Un contrat comme un autre .... ou pas

-Mission ' Mort de la croix ' fini , Cible tuée d'une balle dans la tête .
Destruction des preuves effectués .  -

Après avoir effectuée un autre contrat , Lost soul , LS ,  comme d'habitude très minutieux ,  disparut pendant quelques jours , juste le temps que l'affaire se tasse un peu . Il alla dans sa planque numéro 2 , un vieux barre miteux  où il louait le deuxième étage, l'endroit parfait , personne ne parle à personne .Un endroit paumé et personne n'irait rechercher quelqu'un là dedans , tout étaient calculés. une sorti de secours, une fente qui vise sur la rue pour regarder de temps en temps , la planque parfaite .

LS , se dirigea vers l'étagère. Il prit le fusil à lunette qu'il avait utilisé , le démonta et le fit fondre dans une genre de mini-fonderie improvisé . Pu de preuve la mission était définitivement fini .

Après s'être changé, il se regarda dans le miroirs , moment de solitude bien connus , mais qu'es-ce que  la solitude pour lui ?  un moment pour reprendre des forces ? Et encore il n'était jamais vraiment fatigué , mais il faux bien attendre... un autre contrat .. oui voila ce qu'il pense, dans sa tête, pendant ces moments de ' solitude '

* un contrat , un contrat , vite un contrat *

Il était obsédé par cela ....
Système de d'habitude , on lui passa un coup de de téléphone. Un téléphone qu'il change toutes les semaines .

TiTiTITITITI!

TITITITITIT !

Le téléphone sonne , enfin .. Ls le pris et souri en décrochant
Un homme a la voix grave dit

'' Le corbeau noir , a un nouveau nie ,  7446 "

Et sa raccrocha. Le corbeau noir , lui , a une nouvelle cible , 7446 , la boite postale où se trouvaient les informations qu'il avait besoin .

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Après avoir récupéré  une enveloppe dans le cassier 7 code 446, il rentra dans sa planque

..........................

Il  ouvrit l'enveloppe et vu une photographie , une jeune femme , rousse au tin pâle.

Mission - Tin Pâle - débuta .

Ls , regarda la photo pendant 20 minute essayant de cerner ou de capter la moindre information qu'elle pouvait  laissé paraitre , rien ...
Puis il lut le message qui était accompagné

Lacroix Marine , 20 ans , F , 1m72, tatouage au dos
NI : Personne dangereuse

De plus , il y avait une carte avec un de ces itinéraire normalement .
Une bibliothèque , l'heure 13-14h
 PRix : 1000 000 000 €

Voila ce qu'il lui fallait comme information pour tuer quelqu'un , pas besoin de savoir un passé , ni de savoir quoi que se soit d'autre , juste, où se trouve la personne  et si elle est dure à avoir ou non ... c'est tout , les émotions à bannir dans ces situations . même si il n'en avait pas on ne sait jamais
Il prit son téléphone et envoya un sms , un Y , pour dire qu'il acceptai le contrat .

On lui renvoya 10h , 9h de préparation parfait , il lui fallait normalement 1 heure pour se préparé mais , sa va lui permettre d'avoir quelque armes en plus . Il écrasa ensuite le téléphone et le brula .
Il ferma son appartement et il mit une capuche pour dissimulé son visage et il partit 

Il arriva  dans un débarra qu'il louais à l'année sous le nom de Michel .
Il l'ouvrit , des armes , autours d'une petite table .
Il s'installa dessus et regarda le plan ainsi que les annotations sur la jeune femme . Un plan réussi est un plan sans faille qui est préparé , voir toutes les possibilités , ne laisser aucune sortis , aucune chance ...

Après avoir cogité un petit moment il se leva , il prit un sac où il mit une valise , un JANAS SM , un fusil à lunette de longue porté , une arme très puissante . il prit ces petite lames qui dissimula sur son corps , un revoler classique mais à balle explosive . n'oublions  pas son katana qu'il attacha a sa ceinture  et sans aucun commentaire , il partit .

3h  plus tard , il arriva devant la bibliothèque , il était 13h , à 13h40 sa devait être finis . si cela dépassais le temps limites plan B ... toujours mauvais le plan B... allé au corps à corps avec la cible ..
Breff il se plaça  au nord de la bibliothèque  à 400 mètres , sur une bute de terre , un point de vue parfait qui survolait tout l'intérieur de l'édifice .
Il posa son sac , et sortit la mallette .

Clik , Clik


 2 minute le fusil est assemblé et armée , il mit le dipode et  les derniers réglages de la lunette . Visé parfaite , la cible sur la porte .
Plus qu'une chose à faire attendre qu'elle arrive ....

Marine agissait comme à l’accoutumé. Ses cours ne reprenant généralement qu’à 14h30, elle profitait de l’heure de midi pour aller passer un peu de temps dans sa chère bibliothèque. Si elle avait pu, elle aurait installé un lit de camp et aurait passé toute sa vie dedans. Mais cela serait plutôt mal vu. Surtout qu’elle commençait à bien s’intégrer à sa nouvelle vie. Elle n’allait pas tout gâcher du jour au lendemain. Il fallait être raisonnable et puis, elle avait aussi un certain nombre d’ouvrages chez elle. Elle pouvait donc se permettre de ne pas passer tout son temps dans le temple du savoir.

Une fois son cours achevé, elle prit la direction de la bibliothèque, elle s’acheta un sandwich qu’elle avala en même temps qu’elle avalait les mètres qui la séparait de son endroit préféré de la ville. Le temps était doux et une légère brise faisait danser les branches de cerisier. La jeune femme aimait ce temps ni trop chaud, ni trop froid. Un temps idéal pour la balade. Même si elle était habituée à voguer par tous les temps, elle préférait quand même ce temps là.

Le bâtiment de pierres blanches se dessina alors devant elle. Il semblait l’attendre ou l’appeler. C’était idiot bien sûr mais c’était une étrange impression qu’elle ressentait toujours en approchant de lui, comme s’il s’agissait d’un être vivant. Freud avait raison, le rêve, même éveillé, reflète souvent le désir des rêveurs. Elle resta un instant devant la bâtisse, le temps de finir son sandwich et de jeter le papier à la poubelle puis elle s’avança vers la porte comme elle le faisait d’habitude. Rien ne lui semblait différent. A aucun moment, elle ne se rendit compte qu’elle était sur le point de finir six pieds sous terre.

Il était là , allongé sur le sol . Un rythme respiratoire régulier , l'œil  droit ,  fixé dans la lunette , regardant la porte , attendant le moment fatidique ...

Mais cela ne le préoccupait pas vraiment.Il repensa  plutôt comment partir , démonter son fusil pour le détruire , ainsi plus de preuve et donc une mission accomplis sans bavure .
Un plan minuté à la minute. Après le coup de feu, démontage de l'arme en moins de 1m50 , rangement en 20 s , 10 minutes pour se diriger dans la petite boutique à 20 mètres derrière lui , faire un tour pour y rester 5 minutes , acheter une boisson , sortir par la deuxièmes sorties de secours .
L'endroit   parfait pour semer des éventuels poursuivants . De plus la rue était déserte, quelques voitures couvrants le bruit de fond pour que le silencieux, après le tire ne raisonne pas trop . Quelques oiseaux dans un arbre et un ou deux passants .
Ls , avait examiné toute la scène en 10s , c'était imaginées toutes les possibilités possible ou presque ...

Il était l'heure , un œil louchant sur sa montre , l'aiguille  bascula  sur le 2 .  Un doigt se glissa pour lever le cran de sécurité , son souffle se mit à ralentir ,  pour ne pas altérer la trajectoire de la balle . Une dernière vérification du vent , des couches à percer , verre pour la fenêtre et bois pour la porte , balles perforantes , les  conditions sont  optimales .
Il se dit rapidement , Un contrat , une cible , Une balle , une victime . Aucun dommage collatéraux possible ... Certes il aimait tuer mais , il sait aussi qu'il n'avait pas la possibilité de faire le ' con' . Imaginons que se soit un homme politique à tuer , pas de possibilités à par fuir rapidement . Donc il employa se raisonnement à chaque contrat , une devise , un mode de vie ..

Il reprit une dernière respiration et plaça son doigt sur la gâchette , une pression assez importante pour 'armer' le tire sans le déclencher .
La porte s'ouvrit ...Une chose improbable se produit , en quelques millisecondes , il croisa le regards de la jeune femme rousse , un regard froid et familier... la solitude bien connu , enfin se qu'il définit par solitude bien sur ...

Il reprit vite conscience de la réalité . un moment d'évasion encore inconnu pour l'homme , mais il n'avait pas le temps de cogiter la dessus , la cible était devant lui il faux agir .
1 s plus tard , sa respiration se tue , une balle partit , un léger , Sluuup
raisonna , avec la main gauche il rattrapa la douille et la mit dans la poche .

 Un trous dans la fenêtre, qui explosa dû à l'impacte , un sifflement raisonna , un mèche de cheveux tomba ..
La balle passa à 1mm de  l'oreille de la femme .. Il l'avait raté , la chose qu'il  croyait impossible, qu'il n'avait jamais vécu, un échec ... 
2seconde passa , il ouvrit la chambre du fusil et remit une balle , Deuxième tire , la femme c'était mi à l'abri , trop risqué .

"*changement de position nécessaire * se dit-il

Ne pas se faire repérer est une chose importante car , c'est tuer ou se faire tuer . IL démonta son fusil  comme dans son plan de retrait qu'il avait imaginé. Il regarda sa montre , le délais était passé , de plus trop risqué de utiliser à nouveau le fusil .
Il s'approcha d'une benne à ordure , mit la mallette du fusil , et une grenade à fragmentation .. un pouff , et plus de fusil ...
Il fallait maintenant passer au plan B ... Il se dirigea rapidement en face de la bibliothèque.

il se saisit de son flingue , mit 5 balle à talons vert , balle explosive...

Ne se doutant toujours de rien, Marine ouvrit la porte et soudain, le verre de la vitre explosa alors qu’une vive douleur la prenait. Une boucle de cheveux roux glissa sur son chemisier blanc, puis le long de son corset et de sa jupe noire avant d’achever sa descente et de choir au sol. Quelques gouttes de sang colorèrent le haut de son chemisier.

La vitre bisée, les éclats de bois par terre, le sang, la douleur, tous ces éléments s’assemblèrent dans sa tête et des réflexes acquis de longue date revinrent à la surface. D’un bond digne des plus grands félins, elle se jeta au sol. Puis, elle chercha à se cacher derrière un meuble, loin des fenêtres.

Réfléchir et réfléchir vite ! On lui avait tiré dessus. Qui ? Elle l’ignorait mais une chose était certaine, on en voulait à sa peau. Si elle ne savait pas qui lui tirait dessus, elle se doutait bien de ceux qui avaient armés son bras. L’organisation, bien sûr. Qui d’autres ? Punaise, ils ne la laisseraient donc jamais tranquille. Pourtant, à part s’enfuir, elle ne leur avait causé aucun tort mais non, rien que le fait de s’enfuir, ça la condamnait.

La chance devait être avec elle. Il s’en était fallu de bien peu pour que son crâne explose en mille morceaux. Maintenant qu’elle était à couvert, il ne pourrait rien mais elle ne pouvait pas rester comme ça dix ans. Suivant les préceptes de l’organisation, si les armes ne fonctionnaient pas, il faudrait aller au corps à corps. Elle jeta un coup d’œil autour d’elle. Il y avait pas mal de monde dans la bibliothèque. Elle ne pouvait pas les laisser se faire tuer à cause d’elle. Si c’était un pro, il ne prendrait pas le risque de venir l’attaquer dans la foule mais ne sachant pas encore qui elle devait affronter.

Prenant de multiples précautions, elle zigzagua entre les rayonnages avant d’arriver à la sortie de secours. La rouquine fit attention avant de sortir dans la ruelle. Elle devait faire vite et silencieusement. Elle longea les murs, les oreilles aux aguets et les yeux repérant chaque mouvement de chaque chose. Elle arriva au parc et jeta un coup d’œil rapide. Elle vit l’immeuble, le seul dont le toit permettait une vue parfaite sur la bibliothèque. Son agresseur devait obligatoirement se trouver là ou dans les parages.
 
Marine était surement folle de vouloir aller à sa rencontre mais elle s’était toujours promis de ne jamais fuir. Elle avait tout fait pour avoir une vie normale. Elle ne comptait pas quitter la ville pour fuir une nouvelle fois. La rouquine préférait aller à la rencontre de son destin plutôt que de se cacher. D’un geste rageur, elle essuya le sang qui coulait sur sa joue. La balle lui avait égratignée la joue mais rien de bien grave. Elle s’en remettrait. Le regard froid et implacable. Les muscles tendus et les nerfs à vifs, elle tentait de repérer l’homme à l’origine de sa blessure.

Après avoir chargé son arme secondaire avec des balles à talons vert . Il se glissa rapidement dans un silence plat et une attitude calme derrière un petit muret en brique qui se trouvait à l'autre bout de la chaussé , en face de la bibliothèque .

On aurait pu croire qu'il penserait à ce qu'il allait enchainer mais du tout .. Il essaya de comprendre , comprendre mais comment ? comment l'un des plus grands tueurs , pour une mission si banal aurait pu échouer un tire si simple ? Comment ?!
Il se repassa la scène en quelques secondes dans son esprit, tous allait bien jusqu'à la vision de la cible , la cible , disons une femme ,cette femme l'ayant troublé , perturbé au point de le déstabilisé?

Plus le temps de cogiter sur le sujet ... La femme, pouvait apparaitre n'importe quand , maintenant il est l'heure d'analyser la situation . Une distance suffisante pour la porté du flingue , un point de vue parfait , mais un muret trop perméable , une balle passerait facilement , ne sachant pas si cette femme était armé , ne vaux mieux pas tenter le diable .. quoi que ...

Il se décala , trop tard , au loin il vue une silhouette , ombre fine , correspondance à une femme , même corpulence de sa cible .
Plus de temps pour changer sa position , il faut agir , plus personnes , aucune témoin , situation parfaite .

* une balle ,une cible , une victime , un mort*

Il décala le cran de son flingue en arrière , un petit clic , une  arme armé . C'est partit , un derrière mise au point .Un sentier assez cour , aucun moyen de s'abriter , si elle cour , un balle et c'est fini .
Puis un flash le prit ,

" Tu ne peut pas , comme sa .... sans que ..Non .... ACHEVE LA "

Il reprit sa  conscience enfin presque... Il jeta son arme par terre , saisi son Katana . Au moment ou il se saisit de sa lame , une ombre , comme une brume noir ou du sable recouvrant , comme contaminant l'autre moutier de son corp .

Cette femme , cette remise en question , son manque de sang ,un sentiment jamais ressenti au par avant par l'homme, des facteurs s'accumulant tout en réveillant son âme de prédateur ou dire la libération du sceau démoniaque , ce qui retient la parti sombre de lost ...

Au moment où ce tatouage noir , recouvrant  presque la totalité du corps , au moment ou cette ancre se glissa dans son œil , sa pupille , ensuite pour fusionné avec sa rétine , quand son cerveau fut touché .

Un sourire froids , un regard noir ...

Il regarda au sol , une ombre , il posa un pied à l'intérieur de auréole noir, et tomba , disparu dans cette ama sombre pour réapparaitre , à l'autre bout de la rue  à l'adjacence de la femme , il sortit sans un brui , leva son sabre , pour porter son coup...

Marine savait bien qu’un jour ou l’autre on paierait quelqu’un pour en finir avec elle. Le seul fait qu’elle existe était un danger, une menace perpétuelle pour l’Organisation. La rouquine avait réussi à s’enfuir, à quitter le camp sans se faire prendre, ni être tuée. Ceux qui l’avaient formée ne pouvaient pas laisser passer une telle chose. Ils devaient faire un exemple et l’exemple se serait elle !

Elle avait quitté la bibliothèque car être tuée était une chose, faire tuer des innocents c’était autre chose et elle avait bien assez de sang sur les mains. Inutile d’en rajouter. Elle s’éclipsa par derrière et partit à la rencontre de celui qui voulait sa mort. La combattante ne souhaitait pas mourir et, s’il fallait y rester, elle vendrait cher sa peau. Mais quoi qu’il arrive, elle ne regrettait rien. Elle aurait au moins vécue normalement pendant quelques temps et malgré sa grande difficulté à s’insérer dans la société, elle avait quand même réussit à vivre comme n’importe qui. Elle en était heureuse.

La guerrière jetait des coups d’œil de tous les côtés, tous ses sens en alerte. Ses oreilles captaient le moindre bruit et l’analysaient. En quelques minutes, le jeune professeur était redevenu une guerrière redoutable. Néanmoins, l’exécuteur était tout aussi doué qu’elle car elle avait bien du mal à le repérer. Elle agissait plus par instinct d’ailleurs, faisant ce qu’elle-même aurait fait si on lui avait demandé d’exécuter une telle mission.

La jeune femme se retrouva au bout d’une ruelle et sentit une présence derrière elle. Comment avait-il fait pour arriver aussi vite là ? Elle était pourtant certaine qu’il se trouvait bien plus en avant. Elle ne comprenait comment il avait pu exécuter un tel mouvement et se retrouver derrière elle mais ce qui était fait, était fait ! Les dés étaient jetés et elle était en bien mauvaise posture.

« Alors c’est toi qui dois me tuer ? »

Sa voix était d’un calme surprenant. Il était même doux. La question sonnait plus comme une affirmation qu’autre chose. Elle attendait simplement mais était prête à parer si besoin.