Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Florence Delajoue

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1
Quel plaisir que d'être à ses cotés. Je regarde le paysage défilé avec un sourire qui m'arrive jusqu'aux oreilles tellement je suis heureuse. Alors que nous sortons de la ville, je crois que je passe autant de temps à observer l'extérieur du taxi qu'à lui jeter des regards, cherchant toujours à vérifier que c'est bien elle, que je n'imagine pas. A chaque fois que nos regards se croisent, elle me sourit et moi je rougis en lui rendant son sourire.

Les voitures c'est mal pensée ! A l'arrière il y a un vide entre nous pour que chacune puissions être attachées convenablement. Je me mordille les lèvres frustrées de la voir si loin, comme si maintenant que nous étions ensemble je ressentais le besoin d'être toujours collée à elle. Mon cœur s'accélère quand elle détache ma ceinture et me tire doucement contre elle, visiblement elle a le même besoin que moi. Je me colle à son corps avec le sourire, je pose ma tête sur son épaule, heureuse, enfin à ma place.

Assise au milieu je suis obligée d'écarter un minimum les jambes, une de chaque coté du véhicule. Elle ne dit rien mais il n'y a plus besoin de mots entre nous depuis bien longtemps, le contact de sa main sur ma cuisse, cette main qui remonte tout doucement en caressant ma peau douce est bien plus parlant. Elle caresse ma joue, elle relève ma tête et approche ses lèvres. Je ferme mes yeux pour l'embrasser mais rien … Après quelques secondes j'ouvre les yeux, sans comprendre, elle me regarde, son regard est plein de malice, de jeu, terriblement coquin alors qu'elle est si proche de ma bouche que je sens son souffle chaud courir sur mes lèvres. Sa main remonte sous ma jupe, caressant le haut de ma cuisse avec insistance. J'ai tant envie de ce baiser que je pourrais en pleurer, alors de mes yeux je la supplie de m'embrasser, sans un mot, juste par mon regard, lui communiquant tout l'envie que j'ai pour elle que je vénère, que je n'ai jamais cessé d'aimer comme au premier jour.

En maîtresse généreuse elle m'embrasse enfin, c'est une explosion de douceur et de plaisir qui m’envahit alors que je ferme les yeux. Elle vient jouer de sa langue sur ma bouche, je ne résiste pas et j'ouvre la mienne, trop heureuse de venir danser entamer une danse de nos langues sous les yeux du chauffeur que j'ai oublié. Décidément quand elle est là c'est comme si il n'y avait plus que elle et moi, comme si nous étions seules au monde. Sa main aurait maintenant touchée la naissance de ma culotte si j'en avais mis une, elle poursuit pour vérifier et passe à  travers mon épaisse toison blonde. Je me mordille les lèvres. Mince ! Si j'avais pas oublié ce matin j'aurai pris le temps de retirer tout ces poils, ma maîtresse m'a toujours voulu le sexe lisse comme celui d'une petite fille … Elle le note, je vois bien qu'elle ne l'oubliera pas mais elle préfère continuer à jouer avec mon corps et vient poser se doigts sur ma fente qui s'est humidifiée rien qu'à son baiser.

" Hihi... tu n'as pas mis de sous-vêtements, petite coquine ? "

Je rougis à sa phrase, toujours un peu gênée de l'entendre dire à haute voix malgré tous nos jeux passés. J'entends le hoquet de surprise du chauffeur et tourne la tête vers lui, réalisant sa présence, rougissant un peu plus. C'est pourtant en la regardant elle que je n'hésite pas à lui répondre à haute voix.

« Je sais bien que porter des sous vêtements m'est interdit maîtresse, je ne ferai pas deux fois la bêtise, je suis trop heureuse de t'avoir retrouvé. »

" Le chauffeur n'a pas l'air très convaincu, je crois... ", elle me parle dans le creux de mon oreille, son souffle fait bondir mon cœur, ses doigts me pénètrent par surprise, je lève un peu les fesses alors que sa main possède mon sexe et ne peut retenir un gémissement.

« mmmmhhhhhh », je vois l'homme nous observer presque autant qu'il regarde la route alors qu'elle ajoute.

" Écarte les cuisses, ma chérie, montre lui que tu es une coquine... hihi ! "

« Oui maîtresse »

Je sais qu'il n'a pas entendu les dernières paroles de Mélanie, juste les miennes et je vois bien que deux belles femmes qui s'exhibent à l'arrière de son taxi ce n'est pas pour lui déplaire. Les doigts de ma maîtresse se portent à ma bouche, je viens les sucer délicieusement, profitant plus de la saveur de sa peau que de mon goût, même si c'est ma liqueur qu'elle me donne. Moi je soulève mes fesses, je remonte ma robe à l'arrière, maintenant cul nu sur le cuir du taxi. J'ouvre un peu plus les cuisses, ma jupe déjà haute de la caresse de ma compagne remonte encore. J'observe dans le rétroviseur central et quand on voit enfin ma toison blonde je ne bouge plus. Je baisse les yeux, ma jupe est juste à la limite de mon sexe pleinement exposée dans le rétroviseur mais complètement cachée par le tissu au regard de ma maîtresse. Je dois avouer que lui obéir sans lui montrer à elle mon sexe, qu'elle meure d'envie de voir m'excite encore plus, je sais bien que provoquait ainsi elle va être encore plus joueuse.

« Je ne porte pas de soutien-gorge non plus maîtresse »

« Ohhhhhh »

Le chauffeur pousse une exclamation, ne pouvant plus se retenir, je lui souris et alors sans qu'on me le demande … quoi que elle m'a demandé d'être coquine, alors je désobéis pas vraiment … Je remonte ma main droite à mon sein gauche, je le caresse, presse le téton pour le faire saillir. Je poursuis mon chemin et trouve la bretelle gauche, je m'en empare de deux doigts. Je regarde Mélanie, ma maîtresse, guettant un signe de refus de sa part. Je n'en vois aucun mais je sais que même si elle s'amuse de mon geste, même si elle le désire peut être, même si cela lui apportera du plaisir, elle utilisera peut être celui-ci pour me punir par la suite.

Sous les yeux de cet inconnu, moi qui depuis des années avait vécu sans plus un contact, je descend la bretelle, tire sur le pan de mon vêtement. Sous son regard mon sein se dénude, la belle rondeur blanche d'une poitrine laiteuse. Le tissu accroche à mon téton, le faisant jaillir d'un coup et rebondir quand enfin il décide de se montrer. Je baisse le haut de ma robe jusque sous mon sein gauche, l'exposant entièrement. J'offre dans le rétroviseur la vision perverse d'une femme a demi nu, le sexe offert sous sa jupe, un sein se montrant au soleil, l'autre caché mais dont le téton semble vouloir crever la petite robe d'été qui le cache.

« ggggrrrccchhhhhh … Charlie … tu es là Charlie ? Tu es en course ? …. ggggrrrrccccchhhh »

La radio du chauffeur se met en marche, l'appelant, il la regarde avec surprise comme si elle venait d'apparaître par magie. Il tend la main pour décrocher puis se ravise en nous regardant l'une puis l'autre, comme s'il avait peur que nous changions d'avis. Moi je pose tendrement ma tête sur l'épaule de ma maîtresse.

« gggrrrccchhhhh … Charlie réponds s'il te plaît … », encore un appel qui passe mais la situation semblait figée dans le temps, le malheureux semble ne plus savoir quoi faire, « ggggrrrrccchhhh … bon Charlie si tu m'entends ta mère est passée, elle a déposé ta crème contre tes hémorroïdes … », on entend l'homme à l'autre bout du fil qui commence à rire, « … tu dois avoir le feu au cul là ... », il rit de plus belle, s'il savait à quel point il avait raison il baverait de jalousie au lieu de se moquer.

« ggggrrrrrccchhhhh Je suis avec des clientes là ! Je passe après la course ! Terminé ! », il répond paniqué, l'air penaud, comme si tout le charme venait d'être rompu, comme s'il venait de rater la chance de sa vie, éteignant sa radio maladroitement.

Moi étrangement, même si je n'ai pu m'empêcher de rire, la situation est drôle quand même, ça me l'a rendu plus sympathique. Je suis surprise que ce grand gaillard de bien 40 ans, peut être plus, vive encore chez sa maman, ça a un coté mignon … Faut dire que je compte pas l'épouser aussi, juste jouer peut être avec lui sous les ordres et le regard de ma sublime maîtresse ...

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Les alentours de la ville / Re : El Palacio De La Playa (~ Pupuce ♥ ~)
« le: mercredi 29 mai 2013, 09:18:02 »
Driiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnggggggggg !

Ma main s'abat lourdement sur le réveil alors que je pousse un grognement exaspéré, j'étais si bien au pays des songes. Je m'étire sur le sous drap blanc de satin, doucement le crissement du tissu accompagne le mouvement de mon corps. Je baille en souriant, heureuse comme je ne l'ai pas été depuis longtemps. Je me redresse d'un coup en sursaut, le drap chute laissant ma poitrine nue, exposée au courant d'air frais du petit matin, qui, joueur, entre par la fenêtre ouverte et tourne dans la pièce.

« Maîtresse ? »

Ma voix est timide, fragile, un brin suppliante alors que je regarde tout autour de moi, cherchant désespérément quelqu'un dans cette chambre vide. Je remonte le drap et le tenant plaqué sur mes seins je me lève. Au sol, seulement mes vêtements éparpillés au sol. J'avance vers la porte de ma chambre, la fixant avec l'espoir de voir Mélanie apparaître le sourire aux lèvres. Quand enfin je la passe, il n'y a que mon salon éclairé par la lumière du soleil, mon salon désespérément vide.

« Maîtresse? »

J'appelle une fois de plus, l'espoir seulement remplacé par la peur de l'absence. D'un pas hésitant, craintif, je me glisse jusqu'à la cuisine. Je veux croire qu'elle est là, préparant un petit déjeuner pour reprendre des forces après des retrouvailles digne du plus beau des rêves. Mais je sais bien avant de passer le seuil de la porte qu'elle n'est pas là, je ne sens pas l'odeur des crêpes, elle a toujours aimé les crêpes et faire sauter celles-ci dans les airs.

« Maîtresse ... »

La cuisine est vide … je me laisse glisser le long de l'encadrement de la porte, le carrelage est froid sous mes fesses mais c'est mon cœur, prisonnier d'un linceul de glace qui me fait souffrir. Je pleure comme une enfant, les vrais pleures de douleurs, ceux qui ne peuvent laisser personne indifférent. J'ai l'esprit encore brumeux du réveil mais je sais maintenant que ce n'était qu'un rêve, un rêve que je désirais tant, un rêve si fort que j'ai cru que c'était la réalité, j'ai cru enfin avoir retrouvée celle qui est tout pour moi, ma belle Mélanie.

Je perds la notion du temps ainsi secouée de sanglots, et quand finalement plus j'ai versé toutes les larmes de mon corps je reste encore là, à chouiner en silence. De l'extérieur j'entends mon voisin qui sifflote sur son balcon. Tous les week-ends, sur les coups de 10h, monsieur Tanaka sort profiter de l'air frais en lisant son journal. Comme si cela venait de me rappeler que la vie continue, je me lève et me traîne jusqu'à la salle de bain pour me doucher. Je frotte mon visage pour faire disparaître les traces de mes pleurs, je laisse couler l'eau sur mes cheveux d'or, sur ma peau, comme si elle pouvait emporter au loin ma peine. Mais quand je sors et que je me regarde dans le miroir je vois que je ne fais pas illusion, ce n'est pas la joie qui éclaire mes traits.

Je claque mes joues pour leurs donner un petit teint rose, un air plus frais, je sèche mes cheveux avant d'enfiler un peignoir et de sortir sur le balcon. Quand il entend ma porte fenêtre s'ouvrir monsieur Tanaka lève la tête de son journal. Mon voisin est un homme charmant d'une cinquantaine d'années, veuf depuis presque 3 ans maintenant. Sa femme est morte de maladie et a laissé un homme bouleversé qui commence à peine à se remettre. Il me sourit, je dois être l'une des rares personnes à qui il parle encore, pourtant c'est un très bel homme malgré son âge, il est vrai que certains hommes gagnent en prestance en vieillissant, monsieur Tanaka est l'exemple parfait.

« Bonjour mademoiselle Delajoue, comment allez vous aujourd'hui? »

« Je vous ai déjà dit de m’appeler Florence, je vais bien et vous ? »

« Je suis d'une époque où cela ne se fait pas d'appeler les dames par leurs prénoms vous savez. », me dit il avec un sourire charmant, un homme galant comme on en fait plus, « Je vais bien merci, mais vous êtes sur que tout va bien ? Vous avez l'air triste ... »

« Oh ce n'est rien … j'ai fait un rêve qui avait l'air si réel que je suis un peu déçu qu'il ne soit qu'un rêve ... », dis je en diminuant l'ampleur de ma déception.

Mon téléphone se met à jouer une mélodie et je me fige en regardant mon voisin, je n'ose plus bouger. Il remarque bien mon drole de comportement et repli son journal, se penchant en avant un peu inquiet.

« Tout va bien mademoiselle Delajoue ? »

« C'est mon téléphone », dis je simplement.

« Vous devriez aller voir alors, c'est peut être important »

« Vous avez raison »

Et comme une automate je rentre dans mon salon, m'approche de la table basse. Je n'ai pas rêvé … cette musique … la première chanson sur laquelle Mélanie m'a embrassé … comme cela pourrait être un hasard. Je ramasse mon téléphone, j'appuie sur le bouton, l'écran s'éclaire et m'indique que j'ai un nouveau message de « Maîtresse ». Je tremble de nouveau, j'ai peur mais de nouveau espoir, je déverrouille comme je peux pour voir ce message. Sur la droite la photo de l'expéditeur, ma belle Mélanie exactement comme je l'ai vu en rêve, à coté un simple texte.

J'arrive bientôt. J'espère que ma petite chienne est prête ? Bisous <3 

« HHHHHHHHHHHHiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!»

Je pousse un cri de bonheur, un cri de joie. Dehors j'entends la chaise longue poussée en arrière et monsieur Tanaka qui enjambe la rembarde de nos balcon pour venir voir ce qui m'arrive.

« Tout va bien Florence ? »

Dans l'inquiétude il a prononcé mon prénom pour la première fois mais je ne le remarque même pas. Moi je sautille dans la pièce comme une ado qui apprend qu'elle va voir le concert de son idole. Je n'ai pas rêvé ! Ce n'était pas un rêve ! J'ai bien retrouvé ma Mélanie hier ! Tous mes souvenirs remontent comme une vague. L'infirmerie du lycée, Keinichi, le repas qu'on a été faire ensuite, le passage aux toilettes … Elle a mis son numéro dans mon téléphone juste avant de me déposer et a pris une photo d'elle pour l'associer au contact « Maîtresse » qu'elle venait d'ajouter à mon répertoire. Elle m'a embrassé tendrement avant que le taxi ne me dépose chez moi, me disant de me reposer, qu'elle m'emmenait en week-end.

« Mademoiselle Delajoue ? »

« HHHhhhhhhiiiiiii !!!!», je me précipite pour serrer dans mes bras monsieur Tanaka, « Je n'ai pas rêvé ! Elle est revenue ! Elle est revenue ! », dis je en sautillant sans le lâcher, mon corps se frottant au sien, « Je dois me dépêcher elle arrive ! »

Je m'arrête, je m'écarte et regarde mon peignoir, soudain c'est la panique, elle arrive et je ne suis pas du tout prête, on part en week-end et je n'ai même pas préparé une valise !

« Vite ! Vite ! Vite ! Je dois me préparer, m'habiller, me coiffer, faire ma valise ! »

Alors que je parle je retire mon peignoir sans réfléchir et lui donne. Il tousse et rougis en me découvrant nue sous ses yeux. Moi je ne perds pas une seconde, je me retourne et c'est une vraie petite tornade qui s'active dans la maison. Je jette une valise sur ma table basse et je commence à y mettre mes affaires. D'abord les sous vêtements, des ensembles de lingeries fines … Je m'arrête, je les regarde en les tenant à bout de bras et avec un grand sourire je les jette par terre.

« J'en ai plus besoin, ça c'est interdit maintenant »

Je me parle à moi même et toute à mes pensées je n'entends pas l'exclamation d'étonnement de mon voisin, qui toujours sur mon balcon me regarde courir partout, mes petites fesses se dandinant, mes seins balotants librement. J'adapte rapidement ma valise à ce que ma Maîtresse attend de moi, des tenues légères ou moulantes, des hauts courts ou des chemisiers a demi, voir complètement transparent et enfin une belle robe de soirée au dos nu et au décolleté provoquant. Je complète bien évidement le tout avec mon maquillage, ma trousse de toilette et ma brosse à cheveux. J'enfile une robe d'été à bretelles qui met bien en valeur mes seins et s'arrête à mi-cuisse, le tout bien entendu sans culotte ni soutien-gorge.

Ttttttttuuuuuttttttt – Tttttttttuuuutttttt

« J'arrive ! »

J'enfile en sautillant mes chaussures, cherchant à enfiler mes sandales tout en allant à la porte quand j'entends le klaxonnement, certaine que c'est le taxi de ma maîtresse qui m'appelle. Je claque la porte sans un dernier regard chez moi, sans voir le pauvre monsieur Tanaka sur mon balcon, devant la porte fenêtre du salon, complètement médusé, mon peignoir dans les mains. J'appuie sur le bouton de l’ascenseur frénétiquement, trop long, je ne peux pas attendre. Je dévale les 5 étages qui me sépare du rez de chaussée et déboule comme une furie dans le hall. Je passe la porte et je la vois enfin, elle est là, debout à coté de la portière du taxi. Je laisse ma valise au chauffeur et je viens l'embrasser en fermant les yeux. Le baiser est délicat, long, doux, des larmes de joie m'échappent tant je suis heureuse de la retrouver, de ne pas rêver.

« Je suis heureuse de te voir », elle se penche à mon oreille pour ajouter sensuellement, « ma petite chienne », et j'en frissonne de plaisir.

« Moi aussi maîtresse ! »

Elle me sourit et se pousse pour que je monte la première. Surprise je m'avance et elle me claque les fesses au passage, m'arrachant un gémissement de contentement. Je m'assoie sur la banquette, elle s'installe à coté et une fois nos ceintures bouclées, elle pose une main possessive sur ma cuisse. Mon dieu ce que le contact de sa main sur ma peau, sa présence à mes cotés est merveilleux. Le chauffeur regarde dans son rétro, il a un sourire, il doit penser qu'il va profiter de la situation pendant le trajet, mais avec ma délicieuse Maîtresse difficile de savoir ce qu'elle a en tête ! Enfin la voiture se met en route, nous voilà partis pour un merveilleux week-end !

[HRP] Pour mieux imaginer voici la robe [/HRP]

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Pour ceux qui nous suive la suite est ici ! http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=11423.0

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« Ma maîtresse te fait cadeau de mon corps pour ta première fois, je suis comblée de lui faire ce plaisir. », dis je en abandonnant à regret le sexe de Mélanie pour devoir répondre à Keinichi.

Il était normal vu son jeune âge et certainement parce que cela devait être sa première fois qu'il se pose des questions, en temps normal j'aurai sûrement adorée jouer avec lui et partager son trouble avec ma belle maîtresse, mais cette fois je ne pensais qu'à nos retrouvailles et à la femme que j'avais devant moi. Je n'avais d'ailleurs pas quitté amoureusement du regard ma belle en répondant, pour lui montrer que c'était bien moi, que j'étais la même, en plus âgée et plus belle, ayant pris presque deux tailles de bonnets en 6 ans.

« mmmppppffff »

Je poussais un gémissement étouffé par le sexe de ma maîtresse quand le jeune homme me pénétra. Était ce mes mots qui l'avait excité ou vexé ? Je ne saurais le dire mais c'est avec force qu'il commença sans attendre à faire des allers et retours dans mon sexe chaud et palpitant. Dire que j'étais excitée aurait été bien loin de la vérité, ce n'est pas un vagin humide dont il venait de s'emparer mais d'un écrin dont des flots de plaisirs s'échappaient, maculant le sol des traces de mon plaisir.

Une fois la vague de plaisir passée, une fois que ma tête cessa un instant de tourner, cela faisait si longtemps et en présence de ma Mélanie en plus, je plongeais à mon tour mais ce fut ma langue qui put à loisir entrer dans le sexe de ma maîtresse. Une larme de joie s'écoula de nouveau alors que je retrouvais le goût intime encore plus fort, encore plus suave que dans mes souvenirs. Jamais rien n'avait eu sur terre meilleur goût que le sexe de ma maîtresse et aujourd'hui j'avais la chance de m'en régaler à nouveau. Ma langue tournait pour recueillir les précieux sucs qu'elle venait ensuite déposer dans ma gorge, à chaque fois un soupir de contentement s'élevait de mes lèvres.

Tout ceci aurait été d'une douceur infinie, moi chouchoutant ma maîtresse, ses mains douces caressant mon visage délicat, mes cheveux soyeux. Mais le jeune homme lui ne voyait pas la douceur du moment, il vivait une scène digne d'un de ces mangas érotiques dont il raffolait. L'infirmière sexy du lycée se révélant être une maîtresse sado-masochiste et pour couronner le tout elle avait en soumise la prof d'art plastique dont les grosses miches faisaient fantasmer tous les garçons de sa classe et des autres ! C'était bien trop pour qu'il soit doux, alors c'est par des assauts furieux qu'il me prenait, là, à quatre pattes entre les cuisses de Mélanie. Dans la pièce résonnait le son de ses hanches claquant sur mes fesses et de mes seins ballottant sous moi, claquant l'un contre l'autre.

Cela faisait bien trop longtemps que je rêvais de ce moment, du moment où je retrouverais Mélanie. Découvrir qu'elle avait toujours espérée me retrouver et sentir le plaisir qu'elle avait à m'avoir retrouvée m'avait encore plus excitée. A ma grande honte c'est moi qui jouit la première, me contractant et poussant un long cri de plaisir. Mon sexe se contracta sur la verge de Keinichi, mes muscles semblant vouloir attirer le sexe plus profondément en moi. Surpris le garçon tira en arrière en jouissant de longues lignes venant maculer mes fesses et mon dos sous les yeux de Mélanie. Je regardais ma maîtresse le visage couvert de se cyprine en souriant, j'avais certes jouis la première mais j'avais semble-t-il donner la libération à mes deux amants qui avait jouit juste après moi.

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« hhhiiiiiii »

Sous la surprise et alors que la discrétion serai plutôt de mise dans une telle situation je pousse un petit cri de panique alors que Mélinda m’attrape et me tire en avant. Sa force est bien plus grande que la mienne, je n'ai aucune chance de résister. Je bute sur son pied et m'écrase lourdement sur mon bureau. Passé le choc j'ai le réflexe de vouloir me relever mais ma jeune élève me saisit d'une main à la nuque et me plaque la joue contre le bois. Une seule main lui suffit à me maintenir dans cette position alors que je prend appuie de mes deux mains pour pousser et me dégager.

« hhhooouuuummm »

Rien à faire je suis coincée, complètement à sa merci. Je frémis et sursaute de surprise quand je sens sa main qui caresse la peau nue de mes cuisses. Ma jupe a du remonté laissant maintenant voir mes bas et les attaches de mon pan de jarretelles jaune … Je ne devrais pas mais sa main me fait trembler d'envie après tant d'années à me caresser seule … cette petite effronté va même jusqu'à glisser sa main sous ma jupe, remontant et dénudant mes fesses dans la jolie culotte jaune de dentelle qui les pare. Je me mordille les lèvres pour ne pas gémir alors qu'elle se saisit d'une et la serre pour tester le moelleux de mon postérieur.

« Je crois que tu n’as pas tout compris, ma chérie... Alors, je vais essayer d’être très claire... »

Oh si j'ai parfaitement compris, c'est elle qui ne sait pas sur qui elle est tombée … je me demande si elle a réellement senti une prédisposition chez moi ? Se doute-t-elle que j'ai déjà été une chienne par le passé ? Sa main se fait plus ferme sur mon cul et malgré moi j'en tremble de nouveau de plaisir comme à l'époque.

« Tu es une petite chienne..., *Si elle savait ...*,  Ma chienne *ça reste à voir ça*. Depuis quand les chiennes décident-elles de leur libre-arbitre, hum ? *Là elle a pas tort* Nous en aurons terminé quand je le déciderai ! *Elle commence à vraiment me plaire ...*»

« hhhiiiiii »

Un autre cri de surprise quand sa main s'abattit sur ma croupe, ce n'était pas la première fois mais je ne m'y attendais pas. La vampire pu éprouver le rebondi de mon cul, la main amortie par cette rondeur tendre alors que ma peau se mit à me chauffer fortement. Je tentais de me dégager de son emprise ce qui ne dut pas lui plaire car elle me fessa une seconde fois.

« hhhuuuuuummm »

Cette fois il ne pouvait y avoir de doute c'est un gémissement de plaisir qui s'échappa de mes lèvres … Je n'avais pas souvent été fessé, Mélanie ne comprenait pas pourquoi j'aimais cela, je ne saurais pas le dire, mais le second coup venait de réveiller en moi un plaisir inavouable, si bien que je cessais de me débattre et me dandinait maintenant sur mon bureau, remuant et tendant mes fesses à Mélinda comme pour en quémander encore plus.

« Et ne m’appelle plus Mademoiselle, petite chienne. Maîtresse ira très bien. Si tu as bien compris ton rôle, lèche-moi le pied, comme une bonne petite chienne. »

Une fessée de plus et elle m'aurait sûrement vaincue, je me serais jetée à ses pieds sans réfléchir, mais elle ne me connaissait pas encore assez. Il ne suffit pas de se dire maîtresse et chienne pour que cela marche, il faut une connaissance réciproque l'une de l'autre qui passe par un long dressage. Je me retourne hésitante, regardant Mélinda qui a un air stricte mais toujours le sourire aux lèvres. Je jette un œil à la porte me demandant si je ne ferais pas mieux de m'échapper encore, si j'accepte je sais qu'il n'y a pas de retour en arrière possible. J'ai envie de la vie qu'elle me propose et en même temps j'ai peur de ne plus être à la hauteur. Quand mon regard croise de nouveau le sien je n'ai plus d'hésitation, si elle sourit encore il y a quelque chose de menaçant dans son sourire, visiblement mon hésitation l'agace. Je comprends qu'elle ne me propose rien, elle a décidé et le fera avec ou contre ma volonté.

Je me laisse alors tomber sur mes genoux, ma jupe troussée remonte sur ma taille et je pose mes fesses sur les talons de mes escarpins. Je lève les yeux, je rougis, elle me domine de toute sa hauteur et son sourire exprime de nouveau le ravissement, elle me tend son pied droit. Je le regarde chaussé du petit soulier qui va avec l'uniforme. Les vieux réflexes reviennent vite, je le prend pour le soutenir de manière à rendre sa position plus confortable. Je me penche et me plie pour aller jusqu'à son pied et non pour monter son pied jusqu'à moi. Je sors ma belle langue rose pour que ma maîtresse puisse bien la voir œuvrer, je l'approche de la chaussure quand …

« Drrrrrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnggggggggggggg »

« Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! »

La sonnerie annonce la fin de l'heure de colle, j'étais si proche de faire ce qu'elle venait de me demander que je crie de frustration. La pire des choses à faire en ce moment, déjà les élèves qui sortaient dans le couloir s'interroge des bruits de pas se dirigent vers la salle. La porte s'ouvre et une élève rentre en demandant ce qu'il se passe.

« Tout va bien ? Qu'est ce qui se passe ? Mademoiselle ? »

« hhhhhiiiiiii ! Enlevez là ! Mélinda enlevez là ! Vous la voyez ? Je la sens qui courre sur ma peau ! Pitié Mélinda j'ai horreur des araignées ! »

Je commence à sautiller partout sur place, passant mes bras sur mon corps, sur mes bras, mes mains dans mes cheveux, sur mes fesses. C'est à la fois très crédible et en même temps en vilaine femme que je suis je m'amuse à échauffer Mélinda en venant caresser mes seins devant ses yeux et ceux de l'élève. Derrière elle des camarades arrivent lui demandant ce qui se passe. La gentille fille claque la porte et la verrouille restant avec nous dans la pièce.

« Une araignée a glissé dans le chemisier de Mademoiselle Delajoue, entrez pas elle … elle l'a enlevé ... »

« Wouah ! Laisse nous entrer ! Tu peux pas nous faire ça ! »

Les garçons de l'autre coté râlent à l'idée de me savoir en soutien gorge sans en profiter. Moi finalement ça me flatte et m'amuse comme situation, maintenant à ma maîtresse de gérer et nous sortir de là. Je regarde Mélinda et rougis même si je ne lui ai pas encore dit ce petit bout de femme vient de me faire penser à elle comme ma maîtresse, voilà ma décision est prise. Alors que l'élève discute avec les garçons et que je poursuis mon manège je glisse un petit « Wouf » presque inaudible à moins que ce ne soit vraiment une vampire ...

6
Son regard … au mon dieu son regard … il y a maintenant dans ses yeux une lueur prédatrice, j'ai l'impression d'être une souris coincée dans un coin de la pièce par un chat qui se demande comment il va pouvoir se distraire avec … Son sourire … son sourire s'étire sur son beau visage adolescent mais il exprime déjà les nombreuses idées qui traverse sa petite tête … Ses dents … ses dents ?! Comment ? Qu'est ce que? Ses canines ressemblent à des crocs prêts à être plantés pour déchirer, un frisson d'inquiétude alors que sa voix si douce se fait entendre, devenu bien plus ferme.

« Si je suis venue ici, petite humaine, c’est parce que j’ai appris que tu me collerais... Et, comme tu es physiquement plus intéressante que ce vieux débris que j’ai en maths, je comptais me soulager avec toi... Mais j’avais négligé de voir que tu n’étais pas qu’une belle enveloppe, mais aussi une femme très... Intéressante. »

« Merci », je lui réponds de nouveau sans réfléchir comme si elle m'avait hypnotisé, rougissante alors qu'elle m'avoue son attirance pour moi mais aussi des choses plus humiliantes comme son envie de se soulager en m'utilisant.

« Cette fille est une version faiblarde de moi-même, et la prof’, c’est toi... Ça, je pense que tu l’as compris. »

« Oui … la prof … c'est moi ? »

Je ne sais même pas pourquoi je pose la question, peut être pour me rassurer vis à vis de la suite, elle parlait d'amour dans son histoire. Mon cœur se serre et je frissonne alors que ses jambes viennent frôler mes jambes. Je suis obligée de continuer à lever les yeux pour regarder celle qui me domine déjà de sa hauteur. Pourrais je me lever ? Je ne sais pas, je n'en ai pas l'idée … à moins que ce ne soit simplement l'envie de me lever que je n'ai pas ou la peur que cela brise l'élan de ma compagne … Ai je tant envie de retrouver ma vie passée que je suis prête à me donner à la première venue ? Non, depuis toutes ses années personne ne m'a parlé comme elle le fait maintenant, personne n'a eu l'audace de prendre le dessus sur moi.

« J’existe depuis plusieurs siècles, ma petite perle... Je ne suis pas vraiment une humaine, et je m’estime même supérieure à vous. Partant de là, il m’est très difficile de reconnaître l’autorité et la légitimité d’individus comme toi, ma beauté. Je suis une vampire... Mais rassure-toi, je n’ai pas prévu de boire tout ton délicieux sang. »

Une vampire ? Si l'air n'avait pas été si lourd, si il n'y avait pas eu une ambiance dans la pièce je crois que j'aurai ris aux éclats. La génération Twilight, c'était quelque part de son âge de penser ce genre de chose, ça devait lui donner du courage d'y croire, après tout il doit en falloir pour tenter de cette façon face à sa sensei de presque 10 ans son aînée.

« Je peux sentir ton excitation sanguine, ma petite puce... Alors, il t’est inutile de me mentir. Tout comme je sais quel mot tu comptais dire à la place de ‘‘mademoiselle’’... Je pensais simplement te violer et boire une partie de ton sang en venant ici, mais... Je pense plutôt te dresser, et faire de toi une bonne petite chienne... Toute la question est de savoir si tu préféreras la manière douce ou la manière forte... »

J'isolais les parties intéressantes de ses phrases tout en me demandant si je devais faire semblant de croire à son histoire de vampires ou pas. J'étais troublée, avait elle réellement compris la faut de langage que j'avais failli faire ? L'entendre me parler de dressage comme Mélanie avait pu le faire par le passé me troublait réellement, tant que je du serrer les cuisses sous la chaleur qui gagnait mon bas ventre.

« Alors ? »

Elle me dominait de toute sa hauteur mais elle était encore jeune. Elle me demandait de choisir, à quelle chienne demande-t-on comment elle souhaite être dressée ? La déception traversa un instant mon regard, elle aurait pu me proposer tant de chose pour commencer mon dressage sans me demander mon avis que j'en restais silencieuse. Elle avait du potentiel pourtant, il n'y avait qu'à voir son allure, son charisme et la force qui se dégageait. De plus son odeur me plaisait, elle était si proche que je pouvais clairement la sentir, le contact de ses jambes et de devoir lever la tête vers elle m'excitait. Une élève du lycée ça a quelque chose de plus pervers encore peut être devrais je essayer de la guider ? Avant que je ne puisse répondre la porte de la salle s'ouvrit et un surveillant entra.

« Qu'est ce qui se passe ici où est mademoiselle Delajoue, je te préviens Mélinda si tu as encore ... »

« Je suis là ! », je saisis la main de Mélinda et me relevais, « Merci de m'avoir aidé à me relever mademoiselle Warren », je me tournais vers le surveillant, « Qu'y a-t-il ? », ma voix était sèche, agacée, ce qu'il interpréta comme une difficulté avec la terrible élève alors que j'étais énervée qu'il nous interrompe mais aussi et surtout qu'il ose menacer ma maîtr...

« Quand j'ai su que Mélinda était collée je suis venue voir si tout se passait bien »

« Tout va très bien, mademoiselle Warren est adorable, je vous prierai de lui montrer plus de respect en l'appelant par son nom, je n'apprécie pas particulièrement que l'on fasse irruption dans ma salle pour manquer de respect aux élèves sous ma responsabilité et à moi même par la même occasion, que cela ne se reproduise plus »

« Je suis désolée mademoiselle Delajoue mais ... »

« Il suffit vous viendrez me voir demain matin en salle des professeurs si vous avez besoin de vous justifier veuillez sortir et fermer la porte. », penaud l'homme ferma la porte et s'éloigna à grand pas. A toute chose malheur est bon, ce petit interlude m'ayant permis de reprendre un peu de contenance.

« Je suis désolée maîtr... », et mince faut que j'arrête cette faute de mot, tout assurance gagnée perdue pour une petite faute, « mademoiselle Warren, je crois que nous devrions en rester mais en reparler une autre fois »

Je commençais à ramasser mes affaires sans qu'elle ne réponde, la pauvre, elle a du perdre tout le courage nécessaire à sa première tentative. Je me retournais et fis un pas pour partir quand le froid caressa ma peau. Je baissais les yeux pour découvrir mon torse nu, ne portant plus que mon soutien gorge jaune à dentelle. Je me retournais perplexe et me figea de surprise.

« Comment ? »

Dans la main droite de Mélinda ma veste et mon chemisier, elle venait de me les arracher avec tant de force que je n'ai rien senti. Son regard me réduisit au silence, avalant ma salive de peur et d'une excitation renouvelée d'un coup. Sous le regard de la vampire mes seins généreux, le galbe bien rond dans un joli soutien gorge même s'il n'avait rien de très sexy, un début de petit ventre, un petit manque de sport après tout ce temps passé seule j'avais fini par me laisser un peu aller ...

7
« D’accord, sensei. Ça ne devrait pas être long. »

« Prenez votre temps, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation »

Lui dis je en lui rendant le beau sourire qu'elle venait de me faire. Si tous les élèves collés de ce lycée était comme celle-ci l'année aller vraiment être des plus tranquilles. En retournant m'asseoir à mon bureau l'impression que c'était juste une gentille fille qui avait était un peu distraite c'était renforcée, d'ailleurs il n'y avait qu'à voir avec quel énergie elle travaillait maintenant. Le son du stylo grattant sur la feuille de papier était le seul bruit que l'on pouvait entendre au milieu du silence de la salle. N'ayant rien à faire je regardais la jeune élève travailler, elle avait un air sérieux et concentré des plus charmant, appliquée tout entière à la rédaction de son devoir. Le temps passa et je commençait à la détailler plus finement, la rondeur de ses joues encore adolescente, le doux bruissement de ses longs cheveux bouclés, ses yeux vert émeraude dans lesquels brillaient parfois une lueur de malice.

« J’ai fini. Pourriez-vous le lire, et me dire ce que vous en pensez, senseï ? Je ne tiens pas à rendre un devoir qui n’offrirait pas à mon senseï entière satisfaction. »

Je sursautais à sa demande, non seulement parce que je ne pensais pas qu'elle puisse finir le devoir aussi vite mais aussi parce que mon esprit s'était légèrement égaré. Mélinda était une belle jeune fille et l'espace d'un instant j'avais imaginé que c'était elle et non Mélanie avec qui j'avais eu un passé des plus coquins. J'en devins malgré moi rouge pivoine et bredouilla une réponse.

« Bien … bien sur, je pensais te … vous le proposer maît … mademoiselle Warren »

Je prie la feuille en fermant un instant les yeux pour me reprendre. Il faut que j'arrête de fantasmer ainsi quand une femme est à mon goût, du moins que j'arrête quand il s'agit d'une jeune élève que je ne connais même pas ! Ramenait trop durement à la réalité j'ai même failli l'appeler maîtresse ! J'ouvre les yeux et me concentre. Surprise je plisse les paupières, j'ai entre les mains une rédaction et non un devoir de mathématique. Je lisais le titre « Les Fruits de la Passion »

« Je ne crois pas que ce soit ce que votre professeur attend comme ... »

Tout en parlant je lisais la suite machinalement et me trouvait troublée dès le départ. Une jeune femme, le décolleté de sa prof, instinctivement je baissais les yeux sur mon décolleté et la rougeur à mes joues n'en diminua pas. J'avais complètement oublié qu'avec la chaleur j'avais ouvert mon chemisier pour mieux respirer, voilà qu'en effet j'offrais un décolleté fort prononcé mais est ce de moi qu'elle parle pour autant ? Que devais je faire ? Si j'en venais à refermer mon haut c'est comme avouer que je suis en tenue indécente, pouvais je rester ainsi ? Je levais les yeux et à ma grande surprise son regard était gourmand en regardant mes seins. La chaleur à mes joues se propageant à mon entrejambe et je me mis à me dandiner un peu mal à l'aise sur ma chaise.

Le premier chapitre ne m'aida pas à calmer mon émoi, bien au contraire. Si quelques détails pouvaient laisser penser qu'il s'agissait d'une autre femme, notamment le fait que je porte bien souvent des shorts plutôt que des jupes, les descriptions de la frustration et des caresses que la jeune rêvait de prodiguer firent jouer mon imagination. Était ce à cause de ma longue abstinence ? Pourtant depuis des années très peu de choses avaient su réveiller en moi l'envie. Ou bien était ce parce que je venais de l'imaginer dans ma vie juste avant que l'idée de sentir ses mains sur ma peau, ses lèvres sur mes seins, ses dents sur mes tétons me fait frémir devant la demoiselle ?

Le second chapitre semblait confirmer qu'il s'agissait bien d'une autre femme. Je n'avais jamais vu la demoiselle avant aujourd'hui donc elle ne pouvait pas raconter un passé commun … en même temps les cours ayant commencé depuis juste deux mois il n'y avait pas encore vraiment eu de contrôle, il était tôt pour que les notes de quelqu'un aient chuté et que les enseignants convoquent les parents, je l'aurai su si ça avait été le cas, en salle des profs c'est une vrai cour de récréation tout se sait. Était ce donc un futur qu'elle envisageait déjà ? En effet les réactions décrites sont des plus plausibles, une vraie enseignante se doit d'être ferme et de refuser de telles avances, pensais je en me mordillant la lèvre inférieur, signe de trouble instinctif que je n'ai jamais réussi à combattre.

Le dernier chapitre était des plus mignons, la fraîcheur de la jeunesse. Penser qu'il suffit simplement de le dire pour que l'amour s'épanouisse. Je ne pus m'empêcher de sourire à cette pensée avant de rougir et me mordiller de nouveau la lèvre. Une image en flash traversa mon esprit, la jeune Mélinda nue sur mon bureau, ses cheveux en sueur, ses seins pointus brillant de transpiration, moi à genoux devant le bureau, une main caressant son ventre, l'autre caressant l'intérieur d'une cuisse alors que ma bouche dévore la jeunesse de son sexe, ma langue allant goûter la saveur la plus intime de la jeune fille en plongeant entre ses chairs délicates.

« On t’a déjà dit que tu avais de superbes seins ? »

Je sursautais de nouveau surprise par la demoiselle, revenant à la réalité de la situation, sans réfléchir, parce que je revenais du pays des rêves je répondis.

« Oui »

Mes yeux s'arrondirent en réalisant ce que je venais de dire, ce que venait de dire la lycéenne et la façon dont elle l'avait dis. Passant au tutoiement nous ramenant à un plan d'égalité. Étant son professeur, une adulte, et même si tout ceci avait quelque chose de tentant je me devais de résister et  de la remettre sur le droit chemin.

« Mademoiselle je ne sais pas ce qu'est ceci et si c'est une mauvaise plaisanterie ... »

Devant lever les yeux pour lui parler je décidais de me lever pour reprendre un avantage. Poussant ma chaise de mes genoux en m'appuyant sur le bureau, je fut surprise de la force que je sentis qui le maintenait en place. Mes cuisses tapèrent sous la table me déstabilisant.

« Hiiiiiii ! »

Je poussais un petit cri de surprise alors que je me sentis basculer en arrière, mes fesses tapèrent le bord de ma chaise qui glissa sous moi. Avant que je comprenne ce qui venait de m'arriver j'étais assise sur le sol, le cul me chauffant du dur impact que je venais de subir. Je relevais les yeux et trouvais Mélinda à coté de moi, debout, avec un regard gourmand et calculateur, avec une note de plaisir brillant dans les yeux qui me rappela une nouvelle fois ma Mélanie … j'avalais ma salive n'osant bouger à cet instant ...

8
Assise dans cette salle de classe vide depuis déjà une bonne heure je me demandais si je subissais une sorte de bizutage de mes collègues. Je n’avais jamais entendu parler de séances de retenus où il n’y avait personne de coller pourtant je venais d’en vivre une. Etrangement cela me donnait presque l’impression que c’était moi l’élève que l’on venait de punir et que je ne devais pas sortir même si personne me surveillait. Ayant été avertie le matin même je n’avais pas eu le loisir de m’organiser, ce qui veut dire que je n’avais ni travail de correction à effectuer ni livre pour tuer le temps. Et pour couronner le tout il faisait vraiment chaud dans cette classe ! Le seul avantage que personne ne me tienne compagnie c’est que j’ai pu me mettre à l’aise et déboutonner un peu mon chemisier pour respirer confortablement.

Bon j’en ai assez, je vais pas rester ici comme une cruche une heure de plus alors que visiblement il n’y a personne de coller aujourd’hui ! C’est quand même une bien mauvaise plaisanterie, ça m’apprendra à accepter de dépanner un collègue au pied lever tout ça pour espérer me faire plus facilement accepter ! Je commence à plier mes affaires quand la porte s’ouvre, une demoiselle entre dans la salle tout sourire. Je me lève pour l’accueillir, perplexe, si elle était collée un surveillant l’aurait accompagné et elle n’aurait pas ce petit air enjoué. Plus petite que moi d’un peu plus d’un tête, il faut dire que je suis très grande et que visiblement elle est un peu petite, je suis obligée de baisser les yeux pour voir le papier qu’elle me tend alors qu’elle est obligée de lever les yeux pour me parler.

« Bonjour, sensei, je suis Mélinda Warren, et j’ai reçu une heure de colle à passer dans cette salle »

«Bonjour mademoiselle Warren...», je regarde le papier, ce n’est pas une de mes élèves, «... je suis mademoiselle Delajoue, je vous en prie prenez place»

Je suis partagée entre le soulagement de voir que l’on ne s’est pas moquée de moi, c’est bien jour de colle, le lycée est juste vraiment calme il faut croire, je ne suis enfin plus toute seule ce qui va rendre cette seconde heure plus agréable et en même temps j’étais sur le point de rentrer et de prendre un bon bain pour me détendre et chasser cette sensation de chaleur plutôt tenace.

«Je suis surprise personne ne m’a annoncé votre venue et je vois que vous n’êtes même pas accompagnée ...»

Je dépose le papier sur mon bureau et reviens vers la demoiselle qui a déjà pris place. Elle à l’air d’une gentille fille, visiblement un peu tête en l’air ou paresseuse, l’oubli de faire un devoir, même pour la troisième fois n’a rien d’un crime impardonnable et elle est polie de surcroit ce qui me donne envie d’être gentille avec elle.

«Puisque visiblement ce n’était pas prévue et que vous n’avez fait qu’une petite bêtise je vous propose un marché. Vous faites maintenant votre devoir de mathématique, quand vous aurez fini nous irons ensemble le déposer dans le casier de votre professeur et votre punition sera levée, en espérant que votre devoir ne vous demande pas de longues heures de rédaction»

Je lui souris en lui parlant, réalisant que s’il s’agit d’un devoir maison noté ça va malheureusement surement lui demander toute l’heure. Je doute que ce soit une élève qui ai beaucoup de bonne note, on les trouve vraiment rarement en heure de colle. Pour discuter je me suis penchée en avant, les coudes appuyés sur le bureau de la demoiselle, le menton dans mes mains. Mon chemisier que j’ai ouvert baille de façon impudique offrant une vue des plus agréable sur le sillon mammaire qui plonge entre mes seins dont les balconnets de dentelles jaunes sont un peu visible.

«Alors qu’en dites vous mademoiselle ?»

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Le coin du chalant / Re : Recherche partenaire :)
« le: mercredi 24 octobre 2012, 20:34:12 »
Bonjour à tous ^^


Je up de nouveau, mon partenaire ne donne plus de nouvelles depuis 10 - 12 jours, un souci de connexion seulement j'espère. Cela dit j'ai toujours envie d'écrire, de commencer un sujet peut être même soyons folle d'arriver à le finir cette fois ! Voir même d'en recommencer un autre derrière pour commencer à avoir une histoire :)


Voilà pour qui est intéressé je suis disponible par mp pour de plus ample détail.

Bisous !

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Le quartier de la Toussaint / Re : Souvenirs souvenirs [Florence Delajoue]
« le: vendredi 05 octobre 2012, 08:50:16 »
Celui là ? Non ! Celui là peut être ? A moins que ce soit celui-ci ? Non surement pas ! Et pourquoi pas ? Non non et non il ne faut pas ! Je reposais encore une fois un maillot et soupira. Comment avais je pu me laisser entraîner là dedans ? Je ne vois qu'une seule explication c'est qu'ils ont préparé leur coup et que j'ai été le pigeon de cette histoire … Toujours en soupirant je regardant un autre maillot de bain et le repousse sans même chercher ma taille. Et si ça venait à se savoir au lycée ? Qu'est ce que les gens diraient ? Que je suis la professeur perverse qui pose en maillot de bain pour ses élèves ? Je soupirais une fois de plus et fermais les yeux un instant.

Tout avait commencé il y a une semaine. Les cours ont commencé depuis 3 mois, les élèves ne s'intéressent pas beaucoup au dessin je dois l'admettre, mais j'ai réuni chaque élève avec une fibre artistique et l'envie d'apprendre dans un club d'art qui a lieu tous les jours après les cours. En tout ça ne représente même pas 10 élèves, il n'y a que 4 filles et 3 garçons mais ils sont tous passionnés et volontaire. A l'approche des premiers contrôles important je leur ai proposé de supprimer le club la durée des révisions afin qu'ils se concentrent mais ils ont catégoriquement refusé. Quand j'ai entendu parler des tous premiers résultats dans la salle des professeurs et que j'ai entendu le nom d'un de mes élèves j'ai su qu'on courrait droit à l'échec et je me devais de réagir, alors j'ai décidé de leur en parler.

J'ai annoncé que le club d'art devenait un groupe de travail pour la réussite des examens et que j'allais les aider à réviser. Bien entendu ils ont fortement râler mais je suis restée ferme et je leur ai simplement laisser le choix, réviser ou partir et revenir après les contrôles, ils sont tous restés. Pour autant ce n'était pas du tout gagner, mes élèves n'étaient pas mauvais mais les études ne les intéressaient pas du tout, ils rechignaient beaucoup à la tache et les révisions n'avançaient pas forcément, certain jours j'avais même l'impression que nous reculions quand à notre travail. Un jour une élève finit par me dire que c'était trop dur car il n'y avait pas de récompense à la clef. J'essayais de lui expliquer qu'ils préparaient tous leur futur et que c'était important mais visiblement je ne les touchais pas. Un autre me dit que c'était trop loin, que c'était dur à l'imaginer, qu'il faudrait une récompense plus proche, c'est là que je fus piégée. Je fis la bêtise de leur demander quelle récompense pourrait les motiver. Un silence s'installa et je vis leurs yeux à tous briller, je sus qu'ils avaient déjà la réponse et je sentis un frisson remonter tout le long de mon dos. Ce fut une autre fille qui me dit :

« Vous poseriez pour nous Sensei », je restais un moment surprise mais hochais la tête en répondant.

« Bien entendu si cela peut vous aider à travailler, mais seulement après les contrôles et si tout le monde réussi », je pensais qu'ils allaient pousser des exclamations de joie mais un garçon enchaîna.

« Dans la tenue que l'on veut ? », j'en restais la bouche ouverte sous le choc de ce qu'ils me demandaient.

« Non non il ne faut pas exagérer, je pose pour vous c'est déjà bien », je vis la mine déçue qu'ils eurent tous alors et je sentis mon cœur se serrer mais je devais les empêcher de faire des bêtises.

« Dans ce cas ça n'a pas d'intérêt, si c'est pour que vous portiez la même tenue que d'habitude c'est comme si on vous dessinait maintenant », je fus surprise de la logique de cet argument ou de le trouver logique.

« Bon bon d'accord j'accepte, dans la tenue que vous voulez », cette fois cri de joie et chahut de la classe ce qui me réchauffa le cœur et me flatta, « mais attention il ne faudra le dire à personne et je ne pose pas nue », ils ont beaux être malin je pensais pouvoir facilement m'en sortir en les prenant de vitesse. Je vis bien qu'ils l'avaient espérés mais ce fut une autre réponse qui me surpris.

« Bien entendu Sensei mais nous choisissons alors en maillot de bain et nous vous donnerons l'adresse pour en acheter un », en maillot ? Après tout pourquoi pas c'est mieux qu'en sous vêtements et j'ai un maillot une pièce pour la natation qui est très sage.

« J'accepte, j'ai déjà un maillot ne vous inquiétez pas, pas besoin d'en acheter un »

« C'est à prendre ou à laisser Sensei, un nouveau maillot dans la boutique qu'on a choisi pour vous », je crois que c'est l'espoir que je lisais dans le regard de chacun d'entre eux qui m'a poussé à accepter en pensant que ça ne pouvait pas être bien méchant.

Seulement voilà ils ont tous travaillé ensuite d'arrache pied, je continuais à les aider, à faire des recherches avec eux mais je voyais bien qu'ils travaillaient maintenant après nos séances de révisions et même pendant les pauses déjeuners. Je commençais à m'inquiéter qu'ils réussissent en l’espérant en même temps, j'aimais bien ces jeunes et je voulais les voir réussir et assurer leurs avenirs. Quand les résultats arrivèrent je fus très heureuse de tous les féliciter et c'est avec une joie encore plus grande pour eux qu'ils me remirent l'adresse de la boutique. Me voilà dons ici, à chercher un maillot, dans ce qui est la boutique la plus sexy de la galerie commerciale. Ici l'on vend des dessous chics, transparents, affriolant, des robes légères, courtes, voir très courtes avec des décolleté avantageux ou outrancier suivant les points de vue, des robes de soirées au dos nu dont le découpage doit laisser parfois voir plus que le dos.

Moi je regarde des maillots depuis le début de l'après midi, l'heure de la fermeture approche et je n'en ai encore essayé aucun … Il faut dire que chaque maillot à quelque chose de sexy, limite indécent et que j'ai du mal à m'imaginer porter cela devant mes élèves. Que ce soit la copie du maillot de Borat, deux lanières partant de l'entre jambe, masquant à peine le sexe pour venir passer sur les seins, ne masquant sûrement pas beaucoup plus que mes tétons en passant par le bikini ultra mini, formait de trois petits triangles, une pour chaque sein mais pas assez grand pour le couvrir en entier et un pour le sexe mais qui va demander une épilation du maillot jusqu'au maillot une pièce très échancré sur le coté laissant voir les cotés de ma poitrine et qui de dos est un string ficelle remontant si haut que mes fesses sont entièrement nues, je n'arrive pas à trouver mon bonheur.

« Euh excusez moi...pupu...euh Florence ? C'est toi ? Vilma, l'échange avec Munich au lycée ? Oh je savais que c'était toi ! »

Lorsque je me retournais je me retrouvais nez à nez avec un fantôme de mon passé, comment était ce possible dans un autre pays ? Mais aucun doute possible, je n'avais oublié personne de cette époque de ma vie, encore moins Vilma qui avait vécu chez moi trois mois le temps d'un échange avec ma grande sœur et qui avait pris plaisir à m'appeler Pupuce une fois qu'elle eut découvert notre secret à Mélanie et moi. Elle me fis la bise avant que je ne puisse répondre, j'appréciais sa douceur et le plaisir qu'elle avait à me retrouver, on avait échangée des e mails jusqu'à ce que moi et Mélanie soyons découverte et j'avais alors perdu violemment le contact aussi avec elle, mes parents allant jusqu'à supprimer ma messagerie et tout mon carnet d'adresse.

« Je ne savais pas que tu étais au Japon ! »

« Je … Vilma ? Ça alors ! », j'aperçus sa sœur juste derrière elle avec un landau, « Charlène ? Ça me fait plaisir de vous revoir toutes les deux. », dis je sincèrement en souriant, « Laquelle est maman ? », demandais je curieuse avant de répondre, « Je suis ici depuis 4 mois, j'enseigne les arts au lycée de la ville », je captais le regard sur ce que je tenais en main, deux maillots de bain, je rougis instantanément, « Je prépare un cours sur un modèle humain et les élèves de mon club m'ont indiqué cette boutique pour acheter un maillot, j'allais faire un essayage »

Me revint en mémoire cette séance de shopping avec les deux sœurs, elles adoraient faire du shopping. Elles nous ont surprise avec Mélanie alors qu'elle me faisait essayer des jupes dans une boutique déserte … mais j'essayais les jupes entièrement nue dans le rayon. Je pensais au hasard encore aujourd'hui ne me doutant pas que Mélanie les avaient attiré volontairement sans leur dire bien entendu ce qu'elle trouverai en plus du shopping. Nous avons quitté cette boutique toutes les 4 et nue sous mon grand trench-coat marron je les ai suivi dans un café, Mélanie leur a tout raconté sur notre relation et leur à proposer de participer à l'après midi shopping si elles gardaient le secret. Pendant tout un après midi les trois filles ont joué à la poupée avec moi, me faisant déshabiller en plein rayon pour enfiler et parfois m'enfiler elle même différentes tenues. Pas une fois nous n'avons utilisé les cabines d'essayages si bien que je me sentis obligée d'ajouter.

« Dans une cabine bien sur », je rougis et enchaînais, « et vous que faites vous au Japon ? J'ai vu que tu es devenue une actrice célèbre, tu tournes un film dans le coin ? »

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« L'art est très suggestif, il est vrai que le dessin est une discipline que l'on peut penser plus simple que la sculpture mais à ce titre parce qu'elle est plus abordable aux communs il n'en est que plus difficile de se faire connaître. », dis je en souriant, « Et je vous rassure que ce soit le dessin ou la sculpture aucun des deux ne sont des œuvres d'art, je dis simplement que l'auteur du dessin me semble plus prometteur d'un point de vue talent artistique que le sculpteur, mais dans le fond ce sont tous les deux des adolescents un peu bête ayant fait une bêtise d'ado. D'ailleurs je serais curieuse de voir vos photos montage »

Il pouvait être amusant de voir comment les élèves avaient pu décider de le représenter, était lui qui … ou se faisait il … Je ne posais pas plus la question pour ne pas l’embarrasser ou le vexer et me dirigeais avec lui vers le parking. Il ne fut pas difficile de trouver sa moto, elle était encadrée par une petite foule. Si je comprenais bien que les garçons rêvaient d'une moto et les filles trouvaient sa cool d'être assise derrière un motard je dois admettre que son engin au gris métallisé donnait une impression de puissance même à l'arrêt. J'eus un petit rire alors qu'il chassa les élèves de façon un peu bourru, le coté inspecteur de police refaisait surface, la patience ne semblait pas être son fort.

« C'est une très belle moto que vous avez là », dis je en laissant courir mes doigts sur le cuir de la selle, « elle vous sert aussi comme véhicule de service ? Vous ne portez donc pas l'uniforme ? », était ce le vieux fantasme féminin de l'homme en uniforme ?

Visiblement mon compagnon avait envie de filer d'ici au plus vite. Il me donna un casque que j'enfilais et m'invita à grimper derrière lui. Je passais une jambe au dessus de la selle et sentis ma jupe se soulever, mince ! Le tailleur ce n'est pas du tout adapté à la moto ! D'une main je la tenais fermement en rougissant, je n'avais plus de culotte et il y avait encore quelques élèves pour assister à notre départ. Quand je fus assise, ma jupe coincée sous les fesses, la position m'obligeant à écarter les cuisses pour enfourcher la bécane, le tissu était juste à la limite de mon sexe. C'était indécent mais les élèves ne pouvaient rien voir de mon intimité. Je soupirais et commençais à chercher les poignées pour m'accrocher. Impossible de les trouver quand la moto ronronna furieusement je n'hésitais pas et m'accrochais directement à Gabriel.

« Hhhhhhhiiiiii ! »

Je poussais un cri de surprise et de peur au démarrage, la roue avant avait brusquement pris de la hauteur, je me sentais partir en arrière. Dans une réaction de panique j'oubliais que je connaissais à peine l'homme devant moi et passais complètement mes bras autour de son corps, l'enlaçant en prenant appuie sur son torse pour me serrer fortement contre lui. Je gardais les yeux fermés jusqu'à ce que la moto s'immobilise ayant bien trop peur pour les ouvrir. Quand on stoppa mais qu'il ne coupa pas le moteur je tentais un regard. Nous étions à un feu rouge, moi fortement serrée contre son dos, ma tête contre son épaule.

« Vilain ! Vous m'avez fait peur ! Vous auriez pu ... »

Mes mots moururent dans ma gorge, j'avais bien entendu les sifflements des jeunes dans la voiture d'à coté mais je n'y avais pas prêté attention. Par contre je ne pus que suivre le regard de Gabriel qui affichait un sourire pervers sans en avoir conscience. Quand je baissais les yeux je découvris avec choc ma situation. Les vibrations et le départ brusque avaient eu raison de ma jupe qui était fripée autour de ma taille telle une ceinture laissant voir la toison blonde éclatante de mon intimité entre mes cuisses pleines à la peau laiteuse. Je virais au rouge pivoine, quelle image donnais je dès la première rencontre ? Et en même temps ça faisait si longtemps que personne ne m'avait exhibé, même si ce n'était pas volontaire de la part de l'inspecteur, que je sentais la tête qui me tournait de plaisir.

Le feu passa au vert, déjà ?, et le reste du trajet fut des plus court mais des plus divin. Je reposait doucement ma tête sur son épaule, gardant cette fois les yeux ouverts je profitais du paysage. Mon corps battait fortement et il devait ressentir chaque pulsation alors que ma poitrine était toujours contre son dos. Maintenant que je n'étais plus pétrifiée par la peur les vibrations de la moto et la sensation du cuir sur la peau de mes douces lèvres soyeuses, sans oublier la sensation du vent me mener petit à petit vers l'orgasme. Mais le trajet était court, comme promis et nous atteignîmes le parc avant que la jouissance ne me soit offerte.

« Déjà ? », dis je d'une voix où la frustration pouvait être entendue alors qu'il mettait la béquille pour caler la moto, « C'était très agréable, vraiment très agréable »

Je descendis de l'engin en me retournant le plus rapidement possible afin de ne pas exposer d'avantage mon sexe. Réflexe stupide qui à la place pouvait le laisser admirer ma croupe. Un détail ne manquait jamais d'attirer l'attention sur mes belles fesses rondes à la peau blanche, si blanche que bien souvent on me dit que ça donne envie de la voir rougir, sur ma fesses droite un tatouage, deux fois la lettre P, le second passant dans le trou du premier, un souvenir du passé, une marque de mon ancienne maîtresse pour que l'on me reconnaisse bien dans chaque film avait elle dit. P P pour Pupuce ou Petite Pute, c'est au choix de celui qui le lit avait elle encore rajouté. Je me dépêchais de remettre en place ma jupe, peut être n'avait il rien vu ! Et regardais le parce avec le sourire.

« C'est un très beau parc en effet ! Vous me faites la visite ? », par le passé je visitais les parc nue et en laisse, me promenant à quatre pattes à coté de ma maîtresse, ça me changerait de le faire en marchant normalement ...

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« Avec grand plaisir, avec un peu d'exercice vous parlerez de nouveau facilement le français vous aller voir. », dis je en souriant, « En France on dit que parler seul est le premier signe de la folie ... », je ne sais pas pourquoi je venais de dire cela, il avait l'air assez gentil et je ne voulais pas le vexer mais c'était sorti tout seul, « Je ne sais donc pas si j'ai intérêt à suivre un homme qui montre des signes qu'il n'a pas toute sa tête »

Je sortis de la salle des profs et l'attendais dans le couloir, lui montrant ainsi que je n'avais nullement l'intention de m'échapper, quand il fut à mes cotés je repris ma route direction le parking.

« Mais vous avez de la chance, on dit que les artistes sont des rêveurs dans le meilleur des cas, des fous dans le pire, je ne sais à quel degré je suis entre les deux mais j'accepte de vous suivre. », lui annonçais je avec un grand sourire, « et si cela ne vous dérange pas je n'ai jamais eu l'occasion de monter sur une moto, ce sera ma première fois », je ne pus m'empêcher d'avoir un sourire coquin et malicieux en disant cela, ne m'en apercevant même pas, j'ai fait tant de bêtises qu'il me reste peu de première fois.

Alors que nous descendions un étage, j'apercevais du coin de l’œil un graffiti, plutôt une gravure faite sur la pierre, de façon à ce qu'elle soit immanquable en montant. J'étais si effondrée par cette mauvaise journée que je ne l'avais pas vu. Une fois l'étage du dessous atteint je lève les yeux et soupire en trouvant une vague caricature de pénis avec un nom d'enseignant que je ne connais pas à coté. Je soupire lourdement et montre la raison de mon désespoir à mon compagnon.

« Voilà à quoi se résume l'art ici ! », lui dis je excédée, « J'ai bien peur que l'année qui s'annonce ne soit pas particulièrement facile … ce ne ressemble même pas à un vrai pénis, il aurait pu faire un effort sur la forme, la hampe devrait être plus allongée, plus profilée, même lorsque le sexe d'un homme est épais il en garde une certaine adhérence à la main d'une femme, de plus il manque le dessin des veines gorgées de sang et palpitante caractéristique de l'érection. Le gland devrait être légèrement plus ovale et pas aussi rond. On peut noter l'absence complète de prépuce, non pas que cela soit un signe de la religion de l'auteur, étrangement la caricature de l'organe phallique ne comporte pas ce bout de peau. Un oubli certain du à l'absence de pratique de la personne ne connaissant pas alors le plaisir de sentir une langue glisser entre ce bout de peau et la chair durcissante du gland. », je réalisais alors le discours que j'étais entrain de tenir à un homme et devint rouge pivoine, « Pardonnez moi, quand je parle d'art je m'oublie parfois et j'oublie que certain sujet ne sont pas innocent pour tout le monde », je ne sais si ma description de l'oeuvre dont l'auteur était justement Gabriel était vraiment innocente.

Nous reprîmes la route pour arriver jusqu'aux casiers, les élèves pouvaient y déposer leurs chaussures et leurs sacs, les enseignants avaient eux une petite boite aux lettres afin que les élèves puissent y déposer des demandes sans qu'il n'ait à venir en salle des professeurs. Je récupérais dans le mien une enveloppe avec surprise, un message dès le premier jour ? La joie céda place à un mauvais pressentiment que je lu le texte dessus.

« Vous parlez trop, voici la solution sensei »

Le sensei sonnait plus comme une moquerie qu'une marque de respect et quand j'ouvris l'enveloppe et la dépliait devant l'inspecteur j'en eu la confirmation. Je crois que je n'avais jamais vu un portrait aussi fidèle de moi, la personne qui l'avait réalisé était un vrai artiste. Les coups de crayons étaient léger, appuyaient juste à certains endroits pour créer un jeu d'ombres et de profondeur admirable. On y voyait chaque détail de ma coiffure, ma frange en bataille, ma longue queue de cheval qui pour le coup s'enroulait autour de mon cou non pas comme la corde d'un pendu mais comme une laisse que l'on tire vers le haut. D'où venait cette impression ? Sûrement du regard emplit de perversion que j'avais sur ce dessin, le regard d'une femme en manque et accroc au sexe, d'ailleurs ma bouche ouverte était emplie d'une verge imposante qui cette fois possédait tous les détails inhérents, y compris les grosses veines donnant une impression de vigueur. Le gland déformait ma joue produisant un renflement visiblement et distendant mes lèvres.

« Il y a finalement un artiste dans ce lycée ... », dis je ne savant trop comment désammorcer la situation, repliant vivement le dessin pour le ranger dans mon cartable, « même s'il semble parti pour faire carrière avant tout dans la pornographie pour le moment ... », j'étais de nouveau toute rouge, ce dessin aurait pu être tiré d'un de mes films si j'avais été dessiné plus jeune, visiblement ce n'était là que le fantasme d'un lycée mais cela me troublait déjà, « J'espère que vous n'allez pas vous imaginer des choses et que cela ne remet pas en cause notre tour en moto ? », à vrai dire je n'aurai pas été surprise que Gabriel change d'avis, tout ceci commençait à donner une image peu recommandable de moi.

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Vous nous quittez déjà ? / Je suis absente !
« le: samedi 21 juillet 2012, 07:59:24 »
Coucou

C'est les vacances, je coure, je coure ! Résultat je vais etre absente une semaine, là une semaine, absente une semaine de plus, là une semaine et absente pendant 10 jours, ce sera alors la reprise du boulot et du rythme normal ^^

Pfiou qui a dit que les vacances sont reposantes ?

Pardon à tout les mps que j'ai pas pu faire, avec les valises et autres préparatifs je coure je coure ^^

Boris je te réponds en revenant en attendant ne saute pas :P

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Le coin du chalant / Re : Recherche partenaire :)
« le: mardi 17 juillet 2012, 18:30:16 »
J'ai répondu en mp à Boris et vu que j'ajoute une nouvelle trame qui diffère de ce que je proposais je up :)

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Le coin du chalant / Re : Recherche partenaire :)
« le: lundi 16 juillet 2012, 21:39:50 »
Bonjour à tous :)

Pour ma plus grande tristesse Mélanie est absente pour une durée indéterminée snif  :'( et Gabriel a disparu :( Si quelqu'un a envie de jouer avec moi ce sera donc avec grand plaisir.

Je vous rappelle ma fiche http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8962.0

Mon rp avec Mélanie qui se passe à l'infirmerie http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8971.0

Et celui avec Gabriel dans la salle des profs http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8972.0

Un gros bisou à tous

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