Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Le lion et la nymphe (non, ce n'est pas une fable) [Pv]
« Dernier message par Sareeth le Aujourd'hui à 00:50:58 »
« Néméa. Quelqu’un est entré. » La voix familière se disperse dans la brise nocturne. Il ne demeure nul être autour de la maison. Seule ma silhouette fanée est déposée sur le cadran de la fenêtre ouverte. Mes bras entrelacés forment un coussin où ma tête a reposé quelques instants. J’ai relevé mon visage. L’appel m’a troublé.

Depuis sa disparition, son absence me hante. De jour et de nuit, l’espoir pèse sur mon cœur. Que ferais-je sans lui si ma forêt est attaquée ? Il a été mon héros, mon protecteur quand moi, gardienne des lieux, je fais face à ma propre impuissance.

Il n’est pas aisé d’entrer au sein de l’ancestrale forêt de Céphrusa. Elle n’ouvre son passage qu’aux âmes blessées dans leur corps ou leur cœur. Mais il est possible de le forcer pour les plus puissants malhonnêtes car elle converse en son sein des joyaux inestimables de la nature. Tout ce qui entre est su, tout ce qui demeure est accepté. Je ressens la présence de cet homme blessé. C’est une étrange créature qui se distingue mais il a besoin d’aide. Je ne le lui refuserais pas. Je me lève à peine pour partir à sa rencontre.

L’eau la guidait jusqu’au refuge de la forêt. Quand il tombe dans l'inconscience, les racines des arbres le soulèvent à travers la forêt. Je suis à mi-chemin quand je peux observer son corps baladé avec délicatesse et l'étendue de ses blessures. « Guide-le jusqu’au lit. » La nature répond à ma requête. Je suis d’un pas pressé les souches se reliant. La porte de la maison dans l’arbre s’ouvre devant. Il est déposé avec douceur dans les draps chauds de mon propre lit. Je récupère une bassine remplie d’eau chaude.

Je m’attèle au soin durant les heures suivantes. Les différentes propriétés magiques de l’eau et du baume apaisent les douleurs les plus vives mais elles ne permettent pas une guérison complète. Le repos est son meilleur allié. Je demeure à son chevet durant les heures suivantes qui lui sont nécessaires. Son réveil tarde. Il signifiera peut-être l’ouverture de son appétit.

Un oiseau est missionné pour veiller sur lui. Il est posé distraitement au bord de la fenêtre pendant que je me charge de trouver quelques baies et fruits à offrir à mon invité. Nymphe des bois et divinité inférieure, je ne connais aucun appétit mais les cadeaux de la forêt sont toujours un délice. Quand j’entre, les premiers signes d’un réveil se font imminent. Alors je prépare un verre et dépose la corbeille sur la table de nuit.

Ma place est reprise sur le tabouret à son chevet. J’attends son éveil pour m’assurer que les douleurs ont disparu et de la bonne voie de sa guérison.
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La zone industrielle / Re : Tester la marchandise - PV (Sareeth)
« Dernier message par Sareeth le dimanche 19 mai 2024, 23:21:53 »
« Très bien. » Un mois, ça peut être extrêmement court comme une véritable éternité. Je ne sais ce qu’il met derrière ses conditions. Mais il est clair que je ne décevrais pas notre engagement. Séduire des hommes est si facile que j’en ai perdu le goût. Je n’ai aucune inquiétude à avoir. Mais lui devrait se faire du souci pour sa part du marché. Il se distingue et quelque chose de spécial se dégage de lui. Cette sensation s’accentue quand il s’approche mais est-ce suffisant ? Assez pour attiser mon intérêt, pour l’instant. « C’est vous que je veux une fois mes preuves faites. » Sans détour, j’exprime mon envie.

Il ne reste planté devant moi que pour attraper l’invocateur et lui ordonner ma libération. Le cercle s’efface et je peux enfin bouger à ma guise. Je m’étire de mon long. Ils s’éloignent tous comme si je représentais un réel danger ? Le petit humain était si fière de son invocation, il y a encore quelques secondes. Maintenant, je suis devenue une source d’inquiétude. Il n’est pas le seul à posséder cette réaction étrange. Son absence de courage m’arrache un rire et me permet de patienter jusqu’à la présentation de mon épreuve.

Avec l’homme de main sous le nez, je comprends vite les intentions du contractant. Je lui laisse toutefois le loisir d’expliquer la situation et les différents méfaits qui l’ont conduit à cette situation. S’il me livre, c’est qu’il ne doit plus le considérer d’une grande utilité. Une telle décision est souvent motivée par la trahison. « C’est le fruit d’une mauvaise éducation. Tuer pour des gâteaux, c’est une première. Fais-le pour une bonne raison la prochaine fois. » Je n’ai peut-être pas compris la métaphore que leur chef a glissé derrière les biscuits mais ça ne change rien à ma mission.

Le fautif tente de se défendre mais atterrit toujours plus bas, face contre terre. Il m’oblige à m’accroupir devant lui. Les jambes à peine écartées, il peut voir ma culotte. Mais il n’est pas le seul car ma courte jupe remonte au niveau de mes fesses pour le plaisir des hommes derrière moi. Mon corps est fait pour répondre aux fantasmes de ses hommes. « Evitez de le mettre en morceaux avant ! » Il est pas loin de m’offrir un cadavre comme entretien d’embauche… Y a mieux quand même !

Je dépose avec douceur une main sur la joue de James. « Mon pauvre James, il vous malmène pour des biscuits. » Ma voix se fait langoureuse et je n’utilise pour l’instant aucun de mes pouvoirs mais seulement mon charme surnaturel. Je sens tout de suite l’homme réceptif mais rendu méfiant par la présence de son boss. « Je peux vous aider… Vous libérez de lui. » J’appuie chacun de mes mots, à travers eux mon pouvoir de séduction s’immisce. « Lâchez-le et éloignez-vous. » J’ordonne à Randal mais je n’ai pas besoin de ça pour parfaire mon emprise sur James.

« Que dois-je lui faire faire ? »

 Il est déjà à mes pieds. Mais la situation se fait plus parlante s’il s’éloigne. James peut se détendre et se laisser consommer par son désir.

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One Shot / Le lion et la nymphe (non, ce n'est pas une fable) [Pv]
« Dernier message par La légion de l'Eternel Ardant le dimanche 19 mai 2024, 22:52:30 »
« Général, général, vous devez fuir ! »

L’aide de camp, un homme lézard particulièrement vilain avec cette espèce d’écailles dressées sur la tronche, avait un bras en moins. Cela repousserait, bien sûr… mais les choses étaient claires pour le seigneur Pyrrhus, les légions des nuées étaient vaincues et étaient actuellement joyeusement massacrées. Et voilà où ils en étaient… le Champion des nuées avait de nombreuses blessures, rien de grave selon lui. Au fond, même la mort n’était pas grave. Mais il savait ce qu’était la captivité et il ne voulait pas y retourner… et ils savaient qu’il ne mourrait pas assez facilement pour éviter cela, au rythme où les choses allaient. Alors oui, la fuite était la seule option. Il pesta et saisit son griffon ardant pour se mettre en selle et fit claquer les rênes sur l’encolure de l’animal. Il se mit à courir et battit des ailes un moment, commençant à s’élever.

Les flèches sifflaient autour, et une cuisante douleur atteignit son épaule suivit d’une autre, dans le bas. Ne pas retirer les flèches, ne pas retirer les flèches, malgré la douleur, ça évitait au sang de sortir à flot. Une nouvelle flèche qui siffla à deux pouces de sa tête. Et là, ce fut un cri qui déchira les oreilles du général. Et sa monture commença à perdre de l’altitude, battant des ailes pour rien ou presque, parce que l’une d’elle commençait à se tordre. La flèche avait atteint la jointure… et quand elle percuta le sol, le terranide lion fit un roulé boulé et se releva péniblement pour se mettre à courir. Il tu avait de l’eau plus loin. Un bon moyen de faire perdre sa trace. Mais alors même qu’il commençait à nager, la douleur à son, épaule, et celle à son bras, lui firent comprendre que c’était peine perdue. Alors, au lieu de nager, il tenta au moins d’avancer d’un bras l’autre pendant mollement. Il savait laisser du sang dans l’eau.

Tant pis. Il ne chercha pas à remonter le courant, mais se laissa porter, jusqu’à s’échouer sur une berge, dans une forêt. Il faisait nuit. Mais il n’avait plus la force, c’était se reposer ici ou se noyer. Au moins était-il en forêt. Il toussa, essaya de se relever, mais c’était peine perdue. Alors, il se traina juste dans un fourré, à proximité, et s’abandonna. Allez, un peu de repos, juste un peu de repos. Il allait fermer les yeux quelques minutes. Essayer de se reposer pour se relever vraiment et partir. ?
Il tomba dans l’inconscience.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Sareeth le dimanche 19 mai 2024, 22:35:49 »
« Jamais. Imposez-moi la punition que vous désirez. » Il n’est aucunement question de l’amadouer. Au contraire, il m’a rendue curieuse par cette seule évocation. Qu’a-t-il en tête ? Quelle est sa manière de punir ? Je me le demande. Je suis impatiente de recevoir son attention quelque soit la manière. Mes doigts qui s’attardent le long de sa queue nous font patienter le temps que les choses se corsent.

J’apprécie lui montrer mon impatience à l’idée qu’il me fasse à nouveau connaître le même plaisir qu’au cinéma. Dans l’attente, sa verge frotte contre mes cuisses et parfois remonte contre mes lèvres. Il serait préférable qu’elle y trouve refuge mais la caresse sensuelle m’ôte un soupir brûlant. « Je changerais les draps. Ne vous souciez pas des détails. » Le lit ou ailleurs ça n’a pas d’importance. Toutes les pièces finiront par être marquées de nos intenses ébats.

Il attrape mes fesses. J’apprécie son intérêt mais il me surprend quand ses mains descendent pour me soulever. Mes jambes entourent ses cuisses et mes mains se déposent sur ses épaules. Il me porte haut au point que ma poitrine se colle contre son visage. Je comprends vite son intention quand peu à peu dans une caresse sensuelle, nos corps se frottent l’un à l’autre. Son gland se presse contre mes lèvres intimes. J’allais lui répondre mais la pénétration me coupe la parole.

Je m’accroche à lui alors qu’il commence son avancée. Le gland seul m’offre déjà de nombreuses sensations. « Le passage est libre pour que vous puissiez me remplir à nouveau. » Je gémis contre son oreille. Il prend peu à peu possession de moi et de mon orifice toujours très étroit pour son imposante verge. Il est pressé et étouffé dans mon antre brûlante. « Soyez sauvage… Plus encore qu’au cinéma. » Je le supplie alors qu’il me lâche.

Je m’empale jusqu’à sa garde, gémissant plus fort. Surprise par son geste, je lui ai griffé le dos en m’accrochant à lui. « Regalis… Ne me posez plus jamais cette question ! Démontez moi… » Il ose me poser cette question alors que je suis à sa merci. Je n’ai aucune manière de lui résister ou de pouvoir bouger pour nous donner ce plaisir tant désiré. Il me fait attendre avec sa verge prenant pleinement possession de mon corps désireux.

Est-ce cela sa punition ? A me laisser le sentir sans pouvoir bouger, il me fait connaître cette même horrible frustration qu’au cinéma. « Démontez-moi à chaque fois… Que vous en avez envie. » Je lui fais part de ma requête. Je n’ai pas envie qu’il s'embarrasse des convenances, du lieu ou du moment. Je veux pouvoir sentir sa queue me prendre à chaque fois qu’il en a envie ou que je le réclame. Mon regard le supplie de bouger et de me baiser.
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Centre-ville de Seikusu / Protection rapprochée ~ Shun
« Dernier message par Molly Murphy le dimanche 19 mai 2024, 20:56:24 »
Point de vue de Molly.

Sienna est toujours la première debout comme si l’alcool ne l’atteint pas. Elle est assise sur le canapé, devant un dessin animé dont elle a coupé le son pour ne pas nous réveiller. Je me suis endormie de l’autre côté. J'émerge lentement avec une sacrée migraine. Je suis sûre d’une chose : on a abusé sur la vodka. Le sol me le confirme. Il est recouvert de cadavres de bouteilles dispersés autour de la table basse. Quand mon amie remarque mes yeux ouverts, elle commence à me faire une série de signes bizarres. Je penche la tête sur le côté pour tenter de décrypter son message mais… Je comprends que dalle ! « Quoi !? » Je m’indigne à voix basse.

Elle s’agace. Sienna essaye de pas trop bouger car la tête d’Hazel repose sur ses cuisses. « L’aspirine est sur la table ! » A son tour, elle marmonne doucement mais j’arrive enfin à comprendre son message. Je me relève mais bizarre, mes pieds ne touchent pas le sol ? Macy est allongée comme une merde par terre au milieu des bouteilles. Malgré l’inconfort, elle se tape sa meilleure nuit. J’essaye de l’éviter pour récupérer le verre d’eau préparé et les cachets. Heureusement qu’elle est là. Sienna est la responsable du groupe, celle qui prend toujours soin des autres.

Après avoir englouti mon verre, je me lève pour m’asseoir à côté d’elle et dépose ma tête contre son épaule. Il est temps d’attendre que les autres se réveillent maintenant… Mais un soudain message fait vibrer nos téléphones à l’unisson. Hazel continue ses paisibles rêveries mais Macy se fait soudainement réveillée. Elle se cogne la tête contre la table basse et se roule de douleur sur son lit de fortune. Son vacarme conclut au réveil de la belle au bois dormant. « C’est quoi ce bordel ? » Sienna râle en attrapant son portable. Un sms inquiétant s’affiche :

Vous avez été témoin d'événements compromettants. [...]

La suite se résume à différentes menaces si nous osons voir la police. Après comparaison de nos téléphones (quand Hazel et Macy se sont enfin levées), les messages sont identiques. Mais aucun de nous n’arrive à considérer ce qui a pu amener à cette situation.

(Macy) - On fait quoi ?
(Hazel) - On ignore, c’est de la merde. Ils veulent nous faire payer une rançon. C’est courant.
(Macy) - C’est toi, la gosse de riche ! Pourquoi on l’a toutes eu ?
(Molly) - On devrait peut-être contacter la police…
(Sienna) - Vous vous rappelez de l’autre soir où Macy a voulu aller baiser des gars dans une rue ?
(Macy) - Lequel ? Y en a tellement…
(Hazel) - Ceux avec des mallettes pleines de thunes ? Oui je me souviens de leur visage.
(Molly) - Putain…
(Sienna) - Je pense que Molly a raison, on devrait aller voir la police.
(Macy) - C’est peut-être juste un canular !
(Sienna) - C’est plus prudent.

Sienna s’occupe d’appeler la police. Après différents échanges, elle leur envoie les différentes captures d’écran des messages reçus sur nos téléphones. Hazel qui a la meilleur mémoire eidétique leur décrit les visages. Les hommes sont vite identifiés comme étant des membres éminents de la mafia japonaise ce qui n’est pas vraiment pour me rassurer mais Sienna fait de son mieux pour garder une cohésion au sein du groupe.

A la fin de la discussion, il est conclu qu’il est plus prudent que nous restions chez Hazel. Sa résidence est difficile d’accès et particulièrement sécurisée. Son penthouse offre assez de place pour que nous puissions y rester quelques jours si le besoin se fait sentir. Mais ils assurent qu’un policier va venir prendre nos dépositions complètes en fin d’après-midi et un autre lui secondera en début de soirée pour notre sécurité. Il nous invite à ne pas nous rendre au rendez-vous pour bien rester en sécurité. Nous obéissons. Nous faisons le nécessaire demandé. Nous barricadons les fenêtres avec l'aide du premier agent qui constate lors de notre entretien des nouvelles menaces.

Il prend tout en note. En début de soirée, son collègue nous rejoint. Il est à peine entré que Macy lui saute presque au cou.

(Macy) - Combien de temps allons-nous rester, Monsieur l’Agent ?
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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Regalis le dimanche 19 mai 2024, 19:39:11 »
Visiter son domaine ? … Il était difficile de répondre à cette question. Il ne savait pas ce qu’il était devenu. Il ne sait même pas si les autres dieux sont au courant qu’il n’est plus dans sa prison. Et si c’était le cas, auraient-ils préparé un piège qui se refermerait sur lui lorsqu’il y mettra les pieds ? De plus, si des créatures avaient été mise chez lui par ses semblables, les araignées étaient effectivement des adversaires ou il ne pourrait pas se permettre d’épargner son habitat. Après tout, on extermine la vermine.

-Peut-être un jour … Je dois m’assurer qu’il existe encore.

Bien que cette phrase puisse soulever d’autres questions, il esquivait au moins les autres sujets plus délicats. C’était une succube. Par définition, les problèmes de Regalis étaient loin d’être les siens. Aucune raison ne l’obligeait à partager tout ça. Ce n’étaient pas des cachoteries non plus. Cela ne concernait que lui après tout et ce, depuis le début de l’histoire.

Bien qu’elle soit mise en valeur dans cette douche, ayant un appétissant corps dont les courbes appelaient au vice, il la faisait languir tout en la titillant sur cet individu qu’elle n’avait pas puni pour lui avoir parlé de la sorte. Elle ne semblait pas apprécier, esquivant même plutôt le sujet à vrai dire, ne lui répondant pas clairement sur la raison de sa présence. Mais il n’était pas stupide non plus … Il pouvait facilement émettre une hypothèse. Les réactions des vivants étaient parfois des fables ouvertes.

-D’accord je vois …


Il n’en disait rien de plus. De toute façon, avait-il besoin ? Elle savait très certainement qu’elle avait donné des réponses malgré les cachoteries qu’elle était en train de faire. Bien qu’il ne sache pas la vrai vérité, il agissait en dieu. Elle coupait l’eau pour le rejoindre. Elle restait humide, ne se séchant pas. Il devinait la suite … il devra la réchauffer car l’eau finira par lui donner quelques frissons. Cette fois, avec la lumière, elle semblait profiter d’une manière plus intense des dessins qu’offrait son corps. Elle disait accepter n’importe qu’elle punition tout en entourant sa queue de ses doigts …

-Avec cette action … n’es tu pas en train d’essayer de réduire la difficulté de cette punition ?

Elle le guidait alors en dehors de la salle de bain. Il entrait alors dans une chambre, la sienne très certainement. Elle reculait vers le lit, petit pas par petit pas, laissant sa verge caresser ses cuisses de temps en temps, ses lèvres intimes avant de se faufiler entre ses cuisses quand elle s’arrête, laissant la chaleur de ce pieu se répandre sur cette peau encore humide …

-Le lit risque d’être mouillé … Et tu as fourni de beau effort pour que je rende honneur à ce corps … Alors …

Il posait ses mains sur ses fesses en la regardant. Elle devait bien avoir compris que ses fesses étaient appréciées du dieu. Il se penchait légèrement pour les passer sur ses cuisses et la souleva sans peine et assez haut pour que sa verge se dresse directement en dessous d’elle … Elle pointait vers ses lèvres intimes, la laissant descendre petit à petit contre lui, laissant sa peau frotter la sienne, comme un ascenseur jusqu’à ce que son gland touche ses lèvres intimes … Il s’arrête alors …

-Est-ce encore plein ? … Ou la succube a déjà bien absorbé tout ça ? …

Il ne lui laissait pas le temps de répondre, laissant la descente continuer et son gland écarter ses lèvres intimes, lui laissant le plaisir de redécouvrir la largeur de sa verge qui écartait à nouveau ses chaires étroite … gémissant lorsque le gland est entièrement en elle … Continuant la route jusqu’à deux tiers de sa longueur …

-Ce sera sauvage je te préviens …

Il laisse alors les derniers centimètres être parcouru en la laissant tomber le long de sa verge ! Son bassin bien collé au sien, il se lèche les lèvres devant elle avant de serrer ses fesses entre ses mains …

-Puis je … Te défoncer ?

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One Shot / Re : Dans les songes de l'écrivaine. ~ Draven
« Dernier message par Draven Dairn le dimanche 19 mai 2024, 19:15:28 »
Les gens se rendaient-ils compte à quel point ils se laissaient aller parce que c’était un rêve ? En fait, cela dépendait si l’on considérait que l’on était lucide ou pas dans un rêve. Généralement, ceux qui étaient lucides dans le rêve faisaient perdre un peu de sa saveur à celui-ci par leur non implication. Ou au contraire par leur sur-implications, en fait. Là par exemple, on était à la limite de là sur implication…
Mais j’avais la dalle, et puis bon, un peu de bon temps, ça ne devrait pas poser de problème.

« Et si cet ascenseur était celui des bureaux de ton patron ? Le risque est suffisant ? »

Je venais l’embrasser avec tendresse, mes mains à ses fesses, en place, la pelotant allègrement, ses fesses mises à nues alors que la robe était remontée par mes bras à ses hanches pour plus de praticité... elle se laissait clairement faire. Et je ne l’en blâmerais pas. Nombre de femmes – et que dire des hommes – faisaient des rêves érotiques bien débridés. Elle restait sage, pour le moment, elle…

« Lui ou un autre pourrait monter dès que l’ascenseur reprendra sa route… et tu seras alors là, à moitié nue, avec un homme qui te ferait l’amour. Devant lui… »

Les mots étaient progressifs. Comme des invitations à l’imagination.

« Mais ce qui serait vraiment gênant, ce serait de ne pas profiter pleinement de ses fantasmes… »

Je souris. Oui, les fantasmes étaient une forme de rêve. Viscéraux et prenants, alors autant qu’elle s’y livre…

« Et pour les réaliser, il suffit de les dire. »

Mais le rêve « vacilla » un court instant… comme une hésitation, je le sentis, même si rien de visible ne se fit sentir, vraiment, mais moi, je savais, parce que je connaissais les rêves. Elle avait eu un instant de doute et le rêve avait failli basculer.
Ce fuit donc avec un peu de retard et une petite hésitation que je répondais à sa phrase clichesque en l’embrassant à pleine bouche, venant la débarrasser d’un geste sec et d’un bruit de tissu déchiré de sa robe, exposant sa nudité pour continuer à jouer. Mes lèvres venant descendre à sa mâchoire, à son cou, à sa gorge… apparemment, elle voulait faire sage et gentillette et s’acharnait juste sur ma ceinture et ma braguette pour finalement venir saisir le sexe impatient et dur de l’envie d’elle…
Pourtant j’avais d’autres objectifs… je vis doucement écarter ses mains de mon sexe pour me pencher, et pour venir embrasser son sein, mordiller le mamelon ;

« Je vais te montrer comment se comporte un fantasme digne de ce nom… »

Je ne m’attardais par sur l’auréole assombrie de son sein et je descendais, me mettant à genoux, pour venir embrasser son ventre, son nombril, descendant…

« Savoure, savoure, sinon, Il pourrait revenir… »

J’avais lâché ça comme une peur, une menace, ou un avertissement, comme si son cauchemar était dehors, tant qu’elle serait à fond dans son fantasme…
Et je baisais son pubis glabre comme si je n’avais rien dit.
Mais avais-je dit quelque chose ou son esprit avait il été saisi d’une pensée que le rêve lui avait glissé ?
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Centre-ville de Seikusu / Re : Quand le lapin devient une belle vampire ~ Em
« Dernier message par Em le dimanche 19 mai 2024, 19:08:38 »
En plein dans le mille; un tocard sur Tinder. Honnêtement, je ne me surprends presque plus, il y a seulement au moins 50 raisons pour qu'une femme se retrouve seule dans un bar, mais sa mine basse et sa tenue en avait quand même éliminé plus du trois quart. Le mec lui avait posé un lapin simplement parce qu'elle avait refusé de baiser.

Honnêtement, connaissant les mecs comme je les connais, c'est probablement l'une des meilleurs façons de perdre leur attention, mais elle a déjà le moral dans les talons, la p'tite, j'vais quand même pas lui dire oui!

"
Bah non," que je lui fais. "Mais c'est Tinder, ma grande. Si tu le suces pas avant la fin de la soirée, t'es automatiquement reléguée au titre de frigide."

Et le plus drôle, c'est via Tinder que je marque le plus grand nombre de proies. Genre sérieusement, j'ai qu'à me connecter, prendre quelques photos, puis écrire "party girl" dans la bio, et hop, en moins de trois heures, je déniche plus de 40 mecs qui font la file pour me refiler, presque sans rien demander, leur fric, leur matos et, bien sûr, leur sang. Bon, le dernier, c'est plutôt involontaire de leur part, MAIS, ça compte!

Elle me montre son téléphone, et dessus, je vois le message de ses copines. C'est chouette, les copines. Les miennes sont toutes mortes, certes, mais il y avait quelque chose de sympa à avoir son petit groupe, jouer les putains dans les rues de Târgoviște, faire les poches des passants trop naïfs et boire à leurs frais quelques heures plus tard. Des bonnes copines.

Elle me tend son téléphone, et je souris à sa question.

"Un message? Mieux."

Je prend le téléphone et je fais quelques manipulations, commençant par le mettre en mode caméra (c'est important), puis en mode selfie. Elle se présente, et je lui souris encore une fois. Molly. Putain, de toutes les nanas dans ce pays, il fallait que je tombe sur une meuf qui avait littéralement le nom de ma drogue préférée sur son passeport.

"Ember, mais les gens m'appellent juste Em. Maintenant, bouge pas~ Y'a qu'un truc qui énerve plus les mecs de ce genre que de se voir refuser une sauterie; c'est de passer à côté d'encore mieux~"

Je m'approche d'elle, et je lui ajuste quelques mèches de cheveux, puis j'arrange un peu l'angle de caméra pour cache l'angle de nos lèvres et je presse les miennes contre la commissure des siennes, avant de prendre un cliché, tout en n'oubliant pas de lui envoyer un doigt d'honneur par-dessus le marché, et je dépose le téléphone entre les mains de la jolie dame, reprenant place sur mon siège.

"S'il y a un truc que les lycéennes apprennent rapidement dans ce pays", dis-je en sortant mon miroir et mon rouge à lèvres pour faire mon touch-up, "C'est que les mecs sont des chiens. Elles apprennent donc à les traiter comme tels. D'un côté, ca rend la tâche HYPER compliquée pour les mecs bien, mais les soeurettes se protègent~"

D'où le fait que, de manière générale, je m'en prends pas aux mecs et aux nanas bien. Autant je suis presque littéralement une sangsue de la société, je trouve que la rareté d'un bon mec ou d'une bonne meuf vaut la peine de préservation. Oui, oui, je sais, je suis une vraie philosophe, ne m'écrivez pas. Une fois mon maquillage refait, je demande au barman un petit verre d'eau et une lingette, et lorsqu'il revient, je regarde ma nouvelle rencontre et je lui pointe sa joue.

"Tu as un petit peu de moi sur toi, juste là, Molly."

Une belle grosse marque de lèvres noires près de sa bouche. Si elle croisait ses copines avec ça, elle ne pourrait pas éviter des milliers de questions. Pas que ça me dérange, j'aime bien embarrasser les gens, les forcer dans des situations malaisantes ou dérangeantes, mais Molly avait déjà eu une soirée de merde en perspective. Je vois peu de sport à rendre la journée de quelqu'un encore plus misérable, c'était comme battre un chiot. Et s'il y a une chose qu'Hollywood nous as tous appris, c'est qu'on ne botte jamais,
jamais, les chiots.
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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Regalis le dimanche 19 mai 2024, 18:56:43 »
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Tant que c'est pas au placard :O
10
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« Dernier message par Lyli le dimanche 19 mai 2024, 18:55:04 »
Si j'ai le droit de le manger après, ok !

embrasseriez-vous... une photo de vous même
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