Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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The Blood Reunion (pv : katria Umiso)

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The Blood Reunion (pv : katria Umiso)

mercredi 24 août 2011, 17:42:17

Dans les bas fonds de Nexus, un endroit sans autorité policière ou même de sécurité, où un simple enfant peut se faire agresser quand ce dernier était sur le point de jouer, où même les aventuriers d'un rang élevé craignent de passer par là, où la violence corporelle et le fait de mettre un homme en milles morceaux sont tout deux choses normales. Les bas fonds se résument en peu de mots pour en dire longs, la luminosité est tellement réduite que le soleil ne passe pratiquement jamais, seule une lumière bleuâtre parcourait les rues des maisons qui imitaient les parfaits taudis de pierre. Les habitants étaient habillés de vêtements en lambeaux, volés sur les êtres-humains qu'ils avaient tué bien avant. Les femmes étaient même prête à tuer sa propre progéniture pour un simple ruban propre. On peut rencontrer de tout, dans ces bas fonds, des trolls, des gobelins, des créatures diverses et même des ogres assoiffés de sexe.

Au plus profond des bas fonds, durant plusieurs jours, voir semaines ou peut-être mois, n'ayant aucune notion du temps depuis son arrivé ici, un jeune homme était là, dans la rue de pierre, assit contre le mur, les bras inertes sur le sol comme si il était mort avec le regard vide. Depuis qu'on l'a éjecté de bateau et à part les objets qu'il a sur lui, il n'avait plus rien, obligé de vivre comme les créatures des bas fonds, mais, sortant de temps à autres pour se laver ainsi que ses vêtements. Regardant une banale pierre resortant de la route, celle-ci se fit écrasé, rentrant dans le sol.

Ne levant pas la tête pour voir qui écrasait sa pierre, il regarda, cependant, avec le regard toujours vide d'émotion, les pieds de ces importunes personnes. Il était, à vue d'oeil, cinq dont 2 armés d'une barre de fer et 1, d'une épée abimée par les traces de coupures ou de cassure. Chaque personne avait un rire différent, mais, grasse à souler une bonne soeur tellement ça ressemblait à celle de satan. Le plus petit et avec une queue style diablotin, s'approcha du corps, s'agenouilla pour, ensuite, poser sa main sur le menton et obliger le jeune homme à montrer son visage. C'était un groupe de quatre mecs et une femme qui, par ses gestes et par ses fringues, devait souvent se faire sauter par ses compagnons à s'en faire défoncer. Lorsque cette dernière vit le visage du jeune homme, d'un sourire, elle lui cracha à la figure avant de le gifler. Reculant tout en ayant "la certitude" qu'il ne fera rien, il ordonna aux quatre hommes de le tabasser au nom du groupe "Ecraseurs" et de le voler.

Mais, dès que ces derniers décochèrent leurs attaques pour le toucher, le jeune homme ferma les yeux pour, aussitôt, les réouvrir et, d'un geste de force sur le sol avec sa main, esquiva les attaques en roulant sur les côtés pour, ensuite, se prendre les poubelles et être caché par ces dernières. Riant de façon grasse, les hommes s'approchèrent, certains tapèrent leurs armes dans leurs paumes de l'autre main et, quand ils frappèrent la protection métallique au point de les détruire, riaient de joie pour avoir "écraser" un autre déchet. Mais, quand la fumée disparut, pas un seul corps, une seule miette, juste le sol fissuré par l'attaque synchronisé. Où était-il ? Etait ce un fantôme ? Ou une illusion ? un de ces derniers parla avec crainte à leur chef.

Chef, la cible n'est plus là, elle a du fuir.


urgh....

Sous un bruit bizarre, les hommes se retournèrent et virent un homme avec une cape rouge flamboyante volant dans l'air, une chevelure de flamme éternelle et une chemise blanche retroussée dont la main tenant la femme en l'air, l'étranglant. Lorsque les hommes crièrent de la lâcher, ce dernier la lança contre le mur, ne l'ayant pas tué et se retourna vers le groupe en tenant son sabre qui était attaché à la ceinture de soie rouge qui tenait son pantalon noir. Les regardant de ses yeux emplis de cruauté tel un pirate dont celui griffé faisait sans doute le plus peur, avec ses pupilles enflammés, les hommes prirent quand même la peine de se mettre en garde pour, ensuite, foncer sur lui tous ensemble pour protéger leur chef.

Je vous conseille de stopper ça, sous le nom du Capitaine Umiso, première génération du bateau Langouste Royale, le terrifiant bateau qui ne craint personne.

Voyant que ces derniers se s'arrêtèrent pas, il soupira d'un trait pour, ensuite, les regarder. Lorsque ses adversaires décochèrent leurs attaques, il disparut de leurs visions pour, ensuite, se retrouver derrière eux, sabre à la main. Faisant d'un geste tranchant peu développé sur un des hommes à l'arrière qui tenait le bâton métallique, l'autre attaqua, se faisant bloqué par la garde de l'arme et, profitant que l'homme en rouge étant bloqué, celui avec l'épée abimée lança une attaque de piquée. Sa surprise fut totale lorsqu'il vit que l'homme en rouge, ayant prit appuyé sur l'épée abimée, avait sauter aussi haut tout en infligeant une attaque de tranchée puissante qui coupa les deux hommes en plusieurs tranches. Regardant, ensuite, le dernier qui partit en courant, il sortit son arme à feu et tira en pleine tête, la faisant explosé en milles morceaux, éparpillant la cervelle du cadavre sur les murs et dans la rue ainsi que le sang qui gicla partout lorsque le corps sans tête tomba dedans.

Rangeant ses armes, il repartit vers la femme qui, se refaisant soulever par le cou, proposa un marché. En échange de faire ce qu'il voulait, il lui laissa la vie sauve. Ayant accepté par pitié, l'homme déchira les vêtements de cette dernière pour, ensuite, l'obliger et l'ordonner à faire ce qu'il voulait, gorge profonde, avaler sans recracher, défoncer le sexe au point que cette dernière pleurait plus de mal que de bien pour, ensuite, jouir plusieurs fois en elle. Lorsque cette dernière tomba sur le sol, cassée tout en étant contente que ça soit terminé, l'homme plaça la lame de son sabre sur le cou de la femme qui, en pleure, le regarda en disant d'une voix innocente.

P....pourquoi ? J'ai fait tout...ce que vous m'aviez ordonné de faire...et notre marché ?

Saches qu'un pirate ne fait aucun marché, il décide de qui il tue et qui il laisse en vie. En temps normal, je n'aurai pas tué la personne qui m'a permit de faire ça, mais, toi, c'est différent. Tu m'as craché dessus, tu m'as giflé et pour couronner le tout, tu t'es crue forte en voulant laisser les autres me tuer. Alors, ton état d'âme, fais le dans une prochaine vie.


Lorsque la femme était sur le point de l'insulter, d'un coup, le pirate trancha la tête d'une telle force que cette dernière, en pleure, se fit projeté au loin pour, ensuite, s'écraser violemment contre un mur. Regardant le désastre que ce dernier a provoqué, il nettoya sa lame avec les fringues d'un des quatre mecs pour, ensuite, la réattacher sur sa ceinture de soie et, tout en tenant le crosse de cette dernière, partit de ce lieu pour s'en trouver un autre, sortant d'une rue peu éclairée à une rue éclairée d'une lumière bleuâtre qui ne changeait pas des masses sauf au fait qu'on pouvait voir où on marchait. Il s'arréta, ensuite, plusieurs kilomètres plus loin, dans une impasse où aucun âme n'y vit, se remettant contre le mur dans le peu d'obscurité qu'il avait, étant, de tout de façon, assez pour le camoufler un peu de cette lumière nocive.


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