Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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se jeter dans la gueule du loup n'est jamais sage(PV le serpent à plume)

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Liam Eckart

Créature

La pluie tombait violemment, s’écrasant contre les carreaux des fenêtres de la demeure ancestrale des Eckart. Et si orage grondait à l’extérieur, rien n’était pire que ce qui tonnait à l’intérieur. Un vampire tempêtait contre ses hommes. Trois personnes, nez ensanglanté, yeux au beurre noir, divers bleus, diverses coupures, bref, aucun des trois n’était en état correct pour se présenter à son maitre.  A leur pied gémissait une chose informe. Ce qui avait été auparavant une esclave. L’esclave qu’il laissait dans la salle commune te de restauration des gardes.

Une bagarre avait éclaté au sujet de qui avait pris l’esclave qui n’y avait pas encore touché, et quand elle avait, bien gentiment, proposé de recevoir les trois hommes en même temps, ceux-ci s’étaient acharnés sur elle, lui brisant os après os en en finissant par lui couper tous les doigts et la langue ; Ils avaient mélangé le foutre au sang le lui avait fait gober et avaler jusqu’à la dernière goutte. L petite avait failli étouffer à cause de tout ça, puisqu’ils ne lui avaient pas retiré la langue de la bouche une fois coupée.

Par pitié, il acheva l’esclave, non ce n’était pas de la pitié, mais juste du pragmatisme. Un esclave sans doigts et sans langue était in vendable, et quand un meuble est inutile, autant le démonter pour en mettre un autre, ou alors s’en débarrasser carrément. Il siffla et deux esclaves prirent la dépouilent.

« Emmenez ça au chenil, et  donner le aux chien en petit morceau. Je ne veux pas qu’ils s’étouffent ! Je ne veux pas les predre, ils sont trop précieux à mes yeux pour ça. »

L’esclave par contre, il n’en avait cure. Mais que des gardes lui aient fait perdre de l’argent…ça passait beaucoup plus mal ! Il prit la chaise la plus proche, qui s’approchait plus d’un fauteuil que d’une chaise et leur ouvrit le crane avec. Si ils avaient un souci avec ça, il ne fallait pas se gêner.Oups, trop tard, ils étaient incapable de le dire, bon tant pis. Il siffla à nouveau et un autre esclave apparu.

« Quand à eux, convoquez tous les gardes dans l’arrière court et exhibez leurs têtes devant tout le monde. Laissez Maurice et Marcel de faction à la porte quand même. Exécution ! »

Il tourna le dos et s’en alla, il avait autre chose à faire, et pour ça, il devait être seul. Si il avait choisi maurice et marcel, c’est parce qu’ils ne le verraient même pas passer entre deux jeux de cartes. Ces deux gardes étaient la honte de la profession, mais peu importe, l’essentiel, c’était qu’il puisse sortir. Sortir chasser. C’est ainsi qu’il laissa la masse imposante du manoir, taillé comme dans un seul bloc de pierre.

Ce qui était vrai, bien que par la suite, l’un de ses ancêtres ait fait modifier la géorgraphie des lieux, dégageant cet immense manoir lugubre de la masse de la falaise. Dommage, maintenant ils avaient été obligés de prolonger la clôture, qui s’arrêtait autrefois contre les murs du manoir. La ifférence de maçonnerie était évidente. Quant aux murs eux même, hauts de trois bons mètres surplombées de piques acérées, voila qui pouvait découragea les intrus.

Le vampire mit bien trois bonnes heures à revenir de sa chasse…

Quetzalcóatl

Dieu

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    Une déesse perdue, à la recherche de pardon.
Quetzalcóatl, depuis sa renaissance, errait encore sur les terres sauvages de Terra. Ses voyages lui avaient permis de faire de magnifiques rencontres, et même, des retrouvailles…Ou, comme dans le cas présent, de mauvaises rencontres. À trop s’entraîner, on attire pas mal les foules, même quand il n’y a que très peu. Se baladant sous sa forme humaine, la jeune rouquine s’était revêtue de l’ensemble que lui avait offert Vlad. Premier faux pas de sortir vêtue ainsi. Deuxième faux pas de s’exercer dans un coin reculé de tout, attirant à elle une petite meute de loup-garou, ou un truc dans le genre. Elle avait le don pour s’attirer les ennuis dis donc…

Elle n’avait même pas cherché à se défendre ne serait-ce qu’un peu. Elle avait fait comme d’autres auraient fait : pris ses jambes à son cou et détaler aussi vite qu’elle pouvait. Elle avait au moins gardé cela de son statut divin, son agilité et sa rapidité légendaire…Elle traçait sa course dans les bois, slalomant entre les arbres pour mettre une certaine distance. Elle ne cessait de regarder devant elle. La jeune femme à la crinière de feu savait qu’elle ne devait dévier son regard, poser les yeux derrière elle. Cela ne ferait que la stresser et elle pourrait tomber dans sa course, pour finir dans les griffes et crocs de ces créatures.

Il faisait de plus en plus sombre sur Terra, mais au loin, le Serpent à Plumes pouvait apercevoir une sorte de grand manoir. Habité ou non, elle filait dans cette direction, où elle savait qu’elle pourrait se protéger de la meute qui la suivait. De toute façon, elle ne voyait pas d’autre moyen de s’échapper de cette situation. En voyant le manoir qui lui paraissait peu rassurant, elle hésita mentalement. Qu’allait-elle trouver derrière ces portes ? Peut-être pire que ce qui la suivait…Mais peu importait à l’heure actuelle.

Plus elle s’approchait de la falaise et de ce manoir sortant de nulle part, sa peur ne disparaissait guère. Personne à l’entrée de ce domaine. Un seul moyen pour la demoiselle, c’était de passer au-dessus de ses murs, accompagnés de piques bien pointus…Ni une ni deux, les créatures encore derrière elles, elle prit un élan et réussit à grimper le long du mur de l’entrée. Presque arrivée en haut, une des créatures lui avait attrapé le pied, emprise dont elle se défit en donnant un coup dans la gueule du monstre. Enfin arrivée en haut, Quetzalcóatl se coupa la main gauche et son mollet à nu également. La douleur lui enlevait une grimace sur le visage. Elle s’était blessée mais au moins, elle était à l’abri des monstres.

Les montres tiraient d’ailleurs une drôle de tête. A cause du manoir ? En tout cas, ils s’en allèrent. La belle rousse descendit de l’autre côté du mur, atterrissant dans la cour centrale du manoir…Si sombre…Un frisson parcourut le visage effrayé de la jeune femme. Elle secoua sa tête comme pour remettre ses idées en place. Elle déchira deux bandes de tissu dans le haut que lui avait offert une divinité proche. Quel dommage…Mais elle devait arrêter le sang qui s’écoulait le long de sa jambe et de son bras. Elle serra les bandes improvisées au niveau de ses blessures, serrant les dents également, comme pour passer la douleur, puis se releva doucement pour voir ce qu’elle avait devant elle…Rien de rassurant…


- Dans quoi je me suis fourrée encore…
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

Liam Eckart

Créature


«  Dans quoi je me suis fourrée encore… »

Deux hommes avaient entendu le raffut et avaient arrêté  leur jeu de carte pour aller voir. Boarf seulement des loups garous, ils ne franchiraient pas cette ligne Maginot là ! Et ils savaient ce qu’ils risquaient à franchir ce seuil. Un pas de trop et ils finiraient à trimer dans des mines sous le regard attentif de surveillants aux fouets aux embouts d’argent, et ça c’était dans le meilleur des cas. De ses nombreux voyages, le maitre de séant avait aussi ramené une sorte de machine qui, une fois enclenchée projetait de petites billes de plomb (remplacées judicieusement par des billes d’argent) dans un grand bruit de tonnerre. Les billes allaient si vite qu’elles perçaient les chairs et s’enfonçaient et il était très difficiles de les en déloger. Et c’était très dangereux !  c’était plus efficace qu’un arc et bien plus mortel.

Les deux gardes avançaient vers la jeune rouquine au milieu de la  cour avant de l’apostropher.

« Hep mamzelle !  z’avez rien à faire là ! »

« Hey mais attends maumau ! Si ça se trouve c’est une nouvelle ! T’imagine notre chance ? Elle est pt’pas encore passée par la salle ! C’est not’chance d’en profiter ! »

« Ou pas. »

Ces deux mots avaient suffit à refroidir l’ambiance grandissante de l’intérieur des pantalons des deux gardes qui s’inclinèrent bien bas en prononçant avec véhémence des excuses avant de filer vers leur poste de garde sans demander leur reste. Bon sang quelle bande d’incapables, devant les odeurs lupines, il avait préféré faire demi-tour et il avait rejoint en toute hâte son foyer. Elle avait pu entrer

Il eut l’air incrédule en voyant la jeune femme. Sauf que contrairement aux gardes, lui il voyait plus loin. En la voyant là, il se demandait où était la faille dans la sureté !

« Dites-moi, qui êtes-vous et comment êtes-vous arrivée ici ? Dites le moi ! »

Autant dire que c’était un ordre, il voulait des réponses et les aurait, quitte à les extorquer par la force. Il s’approcha à pas lents, sans cesser de la dévisager. Elle était plutôt jolie, et dieu seul sait pourquoi, elle semblait faire tâche dans un lieu aussi lugubre. Mais ce qui attira bien vite son attention, ce fut cette délicate et délicieuse odeur de sang. Elle était blessée ? Il sourit intérieurement. La pauvre, c’était être au mauvais endroit au mauvais moment.

« Vous devriez venir à l’intérieur. Ces sales bêtes trainent sans doute encore dans le coin, et l’odeur du sang doit les rendre folles, c’est plus prudent ! »

Et il n’y avait pas que ces bêtes que le sang rendait fou !

Quetzalcóatl

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    Une déesse perdue, à la recherche de pardon.
Maintenant bandée, elle regardait le mur qu’elle venait de franchir, entendant encore les créatures derrière celui-ci, grognant que Quetzalcóatl ait réussi à s’échapper. Mais en se retournant, la jeune rouquine avait à faire à autre chose que les monstres qu’elle venait de semer. Deux sortes de gardes viennent l’accoster de manière un peu brutal.

« Hep mamzelle ! Z’avez rien à faire là !

« Hey mais attends maumau ! Si ça se trouve c’est une nouvelle ! T’imagine notre chance ? Elle est pt’pas encore passée par la salle ! C’est not’chance d’en profiter ! »

Une nouvelle ? Par la salle ? En profiter ? Ils allaient sauter sur la jeune femme pour profiter d’elle ! Elle le voyait dans leurs regards lubriques et pervers. D’un air dégoûté, elle reculait petit à petit, sans tourner le dos aux deux lourdauds…

« Ou pas. »

Mmh ? Les deux gardes s’étaient arrêtés nets. Ils n’avancèrent guère, se retournant vers cette voix glaciale. Ils s’inclinèrent, s’excusèrent de mille et une façons avant de laisser le passage à un homme. De longs cheveux grisonnants, une pâleur à en faire frémir plus d’un, un regard enivrant. D’un côté, il venait de faire fuir les deux gardes qui voulaient profiter de Quetz’, donc d’une certaine manière, il l’avait sauvé. Mais, de par la carrure de cet homme, malgré qu’il soit fin, elle sentit son corps parcouru d’un long frisson, comme d’un courant d’air glacé.

« Dites-moi, qui êtes-vous et comment êtes-vous arrivée ici ? Dites le moi ! »

Cet homme était si pesant devant la jeune rouquin blessée. Elle n’osa pas lui répondre sur le coup, ravalant bruyamment sa salive. Elle bégaya quelques instants avant de finalement répondre à cet homme blanc comme neige.

- Quetz’…Je m’appelle Quetz’…Et-et je viens de…de passer par-dessus votre mur. Je me suis d’ailleurs blessée.

Par ses paroles, elle lui montra les bouts de tissu qu’elle avait arraché pour se bander les plaies. Son ventre était un peu à l’air, découvrant le nombril de la demoiselle. Le sang avait rougi légèrement les bouts de tissu et le liquide avait marqué la peau de la divinité en rivières asséchées. Le jeune homme s’avançait vers la jeune femme d’un pas lent mais décisif, ne baissant jamais son regard, ce qui avait don de troubler la demoiselle.

- Je…J’étais poursuivie par des créatures et j’ai voulu me réfugier…Pardonnez-moi…

« Vous devriez venir à l’intérieur. Ces sales bêtes trainent sans doute encore dans le coin, et l’odeur du sang doit les rendre folles, c’est plus prudent ! »

- Ah euh…D’accord…

Elle s’approcha doucement de cet homme, elle n’avait guère confiance mais c’était mieux qu’être en dehors de ces murs…Mais déjà, on n’entendait plus les grognements des bêtes qui en voulaient à Quetzalcóatl.
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

Liam Eckart

Créature

Ainsi, les loups garou, c’était elle ! Il était impressionné, mais aussi impressionné par le fait qu’elle ait eu la force de leur échapper et de grimper sur le mur qui était poli très régulièrement. Aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Elle avait réussi à grimper sans aucune aspérité. L’énergie du désespoir, peut-être, mais son endurance était impressionnante…oui, il pourrait sans doute en faire quelque chose…

« Je vois, que diriez-vous de venir à l’intérieur pour que j’examine vos blessures pour vous les soigner, et pour que vous puissiez vous reposer. Mais vous savez, peu de gens sont assez rapides pour échapper à ce genre de meute !  Comme si cela ne suffisait pas j’ai comme l’impression que ces animaux essaient de s’organiser. Leurs raids sont plus efficaces avec le temps…saloperie de dévorateurs !  Le coin commence à être vraiment dangereux ! Il va vraiment falloir faire quelque chose avant qu’ils ne prennent d’assaut le seul endroit du coin qui échappe à leur contrôle, ici… »

Il semblait vraiment ennuyé par cela, et il n’avait pas besoin de jouer la comédie, la situation était vraiment préoccupante. Mais autre chose de préoccupant, quelque chose qui finit par lui emplir les narines et bien vite, les pensées.

« Oui…rentrons vite…vos blessures n’attendront pas. Mieux vaut agir avant que ça ne s’infecte ! »

Il l’entraina vers la porte principale de la petite forteresse, avant de finalement la porter comme une princesse pour soulager sa jambe blessée, il la conduisit dans la pièce à droite de l’entrée une fois la porte en chaine massif passée, où il l’assit dans un fauteuil moelleux.

« Je vais aller chercher de quoi vous désinfecter les plaies. D’ici là, restez ici. Ah oui, au fait, je m’appelle Liam Eckart. »

Il sortit et au lieu de se rendre vers la cuisine, il se rendit à la salle des gardes et en sélectionna cinq. Le vampire leur indiqua la pièce ou la jeune femme se trouvait et fila s’occuper d’autre chose, ils avaient carte blanche pour jouer. Dans les conditions habituelles bien sur…

Quetzalcóatl

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« Je vois, que diriez-vous de venir à l’intérieur pour que j’examine vos blessures pour vous les soigner, et pour que vous puissiez vous reposer. Mais vous savez, peu de gens sont assez rapides pour échapper à ce genre de meute !  Comme si cela ne suffisait pas j’ai comme l’impression que ces animaux essaient de s’organiser. Leurs raids sont plus efficaces avec le temps…saloperie de dévorateurs !  Le coin commence à être vraiment dangereux ! Il va vraiment falloir faire quelque chose avant qu’ils ne prennent d’assaut le seul endroit du coin qui échappe à leur contrôle, ici… »

- Ah oui…Je suis désolée d’avoir ramené ces créatures chez vous, sincèrement…

« Oui…rentrons vite…vos blessures n’attendront pas. Mieux vaut agir avant que ça ne s’infecte ! »

- Ah, ce n’est pas grave. Je crois que le sang s’est arrêté de couler…Et je…Ah !

Le jeune homme aux cheveux grisonnants venait de prendre à bras la jeune rouquine, pensant qu’elle ne pouvait marcher avec la blessure qu’elle s’était faite au mollet. Son visage, ou plus précisément ses joues prirent légèrement des couleurs face à cette situation. Ils passèrent une porte massive, et le jeune homme déposa la demoiselle blessée sur un fauteuil. Ainsi bien installée, la jeune femme remercia l’inconnu qui apparemment allait prendre soin d’elle.

- Ah, merci beaucoup…J’espère n’avoir pas été trop lourde tout de même.

« Je vais aller chercher de quoi vous désinfecter les plaies. D’ici là, restez ici. Ah oui, au fait, je m’appelle Liam Eckart. »

- Ah, enchantée ! Merci…

L’inconnu se rendit hors de la salle pour chercher de quoi désinfecter les plaies de la jeune femme. Celle-ci restait tranquille sur le fauteuil. Elle retira doucement le bout de tissu qui lui servait de bandage à sa main, regardant si le sang coulait toujours. Mais au même moment, elle vit cinq hommes rentrer dans la pièce.

- Oh ! R’gardez un peu les gars ! Le maître a été bon avec nous pour une fois !

- Matez-moi ça ! C’qu’elle a l’air bien bonne…

- J’vais pas attendre !

Que ? Quoi ? La jeune femme vit un des gardes s’approcher d’elle, reculant comme elle le pouvait, reversant le fauteuil. Elle se retrouva coincée, le dos contre le mur. Le garde vint passer sa grosse patte froide sous le haut déchiré de Quetzalcóatl, agrippant sans aucune délicatesse un des seins de la divinité. Mais elle ne se laissa pas faire, donnant un gros coup de pied dans le ventre de garde. Pas maligne, elle l’a fait avec sa jambe blessée, où le sang se remit à couler de plus belle. Mais peu importe. Elle n’allait pas se laisser faire, c’est certain !

- Lâches-moi, gros PORC !!!
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

Liam Eckart

Créature

Suivant les ordres du maitre de séant, les cinq hommes entrèrent dans la pièce trouvant la jeune femme occupée à ses plaies. Mais seulement deux entrèrent d’abord.

« Oh ! R’gardez un peu les gars ! Le maître a été bon avec nous pour une fois ! »

« Matez-moi ça ! C’qu’elle a l’air bien bonne… »

« J’vais pas attendre ! »

Et alors que la jeune femme envoyait son pied dans l’estomac de l’homme qui avait tenté de la peloter, et qui soit dit en passant avait réussi quelques instants, les trois autres entrèrent. Sourire aux lèvres.

« Lâches-moi, gros PORC !!! »

Le premier garde se tenait l’abdomen à deux mains le temps que la douleur passe.

« Eh !  Rgarde c’quelle a fait à Bebert la garce ! »

« Uep !  ça mérite vengeance ! »

L’un des autres gardes attrapa la cheville qui avait frappé son collègue et appuya fortement sur la blessure, pour lui faire comprendre qu’elle aurait pas du faire ça, alors que l’un des autres gardes lui balançait une taloche pour la peine. Puis, la saisissant par les cheveux, le plus massif commença à lui arracher ses vêtements pour dévoiler son corps nu dans toute sa splendeur, puis sans se concerter. Ils commencèrent un petit jeu :

Celui qui la tenait l’envoya au sol avant de se jeter sur elle, pour l’écraser de son poids, alors que deux autres  lui prenaient les poignets, forçant le contact entre ses mains et leurs membres respectifs, l’écartelant presque.

« Ah bébert de commencer ! C’est lui à qui elle a fait mal ! »

Crièrent-ils plus ou moins. Mais raleur, bébert n’avait pas encoe lre cœur à  jouer, et au lieu de faire ce à quoi ses compagnons s’attendaient, il s’approcha de  son visage, et lui décrocha un violent coup de  pied dans la mâchoire.

Quetzalcóatl

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Quetzalcóatl venait de tomber sur des gros lourdauds qui voulaient profiter d’elle. Elle avait balancé son pied dans l’estomac du garde qui lui agrippait le sein, ce même garde se tenant le ventre sous la douleur.

« Eh ! Rgarde c’qu’elle a fait à Bébert la garce ! »

« Uep ! Ca mérite vengeance ! »

Alors que la jeune rouquine essayait de fuir une nouvelle fois, un autre garde réussit à attraper sa jambe malade, appuyant fortement pour faire tomber la jeune Quetz’ au sol. Elle cria sa douleur mais sa voix fut vite étouffée par un autre garde qui vint lui foutre un coup dans la figure. Son visage se cogna au sol, presque étourdie par le coup. Elle toussa, crachant des premières gouttes de sang. Mais apparemment, ils n’en avaient pas fini encore. Un troisième garde attrape la divinité par les cheveux, sans pourtant lui en arracher. Un nouveau de douleur puis d’horreur quand le lourdaud lui arracha les vêtements. Son corps entier était désormais à nu. Sa peau était très blanche, comme la glace. Seuls les endroits où elle avait été frappée étaient bien rouges. Elle n’avait rien à envier à d’autres femmes : un corps long et fin, des formes digne de son statut divin, même si elle était sous sa forme humaine.

- Mais…Aaah ! Lâches-moi !

Ce même garde balança le corps dénudé du Serpent à plumes au sol et se jeta sur elle, l’écrasant de tout son poids. Cela coupa le souffle de la jeune femme, qui essayait de se débattre. Mais les autres balourds venaient d’attraper les mains de Quetz’, les mains de la jeune femme servant à caresser les membres des gardes.

« Ah Bébert de commencer ! C’est lui à qui elle a fait mal ! »

Tu parles que Bébert allait prendre son pied ! Il flanqua un violent coup de pied dans le visage de la pauvre demoiselle, qui se mit à hoqueter, recrachant une gros bile de sang, toussant comme jamais. Elle était presque inconsciente, le coup étant donné sans aucune retenue. Un donné pour un rendu, mh ?

- Ca, c’est pour le coup que tu m’as mis, traînée !

Non mais quelle bande de gros connards ! Oui, des fois, Quetzalcóatl devenait vulgaire. Qui ne l’a jamais été dans des situations pareilles ? Le liquide rouge s’écoulait de plus en plus du coin des lèvres de la jeune femme. Dans une bouffée, elle se racla la gorge et cracha sur ce porc qui s’était vengé. Les sourcils froncés et les dents serrées, rougies par son sang, elle n’allait pas lui dire de mots doux.

- Va te faire voir !
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

Liam Eckart

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Quoi ? Elle lui crachait dessus ? Mais elle voulait vraiment passer sale quart d’heure, la demoiselle….Bébert s’essuya d’un revers de la main, non sans se départir d’un sourire. Il allait se venger, et elle n’aimerait pas ça, c’était certain…

« Va te faire voir ! »

Il sourit encore plus en se baissant et lui murmura au creux de l’oreille ;

« Je peux peut-être aller me faire voir, éventuellement, mais pas avait que tu sois allée te faire foutre….oh mais attend….on est là pour ça ! »

Il rit doucement avant de lui mettre une petite gifle, enfin, elle semblait faible après le coup de pied qu’il lui avait envoyé !

Pendant ce temps-là, les gardes tenant ses mains avaient baissé leur pantalon, de sorte qu’elle pouvait sentir leur virilité au creux de ses mains. Elles étaient encore molle, mais allaient en durcissant. Les gardes imaginaient tout ce qu’elle allait prendre et s’en réjouissaient. Leur poigne sur ses poignets étaient bien forte de manière à ce qu’elle ne tente rien…enfin, elle pouvait toujours essayer.

L’homme qui l’écrasait avait pris un téton entre ses dents et le mordait violement alors que son autre main, pinçait, tirait, bref, malmenait son autre sein sans aucune douceur, bien plus que ce dont aurait fait preuve le vampire, c’était certain…uoique…non, c’était juste différent. De toute manière, elle aurait la possibilité de comparer

Le dernier garde, lui, ne savait pas vraiment quoi faire….vu la position des autres, il n’avait accès à rien de dépit, il donna un coup de pied dans les côtes de Quetz, pas assez fort pour briser quoi que ce soit toutefois. Puis il poussa un peu Gégé, le garde qui était sur elle, et glissa une main entre ses cuisses, et il se mit à lui pincer et lui griffer les lèvres intimes alors que son autre main, il enfonçait ses ongles dans sa cuisse jusqu’au sang...

Bebert, lui, en avait eu marre de lui donner des baffes et il s’était bien vite défroqué pour faire comme les autres, et s’était mis, lui maintenant la tête contre le sol grâce à ses cheveux qu’il tirait, à frotter son barreau de chair sur son visage, évitant toute fois la bouche, ne voulant pas finir émasculé par cette garce.

Finalement, elle put sentir un doigt commencer à aller lui fouiller les entrailles, entrant en elle brusquement, alors qu’un autre doigt lui titillait l’entrée arrière.

« Tu vas voir ma belle, tu vas beaucoup apprécier ce que l'on va te faire, enfin, si tu es sage ! »

Quetzalcóatl

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    Une déesse perdue, à la recherche de pardon.
Alors qu’elle venait de cracher sur le garde qui lui avait balancé un coup de pied monstre dans le visage, celui-ci vint lui murmurer quelques mots, un sourire presque carnassier.

« Je peux peut-être aller me faire voir, éventuellement, mais pas avant que tu sois allée te faire foutre…Oh mais attends…On est là pour ça ! »

Bordel…Elle sentit qu’elle allait prendre cher, souffrir même. Les verges qu’elle avait entre les mains commençaient à durcir, les deux gardes se servant de fins doigts de la demoiselle rousse pour se masturber. Celui qui l’écrasait mordait sans aucune douceur la pointe de chair de Quetz’, sa main tripotant l’autre sein de la déesse. Un autre vint la bourrer de coups au niveau des côtes. Mais apparemment, pour ce garde, cela ne lui suffisait pas. Il écarta les cuisses de la divinité, malmenant ses lèvres intimes, enfonçant ses ongles à sang dans les cuisses de la demoiselle.

Le Bébert, lui tenait fermement les cheveux de la rouquine, lui qui avait mis son sexe à nu, et le frottait contre le visage de la demoiselle. Le garde qui lui griffait l’intimité chatouillait l’anus de Quetzalcóatl et enfonçant un doigt dans l’intimité de la jeune femme. Celle-ci remua du bassin pour essayer de persuader le gros lourdaud de retirer son doigt de son jardin secret.


« Tu vas voir ma belle, tu vas beaucoup apprécier ce que l'on va te faire, enfin, si tu es sage ! »

- Retires ton sale doigt de là, salopard !

Bébert en voulait plus lui aussi. Il approcha son membre durci de la bouche de Quetz’, qui serra les lèvres et remua la tête pour ne pas se laisser faire. Il lui tira davantage sa chevelure de feu et enfonça son sexe entre les lèvres humides de la déesse.

- Ah putain ! Ta bouche est trop bonne !

Alors que Bébert commençait des va et vient lents mais profonds dans la gorge de la divinité, Gégé faisait de même avec son doigt dans son vagin chaud. Après plusieurs va et vient dans son intimité, il rajouta un deuxième, puis un troisième doigt dans l’intimité de la jeune femme. De son autre main, il griffonnait encore l’entrée arrière de la demoiselle.

Quetzalcoatl ne pouvait hurler. Seules ses larmes pouvaient exprimer sa honte, sa colère, sa rage…Rage qu’elle traduisit aussi par l’intermédiaire de ce Bébert qui lui ramonait la bouche. Elle resserra sa mâchoire sur ce membre tendu, y plantant ses dents jusqu’à sang dans ce sexe. Bébert hurla de douleur, les autres arrêtant leur torture sur la demoiselle pour comprendre ce qu’il se passait. Le garde retira son membre endolori avant de claquer un coup de poing dans le visage de la divinité, tenant son mandrin d’une autre main pour essayer d’arrêter l’hémorragie.


- Sale garce !! Tu vas regretter !
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

Liam Eckart

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- Sale garce !! Tu vas regretter !

En effet, la garce allait sévèrement regretter ses actes ! Cette morsure allait lui valoir de belles souffrances. Enfin, ça lui arriverait quand Bebert serait capable de se mouvoir sans avoir mal à l’engin qui pissait le sang. Quoique…

En effet, il ne fut pas le seul à vouloir frapper, l’un de ceux qui tenaient ses mains, sans la lâcher, se releva et envoya un grand coup de pied dans les côtes de la déesse humaine. Il recommença à plusieurs reprises jusqu’à entendre un crac significatif. Un donné pour un rendu ! Logique ! Il sourit en venant poser sa main sur la zone désormais violace où il avait frapper, et appuya dans le but d’obtenir un gémissement de douleur, et même un cri si possible, après tout, un cri était encore mieux qu’un simple bruit !

Sourire sadique aux lèvres, les gardes continuaient à jouer avec son corps, l’homme qui lui mordait un téton, pour venger lui aussi Bébert, la mordit à cet endroit aussi fort que nécessaire pour que le sang coule et pour lui arracher u autre cri de douleur. C’était si agréable de l’entendre ainsi, pousser ce cri si ardemment mérité étant donné la situation. Elle aurait du réfléchir à deux fois avant d’agir de la sorte.

Bebert quitta la pièce pouyr aller se soigner, mais non sans avoir parlé de rapporter du sel à ses compagnons, il avait des idées bien précises en tête, et celle-ci était apparemment une idée commune puisque les gardes acquiescèrent. Autant vous dire que la jeune femme allait souffrir le martyr !

Pour son plus grand plaisir sans dout, les doigts sortirent de son vagin. Mais était ce fraiiment une bonne chose quand ils forcèrent la porte de derrière, ongles en avant, comme pour la griffer…Ah non, pas comme, c’étaint ce qu’il faisait. Une fois les doigts entrés dans son fondement par la force, il commença à lui griffer les parois internes sans douceur. Comprenait-elle désormais pourquoi le sel ? La pauvre…

« R’garder un peu comme jvais vous la faire crier ! »

Celui qui était sur elle venait de dire ça alors qu’il faisait pénétrer dans son puits d’amour deux doigts, deux gros doigts bien crasseux. Ces deux doigts s'accompagnèrent rapidement d’un troisième d’une taille semblable et si besoin est, il força pour le rentrer. Il comptait bien y faire passer tout le poing, quitte à lui dilater à mort les conduits !

Quetzalcóatl

Dieu

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    Une déesse perdue, à la recherche de pardon.
Quetzalcóatl, sous sa forme à la crinière de feu, pensait avoir trouvé refuge dans le manoir de ce Liam Eckart, après avoir échappé à une horde de loup-garou. C’était bien se leurrer. Après les créatures, ce sont des gardes, au nombre de cinq, qui s’étaient saisis de la divinité à des fins sexuels. Son intimité, son entrée arrière, ses mains et sa bouche étaient maltraités, torturés en même temps. Mais Quetz’ ne se laissa pas faire, mordant le membre qui lui ramonait la bouche, le mettant en sang. Elle allait payer de son acte…

Le garde qui se masturbait avec une des mains de la déesse vengeait son collègue. Il commença à rouer la jeune femme de coups de pieds dans les côtes. Quetz’ serra les dents, ne voulant donner ce que le garde attendait, c’est-à-dire des cris de douleur. Elle ne pouvait retenir totalement sa douleur. Quelques gémissements étouffés sortaient d’entre ses lèvres. Mais cela n’empêcha le gros lourdaud de continuer sa torture…jusqu’à entendre un craquement significatif. Une côte brisée. Une côte brisée qui arracha cette fois-ci un cri de douleur qui résonna même dans la pièce. Le garde vint même toucher pour vérifier la chose violacée, fier de ce qu’il avait fait.

Les autres tortures continuaient. Les doigts d’un garde venaient violer l’intimité divine, un autre lui griffait son derrière et l’entrée de celui-ci. Celui à qui elle avait mordu le membre à sang était parti dans une autre pièce, chuchotant quelques mots à ses collègues avant de disparaître. Cela ne dura pas longtemps avant que le gros Bébert revint le sexe bandé et un sac à la main. Le visage de Quetz’ se fit blanc quand le lourdaud se mit à sourire à pleines dents. Elle se mit à gémir longuement de douleur quand un des gardes poussa ses doigts, ongles en avant, dans l’anus de la demoiselle rousse. Les gardes ne la ménageaient point. Et elle allait encore souffrir.


« R’gardez un peu comme j’vais vous la faire crier ! »

Le Bébert se lécha deux de ses gros doigts et les plongea dans le sac, enfournant ceux-ci dans la bouche de la demoiselle.

- Goûtes-moi un peu ça, garce !

C’est granuleux…Mais c’est surtout salé. Très salé même ! Du sel donc ! Bon dieu…Qu’allaient-ils faire avec cela ? Non, Quetz’ se refusait à penser à cela. Non, par pitié, tout mais pas ça. Elle cherchait un moyen de se débattre, remuant son corps. Mais cela ne faisait qu’aggraver les sensations désagréables que supportait son corps. La côte cassée n’aidait en rien. Elle se mordait les lèvres à sang de rage, de honte. Elle fermait les yeux, puis les ouvrait plusieurs fois, comme pour mettre fin à ce cauchemar. Des larmes commençaient à perler sur le coin des yeux amandes de la déesse.

- Tu vas comprendre ta douleur, ma mignonne !

Le gros Bébert retrempa ses doigts dans le sac de sel, remuant les doigts devant le visage humide de la jeune demoiselle. Et il tendit le fameux sac à ses collègues. Quetz' voulait mourir...
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

Liam Eckart

Créature

En effet, se débattre ne servait à rien puisqu’une fois qu’elle eut gouté de force au sel et qu’elle ait eu une petite idée des supplices qui l’attendaient, les ongles se firent plus violents sur ses parois anales, car le but était bien  horrible. Ils voulaient voir le sang couler avant que le sel ne soit inséré, ils trouvaient ça plus amusant !

Elle pouvait toujours se débattre !  Au pire ils étaient cinq pour l’immobiliser et faire ce qu’ils voulaient. Alors pourquoi se donner tant de mal à se défendre contre l’inévitable ? Mais si cela la rassurerait peut-être la jeune femme, il n’avait pas l’intention d’introduire le sel de suite dans son derrière. En effet, ce n’était pas drôle ainsi…

« Tu vas comprendre ta douleur, ma mignonne ! »

Sa mignonne, comme il le disait, ne l’était plus tellement avec le sang qui ruisselait de la lèvre mordue, le côté violacé…et celle-ci était encore loin d’avoir soufferte assez à leur gout. Lassé de devoir griffer les parois internes pour faire saigner. Le garde préposer aux saignements prit son poignard qui était plutôt émoussé.

Avec une délicatesse surprenante, celui-ci introduisit la lame dans le fondement, la faisant racler contre les parois anales juste assez pour qu’enfin, le sang coule de diverses plaies interne. Il ne s’arrêta que quand le filet de sang sembla suffisant, ce qui ne tarda pas. Et non content d’avoir fait ça de ce côté, le grade se sentit comme contraint de faire pareil entre ses lèvres intimes, ce qu’il fit avec entrain, attendant que cela saigne aussi ici avant d’arrêter, ne s’arrêtant même pas pour les cris ou les gémissements de douleur provenant de la jeune femme.

Enfin, apparurent deux serviteurs ou plutôt deux esclaves, tenant un grand baquet d’une eau bouillante dans laquelle l’un des gardes versa le contenu du sac de sel. Avant de remuer avec une grande cuillère, comme si il préparait le repas. Il sourit avant de signaler à tout le monde que c’était prêt et qu’il fallait la mettre à quatre pattes. Ce que les autres s’empressèrent de faire, la rapprochant du baquet d’eau saturée en sel. Souriant, l’un des gardes se plaça sous elle, lui mordant violemment un téton, verge proche de son intimité.

« Tu vas souffrir, petite catin… »

Il sourit mais ce ne fut pas sa verge qui rentra à cet endroit, mais un tuyau. En fait, deux tuyaux entrèrent simultanément dans ses deux orifices. Et pendant que l’un des gardes pompait, lentement, l’eau salée montait le long du tuyau pour venir se déposer sur ses blessures, la remplissant des deux côtés. Lentement, le rythme de pompe s’intensifia.

« Voila, j’espère que tu apprécies, ma petite garce ! »

Il sourit. Il boucherait son fion avec son chibre une fois qu’elle serait asse remplie à son gout. Et l’autre garde comptait faire pareil, etattendrait que Bebert ne commence pour y aller….

Quetzalcóatl

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Du sel…Ils allaient s’amuser avec du sel sur le pauvre corps déjà bien meurtri de la rouquine. Apparemment, son corps n’était pas assez maltraité au goût des gardes de ce Liam. Et Quetzalcóatl, cette ancienne déesse mésoaméricaine, était bien loin encore de ce que les lourdauds lui réservaient pour la suite. Elle ne souhaitait pas y penser d’ailleurs.

Une côte brisée, ses tétons en sang, sa lèvre en sang, son visage en pleurs, son intimité et son derrière rouge de griffes des affreuses mains des gardes. Et c’était loin d’être fini. Pour les hommes, elle ne souffrait pas assez, ne criait pas assez. Le garde qui s’occupait de lui griffer son anus et ses parois internes retira ses doigts. Le Serpent à Plumes pensait alors que cela allait cesser. Mais à son plus grand désespoir, ce garde prit un poignard, histoire de le remplacer à la place de ses propres doigts. Il voulait la voir souffrir, voir le sang couler le long de ce corps qui avait l’air si parfait au début, et qui désormais, ne ressemblait qu’à un tas de chair violenté aux envies de ses agresseurs. La jeune femme à la crinière de feu ne pouvait plus se retenir, et elle ne le souhaitait plus d’ailleurs. Elle n’en avait plus la force pour cela. Des larmes abondantes coulèrent sur le visage auparavant si gai de la déesse. Lui, continuait de maltraiter son anus, et ensuite l’intimité de la jeune femme…Le sang qui coule, abondant, se mêlant aux pleurs de Quetzalcóatl, à son corps immobile, aux cris de douleur désormais…

Puis, des bruits de pas se firent entendre dans la pièce. Cela changeait des rires sadiques des gros lourdauds. La jeune rouquine releva doucement son visage humide en direction des bruits. Il y avait là deux autres personnes qui portaient de l’eau dans un baquet en bois, sûrement à l’attention des gardes. Un instant, Quetz’ pensa appeler à l’aide à ses deux personnes, mais elle soupira de désespoir. Ils n’allaient sûrement pas l’aider. Et que pouvait faire deux « esclaves » apparemment, contre cinq gardes au meilleur de leur forme ? Rien.

Et qu’allaient faire les gardes de cette eau ? La jeune femme n’allait pas tarder à le savoir. Le gros Bébert avait passé son sac de sel à un de ses collègues de torture, qui versa tout le contenu dans l’eau fraîchement apportée, et il remua tout cela pour bien dissoudre le sel dans le liquide. Les gardes commençaient à la rapprocher de ce baquet de bois, et Quetz’ pensa qu’ils allaient lui faire prendre un bain d’eau salée. Elle était bien loin d’imaginer qu’ils avaient d’autres intentions à son égard.

Ils la mirent à quatre pattes, le croupion bien mis en évidence, y compris son intimité. Un des gardes se mit d’ailleurs sous elle, lui mordant l’autre téton encore intact, mais pour peu de temps, celui-ci se mettant à saigner comme son voisin. La verge de ce lourdaud frottait contre le haut de l’intimité de la jeune femme.


« Tu vas souffrir, petite catin…

Il souriait devant le visage en larmes de la jeune femme et la pénétra violemment. Mais c’était froid…Cette chose froide pénétra également son entrée arrière sans douceur, lui arrachant un gémissement de douleur. Un bruit de pompe cassait le léger silence de la pièce. L’un des gardes pompait comme un Shadok ! pour faire monter l’eau salée dans les tuyaux. Oui, c’était bien des tuyaux que les gardes avaient pénétrés dans les orifices de la demoiselle.

« Voilà, j’espère que tu apprécies, ma petite garce ! »

Les premières gouttes du fameux liquide arrachèrent des petits cris de douleur chez le Serpent à Plumes. C’est tout son corps qui subissait toutes les tortures inimaginables de la part des gardes. Elle se remit à se mordre la lèvre à sang pour taire ses cris. Ce sang perlait doucement sur son menton, et le garde situé sous elle venait chercher ses gouttes de ce précieux liquide rouge à coups de langue baveuse. Tous les gardes ricanaient au fur et à mesure qu’il voyait le ventre de Quetz’ gonfler lentement et son intimité déjà ne plus supporter la quantité d’eau. De l’eau salée, cette eau maudite qui lui brûlait l’intérieur de son corps, qui lui brûlait sur ses blessures…

Son ventre se faisait de plus en plus rond et de plus en plus lourd, et la déesse mésoaméricaine avait bien du mal à tenir cette position, à quatre pattes au-dessus d’un de ces balourds. Ses jambes et bras affaiblis tremblaient comme des feuilles. Puis Bébert fit signe de la main au garde qui pompait. D’un autre signe de la main, il fit signe aux autres gardes qu’il était temps.


- Vous pouvez y aller les gars ! Elle est à vous !

Ce sourire pervers et cette voix horrible apeurait la jeune femme à la crinière de feu. Un garde se mit derrière Quetz’, armé de son membre tendu, prêt à la prendre par derrière quand on retirera le tuyau. Celui situé sous elle faisait de même, approchant son gland chaud près de son intimité. D’un coup sec, ils retirèrent les tuyaux d’où sortaient encore un peu de l’eau diabolique, et pénétrèrent de suite la déesse par les deux orifices. Aucune douceur, aucune pitié…Après quelques va et vient violents, Quetz’ s’écroula sur le garde qui était sous elle…Elle était épuisée, elle ne disait plus rien, ne bougeait plus d’un poil. Cela n’empêchait guère les gardes de profiter de son corps malgré tout.

- Oh qu’c’est bon ! Tu as vu ? Ca rentre tout seul, ma garce !

- J’adore le bruit que fait son corps ! Son estomac est plein !

Des êtres ignobles, oui, c’en étaient malheureusement. Elle s’était fait poursuivre par une meutes de créatures-loups, elle s’était fait torturée, violentée même, et maintenant, elle se faisait violée, ne pouvant même plus se débattre.

- Achevez-moi…

Un murmure de désespoir…Un simple murmure qui voulait tout dire. Elle avait abandonné l’idée de sortir indemne de cela depuis un moment. Au combien même ils la laisseraient repartir, elle ne pourrait se soigner. On a beau se dire immortelle, quand on est faible, on peut toujours disparaître…
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

Liam Eckart

Créature

Ils avaient réussis, ils avaient enfin atteint leur objectif ! Elle était passée de beauté à un vulgaire état de loque informe, ils l’avaient mise carpette ! Elle ne méritait que cela, cette sale petite garce ! Elle allait en mourir de douleur…et elle finirait sur le sol, à demi morte. Ça les gardes étaient certains de le faire !  Et le must, c’était bien évidemment la possibilité de la regarder lentement finir exsangue. L’agonie serait longue et douloureuse entre les mains de ces personnes.

« Achevez-moi… »

Murmura la rouquine au ventre rond comme un ballon. Sans la tuyauterie auparavant insérée, la croire enceinte n’aurait pas été très difficile, mais si son utérus et son estomac contenaient quelque chose, c’était de l’eau salée et du sang. Le plus drôle c’est quand ce sang rejoindrait la vessie, comme une onne partie de l’eau de l’estomac. Ça lui ferait mal de chien, enfin, si elle vivait jusque-là !

Finalement, elle s’écroula sur le garde qui pilonnait son entrecuisse, ce qui ne l’empêcha pas de continuer, bien au contraire, il accéléra ses coups de reins, et les rendant aussi plus violents. Chacun des cris attirait un rire de la part d’un des gardes. Ils continuaient leirs petits jeux sadiques, lui dérobant ses mains pour qu’elles se reposent sur  leurs barreaux de chair.

Lentement, une clameur monta parmi les gardes, enjoignant Bebert à la faire crier en se soulageant, après tout, Bebert était la victime, et c’était accessoirement celui qui avait la plus longue et la plus épaisse du lot ! Aussi quand il prit rapidement la place, et brutalement qui plus est,  de celui qui jouait dans son fondement, ce fut pour écarter encore plus ses parois et remuer le sel dans ses plaies. Il s’était saupoudré l’épée de sel juste avant. Ses vas et viens commencèrent alors, et si les autres étaient brusques, lui il était carrément violent, les mains dans la toison rousse des cheveux de Quetz’, tirant dessus à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.

Et cela continua ainsi jusqu’à ce que celui de dessous passe ses bras autour de sa taille, prenant appui contre lui, il pressa ainsi le vendre de la jeune femme contre lui, le comprimant pour espérer arracher un nouveau cri de douleur à la jeune femme avant de se répandre en elle. Il fut vite remplacé par un autre qui reprit le flambeau. Et cela ne cessa pas, pas avant qu‘un trouble paix ne leur parvienne !

Ce trouble paix était Liam Eckart, il était venu voir comment cela se passait mais en voyant le spectacle, il devint livide rage. Ils étaient allés trop loin, la décapitation serait leur récompense. Tout le monde se stoppa quand il entra dans la pièce. D’une main, il envoya un à un les gardes valser ailleurs. C’était en grande partie de la comédie, et étant des goules,  si l’ordre mental de Liam était de se sentir coupable parce qu’ils auraient dépassé les bornes, qu’ils n’auraient pas dû faire cela. Quant à lui il souleva la jeune femme et la porta, alors que ses sphincters se relâchaient sous la pression, libérant l’eau et le reste ( après tout, nettoyer les intestins est le premier intérêt d’un lavement, même si ici l’usage en avait été détourné…

« Doucement, ne vous inquiétez pas, il ne vous arrivera plus rien, je suis là pour que cela ne recommence pas, je vous en donne ma parole… »

Ce jeune homme se différenciait notamment par le teint et la couleur de cheveux de Lord Eckart, mais il n’était pas dur de le reconnaitre. Il l’emmena ainsi dans une chambre d’invité et l’allongea sur le lit avant de commencer à penser ses blessures extérieures à l’ancienne. Pour les blessures qu’elle avait à l’intérieur, il ne voulait rien faire de suite, officiellement pour préserver le peu de dignité qui lui restait, officieusement, pour la laisser souffrir encore un peu.

Il prit doucement sa main, et la gardant dans la sienne, rabattit les draps de soie des plus fines jusqu’à son cou, s’asseyant sur le bord du lit en caressant sa ain des siennes, froides comme la mort. Le grand jeu de scène commençait dès maintenant….


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