Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les alentours de la ville / Divine rencontre...{Los Angeles} {Jin et Hédoné}
« Dernier message par Luxury le Aujourd'hui à 00:50:36 »
«Vous devriez penser à votre santé...le sport...»
«Pardon ?»
«Je disais que vous devriez...»
«Non la suite.»
«Le sport ?»
«...»

Le silence que laissa Edwina Papadakis voulait tout dire. Bien plus que si elle avait mis des mots. Installées de toute sa longueur dans une méridienne aux pieds dorés, elle regarda son vis-à-vis de la tête aux pieds, lentement, remonta ses yeux de ses pieds à sa tête, deux fois, puis soupira, avant de se redresser sur son séant.

«Vous êtes sérieux là ?»
«He bien...c’est à dire que...»

L’employé de maison n’était pas à l’aise, d’autant que sa collègue n’arrêtait pas de le regarder avec insistance depuis son poste, juste derrière leur patronne. Elle secoua la tête plusieurs fois, comme pour lui dire de ne pas continuer sur cette voie-là.

«C’est à dire que...je me suis dit que...enfin vous savez...»
«Je ne sais pas. Dites-le moi ? Je vous écoute...je suis...toute ouïe !»

Et pour appuyer ses dires, Edwina s’était penchée en avant, les coudes sur ses genoux, sans quitter des yeux l’odieux qui osait lui dire que faire de sa santé, de sa vie, de son corps...tout ce qu’elle détestait. Plus il s’enfonçait dans des recherches explicatives, plus la femme semblait prendre plaisir à le laisser se noyer dans des justifications.

« Votre médecin à dit hier, que vous deviez faire un peu d’exercice pour...»
« Non mais allez-y, sincèrement. Je ne vais pas vous manger, c’est promis. Dites moi, allez...»

Son ton, faussement maternant, était amusé, presque sadique. La jeune femme derrière sa maîtresse, continuait de secouer la tête, lui faisant des petits signes pour qu’il arrête le massacre. Car il ne ferait qu’offrir une opportunité de scandale à miss Papadakis, qui adorait ça, au fond.

«Dites le.»
« Vous devriez faire plus attention à votre poids.»

Nouveau silence, qui fut brisé par le petit bruit d’une claque sur un front. C’était la jeune domestique, derrière, qui venait plaquer sa paume contre son visage, se mordant l’intérieur de la joue pour ne pas rire. Car au fond, elle savait que l’employé avait raison.

«Charles...mon petit Charles...»
«C’est Tom madame.»
«Soit. Tommy chéri. Est-ce que je vous paie à faire la balance ? Dans tous les sens du terme ?»
«Non madame me paie pour entretenir la maison et m’assurer que les placards soient toujours garni et...»
«Donc, votre avis sur la question importe peu n’est-ce pas ?»

Le ton doucereux qu’adopta Edwina n’augurait rien de bon. Parfois, lorsque la grecque était trop calme dans ses propos, c’était uniquement comme dans l’expression «le calme avant la tempête.» De plus, il était très malvenu dans cette maison, de parler de sport, car la maîtresse des lieux avait horreur de tout ce qui lui demandait des efforts, sauf si c’était dans l’optique de trouver du plaisir. En somme, le seul sport qu’elle acceptait était le sport en chambre. D’autant que certes, elle ne faisait pas beaucoup d’exercice, oui, elle aimait manger et sa gourmandise n’était plus à refaire, mais elle n’était pas grosse. Elle avait simplement la coquetterie d’aimer laisser des rondeurs sur son corps, là où elle savait que les amants aiment à y mettre les mains. Et qu’un employé, même pas payer à son bien être physique, nouveau de surcroît, se permette de lui faire la moral, était quelque chose qui avait tendance à la mettre en colère. L’irrité. Il risquait sa place en osant des mots pareil, surtout à l’heure de la sieste digestive, un peu avant son repas de midi.

«Oui, madame. Mais. Je ne voulais pas vous...enfin je ne faisais que...»
«TAISEZ-VOUS !»

Edwina se leva, souplement, remettant de l’ordre dans son peignoir, replaçant ses orbes charnus qui menaçaient à tout moment de s’échapper du tissu finement brodé de la robe de chambre qu’elle ne quittait jamais avant sa sieste du matin. Théâtrale dans la gestuelle, elle s’approcha de Tom et pointa un doigt manucuré et empli de bagues dorées, sur son costume parfaitement repassé, sans un pli, au niveau de son petit ventre rond.

«Vous me parlez de sport, alors que vous avez la bedaine d’un homme aimant un peu trop la bière. Je me trompe ? Vous me faites la moral sur ma santé, alors que pas plus tard qu’hier au soir, je vous ai aperçu dans la rue, en état d’ébriété au bras d’une demoiselle qui l’était tout autant. VOUS OSEZ me prodiguer des conseil sans importance, juste parce que vous avez assisté à mon entrevue avec cet affreux petit personnage qui ose se dire «docteur» ?? JE VOUS EN PRIE !»
«Madame...vous ne devriez pas vous énerver, c’est l’heure de votre sieste et...vous n’allez pas trouver le sommeil.»

C’était les premiers mots depuis le début de cette conversation, qui sortirent des lèvres légèrement maquillée de Rosie, la demoiselle de compagnie d’Edwina. Une jolie brune aux boucles qu’elle laissait retombées sur ses épaules, selon les désir de sa maîtresse. La jeune femme quitta son poste derrière la méridienne et se plaça derrière Edwina qui la dépassait d’une tête, posant ses mains délicates et manucurées sur ses épaules, les lui massant délicatement.

«Madame...s’il-vous plaît.»
«BIEN...Pardon. Vous avez raison, Josie.»
«Rosie madame...»

Le timbre onctueux, la voix cristalline de Rosie avait le don de calmer le volcan avant qu’il n’entre en éruption. Et Rosie était la seule capable de cette prouesse. D’autant que Tom avait choisi le pire moment et le pire sujet à aborder devant Edwina. Ses rondeurs dérangeaient le corps médical, dans un monde où la plupart des femmes désiraient une taille fine, un ventre plat, des jambes de nymphes. Tout ce qu’Edwina ne possédait pas, elle qui avait une croupe large, un petit ventre arrondi, une poitrine lourde.

«Barrez-vous. Maintenant.»

Sa voix était froide et sans appel, contraste parfait avec le ton empli de langueur qu’elle employa la seconde d’après, tout en se laissant tomber sur sa méridienne, paupière à demi baissée sur le bleu de ses yeux.

«Josie...avez-vous des nouvelles de ce...délicieux coach sportif ?»

Peut-être avait-elle eu un ton un peu...dégoûté sur le dernier mot, mais le reste, elle l’avait dit avec un délice à peine dissimulé. Rosie soupira, s’apprêtant à corriger une nouvelle fois sa patronne sur l’emploi erroné de son prénom, mais se ravisa et alla prendre une enveloppe sur le guéridon du petit salon. Bien que «petit», il ne l’était pas.

«Oui. Il y a un courrier qui est parvenu ce matin. J’allais le parcourir lorsque Charles...je veux dire Tom, est entré madame.»
«Bien. Lisez-le moi s’il-vous-plaît. Si c’est un refus...»

Elle ne termina pas. Edwina ne supportait pas les refus et espérait que ce ne serait pas le cas, tout comme Rosie, qui savait qu’autrement, miss Papadakis allait être d’une humeur de chien pour le reste de la journée. Et elle savait se montrer infernale, tout autant que théâtrale dans sa manière offusquée et capricieuse d’être intolérante aux refus, quel qu’il soit.

«Madame...»

Mais après que la jeune femme soit arrivée à la partie «J’accepte votre demande», Edwina s’endormit, le sourire aux lèvres.

C’était il y a quelques semaines, que miss Papadakis s’était mise activement à la recherche de quelqu’un qui serait capable de l’entraîner. Évidemment, elle ne faisait pas cela pour elle, mais pour qu’on la laisse tranquille avec son poids, ses rondeurs et ses habitudes oisives. Plus désireuse de faire taire son médecin, que de réellement faire l’effort de suer un peu plus afin d’obtenir quelque chose qu’elle ne désirait même pas. Il allait de soi que son entourage n’était pas au courant que même si elle avait un léger embonpoint, cela n’allait en rien mettre en danger sa santé, étant donné sa nature divine, mais elle ne pouvait pas avancer ces arguments, au risque de se retrouver en psychiatrie ou enfermé quelque part par des scientifiques un peu timbré. Drôle d’époque…

Elle avait parcouru bon nombre de site, bataillant avec la technologie qu’elle n’était toujours pas parvenue à maîtriser, avait demandé de l’aide à Rosie, s’était tournée vers différents conseiller avant de très rapidement abandonné. C’était tout par hasard, lors d’une soirée de solitude où elle s’était tournée vers Onan, qu’elle avait vu celui qu’elle désirait à ses côtés. Jin Tanaka. Il portait un autre nom, pour le film qui lui avait permis d’atteindre le plaisir en solitaire, mais du fait de sa situation de déesse, elle n’avait pas eu besoin de chercher, contrairement au mortel, pour connaître sa véritable identité. Ce serait lui ou personne d’autre. Et lorsque Edwina avait une idée en tête, elle ne l’avait pas ailleurs.

Les semaines qui suivirent sa découverte, elle se mit à la rédaction d’une lettre, un courrier long mais précis, à l’attention du fameux Jin, ne laissant pas filtrer dans son courrier, qu’elle l’avait connu à travers un de ses films. Au contraire, elle fit preuve, selon son propre jugement, d’ingéniosité, en disant qu’elle avait eu connaissance de son nom par l’ami d’un ami, qui l’avait rencontré dans une salle de sport, quelque part au Japon. Qu’elle-même aurait beaucoup aimé venir à sa rencontre, mais que son état ne pouvait lui permettre le voyage. Oui. Quitte à se faire passer pour quelque peu indisposée, tout, plutôt que quitter le confort de son domaine.

Ses arguments pour le faire venir était plutôt alléchant. Une paie plus que satisfaisante pour quelques heures de sport, tout frais payés. Évidemment ! La richesse de miss Papadakis était sans limite, aussi, elle proposait de lui faire préparer un jet privé, qui viendrait le conduirait à l’aéroport de Los Angeles et son chauffeur viendrait le chercher afin de le conduire dans son manoir où elle l’accueillerait avec plaisir et où, s’il le voulait bien, il serait logé et nourri. Il pourrait discuter des formalités un peu plus précisément, mais tout ce qu’elle désirait et cherchait, c’était un coach sportif. Sa demande était potentiellement excentrique, mais miss Papadakis l’était tout autant. Sur elle, elle ne disait pas grand-chose. Simplement qu’elle était une femme en surpoids, selon ses médecins et afin de les rassurer, elle avait promis de trouver quelqu’un pour remettre les choses en ordre.

Edwina n’était pas aller jusqu’à lui dire qu’elle se fichait royalement de ses capacités sportives et que tout ce qui l’intéressait, c’était son physique d’Apollon. Non. Ça, elle ne le mentionna pas dans son courrier, il le découvrirait bien assez rapidement. Elle glissa la lettre dans une belle enveloppe et la posta elle-même, en grand secret. Seule Rosie et son chauffeur était au courant de sa démarche. Et elle-seule savait que Jin Tanaka n’était pas simplement un sportif aguerri et il n’était pas forcément coach, mais bel et bien professeur. Elle se doutait sans avoir à chercher très loin, que ce serait risqué d’essuyer un refus catégorique si elle mentionnait ses films. Edwina n’avait pas besoin de faire appel à sa nature de déesse pour comprendre que monsieur Tanaka ne désirait probablement pas que s’ébruite les films sulfureux dont il était le...chibre principal.

« Madame ? C’est l’heure de votre dîner...»

--------

Une semaine après réception de la lettre, Edwina fit appeler son chauffeur. Elle lui expliqua qu’il devait aller chercher monsieur Tanaka à l’aéroport et le conduire ici aussi vite que possible. Elle avait hâte de faire sa connaissance. Officiellement «J’ai envie de me remettre en forme rapidement...» et personne pour douter de ça, en tout cas pas devant elle.

«Ainsi, Jerry, il faut aller à l’aéroport. Josie à préparé un panneau avec le nom de l’homme que vous devez récupérer. Il y a son plan de vol dans l’enveloppe qui se trouve sur la table, ainsi qu’un peu d’argent au cas où ce monsieur désire faire une halte quelque part ou s’acheter quelque chose à manger...mais tâchez de ne pas traîner, vous savez que je n’aime pas attendre...»
«Oui madame.»

Jerry n’était pas son nom. Il s’appelait Terry McCoy. Mais son chauffeur était plus qu’habitué à la mauvaise mémoire des noms de sa patronne et ne s’en offusquait pas. Elle payait bien et aussi, même si elle avait voulu le renommer Lindsay, il serait aller jusqu’à changer son nom sur sa carte d’identité. Pourquoi pas ? Après avoir encore écouté les directives de la dame, Terry, un homme noir de presque deux mètres, attrapa l’enveloppe, passa prendre le petit panneau avec écrit «Tanaka» dessus et se dirigea à l’extérieur, entrant sa grande taille dans la Bentley qu’Edwina affectionnait particulièrement. Il la bichonnait d’ailleurs, fier de conduire un aussi beau véhicule.

Il ne mit pas longtemps avant de s’engager sur la route et après deux heures de trajet, arriva à l’aéroport. Il gara le véhicule directement sur la piste des jets privés, près à accueillir Tanaka, qui devait se sentir seul dans ce vol où il n’y aurait que lui et quelques employés de vol, ainsi que, peut-être, un ou deux passagers qui payaient pour voler dans le jet de la Papadakis. Il n’eut pas longtemps à patienter, adosser contre la Bentley, pour voir au loin un point qui grossissait rapidement, avant de venir se poser sans encombre sur le tarmac. Une fois le véhicule à l’arrêt, il prit son panneau et s’avança vers le jet, laissant la porte s’ouvrir et les employés laisser descendre les quelques voyageurs. Il faisait chaud à Los Angeles et c’était une journée radieuse pour emmener Jin Tanaka vers la riche femme qui l’attendait impatiemment.

----

Impatiemment était le mot. Edwina faisait les cent pas, s’arrêtant de temps en temps pour observer son reflet dans la glace du grand salon. Elle avait tressé sa longue chevelure, serti sa crinière brune de fleurs dorées et portait un collier finement taillé dont la pierre  pendaient entre ses seins. Comme toujours, elle avait de nombreuses bagues en or à ses doigts, ainsi que des bracelets assortis, aux poignets et aux chevilles, ses pieds nus sur le carrelage frais de la demeure. La robe qu’elle avait choisie était légère, largement ouverte sur ses cuisses, dans un vert tendre qui mettait en valeur le nacre de sa peau. Les tissus choisis par Edwina étaient toujours léger et doux, la dame détestant par-dessus tout de se sentir serrée dans des vêtements, certes, plus modernes, mais qui étaient bien loin du confort qu’elle trouvait dans les toilettes de style antiques.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Regalis le vendredi 17 mai 2024, 20:49:08 »
Est visiblement une fraude sur league of legend d'apres les copains et dieu sait qu'ils ont raison!  :kappa:

20:49
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Em le vendredi 17 mai 2024, 20:14:55 »
C'est calme...

J'aime pas trop beaucoup ça...

Je préfère quand c'est un peu plus moins calme...

14;14
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One Shot / Re : Hollywood Trap
« Dernier message par Tenshi Kazama le vendredi 17 mai 2024, 17:50:34 »

C’est derrière moi, c’était vraiment un calvaire, une descente aux enfers pour la belle actrice, qui avait tout pour devenir la véritable icône du septième art. Depuis son Enfance, elle était baignée dans ce monde people. Grâce à ses parents qui eux aussi avaient été acteur ou bien producteur. C’était pour elle une destinée de pouvoir briller parmi les nombreuses étoiles d’Hollywood. Mais quelque chose a fait son apparition, une ombre dans le tableau qui détruit en un instant tout ce qu’elle avait construit, et pourtant, sa notoriété n’était plus approuvée. Son génie devant les caméra n’était plus à mettre à l’épreuve. Mais malheureusement son apocalypse s’appelle : Dio Brando…

Au début, quand elle regardait les infos, les magazines, elle ne comprenait pas ce que les gens pouvaient lui trouver. Certes, il était bel homme, mais il avait quoi de plus, surtout qu’il était inconnu comment s’était possible, Kim le rencontre sur un tournage, alors qu’elle devait prendre le premier rôle qu’il vient bien évidemment lui lui piquer sous le nez, la laissant se débattre avec le second rôle. C’était un échec qu’elle ne pouvait pas digérer avec le sourire, et elle décrète littéralement que cet homme lui sort par les tournées, malgré un charisme, et une prestance bien étrange qui attire la jeune fille. Sûrement cette sensation qui a poussé tout le monde à se tourner vers lui mais elle tient bon.

À la cérémonie des récompenses, elle était magnifique dans une robe bustier de couleur rouge, bordeaux, avec une parure de diamant autour de son cou au niveau de ses oreilles, puis l’un de ses doigts. Les coiffures irréprochables, elles étaient tout simplement le modèle à suivre pour toutes les jeunes filles qui désirent être à la page. et pourtant ce n’était pas sur elle, que les regards et les caméras, s’étaient tournés mets encore cet homme… d’ailleurs, alors que César était en train de faire durer un suspense qui ne l’était pas. Tant pour elle, l’annonce de celui qui gagne le plus grand Graal. C’était Dio.

Kim reste dans son coin en tenant fermement son petit sac à main. Elle voulait que cette soirée se termine le plus vite possible alors qu’elle était prête à se diriger vers la pièce de réception où il y avait un énorme buffet et de quoi boire pour oublier ce calvaire. l’acteur n’a aucune pudeur à venir se présenter devant elle pour lui demander si ça va

Eh bien si tu attends comme réponse que oui ça va, ce serait plutôt mentir mais félicitations pour ton prix… je pense que tu vas avoir beaucoup de mains à serrer… donc je ne vais pas te faire perdre ton temps

Alors qu’elle était prête à tourner les talons, son corps refuse de bouger. Il y avait une attraction bien étrange qu’il dégage et au fond d’elle, son instinct vient lui signifier qu’elle ne devait pas rester trop longtemps à ses côtés, mais ce n’est pas pour autant qu’elle arrive à se mouvoir. Bien évidemment, cette confrontation n’échappe pas au regard des journalistes qui viennent prendre LA photo et demande le ressenti de la jeune fille à haute voix : qu’est-ce que ça fait de perdre le prix, est ce qu’elle était contente pour son homologue est-ce qu’il y avait quelque chose entre les deux ? Est-ce que est-ce que est-ce que est-ce que… beaucoup trop de questions avant d’entendre ce qu’elle redoute le plus, un journaliste qui espère pouvoir prendre en photo les deux acteurs de manière plus convivial
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One Shot / Re : Un mâle pour un bien (PV)
« Dernier message par Lilly le vendredi 17 mai 2024, 17:43:34 »
INTRODUCING:


***************

Si quelqu'un ou quelque chose pouvait se plaindre à cet instant, c'était bien la porte de la chambre de Souta. La malheureuse se faisait raboter par Kimberly qui en prenait tout autant. Sauf que pour la californienne, c'était calculé, voulu, désiré et intensément vécu. Tordue dans une position à peine tenable, elle prenait de plein fouet le résultat de l'abstinence récente du garçon. Il l'avait pliée et martelait frénétiquement entre ses cuisses. A coup sûr, elle en ressortirait avec des bleus et des crampes. Néanmoins, elle gémissait tant et plus, se moquant du boucan qui résonnait dans le couloir.

Souta y allait dur et Kimberly avait l'impression d'accoucher à chaque fois qu'il se retirait d'elle. Bien qu'il la tienne, elle avait réussi à caler le creux de ses genoux sur les épaules du garçon et ses jambes battaient l'air au rythme du bourrinage. C'est exactement ce qu'il lui fallait: pas de demi-mesure ni de trucs trop mignons. Elle répondit à la langue de Souta en lui mordant le menton avant de lécher la marque que ses dents avaient laissé. Ensuite elle aussi s'appliqua à humidifier le cou du garçon avant de revenir se perdre au contact de ses lèvres. C'était chaud mais incomparable avec le surmenage de son cratère personnel. Entre ses cuisses, dans son ventre, tous ses muscles étaient contractés autour de la queue de Souta comme s'ils voulaient l'arracher à son propriétaire. Il devait forcer sans merci pour passer puis se concentrer comme un dingue pour en sortir. Le message était clair puisque quand elle le voulait, l'accès était aussi accessible qu'il le voulait. Cela n'avait rien à voir avec du masochisme, Kimberly aimait juste se faire secouer méchamment.

Mais le bougre savait y faire et elle qui comptait bien résister le plus possible hurla aussi fort que son orgasme la ravagea. Elle se cambra au point de réussir l'exploit de le repousser un peu, avant de s'affaler contre son corps musclé alors qu'il ne cessait de lui faire un sort. Béate, elle décida qu'il fallait absolument qu'elle préserve cette pépite de l'agression prochaine des autres filles.

Et c'est précisément à cet instant, alors qu'elle dégoulinait de cyprine, qu'une voix énervée résonna de l'autre côté de la paroi qui séparait sa chambre de la 307. Swan braillait.

Swan: "C'est pas fini ce bordel???"

Et pour lui faire écho, on tambourina à la porte.

Kimberly: "On s'en fout ... Finis! Lâche tout!!"

Et experte et souple comme elle l'était, elle parvint à glisser une main entre leur deux corps pour lui saisir la base de la queue et le branler en elle. Hors de question qu'elle reparte sans sa dose!! Pour inciter Souta à suivre son exigence, elle lui murmura à l'oreille des insanités qui auraient fait rougir de honte n'importe quelle mère maquerelle.

OoOoOoOoO

De l'autre côté de la porte, Daniela et Ayame écoutaient le couple s'envoyer en l'air. La chambre de Daniela était toute proche et les deux filles y travaillaient quand, comme tout l'étage, elles avaient été dérangées par le bordel de Kim et du nouveau gardien. Alors quittes à être dérangées, autant que ce soit pour quelque chose. Bien entendu, elles suivaient de près les commentaires du chat perso qui se garnissait de commentaires bien gras. Elles avaient aussi entendu Swan gueuler et connaissant bien le caractère de cette dernière, elles avaient pris les devants avant que cette dernière ne vienne enfoncer la porte. Daniela frappa encore à la porte.

Daniela: "Kim! Tu fais chier! Ouvre!!"


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Ville-Etat de Nexus / Re : Le dieu sauvage et ces bourses pleines (PV->Neel)
« Dernier message par Kana le vendredi 17 mai 2024, 17:11:15 »
Je souris à sa vanne, comme tous les mâles j’ai envie de dire mais je garde ma bouche fermer. Je me remonte rapidement sur lui et l’embrasse tout en pressant mes seins contre son tors, les mâles aiment ça, et rapidement il vient les empoigner pour confirmer ce que je pensais. Je lui demande alors s’il a encore envie, et sa réponse ne se fit pas attendre, un gros “oui” se fit entendre. Je me couche alors sur le dos et l’invite me prendre comme il l’entendait, et il ne se fit pas prier, mais pas dans cette position.

Il claqua des mains et me retourna pour me mettre à quatre pattes, il se mis derrière moi et je peux sentir ces queues se mettre en place. Cela me faisait plaisir qu’il prenne une initiative, jusqu’à présent il avait TOUT fait pour me satisfaire moi, mais sans grand intervention personnelle. Hor j’aimais bien qu’un homme prenne soin de sa femelle, mais qu’il impose ce qu’il veut aussi. Je sentis rapidement le début de ces pénis entre en moi, mais sans défoncer les entrées, il n’y allait pas comme un barbare au moins.

Je gémis doucement à ces allée et sortie en moi, aimant particulièrement les picots qui forte mes paroi interne. Il me dit alors en m’agrippent par les épaules, qu’il me donnerait autant de sperme que mon imagination le veut, ce qui le faisais retourner dans ces mauvais travers...

- J’en veux autant que ce que tu en donner naturellement, sans interférence de ma part...

Je pense avoir été claire sur mes intentions et joins même le geste à la parole en imaginant le dieu et ces pénis me prendre comme IL le veut vraiment sans interférence de ma part. Il me prend alors par les seins, facilement trouvable grâce à la lubrification mise plus tôt, et tire sur mes tétons avant de rentre la totalité de ces pénis dans mes deux trous. Personnellement je m’agrippe aux rebords de mon lit et le laisse faire son travail de mâle alpha.

-Oh ouai... mon mâle a moi...

Je passe une main sur mon ventre pour confirmer ce que je pensais, il n’avait pas un pénis de cheval, mais je sentais quand même son pénis en moi, surtout les picots qui déclenche des gémissements incontrôlés à chaque aller et retour...
7
Le Musée / Re : Re : Re : Entre les nus & les aquarelles [PV ASTRAL BOND - HEI]
« Dernier message par Tenshi Kazama le vendredi 17 mai 2024, 16:26:55 »






Elle aime tellement se faire baiser la bouche comme ça qu’elle pourrait le faire toute la journée avec autant d’hommes qu’il le faut. Et apparemment c’est nouveaux Maîtres avaient l’air d’être friands de ce genre de choses. Elle allait pouvoir s’en donner à cœur joie pour extérioriser ce côté nymphomane. Alors qu’elle était en train de subir les coûts de bassin dans sa gorge, il vient se libérer à nouveau pour venir lui faire boire ce qui allait être sa boisson favorite sans nul doute. Elle vient aspirer le sperme comme elle pouvait pour boire en plusieurs gorgées de tout, malgré la position qu’elle pouvait avoir pour finalement sentir sa grosse, bite sortir de sa bouche dans un bruit de ventouse, elle garde ses lèvres ouvertes pour respirer fortement en gardant la langue en dehors pour bien lui montrer qu’elle avait tout avalé

Haaaaa… c’était terriblement bon un goût parfaitement exquis pour ma bouche de salope

Tenshi alors lui laisser le loisir de reposer sa queue contre sa joue pour s’frotter et venir lui souiller le visage. Heureusement que son maquillage pouvait tenir. L’humidité est rester en place. Au bout d’un moment, elle se redresse pour se et reviens se mettre en position assis sur l’une des caisses., elle attrape la cravate du manager pour le tirer contre elle, afin qu’il puisse garder sa grosse queue contre sa chatte, complètement trempée et pleine de sperme et de mouille

Je suis tellement heureuse que vous puissiez valider mes aptitudes à vous satisfaire. J’espère que les autres seront du même avis que vous.…haaaan tellement comment est-ce que vous pouvez me baiser et surtout que l’endroit quel qu’il soit ne vous fait pas peur.

Tenshi Se mordit et se lèche la lèvre avant de se redresser pour venir l’embrasser en jouant avec sa langue de manière vulgaire et continue de faire frotter ses gros seins contre lui alors qu’elle garde ses cuisses bien ouverte pour lui montrer l’œuvre parfaite du manager sur son corps
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One Shot / Re : Re : Re : Prince & Princesse. [ft. Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le vendredi 17 mai 2024, 15:53:55 »






Tenshi avait elle aussi eu son orgasme en même tant que lui, elle était terriblement en colère intérieurement d’avoir pu offrir ça à un traître au lieu qu’à son futur mari mais ce n’était pas à lui qu’elle était en train d’en vouloir, mais plutôt à elle car elle venait de prendre un plaisir monumental à se faire baiser de la sorte. Alors qu’elle reste sur lui pour le laisser se vider complètement dans sa chatte il a clairement l’intention de la garder, rien que pour lui et cela à vie. Elle savait très bien qu’elle devait encore essayer de tenir Bon pour ne pas laisser sa volonté. Partir en éclat mais là toute seule il n’y avait personne pour l’aider à faire face à cet homme, bien plus puissant.

Haaaan… je n’essaye pas de cacher mon jeu…haaaaan

Elle devait se résigne toutes les paroles qu’il était en train de lui offrir n’étaient que pure vérité, la vie de noble, ce n’était pas pour elle à la base, mais elle n’avait pas vraiment le choix alors que maintenant elle ne l’avait toujours pas mais elle n’était pas tenue de tout le cinéma, qu’il fallait faire pour rester dans les bonnes Graces de sa belle-famille. Elle se laisse alors manipuler comme une poupée pour revenir à genoux et poser mains par terre pour se cambrer et mettre sa grosse poitrine. En avant, elle pouvait bien sentir le sperme qui coule sur le sol du palais, tout en regardant la grosse bite qui continue de venir la faire, languir Intérieurement. Son regard était autoritaire, et il parlait pour lui, sans avoir besoin de mots pour exprimer son désir actuel

Vous ne pouvez pas comprendre que ce résigner, ce n’est pas facile…

Elle se mordit la lèvre avant de revenir à quatre pattes entre ses cuisses pour por sa tête, faire la grosse bite. Tenshi laisse sa langue revenir contact de sa grosse queue pour la lécher surtout la longueur ne pouvant s’empêcher de gémir. Elle vient de de plus en plus se coller contre le corps de son nouveau propriétaire ouvrant bien la bouche pour venir sucer le gland en faisant bouger sa langue dessus, comment est-ce qu’elle pouvait encore lui dire non, alors qu’elle était en train de revenir le sucer sans y être vraiment forcée
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Les alentours de la ville / Les bois sont-ils hantés ? {Washington DC} { Akita et Luxury }
« Dernier message par Luxury le vendredi 17 mai 2024, 14:17:01 »
Le temps n’est pas clément aujourd’hui. Il pleut et moi, je traîne dans les rues. J’ai faim, j’ai froid. Je suis mouillée, plus humide que la culotte d’une ado à un concert de Justin Bieber. J’ai envie de dormir, de manger, de prendre un bain. Mais je n’ai pas assez de tune. Je me suis faite virer de la chambre que j’occupais depuis mon arrivée à Washington et les clients, lorsqu’il fait un temps aussi mauvais, ne sont pas nombreux dans les rues. Depuis que j’ai dû fuir les putes de la grand rue, terminant ma soirée dans l’eau glacée du port, ma rencontre avec une étrange créature, je vais de malheur en malheur. Oh. Non. Je ne dirai pas que c’est à cause de la rouquine qui m’a sauvé la vie, mais bien à cause des trois harpies qui, si elles m’étaient tombées dessus, auraient probablement pris plaisir à me torturer ou m’offrir en pâture à leur «Johnny»…

Mes derniers billets sont coincé dans mon soutif et le peu d’affaire que je possède, dans un casier de la gare. Je n’aime pas faire ça, mais ais-je le choix ? Sans toit ? J’ai déjà perdu assez d’argent et de temps, je n’aimerais pas risquer de perdre mes maigres possessions.

Les rues désertes s’enchaînent, mes talons claquent sur les trottoirs et les rares personnes que je croise sont des couples ou des personnes pressées de se mettre à l’abri. Je suis nouvelle dans le coin, alors je ne sais pas quel bar accepte les racoleuses. Si ça continue, je vais réussir à tomber malade, ce qui serait la simple suite logique de mes maux.

«Hey...Luxury c’est ça ?»

Je m’arrête. Qui connaît mon prénom ici ? Je doit peut-être me méfier, après tout, on ne sait jamais, avec la chance que j’ai en ce moment…

«Tu te rappelles de moi ? Ça alors...je ne pensais pas te revoir ! Et encore moins ici !»

Cette voix me dit quelque chose. J’ose enfin me tourner et me retrouve face à une jeune femme rousse, aux tâches de rousseurs nombreuses sur son nez retroussé. Charmine...Charlène ? Quelque chose comme ça je crois.

«C’est moi ! Charlyn !!!»
«Oh mais oui ! Qu’est-ce que tu fais là ??»
«La même chose que toi j’imagine ?»

Et nous rions, là, sur ce morceau de trottoir, la pluie nous trempant, mais nous en avons l’habitude. Charlyn est une jeune fille que j’ai rencontré en Pennsylvanie et qui m’avait dit qu’elle allait essayer de rejoindre Washington et que je devrais faire comme elle. Son teint pâle éclairé par les lampadaires en cette nuit chaude malgré le temps, semble à peine plus creusé que lors de notre première rencontre. La faim n’épargne personne après tout.

«Viens, je te paie un café ! J’ai un petit coin où je traîne, qui nous mettra à l’abri. Et tu me raconteras comment tu es arrivée ici !»

Pleine d’énergie malgré sa minceur de brindille, elle m’attrape le bras et m’attire en direction du parc. Je la suis tout en l’écoutant me raconter ses aventures depuis qu’elle est arrivée. Le bus, le type du bus qui, pendant quelques temps, l’a entretenue avant de la virer, du jour au lendemain.

«Sa femme est rentrée de voyage...tu vois le genre ? La scène que ça a fait !!! Je suis sûre que t’aurais ris. Jure.»

Charlyn. Cela me fait un bien fou de la voir là. De la compagnie dans la grisaille. Un petit Soleil au milieu de la nuit. Nous marchons, les vêtements collés par la pluie. Au parc, elle me fait passer par dessus la grille, m’entraîne dans un coin protégé par les arbres. Au coeur de cette petite «jungle» il y a une tente planquée dans la végétation. On voit que c’est aménagé pour une personne seule et que ce n’est pas si récent que ça.

«Oh. Ce n’est pas le palace, mais c’est mieux que rien. Et puis personne ne vient me faire chier ici. Le gardien...je lui fais des trucs, il me laisse tranquille. C’est un compromis plutôt bien je trouve. Y a pire. Il est pas moche alors...fin...»

Elle se tait, rosit, comme si j’allais la juger. Entre pute, on ne se juge pas. On pénètre dans la tente et elle me fait m’asseoir sur un sac de couchage ouvert, pendant qu’elle sort une bouteille d’un sac. Elle a l’air bien. Même si elle a l’air d’avoir faim.

«Raconte !»

Je lui dis tout. Mon arrivée ici, l’hôtel que je peux payer avec l’argent que j’avais mis de côté, les clients qui sont plus nombreux qu’en Pennsylvanie «Ce n’est pas difficile, la ville où on était c’était un truc de catho’» Son rire est rafraîchissant. L’alcool nous réchauffe. Je continue mon récit, entrecoupé de ses petites commentaires. Les trois prostituées, l’altercation...mais je ne sais pas. Je ne me vois pas lui raconter la sirène et tout le reste. Elle va me prendre pour une folle. Alors j’élude ça et termine sur la manière dont j’ai été mise dehors de l’hôtel.

«Merde alors ! Ma pauvre...c’est vrai que ici, il y a des secteurs qui appartiennent à certaines personnes et tu dois pas y foutre les pieds. Enfin. Moi ça ne m’empêche pas. Il faut juste savoir repérer les putes avant qu’elle ne te repère toi. Tu vois ?»
«C’est pour ça que tu es habillée comme une étudiante ?»
«Hahahaha...Oui. Je fais genre comme ça, si une pute ou un mac me voit sur son territoire, je ressemble à une jeune fille correcte plutôt qu’une prostituée en recherche de client.»
«C’est pas idiot...»

Nous passons une partie de la soirée à boire, puis elle s’excuse, elle a rendez-vous avec un client. Elle doit passer la nuit avec, elle ne sera de retour que demain. «Tu peux passer la nuit là si tu veux. Enfin...» Le gardien risque de prendre la mouche si il voit quelqu’un d’autre qu’elle-même.

«Oh ne t’en fais pas Charlyn. Cela m’a fait déjà plaisir de te voir. Je vais me débrouiller...ne t’en fais pas pour moi.»
«Il y a des squattes dans le coin si jamais...ou alors...tu peux peut-être aller plus au nord du parc, le gardien n’y va pas vraiment. C’est une zone en friche. La ville n’a pas encore décidé quoi y faire et attend des fonds. Il y a une vieille cabane en bois. J’aurais pu y aller, mais le gardien m’a dit que c’était un coin hanté...et j’ai toujours eu peur des fantômes tu sais bien...»

Je la remercie et accepte le second sac de couchage qu’elle possède et me propose gentiment. Nous échangeons nos numéros de téléphone et je la laisse aller à son rendez-vous. Je la regarde repasser par-dessus la grilles avec souplesse, habituée qu’elle est, avant de diriger mes pas vers la zone «hantée» soi-disant, du parc.

Il pleut moins, la Lune est plus haut dans la ciel. Si pleine qu’elle éclaire le chemin de caillou, comme si la voie m’était tracée. Le sac de couchage roulé sous le bras, j’arrive rapidement à un coin de forêt si dense qu’il me faut un moment avant de trouver une brèche pour entrer dans la végétation. Je suis obligée d’utiliser mon téléphone pour éclairer l’endroit. Les arbres ont le feuillage si épais, que la pluie ne m’atteint plus, avantage. Inconvénient ? La Lune semble disparue, tout comme le ciel et les étoiles. Malgré le silence presque pesant des lieux, je n’ai pas peur. Ce n’est pas comme si j’étais dans la jungle après tout !

Je peine à me frayer un passage, pense abandonner et me crois perdue, quand mon téléphone éclair un morceau de bois par terre. Une sorte de planche, suivie d’une autre. Un petit chemin sur le sol. Je décide de suivre la voie, jusqu’à ce que un reflet brillant me fasse éteindre vivement mon téléphone, l’oreille aux aguets. Comme je n’entends rien et que la lueur qui m’a fait sursauté à disparu aussitôt que j’ai éteint mon portable, je rallume lentement et balaie devant moi du faisceau de lumière. Ce qui m’a fait peur, c’est une vitre. Je pense que j’ai trouvé le fameux «cabanon». J’avance, mes pas plus assurés maintenant que mes talons ne s’enfoncent plus dans la terre meuble de la petite forêt.

Une petite porte, comme dans les contes, quelques rondins. Beaucoup de mousse et lorsque je pousse en tournant la poignée, ça résiste. Je donne deux, trois petits coups d’épaules, mon téléphone toujours en mode lampe de poche, coincé sous mon bras. La porte cède et je m’étale dans le cabanon, soulevant un nuage de poussière qui me fait tousser. Visiblement, c’est abandonné depuis longtemps, mais étonnamment, ça ne sent pas trop le moisi. Ça sent la forêt, cette odeur qu’ont les bois en automne, après un orage. Visiblement, la densité de la végétation protège l’endroit des altérations dues à l’humidité. J’éclaire autour de moi. C’est vétuste. Une simple pièce carrée, une petite table faite d’un tronc coupé, deux chaises dont une à qui il manque un pied. Il y a quelques objets qui datent d’une autre époque, un carton rempli de journaux. Les fenêtres sont pleines de toile d’araignée, mais il n’y en a pas. Comme s’il n’y avait pas assez à mangé pour que les occupantes soient restées. Ou alors elles sont planquées. L’un comme l’autre, ça ne me rassure pas beaucoup, mais au moins, je suis à l’abri et il y fait bon.

Je fouille dans mon sac à main et en sort un briquet, allume deux bougies disposées sur une planche clouée au mur. Je décide ainsi d’économiser la batterie de mon téléphone. J’ai besoin de pisser. Je ressorts de là, met un coup de pied dans quelque chose qui fait un bruit incongru dans cet endroit désert. Mon coeur manque un battement, mais lorsque je tends l’oreille, pas l’ombre d’un mouvement, rien. Rassurée, je ramasse ce qui s’avère être une vieille lampe, comme j’en ai déjà vu dans les vieux films, dont mes parents étaient si friands. Avec une des bougies, j’allume la lampe en priant pour qu’il y ai encore assez d’huile dedans et...par chance, pour une fois depuis longtemps quelques jours, elle ne tarde pas à s’éclairer.

Ce n’est pas l’endroit le plus cosy que j’aie connu, mais à côté de certaines chambres de motels, je me dis que c’est un palace. Je sors et décide d’aller uriner plus loin, prenant garde à ne pas trop m’éloigner pour ne pas risquer de me perdre. Ce serait idiot, d’autant que j’ai laissé mes affaires dans la cabane.

Il y a peau d’air, pas de bruit à part mes pas sur les planches qui servent de terrasse autour de la petite maison. Je retire mes souliers, pour ne pas m’enfoncer dans la terre en allant uriner et m’enfonce légèrement dans la nuit. Je m’accroupis après avoir baissé ma culotte, vidant ma vessie avec félicité. J’écrirai à Charlyn pour la remercier, je ne me voyais pas passer la nuit dans un squatte ou sous un pont, entre les clochards et les toxicomanes. C’est alors que le jet se tari entre mes cuisses, qu’une plainte se fait entendre. Est-ce que le bois est vraiment hanté ??
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le vendredi 17 mai 2024, 13:45:43 »
L’étudiante semblait particulièrement dissipée, elle avait clairement ‘esprit ailleurs… je ne l’aidais sans doute pas, ceci dit, en lui ayant parlé de Manchester, mais bon, au moins, maintenant, j’étais sûr de moi. Trop gros faisceau d’indices, maintenant pour ne pas être sûr de moi. Je lui fis un sourire, et je me contentais de presser un peu plus mes doigts sur son épaule, prouvant que j’essayais de la ramener au présent.

« Oui, bien sûr, ton esprit était à Manchester… »

Je me moquais, et je lançais mes filets. Restait à voir si elle allait être capable de rester aussi distante du sujet maintenant que j’avais dit ça. Oui, je jouais un peu à pousser les choses de plus en plus loin. Deux mois, deux fois par semaine, autant mettre à l’aise en montrant la réalité des choses... enfin bon, je jouais un peu le chaud et le froid. Parce que c’était bien plus drôle ainsi, non ?

« Il va falloir te concentrer toutefois, jeune femme, sinon, perdre sera clairement dans ton vocabulaire. Et certaines universités forcent un taux de réussite pour avoir le droit de participer aux compétitions sportives, donc si tu n’s pas assez bonne, tu devras renoncer à jouer les majorettes, peut-être. Sans compter que de mon côté, je ne vais pas juste te faire des leçons et espérer que ça passe, je m’assurerai de ton niveau de manière systématique aussi, avec ce petit jeu de carte. »

Voilà de quoi la rassurer un peu sur le fonctionnement.

« C’est bien de repenser à là d’où l’on vient mais il faut savoir aussi se focaliser sur le présent., d’accord ? »

Je lui tapotais doucement le dos, avant de retirer ma main elle avait été tremblante tout du long, preuve du malaise d’avoir quelqu’un qui avait la main sur elle. Mais elle n’avait rien rejeté. Donc je la reposais négligemment.

« Peut être devrait-on prendre quelque chose, comme des boissons chaudes, le temps que tu te recentres un peu, qu’est-ce que tu en dis ? Tu semble avoir besoin de te reprendre un peu, tu trembles comme une feuille. »

Et comme ça j’aurai le temps de trouver dans mon téléphone.
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