps, plutôt que se taper entre eux... »

Vainement, Hitomi, la secrétaire du Proviseur, essayait de repousser les assauts de Myumi, qui léchait avidement son cou, le mordillant, et l’embrassant aussi, tout en glissant sa main sous son étonnant uniforme en cuir (par dérogation spéciale du Proviseur, Hitomi avait le droit, et presque le devoir, de porter chaque jour une tenue moulante en cuir et/ou en latex), la masturbant. Hitomi retenait difficilement ses couinements, et Myumi n’avait pas hésité à lui piquer sa sucette, la léchant, avant de la lui rendre, pour que la secrétaire la lèche aussi. Si prompte à donner des coups de cravache et des fessées, Hitomi désespérait. Elle avait déjà fessé Myumi, et même abattu sa cravache, mais rien ne calmait cette sulfureuse élève, qui arrivait à chaque fois à inverser les rôles, que ce soit avec elle, les surveillants, ou encore les professeurs.

Le fait est que l’élève avait transformé sa classe. Depuis plusieurs semaines, il n’était plus possible de faire cours quand Myumi arrivait. Elle couchait avec le professeur, et transformait systématiquement chaque classe en terrible orgie, perturbant volontiers les autres cours (à l’époque, Mishima n’avait pas encore insonorisé aussi bien les salles de cours que maintenant). Les caméras cachées glissés permettaient de voir que Myumi n’avait aucun gêne. Que le professeur soit un homme ou une femme, elle se mettait toujours au premier rang, et, peu à peu, faisait sombrer la classe dans la luxure et la perversion.

Myumi ne venait au lycée que pour faire l’amour, et elle allait jusqu’à donner des notes. Sa spécialité, c’était de faire une fellation en s’empalant sur un homme, et, elle attestait de la qualité d’une fellation par une note. Ce matin, pendant la pause, elle avait ainsi sucé plusieurs lycéens, et avait attribué à Ida un piteux 3/10, et lui avait dit, avec dédain, de revenir foutre sa queue en elle quand il serait capable de vraiment lui faire une gorge profonde sans cracher sa semence... Et, dans la foulée, elle avait attribué un 9/10 à Kojiro, qui lui avait tiré les cheveux, en la baisant sèchement.

Furieux et jaloux, Ida avait alors attaqué Kojiro pendant la pause-repas. Hélas, Kojiro était membre de l’équipe de soccer, et Ida un poids plume. Kojiro l’avait violemment repoussé, sous les yeux de Myumi, qui avait ensuite félicité l’homme en le suçant, puis en le laissant la prendre en levrette, au milieu des yeux médusés du réfectoire.

Suite à cet énième incident, le Proviseur, Morimoto-sensei, avait finalement décidé de convoquer Myumi, et elle attendait donc dans le bureau de la secrétaire, qui avait entrepris de vouloir la corriger avec sa cravache... Pour finalement devenir l’assaut des doigts et des lèvres de Myumi.

Les exploits sexuels de Myumi, qui impliquaient beaucoup de sexe public, avaient d’ores et déjà provoqué d’importants incidents. Des parents d’élèves outrés avaient été voir le Proviseur, et, suite à l’épisode de la cantine, le lycée avait reçu une assignation en justice émanant d’un collectif de parents d’élèves, l’association religieuse FOCK, « Fight for Our Childrens’ Kindness », qu’on avait tendance à appeler « FUCK » (surtout Myumi, en fait), réclamant de multiples dommages-intérêts pour préjudice moral, débauche sexuelle, ainsi que la fermeture d’urgence de l’établissement, le tout s’accompagnant d’une lettre au rectorat de Kyoto. Suite à cela, il avait donc été décidé de réagir en haut lieu.

Et, de fait, si le Proviseur prenait son temps, c’était parce que, de l’autre côté de la porte menant à son bureau, il était en grande conversation avec un autre membre du conseil d’administration : Erelda, la mère de Myumi...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Porno Star [Magdalena Takao]
« le: jeudi 15 décembre 2016, 20:03:00 »
Devant la remarque sur sa patronne, Blaze ne pouvait s’empêcher de sourire. Visiblement, la jeune femme n’avait pas entendu parler d’Erelda, ou, de manière plus générale, de la famille des Ichtora. Entre la mère et la fille, difficile de dire laquelle des deux était la plus perverse. Il sourit donc, et apposa son pouce sur les douces lèvres de la blonde, caressant ces dernières.

« Pour être honnête... Si je me contentais de t’amener sans te toucher, ma patronne pourrait me renvoyer. Tu sais, elle a toujours une demi-heure de retard sur ses rendez-vous, car elle s’envoie en l’air presque toute la journée... Surtout quand sa fille est là. Toi et elle, vous êtes faites pour vous entendre. »

Blaze se rapprocha donc, et ne tarda guère plus à la pénétrer, en la prenant contre la portière de la limousine. Les fesses de Magdalena s’aplatirent contre la vitre, et l’homme la pénétra, en soupirant longuement. Sa grosse queue la pénétra rapidement, et il s’unit à elle, dans un coït sensuel et brutal, une main se glissant sous la jambe de son amante, se glissant vers la moitié, la soulevant ainsi, tout en multipliant les coups de reins par ce fait.

De légers soupirs s’échappaient des lèvres du chauve, qui n’hésita pas à embrasser la femme, et à continuer à la prendre. Inutile de la déshabiller, les deux faisaient donc l’amour avec leurs vêtements, et Blaze, qui avait longuement eu el temps d’être excité pendant ce trajet en voiture, offrit une prestation relativement honorable. Moins qu’une véritable scène de sexe, c’était surtout une manière de souhaiter la bienvenue à Magdalena dans la villa Ichtora, un endroit où on avait curieusement l’habitude d’y rester, et d’en sortir rarement. Pour une fille comme Magdalena, si perverse, cet endroit lui apparaîtrait probablement comme un refuge, et Blaze, lui, serait ravi de pouvoir coucher ensuite avec elle.

Leur coït dura entre cinq et dix minutes, l’homme grognant de plus en plus, palpant avec l’une de ses mains les seins de la femme, mais refusant qu’elle se déshabille, retournant en revanche fréquemment l’embrasser.

« Pu-Putain, ce que t’es bonne, haaaa... ! »

Il soupira encore, d’une voix grave et profonde, et continua à la bourrer, jusqu’à finir par s’abandonner en elle. Dans un grand soupir, les lèvres closes, Blaze se relâcha en elle, répandant des filaments de foutre dans sa chair, puis se calma ensuite.

« Oui... Ça fait du bien... »

Blaze soupira, et remit sa queue dans son pantalon, puis fit signe à Magdalena d’entrer dans la villa, pendant que lui irait garer la limousine.

Quand la jeune femme entra dans la villa, elle débarqua dans un grand salon d’accueil, avec un parquet lustré, des canapés rouges en velours, un grand double escalier menant à une mezzanine... Et deux beautés à droite et à gauche de la porte d’entrée, qui l’embrassèrent en se présentant. Elles étaient deux actrices d’Erelda : Ikiko, et Asura.

« Bienvenue, Magdalena ! s’exclama Ikiko.
 -  Nous allons te conduire auprès de Maîtresse Erelda, enchaîna Asura. Mais, à titre personnel, je suis ravie que tu sois là ! Je suis l’une de tes admiratrices, j’adore lire ton blog ! »

Autant dire que l’arrivée de la jeune femme à la villa commençait plutôt bien !

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Visiblement, la promesse d’une orgie avait réveillé l’ardeur de Mira. Tandis que Myumi reprenait ses esprits, et se masturbait délicatement, Mira, elle, avait les yeux dans le vague. Myu’ n’était pas télépathe, mais elle comprit rapidement, à son regard vague, que la promesse d’une orgie n’était pas sans l’intéresser. Elle s’imaginait sûrement à quoi ça ressemblerait... Mais ce n’était pas Myumi qui allait vendre la mèche ! Un peu de suspens ne faisait jamais de mal... Elle s’était assise sur le rebord du bureau, exhibant, devant les yeux de Mira, l’avant de sa tenue spéciale, faite de lanières et d’ouvertures sur sa peau. On pouvait ainsi voir que sa culotte n’était en fait qu’une partie de la combinaison, qu’elle pouvait ouvrir pour avoir accès à son sexe.

Mira revint alors à la réalité, et Myumi avait pu noter que son excitation la reprenait, puisque de la mouille commençait à dégouliner de sa fente... Ce qui était assurément une très bonne chose. Myu’ sourit même, heureuse de voir combien cette jeune femme avait un potentiel élevé. Oui... Quand Myu’ l’aurait formé, elle serait une vraie nymphomane, inépuisable. Pour Myumi, c’était ça, son rôle à Mishima : former les élèves et les jeunes éphèbes aux joies insondables et infinies du sexe. Sur ce point, Mira pouvait devenir magnifique, presque autant perverse qu’Elianne, sa meilleure élève, et amante parfaite. Excitée, Mira lui demanda alors une culotte à mettre dans sa bouche, et Myu’ sourit.

« Je t’ai déjà donné ma culotte, dans mon bureau, lui rappela-t-elle.

C’était le shorty rouge, qui gisait au sol. Myumi s’avança, et le récupéra, puis s’amusa à le renifler, et même à le lécher, avant de sourire. Elle le rapprocha ensuite du visage de Mira, le tenant par sa main, et l’invita aussi à le renifler.

« Tu le sens ? Ce shorty est imprégné de ta mouille, cette odeur... Haaa... Elle est vraiment magnifique, je ne m’en lasse pas ! »

Elle sourit encore, malicieuse, puis, sans le mettre dans la bouche de la femme, posa le shorty sur son sexe. Comme elle s’était masturbée pendant le moment où Mira s’était embarquée dans ses rêves, sa queue était redevenue bien raide, et elle usa de ce shorty comme d’une sorte de couvre-chef, le posant sur sa queue, et tira dessus, utilisant les lanières en latex de sa tenue pour coincer les deux bouts de la culotte.

Autrement dit, Myumi accrocha le shorty à son membre.

« Allez, ma petite puce, ouvre bien, je vais fourrer ta petite bouche d’amour ! »

La professeur agrippa la tête de Mira, et retourna dans sa bouche, lui offrant une fellation... Au goût très spécial, puisque, maintenant que sa queue était recouverte de son shorty, les sensations devaient être bien plus différentes.

« Hmmm... Hmmm... »

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Centre-ville de Seikusu / Porno Star [Magdalena Takao]
« le: dimanche 11 décembre 2016, 17:35:03 »
La demeure familiale des Ichtora n’avait rien de traditionnel. C’était une incroyable villa dans les abords de la ville, avec une piscine énorme, et une vue sur la mer. Une richissime et luxueuse villa, à la hauteur de la propriétaire des lieux, la belle et redoutable Erelda. Une démone qui avait choisi de vivre sur Terre, obtenant son nom japonais de son mari, qu’elle avait ensuite fait tuer. La démone adaptait une forme humaine, où elle était une plantureuse blonde, et avait tiré toute sa fortune du milieu pornographique. Erelda dirigeait en effet une série de sociétés et de compagnies spécialisées dans le porno’, que ce soit les simples hentaï, ou le vrai porno, qu’elle organisait dans sa somptueuse villa. Richissime, la femme organisait aujourd’hui des castings en vue d’un prochain film, et avait, comme à son habitude, diffusé des annonces sur Internet et dans les journaux locaux.

Parmi les candidates potentielles, Erelda s’intéressait surtout à l’une d’entre elles, une jeune et belle blonde plantureuse dont elle avait retenu le nom de famille... Magdalena Takao, la fille des Takeo, une riche famille japonaise. Erelda fit une courte enquête sur elle, qui lui permit d’apprendre que la belle Magdalena était une sacrée nymphomane. Une recrue de choix pour la nouvelle gamme de films qu’Erelda voulait lancer. En réalité, la mère de Myumi ne visait pas que le porno’ terrien, mais aussi... Tekhan. La démone ne faisait pas des films érotiques juste pour le plaisir d’être riche, mais aussi, et, surtout, parce que, fondamentalement, elle adorait le sexe. Erelda avait une mère succube, et avait transmis ses gènes à sa fille, Myumi, qui participait volontiers à une bonne partie de ses films. Et, l’avantage de tourner un film auprès des Tekhanes, c’était qu’on n’avait pas les limitations créatrices de la Terre. On pouvait utiliser des monstres, des hermaphrodites, sans risque, car Erelda garantissait que ses films avaient lieu « sans trucage ». Sa réputation était à peu près aussi importante que son plaisir personnel.

« Et c’est pour ça que je t’ai invité, ma chérie...
 -  Tu as bien fait, Maman... »

Les deux femmes étaient nues, subissant, dans le grand lit de la chambre d’Erelda, les assauts buccaux, digitaux, et brutaux, de plusieurs mâles musclés, nus, baraqués, et faisant office d’acteurs et d’esclaves sexuels. L’un embrassait les seins de Myumi, et remonta ses lèvres, venant l’embrasser, avant d’enfoncer sa queue en elle, faisant doucement gémir la jeune femme, dont les mains se crispèrent sur le lit.

Erelda, de son côté, repoussa un homme, et se mit à califourchon sur lui, attrapant rapidement son mât, et s’empala goulûment dessus, en soupirant longuement, un autre venant se glisser dans son dos, palpant ses seins, caressant ses fesses avec sa verge.

« Tu... Hmmmm... Tu es sûre de... Haaaa... Ne l’avoir jamais eu co-comme... Comme élève, hmmm... ?
 -  Je ne l’aurais pas oublié, si... Si ça avait été le cas... !! »

Quand Myumi revoyait sa mère, elles faisaient toujours l’amour. Si Myu’ pratiquait le sexe intensivement, c’était encore plus vrai pour sa mère.

Quant à Magdalena, pour venir, elle avait dû envoyer un book comprenant des photographies d’elle, et Erelda, par l’intermédiaire de l’une de ses employées, Jun, lui avait demandé de venir avec son costume bleu et ses collants. Pour l’amener jusqu’ici, Erelda avait déployé l’un de ses chauffeurs, Blaze, qui était venu la chercher en limousine.

Blaze approchait maintenant du portail menant à la villa, et regardait régulièrement un petit écran situé au tableau de bord, relié à une caméra filmant l’intérieur de la limousine, où Magdalena était là. La jeune femme ne le savait pas, mais Blaze était le frère d’un homme avec qui elle avait eu une aventure... Ou, plutôt, un gang-bang bien salace. Depuis qu’il avait été la chercher au centre-ville, Blaze avait une formidable érection, une trique phénoménale qui n’arrivait pas à se calmer.

Le chauffeur s’arrêta devant l’entrée de la villa, et respira lentement.

*Calme-toi, vieux...*

Il sortit de la voiture, et ouvrit la porte arrière, laissant Magdalena en sortir. La jeune femme en sortit donc, mais, dès qu’elle sortit, Blaze referma la portière, et posa son autre main, gantée, sur le visage de la femme, son pouce venant glisser sur ses lèvres.

« Je connais ta réputation, Magdalena... Mon frère t’a sodomisé, l’autre jour, dans la chambre d’hôtel où tu avais été invitée... Moi, j’aurais dû y participer, mais j’ai dû conduire la patronne... Il m’a dit que tu étais le meilleur coup qu’il ait jamais tiré. »

Blaze sourit alors, et retira son pouce, puis alla embrasser la femme, pressant son corps contre le sien, sa queue tendue venant caresser le bassin de la jeune femme...

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Myumi lui avait montré de quoi elle était capable, lui témoignant toute sa férocité, et toute sa passion. Elle l’avait longuement baisé contre le bureau, jusqu’à ce qu’elle atteigne finalement son orgasme. Dans un gros et profond soupir, la senseï se vida dans le corps de la femme, et se retira ensuite, laissant Mira s’affaler sur le sol, contre son bureau, son trou laissant s’échapper un joyeux filament de mouille et de sperme. Myu’, elle, se mit à sourire tendrement en la regardant, sa queue légèrement abaissée, dégrossie, avec des monceaux de jus intime parcourant sa taille. Elle respirait lentement, et s’assit sur la chaise de Mira, pendant que la jeune élève reprenait des forces.

Aussi ravie qu’épuisée, Mira lui avoua qu’elle avait adoré ça, mais Myumi pouvait maintenant sentir sa fatigue, ce qui l’amena à sourire. Elle avait les joues rouges, rougies par l’effort, par la fatigue, mais aussi par le désir. Il ne fallait pas oublier que Myumi avait, dans le corps, des gènes de succube, ce qui faisait qu’elle ne s’épuisait pas facilement.

« Tu es... Tu es une jeune élève pleine de surprise, Mira... Avec toi, je crois que je vais pouvoir passer à une formation accélérée. Tu es fatiguée, mais... Je t’apprendrais à t’endurcir, à tenir sur la longueur. Et puis... »

Un léger sourire vint perler sur les lèvres de Myumi, qui se pencha vers la femme, faisant crisser sa combinaison, et caressa doucement le visage de Mira, un fin sourire allant ensuite se nicher sur ses lèvres.

« Tu as de la chance, car ma classe se réunira d’ici quelques jours pour une belle orgie. Ce sont des moments particulièrement chaleureux, et tu auras naturellement le droit de participer à notre petite réunion. »

C’était là une magnifique offre que Myumi était en train de lui faire, surtout quand on prenait en compte le fait que Mira était encore une jeune novice, qui avait rejoint la classe il y a à peine quelques heures.

« Tu es une petite chanceuse, ma chérie... »

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De prime abord, on aurait pu croire que la nature semie-démoniaque de Myumi était la cause des excitations que ses amants ressentaient envers eux. Après tout, quoi de plus normal, venant d’une démone de Luxure, de stimuler la libido de ses partenaires ? Seulement, Myumi n’avait que peu de pouvoirs magiques innés, et estimait que, si elle bénéficiait certes de phéromones, ce qui suscitait avant tout le désir, c’était son corps, et, au-delà de ça son comportement extrêmement sensuel, pour ne pas dire libertin. Pour l’heure, elle maintenait Mira par les bras, et usait de ses abdominaux et de ses muscles pour la faire sauter sur elle. Le corps de Mira se dandinait ainsi de haut en bas, la jeune femme hurlant et piaillant, tandis que le plaisir se diffusait dans tout son être. Elle haletait, encore et encore, incapable de se retenir, sa salive coulant le long de ses lèvres, et Myumi la sentit rapidement jouir, ce qui ne manqua pas de la faire sourire. Des frissons de plaisir traversaient son propre corps, tandis que sa queue continuait à enfler, remontant dans l’organisme de la jeune femme.

« Oui... Hmmm... Vas-y, Mira, haaa... En... Encore, hmmm... ! Allez, petite catin... ! »

Myumi la motivait, tout en respirant profondément, et finit par relâcher ses poignets, venant empoigner les seins de Mira, continuant à danser sur elle. Sa chaise se soulevait d’avant en arrière, sous l’amplitude des mouvements frénétiques et puissants que Myu’ lui infligeait. La senseï gémissait profondément, pinçant les tétons de la femme, et poussa ainsi Mira vers un second orgasme. Cette dernière était en train de plonger dans un autre univers, l’esprit fracassé par cette vague de plaisir qui la transperçait, à l’image de ce bâton de chair se plantant en elle, et qui remontait dans son corps, continuant vigoureusement à la baiser.

Encore et encore, Myumi se secouait en elle, serrant maintenant les lèvres, retenant son souffle, tout en approchant, petit à petit, de l’orgasme. Elle sentait son vit se gonfler, sa respiration s’alourdir, tandis que le plaisir atteignait le palier suprême. Elle soupira alors, pinça les deux tétons de Mira en même temps, et bascula légèrement sa tête en arrière. Le plaisir crut encore, et sa queue explosa, balançant des filaments de foutre dans la chatte de Mira, qui eut un troisième orgasme, directement consécutif au sien.

« Haaaaaaaaaaaaaaaannnn... !! »

Un puissant soupir témoigna de son orgasme, et Myumi s’affaissa ensuite sur la chaise. Elle avait terminé cet orgasme en se redressant, manquant à nouveau renverser l’objet, s’appuyant d’une main contre le bureau, balançant son foutre dans l’intimité de Mira. Maintenant rassasiée, elle reprenait son souffle, mais avec une virilité toujours roide, et une Mira visiblement très impatiente, ce qui ne manqua pas de faire doucement sourire la belle.

Mira en voulait encore, et c’était une bonne chose, car Myu’ aussi. Elle se releva à nouveau, et écarta pour de bon la chaise, qui tomba en arrière, ; puis Mira se retrouva contre le bureau.

« Oui, ma chérie, je n’en ai pas encore fini avec toi... Hmmm... Ma petite pute... ! »

Myu’ se tenait dans son dos, et la poussa un peu, l’amenant à s’étaler sur son bureau, avec ses jambes qui touchaient terre, puis posa ses mains sur ses fesses, et commença à reprendre ses coups de reins, la pénétrant. Le latex crissait bien plus facilement, car, dans cette position, Myumi pouvait réaliser des coups de reins bien plus forts. Soupirant de plaisir, elle n’hésitait pas à fesser le corps de Mira, abattant sa main sur son cul, puis continuait à la prendre, jusqu’à légèrement soulever le bureau, tant elle la prenait fort.

Après avoir joui, sa queue avait légèrement dégrossi, et retrouva bientôt toute sa superbe, les joues rouges de Myu’ témoignant par ailleurs de l’effort qu’elle faisait. Muscles bandés, elle baisait fougueusement sa nouvelle esclave, cette délicieuse catin, la faisant rebondir sur le bureau, glissant d’avant en arrière, tandis que la mouille de Mira s’écoulait à chaque coup de la grosse queue plantée en elle.

« Allez, salope, hmmm... J-Jouis, haaaa... ! JOUIS, SALE PUTE... !! »

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Myumi avait droit à une belle fellation de la part de Mira, qui était en train de pomper son dard avec envie et appétit. Énergique et motivée, la jeune femme s’excitait sur son membre, l’engloutissant dans sa bouche, d’avant en arrière, avec un appétit... Magique. Assise sur le rebord du bureau, Myumi la laissait venir, caressant ses cheveux, mais sans chercher à la bloquer, ni à faciliter son orgasme. Au contraire, elle estimait que, plus longtemps Mira aurait sa queue en bouche, et plus heureuse elle serait. Elle sentit ainsi la jeune lycéenne multiplier avec appétit les gorges profondes, pour pousser Myumi dans ses derniers retranchements... Ce en quoi elle eut gain de cause.

« Hmmm... Mi... Mira, haaaa... »

La senseï étouffa un soupir en se mordillant les lèvres. Sa queue se mit à gonfler, et, dans un profond soupir,  Myumi relâcha la tension en elle, et se vida dans la bouche de la jeune femme, venant finalement crisper sa main sur sa chevelure, au moment de jouir. Sa queue tressauta contre ses lèvres, et, dans un profond soupir, Myu’ lui aspergea la bouche, balançant de multiples giclées de foutre à chaque fois. Tout son corps se relâcha ensuite, et elle en soupira de plaisir. Oh oui ! Jouir était toujours aussi magnifique, et elle sourit en voyant combien Mira semblait, elle aussi, épanouie.

Après avoir bu son sperme, la jeune femme voulait déjà passer à autre chose, ce qui ne manqua pas de faire sourire Myumi. Elle se redressa alors, prête, elle aussi, à passer à l’action. Même si elle avait déjà joui, et même plutôt bien joui, son corps n’était pas encore totalement rassasié. Au contraire, sa verge était toujours là, bien tendue, mais, avant de retourner dans le corps de son amante, elle avait une idée.

« Retire-toi de ta chaise, pour commencer, et mets-toi contre ton bureau, dos à moi... »

Myumi s’assit ensuite sur la chaise, et écarta les jambes, le dos de Mira devant elle. Ce faisant, la jeune femme rapprocha ensuite la chaise le plus possible de Mira, et posa ses mains sur ses hanches.

« Très bien... Maintenant, ma chérie... Tu vas t’empaler sur moi. Comme ça, demain, tu seras quasiment dans la même position que maintenant. »

Naturellement, avec ses mains, Myumi l’aidait, de manière à ce qu’elle puisse bien se dresser, tout en prenant appui, au moins au début. Ensuite, Myumi attrapa d’elle-même les poignets de Mira, et les tira vers l’arrière, tout en soulevant son bassin, laissant ensuite Mira l’accompagner dans ses mouvements, sa queue venant pilonner sa chatte avec envie et gourmandise.

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