Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Anne-Lyse de Montfort

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Allongée sur le ventre, Anna était incapable de bouger. Elle venait de frôler la mort et le choc était encore dur à encaisser. Un pas de travers et il lui briserait la nuque en une fraction de seconde. Que faire ? Hurler ? Fuir ? Difficile d'avoir les idées claires quand une énorme queue vous ravage la chatte. En plus de continuer ses coups de bassins, il vint écraser son corps musculeux contre le sien, lui arrachant un soupir de frustration. La pauvre cherchait désespérément de l'oxygène et la pression qu'il exerçait sur son dos ne l'aidait en rien. Aussi, elle fut obligée de le supplier afin qu'il lui laisse un peu de répit.

- Res...pi...rer... Laisse...moi... res...pirer...

Non. Il revint à la charge, passant l'avant bras autour de sa gorge marquée pour la priver d'air. D'emblée, Anne-Lyse se raidit, contractant la totalité de ses muscles pour forcer sur son bras et se libérer. La bouche grande ouverte, elle tentait d'avaler une bouffée d'air. Rien qu'une petite bouffée... Mais elle ne put que couiner. Couiner pour qu'il ait pitié d'elle, pour lui faire comprendre qu'il allait la tuer. La jeune femme continuait de lutter en vain, griffant son bras et tirant dessus sans que celui-ci ne bouge d'un cm. Bientôt, c'est un long filet de bave qui s'échappa de la commissure de ses lèvres pour dégouliner sur le coude de son bourreau. Et, alors qu'elle pensait que la situation ne pouvait pas être pire, un torrent de foutre brûlant vint lui inonder la chatte, lui provoquant dans le même temps un orgasme sulfureux. La pauvre hurla comme une vulgaire salope, vidant le reste d'oxygène qui lui restait dans les poumons.

- HAAAAN !! NOOOOOOOON ! ♥♥

Au bout de sa vie, Anne-Lyse ne bougeait plus, perdue entre plaisir et inconscience. Pourtant, il lâcha enfin sa prise, lui permettant de reprendre son souffle. Ce qu'elle fit bien évidemment, non sans tousser à s'en détruire le thorax.

- Ha...Ha...N...Non....Stop...Ha...Stop...! Je n'en peux plus...!

Lui dit-elle en le fixant d'un air désespéré, voire pathétique. Elle n'en pouvait plus et le lui faisait clairement comprendre. Pourtant, le démon ne semblait pas de cet avis puisqu'il n'attendit pas bien longtemps pour l'attraper et l'obliger à nettoyer sa queue. Mais, malgré toutes les pulsions qui tiraillaient son corps, Anna n'avait pas l'air ravie de le sucer. D'ailleurs, elle parvint même à froncer les sourcils comme pour lui dire qu'il finirait par le regretter.

Après l'avoir nettoyé, Anne-Lyse le suivit à quatre pattes pour atterrir dans une autre pièce. En y entrant, elle écarquilla les yeux, observant avec stupéfaction la dizaine d'homme qui s'y trouvaient. Il était aisé de lire la peur et le dégoût sur son visage. Ces gros dégueulasses se branlaient sans vergogne, imaginant très certainement qu'ils pourraient sauter un corps comme le sien. Cherchant à se redresser, elle fut vite rappelée à l'ordre par le démon qui appuya fermement sur ses épaules pour la maintenir dans sa position initiale. Sachant qu'elle ne pourrait y échapper, elle se mit à pleurer. Silencieusement, certes, mais de grosses larmes perlaient le long de ses joues. Ces êtres immondes allaient la toucher elle. Elle et son corps si parfait, normalement inaccessible... Ils allaient la violer et elle allait aimer ça.

- Vous tous... Ecoutez-moi... Je vous jure que vous allez tous... MPFFF !

Et le plus moche vint l'embrasser à pleine bouche, faisant couiner Anne-Lyse qui cherchait désespérément à le repousser. Dégoûtée au plus au point, elle voulut lui mordre la lèvre mais sa langue experte l'incitait à ouvrir d'avantage la bouche pour savourer ce délicieux baiser. Ces immondes bâtards étaient en train de l'exciter... Troublée, elle ne bougea plus, gardant sa langue pleine de salive hors de sa bouche tout en fixant le porc qui lui tendait sa queue.

17
Archives publiques / Re : Democracy is so overrated. [Nouveaux Modos !]
« le: jeudi 28 avril 2016, 08:10:03 »
Qu'est-ce que je disais.

Elle va sauter tous les nouveaux sans faire son taff  :-\

18
Archives publiques / Re : Democracy is so overrated. [Nouveaux Modos !]
« le: jeudi 28 avril 2016, 08:03:04 »
Ahri ? Modo ?

Beh putain, on est pas dans la merde :/ ...

19
Anne-Lyse savait qu'elle était foutue. Elle savait que, quoiqu'il pouvait arriver maintenant, elle n'arriverait plus à se passer de sa queue. Elle se demandait même si, après cette séance d'humiliation, elle parviendrait toujours à se montrer dominante pendant ses ébats sexuels. Probablement pas. Il était en train de la briser et pour l'instant, la petite blonde ne pensait plus qu'à cette grosse queue qui lui ravageait la chatte.

- Ha ♥ Ce... Ce n'est pas.... tu m'as droguée..., j'en suis sûre ! Hmph !

Finalement, le démon répondit à sa demande et vint caler ses deux grosses mains sur sa gorge, faisant frissonner de peur sa pauvre victime. Contre toute attente, blondie réalisa qu'elle pouvait respirer. Il ne cherchait pas à l'étouffer mais plutôt à couper la circulation de son sang, éviter que ses globules rouges alimentent son cerveau. Sans qu'elle ne sache pourquoi, la sensation était exquise. Jouissive, même. Elle peinait à respirer, certes, mais une chaleur étouffante lui montait à la tête. Puisque ses poumons réclamaient de l'oxygène, elle du ouvrir la bouche et même... tendre la langue comme une chienne. Plus il serrait, plus les parois d'Anne-Lyse se contractaient, rendant la pénétration plus difficile. Cet enfoiré allait la faire jouir. Elle allait jouir en se faisant étrangler comme une putain.

- Haaaan ouiiiiii ♥ !!! Je vais jouir ! ♥♥

Pourtant, Anna sentit l'orgasme lui échapper petit à petit. Le colosse commençait réellement à l'étouffer et le plaisir fut en partie remplacé par la douleur. La pauvre était complètement perdue, piégée entre souffrance et désir. Mais le manque d'oxygène était en train de la rendre folle et Anna commençait à s'agiter désespérément, cherchant le moyen d'inhaler un tout petit peu d'air. La bouche grande ouverte, elle essayait de parler, d’appeler à l'aide, de lui dire stop... mais dans le même temps, sa petite chatte, elle, semblait apprécier son traitement. La petite fille à papa ne savait plus où donner de la tête et, comme pour s'accrocher à la vie, elle enfonça violemment ses ongles sur les deux mains qui l'étranglaient.

Anne-Lyse était en train de mourir à petit feu. Elle se débattait, griffait, tentait en vain d'hurler mais le démon semblait décidé à la tuer. C'est alors que ses forces la quittèrent progressivement, laissant place à une douce chaleur au niveau de son ventre. La petite blonde avait l'impression de flotter dans les airs, comme si son âme quittait progressivement son corps pour rejoindre l'autre monde. Une sensation apaisante, presque surnaturelle.  Et, alors qu'il n'y avait plus aucun espoir, il la relâcha, la laissant tomber violemment sur les coudes. Un véritable choc pour Anna qui faillit s'exploser les poumons en avalant une énorme bouffée d'air. Elle n'était pas au Paradis mais bel et bien en Enfer.

- HAAAA ! Ha...Ha...T...Tu... TU ALLAIS ME TUER !

Lui dit-elle en hurlant, folle de rage. Incapable de rester sur ses coudes, elle s'écroula sur le ventre pour reprendre son souffle et retrouver ses esprits.

20
Anne-Lyse grimaça, vexée qu'il la compare à une serpillière. Elle était bien trop belle et trop importante fière pour être considérée comme un simple morceau de tissu. Elle voulait protester mais dans sa position actuelle, elle ne pouvait que couiner. Couiner pour qu'il aille plus fort, couiner pour qu'il aille plus vite, couiner pour qu'il lui déchire les trous.

Impuissante, elle n'avait plus qu'à obéir. Céder et avouer que, dans le fond, elle n'était rien d'autre qu'une vulgaire pute. Un trou à baise dans lequel il pouvait se défouler à sa guise. Elle le voulait mais pourtant, sa conscience lui hurlait de résister encore, de lui tenir tête et de ne pas sombrer dans la débauche. Mâchoire serrée, Anna tentait d'étouffer ses gémissements même si chaque insulte l'incitait à ouvrir la bouche pour lui en demander plus.

- C'est juste... mon corps qui réagit tout seul...

Osa-t-elle dire malgré sa petite chatte trempée et son corps tremblotant. Elle ignorait comment, mais la jeune femme était persuadée que d'une manière ou d'une autre, il l'avait droguée. D'ordinaire, elle n'aurait jamais accepté qu'on abuse de son corps de la sorte. Et pourtant, dans la situation actuelle, elle y prenait un plaisir indescriptible. Sentir toute sa force sur ses épaules, son membre palpitant contre ses parois... Elle en voulait plus. Plus de violence.

Le démon finit par reculer, avouant qu'il la laissait partir. Choquée, Anna faillit geindre, hurlant intérieurement pour qu'il revienne se glisser en elle. Comme elle s'y attendait, le mensonge ne fut que courte durée et à sa plus grande surprise, il s'enfonça avec une violence inouïe.

- AAAAAHH ! N-Noon !!

La douleur était intense. Cambrée en avant, la pauvre serrait les poings de toutes ses forces, hurlant dans l'espoir qu'il soit un peu moins brutal. Son maquillage coulait de nouveau, humidifiant ses pauvres joues déjà pleines de mascara. Elle voulait partir, là, tout de suite.. Tendant désespérément la main comme si elle cherchait à s'enfuir. Le colosse ne tarda pas à la maintenir au sol en appuyant lourdement sur sa tête, lui arrachant un râle de douleur.

Rabaissée plus bas que terre, Anne-Lyse n'arrivait plus à résister. A bout de souffle, elle parvint à siffler tout bas,

- Étrangle-moi... ♥

Pathétique. Voilà ce qu'elle était.

21
Coincée dans cette position, Anne-Lyse se sentait impuissante. Elle savait que le personnel jubilait de la savoir ainsi souillée et que son père ne reviendrait pas. Mais que faire ? Se taire et profiter ? Non. Ce serait trop facile. La pauvre essayait de se convaincre mais pourtant, sa chatte bavait littéralement sur un membre qui lui était inconnu. Elle cherchait désespérément à comprendre comment... comment pouvait-elle ressentir du plaisir à se faire violer par cette pourriture ? Droguée ? Non, elle n'avait rien bu.

La jeune femme l'interrogeait du regard mais, en guise de réponse, le démon lui cracha au visage. Cette fois s'en était trop pour Anna qui poussa un râle de fureur. Il venait de cracher sur SON visage, sur sa peau si pure et immaculée ! Son putain de crachat dégoulinait le long de sa joue, la faisant trembler de rage. Dans le fond, Anna espérait qu'il aille plus loin dans humiliation; plus il irait loin, plus elle lui offrirait une mort lente et douloureuse.

En dépit de sa rancœur plus qu'évidente, le colosse continuait de s'immiscer progressivement en elle, écartant ses parois comme personne ne l'avait encore fait. Une légère douleur la faisait grimacer, l'obligeant à gigoter malgré sa position. Elle espérait encore pouvoir lui échapper mais il revint appuyer sur ses épaules comme pour lui rappeler qu'elle n'avait aucune chance. 

Son coeur battait à tout rompre, menaçant d'exploser dans sa poitrine. Elle était en colère mais son corps, lui, commençait à apprécier son traitement. Le démon se montrait plus hargneux et Anne-Lyse se surprit à apprécier ses quelques insultes. Il venait de la traiter de "pute" et elle en voulait encore... Encore plus. Bien sûr, elle refusait de lui obéir mais savait, dans le fond, qu'il ne s'agissait qu'une question de temps.

Progressivement, Anne-Lyse cessa de gigoter, allant même jusqu'à onduler du bassin au rythme de ses coups de bassin. Elle se mordait furieusement la lèvre pour retenir ses gémissements et tenta une dernière fois de retourner la situation. Juste une fois.

- S-Si vous arrêtez... mmff... maintenant... Je... vous promet... que je... aaah, putain...! Que je vous laisserai traaanquille...!

Le "tranquille" n'avait pas le bon ton. Elle gémissait comme une petite salope, sachant de toute façon qu'il n'accepterait pas. D'ailleurs, elle n'en avait pas envie non plus. Sa volonté brisée, elle ne voulait plus qu'une chose... Qu'il la ravage par tous les trous de la façon la plus animale qui soit.

[J'ai récup le net <3]

22
Prélude / Re : Hold the S because i am an AINT (SP)
« le: lundi 29 février 2016, 08:53:23 »
Sale petite pute.


23
Elle était sur le point de mourir et pourtant, le démon ne cédait pas. Il lui ravageait la gorge comme un bourrin, lui donnant parfois quelques haut-le-coeur. La pauvre ne pouvait que baver, trop affaiblie pour envisager quoique ce soit d'autre. Sa gorge, elle, palpitait comme rarement, compressant le membre qui l'écartait par pressions successives jusqu'à ce qu'Anne-Lyse n'en puisse plus.

Se sentant défaillir, elle commença à partir en arrière avant que, subitement, le colosse se retire de sa gorge pour la laisser respirer. Enfin libre, elle inspira un grand coup et se mit à tousser violemment jusqu'à en avoir mal aux poumons. Jamais elle n'avait été aussi heureuse de respirer qu'aujourd'hui. La petite blonde reprenait difficilement son souffle tout en fixant le sol de ses yeux écarquillés. Elle ne comprenait pas... Elle ne comprenait pas comment elle en était arrivé là. Mais même si elle venait de frôler la mort, Anne-Lyse n'était pas décidée à se laisser faire. Non, elle allait continuer de lutter jusqu'au jour du jugement.

Pour l'heure, elle ne pouvait que subir. Elle constata que son sac était ouvert mais, avant qu'elle ne puisse dire quoique ce soit, le démon la retourna comme une moins que rien, allant jusqu'à l'obliger à rester dans une position plus qu'embarrassante. Rouge de colère, elle voulut se relever mais la pression qu'il exerçait sur ses épaules l'empêchait de bouger.

- Espèce de porc ! Ça ne t'as pas suffit de m'étouffer ?! Je te couperai les couilles au scalpel après que tu te sois fait sodomiser par des clochards...! TU M'ENTENDS ?!

Anne-Lyse bouillait de l'intérieur, espérant que ses menaces pourraient le ralentir. Mais non. Il souleva sa robe et elle tenta de l'en empêcher. Même si elle se débattait de toutes ses forces, cet ordure la maintenait fermement en place ce qui la rendait complètement folle. Comme pour l'humilier encore plus, il lui claqua le cul à plusieurs reprises jusqu'à ce que sa peau en devienne légèrement rosée et elle ne put s'empêcher de couiner à cause de la douleur. Maintenue au sol, Anne-Lyse pleurait et tremblait, suppliant intérieurement son père de lui venir en aide. Elle voulait que tout cela cesse et que ce fumier paye pour ses actes.

Mais elle ne tarda pas à sentir le membre du démon forcer sur ses lèvres pour se glisser à l'intérieur. Choquée, elle se contracta immédiatement, rendant la pénétration beaucoup plus difficile. Sa verge dégageait une chaleur si intense que la petite blonde faillit avoir un orgasme. Les pupilles rétractées, elle tourna légèrement la tête pour fixer le démon, comme si elle cherchait à comprendre le pourquoi du comment. Il venait de la violer et pourtant, elle ne criait pas. Elle commençait même à être légèrement excitée.

24
Le démon se croyait tout permis et Anne-Lyse ne pouvait digérer son insolence. Il avait beau affirmer qu'il faisait plier tout le monde, elle était persuadée du contraire. En tout cas, il ne la fera pas céder ELLE. Même les sales chiens qui l'avaient violée ne s'étaient pas autant amusé à la rabaisser comme il le faisait. Le salaud y prenait un malin plaisir et, à son tour, elle prendrait du plaisir en le voyant se faire maîtriser par une bande de clochards en rut. Puisqu'il cherchait à le violer, il allait se faire ravager dans tous les sens. Peu importe le nombre d'hommes qu'il allait falloir payer... Cet enfoiré n'allait pas s'en sortir vivant.

Il l'insulta à nouveau et elle eut une envie irrépressible de le gifler. C'en était trop pour la pauvre petite blonde qui n'était pas habituée à ce qu'on lui manque autant de respect. Encore un mot de travers et elle se redressait pour le lui faire regretter. Bien sûr, elle ne prit pas la peine de baisser son boxer mais il n'attendit pas bien longtemps pour le faire de lui même et lui dévoiler un membre surdimensionné, presque irréel. Anne-Lyse avait du mal à le croire... Elle restait là, bouche-bée, la bouche entrouverte et le regard un peu perdu. Comment pouvait-il se balader avec un truc pareil entre les jambes ? Non, elle ne croyait pas en l’existence des démons. Elle ne pouvait pas le croire...

Et pourtant, son énorme trique tomba lourdement sur son visage, lui arrachant un petit râle de mécontentement. Anne-Lyse le fixait méchamment, le regard noir et les sourcils bien froncés.

- Si tu crois que que tu pe... HMPPH !!

Il lui coupa la parole, enfonçant carrément l’entièreté de son membre dans sa gorge. Pour le coup, la blondie faillit vomir lorsqu'il percuta sa glotte pour s'enfoncer plus loin encore. Privée d'air, elle se mit à paniquer rapidement, saisissant les cuisses du démon pour y enfoncer ses ongles et tenter de le repousser. Elle avait beau pousser de toutes ses forces, le salaud ne bougeait pas, l'obligeant à avaler toute sa queue d'une traite. La bourgeoise le haïssait du plus profond de son être.

Elle voulait le tuer, là, TOUT DE SUITE. Mordre cette queue de toutes ses forces jusqu'à ce qu'il pisse le sang mais pour l'heure, sa bouche cherchait de l'air qui ne rentrait pas. La pauvre tremblait de toute part, priant pour que quelqu'un lui vienne en aide et mette fin à ce supplice. Mais personne ne venait et ses pauvres poumons réclamaient désespérément un peu d'oxygène.

C'est alors, que, malgré la situation, elle lança un regard plein de mépris à celui qui était en train de la tuer. Les larmes brûlantes qui s'échappaient de ses yeux firent couler son beau mascara, salissant son visage déformé par la haine. Ainsi, elle ne ressemblait plus qu'à ces pauvres putes qu'on pouvait voir dans certains pornos classés hard. Il la traitait comme une moins que rien et pourtant, une douce chaleur lui envahit la gorge, descendant le long de son œsophage jusqu'à son ventre. Une délicieuse sensation qu'elle n'arrivait pas à expliquer... Mais ses yeux remplis de colère finirent par se révulser, signe qu'elle était sur le point de s'évanouir. Il avait beau la filmer et la menacer, sa fierté la poussait à se laisser mourir plutôt que de le supplier.

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Les seins à l'air, Anne-Lyse se sentait bouillir de l'intérieur. D'ordinaire, ELLE était la dominante, ELLE tenait les rênes. D'ailleurs, les pauvres victimes qui lui servaient de défouloir n'avaient, pour la plupart, même pas le droit de la toucher. Et pourtant, cette raclure de première osait la tripoter, allant jusqu'à la traiter comme si elle n'était qu'une moins que rien. La situation ne lui était certes pas favorable mais tôt ou tard, elle allait se venger.

Comme pour se moquer d'elle, le démon récupéra sa propre salive pour la lui étaler sur l'un de ses tétons. Sensible à cet endroit, elle frémit, serrant la mâchoire au maximum pour retenir le moindre gémissement. Il lui faisait mal mais elle ne laissait rien paraître, préférant le menacer du regard comme si elle était sur le point de l'étriper sur place. Elle ne rêvait que d'une chose... Lui tirer une balle dans la tête pour le voir gésir au sol comme une pauvre larve.

Bien évidemment, il la menaça pour l'obliger à obéir. Seulement, Anne-Lyse était loin d'être conne. La prostituer reviendrait à tuer la maquerelle et toutes les putes qui bossaient ici. Elle ne savait pas si il travaillait réellement pour elle mais, en tout les cas, il risquerait de sérieux ennuis. Il se mit à rire, faisant rougir de colère la petite blonde. Son sac n'était pas bien loin et elle savait que, si elle parvenait à le récupérer, elle serait sortie d'affaire.

Malgré tout, elle était loin du but. Le fils de chien la gifla une nouvelle fois, lui arrachant un petit grognement de frustration. Si son père était là, les choses ne se seraient pas déroulées de la sorte. Puis, soudainement, il recula. L'occasion pour elle de se ruer sur son sac à main et récupérer le flingue qui s'y trouvait... Mais à peine eut-elle le temps de faire le moindre geste qu'il força sur ses épaules, l'obligeant à s'agenouiller. Anne-Lyse lutta de toutes ses forces mais ses jambes tremblantes lâchèrent, la condamnant à rester plus bas que terre. Le SALAUD ! Elle tremblait de l'intérieur, frustrée et choquée qu'il appuie sur son crâne pour l'obliger à renifler sa queue. Bien sûr, elle aurait pu le mordre, là, de suite... Mais elle redoutait le pire. Il était tellement fort qu'elle avait peur qu'il lui abîme son joli visage.

C'est donc avec haine et une certaine violence qu'elle lui défit sa ceinture. S'il pensait qu'elle allait s'appliquer, il se gourait. Elle allait tout faire pour rendre la chose désagréable, quitte à y mettre les dents plus pour le déranger que pour lui faire mal. La pauvre se sentait déshonorée, trahie, souillée... Elle le haïssait et son regard aigri le lui faisait comprendre.

- Crois-moi, tu ne vas pas t'en tirer comme ça.

26
Prélude / Re : "La mort est un manque de savoir vivre"
« le: jeudi 11 février 2016, 11:46:40 »
Ton perso il viendrait pas de Mortal Kombat ?

Bienvenue, sinon   ;)

27
Anne-Lyse attendait qu'il s’exécute avec une impatience non dissimulée. Dans le fond, et malgré ses aires de bon toutou obéissant, elle savait qu'il ne supportait pas son attitude et que, s'il le pouvait, il lui aurait très certainement donnée une bonne leçon. Seulement, il ne pouvait absolument rien contre elle et ça, elle se devait de le lui faire comprendre. Le fou lui retira la cigarette des doigts et elle faillit la reprendre pour la lui foutre dans la bouche. En plus de ne pas obéir, ce salaud se foutait littéralement de sa gueule par je-ne-sais quel tour de magie pour faire disparaître l'objet. C'en était trop pour Anne-Lyse qui ne supportait pas son arrogance.

Offusquée, elle lui colla une bonne grosse gifle sur la joue. Elle lui avait demandé d'ouvrir la bouche, pas de jouer les magiciens. S'il était incapable d'obéir, il allait falloir le mater jusqu'à ce qu'il comprenne que face à elle, il n'était rien. Son père, un peu surpris, se retourna avant même d'avoir saisit le chèque. Son regard était sévère, lui rappelant pour la énième fois qu'elle ne pouvait pas s'en prendre à tout le monde. Mais la blondasse n'en avait rien à foutre et elle comptait bien régler son compte à l'autre prétentieux.

- Je crois que tu n'as pas bien compris à qui tu avais à faire, clébard.

Comme pour l'ignorer, il la contourna pour donner le chèque à son père. Bien évidemment, ce dernier lui fit la morale pendant de longues minutes, appuyant sur le fait qu'il ne sera pas toujours là pour la protéger. Son discours barbant lui fit lever les yeux au ciel. Peut-être avait-il raison... Mais elle savait qu'il suffisait d'un simple coup de fil pour que des yakuzas lui viennent en aide. Ils échangèrent encore pendant un moment avant que son père ne s'éclipse, laissant sa petite fille chérie régler le compte de la maquerelle. Cette pute allait regretter d'être venue au monde...

Le colosse finit par revenir et, alors qu'elle s'apprêtait à ouvrir la bouche pour dire quelque chose, elle le vit fermer la porte à clé. Aussitôt, elle se figea, resserrant la pression qu'elle avait sur son sac. Un seul pas de travers et elle appelait à l'aide. Anne-Lyse savait que les hommes pouvaient se montrer impitoyables... Elle en avait eu l'amère expérience à ses 17 ans, lorsqu'elle fut enlevée par une bande de chiens galeux. La jeune femme le fixait, dissimulant au maximum l'effet qu'il lui faisait. Elle avait peur et son cher papa n'était pas là pour la sauver.

Comme elle le redoutait, le fou commença à se déshabiller devant elle, sans aucune once de pudeur. Il était passé au tutoiement et s'approchait d'elle progressivement, la faisant reculer. Elle déglutit, cherchant à tout prix un moyen de lui remettre les idées en place. Il était hors de question qu'il abuse d'elle.

- Je te le déconseille fortement. Mon corps est un luxe qu'un pauvre rat comme toi ne peut pas s'offrir. Si jamais tu tentes quoique ce soit...

Il la plaqua contre le mur, l'obligeant à lâcher son sac et l'empêchant de finir sa phrase en lui arrachant un gémissement de douleur. Anne-Lyse n'était pas habituée à être brutalisée. Aussi, elle supportait très mal la douleur. La pauvre faillit vomir lorsqu'il avoua clairement ses intentions. Elle ? Une pute ? Certainement pas. Elle refusait de se plier à sa volonté et allait tout faire pour l'en dissuader. Malgré tout, il se permit de lui palper un sein, la faisant grimacer de dégoût. Comment ce porc osait-il la souiller ainsi ? Elle se débattait comme elle le pouvait, remuant frénétiquement contre le mur derrière elle. Puisqu'il la privait de tout mouvement, elle n'eut guère d'autre choix que celui de lui cracher à la gueule. Ce qu'elle fit, bien sûr, le regard emplit de haine et de mépris.

- Tu vas le regretter ! Je vais te broyer les couilles espèce de connard !

Elle était folle de rage, honteuse qu'une sous-merde comme lui parvienne à la maîtriser.

28
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 11 février 2016, 09:29:43 »
Un putain de mal de dos suite à une nuit de merde.

*Enrhumé, elle claque tout de même des doigts pour que sa bonne prenne le paquet de chips à Selena et le lui rapporte*

9h31

29
La garce avait fuit. Par cet acte, elle venait de s'attirer de nouveaux ennuis. Il était hors-de-question qu'Anne-Lyse laisse couler la chose. La prochaine fois, elle lui en toucherait deux mots et la pauvre allait regretter de s'être soi disant "absentée". Folle de rage, elle s'en prit à une chaise qui traînait par là, la faisant violemment tomber à terre comme une sale gamine capricieuse.

- Cette salope est au courant de notre visite depuis une semaine ! Non mais pour qui elle se prend ?! Dites bien à cette pute qu'elle ne va pas s'en tirer comme ça. Dettes remboursées ou pas, on n'ignore pas les Montfort sans en subir les conséquences.

Bien sûr, son père n'était pas aussi dur mais Anna n'était pas là pour rigoler. Quoiqu'il arrive, ils se devaient de conserver leur réputation et la blondasse ne laissait rien passer. Heureusement pour la maquerelle, son fidèle toutou était là pour rattraper le coup. D'ailleurs, maintenant qu'elle y pensait, Anne-Lyse était persuadée de ne l'avoir jamais vue auparavant. Le type était sacrément bien bâti et de toute sa vie, elle n'avait encore jamais aperçu un colosse pareil. A en juger par son physique, il devait avoir dans la trentaine. Un corps d'Apollon... Probablement un délice à soumettre.

Il leur indiqua les escaliers et la petite bourgeoise suivit son père sans même prendre la peine de remettre la chaise en place. La plupart des catins la dévisageaient ce qui, bien évidemment, ne lui plaisait absolument pas. Si l'une d'elle osait l'ouvrir, elle allait vite le regretter. Après tout, sans son argent, aucune d'entre elles ne serait ici actuellement. Fait qu'elle s'empressa de leur rappeler.

- Je vous conseille sincèrement de baisser les yeux. Sans notre précieuse aide, vous seriez toutes à la rue en train de vous faire ravager les trous par de vieux débris. Nous avons fait preuve de clémence envers vous. Tâchez d'être respectueuses. Un regard de travers et je vous balance dehors.

Elle attendit que tous les regards se soient baissé pour monter la première marche. Ce qu'il était plaisant d'humilier toutes ces salopes... Anne-Lyse se sentit toute puissante. Un petit sourire vicieux au coin des lèvres, elle envisagea de monter la seconde marche lorsqu'on lui barra la route. Choquée, elle haussa les sourcils avant de dévisager le brave gaillard qui se tenait devant elle. En voilà des manières ! Cet abrutis osait la défier du regard, elle, la fille Montfort. Savait-il seulement qui elle était ? Elle en doutait fort.

Outrée, elle voulut le dégager mais ses membres refusèrent de bouger. Étrangement, le salaud dégageait quelque chose d'anormal... De lourd, d'oppressant... Un sentiment désagréable l'envahit et elle se mit à frémir avant qu'il ne s'écarte. Là, elle s'empressa de monter les marches pour entrer dans le bureau, précédée par son père.

Elle était nerveuse. Très nerveuse, même. Pour se calmer, elle sortit une cigarette de son sac et l'alluma tout en fixant le chien de garde posté à l'entrée. Cet enfoiré avait commit un acte irréparable et elle ne pouvait pas l'accepter... Cigarette en bouche, elle réfléchit quelques secondes avant de sourire légèrement. Doucement, elle s'approcha de lui et entrouvrit les lèvres, rejetant la fumée toxique dans sa direction. Puis, toujours en souriant, elle retira la cigarette de sa bouche, tendant le côté brûlant vers lui.

- Il n'y a pas de cendrier et il serait regrettable de brûler les lieux. Ouvre la bouche.

Lui ordonna-t-elle, sèchement. Oui, elle comptait l'écraser directement sur sa langue.

30
Le quartier de la Toussaint / Correction bien méritée. [PV: Stephen Connor]
« le: mercredi 10 février 2016, 22:51:27 »
Ils montèrent à bord de leur Mercedes, calant leurs fesses à l'arrière. Anne-Lyse et son père, Victor, traversaient la ville à toute vitesse pour rejoindre le quartier de la "Toussaint". Certes, leur propriété n'était qu'à quelques kilomètres de la zone mais il aurait été imprudent de s'y rendre à pied. Dans leur classieuse limousine, la fille à papa contemplait ses bijoux avec une certaine fierté, fixant tantôt ses bagues, tantôt ses bracelets en or. Depuis sa plus tendre enfance, Anne-Lyse baigne dans l'argent et le luxe. Aussi, lorsqu'elle sort, elle tient absolument à montrer qu'elle est différente des autres, qu'elle n'est pas un déchet de la société mais une dame importante qu'il faut à tout prix respecter. Pour l'occasion, elle s'était vêtue d'une jolie robe rouge à dos nu. Le vêtement moulait ses formes à merveille et le décolleté, plus que plongeant, dévoilait une bonne partie de sa poitrine. Heureusement pour elle, son père dépensait sans compter. Ses frêles épaules étaient donc recouvertes d'un somptueux manteau à fourrure dont les poils appartenaient à une espèce en voie d'extinction. Oui, la blondinette était fière. Fière d'être une sale petite peste pourrie gâtée.

Au bout de quelques minutes, ils arrivèrent au point de rendez-vous. Un petit bordel qui se situait au coin d'une ruelle. Ce quartier puait le vice et la luxure et les racailles pullulaient comme des mouches à merde. Autant vous dire qu'Anna n'était pas ravie d'être ici. Personne pour l'accueillir, personne pour dérouler le tapis rouge... Ici, elle n'était pas une star et cela ne lui plaisait pas. Elle sortit lentement de la limousine, fixant les malotrus comme l'aurait fait une parfaite petite bourgeoise. Elle les prenait de haut et savait pertinemment que, dans tous les cas, elle ne risquait rien. D'ailleurs, quelques yakuzas les attendaient sagement dans la limousine...

Son père lui ouvrit la porte et ils s'engouffrèrent à l'intérieur. L'endroit était loin d'être miteux, concrètement aux magasins qui longeait les trottoirs. Le hall était chaleureux, reposant et les couleurs rougeoyantes. Bien évidemment, son père avait investit dans cette affaire et s'il était là, aujourd'hui, c'était pour réclamer son dû. L'entrée menait sur un gigantesque escaliers en marbre qui lui même conduisait jusqu'aux chambres. Le sol, lui, était riche en tapisserie de toutes sortes. Ils se dirigèrent vers la droite pour atteindre le salon et y trouver la maquerelle. Bien évidemment, celle-ci ne s'y trouvait pas ce qui fit rougir Anne-Lyse de colère. La pauvre conne était pourtant au courant de leur arrivée. Elle fouilla brièvement la zone du regard et s'arrêta sur un homme qui se tenait dans un coin. Grand, baraqué, imposant... Il s'agissait très certainement d'un videur. Sans attendre, elle se mit à claquer les doigts pour attirer son attention.

- Hép ! Toi, là, le brun ! Bouge-toi un peu, va me chercher la maquerelle, et VITE !

Son ton se voulait froid et autoritaire. Ils n'avaient pas que ça à faire.

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