Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Dortoirs et douches => Discussion démarrée par: Yume Hôshou le mercredi 10 juin 2009, 17:39:48
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Yume venait d'arriver dans son nouveau lycée après 5h de voyages et il faisait une chaleur pas possible. Elle étais vêtue d'une petite robe fine de couleur bleu clair, avec un décolté plongeant, et de petites ballerines blanches.
Elle était passée l'administration où on lui avait dit que quelqu'un viendrait la chercher au 2eme étages des dortoirs pour lui montrer sa chambre. Elle monta donc ses sacs jusqu'au deuxième étage. Là elle s'assit par terre en attendant qu'on vienne la chercher.
* Je me demande si je vais me plaire ici, mes parents m'ont envoyée ici pour que je me remette en question, que j'arrête de faire la fête, de sortir, ... . Pfff nan mais si ils croient que je vais m'arrêter parce que je suis a l'internat ? ils se mettent les doigts où je pense !*
Elle soupira ... regarda a droite puis a gauche ... personne, le couloir était vide ...
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J'ouvre les yeux. Le week-end est déjà avancé et moi, j'ai l'impression qu'on m'a assommé avec un marteau pour m'endormir. Je secoue la tête et je regarde autour de moi. Bien le bonjour, chambre de dortoir merdique. Je me demanderai toujours pourquoi je me suis loué un appart à trois kilomètres de l'école. Hum... en plus, j'ai dormi avec mes vêtements. Bah, comme quoi je dois prendre ma douche. Je me lève et je butes sur un truc. Une feuille de papier. Je soupires. Pourquoi je dois toujours faire le travail du chef de dortoir, ce flemmard voyeur et pervers, moi? Je soupire. Allez hop, une bonne douche.
Je sors de la salle de bain, je mets un boxer propre, des chaussettes noires, une chemise et un pantalon de même couleur. Je ne prends pas la peine de m'attacher les cheveux, ça m'énerve de toujours le faire... faudrait que je me trouve une petite amie qui puisse me motiver... Je me dépêche de ramasser tout le linge qui traîne. J'ai encore une demi-heure pour aller rejoindre le ou la nouvelle venu(e), alors autant vaut mieux que je fasse un peu de ménage avant qu'on vienne faire l'inspection. Je jettes les vêtements sales dans une boite pour me débarrasser de leur odeur. Je prends la cannette de parfum, la secoue un bon coup et laisse le jet désodoriser la pièce. Une fois que tout est parfaitement propre, je regarde ma montre. Merde... je vais être en retard. Trois minutes. Je sors de la chambre, empoignant l'enveloppe dans laquelle je sais très bien qu'il y a un numéro de chambre et des clés, ferme la porte derrière moi, pratiquement en la claquant. Heureusement qu'il est midi, sinon, j'aurais eu droit à une avalanche de commentaires.
Je m'arrêtes de courir. Je vois une petite demoiselle, assise par terre, avec des bagages. En regardant l'enveloppe où est écrit un nom, je comprends assez vite qu'il s'agit de la nouvelle. Je m'approche d'elle. Elle est franchement mignonne, la petite dame. De beaux cheveux bruns coupés courts, un petit air sage et des formes qui pourraient en charmer plus d'un. Je m'arrêtes devant elle, lui fait un beau sourire sympathique pour ne pas qu'elle croit que je ne suis qu'un mec qui veut venir l'embêter.
- Vous devez être mademoiselle Yume Hôshou-chan. Mon nom est Kamui Meisa. On m'a demandé de vous mener à votre chambre.
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Yu' commençait a s'impatienter, elle avait vraiment envie d'une douche bien fraîche et de ne plus se trimbaler ses affaires. Visiter les lieux, voir a quoi pouvait ressembler la gente masculine et féminine, s'amuser, et un tas d'autres choses.
Alors qu'elle commençait a débattre toute seule sur que faire après avoir ranger ses affiaires et prit une douche , et oui elle débat toute seule --' , un jeune homme s'approcha d'elle, elle espérait vraiment que ce soit celui qui allez lui montrer sa chambre.
- Vous devez être mademoiselle Yume Hôshou-chan. Mon nom est Kamui Meisa. On m'a demandé de vous mener à votre chambre.
Ça devait être lui. Elle sourit, le dévisagea un peu, et se releva, c'était un minimum a faire pour se présenter a un jeune homme, surtout aussi mignon que lui, ses long cheveux le rendait sexy.
-Oui c'est bien moi. Enchantée Kamui-kun [ Hrp : c'est bien comme ça qu'on dit ? j'ai toujours eu des prob avec ça --' ] . Vous êtes là pour m'emmener a ma chambre ? J'espère qu'il y a une salle de bain dans la chambre, ou des douches pas loin, je rêve d'une bonne douche.
Elle prit ses bagages sans même attendre une réponse, de Kamui.
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[Oui, c'est bien "kun" pour les hommes et "chan" pour les filles... sauf quand on parle à un enfant, on peut appliquer le mot "chan" pour un garçon quand même]
Je lui sourit toujours. Je prends l'enveloppe et l'ouvre. Un bout de carton et une paire de clé y était. L'une pour la chambre et l'autre pour la porte d'entrée, au cas où personne n'y serait pour l'ouvrir. Su le papier, on peut y lire "Chambre No 13. Non négociable" Je regarde le numéro... 13. Je sens une poussée de révolte monter en moi.
- L'a... l'administration vient de nous assigner comme colocataires de chambre...
Je regarde encore le numéro, tout simplement stupéfait. C'était une farce, rassurez-moi! Ce n'était qu'une sale plaisanterie! Avoir un colocataire, ça va, mais je m'attendais plutôt à un mec, moi! Une fille... c'est pas que ça me gêne réellement, c'était ce qu'elle allait penser, maintenant. Ça m'étonnerait qu'elle veuille, mais le bout de papier était très clair. "Non négociable". Je soupire, je sors les clés de la chambre de l'enveloppe, les lui tend avant de prendre moi-même ses sacs, les portant pour elle.
- Bon. J'imagine que la protestation ne mènera nulle part.
Je lui sourit avec bonne humeur.
- Ne vous inquiétez pas, je suis un gentleman, je n'ai pas l'intention de vous faire vivre un calvaire.
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Lorsque Kamui ouvrit l'enveloppe qu'il avait a la main, il eu un air surprit, elle le regarda longuement. Celui-ci lui expliqua qu'ils allaient être colocs' . Yu' en coloc' avec un mec ? Le pauvre. Elle sourit.
-Colocataires ? Nous deux ? Bah je te souhaite bonne chance, il parait que je suis invivable.
Elle prit les clés que lui tendait son nouveau colocataire. Les mis dans son sacs, et regarda encore un fois Kamui. Il avait l'air sympa et agréable a vivre. Mais bon il avait l'air un peu dégouté de se retrouver avec une fille en tant que colocataire, et encore pire ( enfin ça il le sait pas encore ) avec Yu'.
-Bon ... et bien puisque nous sommes coloc', tu peux m'appeler Yu' .
Elle insista pour prendre au moins un de ses sacs.
-Je te suis Kamui-kun. Montre moi cette chambre. Et ... heu ... au fait y'a une douche ?
Elle lui fit un grand sourire.
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Je ris un peu. C'était amusant, quand même, comme situation. Elle devait probablement croire que partager ma chambre avec une fille m'indisposait, mais loin de là, j'étais même plutôt content. Plus invivable elles sont, plus je les adore et plus la vie sera intéressante. Elle m'autorisa à l'appeler par son diminutif, ce qui se faisait rare quand on vient de rencontrer quelqu'un.
- Très bien, Yu'.
Elle insiste pour porter l'un de ses sacs. Probablement que dans le sac qu'elle avait choisi de prendre, il y avait des trucs auxquels elle tenait à garder près d'elle. Elle me demande ensuite si il y a une douche dans la chambre. Je la dirige dans les couloirs, elle me suit, alors je lui réponds.
- Oui, il y a bien une douche. Je te déconseille de tirer la chasse d'eau avant d'entrer, l'eau va devenir très froide.
Je souris toujours. On est maintenant devant la porte de la chambre. Je l'ouvre avec ma propre clé et y entre. C'était une chambre plutôt grande. Il y avait une sorte de mini-cuisine pour faire sa propre bouffe comportant une cuisinière, un micro-onde, un lavabo et un petit frigo inséré dans un des comptoirs. Les deux lits, dans le fond de la pièce, étaient tout propre, j'avais la fâcheuse habitude de dormir sur le canapé, je n'ai jamais dormi dans un des lits, ils étaient donc aussi propre qu'à mon arrivée. Je dépose les deux sacs que je transporte sur la commode, car j'ai compris qu'il n'y a que des vêtements à l'intérieur. La salle de bain était à coté de la cuisine, comprenant douche-baignoire, toilettes, lavabo et comptoir. La chambre était impec et rien ne trainait.
- Comme on va être colocataire, je veux te dire une chose. Fais comme chez toi, au sens véritable du terme.
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Yu' suivit Kamui dans le couloir, arrivée devant la chambre elle drépignait d'impatience de prendre un douche !!
*Yataaa !! Une douche !!! *
Elle entra dans la chambre, enfin si on pouvait appeler sa une chambre. Ils avaient cuisine a disposition, *Super pas obligé de se farcir le self! * avec tout. Deux lits au fond, un canapé, et une salle de bain. Elle se précipita a la salle de bain, l'examina. Un sourire apparut sur son visage.
- Avec mon lit, c'est l'endroit où je pesse le plus de temps. J'adore prendre de longue ... surtout av...
Elle s'arrêta brusquement de parler et commença a rougir. Un sourire en coin, elle continua de regarder la salle de bain, raaahh qu'elle était impatiente, mais de quoi? Elle se retourna vers Kamui, passa a côté de lui, récupéra un de ses sac et lui dit:
- C'est lequel mon lit ? Ou si tu veux on en fait un pour deux ...
Elle lui fit un clin d'œil. Yu' repassa a côté de son coloc', s'assit sur le canapé, elle plongea son regard dans le sien.
-Huuum... t'as de beaux yeux tu sais ? Ils me donnent vraiment des envies...
Elle se mit a rire, puis reprit son sérieux ...
-Alors c'est lequel ?
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Je trouve qu'elle est très énergique, cette fille, mais ça me convenait. Plus elle était dynamique, plus la chambre aura de vie et moins j'aurai l'occasion de m'emmerder. Je la regarde aller un moment avant d'aller m'asseoir sur le canapé. Quel lit elle peut prendre? Elle peut même prendre les deux si elle le désire. Elle s'assoit devant moi puis me regarde dans les yeux un moment. Elle me complimente sur mes yeux et l'effet qu'ils lui font. Quels sortes d'envies qu'elle pourrait... oh là. Je vire au rouge. Celle-là, on ne me l'avait pas encore faite, je ne m'y attendait pas du tout. Elle rit puis me repose la question. Je souris une nouvelle fois.
- Tu peux prendre celui que tu veux, ou prendre les deux. Tu peux y mettre ce que tu veux.
Je parlais évidemment de peluches ou de trucs dans le genre pour décorer. Après tout, elle est ici chez elle et moi, je m'adapte à tout. Je la regarde dans les yeux, le sourire aux lèvres. Pour la taquiner, je décide de lui lancer une plaisanterie, mais également pour chasser la gêne qu'a provoqué son compliment de mon visage. Je rajoutes une phrase, un sourire qui se voulait taquin sur les lèvres.
- Moi y comprit.
Elle m'a fait rougir, c'était à son tour non? C'était pas sympa de dire que le regard de quelqu'un nous donne des envies, même en plaisanteries. Ça pourrait créé des malentendus qui finissent par des disputes. Évidemment, je ne cherchais qu'à la taquiner, mais cette histoire d'envies m'avait intrigué un tant soit peu. Comment allait-elle réagir?
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N'importe quel lit ? Même les deux ? * Mais il dort où alors ? * Elle regarda les lits, elle eu du mal a ce décider, elle testa les deux lits, puis finit par choisir, après un petit moment d'hésitation, celui du fond. Lorsque Kamui lui dit qu'elle pouvait quel pouvait y mettre ce qu'elle voulait même lui, elle rougit légèrement, puis se retourna vers Kamui, et décida de le taquiner pour voir jusqu'où il pouvait allez.
- Vraiment ? Me dit pas ce genre de choses je pourrais te prendre au sérieux et t'y mettre.
Elle lui fit un sourire coquin, puis déposa son sac sur lit. Elle en sortit une serviette blanche et un tout petit sac où était rassembler son nécessaire de toilette. Elle posa son sac part terre, se déchaussa, et se laissa tomber sur son lit en laissant échapper un gros soupir.
-Pfff Il fait trop chaud.
Quelque secondes plus tard, elle s'assit sur le bord de son lit. Regardant par la fenêtre.
-Bon ben moi vais a la douche, je laisse la porte ouverte, fait trop chaud.
Est ce une invitation ? Ou le fait elle vraiment sans faire exprès ?
Elle entra dans la salle de bain, posa sa serviette sur le lavabo. Elle fit glisser les brettelles de sa robe, qui tomba a terre laissant a nu sa poitrine, et faisant apparaitre une petite culotte bleu assez transparente. Elle prit l'élastique qui était a son poignet, et s'attacha les cheveux en chignon. Puis elle entra dans la douche...
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Elle pourrait me prendre au sérieux et m'y mettre... bon sang, elle cherche vraiment à me provoquer ou elle continue de me taquiner? Je suis un peu perdu. En plus, elle va à la douche et me dit qu'elle veux garder la porte ouverte. J'ai beau être un gentleman, c'était un peu trop tentant et surtout, elle cherche à m'inciter à la suivre. D'un coté, il y avait les petites choses au sujet des envies qu'elle avait, et de l'autre, la plaisanterie. Oh et puis merde. Adviendra ce qui adviendra. Après tout, je pourrais mettre ça sur le dos des sous-entendus si elle se fâchait.
J'entre dans la salle de bain, l'eau ne coule pas. Je la vois pratiquement nue au travers du rideau transparent. Elle ne porte que sa culotte, mais même là, elle était plutôt révélatrice. Je m'approche de la douche et la regarde, attendant qu'elle me remarque, les bras croisés. J'ai probablement l'air d'attendre une invitation supplémentaire ou d'attendre des explications, bien que la première soit plus visible sur mon visage.
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A peine entrée dans la douche Yu' entendit Kamui entrer dans la salle de bain, il était juste derrière le rideau de douche entrain de la regarder. Elle se sourit, prit une profonde inspiration, puis ouvrit le rideau de douche de façon assez brusque, se montrant a nue devant son nouveau coloc', un sourire en coin. Il était là, les bras croisés, chemise ouverte. Elle sortit de la douche et attrapa fermement les bord de la chemise de Kamui, elle se cola a lui, frottant ainsi ses seins contre son torse.
-Tant pis la douche ce sera plus tard.
Ses lèvres frôlèrent celles de son coloc'. Puis elle revinrent a l'attaque cette fois ci pour un langoureux baiser.
- Par contre ne crois pas que je fais ça avec tout le monde.
Elle lâcha La chemise de Kamui et baissa les yeux. Son regard pétillant devint vide pendant quelques seconde.
-C'est juste que voilà, ça fait depuis longtemps que j'ai pas eu d'envie comme ça de quelqu'un.
Elle plongea son regard dans le sien.
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Je la regarde un moment dans les yeux avant de lui sourire avec douceur. Je l'attire contre moi pour la serrer. Je lui caresse doucement les cheveux, glissant ma main derrière sa tête. Je montrais beaucoup de soin, car je sais bien que très peu de femmes apprécient qu'on ne les considère que comme des objets sexuels. Je ris un peu. Ça serait triste que je ne couche avec elle que parce qu'elle est en manque... j'ai déjà participer à cette sorte d'ébats et l'expérience n'est agréable que sur le moment. Après, on arrête pas d'y repenser et on regrette. Je soupire et je regarde le sol, par-dessus son épaule. Je n'ai pas vraiment envie de me lancer une réputation de coureur de jupons. Ma voix résonne, douce et calme.
-Hé, Yu...
Je la fais doucement reculer pour la regarder dans les yeux une seconde fois. Il serait très tentant de coucher avec elle, mais avait-elle vraiment envie de le faire avec moi, un inconnu? Je lui souris et l'embrasse une seconde fois sur les lèvres. Tant qu'à vivre en colocataires, je voulais qu'on puisse établir une bonne relation. Coucher avec elle aussi tôt... me laissait un peu songeur. Je la fais doucement reculer contre le mur, appuyant mes paumes sur celui-ci, décollant mes lèvre des siennes. Je la regarde dans les yeux, affichant beaucoup de sérieux.
-Ni toi ni moi voulons que l'autre se fasse de fausses idées à notre sujet, n'est-ce pas?
Je prends doucement sa main dans l'une des miennes et je pose un baiser qui se veut doux sur ses doigts, fermant les yeux pour mieux savourer le doux goût de sa peau. Je glisse mes doigts entre les siens et colle sa main au mur avant d'aller lui embrasser doucement le cou. Je sens contre mon torse sa poitrine mais je ne m'en préoccupe pas vraiment. Je cherche surtout à savoir jusqu'où je peux me permettre d'aller avec elle sans que le lendemain, on n'ose plus se regarder à cause des regrets. Elle a peut-être envie de rencontrer d'autres personnes sans que, comme la majorité des hommes, je sois toujours sur ses talons, comme un mari jaloux. Je sais bien que c'est mon genre de faire cette sorte de chose. Je veux en fait savoir si je peux chercher à développer des sentiments à son égard ou si je devrais me contenter que d'une nuit et ensuite, sayonara l'amitié passagère.
-Tu es très belle et tu as une belle personnalité, Yume, d'après ce que j'ai pu constater. Tu te montres pleine d'énergie et d'enthousiasme. J'aime cette attitude. C'est pourquoi tu me plais déjà. Mais y a-t-il un truc que tu aimerais me dire avant?
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Yume se laissa, savourant chacun des baisers de Kamui. Elle lui offrit son lorsqu'il le désira. Son regard vide et pensif était dirigé vers l'extérieur.
*N'est ce pas trop tôt? Ne vais je pas le regretter? Cela ne va t il pas poser dans notre vie de coloc'?*
Mais les baisers de Kamui étaient si agréables, si doux. Mais elle avait peur, peur du futur, peur que sa relation avec Kamui dégénère. Elle laissa échapper un soupir de plaisir lorsqu'il recommença a lui embrasser le cou.
*Soit optimiste Yu', et profite de ta jeunesse, tu verras tout ça le moment venu. Et puis si ça se passe mal tu aura qu'a demander a changer de chambre.*
Ses doigts enlacèrent ceux de Kamui, elle le fixa, puis celui-ci lui demanda si elle avait un truc a lui dire. Pour seule réponse ses lèvres se mêlèrent a celles de son nouvel amant, elles se séparent pour mieux se retrouver. Elle fit se balader son index le long de son torse, son autre main toujours éprise de celle de Kamui. Puis elle baissa les yeux et tout en regardant son index caresser son torse, elle lui avoua:
-J'espère juste ne pas de bêtises en allant si vite. Mais nous somme être coloc' et en plus avec un si bel homme. Et puis il faudra bien faire passer le temps.
Elle lui sourit, l'embrassa sur la joue d'un doux baiser, et elle l'emmena jusqu'au canapé où elle le fit s'assoir, puis de façon très sensuelle, elle s'assit sur lui et tendit ses bras autour de son cou. Elle pouvait sentir l'entre-jambe de Kamui pas loin du sien, ce qui commençait a l'exciter. Elle se pinça la lèvre, son regard plongeait dans le sien.
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Moi, belle homme? J'en doute fort. J'ai le corps couvert de lignes blanches, signe de la maltraitance de mon géniteur, j'ai les cheveux plus longs que la plupart des filles de ma classe et on jurerait que je suis sur le point de crever tant j'ai la peau pâle... ça lui plaît? Mes lèvres s'étirent en un sourire amusé. Ce compliment a pas mal d'effet, si on considère que c'est la première fois que je l'entends. Elle, petite merveille, dont les seules informations que j'ai à son sujet, c'est qu'elle est plus vieille que moi d'un ans et demi (Bon, remarque, c'est pas vraiment ça qui peut me gêner), me complimente... elle ne se regarde jamais dans un miroir? Elle est mignonne à croquer, adorable et attachante. Tout comme moi, elle espérait ne pas commettre d'erreurs. Je souris encore plus, attendri. Qu'espérer de mieux qu'une fille craquante qui a toujours une tête sur les épaules?
-Je ferais tout pour que tu n'aies aucun regret, Yu.
Je l'embrasse à nouveau. Je sens bien mon sexe durcir sous elle... c'est un peu gênant de bander aussi vite, mais c'est un peu hors de mon contrôle. Je trouve dommage qu'elle soit déjà dévêtue, c'est plaisant l'effet qui prend place en déshabillant nous-même notre partenaire, on commence à chauffer à chaque vêtement qui quitte son corps et ça devient de moins en moins supportable. Je caresse doucement sa hanche de mes mains, remontant vers ses flancs puis je la renverse doucement sur le canapé, mettant encore plus de passion dans mon baiser. Après quelques secondes de baiser, je le brise pour la regarder, maintenant une très légère distance entre nos lèvres, attendant de pouvoir les retrouver très bientôt.
-Je suis du genre à me préoccuper des désirs de mon amante... que souhaites-tu, ma belle Yu-chan?
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Yu' trouvait qu'il faisait de plus en plus chaud dans la chambre, où était ce elle qui avait chaud ? Elle pouvait sentir le sexe de Kamui se durcir petit a petit, elle trouvait ça trop craquant. Elle se sentit basculer sur le canapé, se retrouvant ainsi sous ce corps pâle aux allures si fragiles. Il lui demanda qu'elles étaient ses désirs. Ses désirs ? Avoir du plaisir tout simplement. Elle le regarda l'embrassa langoureusement, faisant passer ses mains dans son dos, elle pouvait sentir tout ces cicatrices, mais n'osa pas lui demandait ce que c'était, ne voulant peut être pas gâcher ce moment de bonheur. Doucement et délicatement, elle retira la chemise de Kamui.
-Tu voulais savoir ce qui me ferais plaisir ?
Elle le fixa, ses mains descendaient maintenant vers son bas ventre.
-Toi tout simplement.
Elle l'embrassa dans le cou, lui mordillant l'oreille au passage, les long cheveux noirs de Kamui tombaient sur elle ,comme une cascade noircit par une nuit sans lune [ HRP : Bouh que je suis poétique aujourd'hui x') ]. Ses mains descendant de plus en plus, jusqu'à atteindre son pantalon, mais elle n'osait pas allez plus loin pour le moment, voulant rendre impatient son amant.
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Je souris. Moi, ce qui lui ferait plaisir? Les baisers dans mon cou et la morsure sur mon oreille me font frissonner tellement ces contacts sont infiniment plus doux à ce que j'ai l'habitude de recevoir. C'est si bon, si agréable. Je sens deux douces mains parcourir mon dos pour s'arrêter une fois sur mon pantalon. Je sens que celui-ci est en train de chauffer... ou c'est moi qui veux à tout pris retirer cet obstacle aux plaisirs de la chair. L'impatience monte en flèche en moi, je tiens à peine de l'arracher d'un coup sec.
-Je suis tout à toi, Yume-chan.
Je souris. Je sens mon corps devenir chaud, voir bouillant. Ma main droite retourne se lier à sa main gauche. Les paroles de Nimelya me reviennent en mémoire et surtout ses traitements devant mon impatience. Je me calmes lentement. J'ai tout mon temps, il faut que je gardes ça en tête. Tout doux. Je décolle mes lèvres des siennes avant de lui sourire avec tendresse. C'est vrai, si je vais trop vite, je risques de gâcher ce moment qui était supposé être agréable autant pour moi que pour elle. Je prends un nouveau départ. Je l'enlace doucement pour l'embrasser dans le cou. Allons-y doucement. Nous n'avons pas de cours demain, j'ai toute l'après-midi, la nuit et la journée de demain pour lui faire l'amour et lui faire du bien. Ma main gauche effleure doucement sa cuisse, remontant vers sa hanche, empoignant doucement la culotte de Yume, un air aguicheur sur le visage. Mon petit sourire sur les lèvres, je lui la retire en l'embrassant tout le long du corps. Dommage que je n'ai que ce vêtement à enlever. Hum... peut-être plus tard, j'aurais cette chance. Je remonte vers son visage, mon petit sourire s'efface dans un nouveau baiser. De ma main à nouveau libre, je lui masse doucement les seins avant de revenir en renfort avec ma bouche. Je descend la tête jusqu'à la sublime colline de sa poitrine et prend son mamelon gauche en bouche. J'y fait tourner ma langue, je mordille et tête la chair de ce téton, cherchant à l'exciter davantage.
-Que veux-tu que je fasses d'autres pour réchauffer ce corps encore trop froid à mon goût?
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Kamui enleva la culotte de Yume et l'envoya balader, pendant ce temps massée sa poitrine, elle sentit ses seins se durcir petit a petit, l'excitation montant, elle fit basculer sa tête en arrière. Un frisson la parcouru, elle se pinca les lèvres.
- Et toi Kamui chéri ? Que souhaites tu toi ?
Elle le regarda, l'embrassa puis elle inversa les rôles avec douceur, ce qui fit qu'elle se retrouva sur lui. Yu' entreprit de dénuder son bel amant. Elle fit passer ses mains sous son pantalon, et doucement tout en embrassant son corps elle lui enleva, puis elle le débarrassa de son boxer, qui devait le gêné, pour laisser apparaitre son membres qui commençait a durcir et a se dresser. Elle était a quatre patte sur lui.
Avec douceur, la jeune fille se mit a caresser la sexe de Kamui, a le masser ... son autre main occupée a malaxer ses bourses.
-Hum ... J'espère que ça te plais .
Lui dit elle d'un air coquin. Elle commença a léchait le sexe de son amant avec tant de plaisir, enroulant sa langue autour. Enfin elle le mit dans sa bouche et fit des vas et viens. Entre ses jambes, Yu' sentit un liquide chaud qui coulait. L'excitation commençait a réellement monter au moment où elle passait au choses sérieuses.
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Ses lèvres sur ma verge m'arrache un gémissement. Oh que oui, ce truc me plait. Sa langue qui caresse mon gland et ses va-et-viens sont des plus agréables. Effectivement, faire le tour des désirs des hommes étaient de loin moins complexe que faire la même chose avec ceux des femmes, je le comprend maintenant. Ma main vient se glisser derrière la tête de Yu' et je la laisse continuer son excellent travail. Il est sur que je ne suis pas son premier amant, si on considère la qualité et l'expertise de sa fellation sur mon sexe, que je laisse profiter un moment avec plaisir. Ses caresses buccales font rapidement monter le volume de mon pénis, qui s'élève. C'est ce moment que j'ai choisi pour lui retirer ma verge de la bouche. Sans crier gare, je la soulève dans mes bras, la transporte vers le lit et l'y dépose avant lier nos lèvres d'un autre baiser. Je perçois légèrement le goût de mon sexe sur la langue de Yume, mais je ne m'en fait pas pour autant, j'ai gouté à plus horrible que ça. En décollant ma bouche de la sienne, je regarde son beau visage aussi innocent, ou du moins en apparence, qu'un enfant, l'air amusé.
- Tu es douée, ma belle Yu. Laisse-moi te goûter et te rendre la pareille.
Je l'embrasse sur le menton, descendant mes baisers sur la peau protégeant sa trachée, puis sur la partie supérieure de son buste. Je continues ma descente entre ses seins, son ventre. J'embrasse maintenant son pubis et enfin, mes lèvres rencontrent l'humidité tant désirée de la vulve de ma nouvelle colocataire. Elle mouille, certes, mais vraiment trop peu à mon goût. Je n'hésite pas un instant à lécher la petite coulée de cyprine quittant son intimité, non pas sans un certain plaisir. Sincèrement, j'adore ce goût si particulier que les femmes ont... en fait, j'en raffole, je pourrais en faire mon breuvage sans me plaindre. Je relèves la tête pour regarder Yume, sa propre cyprine glissant de ma langue. Mes yeux disent tout comme mon esprit les mots "donnes-m'en plus, s'il te plait". Je rebaisse la tête, retournant à la rencontre des lèvres intimes de sa vulve et "j'embrasse" littéralement son intimité. Je poses mes lèvres contre celles de son jardin interdit dont les portes me sont grandes ouvertes et j'infiltre très lentement ma langue en elle, l'étirant le plus qu'il m'est possible de le faire, léchant tendrement la paroi de son vagin. Je fait aller et revenir sa langue dans le trou puis s'en détourne pour aller s'attaquer au clitoris. Je lèche doucement la petite perle d'amour. Je la lèche mais je le suçote également. Je vais m'amuser un peu avec cette partie de son corps, parce que j'en ai envie
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[HRP : J'essaye de rp a la 1ere personne pour voir ^^ le passé de narration ça me soule --' ]
Je me sens transportée par Kamui, il me dépose sur lit, il me dit que je suis douée. Mes joues deviennent rouge, on ne m'avait jamais vraiment dit ça comme ça, et encore moins qu'on avait envie de me gouter. Il commence a m'embrasser, le cou, puis la poitrine, et descendit jusqu'à mon intimité. Je pose mes mains sur ses cheveux, les caressant, ma tête par en arrière, un petit gémissement avec lorsqu'il glisse sa langue en moi, mes doigts "s'enfonce" dans sa chevelure noir. Un liquide chaud sort en abondance de mon vagin quand nos yeux se croisèrent.
- Tu es très doué aussi mon amour.
Un autre gémissement. Kamui se met a me lécher le clitoris, il a l'air de prendre t'en de plaisir a le faire, que ça me comblé de bonheur. Il s'amuse avec mon intimité, comme un enfant avec son jouet. La suite s'annonce bien ...
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[Mouais ^^ c'est nettement plus marrant qu'à la troisième personne]
Je sens le flux de cyprine augmenter légèrement, pour mon grand plaisir. J'avale goulûment le liquide originel des trompes de Barthelin, preuve de son excitation. Loin de moi l'intention de m'arrêter de m'abreuver de cette douce substance et de donner du plaisir à mon amante. Sa main dans mes cheveux, crispée sur ma tête par la faute de mes caresses, m'arrache un sourire et je me donne davantage dans mon activité. Que j'aime procurer ces douceurs à mon amante. Elle a l'air d'apprécier. Les mots "mon amour" résonnent un moment dans ma tête et me font réagir de quelque peu, car je m'arrête un moment. Mes yeux étonnés s'attristent après un moment de stupeur. Non. Kamui Meisa ne peut pas être aimé de qui ou quoi que ce soit. Mon père me l'a bien comprendre à coups de bâton, sous les yeux horrifiés des servantes et sous le rire amusé de ma mère... ma propre mère riait des coups que m'assénaient mon père à gorge déployée. Celle-là même dans laquelle j'ai grandi, celle-là même qui m'a mit dans ce monde d'idiots assoiffés de pouvoir. Je recommence mes caresses sur l'intimité de Yume pour ne pas qu'elle repère ma soudaine tristesse et que mon passé ne nuise à cette journée qui, pour un couple normal et stable, devrait être la plus belle du monde. Voilà seulement, je ne suis pas un être normal, je ne pourrai jamais rendre une femme heureuse, même si j'y donnais tout ce que j'ai. Je quitte doucement les lèvres intimes de Yume pour remonter vers son visage. Je m'empresse d'aller chercher du réconfort sur ses lèvres pour une petite seconde. Je voudrais qu'elle me répète toute la nuit ces deux mots, mais je me doutes qu'elle ne les a dit que parce que je lui donnais du plaisir. Je caresse doucement sa poitrine de la main gauche, mais mon esprit est préoccupé par mes ténèbres qui se font de plus en plus dense, ces derniers temps. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que quelque chose va m'éloigner de la belle Yume pour un moment... quoi que ça ne soit pas pour demain, parce que je la veux... voir peut-être même pour moi seul.
- C'est ton talent qui déteint sur moi, mon cœur.
Je pose à nouveau mes lèvres sur les siennes, allant caresser une nouvelle fois sa langue de la mienne. J'en tire un peu de son énergie qui est infiniment plus vivante que la mienne. C'est vrai, je ne dois pas rester dans mes pensées. C'est elle qui est importante, en ce moment, elle doit rester ma priorité numéro un. En fait, j'aimerais aussi qu'elle le reste un peu plus longtemps, essayer de comprendre l'effet que procure de donner tout ce qu'on a pour quelqu'un qui est important et cher à notre coeur. Bien sûr, ne pressons rien. Nous venons à peine de se rencontrer et même si elle est totalement nue et que nous en sommes encore au stade des préliminaires, elle peut tout arrêter à n'importe quel moment.
-
[Desolée pour le temps de rép ^^' ]
Kamui avait un petit air triste, j'aurais aimée savoir ce qui n'allait pas, mais de peur de tout casser je me tu, ses caresses, ses baisers, lui, tout était parfait, je me sentait transportée dans un autre monde. Je lui pince la lévre, puis l'embrasse fougueusement, mes mains caressant son dos, je le sers contre moi, j'enroule ma jambe autour de la sienne, nos corps ne forme presque que plus qu'un seul corps. Je le regarde, l'embrasse et lui murmure a l'oreille.
- J'espere que ça durera entre nous.
Une de mes main descend jusqu'à ses fesses que je caresses, masse, elle sont fermes, c'est agréable. Puis je le pousse un peu, le mettant sur le dos, je me leve du lit, et je vais m'agenouiller au bout, là je lui tire les pieds pour que son entre jambe vienne jusqu'à moi, je lui embrasse plusieurs fois sa verge tendrement, ses petites bourses aussi. Puis je prend son sexe et le cale entre mes seins. Mes mains font bouger ma poitrine de tel façon a ce que le sexe de son amant soit massé. La langue lèche le bout de son gland, tel un enfant avec sa glace ou sa sucette.
-
[Je n'ai pas l'intention de te gronder ^^]
Encore une nouvelle chose à laquelle je n'avais jamais pensé. L'initiative de ma très tendre amante m'arrache un sourire, je n'ai jamais expérimenté cette sorte de masturbation et c'est plutôt plaisant, je dois dire. Je sens sa poitrine masser mon sexe et ça m'arrache un soupir de contentement, tellement c'est agréable. Je ferme les yeux avec délice et savoure l'attention de Yume. Sa langue caresse mon gland et j'adore ça, très franchement. Mais seulement, je n'ai pas envie de me laisser aller à la jouissance, du moins, pas tout de suite. Aucun de nous ne serait satisfait d'une éjaculation aussi prématurée. Lorsque je sens que mon excitation est suffisamment élevée, je l'oblige à grimper sur moi, la tirant que très légèrement par le bras. Je lui souris.
-Je l'espère aussi, ma douce Yume. Tant que tu le souhaites, ça durera.
Je m'empare de ses lèvres. Mon corps est bouillant, je le sens bien. J'ai l'impression d'être une fournaise vivante tellement j'ai envie d'elle, de son corps, de ses caresses, de ses mots. Le sien est aussi chaud, je sens déjà une petite couche de sueur si agréable sur sa peau. Je joues un peu dans ses beaux cheveux en prolongeant mon baiser. Je crois bien que j'ai envie de m'accrocher à cette fille, de m'accrocher au rêve qu'elle m'offre, si j'en suis capable... si elle le veut comme je le veux.
[Je suis désolé, c'est un peu court. -_-]
-
Je me retrouve sur Kamui, son corps est aussi brulant que le mien, nos sueur se mélange. Nos baisers durent, nos langues se mêlent, nos salives, nos gouts aussi. Je voudrais que ce moment dure encore et encore. Je sens le sexe dur de Kamui faire pression sur mon entre jambe, je me pince la lèvre, je le regarde nos envie commune d'allez plus loin, que ça dure, tout ça sans qu'on ne se connaissent vraiment, puisqu'on venait de se rencontrer, d'apprendre qu'on était colocataire et ça pour une année au minimum. Je l'embrasse tendrement, laissant monter l'excitation, ma droite jouant avec ses cheveux, mon autre main lui caressant la joue tout en sensualité. Je ne sais pas si je l'aime vraiment ou si c'est que pour le sexe, mais quelque chose est entrain de se passer, quelque chose que je n'avait jamais connu. Je ne comprend pas encore tout, mais je me sens bien avec lui. Je l'embrasse une nouvelle fois langoureusement.
- Tu sais quoi ? je n'ai jamais ressentit ça avant mais je crois que je t'aime .
-
Elle m’aime… Je rêve, pour sûr. Mon cœur chauffe dans ma poitrine et je ne peux m’empêcher de sourire. Je caresse doucement de ma main droite son beau visage avant d’effleurer ses lèvres des miennes. Peut-être que c’est vrai, qui sait. Peut-être qu’elle m’aime. Je ne sais pas si je l’aime, je suis aussi inexpérimenté de ce coté-là qu’elle ne l’est, mais… si c’est possible, si je le mérite, je veux être amoureux d’elle. Doucement, je vais cueillir un baiser sur ses belles lèvres, un simple baiser qui veut tout dire. Je la renverse sur le lit, ma main droite glissant dans ses cheveux pendant que l’autre remonte sa cuisse, la caressant. Je suis entre ses jambes, nos sexes se touchent, mais je n’entre pas en elle tout de suite, je sens son liquide lubrifiant couler hors de son intimité puis glisse le long de ma verge. Je brise mon baiser et je murmure son nom.
-Yume…
Je baisse la tête un moment. Est-ce possible pour un humain comme moi d’être aimer et de pouvoir aimer? Je relève la tête puis je fais un grand sourire vers mon petit rêve avant de l’embrasser passionnément. Je veux la connaître. Nous ne sommes ensemble que depuis une ou deux heures et je suis déjà prêt à tout pour elle, pour la rendre heureuse.
-Moi aussi, je crois bien que je t’aime.
Je sens que mon corps veut s’unir à elle. Je me fais une promesse à ce moment-là, de n’être amoureux d’aucune sauf la petite Yume contre laquelle je suis. Peut-être connaîtrai-je d’autres femmes, mais jamais je ne m’éprendrai d’elles, tout comme elle pourrait avoir un amant et je ne m’en ferai pas. Elle peut se laisser aller, son corps n’est qu’une enveloppe charnelle dont elle peut accorder les faveurs à un autre. Moi, je vises plus que sa chair, je veux son amour. Bien sûr, je ne permettrai pas qu’on la souille pour autant.
-Je t’aime, Yume.
Ces mots résonnent telle une mélodie à mes oreilles, des mots qui n’ont jamais quitté mes lèvres, qui me suppliaient de se libérer pour cette femme. J’espère pouvoir la rendre heureuse… mais qui vivra verra. Je ne lui en voudrais pas de vouloir chercher un autre bonheur, un jour ou l’autre. Je ne serai pas jaloux si elle est conquise par les beaux mots d’un homme autre que moi.
-
Mon corps tout entier était en ébullition, ces mots résonnaient dans ma tête. JE le regarde, l'embrasse tendrement. Au contact de sa verge, mon sexe s'excite laissant couler ce fluide dont Kamui a l'air de raffoler. Je ne sais plus trop quoi penser, tout va si vite, des frissons me parcourt, je gémis de bonheur. Je suis dans un autre monde, je n'ai pas encore atteint le septième ciel, mais cella ne devrait plus tarder nous continuons comme ça tout les deux. Sa main sur ma cuisse, son sexe au contact du mien, nos lèvres unies, nos langues liées, je suis aux anges. Ses baisers sont si doux, ses caresses si tendre, son amour a l'air si vrai. Je ne sais vraiment plus quoi penser, des sensations me traversent de par tout. Mon cœur bat vite, très vite. Je suis si impatiente pour la suite, l'excitation monte, je sens ma poitrine se durcir, mes lèvres intimes trépignent d'impatience a l'idée de sentir la verge de Kamui me pénétrer. J'embrasse mon amant, une main toujours dans ses cheveux, l'autre posée sur son torse. Je le regarde, une lueur d'excitation commune dans nos yeux.
-
Ca y est. Tous deux désirons que nos corps se lient l’un à l’autre, qu’ils nous accordent le huitième ciel. Je vois bien qu’elle bouille d’envie, que je bouille encore plus qu’elle et que cette union ne nous rapportera aucun mal. Je l’embrasse avec passion, bientôt, je serai en elle, bien que je ne doute pas qu’elle ne soit pas plus vierge que je le suis aujourd’hui, je sais que ce qui nous attend est très doux. Je prends ma verge en main et je l’oriente vers l’intimité de ma belle Yume. Je m’assure de son accord d’un coup d’œil puis je fais lentement entrer mon gland dans son jardin interdit. Je lui caresse tendrement la joue.
-Si tu as mal, n’hésite pas à le dire, mon amour, mais je prendrai mon temps.
Et lentement, je fais de petits vas-et-viens, m’enfonçant centimètre par centimètre dans son vagin un peu serré, bien que très humide et accueillant, évitant ainsi de lui faire mal, prenant bien le temps d’habituer les parois à mon membre. Je retourne torturer son mamelon gauche, délaissé depuis un moment, de ma bouche, léchant sa divine auréole avant d’y refermer mes lèvres et de me mettre à mordiller sa chair et à la suçoter, pour son plaisir qui en rajoutera au mien.
-
Une sensation étrange s'empare de moi, lorsque que Kamui commence a me pénétrer, le plaisir m'enivre, je ferme les yeux, me laissant emporter par cette overdose de plaisir. Les lèvres de mon amant sur mes seins sont si délicates, si douces. Ses va et viens en moi, sont si tendre, il fait tout pour ne pas me blesser, j'ouvre les yeux, puis mes mains font revenir son joli petit minois vers moi, je lui embrasse tendrement la lèvre inférieur, puis notre baiser se prolonge, nos langue jouent au chat et a la souris. Nos corps sont en ébullitions, mes gémissements ce sont de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses, des frissons de plaisirs me parcourent. Doucement je vais lui mordiller le cou puis l'embrasser dans le cou.
- Hum ... Ne t'inquiète pas mon amour, tout va pour le mieux ... hum ...
Nos regards se croisent, pour ne plus se quitter. Un petit cri s'échappe de ma bouche, lorsque je sens son sexe entièrement rentré en moi, ses petits bourses me caressent la peau. Ses mouvement sont si doux, si agréables. Je commence a faire moi aussi des petits mouvements de bassins, puis doucement je le fais tourner, me retrouvant ainsi assis sur lui. Là je prend ses mains dans les miennes, puis me met a me masser les seins, tout en faisant des mouvements de bassins, son sexe toujours en moi...
-
[Petites bourses XD]
Coucher avec Yume prend vraiment maintenant le sens de "faire l'amour", dans son sens réel. Je ne sens pas du tout une perversion quelconque. Ses baisers ont un impact mille fois plus doux que ceux que j'ai expérimenté. Ses gémissements de plaisir lorsque je fais mon mouvement de va-et-vient sonnent comme une douce mélodie. Elle me renverse pour monter sur moi. Elle prend de l'initiative et ça me plait beaucoup. Je continues de lui masser sa poitrine et j'apprécie la douceur de sa chair. Elle fait elle-même les mouvements de va-et-vient, assise à califourchon sur moi, faisant bouger son bassin à la rencontre du mien, bien empalée sur mon sexe tout dur. Je soupire d'aise et de plaisir tant c'est agréable. Je l'embrasse sur les lèvres et dans le cou, sans cesser de pétrir ses seins pour lui donner un peu plus de sensations. Je n'ai pas l'intention de tout révéler, nous n'en sommes qu'au début, ma belle et tendre Yume
-
[ROooooh c'est bon xD ]
Ma respiration se fait plus haletante, ma respiration plus saccadée, ça faisait longtemps que je n'avait pas fait ça, mais j'essaye de tenir. Je ferme mes yeux sous toutes ses sensations qui parcourent mon corps. Je sens que l'orgasme ne va pas tarder, son sexe ce frottant a mon point G, ses mains massant mes seins, nos lèvres liées, nos langues emmêlées, nos yeux fermés savourant chaque instant de ce moment de plaisir intense.
Nos lèvres se décollent, mon regard se perd dans le sien. Doucement je sens mes yeux se ferment doucement, mes lèvres rejoignent celles de Kamui, mes mouvements de bassins accélèrent, mes gémissement s'intensifient. Je le sens, se crie de jouissance extrême s'échappe de moi. Doucement, je me relève faisant sortir se verge de mon corps, puis mes mains commencent a la masser faisant de va-et-viens doucement d'abord puis accélérant le rythme petit a petit. Je pose mes lèvres sur ses testicules, les suçant avec douceurs. Enfin mes mains glisser vers mes lèvres et prennent leur rôle, tandis que ma langue lèche toute la verge de mon bel amant, puis arrivé au niveau du gland, je le lèche plus rapidement comme un enfant avec sa glace a la fraise.
-
Elle avait joui et j'en était très content. Apparemment, ça faisait vraiment un moment qu'elle n'avait pas partagé la couche d'un homme car ce fut plutôt rapide, non pas que je trouve ça désagréable, car elle semblait avoir aimé et ca me remplissait de satisfaction. Elle s'occupait de mon pénis et de mes bourses sans même que je ne lui en fasse la demande. Yume est une amante très attentionnée, ça m'étonne qu'elle n'ait pas déjà de petit ami, tant elle est mignonne en plus d'être adorable. Les caresses sur mon sexe me donnent cependant envie de jouir et je fermes les yeux, essayant de me retenir pour ne pas jouir sur son visage
-Yume... je vais...
[Oh, la belle rep courte -_- Je vais essayer de me reprendre avec la prochaine, d'acc?]
-
- Yume ... je vais ...
Je m'arrête de seconde, le regarde avec un air interrogateur, puis je réagis, je baisse les yeux, son sexe avais grossit, je me met sur le côté puis continus a caresser la verge de Kamui, je voulais que lui aussi jouisse, je voulais qu'il éprouve autant de plaisir que moi. Je pouvais sentir sous mes mains les semence de mon Kamui monter.
- Vas y lâches toi mon cœur.
Je m'approche de son visage, ma main exerçant de pressions et des va-et-viens sur son sexe. Je l'embrasse tendrement, faisant durer mon baiser tout en accélérant le rythme de mes mouvements.
[ Pas de prob' ;) t'inquiete moi non plus ça vole pas haut x') ]
-
Maintenant qu'elle ne risque pas de recevoir ma semence en plein dans la figure, je finis par me relacher dans un râle de plaisir. Ce n'est pas grave si mon sperme coule sur les draps, je peux les nettoyer, mais je ne me serais jamais pardonner d'avoir souillé le visage de mon aimée. Je la regarde et je l'embrasse avec amour. Vous allez trouver ça bizarre, mais c'est bien plus agréable de jouir quand c'est provoqué par la personne qu'on aime, sisi, je vous assure. Je prends doucement son visage dans mes mains et je la regarde dans les yeux.
-Je ne crois pas que nous ayons fini, Yume, je me trompe?
Je lui souris, cherchant à la tenter. Nous avons toute une nuit à nous, alors, pourquoi ne pas en profiter au maximum, cherchant à accéder à la jouissance le plus de fois possible? Je l'embrasse tendrement sur les lèvres. Puis je recule en souriant. Je place ma main sous mon menton en la regardant, comme si je pensais à un truc. Je souris, amusé par l'idée qui me frappe la tête
-Mais j'y pense, mon amour... ca fait deux fois que tu me fais une fellation, non?
Je souris, un air taquin sur les lèvres. Je caresse doucement sa joue avec douceur, effleurant ses lèvres d'un baiser. Ensuite, j'ouvre la bouche pour parler, prenant un ton faussement accusateur, comme si je réclamais une compensation.
-Ce n'est pas juste, c'est à mon tour, maintenant.
Je descends une nouvelle fois vers ses parties intimes, un peu pressé de retrouver le merveilleux goût de mon amante, embrassant chaque parcelle de peau à ma portée. Je souris, la regardant dans les yeux. Doucement, je fais entrer un doigt d'abord dans son intimité puis je vais doucement lécher et suçoter son clitoris. À ce que je vois et goûte, la quantité de cyprine avait nettement afflué pour mon plus grand bonheur. Contrairement à elle, il n'y a rien de gênant pour moi de recevoir son fluide en abondance. Les hommes sont des êtres qui ont toujours été considéré comme supérieurs aux femmes. Si elle jouissait pendant que je m'occupe de son intimité, je n'ai aucun problème à la boire, à m'abreuver d'elle. Je crois qu'un homme qui jouit dans le visage de son amante sans sa permission lui manque affreusement de respect.
-J'espère que tu apprécies.