Location de jambon?? (Rhys)

Pour une énième fois, Yoshida Kei était retenue à une estrade sur le marché des esclaves d'Ashnard, complètement dénudée et lavée, afin d'être plus vendable. À mesure que son vendeur lui ordonnait, elle se penchait pour montrer ses fesses rondes et moelleuses et, en-dessous, sa petite fente intime. Ou bien, elle se penchait vers l'avant, mettant en évidence ses gros seins, que des curieux ne manquaient pas de tâter. En fait, les mains baladeuses des clients étaient quasi-toujours sur la marchandise, comme pour ajouter à l'humiliation d'être traitée comme une simple marchandise en étant vendue sur la place publique. Mais elle ne protestait pas. C'était ainsi, elle était esclave depuis toujours et elle ne pouvait rien faire d'autre qu'être obéissante, en espérant que sa soumission lui vaudrait d'être traitée moins cruellement en guise de récompense ....

Cette fois, le vendeur avait eût une idée saugrenue pour se faire de l'or avec sa marchandise. Il louait ses esclaves et pas seulement pour le labeur. Ce bandit savait très bien que la plupart des esclaves servaient de jouets sexuels pour cette bande de pervers déviants massés devant son estrade. La majorité des offres allaient pour le grand demi-orc bien équipé et musclé qui se tenait à l'autre bout de l'estrade ainsi qu'à la demi-elfe qui était forcée de danser de façon séduisante, vêtue d'un costume élégant mais érotique et révélateur. Mais certains s'arrachaient Yoshida Kei, car les terranides porcins étaient peu répandus sur Terre. Et bien que ce n'étaient pas les plus populaires car pas aussi attirants que les Neko, la rareté des Buta suffisait à stimuler l'intérêt de certains.

-J'offre 50 pièces d'or pour louer la truie!, s'écria un client.

C'était le genre de chose que Kei entendait souvent. "La truie", "la cochonne", "le jambon" ... Même si certains s'arrachaient cette porcinette, tous les comparait toujours à un morceau de viande, ce qui était normal pour une esclave, dirait-on .... mais les Inu, Neko et autre Kitsune n'étaient pas semblable à des animaux en général envoyés à l'abattoir et ne devait donc pas subir ce genre de commentaires, même s'ils n'étaient pas forcément mieux traités que la porcinette. Kei en avait pratiquement développé la phobie de tomber sur un maître qui aurait des tendances cannibales et qui prendrait la Buta pour un véritable porc bon pour l'abattoir ... Les offres continuaient, hommes et femmes essayaient de convaincre le vendeur avec des offres toujours plus hautes afin de pouvoir passer la soirée à humilier et violer cette grosse truie aux seins moelleux et au cul rond et ferme ...

Pour une fois que je suis en ville, je me demande un peu ce que je vais faire. Mes armes , enfin mes deux sabre son en train d'être aiguisé, puis j'ai commander plusieurs petit couteau. Et un bouclier de poings,bref il faudra au moins jusqu’à demain pour que tout soient faire, ce qui me laisse trop de temps pour attendre.. Je déteste attendre, je déteste marcher comme cela sans rien, faire, je n'ai pas besoin de vêtement mes robes me suffise.

J'ai pas besoin de parfum, ni de quoi que se soit d'autre.. Grondant doucement je continue a marché dans les ruelles, pff qu'elle ennuis.. Tiens des esclave, je déteste les esclavagiste, mais je déteste aussi ces être qui se plie au bon vouloir des autres.. Observant avec soin les gens qui défilait sur les estrades.. Tiens un petit cochon.. c'est mignon les petit cochon.. Ce qui me fait surtout marrés c'est cette petit queue en tire bouchon.. C'est trop adorable.

Sans vraiment réfléchir je m'approche doucement de l'estrade observant la créature avec intérêts elle est vraiment adorable.  Plus je la regard plus j'ai envie de lui planter mes croc dans la chair, pour l'instant plus plus souvent eu des hommes dans mon lit , mais je doit dire que cette hybrides me plait beaucoup, d'un pas décider je me place en avant...

« 500. »

Oui oui 500 d'un coup, j'ai gagner l'argent très facilement, après avoir fait mon travail d’assassin j'ai dépouiller chaque corps et l'une des bourse était plus que bien remplie, il y avait plus de mille pièces d'or, j'adore l'or, surtout le dépenser, je m'était prise une sublime chambre dans la plus belle des auberge et j’avais eu le plaisir de la voir remplir de chose étrange.. Enfin pour l'instant je voulait la créature.

Délicatement je fit sauter la bourse dans mes mains voyant les yeux du marchand s’agrandir, d'ailleurs il me donna rapidement la laisse de la jeune femme.. Parfait... sans dire un mots de plus je la fait me suivre.

« T'a un nom ? »

Oui bien quoi  elle avait envie de savoir comment elle s' appelais... Observant la jeune femme, elle se demanda si elle mangeais assez.

«  On vas rentré a ma suite, tu prendra un bain et un repas... Un vrai bain chaud et un vrai repas. »

Et oui j'aime bien que les être avec qui je joue soient complétement propre. Mon pas était rapide, et décider, j’écartais  les gens  de mon chemin, rapidement d'ailleurs l'auberge apparus, un joli auberge, j'avais réserver la plus belle suite avec des draps en soie.. Au moins je pourrais passer la nuit avec un truc chaud prés de moi.

Quelques offres fusèrent, c'était pour de la location mais ça ressemblait surtout à une vente aux enchères. Le marchand essayait de suivre les offres, prêt à laisser son esclave à quiconque aurait finalement le dernier mot. Mais voilà qu'une cliente offrait cinq cent pièces d'or pour la Buta, le vendeur d'esclave écarquilla les yeux de surprise. À ce prix, il aurait pu pratiquement vendre Kei, cette femme devait décidément être très riche pour payer une location au prix d'une vente.

-Alors cinq cent pour la belle demoiselle là-bas, personne dit mieux?

Les autres clients s'abstinrent, préférant tenter leur chance avec d'autres esclaves, personne ne voulais payer au prix d'un achat en sachant qu'ils leur faudrait rapporter l'esclave le lendemain. Le vendeur prit rapidement la bourse et enchaîna les chevilles et les poignets de Kei, laissant assez de jeu pour lui permettre d'avancer dans pouvoir s'enfuir. Une autre chaîne servit de laisse, reliée à la chaînes entre les poignets de la terranides. Kei descendit de l'estrade pour suivre sa maîtresse d'un soir. À la demande de sa maîtresse, Kei se présenta, suivant docilement.

-Je m'appelle Kei, maîtresse.

La demoiselle disait ensuite qu'elle allait offrir le bain et le repas à son nouvel achat, ce qui arracha un petit gruinement de surprise à la terranide. Sans doute voulait-elle que Kei soit propre et en forme pour pouvoir lui faire faire ce qu'elle voulait. Elle suivit donc sa maîtresse jusqu'à l'auberge et ensuite, jusqu'à la chambre. Kei attendit que sa maîtresse veuille bien lui ôter ses chaînes, étant donnée qu'elles seraient encombrantes pour le bain.

Bien sur que personne ne dira rien simplement parce que je venait de donner trop d'un coup... Je m'amusait a voir les homme déçus, elle aimait bien faire chier son monde.. Surtout les hommes...

Alors elle se nommait Kei trop mignon comme nom. Tranquillement donner ces ordres au serviteur de l'auberge.. Avant d’ouvrir doucement la porte de la salle de bain.. Cherchant la clef que lui avait confier le vendeur.. Avec soin je défis doucement les chaine de la jeune femme, avant de saisir un poignet de la jeune femme, le massant en douceur comme pour dissiper la rougeur.. avant de lui claquer les fesses avec un petit sourire.

« Allez zou au bain. »

Avec un petit sourire je la pousse vers la baignoire, un jolie petit baignoire en émail blanc... Tranquillement je pose le matériel de bain prés d'elle, avant d'aller dans une autre pièce, j’avais prit un bain avant d'aller me promener, pour l'instant je m'amuse juste a passer une peignoir de soie noir.

Avant de venir m'assoir a table, tendant la main vers un bout de pain que je croque avec plaisir.  Mon regard se posa sur la jeune femme qui venait de sortir de la salle de bain. Avec un petit geste je lui fit signe de venir s'asseoir en face de moi.

« Mange a ton aise. »

Sans vraiment la regarde je saisis  une cuisse de poulet, déchirant la viande avec plaisir, je laissait couler  la graisse sur mes lèvres, dieu que c'est bon, mon peignoir s’ouvrait laissant voir ma poitrine blanche et généreuse. Mon regard se portait sur la jeune femme alors que je saisit un cuissot de jambon, le croquant avec soin observant la jeune femme d'un petit air allécher, comme si je voulait la manger elle.

Passant ma longue langue sur mes lèvres, je donnais l'impression de vouloir la dévorer, je me demande si on lui mords les seins est-ce qu'il aurons le gout du jambon.. OU alors est-ce qu'il ferais du lait.

« Dit moi tu a des particularité ? »

Cette nouvelle maîtresse semblait étrangement douce, Kei fût étonnée de la voir masser ses poignets endoloris une fois les liens retirés. D'une claque aux fesses, Kei fût encouragée à prendre place dans la baignoire avec un petit gruinement de surprise. La terranide prit place dans la baignoire et savoura le contact de l'eau chaude sur sa peau, son dernier bain remontait à un bon moment, avec tous ces maîtres qui lui avait fait faire tellement de trucs dégoûtants, Kei en avait presque oublié; ce que c'était que de se sentir propre. La Buta prit une barre de savon et s'en frotta les mains, avant de frotter chaque partie de son corps. Ses mains glissèrent sur ses jambes, ses bras, son torse .... et même sa petite queue en tire-bouchon qui. Elle se rinça ensuite, mouillant ses cheveux pour pouvoir les laver aussi, la maîtresse voudrais sans doute que son achat soit propre de la tête aux pieds, il fallait donc mettre le paquet. Kei pu bientôt sortir de la baignoire, elle prit une serviette et se sécha. La maîtresse ne lui avait pas laissé de vêtements mais Kei n'était pas étonnée, sans doute qu'elle n'en n'aurait pas besoin ...

La terranide sorti de la salle de bain, prête à obéir au moindre ordre de sa maîtresse. Des petits plats avaient été préparés et la maîtresse invita son esclave à prendre place et à remplir son creux. Kei lâcha un gruinement de surprise, peu habituée à ce genre de traitement. Elle avait beau savoir que c'était simplement pour qu'elle soit en forme pour la suite, la plupart de ses maîtres ne se seraient pas donné autant de mal et ne lui auraient donnés que des repas minables afin de la garder en vie. Et si ça ne suffisait pas à lui permettre de garder une silhouette alléchante, c'était des plus grandes quantités de ces repas pauvres qu'on lui offrait.

-M-merci, maîtresse.

Kei prit place devant Rhys, Elle prit un simple morceau de pain, qu'elle grignota avidement. Ce n'était que du pain, mais il était succulent, puisque d'habitude, le pain qu'elle avait à manger était sec et même, rassis, parfois. Elle se prit un morceau de poulet à son tour, savourant la volaille juteuse, elle n'avait pas eu droit à un aussi bon repas depuis .... depuis .... ben depuis toujours. Son regard croisa celui de sa maîtresse, celle-ci mordait dans un morceau de jambon tout en fixant la terranide. Kei fût un peu mal à l'aise et mangea avec moins d'appétit, voilà s phobie qui revenait ... et si cette maîtresse la préparait pour en faire du jambon première qualité? Après tout, certains ne faisaient pas la différence entre une terranide et un véritable porc. Kei poussa un petit gruinement nerveux, avant d'être tirée de ses pensées par la voix de la maîtresse, qui voulait en savoir plus sur les particularités de son achat.

-Eh, bien, je peux faire tout ce que vous désirez, maîtresse, je vous appartient.

Une réponse simple, courte et peu élaborée mais qui restait claire. Kei, habituée à être soumise, avait appris à se plier au moindre désir de quiconque avait payé pour sa présence, même si cela impliquait de se faire prendre en levrette dans la boue par un sanglier en rut ... Si la maîtresse ne manquait pas d'imagination, Kei allait sans nuldoute en voir de toutes les couleurs.

La cochonne me plait vraiment, j’ai toujours bien aimer les corps bien en chair, tellement différents de ce que je suis.. Je suis tout en muscle.. Des muscle dure, la seule chose douce dans mon corps c'est ma poitrine.
Je me doute parfaitement qu'elle ne doit pas faire de bon repas comme cela tout les jours, mais c'est amusant de la voir manger avec appétit.

«  Ne t’inquiète pas je vais pas te manger. »

Avec un petit rire je fini mon morceau de viande, avant de saisir d'autre victuailles, j'adore le plaisir simple de manger. Parce que cela me donne l’impression d'être plus que vivante.. Alors rien de particulier, donc je n'ai pas de problème a lui faire faire ce que je veux.. Je me méfie toujours des pouvoir spéciaux des un et des autres.

Tranquillement je me lève, tendant la main vers un fruit, un fraise en l' occurrence que je passe dans la crème, j'adore.. Mais bon ce coups ci je préfère venir la faire glisser sur les lèvres de la jeune femme, la lui faisant croquer, avant de me baisser et de passer ma longue langue fourchue sur ces lèvres.. Très bon gout cette langue.

« Dit moi jolie porcine, tu a déjà gouter au plaisir.. Vraiment. »

Doucement je me baisse, ma bouche venant se poser sur le cou de la jeune femme ces crocs de serpent pointant doucement sous ces lèvres.. Râpant la peau de la cochonne. Pour descendre jusqu’à l'endroit ou je sais que mon aphrodisiaque se fera le plus fort...

Délicatement mes crocs pénétré dans sa chair, mon venin coulant dans le corps de la jeune femme, elle allait se sentir bouillante, si chaude, si sensible aussi, le moindre effleurement lui donnerais un plaisir qu'elle n'aura surement jamais connus...

Sans me presser je laisse mes doigts glisser sur les seins de la jeune femme, venant   doucement jouer sur son tétons, comme pour voir les réaction qu'elle avait.

« J'ai bien envie de te faire voir le paradis. »

Doucement ma langue a nouveau passa sur son coup, comme pour soigner la très légère blessure, la moindre chose que je lui ferais serais dédoublée, plaisir comme douleur.. Sachant parfaitement que la douleur serais juste un plus dans le plaisir.

Kei fût quelque peu soulagée par les paroles de sa nouvelle maîtresse, sa phobie ayant refait des siennes. Elle n'allait pas finir en jambon ou en bacon, au moins. Rhys était sensuelle dans ses manières, Kei avait l'étrange impression que le moindre de ses gestes servit à séduire la terranide. La demoiselle se leva pour prendre une fraise qu'elle glissa dans la crème fouettée, avant de le porter à la bouche de la porcinette, qui croqua dedans, son regard rivé sur celui de sa maîtresse. La langue de la maîtresse glissa sur les lèvres de la Buta, qui poussa un tout petit gruinement. Rhys avait une langue fourchue comme celle d'un serpent. Kei fût un peu nerveuse, si elle avait la langue ... avait-elle les crocs? En l’occurrence, oui car Kei pouvait sentir deux dents longues et pointues râper sur la peau de son cou .... et pourtant, Rhys disait qu'elle ne la mangerait pas ...

-Eh ... hm ... mes maîtres ne m'ont jamais demandé ça ...

La Buta sentit les crcs râper dangereusement près de sa jugulaire .... et elle écarquilla les yeux en gruinant de surprise lorsqu'elle sentit les dents s'enfoncer dans sa chair. Kei se mit à trembler, elle allait finir empoisonnée, apparemment ... mais à quoi devait-elle s'attendre? Les esclaves n'étaient que des objets et si une personne nécrophile voulait assouvir ses fantasmes sur un cadavre encore chaud .... elle n'hésiterait pas à mettre fin à la vie de sa propriété. Kei sentit la tête lui tourner et une douce chaleur l'envahir. Les doigts de Rhys sur sa poitrine lui firent lâcher un gémissement de surprise, elle ne savait pas que sa poitrine pouvait être si sensible ... ses tétons étaient déjà en érection et, contrairement à d'habitude, Kei se sentait réellement excitée par les attouchements de sa maîtresse du moment. Elle frissonna en sentant la langue serpentine passer sur les deux trous créés par la morsure. Embrumée par le venin aphrodisiaque, Kei osa porter une main aux fesses de sa maîtresse, les caressant doucement, alors que son autre main vînt caresser sa chatte mouillée. Kei sentait cette étrange envie de se masturber au plus vite, elle avait besoin de sensations.

-M-maîtresse .... groink ... aaah ...

Les doigts de la porcinette frottait son clitoris, son autre mains empoignant tour à tours les belles fesses de la maîtresse. Elle ne pouvait s'empêcher d'agir ainsi, elle connaissait une envie qu'elle n'avait jamais réellement eu, ses moindres actes étant ordonnés par quiconque l'avait achetée. Kei frisonna aux sensations qu'elle s'auto-procurait, elle se permit même d'espérer que Rhys utilise cette petite langue de serpent sur ce point particulièrement sensible de l'anatomie féminine ...

Bien sur que personne ne lui avait demander cela mais c'est ce qui m'amusait. La voir réagir face a quelque chose de nouveau. C'était amusant de voir ces petites tétons dresser sous ces doigts. Amusant la petite, j'aime bien sentir ces mains sur mes fesse c'est agréable. Je n'en souris que plus fort a la voir comme cela aussi bouillante... Oui parfaitement bouillante, aussi chaude que la braise.

Délicatement je la poussait vers le lit , pour l'y faire tomber sur le dos... rapidement, aussi rapidement que me le permirent mon corps, je lui attachait les bras au montant du lit, simplement pour l’empêcher de se toucher.. Je savait que mon poison la rendait si sensible.

« Tu a chaud hein ma belle... Je pourrais te soulager. »

Délicatement ma langue passa sur les seins de la porcine, mes dents venant titiller son tétons, humm vraiment j'avais envie de mordre, avec plaisir je mordit un peu plus fort, sentant ces tétons dresser plus fort... Avec un plaisir non dissimuler je me mit a lui téter le seins.. Mes doigts fin venant passer sur ces cuisses, les caressant doucement, délicatement effleurant son antre sans jamais venir soulager son intimité bouillante...
Avec douceur aussi je la griffa sachant parfaitement qu'elle ressentait plus de plaisir que de douleur ..  Pourtant au bout d'un moment je me lève, jetant d'un coup d'épaule mon peignoir a cet instant la jeune femme pouvait parfaitement voir mon chibre masculin qui se dressait doucement sous l'envie.
Me penchant un peu, je souffle sur son intimité, sachant que cela allait la faire crier.

« Tu sais que tu sens drôlement bon »

Poussant un petit rire je m'éloigne a nouveau allant chercher une petit boite que j’avais ramener d'un sex-shop terrien, les jouets était des plus intéressant.. En douceur je saisit trois petite pinces, deux avec des clochettes et la dernier sans.. En délicatesse je plaçait celles a clochette sur les tétons de la cochonnes, avant de glisser la troisième sur son clito... Personnellement j'adore la douleur et le plaisir que cela procurais voyons comment elle réagit.

Kei était prise de chaleur, une chaleur étrange qui la rendait sensible au moindre contact. Se masturbant toujours en agrippant les belles fesses de sa maîtresse, Kei mouillait rapidement, excitée par le venin de sa maîtresse. Rhys la fît bientôt se lever et la repoussa vers le lit, où la porcine s'étendit. Rhys lui attacha les poignets au lit, laissant deviner qu'il risquait d'y avoir un peu de sado-maso ... d'un côté, Kei craignait la douleur à venir masi l'aphrodisiaque lui embrumait l'esprit au point qu,elle s'en fichait, elle ne voulait que servir de jouet à sa nouvelle maîtresse afin d'avoir son propre plaisir en retour. L'esclave gémit de plaisir sous les sensations provoquée par la bouche de la maîtresse, qui lui lécha un téton, avant de la mordre pour finalement le sucer.

-A-aaah ... m ... maîtresse .... hmmmm! ......

Elle se tortilla un peu sous le plaisir, un plaisir qui n'aurait jamais été aussi intense sans la morsure de Rhys. En général, Kei n'avait jamais vraiment eu de plaisir à servir de jouet sexuel à une autre personne, elle gémissait pendant l'acte bien sûr mais c'était provoqué par les sensations d'une verge qui lui défonce la chatte, un peu comme lorsque l'on lâche un petit cri quand on se faisait asperger d'eau très froide. Les ongles de Rhys arrachèrent un gémissement à la Buta en la griffant, c'était douloureux sur le coup mais étrangement le plaisir remplaça la douleur rapidement. Rhys se dénuda, à la surprise de Kei, la maîtresse avait un organe masculin ... elle avait déjà entendu parler des Futanari mais n'avait jamais été achetée par l'une d'elle ... La maîtresse se leva du lit pour aller chercher quelques jouets dans une boîtes, c'était des sortes de pince. La terranide gémit lorsque les pinces furent mises à ses tétons sensibles alors que le troisième pinça son clitoris.

-Aaah! M-maîtresse! Aaahh ...

La sensation était intense, la pince avait été mise sur la partie la plus sensible du corps féminin et la sensation était en plus amplifiée par le venin de la maîtresse. Kei n'en pouvait plus, pour une fois, elle voulait ce chibre, cette longue verge lui labourant l'entre-jambes sans ménagement. Kei aurait tellement voulu avoir plus de maîtres comme Rhys ... des maître qui s'efforceraient de rendre l'acte tout aussi plaisant pour elle. Au point où elle en était, elle serait même capable d'oublier l'humiliation d'une relation forcée avec un animal, comme elle l'avait parfois suit.

-M-maîtresse, je ... je le veux ...

Elle parlait là de son phallus, cela faisait étrangement contraste avec le reste du corps de Rhys, mais qu'importe, Kei était trop échaudée pour avoir envie de se poser des questions. Elle voulait la verge de sa maîtresse et c'est tout.

C'était trop mignon. De la voir se trémoussé comme cela..  Vraiment la petit cochonne était trop mignonne a se trémousser comme cela.. Oui vraiment elle me donne de plus en plus envie de la croquer. Alors elle le voulait, je souris un peu plus fort... Avant de me déplacer doucement laissant mon chibre venir effleurer délicatement les lèvres de la jeune femme.

Je le fit seulement caresser ces lèvres sans insister, quand a moi, ma bouche, viens délicatement se poser sur les lèvres intime de la jeune femme, j'y posait un baiser doux, presque léger, avant de m'amuser a souffler délicatement dessus. L'odeur me rendait un peu folle, avec plaisir ma langue sortit de ma bouche pour venir s'enrouler autour de son clito, alors que mes doigts caressait en douceur ces lèvres intimes...

Bon passons a la phase suivant, doucement ma langue glissa, s'infiltra dans l’antre de la jeune femme, fouillant avec douceur son antre, c'était bon, si bon se gout.. J'en gémirais plus, doucement je poussait un peu plus mon chibre dans sa bouche.. J'adore jouer comme cela au fond de son antre, ma langue pouvait aller plus loin que n'importe qu'elle langue, j'adore fouiller encore et encore ces parois.

J'adore ce genre de moment, souvent je préfère les  femmes, je n'aime pas quand les hommes me prenne, je déteste les sentir me dominer, par contre j'adore les enculer leur faire du mal, oui je suis ce que l'on pourrais appeler une sale bête.. J'adore leur faire mal... J'ai tellement envie de donner du plaisir a la jeune femme, cela me ferais presque mal de savoir qu'elle sera revendue par la suite.. OUi cela me ferais du mal mais je le laisserais faire.

La verge effleura les lèvres de la porcine, qui remonta un peu la tête afin que son groin ne soit pas dans le chemin. Elle accueillit volontiers l'engin de sa maîtresse, la suçant en faisant bien attention de ne pas l'accrocher avec ses dents, chose qui rendrait le tout très désagréable. Kei lâcha un gémissement étouffé, sentant la maîtresse s'occuper de son intimité. La porcine en bougea les jambes, le plaisir était si intense sous la langue de Rhys et l'esclave, pour une fois, faisait un effort volontaire pour rendre ce plaisir en savourant pleinement le phallus qui frottait contre sa langue, ses joues et son palais.

-Hmpf, hmm ... m ... maîtresse ...

Sa chatte mouilla très rapidement, aidé autant par l'aphrodisiaque que la langue douce de la maîtresse. Kei brûla d'envie de caresser les fesses de la maîtresse tout en engloutissant sa verge mais elle en oubliait que des chaînes la retenait au lit. Elle se contenta donc de sucer avidement tout en profitant des caresses de la langue de sa maîtresse du moment. Pour une fois, elle prenait vraiment du plaisir, Rhys savait s'y prendre, décidément.

(Vachement trop court mais j'ai manqué d'inspi sur ce coup. Pardonnes-moi, maîtresse! T_T)