Codis violentée par un alien. (PV Xenom) -terminer- bonne lecture

Pourquoi étais-je déjà dans ce lieux où la mort était présent partout, je n'en sais aps moi même, sans doute un joie indécelable de pouvoir se sentir morte tout en restant vivante, peut être le fait que je serais enterrée ici avec un peu de chance ou encore tous simplement l'ambiance qui me donnerais une certaine mélancolie.

Ce n'est pas triste de ne presque rien se rappeler, pas de famille ou d'amis, donc pas de lien qui vous étouffe à petit feux sous une, soi disant, preuve d'amour. N'ayant rien de cela je pouvais me balader sans crainte pour ma vie.

Aujourd'hui j'ai mangée un fruit que j'ai prit sans payer, personne ne me demanda, ils supposaient qu'une aveugle ne pouvait pas voler. De toute façon je en suis qu'un fantôme et les seule qui peuvent me voir sont ceux qui me veulent du mal, je ne sais même pas si dans mon état le mal peut me faire quelque chose, pas grand chose, tout comme le fait d'être dans ce cimetière abandonné aux corbeaux et autre signes de mort et de désolation.

Je ne me préoccupe de rien ne faisant que vivre sans but et sans rêve, hormis celui de mourir une bonne fois pour toute, même si mon corps se refuse à dépérir, un oiseau de mauvaise augure atterrit sur ma tête, sans doute pensait-il qu'une fille couchée sur une tombe était à l'agonie ou morte, puis d'un coup il partie en braillant. N'étant pas futée, ni même intéressée par ce qui m'entourait, je ne pouvait pas voir que un de mes futurs agresseurs avançait vers moi.

Terre, lieu de grande prolifération. Encore inconnue aux habitants de la fourmilière galactique. Le Xenom, premier lieutenant de leurs chef l'Overmind, mais aussi un redoutable adversaire et surtout un traqueur hors paire, est envoyé afin de récolter un maximum d'information sur les habitants du plan terre.

Quand Xenom arriva dans ce monde, fut surpris du nombre d'être humain mâle à côtoyer les femelles, il avait habitué à combattre le Tékhanes et la forte présence d'hommes l'avait pousser à se cacher dans les égouts pour observer. Il y passa plusieurs heures dedans, regardant, observant et désirant. Ce nouveau mondes ce montrait toutefois dure et agressif, il été préférable d'attendre la tomber de la nuit.

En fin de journée, l'obscurité tomba enfin. Xenom pus sortir de sa cachette et enfin traquer une proie. Bien que la nuit étais tombé, les habitants de ce plan bouger encore beaucoup trop pour se risquer une sortie en pleine ville. L'alien décida de passer par des petits  chemins et des sentier éloigné de toute vie. Ce ne fut pas étonnant qu'il ne croisa personne. Enfin il senti quelque chose, le vent lui apporta l'odeur une potentiel victime. La suivant dans la plus grande discrétion, Xenom entra dans un lieu ou la morts sentait partout, il avait pénétré dans un cimetière. Malgré toute ces odeurs il perçut une qui lui étais familière, celle d'un jeune femme. Après un brève recherche, il trouva ce qu'il voulait. Sa future victime était couché sur une dalle de pierre au centre d'autre similaire à celle de la jeune fille.

Dès que Xenom fut assez proche, il déploya ses tentacules qui rampèrent vers sa victime dans le plus grand silence. Et dans un bon, plusieurs tentacules s'enroulèrent autour de ses mains et de ses pied pour la maintenir bloqué sur la pierre froide, d'autre tentacules commencer à glisser le long de sont corps...

Le vent frais qui touchait mon visage apaisait mon esprit, je me mit dos à la pierre de marbre glacial, mais si ... comment dire, réconfortante ? Peut être, quoi qu'il en soit j'avais laissez mes main se détendre en formant une croix humaine, sentant la fatigue me bercer pour m'amener dans un autre monde, celui où je faisait des cauchemars, mon corps manquait de sommeil, mais mon cerveaux était toujours éveillé, sans doute avais-je la sensation de devenir insomniaque.

c'est alors que je sentit comme une présence, froide, mauvaise, mais le temps que je tente de l'identifier, il passa à l'attaque, il m'avait attaché très rapidement avec des cordes poisseuse, bien sur que cela me faisait peur, bien sur que je me débattais pour me protéger d'un autre cauchemar dans le monde réel, mais ce qui me faisait peur c'était que les liens qui m'attachait semblait avoir une existence, être vivante, c'était quelqeu chose de nouveau et donc de dangereux. Je me mis à crier de ma voix monocorde et d'où ressortait une impression de vide

- Lâchez moi ! Qu'est-ce que ...

Puis je me mit à hurler, enfin à pousser un cris fort, aussi fort que ma faiblesse le permettait, pourquoi ? Parce que d'autre liens rampaient sur mon corps, certains sur mes vêtements, d'autre en dessous. Je n'avais pas grand chose sur moi, une robe mauve avec en dessous une culotte de la même teinte et des chaussure qui ressemble ceux que porte les ballerines en plus rigide, quand on a pas l'argent pour s'habiller on fait avec ce que l'on peu.

J'espérais qu'il ne me violerais pas ou quelque chose de ce genre, c'est bizarre de vouloir protéger son corps et pourtant avoir envie de mourir, surtout quand on se met à crier :

- Pitié, je ne vous ai pas fais de mal ! Laissez moi partir !

Si l'on devait mettre un barème sur ma peur entre 1 et 10, je dirais 1000. J'étais effrayée comme pas deux, mon corps en tremblais et ma voix en était presque brisée.

Cette nouvelle proie fut immobilisé très facilement. Xenom s'approcha d'elle pour mieux l'observer. Les tentacules se faufilaient partout sur elle et certaine avait commencé de poser de caresse sur divers parties de son corps dont sont ventre. Une tentacule passa près de son cou et longea sous sa robe jusqu'à sa poitrine. Lentement mais surement, cette même tentacule s'enroula autour d'un de ses seins et commença à le malaxer.

Une autre encore s'enroula le long d'une de ses jambes et s'appuya contre sa culotte, mettant une légère pression pour atteindre ses partie intimes. Ses crient ne serviraient à rien car personne ne l'entendraient dans un pareil endroit. Ces divers caresse dura un bon moments, plus le temps passer plus les pressions exercées devenaient de plus en plus forte.

Puis comme si un ordre avait été donné, plusieurs tentacules se jetèrent sur la pauvre fille. Rapides, experte. Elles s'enroulèrent autour de sa tailles pour la soulever dans les airs. Une autre s'accrocha au hauts de sa robe et dans un geste vif la déchira net. Laissant ainsi la pauvre Cordis qu'avec pour seule vêtement sa culotte rose. Plusieurs nouvelle tentacules fonda sur elle et l'agrippa de partout.  les seins et ses tétons ne furent pas ménagé, malaxer, tordu et étiré dans tous les sens. Ses jambes furent écarté avec force et sa culotte subit le même sort que sa robe. À présent nue, la tentacule à l'origine de cette destruction s'appuya contre sa chatte et y déposa un liquide gluante. Après deux-trois minutes de caresse, elle y pénétra sans la moindre consentement.

J'avais peur, non mon corps était contrôlé par la peur, il tentait de se débattre pour se libérer de l'entrave dont il était sujet et cela même si cela faisait mal, mais bizarrement quand je me mit à hurler en sentant un tentacule se balader sur mon cou, me laissant montrer un moue de dégoût, pour ensuite venir enlacer mon sein, à ce moment là, mon corps se figea de lui même, n'osant même plus bouger un cil.

L'ennui d'être aveugle, c'est que l'on vois notre monde tout noir et de ce fait le simple effleurement de la peau nous plonge dans une crainte, la crainte de l'inconnue de l'invisible, c'est cette crainte que j'avais, surtout en entendant ma robe finir en charpie, exposant mon corps à la vue de mon agresseur et au vent frai qui me faisait grelotter légèrement.

Chaque caresses, chaque contacts cutanés était sentit au moins trois fois plus pour moi que sur une personne normal, d'où de chaude larme qui coulait sur ma joue, des larmes de peur, de tristesse à ce qui allait ce passer inévitablement et de haine, la haine d'être trop faible et de ne pas pouvoir le tuer à la pensée.

Mais le pire ne faisait que commencer, je sentit des tas de ces liens que j'avais maintenant identifier comme des tentacules, comme dans les films d'horreur, elles allaient partout, passant de fois dans mon nez ou mes oreilles et ressortant pour s'attaquer à un autre endroit, mais le prit fut quand ma culotte partie et qu'un de ces tentacules se plaqua contre mon intimité en éjectant un liquide froid, même glacial.

Les actions suivante de ces tentacules me dégoutais et je sentit d'un coup une terrible douleur venant de mon vagin, la douleur était tels que j'en pleurait et je ne pouvait pas crier, sentant un liquide chaud couler, mon sang avec un peu de malchance, mais j referma vit la bouche pour éviter que l'une d'entre elle n'y prenne place.

J'avais entendue dire que ces monstre pouvais pénétrer une femme par tous les partie du corps comportant une connexion, directe ou non avec l'intérieur, aussi mon teint vira au pâle en appréhendant ce qu'il allait me faire.

Sans ménagement la tentacule qui l'avait pénétré commença à faire des va et vient, grossissant pour toucher la moindre partie de la paroi vaginal. Il faisait des mouvements rapide et violent, tapant de temps en temps le fond. Pour ne pas aider la victime une autre força l'entrée de son anus et imita la première tentacule. Allons telle des pistons d'une machine à vapeur, sans gène et sans consentement.

Des tentacules à ventouse se collèrent sur ses seins pour aspirer ses tétons pour les tiraient et les tordre aux maximum, une autre similaire mais plus petite se chargea  de faire subir le même châtiment au clitoris. Ne la voyant pas crier, Xenom envoya une tentacule pour forcer l'entrée par la bouche mais cette dernière refusait de s'ouvrir. Un coup plus fort dans le vagin et une pression plus forte sur ses seins eu raison de cette obstacle. La tentacule s'engouffra alors dedans jusqu'au fond de la gorge.

Cette proie était celle qu'il avait chercher toute cette journée. Aussi il en profitat pour assouvir ses désir. Comme il fallit qu'elle réagisse plus, Xenom décida d'employer une manière un peu plus forte. De petite griffe apparurent et se dirigèrent vers la pauvre fille. L'une d'elle, coupante comme un rasoir, fit une entaille net et précis sur son ventre. L'entaille en question était assez  fine et courte pour la faire ressentir ses effet mais pas pour laisser une plaie ouvert. Il en fit encore une sur le bas du ventre et une dernière sur sont sein gauche.

Elle réagissait comme il espérait. Il sortie alors la tentacule logé dans son thorax et la plaça près de l'entrée de son vagin, cette tentacule était plus grosse et posséder un embout qui fourmilier d'une multitude de petites tentacules qui s'agitaient comme des ver. La tentacule dans son vagin se retira pour laisser sa place à cette nouvelle venue. Elle s'enfonça difficilement, mais parvint toute-même à la pénétrer.

Quand je sentis ce membre en moi bouger, j'eus la sensation que l'on m'enfonçais une dague, le pire fut de sentir ce membre grossir et là je me demandais quand mon vagin allait se déchirer, en sentant l'anus se faire prendre j'avais vraiment envie de mourir, pour éviter de connaitre encore une autre douleur de ce genre.

Mon corps tremblait, mon vagin mouillait énormément pour que cela soit moins douloureux, mais la douleur fut encore plus incisive suite aux autre traitements, j'étaie une vulgaire marionnette au mains de ce monstre, une marionnette qui allait de faire écartelée par son marionnettiste. Aux aspiration des espèces de ventouse je perdait du lait, ne me demandé pas comment, je ne le sait pas moi même, je priait pour qu'il n'y ai pas de tentacules qui veulent faire une visite interne.

Mon clitoris devint vite gonflé sous la torture qu'il subissait et je finit par e retrouver avec un tentacule dans ma bouche et à ce moment je me mit à crier, mais il fut étouffer par le membre qui allait loin dans ma bouche à des  moments j'avais l'impression, qui étais fausse, qu'il allait dans mon estomac, j'avais terriblement mal, je continuais de mouiller ma bouche bavait, sans doute pour faire passer plus facilement le membre et donc avoir moins mal.

Face aux coupures qu'il me faisait je réagissait par un mouvement qui fuyait la douleur, mais ce fut en sentant un membre très, trop gros rentrer que j'arque mon corps, le tentacule dans ma bouche partie et je me mit à crier.

- Arrêter ! Vous allez me tuer ! Vous allez me détruire de l'intérieur !

S'en suivit le cris le plus fort que je poussa de ma vie, sentant ce membre me violer et sans doute ruiner mon vagin à jamais, ce qui ne fut pas le cas malgré mes impressions erronée par la douleur. Mais cela ne faisait que commencer.

Mon corps puait la transpiration et nul doute que l'alien devait voir mon corps émettre une sorte de vapeur, ce qui se produisait lors de grand effort et que la température du corps était très haut comparé à l'air ambiant.

La tentacule qui obstruait sa bouche se retira suivit de plusieurs crient. Elle sommait à l'alien d'arrêter cette torture. Cela donna à Xenom plus la motivation pour continuais, il était si bien parti. Xenom avait un but bien précis, capacité à contourner les ordres reçut par son maitre l'Overmind l'avait pousser à emporter avec lui un embryons bien spéciale et il avait décidé que sa serai elle qui aurai l'honneur de le porter et d'y donner naissance à ses risque.

Les mouvements de la tentacule principale qui avait investie son vagin augmentèrent de manière subite et violente. Son corps suer de partout, ce qui rendait rendait son accroche légèrement glissant. Aussitôt les tentacules qui entouraient son pauvre corps resserrèrent leurs liens pour empêcher de perdre prise. Les caresses sur son corps reçurent des renfort de tentacules qui cherchait à présent à déceler le moindre point sensible. Les seins étaient malaxés fortement et ses tétons étaient tiraillé dans tous les sens, de tentacules gluantes laissèrent après le passage un gel qui se mélangeait à la sueur et qui coulait par la suite le long de sont de ses courbes. Une de griffe fit une nouvelle entaille un peu plus profonde sur une de ses jambes.

Il fallait que le corps soit au mieux stimuler. Ses crient et ses implorations étaient prient en guise de barème et ses derniers augmenter au fur et mesure qu'elle subissait tous ces supplices, signe du bon déroulement de l'action. Pousser à l'orgasme était le but rechercher. car pour une implantation soit totalement réussie, fallait que la receveuse soit poussé à l'extrême.

La fatigue étais perceptible à sa voix. Xenom sentait qu'il arriverais au bout. Les tentacules mirent dans un derniers effort toutes leurs force et dans un ultime moment, le monstre éjacula en y implantant un très petit embryons ce qui provoqua un cri qui mit un terme à ce dure moment de forte torture. Puis, doucement, Xenom déposa le corps inerte de la pauvre Cordis qui étais à présent couvert d'une substance nauséabond et très désagréable. Mais le pire, c'était cette être qui habitait à présent ses entrailles et qui à coup sure bouleversera un jour, toute sa vie à jamais. L'alien s'éloigna et jetant un derniers regard malsain sur ce corps étendu au milieu de toute ses tombes.

Le monstre ne semblait pas avoir comprit ce que je lui disais, car il resserra davantage son entrave, mais il y avait aussi un tentacule autour de ma gorge, ce qui fit, que j'avais une légère sensation d'étouffer, entrainant de ce fait une meilleur perception de ce qu'il me faisait, bien sur j'hurlais de douleur à chaque mouvement de ce tentacule qui bougeait à  l'intérieur de mon corps, mais que pouvais-je faire d'autre, hormis de le supplier d'arrêter et de ma laisser en vie.

Mon corps fut parcourut d'un sorte de coup d'électricité, enfin c'était ce que l'on appel le plaisir corporel, mon corps était humain après tous et cela à mon grand désespoir, mon corps tremblais sous le plaisir qu'il me procurait en même temps que la douleur, même si mon esprit n'était pas d'accord sur le concept de plaisir. Ma poitrine fut assaillit de toute part, de même que mon ventre, mes jambes, mes  bras, mon dos et même mon visage, tout en me laissant la bouche tranquille pour que je puisse hurler, mes larmes coulèrent à torrent, ma voix était suppliante et demandais grâce.

Plus cela continuait, plus j'avais du mal à parler, poussant des gémissements, comment je pouvais me permettre de prendre plaisir à me  faire violer ? Sans doute la fatigue qui me prenait, une fatigue du aux divers sévisses que cette bestiole me faisait, puis je sentit la prise à ma gorge se resserrer en même temps le tentacules dans mon vagin donnait de terrible coups, j'eus la sensation, et cette fois cela ne devais pas être une erreur, que le tentacules écarta les paroi de l'entrée de l'utérus pour y entrer et frapper le fond, me  faisant pousser des cris de douleur et c'est à cet instant que la pire des choses se produisit.

Je pouvais sentir la semence de se monstre en moi, faisant gonfler mon ventre, j'avais aussi eus mon premier orgasme, mais j'avais honte, que dis-je, je voulais mourir d'avoir un corps qui ai apprécié ce traitement.

Alors qu'il me  laissa enfin libre, je me recroquevilla sur moi même, mon vagin dégoulinant du sperme de cette monstruosité et je sanglota, tels une fille qui a été punis par sa mère, priant pour que rien ne naisse dans mon ventre, mon corps poisseux qui était exposé aux vent frais sur le marbre glacial. Je pouvais voir son regard sur moi et attendit qu'il parte.

Dès lors je fit tous pour chasser la semence en moi le plus vite possible, les traitements que je m'infligèrent furent aussi douloureux que ce qu'il m'avait fait, aussi une fois mon ventre purgé de cette semence gluante et à l'odeur repoussant, je me cala contre le vieux chêne et dormit, espérant pour que tous cela ne soit qu'un rêve, mais le mal était fais et en moi allait naître une horreur, même si je en le savait pas encore.