Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Orion et la malédiction du Coeur Sauvage [Valikoyé]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Coeur-de-fange

Créature

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Identité : Orion de Montfroid est son nom complet de naissance, Coeur-de-fange est le nom que la légende a retenu pour le désigner.
Âge : Un peu moins de 80 ans, selon la plupart des estimations.
Sexe : Masculin.
Race : Initialement humain, changé plus tard en loup-garou (créature).
Sexualité : Hétérosexuel, mais difficilement, étant donné son appétit presque incontrôlable pour la chair tendre, qui l'empêche de mener à terme son affaire sans se mettre bientôt à dépecer rageusement sa partenaire.

Physique :

Sous sa forme originelle, Cœur-de-fange possède aujourd’hui l’apparence d’un homme d’âge mûr, approchant ou dépassant légèrement la quarantaine, bien qu’il soit déjà presque deux fois plus âgé en réalité, son affliction bestiale lui octroyant une longévité surnaturelle. Il apparait d’ailleurs encore assez séduisant, avec son visage aux traits durs, à la pilosité désordonnée, son regard sombre, mais profond comme un abîme, et ses épaules larges et musclées, son corps puissant, et ce malgré une peau tannée, fatiguée, sillonnée d’innombrables cicatrices, qui laissent à le voir nu l’impression dérangeante de s’être fait battre à mort à coup d’épées, et d’en avoir tout de même réchappé, miraculeusement. Elles témoignent en fait des dizaines d’embuscades dont il a été la proie ces cinquante dernières années, autant que de son incroyable vitalité, aidée de ses capacités de régénération.

Car lorsque l’émotion, la douleur ou le plaisir l’emportent, traversé par un accès de rage soudain et irrépressible, Cœur-de-fange se transforme en une bête immonde, une créature de cauchemar, hirsute et puante, comme une espèce de gigantesque loup bipède, ou un chien infernal, haut et large comme une petite maison, et plus fort et plus destructeur qu’un troupeau entier de taureaux furieux.

Caractère :

Lubrique, irascible, impitoyable, mais aussi fainéant, alcoolique... Du temps de sa première humanité, Orion était déjà plus un monstre qu'un homme, et surtout pas le genre d'homme assez responsable et sensé pour assumer une fonction de haut rang et de grand pouvoir, à laquelle il paraissait pourtant destiné. Il est aussi difficile d'imaginer que sa métamorphose ait pu l'arranger en une quelconque manière, bien qu'elle l'empêche assez souvent de combler correctement ses pulsions ordinaires. Seulement sa joie s'est fanée, au bout de toutes ses années d'errance et de privations. Et autant le jeune homme, sous ses airs imbéciles et violents, était tout de même un joyeux luron, autant la créature qu'il est devenu aujourd'hui, même sous ses traits naturels, se montre souvent d'humeur plus sinistre et grinçante qu'un portail de cimetière. La plupart du temps, il ne s’embarrasse même plus d'une quelconque phase de séduction, après avoir repéré sa proie, se contentant de la suivre jusqu'à ce qu'elle se retrouve isolée, pour l'attaquer sur place, et lui régler rapidement son compte, avant de disparaître. La vieillesse et la rudesse d'une vie passée à fuir, à se cacher, à chasser pour manger, lui a retiré le goût du jeu et des mondanités.

C'est au moins ça dont la malédiction aura réussi à le débarrasser.

Histoire :

Les chasseurs, forestiers et autres bandits rôdeurs de tout l’Empire racontent tous la même histoire, le soir au coin du feu.

Ils disent la légende d’un étrange et superbe jeune homme prénommé Orion.

Celui-ci, prétendent-ils, naquit au cours du siècle dernier. Seul héritier mâle de toute sa famille, issu d’une longue et prestigieuse lignée seigneuriale, sa simple naissance le promettait à tous les honneurs, à la richesse, autant qu’à la puissance. Mais le destin en décida autrement. Et pour s’assurer que jamais Orion ne goûte à la gloire tranquille de ses illustres aïeux, il le dota d’un esprit entièrement volage, concupiscent et retors, à la fois libidineux et cruel.

Dès son plus jeune âge et bien après être sorti de l’enfance encore, Orion fit sans arrêt et inlassablement la preuve de son cœur sauvage et de ses inclinaisons douteuses. Il fuyait tous les jours les leçons de ses percepteurs pour filer parmi les rues, s’infiltrer dans tous les bordels de la ville, ou seulement pour courir les bois, ne rentrant parfois qu’à l’heure du souper, les poings et les genoux en sang. Car il tabassait aussi sans remords les petits misérables – plus faibles que lui – qui refusaient de lui céder le pas, s’irritant à l’excès pour un oui ou pour un non, et buvait dès ses quinze ans bien au-delà de toute raison. Il fallut qu’il soit terriblement beau et fort, d’une présence reconnue captivante, pour que son comportement de fauve indomptable,  exaspérant, lui soit si souvent excusé par sa mère, en premier lieu, et puis par toute la gente féminine ensuite.

Mais comme il se montrait définitivement imperméable à toute discipline, ainsi même qu’à toute forme de gratitude, toujours obsédé par la boisson, le sexe et le jeu, alors qu’il entamait déjà sa vingt troisième année, son père quant à lui désespérant d’obtenir de son fils qu’il fasse preuve du minimum d’ambitions et de sérieux requis pour prendre en main à lui seul plus tard les affaires du domaine, se vit contraint de le menacer directement, lui annonçant qu’il serait déshérité, et puis ensuite banni, si d’ici un an il n’avait toujours pas épousé une femme convenable et digne de son rang, avec laquelle fonder son propre foyer.

Orion, furieux mais pas fou, prit la menace très au sérieux. Pour la première fois de son existence, il fit mine d’obéir à son père sans rechigner, bien qu’il n’eut pas une seconde en vérité l’intention de renoncer à tous les délices de la bonne chair et du bon vin. Simplement, il se rangea aux vertus de la discrétion. Et pour poursuivre secrètement ses activités immorales, il mit tout en œuvre pour faire main basse sur la plus écervelée et la plus riche héritière à la fois, de tous les duchés alentours. La jeune demoiselle, de seize ans à peine, vierge et naïve, répondant au doux nom d’Ophélie, tomba irrémédiablement sous le charme d’Orion, et lorsqu’il lui fit sa demande, elle se montra encore plus ravit que le père de celui-ci. Sans le moindre scrupule, et avec grand plaisir et violence, comme elle était aussi jolie que docile, il cueillit sa fleur aussitôt la noce consommée, rougissant les draps de soie de leur nouvelle chambre.

Évidemment, Orion ne s’astreignit jamais à une quelconque notion de sobriété. Au moindre prétexte, il fuyait la demeure conjugale, retournait nuitamment se saouler et s’épancher du bas ventre au sein des bordels habituels, et courrait encore les banquets de tous lieux, nobles ou populaires, seulement sous une fausse identité qui ne trompait pratiquement personne. Malgré toute la bêtise et l’inexpérience d’Ophélie, il fallut moins d’un an de ce régime étrange, fait d’absences à peine justifiées, et de colères répétées, pour qu’elle se mette à nourrir quelques débuts de soupçons. Et puis, lorsqu’elle se rendit compte peu après que son mari s’appliquait sciemment à espacer de plus en plus leurs rapports intimes, tout en évitant à chaque fois méthodiquement de jouir en elle, elle comprit finalement, et d’un seul coup, qu’elle avait épousé une ordure, un trouillard irresponsable et très probablement infidèle.
 
Dès le lendemain, elle engagea personnellement plusieurs espions pour le faire suivre à tout moment de la journée, comme de la nuit. Ceux-ci ne mirent pas une semaine à constituer un rapport suffisamment explicite et accablant pour confirmer et même dépasser de loin toutes les craintes d’Ophélie, en provoquant sa fureur. Aveuglée par la haine et la douleur, engendrées par un cuisant sentiment de trahison, elle fit appel à une sorcière de passage dans la cité, et la couvrit d’or en lui ordonnant de jeter sur son homme un sortilège ou une malédiction si puissante qu’il ne pourrait plus jamais l’abandonner la nuit, plus jamais prendre une femme innocente sans révéler tout de suite sa véritable nature, en le condamnant à la modération, et pour le rendre à elle plus soumis enfin que son propre chien. La sorcière s’exécuta, empocha l’argent, avant de quitter la ville dans la même journée.

A la tombée du jour, impatiente d’observer les effets du sort, Ophélie se dépêcha d’aller retrouver Orion, et l’invita à la suivre au lit, pressée de le sentir en elle et de l’obliger à remplir pour de bon et jusqu’au bout son devoir de mari. Il lui parut tout de suite troublé, visiblement confus, l’esprit dérangé par des pensées peut-être étrangères, mais elle ne s’en inquiéta pas. Au contraire, elle crut que la magie agissait en son sens, et elle fut heureuse de n’avoir aucun mal à l’attirer entre ses cuisses fraîches et dodues, et se laissa pénétrer avec un enthousiasme inhabituel, persuadée que désormais, Orion lui serait à jamais et totalement dévoué, attaché à sa volonté pour l’éternité. Elle rêva qu’elle ne serait plus jamais par lui ou quiconque outragée, mais seulement aimée et chérie, comme il avait promis de le faire lorsque le prêtre les avait uni, moins de deux ans plus tôt.

Aussi, emportée par le plaisir et distraite par son délire amoureux, elle ne prit pas garde aux gesticulations de plus en plus brusques de son amant, ainsi qu’à ses grognements de souffrance, qu’elle prit pour un signe de jouissance, comme souvent, elle l’avait appris, la douleur et le plaisir se mélangent indissociablement. Et même lorsqu’il hurla, au moment de l’orgasme, elle n’eut pas peur, trop heureuse de se sentir enfin complète, et couler dans son ventre la semence qui lui était plus précieuse que de l’or. Elle ferma les yeux, et souriait gaiement en le serrant contre son sein, alors même que la peau d’Orion se fendait à vue d’œil, qu’une fourrure poisseuse commençait à le recouvrir, et que ses dents et ses ongles s’allongeaient au point de se changer en armes mortelles. Elle ne le vit pas non plus, quand il planta finalement ses crocs dans la chair palpitante et fragile de son cou, sectionnant sa trachée et brisant sa nuque d’un geste violent, la tuant sur le coup.

Si l’on en croit le témoignage de la servante qui découvrit la scène quelques heures plus tard, alarmée par le bruit d’abord, et par l’odeur ensuite, le corps de la jeune épouse gisait en travers du lit, au centre d'une immense mare de sang. Éventré de la gorge au vagin, son torse était ouvert en grand en suivant un axe unique, comme un vulgaire sac en peau, mais vide : cœur, poumons, intestins, et toutes les autres entrailles absentes, probablement dévorées. La tête, aux trois quarts arrachée, ne tenait plus au tronc que par quelques lambeaux de chair et de tendons. Elle n'avait plus non plus de visage, les traits brutalement déchiquetés par une morsure semblait-il si puissante qu'elle en avait laissé de profondes marques à même le squelette, broyant la mâchoire et l'arête du nez. Une jambe entière restait introuvable, sans doute emportée par la bête, échappée par la fenêtre aux carreaux défoncés, qui battait pesamment dans l'air de la nuit, pour se sustenter plus tard. L'autre était de toute façon si mutilée qu'on en voyait l'os même là où la cuisse autrefois l'enveloppait, qui se résumait à présent à quelques pauvres petits bouts de viande cramoisis, sanguinolents. De grosses mouches noires s'affairaient déjà autour et sur les morceaux éparpillés du cadavre, en bourdonnant de plaisir.

Le carnage était tel, et la puanteur si atroce, que la servante vomit presque aussitôt sur le sol, et sur elle-même, avant même de parvenir à hurler, ce qu'elle fit juste avant de s'enfuir. Mais rattrapée aussi vite par l'émotion et débordée par l'horreur, elle s'évanouit à peine quelques pas plus loin, s'étalant de tout son long en plein milieu du couloir. Ce ne fut qu'à l'aube, une fois réveillée et passablement remise de sa terreur, qu'elle put prévenir les autorités et qu'une grande battue s'organisa rapidement pour donner la chasse au monstre mangeur de femmes. On en suivit la trace sur les toits, puis hors de la ville, avant qu'elles ne mènent à la grande forêt. Là-dedans on rameuta tout ce qu'on put trouver de chasseurs et de chiens, et la chasse se prolongea trois jours et trois nuits, durant lesquels la bête fut plusieurs fois acculée, mais chaque fois elle parvint à s'échapper en rajoutant quelques victimes de plus à son palmarès.

En fin de compte, mystérieusement, sa trace disparue tout à fait, tout comme son odeur qui semblait s'être soudain évaporée. Les limiers désorientés agitaient la tête et la queue en tous sens, en gémissant sous le coup de la frustration. On poursuivit tout de même un peu les recherches. Mais douze heures plus tard, en l’absence de nouveaux progrès, les hommes, terrassés par la fatigue, et dont la colère retombait à mesure que l'angoisse en eux grandissait, décidèrent en désespoir de cause d'annuler l'opération. On rentra chez soi, épuisé et honteux, et le meurtrier, que chacun devinait sans peine, fut déclaré hors-la-loi et condamné par contumace à la pendaison.

Il est dit ensuite que la bête ne fit plus reparler d'elle avant des mois. Et lorsqu'elle ressurgit finalement ce fut sous la forme d'un beau et grand jeune homme, portant les traits d'Orion, se faisant passer lui-même pour un chasseur ou pour un aventurier, séduisant les jeunes filles dans les villages et les tavernes isolées pour leur donner rendez-vous au crépuscule, et les attirer le soir dans les sous-bois, avant de se transformer en monstre et de les dévorer vivantes. À chaque apparition de la bête, on recensait plusieurs meurtres et disparitions avant que les communautés puissent s'organiser et se défendre, mais déjà, en général, elle avait déguerpie depuis longtemps. Quelques semaines plus tard, le massacre reprenait à l'autre bout du pays.

Maîtres-chasseurs, traqueurs invétérés, ou chasseurs de primes présomptueux, des centaines et des centaines d'individus s'essayèrent à lui donner la mort, que ce soit par appât du gain, à l'idée de la gloire qu’ils en retireraient, ou simplement pour mettre un terme à son épopée sanglante, et libérer les populations du joug de la peur, mais aucun ne parvint à ses fins. Ceux qui survécurent à leur rencontre avec la bête, le petit nombre assez malin ou trop lâche, ayant prestement tourné les talons, décrivent invariablement un être gigantesque et horrible, mi-homme, mi-loup, une montagne affreuse, surmontée d’une paire d’yeux oranges, ronds et durs comme des billes brûlantes d'un feu démoniaque, et couverte de longs poils sombres et de cicatrices luisantes. Au terme de gros bras puissants, épais comme des troncs, d’énormes mains velues et pourvues de griffes tranchantes, larges et courbées comme des sabres… Une gueule, disent-ils, assez grande pour avaler un crâne, et bardée de crocs innombrables, plus effilés que des têtes de flèches, et plus solides et redoutables que le meilleur acier. Tous parlent à voix basse, en frémissant de la tête aux pieds, d'un colosse invulnérable, mû par une rage incoercible et dévastatrice.

Ainsi grandit la légende de Cœur-de-fange, le plus célèbre et le plus craint des loups-garous de tout l'Empire et des royaumes environnants.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. On raconte encore qu'après des années d'errance, Cœur-de-fange, sous la forme d'Orion, mais devenu désormais méconnaissable, tant il apparut vieilli et usé par sa vie de vagabond, pénétra une nuit dans le manoir familial et massacra à leur tour son père et sa mère, un oncle et une tante en visite, et deux de ses quatre sœurs, les plus jeunes, qui habitaient toujours les lieux. Et encore aujourd'hui, un bon demi-siècle plus tard, on dit qu'au gré de ses voyages, il poursuit toujours la sorcière inconnue responsable de son sort, afin de parvenir peut-être, en lui déchirant le corps, à endiguer enfin son insatiable désir de tripes et de vengeance.

Parfois même il se murmure, en conséquence, que de sa part, seul un acte d'amour sincère, une marque de dévotion véritable, suivit d'un vœux de fidélité immaculé, saurait en fait le délivrer de sa malédiction, en lui rendant dès lors le droit d'être et d'aimer à la manière d'un homme normal, sans fureur et sans assassinat. Voilà pour les conjectures les plus romantiques.

Quoiqu'il en soit, au bout du compte, Cœur-de-fange demeurera à jamais un être de légende, et le sujet inépuisable de dizaines de contes et de comptines, murmurés dans l'obscurité, pour exciter l’assistance, ou racontés au contraire pour effrayer les jeunes filles trop téméraires, le soir avant de s'endormir, par des parents satisfaits de disposer là d’une matière si éloquente...

Et ceci même alors que le mythe du plus terrible des hommes-loups continue dès à présent de s'écrire, en lettres de larmes… et de sang.

Autre :

La lycanthropie qui affecte Coeur-de-fange n'est pas une lycanthropie ordinaire. Elle n'a pas été contractée par une morsure, mais fut provoquée par un sort magique, une malédiction édictée sur mesure. Pour cela, ses conditions ne sont pas tout à fait similaires à la forme plus régulière, plutôt assimilable à une sorte de maladie. Celle qui le concerne n'est pas absolument reliée au cycle lunaire, mais se déclenche surtout en fonction des émotions de l'homme, ou en cas de stimulation très intense, comme une souffrance physique, psychologique, ou sous le coup de l'excitation et du désir. Son objectif principal étant de forcer Orion à la modération, et de le mettre autrement en face de sa bestialité, la malédiction du Cœur Sauvage le change en monstre dès que ses nerfs lâchent, ou lorsqu'il perd le contrôle de ses pensées et de ses gestes, lorsqu'il s'emporte un peu trop ou s'affole, par exemple au cours de l'acte sexuel, ou bien quand l'alcool lui tourne la tête.

Cependant, la lune conserve tout de même une certaine influence sur son état, dont la sensibilité dépend effectivement des phases de l'astre nocturne. Lorsqu'elle est ronde et pleine comme une femme enceinte, il peut lui suffire d'un rien pour se transformer, et un pauvre éternuement pourrait déclencher subitement l'atroce processus. Mais lorsqu'elle est noire, invisible, ou réduite à son minimum, l'intensité de la malédiction est si faible que la bête semble se rétracter à l'intérieur, et Orion pourrait presque jouir et se saouler jusqu'au comas sans craindre de perdre pieds et se mettre à massacrer son entourage... Presque...

Accessoirement, en plus d'une force et d'une envergure titanesques, sous sa forme de loup, Cœur-de-fange possède aussi la faculté de se régénérer à une vitesse ahurissante, ce qui le rend pratiquement invincible en combat singulier, face à un armement conventionnel.

Comment avez-vous connu le forum ?
Par un Top-site.

Et sinon, je reconnais avoir pris connaissance du contenu du topic sur le traitement automatisé des données personnelles qui est fait par l'hébergeur de LGJ.
« Modifié: lundi 18 février 2019, 07:36:09 par Coeur-de-fange »

Coeur-de-fange

Créature

Re : Orion et la malédiction du Coeur Sauvage

Réponse 1 lundi 18 février 2019, 01:15:32

Ouiiiii, bonsoir, et merci, mais ouiiii, misère, c'est un triste missclick, une précocité maladroite...

Ça y est, d'ailleurs, c'est corrigé !

Cassidy Green

Avatar

Re : Orion et la malédiction du Coeur Sauvage [Valikoyé]

Réponse 2 lundi 18 février 2019, 01:49:13

Bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Hyunne Anémone

Créature

Re : Orion et la malédiction du Coeur Sauvage [Valikoyé]

Réponse 3 lundi 18 février 2019, 09:57:53

Bienvenue. 


Répondre
Tags :