Clad était chez lui. Il revenait d'un voyage aux Etats-Unis. Oui, en pleine année scolaire. Il faut dire que le jeune homme n'en avait rien à faire des cours. Il n'était pas bête, était futé, mais surtout il était très riche. Merci Papa et Maman. Il se dit que ce n'était donc pas forcément important d'y aller trop souvent. Pour ce faire, il était allé en Amérique pour découvrir une autre culture, des monuments, des lieux, de la bouffe différente. Il fut surprit de voir qu'il y avait tant de différence par rapport à Seikusu. Bien qu'il soit né en Australie, il n'avait presque rien connue de la culture occidentale.
Après des heures et des heures d'avion, sans compter les escales, il se retrouva, ici chez lui. Il avait faim, très faim. Il décida d'aller sur internet afin de voir ce qu'offrait les petits restaurants du coin. Malheureusement, il n'y avait rien d'ouvert à cette heure-ci. Il était presque quatre heures du matin et vu qu'il était complètement décalé, il était encore tout à fait éveillé. Il surfa alors sur internet, dans l'espoir de trouver un petit restaurant qui livrait. C'est au moment où il allait quitter son ordinateur, qu'il tomba sur LE restaurant ouvert 24h/24h et surtout qui livrait à domicile. Il s'empressa d'appeler. Il demanda deux gros hamburgers, et au moment de donner son adresse, l'interlocuteur avec qui il échangeait au téléphone, ajouta un bref : « Profiter bien du supplément ! ». Clad ne fit pas vraiment attention. Même s'il trouvait ça bizarre, il pensait que c'était un cadeau de ce restaurant pour les livraisons à domicile. Mais sachant qu'on ne lui avait pas préciser, quel était ce supplément, il s'interrogea. Il aussi les épaules et reposa son portable sur son bureau afin d'aller prendre une douche.
Quelques minutes plus tard, il sortit de la salle de bain, serviette autour de la taille, une autre dans sa main, afin de se sécher les cheveux. Mais à ce moment là, quelqu'un sonna à la porte. Il ouvrit en déposant sa serviette avec laquelle il se séchait les cheveux, sur le meuble à côté de la porte. Une livreuse, lui tendait son paquet.
« Bonjour, merci. » dit-il en prenant le paquet. « Mais … Je ne comprends pas. La personne que j'ai eu au téléphone, m'a bien dit que je devais profiter du supplément. Il ne m'a pas dit que je devais payer ... » dit-il en ouvrant le paquet que la livreuse lui avait donnée, afin de voir s'il ne manquait rien.
La jeune livreuse qu'il avait en face de lui était très jolie. Sous son uniforme, on pouvait très facilement deviné qu'elle avait une paire de seins énorme et un très joli petit cul.