Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Florence Delajoue

Humain(e)

Assise à mon bureau, seule dans la salle des professeurs je soupire une fois de plus. Fin de la première journée, l'année va être difficile, les élèves ne sont pas particulièrement attentifs, un fils à papa m'a même répondu que l'art ne servait qu'à obtenir des réductions d'impôts. Mes collègues ont rit à cette histoire et j'ai bien vu que le professeur de mathématique pense que l'élève n'a pas tort. Toutes les années ne peuvent pas être de bonne année mais quand même ! Dire que je pensais que cette année serait intéressante et bien il faut croire que mes intuitions ne sont pas toujours bonnes !

Je soupire de nouveau, la tête entre mes bras, on pourrait croire que je dors sur mon bureau comme le font les élèves. D'ailleurs sans que je m'en aperçoive je dérive vers le monde des songes, peut être est ce parce que je suis dans une salle de classe, peut être à cause du rêve de ce matin. Je suis de retour en arrière, me revoilà à 17 ans, j'entre dans la salle des professeurs avec les joues rouges en compagnie de ma maîtresse, nous venons voir monsieur Dupré notre professeur de mathématique.

« Mesdemoiselles ? Que puis je pour vous ? », nous demande monsieur Dupré en levant les yeux juste un instant avant de reprendre la correction de ses copies.

« Allons Pupuce », me dit elle en me claquant les fesses.

« Oui maîtresse », je rougis et je retire mon chemisier en tremblant, ce n'est pas la première fois que mes seins ronds et blancs se balancent sous les yeux d'un homme mais la première que je le fais devant un de mes enseignants.

« Qu'est ce que cela veut dire ? Mademoiselle Delajoue arrêtez de suite je vous prie », je n'écoute pas, je le vois faire de grands yeux en posant son regard sur les anneaux en or qui brillent à mes tétons, je sens mes pointes durcir devant lui alors que ma jupe tombe au sol.

« Nous sommes là pour parler de ma dernière note de mathématique », depuis qu'elle me l'a ordonné je ne porte plus de sous vêtements et mon professeur de mathématique peut découvrir que son élève préférée est une vraie blonde à la toison finement taillée qui par mon pubis, une toison qu'elle a pris soin de dessiner pour dégager complètement la vision de mes lèvres les plus intimes.

« De votre dernière note vous plaisantez ? », dit il sans comprendre le rapport avec tout ceci alors qu'elle me fait un signe et que je me glisse à quatre pattes sous son bureau pour réapparaître entre ses cuisses.

« Je vous en prie mademoiselle Delajoue sortez ... »

« Clic »

« Qu'est ce que ?! »

« Regardez moi si l'angle de vue n'est pas bien choisi ? », elle montre la photo qu'elle vient de prendre sur son téléphone portable, je suis nue en chaussette et chaussures d'écolière entre les jambes de mon professeur, assis devant le bureau.

« Vous voulez me faire chanter si vous croyez que ... », il tente de se lever mais elle le retient avec mon aide.

« En effet et avec ça je pourrais détruire votre carrière … mais si vous faites ce que je dis, si vous transformez un 6 en 16 vous n'aurez pas à le regretter », ma main coure à la fermeture éclair de son pantalon, je l'ouvre et plonge ma main pour saisir son sexe.

« Arrêtez de suite si vous croyez que vous pouvez agir ainsi », je me fige de crainte.

« Allons monsieur si vous pensez qu'il vaut mieux que votre femme, votre famille, vos collègues voient ça plutôt que de profiter de la bouche de Pupuce je vous en prie, sortez », dit elle en souriant.

Il hésite, ne dit rien, ne bouge pas. Elle me fait un signe de la tête et je sors sa verge en rougissant. Je n'ose le regarder alors que ma bouche approche lentement. Mes lèvres se referment sur sa peau, son gland repose dans ma langue. Je l'entend gémir, c'est si réel que je sursaute. Je bondis devant mon bureau, j'ouvre les yeux, je suis dans la salle des professeurs toute seule, quelqu'un me regarde depuis la porte. J'ai les cheveux qui colle de transpiration, une main entre les cuisses, j'ai du me caresser pendant mon rêve sans en avoir conscience. J'avale ma salive et me lève comme si de rien était.

« Je peux vous aider ? », depuis combien de temps était il là ? Qu'a-t-il vu ?

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 1 samedi 07 juillet 2012, 19:27:04

C'est d'un plaisant d'être obligé de sortir en fin de journée alors qu'on venait de rentrer du taf après une dure  journée parce que sa coloc' avait décidé d'oublier ce dont elle avait besoin pour aller faire ses cours de soutien le soir  certains étudiants, elle avait carrément tout oublié pour ce soir !  Pff, il avait du ressortir avec la serviette de la miss, et prendre sa moto jusqu'au Lycée, de là, il avait du se frayer un chemin dans toute cette masse grouillante qui se ruait dehors, à eux les soirées sympa et à lui l'aller retour, enfin bon, peu importait, il allait devoir se dépêcher pour être vite rentré !  Un petit porno et ensuite dodo pour une journée peinarde en perspective ! Demain il ne travaillait pas, jour de congé en plein milieu de la semaine, mais que voulez vous, quand on a pas marié qu'on a pas d'enfant, et encore moins de la famille, on ne s'embarrassait pas du week-end !

Enfin bref, revenons à nos moutons, c'était ce coup de fil paniqué qui avait forcé Gabriel à se lever du canapé dans lequel il était si agréablement vautré, comme une loque ! Pour aller apporter des documents importants. Il savait qu'elle recevait des parents d'élèves à cette heure ci, auquel cas il se dirigea de lui même vers la salle des profs, se remémorant moult souvenirs plus ou moins joyeux !Oh il ne s'était pas ennuyer une seule secone,il se rappelait, c'était la prof de math, une petite nouvelle un peu sur les nerfs, elle était partie en dépression, merci Gabriel ! Pareil pour le prof d'histoire, sauf qu'il avait fini  en bas des escaliers avec la jambe et le bras en miette, il était accidentellement tombé, ou quelqu'un lm'avait poussé pour se venger de certaines paroles concernant ceux qui n'avaient pas de mère, comme quoi ils devenaient tous des détraqués et que d'ailleurs, certains étaient déjà dans cetv état au sein même de la classe, il avait commencé par le rattraper pour lui demander des excuses, et ça avait dégénéré, le prof n'avait jamais porté plainte, et Gabriel avait fini par se tenir à carreau pendant son cours. Enfin bref.

Il monta d'un étage, admirant  le magnifique symbole gravé dans la pierre des escaliers d'au dessus, un phallus gravé avec le nom d'une prof juste à côté, il avait passé un temps fou à graver ça, ses nuits ! Il sourit et continua à sa route....euh, la salle des profs, à droite ou à gauche déjà ? Il avait  passé plus de temps dans le bureau de la directrice à subir des sermons que dans la salle des profs....il prit à droite., au hasard, mu par sans doute une intuition, très  importante, cette histoire d'intuition, qui le mena à bon port. Il frappa, pas de réponse, bon, il ne devait y avoir personne. Il commença à doucement ouvrir la porte. Il y avait une personne, une personne qu'il n'avait jamais vu à cet endroit, étrange, une nouvelle prof ? Mignonne.

Il sourit en la voyant, elle semblait ailleurs, commesi elle dormait, et si il ne voyait que son buste (très généreux soit dit en passant) il voyait vraiment son bras se diriger vers le milieu de son corps, pour le reste, il avait beau ne pas le voir,il imaginaiot parfaitement où elle était, ou du moins, il n'avait aucun mal à imaginer où il voudrait que la mains soit. Elle devait être tellement absorbée dans son fantasme onirique qu'elle ne l'avait pas entendu arriver, elle sursauta quand il frappa un peu plus fort contre la porte, comme ramenée à la réalité, elle était en sueur.  Enfin bon, il avait beau imaginer, il ne voyait pas exactement autre chose que cette explication.

Elle leva son regard vers lui, lui demandant si elle pouvait l'aider. Son regard était étrange, il était sur de connaître ce regard, mais il ne voyait pas exactement où il l'avait déjà vue , mais un regard pareil, ça ne s'oubliait pas ! Il se gratta sa barbe naissance, laisséeà pousser légèrement, négligée. Il opina du chef, trouvblé par cette vision familière.

« Heu oui, bonsoir, je viens déposer des documents pour Yamagashi-Sensei, elle m'a demandé de passer les déposer, elle les avait oublié. »

Il entra, même sans invitation, il estimait que le fait qu'elle lui ait adressé la parole suffisait à lui offrir un droit de passage. Il souriait poliment, se demandant pourquoi une telle impression de déjà vue, et pourtant pas de déjà baisée, donc étrange, avec les jolies filles, c'était plutôt cette dernière impression qui dominait ! Enfin bref, il lui posa une première question, passant machinalement la main derrière sa nuque qu'il frotta avant de jeter la serviette dans le casier de la belle rouquine pour refxer la jeune femme :

« Vous êtes une nouvelle prof de l'établissement ? Jecrois bien qu'Hitomi m'abvait prévenu qu'une nouvelle arrivait aujourd'hui, alors bienvenue à Seikusu ! Je suis Gabriel Valmy. »

Il s'approcha pour lui tendre la main, un signe de politesse et en même temps, l'invitation 'une main secourable en cas de besoin, aider une jeune et jolie femme dans le besoin, pas de soucis, il était toujours là ! Il rajouta, s'appuyant sur le bureau de la main pour se pencher vers elle.

« Comment trouvez vous la ville ? Bon, hormis le quartier de la Toussaint bien évidemment ! Je suis ravi de vous rencontrer !  Et votre première journée de travail ici, qu'en pensez vous ? »

Il n'oubliait pas ce qu'il avait vu, il le notait, mais il voulait être sur de son fait avant de dire quoique ce soit, déjà, et ensuite, une première rencontre, enfin  quoi, un minimum de classe !

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 2 dimanche 08 juillet 2012, 12:10:31

« Yamagashi-Sensei ? Je crois qu'elle est déjà partie, vous pouvez les déposer sur son bureau », je regarde tout autour de moi ne sachant pas vraiment de quel bureau il s'agit, « Vous devez savoir mieux que moi de quel bureau il s'agit »

Alors que je m'apprête à faire un pas vers lui je sens une résistance au niveau de mes genoux. Je baisse les yeux et vire au rouge pivoine en voyant ma petite culotte bien plus basse qu'elle ne devrait être. J'hésite, il faut réfléchir vite, comment la remonter sans qu'il s'en aperçoive ? De là où il est il ne doit pas voir dans quelle fâcheuse position je suis mais si je me baisse il devrait comprendre.

« Vous êtes une nouvelle prof de l'établissement ? Je crois bien qu'Hitomi m'abvait prévenu qu'une nouvelle arrivait aujourd'hui, alors bienvenue à Seikusu ! Je suis Gabriel Valmy. »

Je sursaute à sa phrase et le destin me vient en aide lui même, mon sursaut fait chuter ma culotte au sol. Pas d'autres choix que de la laisser là, du bout de mon escarpin je la pousse sous le bureau mais il faudra absolument que je la récupère dès qu'il sera parti.

« En effet c'est bien moi, Florence Delajoue, ravie de vous rencontrer, vous êtes le mari de  Yamagashi-Sensei ? », en même temps que je me présente je le vois traverser la pièce et alors qu'il me tend la main je lui fais la bise, une sur chaque joue avant de réaliser.

« Oh pardon, je suis française et c'est ainsi que l'on dit bonjour dans mon pays, j'ai encore quelques réflexes. J'espère ne pas vous avoir offensé, je sais que la coutume est différente ici. », visiblement il n'en prend pas ombrage et poursuit.

« Comment trouvez vous la ville ? Bon, hormis le quartier de la Toussaint bien évidemment ! Je suis ravi de vous rencontrer !  Et votre première journée de travail ici, qu'en pensez vous ? »

« La première journée n'a pas été facile, les étudiants ici n'ont pas semblé très intéressés par les arts, à part les garçons qui comme tous les ans veulent faire du nu et râlent quand j'accepte si l'un d'eux sert de modèle », je me rassoie à mon bureau et ramasse ma sacoche, je la pose sur mon bureau et commence à ranger mes affaires.

« Je suis arrivée il y a tout juste une semaine, je n'ai pas encore vraiment visité la ville, j'ai eu plein de papiers à faire. Elle est pour ce que j'ai pu en voir assez jolie, j'espère qu'un de mes collègues acceptera de me faire visiter ce week-end. », je boucle mes affaires et me lève, étourdie que je suis j'ai complètement oublié la petite culotte qui traîne aux pieds de ma chaise.

« Le quartier de la Toussaint ? Un quartier mal famé je suppose ? Savez vous que la Toussaint est la fête des morts dans la religion catholique, une fête qu'en France l'on fête en se rendant au cimetière pour prendre soin des tombes de nos défunts. ». Je range ma chaise prête à rentrer chez moi, souriant au mari de  Yamagashi-Sensei.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 3 dimanche 08 juillet 2012, 13:41:24

D'un seul coup, elle devint pivoine, avait elle compris qu'il avait compris ce qu'elle faisait ? Sans doute, mais bon, il fit mine d'ignorer cela, toute chose était bonne à savoir, mais après, il ne fallait pas pour autant montrer ce que l'on savait à tout bout de champ, non, il fallait savoir les utiliser à bon escient.Il n'était pas flic pour rien. Il la détailla rapidement, une fois plus proche, bien jolie, bien foutue, mais bon, il n'était pas là pour cela !

Et d'un seul coup, il pouffa légèrement. Désolé, mais sur le coup, c'était comique ! Elle le prenait pour le mari d'Hitomi, bon , en même temps, faute de plus d'informations, il ne fallait pas s'étonner qu'elle suppose qu'ils étaient mariés, quoiqu'il n'avait pas d'alliance au doigt, et qu'à sa connaissance, Hitomi non plus, mais sans doute qu'elle ne l'avait pas énormément croisée, donc qu'elle n'avait pas fait attention. Enfin bon, il se redonna contenance alors qu'elle lui offrait une bise sur chaque joue. Française donc, intéressant. Alors elle sourit, Florence Delajoue, oui, Française jusqu'aux bouts es ongles !

Il écouta attentivement ce qu'elle dit, riant du comportement de ces petits cons, se rappelant qu'un jour il avait été un de ces petits cons ! Et comme si elle avait l'intention de s'esquiver, elle commença à ranger ses affaires lui parlant de la ville  et de ce qu'elle avait vu, même si elle n'avait pas vraiment eu le temps de la visiter, et bien pourquoi ne pas sauter directement sur l'occasion ? Il avait bien envie de lui proposer de visiter la ville en sa compagnie, oh certes, s'afficher avec une fille plus grande que lui n'était pas forcément la classe, mais les mannequins étaient grandes en général et on ne les dédaignait pas pour autant !

Elle lui raconta l'origine de la toussaint, et il en fut surpris, il ne savait pas cela, il comprit mieux pourquoi on parlait du quartier de la toussaint :  c'était un lieu qui croulait sous les morts  cachés dans le béton....image un peu glauque mais qui résumait bien les choses. Püis elle prit ses affaires et commença à partir, il la raccompagnerait au moins jusqu'à son moyen de locomotion.

« J'ai beau être Français, enfin, à demi, je ne savait pas pour la Toussaint, ça met bien en avant le côté morbide du quartier, n'y allez pas, ou du moins, jamais seule et si possible avec un bon moyen de défense. Question de survie, on ne compte plus les agressions, les viols et autres horreurs, et pour y travailler, je le sais. Je suis flic. »

Il se tapa le front, jouant un peu la comédie, il le reconnaissait, comme si une idée veanit de le frapper

« J'y pense ! Si vous voulez, j'ai ma soirée, vous voudriez peut être en profiter pour que je vous fasse un peu visiter les lieux, j'ai grandi à Seikusu, je connais tous les recoins de tous les bâtiments comme ma poche ! Vous voudriez peut être déjà voir la plus belle vue du coin ? Il ne faudra pas beaucoup marcher et on a une vue sur le parc absolument géniale ! Qu'en pensez vous ? »

Puis, dans un sourire il ajouta :

« Ah et je ne suis pas le mari d'Hitomi, juste son colocataire ! »


Il montra sa main où l'alliance était absente, il ne portait pas d'alliance, donc il n'était pas marié à qui que ce soit ! Mais cette idée du mariage lui donnait de sacrés boutons, il en eut aussi un long frisson....
« Modifié: dimanche 08 juillet 2012, 14:19:27 par Gabriel Valmy »

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 4 mercredi 11 juillet 2012, 07:54:24

« Et bien ce serait avec plaisir, après tout qui de mieux placer qu'un représentant des forces de l'ordre pour faire visiter la ville dont il protège les habitants », lui dis je avec le sourire.

Je ne partageais pas la mauvaise image commune des forces de l'ordre, peut être parce que mon métier aussi souffrait aujourd'hui d'une mauvaise image. Dire que nos deux professions étaient il y a encore quelques dizaine d'années en arrière des professions honorables voir même de notaire. Ou bien était ce parce qu'il avait des menottes ? Rien que d'y pensais je me souvenais de la dernière fois où j'avais porté des menottes.

J'avais tout juste 16 ans, je n'étais pas encore aussi expérimentée que j'allais le devenir, j'avais un peu peur alors j'avais les yeux bandés. J'entendais du bruit, beaucoup de bruits, quand on me guida jusqu'à une planche en bois et on m'y menotta en étoile. Quand on me retira le bandeau je découvrais que j'étais sous le chapiteau d'un cirque, la foule criée à tue tête. Je portais une robe à franges et paillettes jaune étincelante. Ma maîtresse au premier rang criait et m'encourageait ce qui me rassura. En face un homme que je ne connaissais pas tenait des couteaux et la claquait l'un contre l'autre pour exciter un peu plus la foule.

Je ne me souviens que très peu de chaque lancé en lui même, je me rappelle du bruit sec du couteau qui se plante dans le bois et de la vibration qui se propageait dans mon corps. Pour les deux derniers couteaux on approcha et commença à faire pivoter la planche de gauche à droite. Les deux clowns qui servaient d'assistants souriaient alors que je faisais non de la tête. Ma maîtresse qui filmait depuis les gradins toute la scène souriait encore plus. Ils donnèrent finalement l'impulsion qui me fit tourner sur moi même, ma tête passant de haut en bas, et à chaque fois que mes pieds étaient en haut mon costume dévoilait un sexe sans aucun poils, une fente bien lisse.

La honte et la peur se mélangèrent pour les deux derniers lancés, la foule poussait des exclamations et je ne savais pas si c'était de peur, d'indignation quand à mon absence de culotte ou de satisfaction. L'artiste salua alors que je tournais encore, ce furent les clowns qui virent m'arrêter, tête en bas … Là ils commencèrent chacun de leur coté à tirer pour me remonter, se disputant faussement devant la foule qui riait. Puis ils se mirent à me faire tourner de plus en plus vite jusqu'à ce que j'en perde mes repères. Quand enfin il me stoppèrent tête en haut, la scène tanguait sous mes yeux, les clowns retirèrent les couteaux, firent semblant de vouloir les lancer et finalement en lancèrent un sous la foule qui retint sous souffle. Il se planta juste à la limite de mon flanc droit alors que je n'osais plus respirer. A nouveau ils se disputèrent et celui qui vint reprendre le couteau me sourit étrangement. Alors qu'il saisit son couteau je le sentis saisir ma tenue qu'il arracha sans effort me laissant nue face à la foule !

Je revois toutes les petites lumières vives dans les gradins, tous ces flashs qui immortalisait l'instant, ma nudité complète sous cette planche de bois, impuissante, alors que les clowns faisaient de nouveau semblant de se disputer et de se taper dessus devant une foule hilare. Quand ils revinrent ils soulevèrent la planche et c'est en la faisant rouler que je quittais la scène. En backstage ils me détachèrent et je tombais à genoux, n'ayant la force de me tenir droite. Quand je levais les yeux j'étais entourée de clowns souriant tout autour, les verges fièrement tendues vers moi. Ma maîtresse qui était déjà là continuait à filmer, elle m'indiqua le clown triste qui était le seul à ne pas sourire et qui fut le premier que je pris en bouche.

« Ah et je ne suis pas le mari d'Hitomi, juste son colocataire ! », je fus tirée de mon passé, il est fou comme on peut revivre toute une scène en quelques secondes.

« Pardonnez mon erreur », dis je en souriant et en regardant son doigt comme il venait de m'y inviter, « C'est que je ne suis pas inspecteur de police moi, je ne faire pas chaque indice quand je rencontre quelqu'un », ajoutais je gentiment pour le taquiner, « J'aime beaucoup les parcs je serais ravie de découvrir celui-ci », y avait-il quelque chose de spécial aujourd'hui pour que mon passé ne cesse de venir me hanter, j'avais vécue beaucoup de chose dans les parcs, quel souvenir allait il remonter ?

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 5 mardi 07 août 2012, 13:19:27

Ah !  Enfin quelqu'un qui acceptait que les forces de polices n'étaient pas des connards uniquement fais pour emmerder les autres !  Ça, ça faisait plaisir, même si cela mettait une distance désagréable, il fallait reconnaître que se sentir un peu valorisé par son travail n'était pas désagréable, bien au contraire,il lui sourit gentiment.

Encore une fois, elle semblait ailleurs, mais que voulez vous, elle devait être une douce rêveuse, c'était bien les profs d'art, ça, toujours un peu dans leur monde, jamais vraiment réalistes, cela l'amusait beaucoup, car pendant un temps il avait té comme ça, mais pour d'autres raisons, quand on a un père qui estime que la seule que vous avez le droit de manger ce sont vos dents et la seule chose qui doit vous marquer c'est le nombre de coups de clé à molette, bah normal que vous vouliez vivre dans votre monde, non ? Donc il comprenait un peu à sa manière cette envie d'être ailleurs, même si il reconnaissait volontiers qu'il espérait que ce ne serait pas pour les mêmes raisons. Après tout, sentir le métal froid s'abattre sur votre dos, vos bras, vos rein, et même en pleine gueule parfois, le mieux que l'on peut faire c'est se ramasser sur soi même mains sur la tête, coudes devant le visage, exposant seulement le dos en espérant que ça se finisse vite.

C'est sur ces pensées peu enthousiastes qu'elle ajouta sur le ton  de la plaisanterie qu'elle n'avait pas remarqué parce qu'elle n'était pas flic, mais elle était prof d'art, quand on peint une toile, on peint le moindre détail.Comment n'avait-elle pas remarqué ? Bah, c'était sans doute son côté rêveuse, mais peu importait, après tout, ne pas porter l'alliance au doigt ne voulait rien dire, il en connaissait certains qui la portaient autour du cou !

Enfin, si elle aimait le parc et bien soit, il le lui montrerait bien volontiers, mais il ne pensait pas exactement à y aller pour commencer, en fait, il envisageait juste de lui montrer la vue que l'on a depuis le plus haut point du lycée, une superbe vue sur le parc ! Il continuait à sourire gentiment alors qu'il le lui  avouait.

« Voyez vous, je pensais juste vous montrer une vue du lycée sur le parc assez sympa, mais si vous préférez qu'on y aille, pas de soucis, on peut y aller ! C'est un peu plus long par contre, sauf si on prend ma moto, on y sera en moins de cinq minutes, qu'en pensez vous ? »

Et puis soyons dingues, il s'était mis à parler en français, ps forcément par réflexe, mais parce qu'ainsi, il avait trouvé quelqu'un avec qui il pouvait parler cette merveilleuse langue que sa mère lui avait légué.

« Cela vous dérange si on continue en Français, l'occasion est trop rare pour que je n'en profite pas, je suis un peu....euh....rouillé, mais ça fait deux ans que je n'ai pas pu parlr cette langue, sauf quand je suis....seul ? »

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 6 mardi 18 septembre 2012, 07:41:52

« Avec grand plaisir, avec un peu d'exercice vous parlerez de nouveau facilement le français vous aller voir. », dis je en souriant, « En France on dit que parler seul est le premier signe de la folie ... », je ne sais pas pourquoi je venais de dire cela, il avait l'air assez gentil et je ne voulais pas le vexer mais c'était sorti tout seul, « Je ne sais donc pas si j'ai intérêt à suivre un homme qui montre des signes qu'il n'a pas toute sa tête »

Je sortis de la salle des profs et l'attendais dans le couloir, lui montrant ainsi que je n'avais nullement l'intention de m'échapper, quand il fut à mes cotés je repris ma route direction le parking.

« Mais vous avez de la chance, on dit que les artistes sont des rêveurs dans le meilleur des cas, des fous dans le pire, je ne sais à quel degré je suis entre les deux mais j'accepte de vous suivre. », lui annonçais je avec un grand sourire, « et si cela ne vous dérange pas je n'ai jamais eu l'occasion de monter sur une moto, ce sera ma première fois », je ne pus m'empêcher d'avoir un sourire coquin et malicieux en disant cela, ne m'en apercevant même pas, j'ai fait tant de bêtises qu'il me reste peu de première fois.

Alors que nous descendions un étage, j'apercevais du coin de l’œil un graffiti, plutôt une gravure faite sur la pierre, de façon à ce qu'elle soit immanquable en montant. J'étais si effondrée par cette mauvaise journée que je ne l'avais pas vu. Une fois l'étage du dessous atteint je lève les yeux et soupire en trouvant une vague caricature de pénis avec un nom d'enseignant que je ne connais pas à coté. Je soupire lourdement et montre la raison de mon désespoir à mon compagnon.

« Voilà à quoi se résume l'art ici ! », lui dis je excédée, « J'ai bien peur que l'année qui s'annonce ne soit pas particulièrement facile … ce ne ressemble même pas à un vrai pénis, il aurait pu faire un effort sur la forme, la hampe devrait être plus allongée, plus profilée, même lorsque le sexe d'un homme est épais il en garde une certaine adhérence à la main d'une femme, de plus il manque le dessin des veines gorgées de sang et palpitante caractéristique de l'érection. Le gland devrait être légèrement plus ovale et pas aussi rond. On peut noter l'absence complète de prépuce, non pas que cela soit un signe de la religion de l'auteur, étrangement la caricature de l'organe phallique ne comporte pas ce bout de peau. Un oubli certain du à l'absence de pratique de la personne ne connaissant pas alors le plaisir de sentir une langue glisser entre ce bout de peau et la chair durcissante du gland. », je réalisais alors le discours que j'étais entrain de tenir à un homme et devint rouge pivoine, « Pardonnez moi, quand je parle d'art je m'oublie parfois et j'oublie que certain sujet ne sont pas innocent pour tout le monde », je ne sais si ma description de l'oeuvre dont l'auteur était justement Gabriel était vraiment innocente.

Nous reprîmes la route pour arriver jusqu'aux casiers, les élèves pouvaient y déposer leurs chaussures et leurs sacs, les enseignants avaient eux une petite boite aux lettres afin que les élèves puissent y déposer des demandes sans qu'il n'ait à venir en salle des professeurs. Je récupérais dans le mien une enveloppe avec surprise, un message dès le premier jour ? La joie céda place à un mauvais pressentiment que je lu le texte dessus.

« Vous parlez trop, voici la solution sensei »

Le sensei sonnait plus comme une moquerie qu'une marque de respect et quand j'ouvris l'enveloppe et la dépliait devant l'inspecteur j'en eu la confirmation. Je crois que je n'avais jamais vu un portrait aussi fidèle de moi, la personne qui l'avait réalisé était un vrai artiste. Les coups de crayons étaient léger, appuyaient juste à certains endroits pour créer un jeu d'ombres et de profondeur admirable. On y voyait chaque détail de ma coiffure, ma frange en bataille, ma longue queue de cheval qui pour le coup s'enroulait autour de mon cou non pas comme la corde d'un pendu mais comme une laisse que l'on tire vers le haut. D'où venait cette impression ? Sûrement du regard emplit de perversion que j'avais sur ce dessin, le regard d'une femme en manque et accroc au sexe, d'ailleurs ma bouche ouverte était emplie d'une verge imposante qui cette fois possédait tous les détails inhérents, y compris les grosses veines donnant une impression de vigueur. Le gland déformait ma joue produisant un renflement visiblement et distendant mes lèvres.

« Il y a finalement un artiste dans ce lycée ... », dis je ne savant trop comment désammorcer la situation, repliant vivement le dessin pour le ranger dans mon cartable, « même s'il semble parti pour faire carrière avant tout dans la pornographie pour le moment ... », j'étais de nouveau toute rouge, ce dessin aurait pu être tiré d'un de mes films si j'avais été dessiné plus jeune, visiblement ce n'était là que le fantasme d'un lycée mais cela me troublait déjà, « J'espère que vous n'allez pas vous imaginer des choses et que cela ne remet pas en cause notre tour en moto ? », à vrai dire je n'aurai pas été surprise que Gabriel change d'avis, tout ceci commençait à donner une image peu recommandable de moi.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 7 mardi 18 septembre 2012, 17:30:59

Elle accepta avec joie apparemment ! Bon, très bien !  Le seul truc chiant, mais bon, ça, il avait un peu l'impression de radoter, c'était que se trimballer à côté d'une nana plus grande que lui, ça la foutait mal, mais bon, que voulez vous, il y avait des choses, comme ça, qu'on acceptait de bonne grâce pour la simple et bonne raison qu'avoir une anan, même trop grande, avec soi, bah ça restait aveoir une nana, et même plus, une nana loin d'être vilaine ! Carrément sexy même ! Alors oublions, et passons à la suite !

Concernant le français, elle n'avait pas tort, ça allait vite revenir, ça, il n'en doutait pas un seul instant, c'était surtout un problème d'accent et de vocabulaire qu'autre chose, il butait sur certains mots comme si il n'était pas sur de ce qu'il avançait en fait.... c'était ça le vrai  probkème de son français, enfin, ça viendrait tout seul, avec le temps sans doute ! Il fallait juste qu'il profite des occasions qui se présentaient à lui pour parler français  ! C'était aussi simple que cela.

Par ontre le coup de parler seul....il s'esclaffa et ne put se retenir de sortir une petite réflexion amuse comme quoi le génie et la folie n'étaient jamais bien éloignés ! Chose qui était parfaitement vraie quand on y réfléchissait ! Les visionnaires avaient quand même le cibouleau qui ne tournaient pas forcément très rond ! Pour les exemples...il n'en avait pas en stock, mais ça allait venir, enfin, peut être...ou peut être pas !

Elle sortit, l'attendant dans le couloir, alors il se dépêcha, il voulait confirmer ses doutes, il se glissa en vitesse derrière le bureau qu'elle avait occupé et trouva.....oh, une petite culotte ! Intéressant spectacle ! Il la ramassa, la fourra dans la poche de son cache poussière, il la lui rendrait en temps et en heures, quand l'occasion se présenterait. Il imaginait bien cela, une jolie enveloppe dans la salle des profs avec la culotte décorée d'une jolie dédicace personnalisée dedans, enfin, il verrait plus tard, d'ici là, la visite du parc ! Par contre, il espérait que sa bécane ne verrait pas sa selle cuir abimée par un peu de mouille ou un truc du genre de la jeune femme... enfin peu importait, il sortit avec elle dans le couloir pour rejoindre le parking, parking où se trouvait sa moto.

Ah, elle venait de remarquer son œuvre...tant de détails, tant d'information sur les oublis, c'était à croire qu'elle connaissait vraiment bien en détail ce dont elle parlait, en même temps, elle était une jolie femme, et une prof d'art, l'un dans l'autre, elle avait le sens du détail. Mais bon, l'un dans l'autre, il était de plus en plus persuadé d'une chose :  cette prof devait être une véritable chaudière, et pas que !  Car une chaudière, c'est bien, mais si y a pas de quoi aller avec pour assurer après....Mais bon, rien qu'à ses propos, elle lui foutait la gaule, fallait le reconnaître ! Bon, les arrières pensées qu'il avait à force de l'entendre décrire passionnment cette verge, comme si elle savat mieux que quiconque à quoi cela ressemblait pour avir observé et testé de près...

Bon, au moins, elle avait de la répartie, par contre, là le type lexical qu'elle lui faisait réviser était des plus limtés ! Et puis, il était un peu vexé, une critique si dure de sa création.... Savait-elle combien de temps il avait passé pour la graver ? Après tout, c'était de la pierre et au mieux, il avait eu le contenu de sa trousse pour le faire !  Donc inutile de trop critiquer...enfin....qu'est-ce qu'elle était bavarde....mais en contrepartie, la voir rougir était particulièrement beau, donc l'un dans l'autre, avoir décrit cette verge avec tant de détails n'était pas si gênant que cela !

Au fond, voilà la solution, parler un peu moins...il eut tout de suite une idée de baillon, mais il se retint de le dire de suite. Non, il la regardait observer ce qu'elle avait reçu :  une jolie lettre dans son casier, et le ttre avant même l'ouverture le renforça dons son idée lubrique qu'il tût encore une fois. Le dessin était plus que ressemblant, et lui rappelait encore une fois quelque chose, il avait deux éléments, mais il manquait la jonction, il svaiat qu'il avait déjà vu ça quelque part, le mélange entre mla prof et ce dessin, mais où ? Hum, bonne question, il n'en savait rien...mais il allait la trouver, ce lien !

Ses propos le ramenèrent à la réalité, oui, c'était vrai qu'ele avait déniché la perle rare ai_nsi...tout ce qu'il fallait c'était apparemment lui donner le bon modèle, son imagination faisait le reste....mais bon, si la jeunesse pouvait aller au delà de la pornographie...ouais, évitons de pourrir trop la jeunesse, ce serait un grand progrès !

« Moui, c'est vrai, un bon artiste, mais bon, si au moins cette personne traitait les sujets proposés en cours...j'aurai tendance à penser que ça vient de l'âge bête tout ça en fait ! Ne faites pas attention, mais vous avez de la chance, vous on vous a pas fait le coup des photos montages, je suis venu présenter un peu toute l'histoiure de la sécurité l'autre jour, le lendemain, j'apparaissais dans une photo montage en train de me tripoter avec le prof de math et le prof de musique...donc estimez vous heureuse ! »

Il lui sourit avant de prendre doucement le dessin des mains. Il y avait quelque chose sur la feuille, là où il posa le doigt, encore un poil chaud, gluant, un peu collant...;d'ailleurs, quand il leva la feuille pour regarder la transparcence, d'autres légères tâches apparurent sur le dessin, pas énormément, mais un peu quand même, il le lâcha en comprenant ce que c'était, avant de le reprendre pour le lui rendre, n'en disant rien, au cas où, pour pas la miner un peu plus sans doute....et si elle remarquait cela, elle rougirait peut être encore ! Qui sait !

« Moi si j'étais vous je le ferai disparaître assez vite, si jamais vous le froissez et le mettez à la poubelle, vous pouvez être sûre que demain il y en a un exemplaire par élève déjà distribué...sont malins mine de rien les jeunes ! Surtout quand ça ne les concerne en rien ! »

Sa dernière question le prit un peu de cours, avait-elle vraiment cru qu'il oublierait pour si peu le tour en moto ? Bien sur que non, ça avait peut être même tendance à l'encourager à continuer, et à le faire.

« Mais puisqu'on parle d'art...je ne suis pas aussi qualifié que vous, je l'admets bien volontiers, mais la gravure de l'escalier me semble être plus proche de l'art que ce dessin porno, vous ne pensez pas ? Car l'érotisme est justement plus artistique, je ne sais plus quel âne avait eu un trait de génie en disant que c'est plus le suggéré que le montré qui attire les regards et la beauté... et puis, mà on sent quand même que le dessin a été fait rapidement, alors qu'immortaliser dans la pierre demande un très dur labeur, bien plus long, bien plus difficile, non ? Donc au final, c'est l'innocent gamin qui a fait sa bêtise dans l'escalier le véritable artiste, contrairement à cette image qui est, au final, plus une volonté injurieuse qu'autre chose ! »

Doucement, il lui posa la main sur l'épaule, l'incitant avec douceur à venir vers le parking. Une petite foule, enfin, foule était un bien grand mot, cinq ou six élèves s'étaient rassemblés autour de la bécane du flic. Ils tâtaient les courbes, admiraient la beauté, la voluptuosité de la machine, une pârtenaire de reêve, à la fois endurante et partique, puissante et rapide, répondant aux moindres mouvements par le mouvement adéquat...

 Oui, il comprenait parfaitement que sa bécane en jette, avec son gris métallisé, ses cinq cent centimètres cubes, elle en avait dans la gueule et « sous le capot », la selle noire était longue, largement assez grande pour deux personnes et en plus, un double top-case et des sacoches de selle ornaient l'arrière, sa Suzuki GS500 avait de quoi ravir tout le monde. ! Et en plus avec cela, niveau vitesse, il pouvait y aller. Le seul point qui n'avait rien de rassurant sur la moto, c'était les marques de rayures montrant qu'il avait joué à la fois la vitesse et le dérapage, un vrai casse-cou  Il y avait de quoi franchement baliser quand on s'y connaissait un peu. Heureusement pour elle, elle ne le savait sans doute pas...

« S'il vous plait, écartez vous de ma bécane, que je puisse partir, merci ! »

Il avait été un peu sec, mais bon, la dernière fois, plusieurs avaient été gonflants au point de devoir les virer presque à coup de pompe. Les quelques personnes  présentent s'écartèrent et il fila vers le topcase d'où il sortit deux casques, un complet et un sans visière ni protecion au menton. Il en profita pour fourrer dedans la culotte en douce, l'avantage de la taille de son cache poussière ! Il retira aussi la radio réglée sur la fréquence de la police du casque complet et son arme de service qu'il pôrtait à la ceinture et referma le topcase.Pendant ce temps, l'endroit s'était vidé, ils étaient seuls désormais sur le parking.

« Tenez, mettez ça, et accrochez vous. Vous êtes une artistes, alors vous peut être un peu ailleurs, mais bon, reconnaissons que monter sur la moto d'un étranger et partir avec lui comme ça, c'est presque de la folie....peut être que nous sommes tous deux un peu félés du bocal.... »

Il éclata de rire et fixa son propre casque sur sa tronche, l'invitant à se placer derrière lui.

« Accrochez vous comme vous voulez, ou en tenant les poignées derrière vous, ou en vous accrochant à moi, on va y être en moins de deux ! »

Il avait pour une fois l'intention de rouler normalement pour un usager, il ne roulerai pas comme un marteau, non, pas cette fois, au cas où, qu'elle ne gerbe pas sur lui, ou qu'elle ne pisse pas de trouille sur sa selle! Il enfourcha sa brelle et la mit en route das un vrombissement alors qu'il sentait la jeune femme l'enlacer pour s'accrocher à lui, le top-case gênait l'accès correct aux poignées arrières, donc autant  s'accrocher à ce qu'elle avait sous la main, lui en somme. Les gens allaient finir par coire qu'il s'agit d'un jeune couple avec ce genre de signes, mais ce n'était rien, rien du tout enfin bon. Peu importait, il s'en foutait un peu au fond !

« Allez, on y va. »

D'un mouvement de poignet, il amorça à fond l'accélérateur et la moto commença à légèrement patiner en produisant un peu de fumée au passage, pas énormément, mais ça rappelait un petit peu cette vieille série  américaine appelée starsky et hutch ...mais le plus important était le fait qu'après quelques secondes à patiner, la roue avant se souleva légèrement alors que la moto avançait d'un seul coup avant de retoucher terre finalement.

Florence ne devait pas avoir l'habitude d'être à moto car il la sentit resserer son étreinte au démarrage, lui faisant remarquer de manière non-intentionnelle, cela va de soi, la douceur de ses deux monts de chair relativement volumineux....putain, si ça donnait pas envie de les saisir à pleine main, alors c'est que l'on était gay comme un phoque (ou comme un pinson, au choix, mais phoque semble plus logique vu le contexte...).

Le trajet fut, comme il l'avait promis, très court, et le plus drôle fut quand même la grosse anecote du trajet, en effet, la jupe du tailleur remontait à cause du vent, et ce, jusqu'à la taille, exposant à tout va son intimité, sa croupe étant camouflée par le top-case. AU fond, elle n'était pas très exposée en fait, mais le fait de ne pas être exposée ne devait pas gêner outre mesure, il n'en restait pas moins qu'elle avait quand même tout le bas du corps exposé aux vents et aux vues, étant donné qu'elle n'avait pas de culotte. Oui, la culotte était au fond du top-case!Espérons juste qu'elle n'attraperait pas un rhume, ou qu'elle n'ait pas les lèvres gercées - mais quelles lèvres en fait ? Allons, je sais que vous savez !

Le plus drôle c'était quand il s'en était aperçu, oui, il n'y avait qu'un feu sur le trajet, et alors qu'il s'étaiit arrêté il avait entendu des sifflement qui avaient pu passer outre les vrombissement du moteur de la moto, et des autres véhicules stoppés ici même. Il avait penché la tête vers la jeune femme et là il avait vu...et la vue avait été plaisante, il ne s'était pas attardé, pour ne pas non plus trop la gêner, mais il ét&it persuadé qu'elle avait rougi, normale en même temps ! Le plus drôle, là dedans, c'était que sans les sifflements il n'aurait sans doute pas remarqué ce détail avant l'arrivée et encore....

La moto finit par ralentir, il avait roulé de manière prudente, pour une fois, aussi, il espérait que ça irait. Une fois la moto silencieuse, il lui demanda de descendre alors qu'il la calait sur la béquille.

« Alors, c'était comment ? Laissez moi deviner, vous n'aviez jamais fait de moto avant, non ? »

Bon, étant donné que l'on était à l'entrée du parc, il y avait un peu d'affluence et plusieures personnes  s'étaient tournées vers la compagne de voyage de Gabriel, sans doute avaient-ils vu un spectacle intéressant quand elle était descendue de moto., il sourit en  ouvrant le top case, posant son casque sur la culotte histoire qu'elle ne voit pas qu'il l'avait conservée. Il y avait la place pour mettre un autre casque à côté dans la boite de rangement si elle voulait éviter de le trimballer de partout dans ce grand espace de verdure.
« Modifié: jeudi 20 septembre 2012, 08:28:55 par Gabriel Valmy »

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 8 vendredi 21 septembre 2012, 07:45:48

« L'art est très suggestif, il est vrai que le dessin est une discipline que l'on peut penser plus simple que la sculpture mais à ce titre parce qu'elle est plus abordable aux communs il n'en est que plus difficile de se faire connaître. », dis je en souriant, « Et je vous rassure que ce soit le dessin ou la sculpture aucun des deux ne sont des œuvres d'art, je dis simplement que l'auteur du dessin me semble plus prometteur d'un point de vue talent artistique que le sculpteur, mais dans le fond ce sont tous les deux des adolescents un peu bête ayant fait une bêtise d'ado. D'ailleurs je serais curieuse de voir vos photos montage »

Il pouvait être amusant de voir comment les élèves avaient pu décider de le représenter, était lui qui … ou se faisait il … Je ne posais pas plus la question pour ne pas l’embarrasser ou le vexer et me dirigeais avec lui vers le parking. Il ne fut pas difficile de trouver sa moto, elle était encadrée par une petite foule. Si je comprenais bien que les garçons rêvaient d'une moto et les filles trouvaient sa cool d'être assise derrière un motard je dois admettre que son engin au gris métallisé donnait une impression de puissance même à l'arrêt. J'eus un petit rire alors qu'il chassa les élèves de façon un peu bourru, le coté inspecteur de police refaisait surface, la patience ne semblait pas être son fort.

« C'est une très belle moto que vous avez là », dis je en laissant courir mes doigts sur le cuir de la selle, « elle vous sert aussi comme véhicule de service ? Vous ne portez donc pas l'uniforme ? », était ce le vieux fantasme féminin de l'homme en uniforme ?

Visiblement mon compagnon avait envie de filer d'ici au plus vite. Il me donna un casque que j'enfilais et m'invita à grimper derrière lui. Je passais une jambe au dessus de la selle et sentis ma jupe se soulever, mince ! Le tailleur ce n'est pas du tout adapté à la moto ! D'une main je la tenais fermement en rougissant, je n'avais plus de culotte et il y avait encore quelques élèves pour assister à notre départ. Quand je fus assise, ma jupe coincée sous les fesses, la position m'obligeant à écarter les cuisses pour enfourcher la bécane, le tissu était juste à la limite de mon sexe. C'était indécent mais les élèves ne pouvaient rien voir de mon intimité. Je soupirais et commençais à chercher les poignées pour m'accrocher. Impossible de les trouver quand la moto ronronna furieusement je n'hésitais pas et m'accrochais directement à Gabriel.

« Hhhhhhhiiiiii ! »

Je poussais un cri de surprise et de peur au démarrage, la roue avant avait brusquement pris de la hauteur, je me sentais partir en arrière. Dans une réaction de panique j'oubliais que je connaissais à peine l'homme devant moi et passais complètement mes bras autour de son corps, l'enlaçant en prenant appuie sur son torse pour me serrer fortement contre lui. Je gardais les yeux fermés jusqu'à ce que la moto s'immobilise ayant bien trop peur pour les ouvrir. Quand on stoppa mais qu'il ne coupa pas le moteur je tentais un regard. Nous étions à un feu rouge, moi fortement serrée contre son dos, ma tête contre son épaule.

« Vilain ! Vous m'avez fait peur ! Vous auriez pu ... »

Mes mots moururent dans ma gorge, j'avais bien entendu les sifflements des jeunes dans la voiture d'à coté mais je n'y avais pas prêté attention. Par contre je ne pus que suivre le regard de Gabriel qui affichait un sourire pervers sans en avoir conscience. Quand je baissais les yeux je découvris avec choc ma situation. Les vibrations et le départ brusque avaient eu raison de ma jupe qui était fripée autour de ma taille telle une ceinture laissant voir la toison blonde éclatante de mon intimité entre mes cuisses pleines à la peau laiteuse. Je virais au rouge pivoine, quelle image donnais je dès la première rencontre ? Et en même temps ça faisait si longtemps que personne ne m'avait exhibé, même si ce n'était pas volontaire de la part de l'inspecteur, que je sentais la tête qui me tournait de plaisir.

Le feu passa au vert, déjà ?, et le reste du trajet fut des plus court mais des plus divin. Je reposait doucement ma tête sur son épaule, gardant cette fois les yeux ouverts je profitais du paysage. Mon corps battait fortement et il devait ressentir chaque pulsation alors que ma poitrine était toujours contre son dos. Maintenant que je n'étais plus pétrifiée par la peur les vibrations de la moto et la sensation du cuir sur la peau de mes douces lèvres soyeuses, sans oublier la sensation du vent me mener petit à petit vers l'orgasme. Mais le trajet était court, comme promis et nous atteignîmes le parc avant que la jouissance ne me soit offerte.

« Déjà ? », dis je d'une voix où la frustration pouvait être entendue alors qu'il mettait la béquille pour caler la moto, « C'était très agréable, vraiment très agréable »

Je descendis de l'engin en me retournant le plus rapidement possible afin de ne pas exposer d'avantage mon sexe. Réflexe stupide qui à la place pouvait le laisser admirer ma croupe. Un détail ne manquait jamais d'attirer l'attention sur mes belles fesses rondes à la peau blanche, si blanche que bien souvent on me dit que ça donne envie de la voir rougir, sur ma fesses droite un tatouage, deux fois la lettre P, le second passant dans le trou du premier, un souvenir du passé, une marque de mon ancienne maîtresse pour que l'on me reconnaisse bien dans chaque film avait elle dit. P P pour Pupuce ou Petite Pute, c'est au choix de celui qui le lit avait elle encore rajouté. Je me dépêchais de remettre en place ma jupe, peut être n'avait il rien vu ! Et regardais le parce avec le sourire.

« C'est un très beau parc en effet ! Vous me faites la visite ? », par le passé je visitais les parc nue et en laisse, me promenant à quatre pattes à coté de ma maîtresse, ça me changerait de le faire en marchant normalement ...

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Petit oubli en salle des professeurs [PV Gabriel Valmy]

Réponse 9 vendredi 21 septembre 2012, 12:53:11

La patience n'était en effet pas le genre de Gabriel, d'où sa volonté de vitesse d'habitude, même si là, il avait roulé prudemment, et alors qu'il attendait qu'elle ait rangé son casque, , il essaya, comme ça, de se rappeler ce qu'il avait foutu des images truquées qui s'étaient répandues dans le lycée...hum....dans le deuxième tiroir ? Non, pas cela, et ça ne pouvait pas être dans la caisse sous le lit, là dedans il n'y avait que les accessoires oubliés par les conquêtes ou ceux qu'il avait copnservé pour les amuser, dans le dossier dans le petit coffre fort sans doute, oui, ça devrait être là quand à les montrer, ça euh, ce n'était pas dit qu'il accepte ! Non, il les trouvait à la fois humiliantes et insultantes. Non pas qu'il soit homophobe, mais bon....et puis, il allait pas repârtir sur une conversations sur l'art avec elle ! Après tout, primo, l'art pour lui, c'était juste un commerce scandaleux, les seuls arts qu'il appréciait étaient l'art divin qui dessina les femmes, et l'art de préparer une bonne bière, si, si, une bonne bière est une œuvre d'art !!

Concernant le port de l'uniforme, houlà passons, taisons nous, ou ça allait mal finir ! Il pensait tellement de mal de l'uniforme, il restait en civil et envoyait se faiire foutre bien profondément toute autorité lui imposant l'uniforme, mais au fond, cet invariable cache poussière usé et délaé n'était-il pas sa marque de fabrique, son signe de reconnaissance ? Superman avait son S batman avait sa chauve souris stylisée, et lui, il avait son imper.... mais attention, ne croyez pas qu'il n'avait pas le reste des accessoires. Mais bon, pour ne pas partir ans un débat encore une fois il préférait dire cette excuse bidon :  l'uniforme me grossit trop ! C'était ce qu'il avait sirti d'ailleurs quand elle lui avait parlé de ce sujet, il avait clos la discussion d'auilleurs, quant au reste, concentré sur la route et couvert par les vrombissement du moteur, si elle avait prononcé d'autres paroles, ça avait été inintelligible pour lui...dommage, elle avait une jolie voix, mais il avait retré les radios des casques.

Gabriel jeta quand même un coup d'oeil à la selle, non, c'était bon, pas de marque, rien, enfin bon, c'était l'essentiel, ça luiaurait fait chier qu'elle laisse des marques de plaisir sur le couir de la selle à cause des vibrations de la moto. Il avait craint, c'était l'ennui. Mais une chose simple lui sauta aux yeux, le tatouage !  Bon sang, mais oui, lui aussi il l'avait vu, mais où ? Putain, il en avait raz le bol de ces conneries, saloperie de mémoire qui lui faisait défaut ! Il savait qu'il avait vu ce double P stylisé sous cette disposition, mais où !  Et du coup, même ce fessier des plus intéressant était aussi connu de lui, mais d'où zvait-il déjà vu cette fesse marqué de ce détail ? Putain, mais souviens-toi bon sang !

Elle semblait déçue de ne pas avoir vu le trajet durer plus longtemps, mais que voulez vous, ce n'était pas forcément plus mal que ça soit vite fini,il avait ainsi garanti la propreté de sa selle, et puis, comme ça, la honte qu'elle avait pu ressentir avait pu finir le plus vite possible, mais il avait la certitude d'une chose :  elle devait être une sacrée chaudasse. Le premier réflexe en général était de couvrir son entrecuisse de ses mains, mais là, elle exposait sa croupe ! Une idée germait dans son esprit, une idée saugrenue, certes, mais bon, il commençait un peu à se la poser....et si elle faisait tout ça volontairement, pour l'aguicher ? Non, idée stupide ! Oublie là crétin, c'est parce que tu la trouve sexy ! Couillon, réutilise ton cerveau ! Ouais, c'était surement une connerie d'avoir pensé cela !

Le jeune homme lui sourit.

« Je suis ddésolé, j'ai eu l'impression de jouer les escargots, mais avec une passagère, je ne pouvais pas faire la chose que quand je suis tout seul ! Dans ces moment là, je vais beauccoup plus vite, pour arriver aussi rapidement que possible sur les lieux d'intervention. Certains vont même jusqu'à dire que je suis un peu cinglé de rouler aussi vite ! Mais bon, c'est le travail. On m'a dit de m'acheter ma propre moto pour le service....j'avais tendance à pousser un peu trop loin les motos de la brigade, manque de vitesse, manque de de puissance, manque de tout en fait... »

Il sourit répondit à sa proposition par une sorte de révérence plus comique qu'autre chose, l'invitant par la nme à entrer dans le parc dans lequel il commença à avancer, ne la précdant pas plus qu'il ne la suivait, il se calquait sur sa vitesse de marche, la sienne étant d'habitude plus que rapide, il préférait ne pas la forcer à suivre un rythme imposé en fait. Il verrait bien.

« Oh, vous savez, c'est joli ici, mais en fait le mieux là dedans en fait, c'est sa taille, il est assez imposant et contient même un bosquet !  Bon, c'est sur que ça ne vaut sans doute pas certains coins de la france, ou d'europe en général, non ? Enfin bon...l'ennui, c'est que les gens ne sont pas spécialement respectueux de ce qu'ils voient, vu toutes les ordures par terre, à croire que les poubelles ne servent à rien... »

Il soupira, il s'en foutat un peu du fait qu'il y ait des ordure par terre, mais  ça permettait de meubler la conversation et éviter un long silence gênant ! Mais il eut une idée !

« Vous qui êtes une articte, vous voulez voir l'endroit le plus enchanteur du parc ? J'avoue que sur le coup, j'ai un peu fait en sorte de le préserver....illégalement...mais bon, c'était pour son bien hein !  Je voulais pas qu'on y touche, alors j'y ai mis des bandes jaunes correspondant à une scène de crime il y a une quinzaine de jours, et personne n'a apparemment osé traverser pour le moment...alors si vous voulez, je vous la montrerait ! »

Le jeune homme sourit avant de continuer à marcher posément, écartant d'un coup la jeune femme du sentier pour mieux l'y ramener. Il venait lui éviter d'avoir sur elle une odeur peu agréable qui durerait...

« Attention, vous avez failli marcher dedans ! »

Il sourit et la conduisit plus loin jusqu'au bosquet, mais ne prit pas le chemin non, il l'invita à faire un peu de chemin dans l'herbe.

« Par contre pour y accéder c'est un peu galère, vafalloir couper dans le bois, et c'est parfois un eu difficile d'avancer, mais ne vous en faites pas, on peut facilement y arriver, ça vous dit? »

Un peu difficile d'avancer ? C'était un mot fable, il y avait des ronces, des branches ui vous fouettaient sur le trajet plein de choses qui s'accrochait, vous frappaient parfois un epu au passage, mais rien de bien méchant, on avaiit juste l'impression d'être dans les griffes d'une créature étrange.

« Sinon, ou peut faire un tour classuique du parc si vous préférez bien sur, mais pour une artiste, louper cela était était quelque chose d'assez incroyable ! Et si j'ai de jolies photos, il y a des choses que ça ne peut pas rendre, nous le savons bien tous les deux, alors, qu'en pensez-vous ? »


Répondre
Tags :