Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Franz Nielsen le lundi 09 août 2010, 14:53:50

Titre: Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le lundi 09 août 2010, 14:53:50
Une nouvelle se répandait dans la ville, une femme offrait une belle somme d’argent à qui saurait lui ramener sa fille. Je ne me serai pas intéressé à cette offre outre mesure, vue que je dispose maintenant de plusieurs compte en banque bien fournit, mais en plus de toucher un beau paquet d’argent, la fille en question est particulièrement intéressante. En me renseignant je suis tombé sur une photo de cette jeune femme, elle s’appelle Elisabeth DINOSTHIS, elle a une vingtaine d’année, et un corps sur lequel il me tarde de poser les mains.

En faisant jouer mes relations et mon pouvoir, j’ai pu trouver l’adresse de plusieurs femmes qui viennent de s’installer à Seikusu, et qui correspondent à la description d’Elisabeth. Je prends la forme d’humain que je me suis construite, sous cette forme je reste très baraqué, 2m03 pour 97 kilos, une montagne de muscle. Je m’habille avec un costume noir et blanc, et des lunettes de soleil noires, un look typique des agents de sécurités ou des agents du FBI américain. A l’intérieur de ma veste un pistolet magnum repose dans son étui, qui est plus là pour impressionner qu’autre chose. C’est ainsi que je commence à me rendre aux adresses que l’on m’a indiqué. Les deux premières n’étaient pas habité par la jeune femme en question, quand j’arrive à la troisième, la femme est absente, je me décide de l’attendre au pas de sa porte.

Quelques minutes plus tard, j’entend des bruits de talons claquer sur le sol, puis je vois la silhouette d’une femme correspondant à Elisabeth, après quelques nouveaux pas, je peux la reconnaitre parfaitement, c’est bien elle. Décidément, c’est encore mieux que sur la photo… Je risque de bien m’amuser.

Elle pose son regard sur moi, et à l’air de se demander ce que je fais devant sa porte. Je reste calme, sans aucunes attitudes offensives.

Mademoiselle DINOSTHIS. Je dois vous parler.

Je ne veux pas la faire fuir tout de suite, je ne dis donc rien de l’objet de ma venue
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le mardi 10 août 2010, 08:58:55
Lisbeth s’était promenée une bonne partie de la journée. Elle avait flâné en ville et fait un peu de lèche-vitrine. Ce matin-là, avant de sortir, elle avait passé une robe très courte faite en crochet et de couleur noir. Son ensemble de lingerie, composé d’un string et d’un soutien-gorge était de couleur bordeaux. Il était donc plus ou moins visible sous sa robe mais Lisbeth s’en moquait. Après tout, elle était plutôt bien faite et ne voyait pas pourquoi elle ne le montrerait pas. Comme à son habitude, elle portait des bottes en cuir et pour une fois, ces dernières étaient de la même couleur que sa lingerie. Le regard des hommes sur ses courbes alléchantes ne la dérangeaient pas et Lisbeth trouvait même cela très flatteur.

Après plusieurs heures de promenade, la jeune femme se décida à rentrer chez elle. Ces derniers temps, elle sortait de plus en plus souvent dans la ville, histoire de se fondre dans la masse et d’être moins repérable. Même si les sbires de sa mère semblaient avoir abandonné la partie, nul doute pour Lisbeth qu’ils referaient surface un jour ou l’autre. En attendant, maintenant débarrassée de ses entraves, il arrivait à la demoiselle d’aller s’abrutir dans les bras d’hommes de passage dans le quartier de la Toussaint. Mais ce soir, elle aspirait juste à lire un bon livre en dégustant une tasse de thé. Arrivée devant son immeuble, elle composa le code et entra. Encore trois étages à monter et elle serait chez elle.

Sur son palier, Lisbeth eu la surprise de découvrir qu’un homme l’attendait. Costume sombre, tranquillement appuyé contre le mur, il était immense. La jeune femme lui souria tout en se demandant ce qu’il faisait là.

Mademoiselle DINOSTHIS. Je dois vous parler.

Ses premières paroles furent pour l’appeler par sa véritable identité… Un homme de main de sa mère ! Ne laissant pas paraître son trouble, Lisbeth vint à sa rencontre, ses clés d’appartement en main. Elle réfléchissait à toute vitesse. Il fallait qu’elle parte.

*Bonjour, si cela ne vous ennuie pas, j’aimerais mieux que nous discutions à l’intérieur de mon appartement. Certains voisins sont un peu trop curieux voyez-vous.

Tout en parlant, Lisbeth avait ouvert la porte et s’était effacée pour laisser l’homme passer. Ce qu’il fit de bonne grâce sans rien dire. Sans réfléchir, la jeune femme referma la porte et la verrouilla, laissant l’homme à l’intérieur de chez elle, et s’enfuit en courant. Elle n’avait pas la moindre idée de où aller et s’engouffra dans la station de métro au pied de chez elle et sauta dans une rame qui partit aussitôt.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le mardi 10 août 2010, 19:45:43
La plantureuse jeune femme s’avance vers moi calmement, et m’invite même à entrer. J’ai tout loisir d’observer son corps, qu’elle sait mettre parfaitement en valeur. Pas mal pour une vierge… Enfin, on dit qu’elle est vierge, mais à la voir ça paraît invraisemblable. En tout cas, je ne pensais pas que le contact serait aussi facile, avec une femme qui se sait traquer par sa mère. J’entre dans l’appartement, puis j’entends la porte se refermer, et le bruit de la clé la verrouillant. Je me retourne brusquement, et comprend bien trop tard, que je suis entrain de me faire rouler.

Mademoiselle DINOSTHIS ?!

Je n’ai comme réponse que le bruit de ses pas sur le sol, qui me font comprendre qu’elle est entrain de courir. Je frappe violemment du poing contre la porte de rage, je viens de me faire avoir comme un bleu. Mais heureusement, j’ai plus d’un tour dans mon sac, je regarde autour de moi, et mes yeux s’arrêtent sur la première fenêtre donnant sur l’avant de l’immeuble. J’attends quelques secondes, et je peux voir Elisabeth sortir, et se diriger en courant vers la station de métro. J’ouvre la fenêtre, puis je ferme les yeux pour me concentrer, ma stature de 2m fond pour laisser place à un pigeon, dont Seikusu grouille en cette période de l’année. Je m’envole et quitte l’immeuble en direction du métro, j’atterris dans une ruelle isolée, et reprend ma dernière forme.

Lorsque j’arrive à la station de métro, j’ai juste le temps d’apercevoir Elisabeth entrer dans une des voitures du train. Et il me vient une idée pour nouer le contact avec elle plus facilement, je monte dans la voiture précédent celle dans laquelle vient de monter la jeune femme, afin de ne pas attirer l’attention. Ce qui serait inéluctable si je faisais pénétrer mes deux mètres dans le même compartiment qu’elle.

Il est maintenant temps de mettre mon plan à exécution, je vais m’asseoir près d’un homme d’une vingtaine d’année, et commencer à parler à voix basse à son oreille. Après quelques hésitations de sa part, une liasse de billet de 50 000 yens que je mets dans sa main, vient lui faire hocher la tête en signe d’accord. Je lui explique ce que j’attends de lui, et pour le motiver, je lui promets la même somme d’argent quand il aura remplit la part de son marché.

Je surveille Elisabeth du coin de l’œil, et dès qu’elle quitte le train, nous lui laissons quelques pas d’avance, puis mon « acolyte du jour » et moi, nous la suivons discrètement. Elle sort du métro, et lorsqu’elle emprunte une voie un peu moins fréquentée, je fais signe à l’homme de passer à l’action. Il commence à courir en direction de la jeune femme, il l’agrippe brusquement, et l’entraine dans une petite ruelle.

Homme : Toi je vais te passer dessus tu vas t’en souvenir !

Il agrippe le haut de sa robe et à juste le temps de la déchirer pour dévoiler son soutient gorge et la naissance de sa poitrine généreuse. Que ma poigne puissante vient lui saisir le poignet, alors que discrètement de mon autre main, je lui glisse de nouveau 50 000 yens dans la poche.

Franz : Hep petit ? A quoi tu joues ?

Je passe ma main libre entre les pans de ma veste, pour venir saisir la crosse de mon magnum, et je pose l’embout de celui-ci sur la tempe du jeune homme.

Barres toi si tu ne veux pas que t’explose la cervelle.

Notre accord ne mentionnait pas mon revolver, mais si je lui en avais parlé, la peur sur son visage n’aurait pété réelle. Je relâche ma poigne, et le jeune homme se met à courir hors de la ruelle, la peur au ventre, mais avec tout de même 100 000 yens en poche. Et je me doutais, vue la situation dans laquelle Lisbeth se trouve, qu’elle ne va pas aller porter plainte à la police.

Je range mon arme dans son étui, et je me retourne vers elle. Je retire ma veste noire, pour venir en parer ses épaules, afin lui permettre de cacher les formes que la déchirure de sa robe avait révélées.

Eh bien… Vous avez de la chance que je vous aie retrouvé à temps… Peut être que nous allons pouvoir discuter maintenant ?

Je remonte mes petites lunettes de soleil sur mon nez, puis croise mes bras sur mon torse qu'on peut deviner très musclé, étant désormais recouvert d'une simple chemise blanche.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le mercredi 11 août 2010, 11:18:58
Une fois le métro parti, Lisbeth respira un peu plus calmement. Elle allait devoir déménager maintenant. Mais il était hors de question qu’elle quitte la ville ! Que sa mère le veuille ou non, elle vivrait la vie qu’elle avait choisi. Repensant à l’homme, la jeune femme se demanda dans quel état elle retrouverait son appartement… Elle qui avait fait tant d’efforts pour en faire un endroit douillet. Furieuse, Lisbeth décida de quitter le métro à la station suivante. C’est comme ça qu’elle se retrouva aux abords du quartier de la Toussaint. Sauf que la jeune femme n’avait pas la moindre idée de où elle se trouvait et ignorait tout de la réputation de cet endroit.

Lisbeth se retrouva à l’air libre et continua sa route tranquillement. Quelques boutiques de vêtements étaient encore ouvertes. Au fur et à mesure qu’elle avançait, la jeune femme se rendit compte qu’il y avait de moins en moins de monde. Les rares personnes qu’elle croisait ne lui inspiraient absolument pas confiance. Elle renonça donc à leur demander un peu d’aide. Perdue dans ses pensées, elle n’entendit pas l’homme arriver. Il l’attrapa avec violence et l’attira à l’écart. Agé d’une vingtaine d’années, il avait pourtant l’air d’un jeune homme de bonne famille. Jusqu’à ce qu’il déchire la robe de Lisbeth, révélant ainsi sa  poitrine.

Homme : Toi je vais te passer dessus tu vas t’en souvenir !

La jeune femme n’eut pas le temps de réagir. Déjà une main puissante venait de faire lâcher son agresseur.

Hep petit ? A quoi tu joues ?

L’homme qui était chez elle ! Comment avait-il fait pour la retrouver ? Lisbeth le regarda sortir une arme et la pointer sur la tempe de l’autre qui ne demanda pas son reste d’ailleurs et pris la fuite après le dernier conseil de l’inconnu

Barres toi si tu ne veux pas que t’explose la cervelle.

L’homme se retourna ensuite vers la jeune femme et lui offrit sa veste pour se couvrir. En fait, il la lui passa d’autorité. Puis, comme si la situation était normale, il s’adressa enfin à Lisbeth.

Eh bien… Vous avez de la chance que je vous aie retrouvé à temps… Peut être que nous allons pouvoir discuter maintenant ?

La jeune femme le foudroya du regard avant de jeter la veste à terre.

*J’ose espérer que vous n’attendez pas de moi que je vous remercie ! Vous êtes encore plus stupide que votre apparence ne le laisse supposer. Comment je vais me faire rembourser ma robe maintenant que vous avez laisser partir mon agresseur ?

Ouvrant son sac, Lisbeth fouilla quelques instants avant d’en sortir une épingle à nourrice d’une dizaine de centimètres entièrement décorée. Tranquillement, elle l’installa sur sa robe de façon à la refermer. Une fois fait, elle reporta son attention à son interlocuteur.

*Vous attendez quoi ? Il ne vous est pas venu à l’esprit de courir après cet idiot pour le forcer à me payer une nouvelle robe ? Après tout, puisque vous l’avez laisser partir, c’est vous qui allez me rembourser. Cela vous apprendra à réfléchir un peu avant d’agir.

Lisbeth attrapa la carte du magasin dans son sac et la lança sur la veste.

*Je n’ai pas besoin de vous donner mon adresse… Allez m’acheter une nouvelle robe ! C’est un ordre.

Le caractère capricieux de la jeune femme ressortait toujours quand elle était en colère. Sans plus se soucier de l’homme, elle fit demi-tour et s’éloigna.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le mercredi 11 août 2010, 17:51:51
Voilà exactement le type de femme que je ne peux pas supporter, que je veux faire souffrir. Ce sont les même que dans mon enfance, qui se croient supérieur aux autres parce qu’elles ont un physique avantageux, où parce qu’elles ont des parents richissimes. Je dois m’employer pour ne pas en finir tout de suite avec elle, mais je prendrais beaucoup plus de plaisir en prenant mon temps, et en jouant avec elle.

D’une arrogance et d’un dédain rare, elle ne remercie même pas la personne qui vient de lui éviter un viol, et elle se met même à hausser la voix et me faire des reproches. Si elle pense avoir trouvé un nouveau larbin, elle se trompe. Alors qu’elle me tourne le dos pour partir, je dégaine à nouveau mon revolver, et lui saisit le poignet de l’autre main pour la plaquer fermement contre le mur. Avec un regard calme qu’il en est effrayant, je pose l’embout de mon revolver sous son menton, et parle d’une voix grave à son oreille.

Ecoutes moi bien petite garce. On a deux façons de faire. La méthode douce : on discute et je te ramène calmement chez ta mère. Ou l’autre qui risque de beaucoup moins te plaire.

Je resserre un peu plus ma poigne sur son poignet, et la fixe du regard. Elle vient de me faire perdre 100 000 yens pour rien, même si ce n’est pas grand-chose pour moi, je compte bien les lui faire rembourser jusqu’aux derniers centimes.

Si je n’étais pas arrivé, tu serais sans doute entrain de te faire violer, alors la moindre des choses c’est d’être reconnaissante, plutôt que de te préoccuper de ta robe. Et puis vous pensez vraiment qu’un type qui tente de violer une femme à de l’argent ? Si c’était le cas il serait allé voir certaines dames qui lui auraient posé moins de soucis contre quelques billets, donc n’espérez pas qu’il puisse vous rembourser.

Toujours en soutenant son regard, je marque un temps d'arrêt, avant de lui demander si elle est prête à coopérer.

Alors ? On a fait son choix ?
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le jeudi 12 août 2010, 15:10:59
Lisbeth avait fait à peine trois mètres qu’elle se retrouva plaquée au mur et le canon d‘une arme sur la gorge. Son sauveur n’avait visiblement pas apprécié la manière dont elle s’était adressée à lui. Il s’adressa à elle tranquillement.

Ecoutes moi bien petite garce. On a deux façons de faire. La méthode douce : on discute et je te ramène calmement chez ta mère. Ou l’autre qui risque de beaucoup moins te plaire.

Lisbeth se contenta de sourire. Si cet idiot pensait lui faire peur, il se trompait. Selon les critères de la jeune femme, elle avait déjà subi le pire donc rien de ce qu’il pouvait lui infliger ne l’effrayait vraiment. D’ailleurs, elle ne l’écoutait que d’une oreille.

Alors ? On a fait son choix ?

Ainsi donc il ne savait pas quoi faire d’elle. Lisbeth éclata de rire en entendant la question.

*Me ramener chez ma mère, quelle ironie ! De toute façon, je n’ai pas le choix visiblement alors peu importe la méthode mais sachez que je ne me laisserai pas faire. Non mais regardez-vous un peu ! Il vous faut une arme pour être certain que je ne bougerai pas en dépit de votre carrure ! Pardonnez-moi, mais du coup, vous ne m’impressionnez pas du tout. Alors, faites comme vous voulez, de toute façon, j’ai déjà enduré le pire qu’il puisse être donc ce que vous pourrez me faire me laisse indifférente.

Lisbeth marqua une pause avant de continuer.

*Vous ne savez rien sur ma famille sinon vous n’auriez pas l’idée aussi stupide de m’y ramener, même pour de l’argent. Surtout que ma fortune personnelle dépasse de loin celle de ma mère. Mon père y a veillé. De plus, je ne discute pas avec les gens qui pointent une arme sur moi, c’est un manque d’éducation flagrant cette façon de faire !

La jeune femme cessa de parler tout en soutenant le regard de son agresseur. Avant de lui envoyer une gifle magistrale de sa main libre. Idée folle certes mais Lisbeth n’y pensa même pas. N’ayant pas l’habitude d’être contrariée, elle ne comprenait pas qu’un homme ose le faire. Et comme d’ordinaire, la jeune femme agissait sans penser aux conséquences que pouvaient entraîner ses actes.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le jeudi 12 août 2010, 18:38:46
Quand la gifle vient claquer contre ma joue, je suis à deux doigts de lui casser le poignet. Elle continue dans son arrogance, et elle à le dont de me mettre hors de moi. Mais s’il y a une erreur qu’elle a commise, c’est de me dire qu’elle était bien plus riche que sa mère. Au diable la prime pour la ramener chez elle, je vais la faire souffrir comme jamais, et faire partir cet air arrogant de son visage. Elle va payer pour toutes les filles capricieuses de mon enfance, pour toutes les filles de riches qui se sont moqués de moi, et me traitait d’horrible monstre. Je replonge d’un coup mon regard vers elle, que sa claque m’a fait quitter. Et mes sourcils se froncent doucement, alors que je range mon magnum dans son étui.

Finit de jouer…

J’agrippe le pan de sa robe rafistolée par une épingle à nourrice, et je tire violement dessus, en plus de rouvrir la déchirure, je la prolonge, jusqu'à ce que sa robe soit totalement ouverte. Ses formes couvertes par ses sous vêtements s’offrent à moi. Toujours en la plaquant contre le mur, je passe ma grosse main sur sa poitrine généreuse, et je soulève son soutient gorge pour la dévoilée. Elle est vraiment impressionnante, et je ne résiste pas à l’envie d’empoigner ses seins et de jouer avec. Mes pouces passent sur ses tétons, alors que je viens lui voler baiser, puis en faisant glisser mes lèvres sur sa joue, je murmure à son oreille :

Ta liberté va te coûter cher… Je vais faire partir l’air supérieur sur ton visage à jamais petite garce…


Je descends une de mes larges mains vers ses fesses, que je malaxe sans ménagement, avant de saisir l’élastique de son string, et de commencer à tirer dessus. Je l’étire de plus en plus, le tissus rentrant dans la fente de son sexe, jusqu'à ce qu’il se déchire, et que je jette le string en lambeaux à terre. Et lorsque je baisse la tête pour regarder son sexe, je suis surprit de le voir recouvert de plusieurs anneaux. Décidément cette fille de riche est surprenante… Je passe la paume de ma main sur son sexe, puis commence à la frotter doucement dessus. Mon autre main continue de presser son sein gauche entre ses doigts, ses seins sont vraiment géniaux, ils ont beau être gros, ils ne tombent pas pour autant, et offrent une fermeté et une douceur incroyable. Mon pouce continue de jouer avec son téton, alors que je descends mon visage vers le sein laissé libre, et je laisse glisser ma grosse langue dessus, laissant de la bave sur mon passage. Je viens donner des coups de langue sur son téton, avec de commencer à l’embrasser, en le pinçant de temps à autre entre mes lèvres.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le vendredi 13 août 2010, 10:37:23
Visiblement, l’homme n’avait pas apprécié la claque. Lisbeth le vit ranger son arme et froncer les sourcils. Autant elle appréciait ne plus sentir le canon de l’arme contre sa gorge, autant le regard de l’homme n’annonçait rien de bon. Ce que c’est premières paroles confirmèrent.

Finit de jouer…

D’un geste brusque, il déchira la robe de Lisbeth de haut en bas, révélant son corps et la lingerie qu’elle portait. L’une de ses mains s’empara de ses seins pour les libérer de son soutien-gorge. Lisbeth ne réagissait pas. Il était évident que cet homme allait la violer. Il l’embrassa de force avant de venir lui murmurer à l’oreille une phrase dont la jeune femme ne retint qu’une chose : après elle serait libre.

Ta liberté va te coûter cher… Je vais faire partir l’air supérieur sur ton visage à jamais petite garce…

L’homme tira sur son string, le faisant entrer entre ses grandes lèvres. Lisbeth sentait le tissu glisser sur ses anneaux et contre toute attente, cela lui plaisait. Le string finit par se déchirer sous la pression et la jeune femme vit l’homme le jeter à terre. Puis, il baissa les yeux et visiblement, les anneaux que la jeune femme portaient le surprirent. Lisbeth sentit l’une de ses mains caresser son sexe pendant que l’autre continuait à s’occuper de son sein gauche. Toujours immobile, la jeune femme se laissait faire. Quand la bouche de son agresseur s’empara de son autre mamelon et commença à jouer avec, Lisbeth ne put retenir un gémissement. Elle devait se rendre à l’évidence, la violence de cet homme l’excitait. Ayant les mains libres, elle fit glisser sa robe au sol, aussitôt rejointe par son soutien-gorge. Il ne lui restait plus que ses bottes. Nue, dans les bras d’un homme qui comptait abuser d’elle, Lisbeth se sentait bien.

*Je… Je ne connais même pas votre nom…

Une partie d’elle tentait bien de se révolter mais le taux d’humidité de son sexe suffisait à prouver que Lisbeth aimait être forcée ainsi. En effet, privée pendant des années du plaisir charnel, la jeune femme était devenue particulièrement réceptive à tout contact sexuel. Les yeux mi-clos, Lisbeth laissait l’homme prendre possession de son corps. Elle releva la jambe droite et vint appuyer celle-ci contre la cuisse de l’homme, lui offrant ainsi un meilleur accès à son sexe. Son bassin ondulait au rythme des caresses de l’homme. De la jeune femme capricieuse, il ne restait quasiment plus rien. La seule chose qui importait pour elle à ce moment était le plaisir que l’homme lui procurait. Elle pouvait sentir sa cyprine s’écouler doucement de son vagin.

*Mmmm… Votre nom s’il vous plaît.

La jeune femme ne cherchait même plus à dissimuler ses gémissement. Elle ne souhaitait plus qu’une chose, être prise sur le champ par cet homme qu’elle ne connaissait pas.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le vendredi 13 août 2010, 14:44:36
Alors que je m’apprête à ce que Lisbeth se débatte, et cherche à s’extirper de ma poigne, il n’en est rien. Les insultes que je pensais entendre sont remplacées par des gémissements de plaisir, alors qu’elle remonte sa jambe le long de ma cuisse pour mieux m’offrir son sexe. J’ai dû mal à comprendre… Je suis entrain d’abuser d’elle, et elle semble aimer ça… On verra si ce sera toujours le cas, quand j’aurai forcé le rythme…

Elle me demande mon nom, comme si j’étais son partenaire, alors que je suis son agresseur !  Je retire mes lèvres de son sein, et remonte mon visage vers le sien avec un regard pervers.

Tu n’as pas besoin de connaître mon nom petite garce !

Je sens de la cyprine s’écouler de plus en plus de son sexe, alors que mes doigts viennent jouer avec les anneaux de ses lèvres intimes. Mon pouce vient chercher son clitoris, pour le caresser avec fermeté, alors que deux des mes doigts s’engouffrent dans son vagin humide, et commence à la pénétrer avec force. J’écarte ses parois, je les frotte, je les presse, ne leur laissant aucun répit avec toute la grosseur de mes doigts.

Au bout de quelques minutes, je retire mes mains de son corps, pour ouvrir ma braguette, et je fais sortir mon membre imposant et dressé. Avec ce corps, il atteint 23 centimètres.

S’il y a quelque chose que tu dois connaitre… Ce sera ça.


Je viens agripper ses cuisses sauvagement, pour la soulever, alors que je la plaque contre le mur avec mon corps. Son sexe se retrouvant juste au dessus du mien, sa cyprine commençant à goutter le long de mon gros barreau de chaire. Puis soudain, je la laisse descendre de tout son poids sur ma verge, alors que de mon côté je donne un coup de rein, qui la fait s’empaler littéralement dessus.

MHMM ! Voila ! Je vais te baiser comme la petite chienne que tu es !


Je commence des mouvements de bassins puissants, mon membre coulissant avec force contre ses parois, jusqu’à ce que mon gland vienne taper au fond de son vagin. Je resserre la poigne de mes grosses mains autour de sa cuisses, accentuant progressivement le rythme et la force de mes mouvements.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le vendredi 13 août 2010, 15:39:42
Tu n’as pas besoin de connaître mon nom petite garce !

Décidément, cet homme n’avait aucune notion des convenances les plus élémentaires. Lisbeth se promit de lui en faire la réflexion dans un futur proche. Elle sursauta légèrement quand il prit possession de son vagin avec ses doigts sans ménagement. Il l’ouvrait avec force, ne lui laissant aucun répit. Lisbeth ondulait de plus en plus du bassin. Elle laissa échapper un cri de frustration quand il la lâcha. En entendant le bruit caractéristique d’une braguette, elle baissa son regard et découvrit la queue de son agresseur. Plutôt bien monté, pensa-t’elle sur le moment.

S’il y a quelque chose que tu dois connaître… Ce sera ça.

Plaquée violemment au mur, la jeune femme n’a guère le temps de profiter de la vue. Mais elle se rend vite compte que le sexe de son agresseur se trouve à l’entrée de son vagin. Maintenue par les cuisses, Lisbeth se retrouve dans l’impossibilité de bouger… Jusqu’à ce que l’homme la lâche et qu’elle s’empale sur son membre. Le souffle coupée, la jeune femme sent son sexe se déchirer sous la violence de l’acte et la douleur la submerge. Des larmes coulent le long de ses joues.

MHMM ! Voila ! Je vais te baiser comme la petite chienne que tu es !

L’homme commence alors à aller et venir en elle, la forçant à s’empaler entièrement à chaque coup sur sa queue. Il faut peu de temps à Lisbeth pour qu’elle se remette à gémir de plaisir. Prenant appui sur les épaules de son violeur, elle entreprend alors d’accompagner ses coups de boutoir en basculant son bassin au maximum pour qu’il puisse la prendre encore plus profondément.

*Je… Je devrais… sans doute remercier… ma mère alors…

Entre deux respirations, Lisbeth tente de parler un peu. Sous le traitement infligé, son vagin ne tarde pas à la brûler mais l’homme ne ralentit pas la cadence, bien au contraire. Il semble avoir décidé de profiter de son corps au maximum. Lisbeth finit par le laisser contrôler les mouvements et en profita pour jouer avec ses tétons durcis de plaisir. Les années de privation imposées par sa mère font merveille et sous l’effet du plaisir imposé, la jeune femme se lâche peu à peu.

*Mmmmmmm…. Oui, continue…

Nul doute que si son agresseur savait par quoi la jeune femme était passée, ses réactions lui auraient parues somme toute normales. Mais Lisbeth ne perdait pas de vue ce que l’homme lui avait dit, à savoir qu’ensuite elle serait libre. Et sa liberté n’avait pas de prix.

*Baise-moi comme une chienne !

Ces mots à peine prononcés, Lisbeth ne put s’empêcher de rougir.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le vendredi 13 août 2010, 17:11:12
Je souris sadiquement quand je vois des larmes couler le long de ses joues, mais bien vite le plaisir semble la submerger, et elle gémit de plaisir à nouveau sous mes coups de buttoir toujours plus puissants. Elle ondule même du bassin pour accompagner mes mouvements, avant qu’ils ne soient trop rapides pour elle, et qu’elle se contente de saisir ses seins pour jouer avec ses tétons. Je crois que je suis tombé sur une réelle nympho, elle est entrain de prendre se pied alors que j’abuse de son corps. Elle me demande de continuer, de la baiser comme une chienne, et je ne m’en prive pas.

Tu vas t’en souvenir petite catin !


Je me cambre lorsque mon sexe ressort du sien, afin d’avoir la meilleur allonge possible, pour le faire rentrer plus fort en elle. Nos bassins s’entrechoquent à chaque fois, mes bourses claques sur sa peau, je te tire même sur ses cuisses, pour plaquer mon gros barreau de chaire le plus profondément possible.

HMM ! Ouais ! Je vais te remplir !

Au bout de quelques minutes de coups de bassins effrénés, mon corps se crispe alors que je plaque ma verge profondément en elle, qui commence à tressauter, signe d’une jouissance imminente. J’effectue un dernière aller et venue lente, mais toute en puissance, avant que mon sexe ne libère d’épais filets de sperme en elle. Je soupire de plaisir alors que mon éjaculation dure de longues secondes, inondant son vagin de mon foutre.

Je prends le temps de reprendre mon souffle, avant de retirer mon phallus de son sexe, et de reposer Libseth à genoux à terre. Son visage est maintenant face à mon membre de moins en moins dur, et enduit de nos semences.

Tu caches bien ton jeu, t’es une belle petite salope enfait… Mais c’est bien beau d’avoir une belle bouche, et une belle paire de seins, mais encore faut-il savoir s’en servir…


Je la regarde, lui faisant comprendre que je veux qu’elle s’occupe de moi, si elle croit en avoir terminé, elle se trompe, je compte bien profiter d’elle et de son corps au maximum, avoir une telle poitrine à disposition est quelque chose de rare.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le vendredi 13 août 2010, 18:11:01
Visiblement, l’homme n’était pas contre la demande de Lisbeth. Il redoubla d’intensité et écarta ses cuisses pour entrer en elle encore plus profondément. Sa queue lui déchirait les entrailles à chaque pénétration mais Lisbeth ne voulait pas que cela s’arrête. La violence de son agresseur décuplait son plaisir. Une dernière pénétration, plus lente que les autres, et la jeune femme sentit l’homme éjaculer en elle. Elle eut l’impression qu’il ne s’arrêterait jamais d’ailleurs. Le temps de reprendre son souffle et il ressortit son sexe avant de la laisser glisser au sol. Lisbeth pouvait sentir sa cyprine mêlée au sperme de l’homme s’écouler de son vagin. L’homme la fixait alors qu’elle restait à terre.

Tu caches bien ton jeu, t’es une belle petite salope en fait… Mais c’est bien beau d’avoir une belle bouche, et une belle paire de seins, mais encore faut-il savoir s’en servir…

Lisbeth se contenta de sourire. Visiblement en forme son partenaire, elle qui croyait que les hommes avaient besoin d’un temps de récupération… Et vu sa position, elle savait parfaitement ce que cet homme attendait d’elle. Elle reporta son attention sur le membre luisant avant de l’engloutir. Elle resta ainsi, sans bouger, pendant quelques instants, se contentant de contracter ses mâchoires. Puis Lisbeth commença à aller et venir lentement sur le sexe, l’avalant entièrement à chaque fois. Sa langue tournoyait le long de la hampe en permanence. Avec sa main droite, elle caressa les énormes testicules. Lisbeth prenait son temps, accélérant progressivement la cadence de ses mouvements de tête au fur et à mesure que le sexe se durcissait. Elle le ressortit entièrement avant de se mettre à lécher les bourses de son agresseur. Ainsi positionnée, il devait avoir une vue parfaite sur la cambrure de ses reins. Lisbeth l’accentua volontairement. Elle gobait les testicules l’une après l’autre, les léchant avec ardeur. Puis elle revint sur la queue qu’elle lécha entièrement tout en regardant son agresseur. Avant de la reprendre en bouche et d’entamer une série de va et vient, le gland heurtant le fond de sa gorge à chaque fois.

Histoire de reposer ses mâchoires un peu, Lisbeth se redressa doucement de façon à ce que le sexe se retrouve entre ses seins. Elle commença alors à monter et descendre lentement, agaçant le gland avec sa langue à chaque fois qu’il passait à portée de sa bouche. Son regard ne quittait pas celui de son agresseur.

*Vous ne voulez toujours pas me dire comme je peux vous appeler ?

Après tout, il connaissait son prénom… Lisbeth garda le sexe entre ses seins quelques minutes avant de l’engloutir à nouveau. Elle allait et venait à un rythme régulier, accélérant de façon progressive. Sa mère lui avait toujours dit qu’aller trop vite dès le départ privait les hommes d’une partie de leur plaisir. A chaque fois que le sexe heurtait le fond de sa gorge, Lisbeth perdait sa respiration mais elle découvrit qu’elle aimait cette sensation. N’écoutant que son envie, elle prit la main gauche de l’homme et la posa sur sa nuque.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le dimanche 15 août 2010, 14:53:31
Une chose est sûr je ne m’attendais pas à tant d’entrain de la part de Lisbeth, et je dois aussi l’avouer, à tant de talent. Sans hésiter elle vient engloutir mon sexe avec sa bouche, le laissant à l’intérieur pendant un moment, alors qu’elle me regarde dans les yeux. Mon membre commence vite à se durcir dans cette étroite cavité buccale, alors qu’elle commence à faire aller et venir ses lèvres dessus. Sa langue m’arrache des gémissements de plaisir alors qu’elle danse autour de mon sexe, puis au bout d’un moment elle le retire de sa bouche. Mon phallus est maintenant parfaitement dressé, alors que sa langue passe sur toute la longueur. Bon dieu ce qu’elle est douée, je prends appui  d’une main contre le mur pour me stabiliser, je dois avouer qu’elle suce admirablement et qu’à ce train là elle me fait légèrement vaciller. Elle s’attaque maintenant à mes bourses, elle les lèches, les gobes, les suce, avant de revenir prendre en bouche mon sexe, et d’entamer une série de gorge profonde, qui m’arrache un long soupir de plaisir à chaque fois que mon gland tape au fond de sa gorge.

Ensuite, comme je lui ai demandé, elle retire mon membre de sa bouche puis se redresse, pour m’offrir sa sublime poitrine. Elle emprisonne mon sexe enduit de sa salive entre ses seins, et commence à le masturber entre. Alors que je sens mon gourdin coulisser entre ses globes de chaire doux et chauds, mon gland qui ressort à chaque descente de son buste, a droit à l’attention de sa langue, alors que le regard d’Elisabeth ne cesse de me fixer. Et là elle me redemande comment elle peut m’appeler, alors qu’en tant normal je l’aurai encore rembarrer, je dois avouer que sous de telles attention, je n’en n'ai plus l’envie.

Franz…

Je la fixe avec désir, je dois avouer que cette situation est rare, normalement les femmes sont contraintes de me faire ce genre de chose, c’est quelque peu nouveau pour moi d’en voir une le faire avec envie, c’est vraiment autre chose. Après les divines caresses de ses seins, elle retire son buste pour revenir prendre en bouche ma verge, la grosseur est loin de lui faire peur, et elle reprendre mouvements de vas et viens, qui se transforme bien vite en gorge profonde. Elle l’engloutit jusqu’à en avoir la respiration coupée, et le pire c’est qu’elle à l’air d’aimer ça. Elle vient prendre ma main gauche pour la pauser sur sa nuque, et après un regard échangé je comprends qu’elle veut que j’intensifie ses gorges profondes. Je suis totalement déstabilisé, mais cela me permettra de reprendre le contrôle d’une situation, qui était entrain de m’échapper.

Ca se voit que t’aime engloutir de grosses queues ma belle… Tu vas être servit…


Je commence à tirer sur sa nuque pour accompagner ses mouvements, mon sexe complètement engloutit dans sa petite bouche, et mon gland bien au fond, coupant sa respiration quelques secondes. Puis je relâche la pression de ma main pour faire ressortir mon membre de sa bouche, un épais filet de bave le reliant à ses lèvres. Je lui laisse quelques secondes pour reprendre son souffle avant de recommencer, mon membre frottant contre son palet, sa langue, jusqu’à être engloutit par cette cavité buccale. Je le laisse de plus en plus longtemps dans sa bouche, et quand je le retire, je lui laisse de moins en moins de temps pour respirer. J’accentue le rythme progressivement, enchainant les gorges profondes à un rythme infernal.

Rha…HMM… C’est tellement bon de baiser ta petite bouche !

Après une dernière gorge profonde plus longue, je m’écarte et entraine Lisbeth à 4 pattes, dos à moi, pour qu’elle m’offre sa croupe.

HMM ! Petite salope, t’as bien mérité que je te baise comme tu le mérite.

Je pose ma main sur sa fesse gauche, que j’empoigne fermement, puis de ma main libre, je prends la base de ma grosse verge, pour venir passer mon gland enduit de sa salive le long de sa fente. D’un puissant coup de reins je la pénètre à nouveau, puis repose main sur sa fesse droite, pour commencer à la prendre sauvagement en levrette dans cette ruelle. Mon phallus écarte ses parois de toute sa grosseur, jusqu’à ce que mon gland vienne taper au fond de son vagin. Mes allers et venus s’enchainent à un rythme effréné, mes bourses venant taper contre ses lèvres intimes.

Pour une fois, mon plan de départ n’a pas du tout fonctionné, mais je dois avouer que ce qui est entrain de se passer est loin de me déplaire.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le dimanche 15 août 2010, 21:48:28
Son agresseur avait fini par lui donner son nom : Franz. Et à en juger par ses réactions, Lisbeth savait qu’il n’était pas insensible au traitement qu’elle lui infligeait avec sa bouche. Si elle avait pu, elle aurait souri. Mais vu la grosseur du sexe qu’elle suçait, c’était mission impossible. Franz avait compris ce qu’elle voulait et sa main commença à imposer le rythme, doucement au départ et de plus en plus vite et longuement ensuite. Au bord de l’évanouissement, Lisbeth était de plus en plus excitée. Le manque d’oxygène avait un effet dévastateur sur la jeune femme qui n’était plus qu’une femelle en chaleur. Et les mots prononcés par Franz augmentaient son plaisir.

Rha…HMM… C’est tellement bon de baiser ta petite bouche !

Il la prenait littéralement par la bouche. Lisbeth ne cessait de gémir. Après une dernière pénétration plus longue que les autres, Franz la força à se mettre à quatre pattes. La jeune femme peinait à reprendre sa respiration.

HMM ! Petite salope, t’as bien mérité que je te baise comme tu le mérite.

Lisbeth sentit le sexe de Franz à l’entrée de son vagin. Sans ménagement, Franz la posséda et s’agrippe à ses hanches pour mieux s’enfoncer en elle. Lisbeth posa ses avant-bras au sol pour se caler et augmenter sa cambrure. Ainsi positionnée, le sexe de Franz s’enfonçait au maximum en elle. La jeune femme accompagnait les mouvements de Franz avec son bassin.

*Mmmmm… oui, continuez Franz…….. J’aime être prise ainsi…

A chaque coup de boutoir, Lisbeth avait l’impression d’être déchirée et l’ironie de la situation ne lui échappait pas. Elle, jeune demoiselle riche et arrogante, se faisait prendre comme une prostituée dans une ruelle sombre à la vue de tous ceux qui pouvaient passer par là. Sa cyprine coulait à l’intérieur de ses cuisses. Puisque Franz semblait calmé, la jeune femme décida de tenter quelque chose. Profitant d’un moment où Franz reculait pour mieux revenir en elle, elle se baissa au dernier moment de sorte que la verge tendue de l’homme glissa sur ses fesses.

*Attendez s’il vous plaît.

Sans chercher à se défaire de l’étreinte de Franz, Lisbeth se redressa et se tourna vers le mur pour y prendre appui avec les mains. Ainsi, elle se retrouvait à genoux, les bras tendus, la croupe cambrée à souhait rendant ses seins libres d’être utilisés. Tournant légèrement la tête, elle sourit à Franz. Ce dernier ne sembla pas lui tenir rigueur de son changement de position et entreprit de recommencer son pilonnage en règle. La jeune femme haletait tout en essayant de contenir son plaisir. Il fallait que Franz lâche ses hanches. Ne gardant que sa main droite contre le mur, elle posa l’autre sur celle de l’homme et l’attira sur sa poitrine. Une fois cela fait, elle fit de même avec l’autre. Les doigts de Franz se refermèrent avec force sur ses seins mais Lisbeth s’en moquait. Le bassin libre, elle augmenta ses ondulations de manière à faire ressortir le sexe de Franz à chaque fois qu’il la pénétrait. L’éducation de sa mère allait lui servir. Franz continuait à la prendre avec force et Lisbeth accompagnait ses mouvements sans problèmes. A un moment, alors que la verge de Franz était entièrement ressortie de son vagin, elle baissa légèrement ses fesses. Si bien qu’elle s’empala d’elle-même violemment sur la queue tendue. Franz força ainsi son cul sans rien pouvoir faire. La jeune femme hurla en sentant son anus se dilater sous la grosseur du sexe et s’enfoncer profondément en elle. Surpris, Franz s’arrêta.

*Mmmmmmmmmm non, ne vous arrêtez pas…

Pour l’inciter à continuer, Lisbeth commença à coulisser doucement sur le phallus et très vite, le plaisir reprit le dessus sur la douleur.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le mardi 17 août 2010, 17:47:11
Cette petite fille de riche à l’air d’apprécier que je la prenne dans cette petite ruelle, comme une vulgaire trainée. Elle me demande de continuer, et j’accélère mes coups de reins, je la prends avec plus de force en m’appuyant sur sa croupe. Puis au bout d’un moment mon sexe glisse sur ses fesses qu’elle vient de baisser, elle me demande de patienter, et vient prendre appui sur le mur. Elle m’offre d’avantage sa croupe, alors je ne lui tiens pas rigueur, et je reprends mes mouvements, ma grosse verge ramonant ses parois intimes.

Sa main gauche vient chercher les miennes, pour les amener une à une contre ses seins qui ballotent sous les chocs que j’inflige à son bassin. Ne soupçonnant rien d’autre que ses désirs pervers, j’agrippe cette grosse poitrine, malaxant ses globes de chaire entre mes mains. Son bassin est maintenant libéré de mon emprise, et elle commence à l’onduler pour accompagner mes mouvements. De ce fait mon barreau de chaire ressort entièrement et revient s’empaler fortement dans son vagin, comme si je lui donnais de véritables coups. Je ne retiens aucunement mes mouvements, si bien que lorsque Lisbeth baisse son bassin, je ne peux éviter son anus, dans lequel mon membre s’empale puissamment. Je sens ce petit trou serré ce déformer d’un coup sous la grosseur de mon gourdin, ce qui me surprend et m’arrache un gémissement de plaisir. Je m’arrête pensant à un faux mouvement de celle qui n’était désormais plus ma victime, mais ma partenaire.

AHMM ! Bon dieu ! Ton petit cul est serré…

"Mmmmmmmmmm non, ne vous arrêtez pas… "Me dit-elle, alors qu’elle reprend d’elle-même un mouvement de bassin, ses parois anales compressant ma grosse verge en allant et venant dessus.

MMM ! T’es vraiment une chienne en chaleur toi… Finalement je pense qu’on va bien s’entendre.


La situation s’était complètement retournée, je n’avais plus à aller chercher le plaisir de son corps, c’est elle qui prenait son pied à me l’offrir sur un plateau. Je pilonne littéralement sa croupe, mes bourses claquant contre son sexe à chaque coup. Je presse ses seins entre mes mains, puis je pince ses tétons.
Au bout de longues minutes, je sens mon corps une nouvelle fois proche de la jouissance. Je descends ma main gauche contre sa peau, pour atteindre son clitoris, que je commence à caresser du bout des doigts, alors que mes allers et venus redoublent d’intensité. Mes gros doigts passent sur les anneaux de ses lèvres intimes, avant de s’engouffrer à l’intérieur de son vagin. Seul mon pouce, reste à caresser son clitoris, alors que je suis entrain de lui prodiguer une double pénétration.
Vu que j’ai particulièrement apprécié ses initiatives, je pense qu’il est bon de collaborer avec elle jusqu’au bout.

MM ! Alors dis moi je suis sûr que tu as une préférence sur l’orifice que tu veux que je te remplisse ?!

Je gémis de plus en plus fort, mes muscles se contractent, et mon phallus commence à tressauter à l’intérieur du petit trou de Libseth.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le mercredi 18 août 2010, 10:16:10
Franz semblait calmé. Enfin c’est l’impression que Lisbeth avait. Toujours aussi violent dans ses actes mais au moins, maintenant, il lui parlait. La jeune femme comprit qu’elle n’était plus sa victime. Son partenaire ne la ménageait pas. Les genoux de Lisbeth commençaient à devenir douloureux à force de frotter contre le sol sous les coups de boutoir de Franz. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que son partenaire ne boudait pas son plaisir. Lisbeth sentait son anus se dilater de plus en plus sous l’effet du phallus qui le prenait et son vagin dégoulinait de plaisir. Les mains de Franz n’étaient pas en reste, martyrisant sa poitrine. Tendus à l’extrême, ses mamelons lui faisaient mal mais la jeune femme aimait cette douleur.

Franz descendit l’une de ses mains, Lisbeth n’aurait su dire laquelle, et commença à branler son clitoris avant que ses doigts ne s’introduisent dans son vagin et commencent à la prendre de ce côté-là aussi. La double pénétration décupla ses sensations et la jeune femme gémissait maintenant sans retenue. Elle aimait être ainsi prise. Et elle comptait bien en profiter un maximum. Après tout, l’endurance de Franz était à prendre en compte. Ce que comptait bien faire Lisbeth.

MM ! Alors dis moi je suis sûr que tu as une préférence sur l’orifice que tu veux que je te remplisse ?!

Lisbeth sentait la verge de Franz se contracter dans son anus, signe que sa jouissance n’était pas loin. Sauf que ce n’était pas encore le cas pour Lisbeth. Elle canalisa son plaisir pour pouvoir réfléchir un peu à la suite. Pas évident à faire quand une queue et des doigts vous ramonent avec force !

*J’en ai une oui mais j’ai mieux à vous proposer…

Tout en parlant, Lisbeth avait placé sa main droite à la base de la verge de Franz. Une rapide pression à la base, de chaque côté en fait, et la jeune femme bloque l’éjaculation de son partenaire. Technique ancestrale que se mère lui avait enseignée. Très pratique dans le cas présent. Lisbeth sourit en entendant Franz lâcher un cri de frustration. La jeune femme le savait, il pouvait très mal prendre ce qu’elle venait de lui faire. Elle se hâta donc de s’expliquer.

*Allons chez moi, la soirée vient à peine de commencer et j’ai envie d’en profiter au maximum… Et puis, vous me remercierez tout à l’heure, votre jouissance sera plus que décuplée, je vous le promets.

Lisbeth se dégagea doucement et mit la veste de Franz sur elle tout en lui souriant. Soit l’homme était réellement calmé et il accepterait, soit elle venait de déclencher un nouvel accès de fureur. Doucement, elle vint se coller contre Franz, attendant de voir ce qu’il allait faire.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le mardi 24 août 2010, 15:50:48
Je cambre légèrement mon visage, alors que je suis sur le point de jouir. J’ai demandé à Lisbeth si elle avait une préférence sur l’endroit qu’elle veut que je lui remplisse, et alors qu’elle me dit qu’elle à mieux à proposer, sa fine main droite vient enserrer la base de mon membre, obstruant l’avancé de ma semence. Mais à quoi elle joue ?! Je gémis de frustration, et enserre d’avantage ses seins entre mes mains. Elle justifie cela, en disant que la soirée vient à peine de commencer, et qu’elle veut en profiter d’avantage en allant chez elle.

Je fronce les sourcils, alors qu’elle met ma veste sur ses épaules et qu’elle vient se coller à moi, je prends son poignet gauche, et je le serre fermement, en la regardant droit dans les yeux.

T’as intérêt à ce que ça en vaille la peine… Allez viens on prend un taxi.

Je relâche son poignet, puis remonte ma braguette, avant de passer mon bras sous sa veste pour prendre possession de sa fesse droite. Elle est entièrement nue sous cette couche de tissu, mais elle est heureusement assez large pour dissimuler une bonne partie de son corps. De nombreux regards se posent sur elle alors que nous marchons, nul doute que si elle ne se promenait pas avec un homme de ma carrure, les attentions des hommes que nous croisons ne se seraient pas arrêté aux simples regards.
Un taxi débouche dans la rue, et d’un signe de la main je lui fais signe de s’arrêter, nous montons à l’arrière, et je laisse à Lisbeth le soin d’annoncer l’adresse de destination. Je vois les yeux du conducteurs à travers le rétroviseur, se diriger vers les jambes nues de la jeune femme, et à la naissance de son décolleté. Il doit deviner qu’il n’y a pas grand-chose en dessous de cette veste.

Alors que la voiture démarre, je pose ma grosse main droite sur la cuisse d’Elisabeth et je la remonte doucement. Mes doigts frottent contre l’intérieur de sa cuisse, et peu à peu les pans de la veste qui dissimule son entrejambe s’écartent. Son sexe est maintenant dévoilé à mes yeux, mais surtout à ceux du conducteur. Je vois son air surprit dans le rétroviseur, et j’étire un sourire, alors que du bout des doigts je viens jouer avec les anneaux des lèvres intimes de la jeune femme, puis lentement mon pouce vient appuyer contre son clitoris. Voyons voir comment elle va réagir à ces caresses, alors qu'un regard voyeur se pose sur elle...
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le mercredi 25 août 2010, 15:02:30
Visiblement, Franz n’avait que peu apprécié le fait que Lisbeth bloque son éjaculation. Il avait attrapé son poignet gauche et le serrait avec force.

T’as intérêt à ce que ça en vaille la peine… Allez viens on prend un taxi.

L’entraînant à sa suite, Franz mit d’autorité l’une de ses mains sur sa fesse droite, relevant ainsi l’arrière de la veste. Tous ceux qu’ils croisaient avaient donc une vue imprenable sur la croupe de Lisbeth. La situation ne lui plaisait pas particulièrement mais le regard de Franz avait suffi à ce que Lisbeth se tienne pour le moment tranquille. Franz héla un taxi puis ils montèrent dedans. La jeune femme donna son adresse avant de s’appuyer contre le siège. Elle avait surpris le regard du chauffeur sur ses jambes découvertes. Un voyeur, il ne manquait plus que ça ! Pourvu qu’il garde les yeux fixés sur la route sinon c’était l’accident à coup sur.

Assise à droite de Franz, Lisbeth ne bougeait pas. Son compagnon semblait irrité par son initiative. Elle le regarda, surprise, quand il posa sa main droite sur sa cuisse. Remontant le long de sa cuisse, Franz dévoila son sexe à la vue d chauffeur qui n’en perdait pas une miette tout en conduisant. Les doigts de son compagnon jouèrent avec ses anneaux avant qu’il ne commence à lui caresser le clitoris. Malgré elle, Lisbeth gémit de plaisir. La jeune femme ne put s’empêcher d’ouvrir les jambes pour faciliter le passage des doigts de Franz. Elle posa ses mains sur le siège, une de chaque côté de son corps. Son sexe dégoulinait de nouveau sous les doigts inquisiteurs de Franz. Le chauffeur commençait à avoir du mal à se concentrer sur sa route.

*Mmmmm… on va finir par avoir un accident si cet idiot continue de regarder dans son rétro en permanence…

En dépit du plaisir qu’elle ressentait, Lisbeth supportait assez mal d’être ainsi regardée pendant que Franz la caressait. Surtout que la conduite du chauffeur commençait à être vraiment dangereuse. Franz ne semblait pas sans soucier, ses doigts continuant à caresser la vulve trempée de Lisbeth. Le chauffeur freina brutalement, évitant de justesse une collision. Ce qui eut le don d’énerver la jeune femme.

*Vous voulez nous tuer ? Plutôt que de regarder en permanence dans votre rétroviseur, vous feriez mieux de regarder devant vous !  

La jeune femme foudroyait le chauffeur du regard.

*J’regarde ce qui me fait bander mam’zelle ! T’ouvres les cuisses comme une salope alors viens pas te plaindre !

Furieuse, Lisbeth se dégagea de l’étreinte de Franz. Le taxi n’étant pas pourvu de glace de séparation, elle gifla le chauffeur violemment. Son compagnon repose sa main sur sa cuisse. Lisbeth se tourna vers lui.

*Non ! Je ne veux pas que ce porc me regarde alors vous allez attendre que nous soyons arrivés sinon je descends de la voiture !

Nullement impressionné par la jeune femme, Franz ne bougea pas sa main. Lisbeth décida alors de quitter le taxi et ouvrit la porte.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le jeudi 26 août 2010, 23:22:28
Lisbeth n’avait pas l’air d’apprécier le regard voyeur sur elle… Si elle savait ce que je lui réservais… Ce n’est rien comparé à ça. Elle prend la mouche face au conducteur qui manque à plusieurs reprises d’avoir un accident, trop obnubilé par le sexe de la jeune femme que je m’amuse à faire mouiller de plus en plus. Au bout d’un moment elle semble ne plus en pouvoir et se libère de mon étreinte pour gifler le conducteur, elle m’invective de ne pas continuer tant que ce "porc" la regarde. Si elle pense que c’est ça qui va m’arrêter elle se trompe, je pose ma main sur sa cuisse pour recommencer mon traitement. Mais là, elle semble une nouvelle fois vouloir me tenir tête, et ouvre la porte du taxi pour le quitter.

Je viens lui saisir violement le poignet pour la retenir, et je tourne la tête vers le conducteur du taxi.

Garez vous dans la ruelle là bas. Mademoiselle va vous payer tout de suite.

L’homme semble un peu intrigué, tout comme Elisabeth qui me regarde avec un air étonné. J’étire un sourire pervers, et lorsque l’homme se gare dans la ruelle, je sors de la voiture avec la jeune femme, puis fait joindre ses mains dans son dos pour la maitriser. Lorsque l’homme ouvre sa porte, je force Lisbeth à se pencher jusqu’à ce que son visage vienne s’écraser sur l’entrejambe du conducteur.

Je suppose que vous accepter le paiement nature ?

Un sourire lubrique illumine le visage de l’homme plutôt bedonnant, d’une quarantaine d’année, et loin d’être propre sur soit. Il ouvre son pantalon pour sortir sa verge assez large mais pas très longue, dressé par le spectacle qu’on lui a précédemment offert. Il commence à la faire tapoter sur la joue de Lisbeth, et vient passer son gland sur ses fines lèvres.

Conducteur : J’avais bien vue que t’étais une sacré petit garce !

Je souris devant cette scène, la petite bourgeoise contrainte de satisfaire le conducteur de taxi, qui pourrait être son père. Quant à moi, je soulève le bas de la veste que porte Elisabeth, pour dévoiler sa croupe et son vagin encore trempée de mes derniers attouchements. Ou serai-ce ma violence soudaine qui l’excite ?
J’ouvre ma braguette pour libérer mon gros membre, et sans plus de préparation je l’enfourne d’un coup de rein puissant dans son vagin qui ne semblait attendre que ça. J’entame directement des vas et viens endiablés, ma verge frictionnant ses parois, et mes bourses claquant contre sa peau.
Le conducteur voyant les seins Lisbeth ballotter sous la puissance de mes coups, les empoignes de ses mains sales, et les malaxe vigoureusement.

J’ai jamais touché de seins pareils ! Allez suces moi petite putain !

On peut facilement comprendre qu’Elisabeth n’ait pas du tout envie de se préoccuper de l’ignoble énergumène, et devant ses réticences, je compte bien la faire agir, d’une façon ou d’une autre. Je redouble d’intensité mes allers et venus, son bassin se soulevant sous la force des mes coups de buttoir, puis soudain je stoppe mes mouvements, retirant ma verge, pour ne laisser que mon gland contre sa vulve.

Franz : Si tu veux que je reprenne Elisabeth… Tu vas devoir lui obéir.

Voyons voir jusqu'où va sa nymphomanie...
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le vendredi 27 août 2010, 11:21:12
Lisbeth allait descendre de la voiture quand Franz la retint de force tout en demandant au chauffeur d’aller se garer plus loin. Il expliqua que Lisbeth allait le payer. Intriguée, la jeune femme regardait Franz, se demandant où il venait en venir. Une fois la voiture garée, Franz sortit, l’entraînant à sa suite. Il lui bloqua les poignets derrière le dos. Le chauffeur, lui, avait ouvert sa portière. Franz la força à se pencher en avant, jusqu’à ce que son visage soit en contact avec l’entrejambe du conducteur.

* Je suppose que vous accepter le paiement nature ?

Lisbeth faillit hurler en entendant Franz. Il ne pensait tout de même pas qu’elle allait sucer se gros lard ! Le chauffeur sortit sa queue. Il bandait déjà. Il la passa sur le visage de la jeune femme qui se retint de le mordre de rage. Elle sentit soudain Franz posséder son vagin avec violence. Ses seins ballottaient sous les coups de boutoir et le chauffeur ne tarda pas à s’en saisir pour les malaxer avec ses mains sales. Il exigea de Lisbeth qu’elle le suce. La jeune femme avait beau gémir de plaisir sous la pénétration de Franz, il était hors de question qu’elle obéisse au chauffeur. L’odeur de sa verge lui donnait envie de vomir. Franz la prenait avec violence et en dépit de la situation, Lisbeth adorait ça. Sa vulve dégoulinait de plaisir. Son bassin suivait à la perfection les mouvements imposés par les coups de boutoir de Franz. Puis il se retira, laissant son gland juste à l’entrée de son vagin. Lisbeth gémit de frustration. Et les paroles de Franz la laissèrent sans voix.

* Si tu veux que je reprenne Elisabeth… Tu vas devoir lui obéir.

Inutile de préciser que le chauffeur appréciait ce qu’il venait d’entendre. Lisbeth, quant à elle, était déchirée par l’envie que Franz continue et l’horreur qui lui inspirait l’autre. Elle tenta de se dégager mais Franz la maintenait fermement. Son corps tout entier réclamait le sexe de Franz. Humiliée par la situation, Lisbeth se résigna à obéir. Elle aimait trop le plaisir que lui procurait Franz. Docilement, elle ouvrit la bouche pour avaler la verge du chauffeur et commença à monter et descendre lentement le long de la hampe tendue. Les yeux fermés, elle s’appliquait. Le chauffeur appréciait le traitement qu’elle lui prodiguait. Il suffisait de l’écouter pour le savoir.

* Putain mais c’est qu’elle aime ça cette chienne !

Sans prévenir, il lui attrapa les cheveux pour la forcer à mieux engloutir sa queue. Son envie de vomir était toujours présente mais la situation commençait à exciter Lisbeth de plus en plus. Etre contrainte à obéir lui plaisait plus qu’elle ne l’aurait cru. Le chauffeur se remit à malaxer ses seins avec force. Aucune douceur dans ces caresses, juste de la douleur. Lisbeth se remit à gémir de plaisir. L’homme pinçait, tirait sans ménagement, ses mamelons. Il la griffait même par moment. Son plaisir revenu, Lisbeth allait et venait avec gourmandise sur la queue qu’elle suçait. Le chauffeur devenait de plus en plus entreprenant. Il lui claqua violemment la fesse gauche. Lisbeth sursauta de surprise. Comme pour l‘inviter à recommencer, elle se cambra au maximum. L’homme ne se fit pas prier et lâcha une dizaine de claques sur sa fesse. La douleur décuplait son plaisir. Franz observait la scène. Qu’allait-il penser d’elle. Lisbeth se conduisait comme une chienne en chaleur et le simple fait d’y penser l’excitait d’avantage. Son vagin dégoulinait de plaisir et elle pouvait sentir ses cuisses trempées de sa cyprine. Elle continuait sa fellation avec ardeur.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le samedi 28 août 2010, 12:53:06
Cette petite fille de riche, avec ses airs supérieurs, est au fond une réelle petite garce. Elle prenait tellement son pied sous les pénétrations de mon gros membre, qu’elle se résous à prendre en bouche la verge du conducteur de taxi, dont c’est vraiment le jour de chance. Le vieux n’en croit pas ses yeux, ça doit faire bien longtemps qu’une femme ne s’est pas occupé de lui, et sans doute jamais aussi belle que Lisbeth. J’ai un large sourire pervers en voyant le conducteur agripper les cheveux de la jeune femme pour la forcer à engloutir entièrement sa queue puante, alors que de son autre main, il recommence à malmener ses seins avec vigueur. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle semble prendre son pied, le vieux commence à déposer des claques sur ses fesses, et ce sont des gémissements de plaisir qu’elle dégage.

Cette petite à un gros potentiel… Je vais devoir encore un peu la tester, mais il y a de grandes chances, qu’au-delà d’en faire une victime, je la prenne sous mon aile.

Le vieux vient plaquer la tête d’Elisabeth contre ses jambes pour la forcer à lui faire une gorge profonde, et au lieu de relâcher la pression de sa main, il commence à faire un mouvement de bassin, pour faire aller et venir sa queue au fond de sa gorge. Quant à moi, je ne reste pas longtemps inactif devant les gémissements de plaisir de cette petite chienne, d’un coup puissant de bassin, ma grosse verge vient écarter ses parois, pour commencer des vas et viens endiablés. Et comme si ça ne suffisait, je viens passer deux de mes gros doigts sur son anus, le massant d’abord, puis je les fais rentrer à l’intérieur avec des vas et viens vifs, pour écarter ses parois anales et les dilater peu à peu.

Au bout de quelques minutes, le vieux gémit de plus en plus, il ne doit pas être habitué à un tel traitement. Il stoppe ses mouvements de bassin, et agrippe à nouveau les cheveux de Lisbeth, pour s’assurer qu’elle ne puisse se retirer, et se laisser jouir en criant de plaisir.

Conducteur : Mmmmh ! Petite putain ! Je vais remplir ta bouche !

Apparemment ce doit faire un moment qu’il n’a pas gouté au plaisir de la chaire, tant son éjaculation est importante pour un humain. Je vois les joues de la jeune femme se gonfler au fur et à mesure que sa bouche se remplit de sperme, et il commence à couler à la commissure de ses lèvres.
En voyant le vieux se lâcher dans la bouche d’Elisabeth, je stoppe mes allers et venus qui ramonait son vagin, et je retire à nouveau à mon membre, lui faisant comprendre que tant qu’elle ne fera pas ce que je vais lui ordonner, je ne reviendrai pas. Par contre pour continuer de l’exciter, deux de mes gros doigts continuent d’aller et venir dans son petit trou étroit, puis un troisième vient se joindre à la danse.

Franz : Allez ma belle Elisabeth… Avales donc tout ce que t’offre ce charmant Monsieur.

Tout était dans l’ironie, je prenais un vocabulaire doux, pour lui demander de faire quelque chose d’horrible. J’attends qu’elle s’exécute, fixant sa gorge gonflée par chaque goulée.

Bien maintenant qu’on a payé le monsieur pour la route qu’il a fait, il faut payer la route qu’il fera pour nous ramener chez toi...

Bien sûr je n’en avais pas finit avec elle, et je comptais bien la laisser se faire humilier par vieux plouc de conducteur.

Conducteur : T’as entendu petite chienne ?! Alors lèches moi, qu’elle redevienne toute dure !

Il parle bien sur de son membre, et comme pour la motiver d’avantage, il recommence à déposer des claques sur ses fesses, qui rougissent sous les coups. Quant à moi, je ne recommence pas à la prendre en levrette, j’ai une bien meilleur idée, pendant qu’elle lèche la verge poisseuse du vieil homme, je continue de pilonner son anus avec mes doigts, de 3 ils passent à 4, et son orifice commence à être considérablement élargit.
Sous les coups de langues experts d’Elisabeth, le conducteur ne met pas longtemps à retrouver une érection, alors je retire mes doigts de son antre, et j’attire la jeune femme contre moi, pour murmurer à son oreille.

Franz : Je sens que ça te plait d’être abusée comme une vulgaire trainée… Avec moi tu vas être servie…

Je la fais tourner pour que son visage soit face au mien, et en d’autres circonstances je lui aurais volé un baiser, mais autour de ses lèvres coulaient encore le foutre du vieil homme. Mes grosses mains viennent prendre possession de sa croupe, et je soulève Lisbeth contre moi. Je la regarde avec un air pervers, alors que je laisse mon dos reposer sur la porte arrière du taxi. Je commence à la faire descendre sur ma grosse verge, son vagin trempé s’empale sauvagement dessus, et je commence des coups de reins puissants, écartant ses parois avec force à chaque passage, jusqu’à ce que mon gland aille butter tout au fond.

MHMM ! Ma petite chienne ! Allez toi la bas, tu as un orifice qui t’attend pour le paiement du reste de la course !

Ma petite chienne ? Je commencerai presque à m’attacher ?... Alors que je continue de labourer son sexe avec des coups de bassins vifs et puissants, je resserre d’avantage mes mains sur ses petites fesses, pour mieux élargir son anus, et le présenter au vieux conducteur qui ne semblait attendre que ça.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le lundi 30 août 2010, 17:05:05
Lisbeth sentit Franz reprendre possession d’elle. Son membre allait et venait avec violence dans son vagin. Les gémissements de la jeune femme redoublèrent sous ce nouvel assaut. Le conducteur lui maintenait toujours la tête et maintenant, il la baisait littéralement par la bouche. Lisbeth sentit les doigts de Franz sur son anus avant que ce dernier ne les enfonce brusquement. La jeune femme se cambra sous la violence mais ne chercha pas à se dégager. Le vieux porc râlait de plus en plus et finit par éjaculer dans la bouche de Lisbeth. au même moment, Franz se retira d’elle sans pour autant cesser d’ouvrir son cul. Pour Lisbeth, il était clair qu’elle devait avaler le sperme du chauffeur si elle voulait que Franz continue. Ce qu’elle fit à contre-cœur, le goût de la semence du vieux était infect et lui donnait envie de vomir. Pourtant, Lisbeth ne voulait pas que cela s’arrête. Cette humiliation lui donnait bien plus de plaisir que d’ordinaire, même si la jeune femme peinait à l’admettre.

*Bien maintenant qu’on a payé le monsieur pour la route qu’il a fait, il faut payer la route qu’il fera pour nous ramener chez toi...

Lisbeth hoqueta de surprise en entendant les paroles de Franz. Et visiblement, le chauffeur était partant pour continuer. Histoire de la motiver, il claqua avec force les fesses de la jeune femme à plusieurs reprises. Se résignant de nouveau à obéir, Lisbeth recommença à sucer le sexe gluant du vieillard pensant que Franz la prendrait de nouveau. En fait, seuls les doigts que ce dernier avait mis dans son anus étaient actifs. Il l’ouvrait sans ménagement. Ce qui accentuait le plaisir de Lisbeth sans qu’elle ne puisse rien y faire. Le vieux porc bandait à nouveau. Et continuait à martyriser les tétons de la jeune femme. Ces derniers étaient devenus particulièrement sensibles. Franz choisit ce moment-là pour la relever et la faire se tourner face à lui. La lueur sadique que Lisbeth put voir dans ses yeux l’intrigua. Visiblement, il avait une idée en tête et elle n’était pas certaine de l’apprécier. Franz s’appuya sur le taxi avant de la soulever et de venir l’empaler sur sa verge. Ses coups de boutoir déchiraient ses entrailles pendant que ses mains écartaient ses fesses au maximum. Soudain, Franz invita le chauffeur à venir la sodomiser. La jeune femme se colla à Franz mais celui-ci la repoussa en redoublant ses mouvements. Le chauffeur se dirigea vers l’arrière de son taxi et ouvrit le coffre.

*Attends mon pote, j’ai mieux pour dresser les chiennes dans son genre… Va juste falloir que tu la tienne face à moi quelques minutes avant de poursuivre.

Le porc éclata de rire. Un rire gras et malsain. Sans doute intrigué parce ce que voulait dire le chauffeur, Franz reposa Lisbeth à terre. Il lui fit faire demi-tour et lui bloqua les poignets dans le dos. Le vieux revint avec de drôles de pièces en métal dans la main : en forme de rectangle, creuses, une vis sur l’une des barres les plus longues et un anneau sur celle opposée. Il en plaça une sur le téton gauche de Lisbeth, l’anneau en haut, et serra la vis au maximum. La jeune femme hurla de douleur et tenta de se soustraire à ce châtiment mais Franz la maintenait fermement. Le chauffeur recommença l’opération sur son mamelon gauche. Les larmes roulaient le long des joues de la jeune femme.

*Pitié… Enlevez-moi ça, j’ai trop mal.

Pour toute réponse, le vieux envoya une claque sur son sein droit. Furieuse, Lisbeth essaya de le mordre. Le chauffeur éclata de rire.

*Attends un peu, j’vais te calmer moi !

Il retourna fouiller dans son coffre et revint avec une barre de métal. Sur chaque bout était attachée une lanière de cuir. Il força la jeune femme à ouvrir la bouche pour y mettre la barre et l’attacha derrière sa tête à l’aide des lanières. Puis il sortit de la poche de son pantalons deux petites chaînes. Il en accrocha une sur chaque attache de ses seins et raccrocha les deux dans l’anneau qui était sous la barre de métal dans sa bouche. Ainsi, le seins de Lisbeth étaient tirés vers le haut sans ménagement, accentuant la douleur.

*Voilà, comme ça elle va se tenir tranquille ta chienne !

Franz retourna Lisbeth vers lui pour contempler le résultat. Avant de l’empaler de nouveau sur sa verge et de recommencer à la prendre avec force. Le vieux vint se positionner derrière elle et la sodomisa sans demander son reste. Ainsi prise, Lisbeth ne pouvait plus se dégager. Encore aurait-il fallu qu’elle le veuille. Le chauffeur attrapa les chaînes et commença à jouer avec.

*Regarde-la cette pute comme elle mouille !

Le chauffeur prenait Franz comme témoin du plaisir de Lisbeth d’être ainsi maltraitée. Et il fallait bien avouer que la cyprine dégoulinait le long de ses cuisses. D’ailleurs, les gémissements de la jeune femme se faisaient entendre de plus en plus. Les deux hommes la prenaient comme une vulgaire traînée et l’excitation de la jeune femme était à son comble
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le mercredi 01 septembre 2010, 16:57:58
Malheureusement pour Lisbeth en plus d’être tombée sur un vieux pervers, celui-ci a l’air d’avoir de lourdes déviances sexuelles. Il trimbale dans son taxi des accessoires de bondage, qu’il ne manque pas d’utiliser sur elle. En quelques minutes, ses gros seins sont maintenus en l’air par un système d’anneaux et de chaines, qui va jusqu’à une barre de métal traversant sa bouche.

Une fois l’installation terminée, je la retourne contre moi, et la regarde avec un air sadique, alors que je la refais descendre de tout son poids sur mon gros barreau de chaire qui n’attendais que son petit vagin. Le vieux lui, ne demande pas son reste pour venir pénétrer avec force son anus dilaté par mes soins.

Ainsi Lisbeth est prise en double pénétration dans cette petite ruelle, par ce vieux conducteur pervers, et par moi, deux personnes qu’elle vient juste de rencontrer, et apparemment ça l’excite au plus haut point. Ses orifices sont distendus, élargis par nos membres qui la ramonent, même si celui du conducteur est moins imposant que le mien, le fait que son anus soit plus étroit lui fait tout de même ressentir de violentes pénétrations.
Le corps de Lisbeth étant maintenu en l’air sous la force de nos bassins, mes mains ont tout le loisir de profiter de ses formes généreuses. Je viens appuyer sur ses seins gros seins, tendant d’avantage ses tétons, puis de mon autre main, je viens frotter mon pouce contre son clitoris, le pinçant par moment entre deux doigts.
Quant à lui, le conducteur, semble apprécier la croupe d’Elisabeth, tant ses mains aiment venir y frapper, alors qu’il vient déposer ses lèvres charnus sur sa nuque et commence à la lécher avec sa langue baveuse.

C’est vrai que t’as l’air d’aimer ça Elisabeth… D’être prise comme une chienne entre deux mâles…

En la voyant comme ça, j’ai déjà en tête quelques clients qui payerai une petite fortune pour disposer d’elle et d’assouvir leur penchants sadomasochistes. Les minutes défilent sous ce traitement intense, lorsque ma grosse verge est profondément plaquée dans le vagin de Lisbeth, je peux sentir la pression de celle du conducteur. Au bout d’un moment, les gémissements du vieux sont de moins en moins espacés, et il finit par jouir. Ses mains viennent presser et griffer les fesses de la jeune femme, alors que son sperme se déverse dans son anus.

Conducteur : MAAAH ! Petite salope voilà pour toi !

J’intensifie mes coups de buttoir avec rage, mes mains malmenant sa poitrine, et mes bourses claquant contre sa peau. Puis mes muscles se contractent et je jouis à mon tour, avec une puissance qui est sans égal comparé à celle du conducteur. Mon gros barreau de chaire plaqué dans le vagin de Libseth, déformant ses parois, palpite au fur et à mesure des jets de sperme qui inonde son antre. Je lâche de longs râle de plaisir, c’est la deuxième fois que je remplis son vagin, j’espère pour elle qu’elle a un bon contraceptif… Enfin… C’est son problème.

Le conducteur s’écarte d’Elisabeth, puis s’assoit sur le siège de sa voiture pour souffler, moi je retire mon gourdin de son sexe, puis la dépose à terre, et tapote sa tête avec ma main, comme un maitre félicitant sa chienne de lui avoir apporté son journal. Je ferme mon pantalon, puis je débarrasse la fille de riche de ses chaines, et la soulève pour la faire monter à l’arrière de la voiture. Je rends l’attirail sadomasochiste à son propriétaire, avant de remonter dans le taxi aux côtés de Lisbeth.

Franz : Bon je pense que vous avez été largement payé pour finir votre course. Alors en route.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le vendredi 10 septembre 2010, 10:22:25
Les deux hommes la prenaient brutalement. Réduite au silence, Lisbeth ne cherchait même plus à résister tant le plaisir qu’elle ressentait la submergeait. Complètement dilatée sous les coups de boutoir de ses deux tortionnaires, elle gémissait sans relâche. Le chauffeur finit par jouir dans son cul qu’il n’avait pas cessé de martyriser tout en se servant d’elle. Ses fesses la brûlaient suite à tous les coups reçus. Franz n’était pas en reste, accentuant la douleur qu’elle ressentait au niveau des seins à cause de l’attirail que l’autre pervers avait posé. Franz finit par jouir à nouveau. Il la posa au sol pendant que le chauffeur retournait dans son véhicule. Prenant le temps de se rhabiller, Franz la débarrassa ensuite de ses entraves. Lisbeth lâcha un cri de douleur quand ses mamelons furent libérés. Franz l’installa dans le taxi avant de rentre au chauffeur ce qui lui appartenait. La jeune femme ne bougeait plus. La seule chose dont elle avait envie était de rentrer chez elle pour se laver. Elle ne se reconnaissait pas et avait honte de se comporter comme une chienne en manque de mâle. Tête baissée, elle attendait.

*Bon je pense que vous avez été largement payé pour finir votre course. Alors en route.

Obéissant à l’injonction de Franz, le chauffeur remit la voiture en marche. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent au pied de son immeuble. Lisbeth voulut remettre la veste pour sortir mais Franz s’y opposa.

*Je… Je ne peux tout de même pas sortir ainsi…

Pour toute réponse, Franz la sortit de force de la voiture et ils prirent ensemble les escaliers menant chez elle. Priant pour ne rencontrer personne, Lisbeth se laissait faire. Manque de chance pour elle, ils croisèrent l’un de ses voisins. Humiliée, Lisbeth se hâta vers son appartement qu’elle ouvrit avant de s’y engouffrer, suivie de près par Franz. La jeune femme prit la direction de sa salle de bains.

*J’ai besoin d’une douche…

Sans donner le temps à son compagnon de réagir, elle partit sous la douche. L’eau chaude lui faisait du bien. Une glace se trouvait à l’intérieur de la douche, Lisbeth aimant regarder son corps pendant des heures. L’image qui li était renvoyée l’effraya. Son corps était couvert de marques diverses, sans compter le supplice subit par ses seins. Lisbeth avait bien du mal à se reconnaître. Attrapant une fleur de douche, elle se lava vigoureusement, cherchant à faire partir l’odeur du vieux qu’elle sentait sur elle. Occupée, elle en avait totalement oublié la présence de Franz. Réalisant ce qu’elle venait de subit, elle se laissa doucement glisser sur le sol carrelé et resta ainsi sans bouger. Cet homme lui faisait subir des horreurs et Lisbeth devait admettre qu’elle aimait être traitée ainsi. Entendant du bruit, elle se rappela brusquement qu’elle n’était pas seule. Elle sortit alors de la douche puis s’essuya avant de retourner dans le salon. N’ayant pas du tout envie que Franz lui détruise une autre tenue, Lisbeth resta nue. L’homme s’était installé dans l’un des deux fauteuils. La jeune femme resta debout, dans l’encadrement de la porte. Elle pouvait voir les yeux sombres de Franz la détailler entièrement. Cette inspection visuelle raviva son plaisir et sa vulve s’humidifia de nouveau et de façon suffisamment visible pour que Franz puisse le voir. Lisbeth rougit de honte. Elle ne comprenait pas pourquoi elle se sentait chienne en présence de cet homme. Elle avait envie qu’il la prenne, qu’il se serve de son corps comme bon lui semblait, mais elle était incapable de dire une telle chose. Lisbeth évitait de croiser le regard de Franz. Elle ne voulait qu’il puisse lire ce qu’elle pensait. Elle décida donc de faire quelque chose pour couper court à la situation.

*Vous désirez quelque chose ? Je peux vous offrir un verre d’alcool…

Sa voix tremblait tellement qu’elle ne pouvait rien dire de plus. Elle se contenta d’attendre la réponse de Franz.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le vendredi 24 septembre 2010, 15:46:02
Lisbeth ne semble pas du tout à l’aise alors que je la force à sortir nue de la voiture, son corps encore souillé par ma semence et celle du conducteur de taxi pervers, visiblement, elle est bien moins enthousiaste que lorsqu’elle était entrain de se faire prendre pas nos deux gourdins. Nous montons à son appartement et croisons un de ses voisins, il doit avoir à peine 14 ans, et fait les gros yeux en voyant sa voisine sexy complètement nue. Ce doit être la première fois qu’il voit une femme nue de sa vie, et qui plus une très belle femme. Lisbeth, toute honteuse, se dépêche de rejoindre la porte de son appartement et s’y engouffre, se ruant dans sa douche. Je la suis juste derrière avec un sourire sadique aux lèvres, puis prend place dans un fauteuil en attendant qu’elle revienne.

Peu après, le corps nu de Lisbeth apparait dans l’encadrement de la porte, j’y glisse mon regard appréciant de nouveaux ses formes, j’ai l’impression que ce corps à été créé pour qu’on en abuse. Mon sourire s’élargit lorsque je vois son sexe s’humidifier à nouveau, cette femme est une vraie nymphomane, et je compte bien ravir ses pulsions. Elle me demande si je veux boire quelque, et je lui fais signe de venir avec un mouvement de l’index.

Viens par là…

Une fois Lisbeth à porter de main, je l’amène face à moi, agrippant ses fesses pour faire venir son sexe à niveau de mes lèvres.

Oui j’ai une petite soif…

Je viens passer ma grosse langue le long de sa fente, humide, et je commence à la lécher avec ardeur, pressant fermement ses fesses en même temps. Je viens pincer entre mes lèvres son clitoris avant d’y déposer des coups de langues, mais si elle pense s’en tirer à s’y bon compte, et que je la prenne tout de suite comme une chienne, elle se goure, ce serai bien trop facile. Je veux qu’elle se sente comme une petite salope en manque, et qu’elle fasse des actes qui lui feront honte une fois que le désir sera retombé. Je retire mes lèvres de sa vulve, et je cherche quelque chose dans ma poche, je sors un string avec une caractéristique un peu « spéciale ». Il faut dire qu’il est accompagné d’un vibromasseur, mais sans dire un mot de plus, je force Libseth à l’enfiler, faisant remonter le string le long de ses jambes, jusqu’à sa taille, le god s’empalant d’un coup dans son vagin.

Tu vas voir… Ca va te plaire.

Je remets la main dans ma poche, puis sors une petite télécommande et appui sur un bouton, qui commence à faire bouger et vibrer le god dans son antre humide. Je me redresse et dépose une claque sur les petites fesses de ma victime, puis me dirige vers la cuisine, où je trouve un petit tablier. Je rejoins Lisbeth, et la fait revêtir ce tablier, qui cache difficilement ses formes généreuses. Je vole un baiser à la jeune femme, ma grosse langue s’engouffrant dans sa cavité buccale et jouant avec les siennes, alors que je saisis ses seins violemment à travers le tissus du tablier, et je les malaxe et les presse joyeusement.

Je sens Lisbeth irradié par le plaisir, étrangement la violence l’existe, je m’écarte d’elle, et après un petit sourire sadique je lance :

Tu es parfaite en cuisinière salope. Et je crois qu’il te manque un ingrédient pour réaliser ton plat, je crois que c’est un bonne dose de foutre… Et tu sais ce qu’on fait quand il nous manque un ingrédient ? On demande gentiment au voisin s’il peut nous en prêter…

Tout en sous entendu, je me dirige vers la porte de l’appartement, et sort dans le couloir, où le petit voisin que l’on a rencontré précédemment joue encore.

Hey petit… Viens par là… Lisbeth à besoin de ton aide !

Le jeune adolescent se lève avec un regard interrogateur, mais après tout, c’est sa voisine, il la connait bien, elle est gentille, donc s’il peut l’aider, ce sera avec plaisir. Quand il entre dans l’appartement, il rougit en voyant sa voisine, vêtue d’un simple tablier, alors que je l’invite à s’asseoir dans un fauteuil.

Adolescent : Lisbeth ? Le monsieur m’a dit que tu avais besoin d’aide ?

Je peux voir l’entrejambe de son voisin, gonflé peu à peu à la vue du corps d’Elisabeth, alors que discrètement, j’augmente l’intensité du vibromasseur qui frotte ses parois vaginales.

Franz : Oui… Il lui manque un ingrédient pour sa cuisine, tu serai d’accord pour lui fournir ?

Ado : Oui bien sûr… Si je l’ai-je t’en prêterai volontiers Lisbeth !

J’affiche un sourire pervers, en posant mon regard sur la jeune femme, et tout en augmentant à nouveau la force du vibromasseur, je lui fais signe de se mettre au travail.

Franz : Alors qu’est ce que tu attends Elisabeth ? Ton gentil voisin te dit qu’il veut bien t’aider. Alors sers-toi.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le mercredi 13 octobre 2010, 14:14:34
Franz lui ordonna de s’approcher. Lisbeth s’exécuta. Il attrapa ses fesses fermement et posa sa bouche sur sa vulve trempée. La jeune femme sentait la langue la fouiller sans ménagement, ce qui entraîna assez vite des gémissements de sa part. Elle écarta les jambes pour faciliter l’accès à Franz. Ce dernier finit par la relâcher. Lisbeth gémit de frustration. Puis Franz sortit quelque chose de l’une de ses poches : un string muni d’un vibromasseur. Il la força à l’enfiler, ce que la jeune femme fit de bonne grâce d’ailleurs. Avant d’actionner une télécommande ! Le gode commença à vibrer en elle immédiatement. Lisbeth hoqueta de surprise. Elle ne bougea même pas quand Franz se leva, lui claquant les fesses au passage, pour aller chercher un tablier de cuisine qu’il lui fit mettre. Que lui réservait-il encore ? A la fois anxieuse et impatient, la jeune femme gardait le silence.

Franz la laissa seule quelques instants avant de revenir avec son jeune voisin. Il était difficile pour Lisbeth d’ignorer l’effet qu’elle faisait à l’adolescent qui venait de s’asseoir : sa verge commençait déjà à gonfler dans son pantalon. L’ordre de Franz la sidéra. Ce dernier choisit ce moment pour augmenter les vibrations du gode planté dans son vagin. Lisbeth se mordait les lèvres. Elle ne pouvait décemment pas sucer ce gamin !

*Je ne peux pas…

Pour toute réponse, Franz la regardait en souriant. Le plaisir commençait à se faire de plus en plus impérieux et la jeune femme sentait sa vulve dégouliner le long de ses cuisses. Après un dernier regard suppliant à Franz, elle s’approcha du garçon et se mit à genoux devant lui. Son voisin la regardait sans comprendre. Lisbeth libéra son sexe avant de se pencher en avant et de le prendre en bouche. Plus fin, et surtout plus petit que celui de Franz, elle n’eut aucun mal à l’avaler en entier. D’abord surpris, son jeune voisin se laissa faire, trouvant la situation à son goût visiblement.

*Putain, c’est trop bon ! Dire que mon père pense que tu es coincée !

Laissant son enthousiasme prendre le dessus, l’adolescent commençait à s’enhardir, lui attrapant les cheveux pour l’obliger à le sucer. Encore un qui voyait des films pornos en cachette. Pendant ce temps, la langue de Lisbeth allait sur la hampe dressée à une allure endiablée. Elle ne voulait plus qu’une chose : avoir le sperme de son partenaire en bouche. Ses réticences l’avaient abandonnée au fur et à mesure du plaisir engendré par les vibrations du gode. En bonne chienne, elle ne cherchait plus qu’à satisfaire Franz pour qu’il la prenne et la fasse de nouveau jouir. Elle releva la tête quelques instants pour regarder son bourreau. Ses yeux le suppliaient de venir la prendre. L’intérieur de ses cuisses était trempé. Le regard de Franz était chargé de perversité.

*T’arrête pas ! T’es trop bonne ! Continue !

Se rappelant au bon plaisir de Lisbeth, son voisin la regardait, un brin furieux qu’elle ait cessé sa fellation. Résignée, la jeune femme engloutit de nouveau la verge gonflée par le sang. L’une de ses mains se dirigea vers sa croupe. La jeune femme n’en pouvait plus. Devant l’immobilisme de Franz, elle décida de se satisfaire. Introduisant un doigt dans son anus, elle commença une série de va et vient tout en suçant l’adolescent. Les gémissements de ce dernier se faisaient d’ailleurs entendre de plus en plus. Lisbeth ne tarda pas à ajouter un deuxième doigt au premier tant son cul était ouvert. Elle se refusait à supplier Franz de venir.


--]HRP : Dsl pour le retard[--
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Franz Nielsen le samedi 04 décembre 2010, 15:34:05
Je souris en voyant les yeux de l’adolescent s’écarquiller alors que sa voisine qu’il pensait si sage, vient prendre sa verge dressée entièrement en bouche. Elle commence à le pomper alors que je vois sa cyprine dégouliner le long de ses jambes, le gosse gémit de plaisir, ce doit être sa première fellation, et il s’en souviendra longtemps. Au bout d’un moment Lisbeth s’arrête et lève les yeux vers moi, semblant m’implorer de la prendre comme la petite chienne qu’elle est. Puis elle recommence à sucer son voisin, qui gémit de plus belle et vient saisir les seins opulents de la jeune femme pour les pétrir. Elle ne tient plus, et approche ses mains de ses fesses pour commencer à doigter son petit trou, avec un doigt, puis un deuxième.

Je souris devant cette scène, elle sait qu’elle fait quelque chose de mal, c’est son voisin, beaucoup plus jeune que lui, mais elle est tellement dévorée par le désir qu’elle a perdu la notion des choses. Je viens me placer derrière elle, et ouvre mon pantalon, descend mon boxer pour libérer ma verge, puis j’agrippe les poignets de Lisbeth pour l’empêcher de se doigter, et je commencer à frotter mon membre dur et chaud contre sa croupe. Je tiens ses mains à l’aide d’une seule des miennes, pour que de l’autre je vienne agripper ses cheveux, pour relever sa tête et lui faire cesser sa fellation.

Alors Lisbeth… Dis à ton voisin à quel point tu aimes sa queue et que tu veux le sentir jouir dans ta petite bouche ?

Je viens presser mon gland contre son anus, pour lui faire comprendre que si elle ne dit pas ce que je viens de lui demander, je ne la prendrais pas. Une fois qu’elle a satisfait ma demande, je mets à rire, et j’appuie sur sa tête pour lui faire engloutir à nouveau le sexe de l’adolescent. J’enclenche le vibro qui bouge à l’intérieur de son vagin à la position maximal, puis je relâche ses mains pour venir agripper ses fesses avec fermeté. Mon gland se met à pousser contre son orifice avant de s’y engouffrer, puis d’un coup de bassin puissant je fais entrer le reste de ma hampe et je commence à ramoner son anus. Je soupire de plaisir en sentant ses parois si étroites presser contre mon membre imposant, alors que mes bourses commencent à claquer contre son bassin sous la puissance de mes allers et venus.
Titre: Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)
Posté par: Lisbeth le vendredi 24 décembre 2010, 11:50:26
Qu’elle haïssait Franz de lui imposer une telle chose ! Honteuse, Lisbeth suçait son jeune voisin dans l’espoir que l’homme qui la regardait faire viendrait enfin la remplir une nouvelle fois. L’adolescent, lui, ne se posait plus de questions, profitant de ce qui lui était offert : sa voisine. Les doigts de la jeune femme allaient de plus en plus vite dans son cul. Du coin de l’œil, elle vit Franz se lever et venir se positionner derrière elle. Avant de bloquer ses bras, l’empêchant ainsi de se satisfaire elle-même. Gémissant de frustration, Lisbeth sentit rapidement la verge de Franz venir se frotter contre sa croupe. Dieu qu’elle voulait qu’il la prenne ! Mais au lieu de ça, il lui attrapa les cheveux et la força à relever la tête.

Alors Lisbeth… Dis à ton voisin à quel point tu aimes sa queue et que tu veux le sentir jouir dans ta petite bouche ?


La jeune femme ferma les yeux quelques instants. Elle ne pouvait pas… Mais le membre qui coulissait contre ses fesses eut raison de ses réticences. Rouge de honte, elle leva son regard vers le jeune garçon et répéta les mots imposés, humiliée encore un peu plus par Franz. Qui ne tarda pas à l’obliger à reprendre sa fellation, enclenchant dans le même temps la vitesse maximum de son vibro. Sous l’effet du plaisir, Lisbeth abandonna et suça avec ardeur la queue qu’elle avait en bouche. Son cul fut brutalement ouvert, forcé, par le membre imposant de Franz. A chacun de ses coups de boutoir, le membre de son jeune voisin venait heurter le fond de sa gorge. Ce dernier d’ailleurs avait repris les cheveux de Lisbeth pour l’empêcher de relever la tête. Au bord de la jouissance, la jeune femme sentait le sexe palpiter de plus en plus.

*Putain, ça vient ! Avale salope !

Précision inutile, Lisbeth n’ayant pas vraiment le choix si elle voulait que Franz continue à ramoner son cul avec vigueur. Ce dernier d’ailleurs ne se gênait pas pour faire d’elle une vraie chienne lubrique. Son anus la brûlait à force d’être utilisé ainsi et pourtant, ses hanches allaient au devant de Franz. L’adolescent finit par éjaculer dans sa bouche par saccades. Lisbeth n’avala pas sa semence, la gardant en bouche dans l’attente des ordres de Franz. Elle ne cessait de gémir, prenant garde à ne pas perdre le liquide qu’elle avait en bouche, ne sachant pas comment son tortionnaire réagirait si c’était le cas. La jeune femme n’en pouvait plus. Son cul déchiré et sa chatte remplie par le vibro finirent par avoir raison d’elle. Son corps tout entier se tendit brutalement au moment de sa jouissance. Lisbeth n’ouvrit pas la bouche, laissant juste échapper un long gémissement avant que ses jambes ne puissent plus la soutenir, la laissant sans force entre les mains de Franz, sa queue plantée dans son cul et le vibro toujours en marche.