Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Jeu d'une nuit [Heilayne]

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Tania Kirlenko

Créature

Jeu d'une nuit [Heilayne]

samedi 04 octobre 2008, 12:41:11

Sombre. Sombre comme l’âme corrompue d’un être de la nuit, remplit d’une noirceur la plus totale, voila a quoi ressemblaient les bas fonds de cette cité, grouillant de prédateur en tout genre, de malfrats, de violeurs, d’assassins, de voyous. Mais qu’était ce tout cela, comparé a celle qui venait de faire son entrée dans la petite ruelle ? L’air de rien, elle s’avance, toute de cuir vêtue, sa jupe courte, ses bas, son porte jarretelle apparent, et sa petite veste zippé, qui laisse entrevoir son soutien gorge bien remplit de sa poitrine délicieuse. Une muse, un fantasme masculin, qui ne pouvait passer inaperçu ici. Elle sourit doucement. Elle vient de les repérer… Les hommes, tous les même. Des idiots, qui ne pensent qu’avec leurs instruments de reproduction, et jamais avec leur petite cervelle. Ils la prennent pour une pauvre jeune femme sans défense, qui a dut se perdre dans ce quartier mal famé. Son sourire s’élargie, tandis qu’ils la remarque. Un groupe de quatre hommes. Des bandits, de bas étage, mais qui se trouve tellement supérieur.

Sans attendre, l’un d’eux s’avance vers elle. Elle frémit de l’intérieur, mais elle doit être patiente, si elle agit trop rapidement, elle va faire fuir les trois autres. Et ce soir sa faim était tellement grande, qu’elle ne pouvait se permettre de manquer une proie. L’individu numéro un doit être le chef de la bande. Il sourit avec envie, des idées perverses doivent fuser dans sa tète, il doit déjà imaginer son membre en elle, et tout ses camarades avec lui… Des violeurs, imbéciles qui ne comprennent pas le sens du mot plaisir. Elle le laisse approcher. C’est ici que tout ce joue, elle prend son visage de vierge effarouchée, même si la tenue montre tout le contraire. Mais ils aiment ca ces imbéciles, les faux semblants, et jouer cette comédie cache sa véritable nature, qu’ils ne tarderont plus à découvrir a leurs dépend. Elle regarde les trois autres, qui finissent par rejoindre leur chef de file. Son sourire ne peut plus alors être contenu… C’est le moment !

Le premier, ne comprendra même pas. Sa tète fera un demi tour sur elle même, laissant juste le temps au nerf optique de retransmettre l’image de ses compagnons qui hurles en découvrant la nouvelle position de sa tète sur ses épaules. Le second lui, aura juste le temps de connaître la peur, mais une longue lame sera déjà plantée au plus profond de ses entrailles, tandis que son amis a gauche, s’écroulera, la trachée arraché avec une force surhumaine. Le dernier hurle, mais ici, personne ne vient aider personne. C’est la règle de la nuit dans les bas fonds. Il comprend, il vient juste de comprendre qui elle était, ce qu’elle était…


« Vampire… »

Les crocs de la jeune brune entrent alors au plus profond de sa carotide, laissant un flot de sang rouge écarlate couler dans sa gorge désireuse… La jeune femme se délecte, tenant la tète du malheureux qui lui sert de repas. La sensation est divine, proche de la jouissance, elle gémit lentement tout en le gardant collé a elle, aspirant son hémoglobine nécessaire a sa survit. Enfin la dernière goutte. Elle le laisse retomber lourdement au sol, les laissant la, comme de vulgaire pantins inanimés. Souriante, elle essuie d’un revers de la main les traces de son repas autour de ses lèvres. La voila revigorée, prête à jouer désormais. Tania, la russe au canines, commence alors a chercher, un nouveau jeu amusant…




Is Mine...

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Jeu d'une nuit [Heilayne]

Réponse 1 samedi 04 octobre 2008, 17:37:37

[Hrp : Pardon, j'ai eue une baisse d'imagination =/...]

« Vous êtes tellement gentille, venir dans un tel endroit pour soigner mon fils… »

Assise au chevet d’un lit en piteux état, Heilayne tenait sur ses genoux un mortier dans lequel elle écrasait quelques feuilles et graines à l’aide de son pilon de marbre. La mixture devenait de plus en plus pâteuse, créant une sorte de crème verdâtre. Sans répondre au père du fils allongé dans le lit, quelques brûlures visibles ici et là, la jeune femme ce contentait de sourire, visiblement pas gênée d’être dans ses bas fonds aussi peu fréquentable. Peut être n’avait-elle pas eue d’ennuis lors de son arrivé, mais lorsqu’elle allait repartir… Qui sait?... Ses doigts vinrent finalement se glisser dans le fond du mortier, se trempant dans la petite pommade avant de venir l’appliquer délicatement sur une des brûlures de l’enfant assoupit. Sûr que c’était bizarre; accueillir une noble dans sa maison pour la faire travailler, le propriétaire de la demeure semblait quelque peu nerveux à cette idée, ce qui laissa entrevoir un petit sourire amusé sur le visage de la comtesse.

« Appliquez-lui cette crème sur ses brûlures deux fois par jour, suite à cela, il n’y aura plus aucune trace, c’est promis »

Dit-elle tout bas à l’intention du père de famille, tentent de ne pas réveiller l’enfant. Déposant son mortier sur la table de chevet, Heilayne se releva, ne prenant même pas la peine de ramener son instrument avec elle; ce n’était pas nécessaire, elle en avait d’autres. Tout de blanc vêtue, la jeune comtesse ne passait pas vraiment inaperçue. Elle portait une robe délicate, ornée de quelques broderies florales ici et là. Tous ses vêtements avaient des lys, ce n’était donc pas une surprise. Une grande et longue cape lui tombait sur les épaules, se refermant au niveau de sa poitrine et, ses pieds étaient chaussés de longues bottes blanches lui montant jusqu’aux genoux, se repliant un peu sur elles-mêmes. L’homme se rapprocha de Daelys, déposant ses mains sur chacune de ses épaules, dressé devant elle et le regard grave. Il commença à la prévenir qu’elle devait faire attention, que les parages n’étaient pas du tout sûrs, surtout pour une personne de son rang social. Pourquoi tous passaient la plus part de leurs temps à toujours lui dire quoi faire? Ce n’était pas pour la déranger certes, mais, bien qu’elle n’en ait pas l’air; elle n’était pas si idiote. Enfin… C’était ce qu’elle croyait. D’un pas assurée, Heilayne sortie de la demeure, refermant délicatement la porte derrière elle en jetant un premier regard autour d’elle. Un frisson lui parcouru tout son corps, se blottissant un peu plus dans sa cape. Une pointe d’hésitation commença donc tout doucement à faire face, de même pour la peur qui faisait trembler les membres de son corps; elle aurait sans doute du accepter de rester dormir chez l’homme, mais c’était hors de question. Bien qu’elle ne connaissent pas tout de ses créatures humaines, elle savait qu’ils étaient de natures perverses pour la plus part, elle n’avait pas envie d’être une « proie » facile. Entamant lentement le pas, Heilayne enfonça un peu sa tête dans ses épaules, tentent de passer inaperçue dans la ruelle sombre dans laquelle, petit à petit, elle s’engouffrait. Les talons de ses bottes résonnaient un peu contre les pavés sales et légèrement trempés, offrant à tous ceux qui pouvaient l’entendre un « tac, tac, tac » agaçant. Hésitante, son regard se laissait balader autour d’elle, jetant quelques brefs regards par-dessus son épaule à chaque pas avancés. Les craquements des arbres créaient, à chaque fois, un sursaut à la comtesse, faisant battre son cœur à toute allure. Resserrant un peu ses mains contre sa cape, Heilayne se stoppa en tournant sur elle-même, apercevant une vision d’horreur ; trois hommes, martyrisés jusqu’à la mort. Un haut de cœur commença à prendre le ventre de la jeune femme, laissant un crie et de dégoût, et de sursaut sortir de ses lèvres pâles.

« Qu…qu.. qu’est-ce que…?! »

Les yeux grands ouverts, Heilayne se recula, se retenant toujours de vomir, serrant ses doigts contre son ventre.



''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Tania Kirlenko

Créature

Re : Jeu d'une nuit [Heilayne]

Réponse 2 jeudi 09 octobre 2008, 13:09:23

L’attente venait de commencer…. Les trois cadavres étaient des appâts parfaits, tout être humains normalement constitué passant par la, finirait bien par avoir une réaction en voyant ce bain de sang joncher le sol. C’était sa technique de chasse favorite, telle une louve, la jeune russe marquer une cible au sol, pour en attirer d’autre. Si c’était un homme, il subirait le même sort que les quatre autres, si c’était une femelle… Elle aurait peut être une chance de survivre, voir même la chance de connaître « l’étreinte » qui menait vers le statut de Vampire, tout ceux qui la découvrait. Mais tandis qu’il imaginé déjà les souffrances qu’elle ferait subir a ses victimes, elle perçut un léger son, sortir de la ruelle aux cadavres. Un immense sourire vient gratifier ses lèvres rosées, tandis qu’elle se redressait doucement sur ses jambes. Voila enfin une proie. A en croire le son cristallin, il devait même s’agir d’une femme. LA chance ce soir souriait à l’audacieuse Vampire.

Elle prit toute les précautions pour ne pas être vue trop toto par sa proie, au risque qu’elle ne s’échappe, du moins qu’elle essaye, obligeant la Russe à la poursuivre le long des étroites rues. Tania fit le grand tour, par les toitures alentours, pour enfin apercevoir en contrebas, celle qui était tombée dans le piège malsains de la Vampire Nymphomane. Une humaine. Tout ce qu’il y avait de plus ordinaire, a ceci prêt qu’elle portait une jolie petite robe légère, blanche, de quoi ne pas la laisser inaperçu ici, dans les bas fonds de la ville. Naïve ou totalement suicidaire, elle n’avait donc pas apprit à se fondre dans son élément ? Soupirant avec un demi-sourire, Tania s’approchât alors sans un bruit de sa proie de la nuit.

Elle redescendit tout prêt d’elle, pour finalement se coller contre son dos, sortant sa lame, la plaçant sous la gorge de la jeune femme tétanisé par le spectacle qui se tenait en face d’elle. La Vampire rit légèrement, et de son merveilleux accent russe, s’adressa a la victime de son jeu pervers.


« Tiens tiens… Une demoiselle de bonne lignée, trainant parmi les bas gens, dans la misère de la ville… Dangereux de faire cela, Lady, des hommes comme eux auraient put vous agresser, voir même plus… Vous violer ! »

Un rire plus poussé sortit de la gorge de la Vampire,  tandis qu’elle se collé un peu plus contre la victime, respirant délicatement le parfum de sa peau, sentant les pulsations de ce sang qui battait en elle, qui devait être des plus délicieux… Elle en eu l’eau a la bouche, mais fort heureusement, elle avait déjà diners, ce qui sauvait pour l’instant la jeune pucelle. Elle porta son regard sur le cou de la mortelle, tandis que sa lame venait jouer avec l’attache de sa cape gênante…

« Heureusement que je me suis chargé d’eux… Tu es ainsi sauvegardé de ces brutes, ma jolie. »

Elle se retient d’ajouter qu’elle n’était pas a l’abri de ses délires, mais cela, l’ignorante et suicidaire humaine, allait le comprendre bien assez tôt.




Is Mine...

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Jeu d'une nuit [Heilayne]

Réponse 3 vendredi 17 octobre 2008, 06:39:21

Les yeux toujours rivés sur le spectacle immonde qui se tenait devant elle, Heilayne retenait tout haut de cœur lui prenant, lui serrant le ventre et bloquait la gorge. C’était vraiment dégoûtant… Quelle personne censée aurait pu faire ça? Aucune, il fallait vraiment que ce soit une folle…! Ou… Un vampire.  Se reculant un peu, lentement, silencieusement en ne faisant que frôler ses talons contre les pavés rougis par le sang, la comtesse s’apprêta à quitter les lieux, se faisant arrêter subitement, ce qui ne retint pas un cri de sursaut sortir d’entre ses lèvres rosées, légèrement plus pâle que l’habitude du à l’envie de vomir qui lui serrait les vaines. Un petit bout de métal se posa contre sa gorge, c’était une lame?! Les yeux grands ouvert, le corps paralysé par la peur et surtout par l’arme qui pouvait lui trancher la peau à tout moment, Heilayne avala de travers, tentent de ne pas paniquer; ce qui était, il fallait l’avouer, presque impossible. Du bout de ses doigts, la comtesse pressa son collier en forme de croix contre sa peau, cherchant quelque chose à faire, quelque chose à dire ou un simple mouvement pour ainsi se réveiller du cauchemar qu’elle faisait. Non, ça ne pouvait être réel, on ne peut pas soigner quelqu’un et tomber sur une scène aussi barbare, pour finalement, se faire prendre au piège d’être restée trop longtemps à fixer le paysage. Non, c’était juste impossible! Pinçant un peu sa peau au niveau de sa poitrine pour tenter de se forcer à ce réveiller d’un mauvais rêve qui n’existait pas, Heilayne ouvrit encore plus grands les yeux lorsqu’elle constata qu’elle vivait bel et bien ce cauchemar, et que la seule chose qu’elle avait été capable de faire jusqu’à maintenant était de…. Rien, de ne faire absolument rien mis à part figer et avoir peur. S’il y a des femmes audacieuses et courageuses, la comtesse de Daelys elle, elle ne l’était pas du tout! Ô combien elle se maudissait de ne pas avoir accepter l’invitation de rester à dormir chez le patient, ô combien elle aimerait qu’il l’ait suivit, qu’il ait été appeler des secours ou autre, ô combien elle était naïve, la pauvre…

« Comme j..je rentrais directement… Je ne crois p..pas que je puisse av..avoir le temps de tomber sur ce genre d p.personne… »

Bégayant ses paroles, Heilayne tentait bien que mal de rester calme, de ne pas fléchir et de ne pas sombrer en état de panique intense, mais c’était dur, tellement dur! Alors que son corps se battait pour ne pas sombrer et éclater en sanglot, la froideur de la nuit semblait plutôt devenir chaud contre son corps; non, c’était impossible, son interlocutrice ou plutôt, son agresseur c’était collée contre elle?!  Un gloussement prit alors sa gorge, avalant de travers alors que son regard de noisette tentait bien que mal de regarder par-dessus son épaule subtilement, louchant parfois sur l’arme qui jouait avec l’attache de sa cape qui, subitement lâcha et glissa le long de son corps jusqu’à glisser aux pieds des deux femmes. Là, sa devenait légèrement… Non, vraiment angoissant!

Bougeant un peu ses épaules pour tenter d’immiscer une distance raisonnable entre les deux femmes, Heilayne se permit de reprendre parole encore une fois, tentent bien que mal de ne pas laisser paraître la nervosité qui consumait petit à petit, son corps et sa tête.

« Bien… C… C’est gentil…? Maintenant q…que vous m’avez sauver… Pourriez-vous… Me laissez…? »

Tentent, d’un coup d’épaule de repousser encore un peu son interlocutrice, la comtesse serra ses dents contre sa lèvre inférieure, la panique n’était pas encore à son plus haut, mais… Quand même…!
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''


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