Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Kara Desco

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Kaito était un garçon gentil, si gentil et doux. En apparence. Le contraste saisissant entre ce joli visage d’ange et la brutalité perverse dont il faisait preuve quand ils faisaient l’amour la rendait dingue. Il était sale, et sauvage, et personne ne pouvait s’en douter en le voyant sagement marcher dans la rue. Ce paradoxe l’excitait quand ils se baladaient, parce qu’elle déambulait à côté d’un petit Etudiant mignon, et qu’il était le pire des salopards en privé. Et quand il donnait des ordres, après l’avoir martyrisée sans ménagement, à ce moment-là, Kara l’aimait plus que tout.

Sans réfléchir, totalement trempée et dégoulinante de salive, misérable et pourtant si puissante, la Commerciale s’exécutait, ouvrait grand la bouche à sentir ses mâchoires meurtries par le traitement qu’il venait de lui infliger, la gorge endolorie encore, sursauta d’être à nouveau étouffée. Kaito semblait surexcité, inarrêtable et conquérant, mais les regards qu’ils échangeaient étaient sans équivoque quant à leur confiance et silencieusement, malgré tout ce que pouvait souligner leurs ébats violentes, il s’assurait qu’elle pouvait encaisser.

C’était toujours une surprise pour elle… toujours étrange de réussir à aller plus loin avec lui, et pourtant, quelque chose lui disait qu’elle pourrait tout tenter avec son petit Etudiant. Ils étaient faits pour s’entendre, s’alliaient à merveille, s’écoutaient et se poussaient l’un l’autre. Kara sentit un haut le cœur la soulever et ses prunelles s’élargirent sous la force de l’intrusion, la tête totalement maintenue, d’une force implacable, par les mains du jeune homme. Comment définir la sensation d’être ainsi contrainte avec puissance ? Kara se sentait bloquée, prisonnière et pourtant, cette situation décuplait son désir. Son entière frustration devenait une source étrange de plaisir, elle regrettait simplement de n’avoir aucune liberté pour gémir.

L’étranglement lui fit monter les larmes aux yeux, et elle profita qu’il lui pose une question, que sa queue glisse sans ménagement hors de sa bouche pour reprendre une énorme goulée d’air, toussant et s’étouffant en lui répondant. Pourtant, ses yeux brillaient, le cou plié en deux pour le regarder dans les yeux, ce petit visage d’ange qui la surplombait, si charismatique.

Les mots du Pervers de l’autre côté de la paroi lui arrivèrent aux oreilles à cet instant, brisant cet instant si intense, et la forçant à tourner le regard vers ce trou où elle voyait à nouveau ce sexe dégueulasse qui suintait du jet qu’il venait de lâcher. Un réflexe instinctif la fit vouloir se décaler, mais elle avait les fesses par terre et fort heureusement, elle était trop loin pour que la semence l’atteigne. L’étreinte de Kaito sur sa mâchoire s’affermit, il devait avoir senti qu’elle risquait de revenir trop vite à la réalité, et ce simple geste la força à ignorer ce gros Porc, tout comme les mots qu’il prononça ensuite.

Elle se força à ne pas porter attention au billet qui venait de voleter près d’eux, le pouce de l’Etudiant caressa la commissure de ses lèvres, dans un geste pour pourrait être romantique, mais la pression dans son doigt la rappelait presque à l’ordre ; La Commerciale frissonna de désir, releva son regard clair sur son amant bien au-dessus d’elle, tira la langue en le fixant droit dans les yeux. Elle avait souvent cette expression de défis vis-à-vis de lui, pour le provoquer, parce qu’elle savait que ça marchait. Elle savait qu’il ne pouvait pas résister, et qu’il n’en pouvait plus. Kara écarta sa frange collée à son front, pencha la tête légèrement et sa main finit par se poser sur l’une des siennes, accentuant les mots qui suivaient.

« J’ai faim mon Ange, et je veux que tu viennes dans ma bouche. »

A peine avait-elle terminé sa phrase, d’une petite voix pourtant assurée, la jeune femme ouvrit de nouveau grand la bouche en fixant le sexe luisant de son Etudiant. Elle devrait surement attendre qu’il impulse le mouvement, mais ce n’était pas la plus docile, et surtout pas la plus patiente, alors Kara cala sa main libre contre la peau brûlante de sa tige pulsante pour l’attirer à elle. Et comme il s'enfonçait en se plaquant contre son palais, cette même main se leva légèrement pour venir offrir au spectateur son majeur bien haut.

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Kara était perdue dans ses pensées, le ventre contre le comptoir du club, en attendant qu’on lui prépare sa commande… A vrai dire, elle avait mis du temps à s’habiller, trouver ses vêtements avait été compliqué mais les enfiler, c’était pire encore. Son esprit était dans le brouillard, que ce soit par les vapeurs d’alcool encore présentes, bien présentes, et toutes ces questions au sujet de Diablo et ses ‘prestations’.

Les mots du Démon l’avaient rassurées, et elle ne doutait pas vraiment qu’il ait réellement envie de passer du temps avec elle. Ou alors, Rama avait payé une vraie fortune pour qu’il mente si bien, sa performance était assurément prête pour un Oscar. Pourtant, Kara le croyait sincère, bien qu’elle ait encore beaucoup de cas de conscience. Peu à peu, alors qu’elle était seule -relativement- les paroles de l’Escort lui revenaient en tête pour l’apaiser… Il avait l’air de la draguer, de l’allumer même, et à voir ses iris pétiller de désir, n’importe qui aurait oublié ses principes. Même si elle était loin d’être un modèle de droiture, certaines choses lui semblaient importantes, et la jeune femme était désormais convaincue que son crush n’était pas contraint.

C’était un point primordial, finalement, et pour elle-même, elle avait même hoché la tête avec conviction, alors qu’elle sursauta en réalisant où elle se trouvait, ramenée à la terre ferme par la main qui se glissait sur sa hanche. Instinctivement, elle tourna les yeux un peu vivement avant de se sentir perturbée. L’homme, inconnu, qui se permettait un tel rapprochement dégageait quelque chose de familier, et elle sentit immédiatement dans une sorte de proximité étrange… En relevant les yeux vers les siens, Kara sursauta. Ce qu’il renvoyait la touchait, au plus profond d’elle-même, certaine qu’ils se connaissaient et qu’ils avaient été proches. Très proches.

Sa voix, pourtant, acheva tout doute, et elle écarquilla de grands yeux en reculant légèrement, le regardant de haut en bas, pour remonter sur son visage. Il était mignon, en vrai, ce Cosplayeur, songea la Commerciale, en affichant un large sourire ravi, qui ne devait être sans équivoque pour le Démon.

« Me décevoir ? Oh, merde, non. » Fit-elle en plissant les yeux, cillant légèrement, pendant qu’elle l’observait en détail, de ses iris encore imbibées, suffisamment pour ne pas déceler la différence drastique de carrure. Il avait été vite pour se changer, non ? Ce détail ne la choqua pas, il devait avoir l’habitude ! Troublée cependant d’avoir à re-découvrir un homme avec qui elle avait été si entreprenante, comme s’ils se voyaient pour la première fois, et tout à fois se connaissait bien, la jeune femme tendit les bras pour récupérer un petit sac en papier qui contenait sa commande.

« J’espère que t’aimes le whisky. »

En se tournant, elle parut encore avoir un moment de latence, le temps de se faire à son visage, et se mordit la lèvre en se sentant étrange. Le charisme de Diablo était cependant le même, lorsqu’elle se trouvait près de lui, et l’attirance toujours bien présente. Pour éviter d’avoir le cerveau trop en activité, Kara se donna un coup de pied aux fesses, et paya sa commande en saisissant la main de l’Escort. Elle ne voulait pas traîner, pas avoir trop de temps, vite retrouver l’ivresse, si non…

« J’habite pas trop loin… » C’était sans doute pour elle-même qu’elle prononça ces quelques mots. Pour se rassurer ? Pour accélérer le rythme, ne pas réfléchir.

Avec un sourire, elle entraîna le Démon dehors, les rues éclairées des néons et des imposants lampadaires la firent cligner des paupières un bon moment, avant qu’elle ne s’y fasse totalement. En pinçant les lèvres, Kara se demandait ce qu’elle devait lui dire sur la route… S’il fallait qu’elle parle ? Ses questions l’agaçaient, et elle grogna même, en étouffant sa mimique entre ses dents, avant d’allonger le pas, tenant toujours fermement la main de son amant. Sa démarche avait l'air rapide, mais hasardeuse.

« Faut vraiment que je boive vite. »

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Kara se retrouvait dans une situation qu’elle n’avait encore jamais vécu, même en ignorant les profondeurs de la vérité concernant le Démon. Tout ce qu’elle vivait ce soir était nouveau et perturbant, et il semblait qu’elle avait besoin de faire une pause pour réussir à surmonter autant d’innovations. En sentant le regard de Diablo sur elle, la Commerciale se sentit même rougir, ce qui l’agaça un peu, se sentant de moins en moins en position de force. Elle fronça légèrement les sourcils, se trouvant idiote, là où toutes les autres auraient juste profité de l’instant sans se poser de question supplémentaire.

La voix de Cosplayeur s’était faite rassurante, et elle nota ce ton salvateur, en relevant les yeux vers son visage, cherchant sans doute des réponses à ses angoisses. En hochant la tête, sa voix moins assurée que lorsqu’elle lui soufflait des ordres résonna faiblement.

« O… Ouais. C’est juste que… C’est ton boulot, tu vois. » Une moue disgracieuse brisa son petit minois clair.

L’argent rendait leur rapport désagréable, d’un coup. Pour Kara, c’était presque immoral, même. A la limite, avoir des relations avec des mecs bourrés en étant totalement ivre lui semblait beaucoup plus acceptable, dans ce contexte.

« Combien t’a payé Rama ? »

Et puis, il essaya à nouveau de la rassurer, ce qui, en un sens, fonctionna un peu. Un petit sourire tira la bouche de la jeune femme, avant qu’elle ne tente de sonder l’or de ses iris. Qu’il n’agisse pas contre son gré la tranquillisait déjà un peu, et même si elle ignorait tout de lui, Kara estimait que ses paroles étaient sincères. Il n’aurait pas eu réel intérêt à la stopper dans ses réflexions existentielles s’il était réellement contraint par son boulot, ou n’importe quoi d’autre. Après tout, il avait touché un salaire pour une prestation, et s’il n’avait pas envie de l’effectuer, la jeune femme lui donnait l’occasion ainsi de n’avoir que son dû sans avoir à donner davantage de sa personne… Ce qui, du coup, la questionnait évidemment bien plus.

Ses derniers mots la désarçonnèrent, et Kara resta bouche-bée un moment. Le timbre de Diablo était plus bas, et évidemment plus chaud, d’un coup… Il était vraiment très près d’elle désormais, et la chaleur de son corps berçait sa peau. Un frisson l’éveilla, comme si son cerveau avait analysé les mots avec un peu de retard, peu étonnant vu sa consommation précédente, et en cillant, un petit soupir s’éleva.

« D… D’accord… » Elle déglutit difficilement, une pointe de désir, indépendante de ses réflexions problématiques, venait de piquer sa gorge et chauffer l’intérieur de ses cuisses.

« J’vais avoir besoin de plus d’alcool, et qu’on rentre chez moi, ok ? »

Son regard trahit immédiatement sa surprise d’avoir parlé ainsi, alors que son esprit était toujours bloqué sur les questions délicates d’argent et de rapport rémunéré. Pourtant, d’une petite impulsion du menton, sa bouche réduisit la distance entre leurs visages, minime, et l’embrassa comme on plonge d’une falaise dans une mer incertaine.

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Kara n’était pas certaine que ses mots sauraient être compris comme il faut par Souta. Pas une question d’intelligence pure, mais plutôt un constat alarmant qui devait bien admettre qu’ils ne parlaient parfois pas la même langue. C’était souvent le cas, sauf lorsqu’ils baisaient, à vrai dire. Et cette fois, la Commerciale avait analysé la situation problématique… C’était chouette lorsqu’ils arrivaient à communiquer, mais…

Être dos à lui permettait de pouvoir causer sans trop de peine, d’éviter d’être perturbée par son regard d’ambre sur elle, et d’être attirée par son corps sous l’eau, plein de mousse. Elle avait dans les narines l’odeur de son savon, qui chassait peu à peu de manière efficace les relents de leurs ébats. Ses paupières se ferment vivement alors que les mains de son amant descendent jusqu’à ses reins, et elle tente d’ignorer son sexe contre sa peau. Kara se sent soulagée, un peu, d’avoir réussi à lui exprimer ce qu’elle ressentait… Ce n’était peut-être pas très clair, et elle s’étonnait que Souta continue lentement, comme si de rien n’était, à la savonner, alors qu’elle avait eu l’impression de lui déclarer quelque chose d’assez dur à entendre.

Pourtant, comme toujours, elle aurait dû se douter que rien ne semblait le toucher, et qu’il avait l’air de ne jamais pouvoir être heurté par les mots. Et, les poings n’étaient pas plus efficaces, du moins pas les frappes de mouche de la jeune femme. Kara soupire doucement, entre ses dents, en l’écoutant lui demander de lui apprendre… Si c’était si facile, elle aurait rééduqué pas mal de tocards dans sa vie… Et puis, avait-elle vraiment envie de prendre cette charge pour elle ? Quelle fatigue en tirerait-elle, morale, psychologique, à s’acharner pour tenter de le changer ? Ce n’était même pas garanti qu’elle soit ou bonne pédagogue, ou qu’il puisse évoluer. Si elle échouait là-dedans, elle serait d’autant plus brisée.

« C’est pas… »

Sa voix s’interrompit quand les mains du jeune homme aux cheveux d’argent se faisaient plus insistantes. En fronçant les sourcils, Kara fronce le nez. Il avait dit juste une douche, mais encore une fois, Souta semblait déjà trahir ses paroles et ça ne ressemblait pas à « pas de mains baladeuses »… Mais il enchaine, dans un argumentaire maladroit. Il se contredisait lui-même en deux phrases, ce qui lui tira un petit sourire de dépit. Il partait de loin, celui-là…

En sentant évidemment sa queue durcir à nouveau et remonter lentement jusqu’à ses fesses, Kara lâcha un soupir sonore, les épaules basses, en secouant lentement la tête.

« Pas un queutard ? Tu te rends compte que ce que tu viens de dire est contredit par ton corps ? » En faisant un pas comme elle pouvait en évitant de glisser, la jeune femme se tourna pour lui faire face, prenant une profonde respiration.

« Regarde, je te parle de sentiment, Souta. Je t’exprime mon besoin, peut-être de manière un peu maladroite, pour te dire que j’ai besoin de plus que ta bite. Et toi… tu y réponds justement avec ça. »

D’un index tendu, elle désigna la trique qui pulsa, le visage de la Commerciale exprimant une sorte de déception douce, comme si elle s’était résignée à se dire qu’il n’était juste… pas capable… de comprendre ça. C’était surement pas dans la nature de tout le monde.

« J’vais avoir besoin d’un peu de temps, si on doit se revoir, pour me blinder, et essayer de te gérer sans attendre autre chose de toi que du cul. Parce que j’pense pas que tu puisses apprendre… »

Une épaule se leva, et elle fit une moue plutôt triste et désolée. Kara s’était suffisamment éloignée pour éviter le contact de sa peau chaude qui la perturbait, elle voulait garder les idées claires, enfin, autant que possible, passant sous le jet d’eau, la mousse s’enfuit rapidement en lui laissant une sensation agréable de propreté, confirmant ses pensées. En acquiesçant, pour elle-même, elle sortit de la douche pour attraper une serviette et s’y enrouler. Comme un peu perdue dans ses pensées, l’Office Girl attrapa alors un second drap de bain qu’elle tendit à Souta, esquissant un léger sourire gêné.

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C’est tout ce qu’il lui fallait pour lâcher prise suffisamment. Savoir que quelques mots pouvaient ainsi mettre son petit Ange blond dans tous ses états déteignait sur son excitation, grimpant en flèche dès qu’il ferra sa nuque. Il savait combien elle en était friande, et ce que cela lui provoquait, les décharges électriques le long de la colonne vertébrale la faisant trembler, la figeant. Dans ces instants, Kaito prenait un contrôle qui la désarçonnait toujours, lui le petit Etudiant qui paraissait si naïf, si pur… Il n’en était rien, elle était bien placée pour le savoir. C’était ce contraste qu’elle aimait chez lui. Oh oui. Elle adorait cela.

Sa paume plaquée contre son sexe était moite et les pulsations battaient sur ses doigts. Tout en écoutant le souffle de cette voix rendue plus rauque par la situation, Kara pinça les lèvres pour se laisser envahir par les mots délicieux de son petit ami. Il savait la rassurer, et un instant, elle expira lentement l’air qu’elle retenait sans s’en rendre compte. Ses mains s’étaient interrompues, mais reprirent vite, ragaillardie par les propos encourageants et amoureux. Contrainte alors, sa main se dégagea du jean et ce boxer bien trop serré désormais, sans aucun regret malgré l’attrait de la peau tendue sur le bout de ses doigts… Elle savait. La Commerciale résista une seconde, à peine, esquissa un sourire complice, autant pour endosser plus aisément son rôle, garder encore leur bulle protectrice où ils s’enfermaient. La pression sur ses épaules fut actionnée par l’échange de leurs regards où la confiance absolue pouvait se lire.

S’accroupissant à ses pieds, Kara prit grand soin de ne jamais tourner les yeux vers ce trou indiscret où l’horrible porc en voulait pour son argent. Elle ne voulait plus penser à lui, à la sensation étrange d’être épiée, aux deux paires d’yeux sur elle, les jambes écartées à laissant à hauteur appréciable du sexe qui venait de la faire loucher. Au geste impulsif de Kaito, la jeune femme lâcha un hoquet la faisant sauter, un gémissement étouffé tant relever le regard vers lui l’excitait. Les muscles de ses cuisses se contractèrent sous la piqûre du désir, s’accentuant davantage dès que le tison érigé brûla sa joue. L’instant sembla s’étirer, la laissant dans cette immobile stature soumise, les yeux coincés dans l’azur de ceux de l’Etudiant comme on se voue à un Saint, dans une posture d’adoration.

Le parcours de cette queue suintante laissait la trace de son passage sur son petit visage pâle, lui arrachant un sourire en coin, en ajoutant des rides expressives au coin de ses yeux, alors qu’elle retenait tout mouvement. Ce n’était pas des plus aisés ; chaque seconde à devoir rester immobile à se faire aguicher par son amant passait lentement, la torturait, et l’électrisait… Pourtant, comme on se laisse brûler par le soleil malgré tout, elle tenait bon, baissant le regard pour lorgner sur l’objet de toutes ses attentions, sentant la tension de Kaito. Autour d’eux, plus rien n’existait, et Kara se mordit la lèvre en sentant le gland torride dessiner un sillon humide le long de sa mâchoire, avant de fermer les paupières.

Sa bouche s’entrouvrit, trop peu pour permettre à la tige gonflée de glisser correctement entre elles, l’obligeant à forcer pour s’y insérer, mais d’un mouvement de tête, la Commerciale se refusa à sa délivrance. Une seconde, elle l’entendit souffler par les narines, s’impatienter, renâcler et elle le devinait même qui serrait les dents… C’était bon de le pousser à bout, mais elle était elle-même trop peu patiente pour continuer sur cette voie. Alors, lentement, sa langue vint à la rencontre de sa peau déjà luisante, lécha l’embout avec retenue, qu’elle ne put contenir bien longtemps. Ses bras se relevèrent pour pouvoir empoigner ses petites fesses musclées, frissonner en laissant la bouche fondre de nouveau sur sa proie, sans égard pour un quelconque romantisme.

Ce geste parut donner le signal à Kaito, leurs corps se répondant à merveille et se connaissant désormais suffisamment bien pour réagir aux gestes, allusions comme portes enfoncées, et la Commerciale sentit une poussée faire butter son sexe contre son palais, lui arrachant un hoquet surpris, étirant ses lèvres sur ce visage déformé pour sourire comme elle pouvait, ainsi encombrée. Le fessier de son Ange se contractait sous les impulsions qu’il donnait, elle savait qu’il ne tiendrait pas longtemps avant de venir se saisir de ses cheveux. La tension était toujours aussi palpable, mais ils avaient désormais de quoi se repaître, tant sa bouche coulissait sur la chair veinée. La situation semblait excitée l’Etudiant à l’extrême, et si elle n’était pas à l’aise, le savoir fou de désir était toujours totalement communicatif. Kara soufflait fortement par le nez à chaque coup de rein, les provoquant en enfonçant ses ongles dans la peau.

Rapidement, les sonorités timides laissèrent la place à d’obscène succions imprécises, et des gémissements étouffés, presque étranglés.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 25 mai 2021, 13:53:43 »
Les poissons sont soulagés aussi xD
13h53 - J'ai mangé au resto ce midi.
J'ai bu une bière en terrasse.
J'ai bu un vrai café en terrasse.
BORDEL  :-* :-* :-* :-*

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Dans cet état bizarre où elle tenait mal sur ses jambes, Kara releva légèrement vers Souta, qui venait de se coller à elle dans un geste simple, pour la soutenir, voyant bien combien elle peinait à marcher droit après autant d’effets, d’émotions confuses. Elle cilla longtemps, en silence, à le regarder du coin de l’œil. Il n’était pas foutu de lui dire des mots gentils, était-ce si étonnant ? Il n’avait pas non plus été capable de répondre à sa demande de câlin, qu’il avait tout de suite interpréter comme une demande sexuelle.

Quelque chose se demandait, en elle, ce qui lui était arrivé dans sa vie passée pour être ainsi incapable de faire preuve de sensibilité, d’exprimer des sentiments plus tendres. Ou alors, tout simplement, il n’en avait pas pour elle… Puisqu’il ne voulait pas, par franchise, que cela sonne faux dans sa bouche. Etait-ce vraiment grave ? La Commerciale se contenta de soupirer lorsqu’il se montra aussi franc, en hochant légèrement la tête, lui répondant simplement par un haussement d’épaule. Même ce geste lui coûta, elle était fourbue… Et, pourtant, les gestes de son amant restaient emplis d’attention simple. Il ne devait juste pas faire autrement. Elle n’était pas là pour le forcer. Pour le changer.

En marchant, elle eut l’impression qu’il cherchait à se rattraper en lui soufflant des compliments maladroits. C’était tout lui. Elle se souvenait que toutes ses intentions ou ses essais pour être cool sonnaient de manière douce-amère à ses oreilles. Un sourire s’étira un peu, sur ses lèvres poisseuses, et elle lui saisit le bras pour ne pas trop chanceler. Elle avait du caractère, et du répondant… C’était euh… Positif ?

« Merci pour ta franchise. » Souffla-t-elle lentement, se concentrant sur ses pas hasardeux.

Fort heureusement, son appartement était loin d’être immense, et ils se retrouvèrent rapidement dans la pièce d’eau, pendant que Kara évite son reflet dans le miroir du lavabo… Elle se sait immonde et saccagée, et n’a aucune envie de le constater véritablement. Dans les yeux de Souta, elle ne lit aucun dégoût, mais elle sait à quel point il est trash, lui…

A le voir ainsi, encore vraiment en forme, la Commerciale se demande ce qu’il prend pour être vraiment tout le temps opérationnel. C’est pas humain… Un instant, elle louche sur son sexe érigé d’une taille colossale, se demandant encore comment elle a pu encaisser ça, et relève le nez vers son visage pour lui sourire, à cette petite remarque, comme s’il lisait dans ses pensées. Et elle éclate de rire en même temps que lui, il semble heureux de sa connerie.

« Que JE te saute dessus ? » Elle glousse, mais rire fait mal aux abdos, elle se tient les côtes en grimaçant. « Putain, t’es chié quand même, c’est toi qu’en demande toujours plus. »

Cependant, Kara n’a pas trop la force de lui envoyer une pique, elle s’engouffre dans la douche et le laisse la rejoindre en lui tirant la langue. Même ça, ça tire sur sa peau maculée de fluide qui commence à craqueler. Rapidement, elle lève la tête et ferme les yeux, sous le jet d’eau puissant qui la débarrasse efficacement de tous les miasmes de cette soirée bizarre. Un bon moment, n’ayant que les sons de Souta qui se savonne, couvert par le bruit de l’eau, l’odeur du savon la détend, elle garde le silence, puis soupire longuement.

Elle l’entend parler, certes, mais hésite à répondre. Quelque chose lui dicte que c’est peine perdue. Ils sont différents sur ce point, elle ne peut pas lui demander quelque chose qu’il ne peut pas lui apporter… Kara hausse les épaules, par dépit, baisse la tête en ruisselant et sourit légèrement avec une sorte de compassion.

« Je crois que t’es un trop mauvais garçon pour moi. Je suis un cœur d’artichaut, tu sais… Alors je m’attache un peu trop. Je sais que t’es pas le genre de mec qu’il me faut… Tu me fais du mal, parfois, sans le vouloir. » Elle ricane et, pour casser cette lourde atmosphère qu’elle créé, lance : « Et je parle pas de ta queue, crétin. »

En lui prenant le savon des mains, la jeune femme entreprend d’être plus claire, évitant son regard, comme juste avant. « En fait, moi j’ai besoin qu’on me prenne dans ses bras, et qu’on sache me dire des trucs gentils, tout comme me grogner des insultes à la gueule en me sautant. Tu vois ? » Ses mains pleines de mousse glissent sur son propre corps, machinalement. « Et toi, tu sais faire que la moitié, tu vois ? »

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Les alentours de la ville / Re : Tchou tchou, motherfucker ! [Kara D.]
« le: vendredi 21 mai 2021, 22:27:06 »
 Elle s’était sentie puissante, maline et même plutôt en situation de lui dicter ce qu’il devait faire. Et la faiblesse du Rebelle n’avait pas mis énormément de temps à s’évader pour qu’il reprenne du poil de la bête. Un petit gloussement sort des lèvres de la Commerciale quand il évoque la douche, et l’état lamentable de sa petite culotte… pas faux, elle serait presque tentée d’acquiescer, mais son souffle est coupé d’un coup, lorsqu’elle a les yeux englués sur la vision ruisselante de ce torse qu’il lui dévoile.

Oh, elle l’avait déjà presque vu buste nu, avec la pluie battante qui avait moulé le tissu imbibé sur ses pectoraux à tomber. Mais c’était autre chose que de l’avoir au-dessus d’elle, si mâle, si haut, si…

« Oh putain. » Souffla-t-elle comme si ce moment précis marquait l’instant où elle savait qu’elle avait fanfaronné un peu trop. Prise à son propre jeu, comme souvent. Kara déglutit, en ne prenant pas la peine de suivre des yeux le jersey qui s’éclate au sol, près d’elle, qui va laisser une marre dégueulasse. Il lui est impossible de détourner son regard dégoulinant de mascara de supermarché de ses abdominaux, les cicatrices qu’elle perçoit, l’eau qui ruisselle comme au ralentis, pour la narguer. Ce torse est à l’image de ce qu’elle fantasme depuis qu’elle a croisé la dégaine crasse du Boxer. C’est un signe supplémentaire qu’elle devrait le virer de chez elle à coup de pied bleuté.

Ses dents croquent un peu fort ses lèvres dès qu’il met la main sur sa ceinture. Merde, il est sérieux, le con. Il va le faire. Et c’est elle qui lui a demandé… Kara tente de retenir un frisson, pour rester digne, même si elle est à ses pieds et se transforme en flaque. En levant le menton, elle donne le change, qui croit-elle berner ? Le son de la ceinture qu'il dompte est une musique qui pue l’érotisme facile d’accès, elle est aux premières loges pour dévorer des yeux ce qu’il dévoile en direct. Un strip-tease de bas étage, vite fait dessapé dans un garage. Et plus il lui expose ses muscles, ses poils, sa peau de soulard, plus Kara ouvre la bouche. La Carpe n’en mène pas large lorsqu’elle suit en fixant nerveusement ces doigts qui abaissent son boxer.

Il la flingue d’une réplique, qui lui fait refermer la bouche d’un coup, dans un son de dents mal calibré. Incapable de faire autre chose que loucher sur son membre qui lui arrive entre les yeux dans un rebond caractéristique. Evidemment, elle l’a déjà rencontré de manière bien plus brutale, mais l’avoir sous le nez, puissant, érigé, offert… La jeune femme lâche un soupire d’anticipation. Sa simple vue lui fait serrer les cuisses par réflexe. Merde. Répliquer quelque chose, un sarcasme grognon, une pique, n’importe quoi. Remets-le à sa place. Sa gorge est trop aride pour réussir à articuler quoi que ce soit, et rien d’intelligent ne lui vient en tête. Seule cette queue la fascine.

Jaxx annonce la couleur, et à vrai dire, il enfonce une porte ouverte. Comment espérer atteindre la salle de bain alors qu’elle est presque à genoux devant lui. Sans s’en rendre vraiment compte, Kara hoche la tête lentement, et son regard paumé se transforme peu à peu en braise. On va arrêter de se mentir, ma Grande, et cette main sur sa nuque l’électrise un peu plus. Plus rien ne tourne rond, elle essaye de l’écouter parler, mais elle se fiche royalement de ce qu’il peut lui dire… Cause toujours, Lorenzo Lamas, j’entends rien.

Il ouvre la bouche, ses lèvres bougent, et inconsciemment, elle a déjà tendu le cou assez pour poser sa bouche contre son sexe. La sensation, le parfum enivrant de cette peau de Biker viril lui explose de nouveau les sinus, en l’achevant, si besoin était. Un baiser, à peine, juste le temps de se racler la gorge, et ses lèvres s’ouvrent trop peu pour le laisser la pénétrer… Il faut qu’elle reprenne pied avant de réussir à se concentrer, ferme les yeux un court instant.

Ce type la rend dingue, il n’a rien à faire, juste à être devant elle. Il sent le mec, le danger, il pue le foutre et les fluides qu’ils viennent d’échanger n’importe comment en pleine rue. Lorsque sa langue vient flatter ce gland qui toque à ses lèvres, elle s’assure qu’il en a également le goût. Une explosion sur ses papilles, et sa main remonte de son mollet à cette tige qu’elle empoigne pour forcer elle-même le passage de sa bouche, trop peu ouverte pour s’y glisser sans heurt. Kara souffle par les narines comme une acharnée, un soupir cogne contre la trique qu’elle engloutit lentement. Et qu’elle ressort en gémissant. C’était juste pour dire bonjour… Elle relève alors les yeux tout en haut, vers son visage de connard puissant et son regard d’acier, et malgré sa posture, quelque chose la fait frissonner, invulnérable. Elle le tient.

Boostée par un sentiment de faire de lui ce qu’elle veut, la Commerciale serre davantage le membre qui lui pulse comme une ruade entre les doigts, et revient à la charge, pour l’avaler et y répandre la salive qu’ils échangeaient peu de temps avant comme des dalleux. L’absence de lumière dans l’appartement dessine un Rebelle plus beau qu’en réalité, taillé dans un marbre de statue, alors qu’elle le dévore avec avidité, incapable de se retenir. Sa main libre vient claquer sur ses fesses, oh, bordel, si fermes, pour accompagner ses mouvements.

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Une explosion de puissance qui éclata à la figure en entendant la voix grave du Cosplayeur susurrer sa soumission, accentué admirablement par ce regard qu’il venait d’ancrer dans le sien. Il avait une façon de parler, un timbre de voix, une chaleur dans ses yeux d’or qui la rendaient folle de désir. Le sentiment de contrôle qu’elle ressentait, ivre de cette sensation de pouvoir lui demander réellement tout ce qu’elle voulait, le posséder sans avoir besoin de forcer quoi que ce soit, et le plaisir qu’il faisait naître en elle à chacun de ses mouvements, la mettaient en transe.

Kara se demandait un peu confusément s’il avait conscience de l’état dans lequel elle se trouvait, et perçut dans son regard une malice si puissante que tout son corps frissonna… Oui. Il savait, c’était certain, et il maîtrisait parfaitement tous les codes du genre, savait souffler lentement sur les braises, qui étaient désormais un brasier ardent qui consumait tout sur son passage. Ses quelques mots l’avaient parfaitement électrisée, et la jeune femme ouvrait la bouche sans qu’aucun son ne puisse en sortir, tant sa gorge était aride. Une seconde, ce visage de femme forte avait été figé dans le marbre, le disputant une expression béate et idiote…

« Bordel de merde… »

La voix rocailleuse venait du fond de ses entrailles, avec une sincérité que seuls les gens ivres pouvaient déclamer. Sa poigne s’affermit, tant au niveau de la corne qu’elle saisissait, que de son sexe qu’elle avait espoir de continuer à caresser malgré les sollicitations qui lui arrachaient toute sa capacité de concentration.

D’un mouvement de poignet, elle ordonna silencieusement qu’il cesse de l’observer, tant soutenir ce regard enivrant devenait impossible pour la jeune femme. Elle se sentait fondre, et n’avait pas envie de passer pour quelqu’un de … de quoi d’ailleurs ? Assez à l’aise pour se laisser totalement aller avec lui ? Une seconde, à sentir son aisance à revenir sans sourciller s’occuper d’elle, Kara se demanda si toutes ses clients étaient comme elle, entre ses bras, entre ses doigts. Et un terrible frisson la fit tressauter. Ses cils s’étaient mis à battre frénétiquement, pendant que la main fichée entre ses cuisses venait de se détacher de sa peau chaude et douce et le petit visage de fouine de la commerciale ivre afficha une petite moue.

Une idée qu’elle avait chassé rapidement de son esprit venait de reprendre le devant de la scène. Diablo, c’était un escort, il avait été payé par Rama, et elle profitait d’un système assez malsain, sur lequel elle était incapable de se prononcer… La jeune femme avait cessé de respirer avec l’ardeur de la fièvre, et sa main qui restait agrippée à sa corne l’incita à relever le visage, comme un ordre contraire à celui qu’elle venait de lui donner.

En cillant encore, l’air idiot des gens soûls mais qui se posent des questions existentielles, Kara chercha sur l’expression du Démon une part de réponse, sans savoir quelle question se poser. Est-ce qu’elle faisait quelque chose de mal ? C’était excitant, oui. Mais il travaillait. Dans son boulot, à elle, tout était mécanique et pénible, mais nécessaire pour gagner sa vie. Alors. Lui ? Le doute avait rempli totalement le regard clair de la petite employée de bureau, et elle plissa ses yeux en amande.

« Je… »

Ses doigts se desserraient de leur prise pour glisser sur la joue du Cosplayeur, comme si l’alcool lui laisser un répit, et qu’elle devenait de plus en plus consciente. Un risque conséquent de s’éveiller après un rêve étrange, qui la laissa sans voix un instant, avant qu’elle le torde sa bouche.

« J’veux rentrer chez moi. J’ai pas envie de t’utiliser. J’suis pas comme ça moi… »

Elle tentait d’occulter que, à quelques secondes près, elle voulait lui hurler de la sauter. Et c’était d’ailleurs toujours le cas, la guerre faisant rage dans son petit cerveau imbibé, pour savoir si, oui ou non, elle devait ignorer ces affreuses idées raisonnables, et revenir à des songes bien plus torrides. Un frémissement la fit sursauter soudainement, avant qu’elle ne soupire, comme désolée, en passant ses doigts sur la nuque du Démon. Il était d’une beauté atypique qui l’attirait furieusement, et Kara se mordit la lèvre… Nouveau soupire. En réalité, elle n’avait aucune envie de se séparer de lui, de quitter la chaleur de cette peau bleutée. Nouveau soupire. Ses doigts remontèrent dans ses cheveux dans un mouvement étonnement tendre après ses gestes mus par le désir.

« J’suis paumée, Diablo, aide-moi… »

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: samedi 15 mai 2021, 11:18:24 »
Black Pistol Fire - "Speak of the Devil"
Je sais que je l'écoute tout le temps, en boucle. Mais.
Bah.
Oui, bah voilà.
Merde.
 :P

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 15 mai 2021, 11:12:45 »
C'est surfait le sommeil !
11h12 - Bon week-end à toustes !!

42
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 14 mai 2021, 22:48:27 »
Tu veux tuer des pingouins ?
22h48

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Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: jeudi 13 mai 2021, 11:31:40 »
Dans le fond le forum est juste fait pour s'y distraire et échanger avec des gens qui ont la même passion de l'écrit... et du cul (souvent).

"Dans le fond"  :kappa:
11h30 - J'ai également une réponse à taper dites-donc !
Je suis également peu présente (en comparaison à d'hab quoi xD) ici bas ou sur le Discord, je le déplore, je passe quinze jours un peu durs  :(

Il est 18h51.
Ça fait déjà dix heures que j'attends ces putains de résultats. Et vous savez quoi ? BAH JE SUIS ADMISSIBLE \o/
Trois dodos de gâchés par le stress !

GG Kiwiiiiiiiiiiiii <3

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Prélude / Re : Un dragon presque familier [Vanéalidé !]
« le: jeudi 13 mai 2021, 11:29:41 »
Bienvenue !
IL EST TROP MIGNOOOOOOOOOOOOOOON  :P

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 09 mai 2021, 19:04:56 »
 :o
Gloire à Lui

19h04 - Jéfaim. Là.

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