Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Cassandre Harmington

Terranide

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    ~ Jeune vachette obéissante, lait à volonté ~

Erreur administrative [PV : Sya]

dimanche 13 janvier 2019, 17:35:05

« T’y crois ça papa !? »

Elizabeth Dangerfield n’était pas vilaine. Loin de là. 17 printemps, et voilà qu’elle était une belle femme. Bon, elle n’avait pas une aussi belle poitrine que sa sœur, Karen, mais au moins, elle ne ressemblait pas à une gamine comme sa plus jeune sœur, Mary ! Ouais d’abord ! Les deux aimaient bien s’embêter. Plus, ses magnifiques cheveux blonds étaient de loin les plus beaux. Elle était très fier de ces cheveux, qui étaient l’une de ces forces, niveau beauté. Elle était fière, et coquette, prenant grand soin de son père. Elle pense qu’elle était de loin celle qui avait eu le plus le droit à des « tu es superbe ma chérie », quand elle demandait à son père si elle était belle. Et c’était cool ! Bref, elle était toujours contente d’habitude, mais là...

Mais là, elle était furieuse. Pendant que ses sœurs faisaient… Je ne sais quoi ! Elle, elle bossait. Elle était partie chercher un papier pour son inscription au lycée ! Et ouais, il fallait bien le dire, mais elle n’était là au Japon que depuis trois quatre jours. Elle n’avait eu le temps de rencontrer personne pour le moment, et ses amis d’Angleterre s’en fichaient certainement d’elle… Elle avait été clairement malheureusement, contrairement à sa jeune sœur, quand elle s’était retrouvée dans l’avion… Mais elles n’avaient pas le choix ! Leur père avait reçu une mutation rêvée, un salaire énorme, et même cette maison si loin de la ville… Sérieux, c’était une maison, si un assassin passait, elle pourrait même pas appeler à l’aide, seuls des écureuils passaient dans le coin… Bref, elles avaient du partir avec lui vers le Japon…

Et donc, fallait s’inscrire au lycée ! Et apprendre le japonais, vu qu’aucune des trois ne parlaient le Japonais. Mais bref, elle avait besoin d’un papier à la mairie. Déjà, elle avait galérée à trouver une personne parlant anglais, puis, ce fut la douche froide : Son dossier, et celui de ces sœurs avaient disparus. Le dossier informatique avait disparu à cause d’un virus qui avait supprimé toutes les données informatiques de son petit village anglais. Et le dossier physique ? Et bien, envoyé par courrier, il avait été… Déchiqueté à cause d’une crainte d’une attaque à l’anthrax ! Et ouais, l’employé qui avait été chargé des envois s’était révélé être un terroriste écologistes anglais vivant une double vie. Tout ses courriers étant potentiellements des armes… Bref, une histoire acadabrantesque ne voulait dire qu’une chose pour elle… Papa était le dernier à avoir encore des papiers prouvant qu’elles existaient…

"Toutes les trois ! Dossiers perdus ! On existe plus, ni en Angleterre, ni au Japon... Faut tout refaire... Pfff... Enfaite, les seuls papiers qui restent, prouvant notre existence, ils sont dans tes tiroirs ! Tu te rends compte ?!"

Bref, elle était pas contente. Elle faisait les cents pas, agacée, et continuait de se plaindre de l’incapacité des administrations ! Franchement, leurs arrivée au Japon commençait mal ! Et dire que Karen et Mary n’en savaient rien, étant donnés que les deux autres étaient entrain de profiter de la ville. Elle ne savait même pas quand les deux allaient rentrer ! Alors que bon sang, c’était sérieux ! Voilà qu’elle commençait à stresser, mais encore une fois, ce n’était pas sa faute… Avouez que la situation peut faire stresser ! Là, si l’une d’entre elles se faisaient kidnapper, elle n’aurait aucune chance d’être sauvée, vu que la Police expliquerait qu’ils ne savent même pas qui est cette fille dont vous parlez ! Fallait qu’elle leur envoie un SMS, mais évidemment, son téléphone n’avait plus de batterie, et chargeait dans la cuisine. Dès qu’il en aurait un peu, elle enverrait un SMS à ses sœurs… Et son père ne semblait même pas l’écouter !

« Papa ? Tu m’écoutes ? »

Elle aimait beaucoup son père. C’était elle qui avait été le plus proche de lui quand… Quand Maman avait été tué. Elle stressait pour ses sœurs, mais ce n’était pas sans raison… Elle se souvint, elle avait 12 ans, quand sa mère s’était mit devant Karen pour la protéger d’un braqueur armé d’un pistolet. Le braqueur avait paniqué… Et avait tiré. C’est ainsi qu’elles avaient vu, tout les quatre, elle, Karen, Mary et leur père, la maman tombant, un trou dans la poitrine… Elle avait survécu deux heures à l’hôpital… Avant de rendre l’âme. Le braqueur avait été emprisonné, et plus d’une fois, Karen avait discuté avec ce dernier, ce dernier regrettant profondément son geste, et se réhabilitant en étudiant. Karen l’aidait même parfois. Elizabeth ne pouvait pas comprendre comment un tel criminel pouvait avoir une seconde chance, mais Karen faisait ce qu’elle estimait le mieux. Elle n’allait pas juger.

Bref, depuis la mort de leur mère, Elizabeth doutait peu que leur père en souffrait. Il s’était réfugié dans son travail, et parfois, Elizabeth avait l’impression qu’il avait du mal à regarder ses filles… Logique étant donné que… Elles ressemblaient à leur mère. C’était si dur pour lui… Bref, elle se reconcentra sur la situation qui la faisait complètement paniqué… Bon sang de bonsoir, la situation était très très mauvaise, elle n’aimait pas du tout ça… Mais genre pas du tout ! Calme Elizabeth, tu dois te calmer ! Faudrait que tu penses à autre choses… Et que quelqu’un t’aide… Ou te force à penser à autres choses… Mais pas d’inquiétude… Elle ne savait pas que ce petit incident administrative allait changer à jamais sa vie… Oh que oui, sa vie allait énormément changer… Tient toi prête, Elizabeth… Tu seras la première !

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 1 dimanche 13 janvier 2019, 20:54:58

Cela faisait un moment, plusieurs années même que William souffrait en silence. Aucune blessure physique, mais la perte de sa femme est de loin la chose la plus douloureuse qui lui soit arrivée. En bonne mère, elle avait donné sa vue pour protéger ses filles, mais lui, il n'avait rien pu faire pour la sauver. Il n'avait pas eut le temps de protéger sa femme et ses filles, et même par la suite, les médecins n'ont rien pu faire. Dans un premier temps, il a longtemps souffert, se voulant proche de ses filles pour les rassurer et continuer leur chemin ensemble. Au final, Karen s'occupait le plus souvent de Mary, comme d'une mère tandis qu'Elizabeth s'occupait le plus souvent de lui. Si dans un premier temps, on pouvait croire que ça allait mieux, son mental était en train de chuter. Il avait tout donné dans son travail et la mutation offerte pour le Japon aujourd'hui était bien la preuve que ces dure efforts étaient enfin récompenser ! C'était peut-être un peu égoïste d'accepter si rapidement sans demander à ses filles, mais changer de pays était surement ce qu'il y a de mieux à faire. Elles sont jeunes, elles se feront de nouvelles amies et lui, lui, il pourra enfin tourner la page ?

Oui, car savoir que Karen voyait et aidait l'assassin de sa femme ne l'aidait pas à se sentir mieux. On pourrait applaudir son cœur en or – dont elle devait tenir ça de sa mère – mais comment ? Il ne pouvait pas voir cet homme en peinture, comment accepter qu'elle, elle puisse pardonner ? Comment elle pouvait seulement le voir sans vouloir sa mort ? Enfin, William pensait que s'éloigner de l'Angleterre était la meilleure des choses à faire. La seule chose qu'il regrettait, c'était de s'éloigner de la tombe de sa femme, mais promit, il ira la voir dés que possible, il avait d'ailleurs gracieusement payé les hommes du cimetière pour bien s'occuper de la tombe en son absence. Changer de pays et donc d'air était la chose à faire ? Il l'espérait, car il avait de plus en plus de mal à garder les idées claires. Dés qu'il quitte son travail, il broie du noir, il masquait parfois cela en faisant bonne figure auprès de ses filles, mais forcé de constater que ses filles lui ressemblait de plus en plus... Et c'était dur. Karen semblait avoir ce cœur d'or, faisant d'elle une jeune fille à qui on tendrait la main tant elle dégageait une certaine douceur. Elizabeth était celle qui lui ressemblait le plus physiquement, et un peu de caractère aussi, sa façon de parler quand elle était agacé, c'était Emilia tout craché. Quant à Mary, c'était plus les yeux de sa femme, parfois en la regardant dans les yeux, il semblait y voir un peu de sa femme.

Fidèle à ses vœux de mariage, il n'avait pas eut aucune femme dans sa vie depuis sa rencontre avec Emilia. Elle a été la seule femme qu'il a aimée, et même après sa mort, jamais il n'a fréquenté d'autres femmes. On pouvait l'applaudir, mais il restait un homme, un homme quelque peu brisé en revanche. En ce moment, chaque fois qu'il levait les yeux vers elles, il voyait sans cesse Emilia et c'était dur. Dur de la voir en elles, de voir ses filles grandir et devenir si belle... et charmante. Encore un peu lucide, il gardait la tête froide, se disant que ça allait passer et qu'il allait retrouver la raison. Dans cette belle maison, loin de tout, il pourrait sûrement tourner cette page qui l'empêchât d'avancer. Il avait toujours la tête ailleurs depuis son arrivée. La cause ? La cause semblait être le fait qu'il ne puisse oublie sa femme, qu'il s'en voulait et qu'il se sentait seul. Ses filles étaient là, surtout Elizabeth qui, de par sa proximité avec lui le rassurait un peu. Mais il restait aussi lucide, tôt ou tard, ses filles deviendront des femmes et elles vont le quitter pour fonder leur famille, leur vie. Il se retrouvera seul, abandonné, ne pouvant pas passer ses vieux jours avec celle qu'il aimait. En mourant, Emilia avait pris avec elle son cœur et sa raison de vivre. C'était selon lui un miracle qu'il n'ait pas tenté d'en finir depuis tout ce temps !

« Hm ? Oui, oui, je t'écoute, Elise... »

Assids derrière son bureau, il observait le tiroir avec les papiers en question, il n'avait écouté cette histoire que d'une oreille, comme bien souvent. Il faisait tout pour garder son rôle de père, mais n'avoir su défendre sa femme à briser quelque chose en lui et rien ne semblait pouvoir réparer cela. Pas l'alcool, pas de drogue ou de médicament, il avait tenté bien des choses naturel pour s'améliorer, mais rien ne fonctionnait. Levant son regard vers sa fille, il se força à la regarder, essayant de ne pas y voir sa femme, mais, ça restait compliqué, ce regard, cette façon de se tenir, il avait presque l'impression de la voir devant lui...

« Rapproche-toi, Elise, s'il te plaît... »

Il n'était pas rare que William tente de se rapprocher de ses filles, parfois avec facilité ou parfois avec maladresse. Difficile d'être père dans ce genre de situation surtout qu'il avait trois filles et que parfois, il était obligé de gérer des soucis plus féminin avec lequel il n'était pas habitué. Autant les deux aînées pouvaient aider la cadette, mais parfois, il ne savait pas quoi faire face à certains soucis. Faisant tourner son fauteuil vers elle, il lui souriait doucement en se redressant, venant l'enlacer, comme ça, sans raison précise. Elizabeth était celle qui lui ressemblait le plus, il retrouvait quelques miettes de ce bonheur en l'enlaçant. Il devrait avoir un peu honte de penser à sa femme et non à sa fille, mais... Emilia était toute sa vie et il ne savait pas comment passer à autre chose.

« Je voulais te remercier, de rester auprès de moi, comme tu le fais si souvent... Tu m'aides vraiment beaucoup ma chérie... »

Sa fille dans ses bras, ces dernières paroles semblait soudainement refaire surface dans son esprit. Ce qui prouvait leur existence se trouvait dans son tiroir, si cela venait à disparaître, elles n'étaient plus de ce monde, du moins pour l’administration. Ses filles ne seraient pas là, elles ne vaudraient pas plus que des chats errants. La police, personne ne pourrait faire quoi que ce soit pour lui, pas même les hôpitaux en cas de pépin, ce qui serait grave... Si un malade venait à les agresser, ou qu'elles attrapent une maladie à se balader dehors, comme ça, il pourrait les perdre ?! Et là, il serait vraiment seul ! Soudainement, William tremblait légèrement, mais comme il tenait Elizabeth dans ses bras, elle devait le ressentir.

« Tu ne vas pas m'abandonner, hein, ma chérie... Tu resteras avec Papa, n'est-ce pas ? »

Il ne la serrait pas, elle pouvait se dégager de lui facilement, mais ses derniers mots ont fait remonter des craintes en lui, que n'importe quel parent aurait. Un malade qui enlève ses enfants dans la rue ? Une voiture qui vient à les faucher, car il a détourné le regard une seconde ? Elles étaient en danger en dehors de cette maison. Et sans elle, il n'aurait aucune raison de vivre, il se donnerait sûrement la mort.

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 2 dimanche 13 janvier 2019, 22:45:06

La famille Dangerfield avait traversé toutes les épreuves ensemble. Même Karen, la plus vieille avec ces 18 ans, restait encore très proche, et pour quelques années encore, étant donné qu’elle comptait faire de longues études. Karen était aussi intelligente que gentille. Mais naïve… Bon sang, cela faisait stresser encore plus Elizabeth… Elle avait stressé à chaque fois que Karen avait imposée l’idée qu’elle aille voir le meurtrier de leur mère… Mais elle pardonnait toujours… Sur ce point, Mary n’était pas mieux, elle avait elle aussi une grande naiveté, mais plutôt une trop grande confiance en autrui, à croire que tout le monde était de l’ordre de ces amis… Bref, souvent, notre chère Elizabeth avait l’impression d’être la seule « sage » de l’histoire, et que ces deux sœurs avaient de gros défauts de naïvetés… Mais concentrons-nous un peu sur ce qui se passe vraiment… C’est à dire William :

« Hm ? Oui, oui, je t’écoute Elise. »

Il n’écoutait pas, c’était clair… Mais elle eut un sourire quand elle entendit « Elise ». Son vrai nom, comme dit, c’était Elizabeth, mais elle était toujours appelé « Elise » par ses sœurs et son père. Toujours. C’était un peu son surnom. Enfaite, Elizabeth ne sortait que quand l’un des trois était énervé contre elle ce qui arrivait parfois, mais rarement. Enfin, il y avait souvent des gens énervés contre elle, mais rarement au point de l’appeler par son prénom complet. Bref, quoiqu’il en soit, son père s’était encore plongée dans ses pensées. Cela arrivait si souvent quand il semblait penser… quand il les regardait aussi. Il devait voir sa femme, pensait-elle, en les regardant. Qu’on soit clair, aucunes des filles ne considérerait sale ou quoique ce soit du genre, non… Pour elle, c’était normal, étant donné que bah… Elles ressemblaient à leur mère, surtout Elizabeth et Karen, un peu moins Mary. Bref, quoiqu’il en soit, ainsi, elle ne fut pas surprise ;

« Rapproche toi Elise, s’il te plait. »

« J’arrive Papa... »


Elle savait que certains trouveraient parfois leur contacts… Au mieux maladroit, au pire malsain. Mais dans tout les cas et bien… C’était nécessaire. Parfois, il y avait ce besoin de contact physique qui était… Et bien beaucoup le trouvait sans doute inutile, mais il était nécessaire, mais surtout, il était gratuit. Il était fait, car il y avait ce besoin, ce besoin de contact, de proximité… Et au fond, elle comprenait très bien que cela était au fond, nécessaire, un vrai besoin. Cela ne la gênait pas. D’ailleurs, cela ne gênait pas les trois filles, que cela soit Karen, Elizabeth, ou bien Mary. Bref, elle se faisait enlacer, et elle serrait son père, contente d’être là pour lui. Comme dit précédemment, elle avait toujours été la plus proche de lui, et elle faisait ça avec un énorme plaisir. D’ailleurs, il déclara, comprenant ce que faisait sa fille pour lui.

« Je voulais te remercier, de rester auprès de moi, comme tu le fais si souvent... Tu m'aides vraiment beaucoup ma chérie... »

« Je serai toujours auprès de toi mon Papa… ! »


Elle déclara cela avec aucune hésitation. Car il y avait, en son sens, aucune hésitation. Elle le resterait. Elle devinait que ce pauvre homme avait tout perdu avec sa femme, qu’il était extrêmement triste et qu’il avait encore besoin de ce reconstruire -cela ne faisait que cinq ans après tout-, et donc… Voilà. D’ailleurs, il tremblait, tremblait énormément. Il avait peur… Et sans doute que la situation était lié. Elle avait peur elle aussi, cette idée que les papiers avaient disparus, comme ça, franchement, c’était clairement une mauvaise chose, et elle en avait peur… Très peur, comme ça, qu’il se passe quelques choses. Comme lui, enfaite, l’idée que là, tout d’un coup, un truc arrive, et ils pourraient perdre encore quelqu’un de leur famille… Qu’on soit clair, cela détruirait tout autant William qu’Elizabeth…

« Allez, il va falloir les papiers Papa, je vais aller refaire la paperasse… Il va me falloir le livret de famille, et tes papiers papounet ! »

Elle déclara Papounet d’un petit ton blagueur, et se sépara de l’entreinte de son père. Allez ! Fallait trouver ses maudits papiers, et refaire la paperasse. Elle s’en occupait aujourd’hui, car le stress était beaucoup trop grand pour qu’elle accepte ne serait-ce que l’idée d’être sans papier encore un long moment… Encore une fois ! Imaginez qu’il y ait quoique ce soit, le moindre soucis… Et bam, voilà que le pire pourrait arriver… Elle imaginait un peu sa vie sans papier, sans preuve qu’elle existait… Cela voudrait dire qu’elle serait une immigrante partout, accepter nulle part, on pourrait pas la garder, et surtout… Et bien, personne ne l’imaginerait présente, elle n’aurait plus d’existence propre… Bon sang, rien qu’imaginer tout cela, remontait sa barre de stresse au plus haut de tout les points… Elle tenta de déclarer, avec humour, pour décompresser...

« T’imagines Papa ? On serait obligé de rester à la maison sans papier, car le moindre policier nous arrêterait et nous renverrait… Je sais pas où vu qu’on existe pas ! »

OH LA BOULETTE ! Enfin, elle ne pouvait pas savoir, étant donné qu’elle ne savait pas ce que son père pensait. Mais bref, une énorme boulette de la part de notre chère Elizabeth… Enorme, énorme boulette… Pourquoi cela ? Et bien, déjà, elle mentionnait le fait que -malgré ce qu’elle a dit-, elle pourrait partir… Ouh là, c’est pas bon ça… Mais il y avait pire… Elle mentionnait que sans ses papiers, elles pourraient être forcés à partir, et à l’abandonner. Dans ce genre de cas, soit William pouvait se dire qu’il fallait refaire ses papiers au plus vite… Soit il pouvait penser qu’il y avait peut-être d’autres moyens… D’autres choses à faire… Des choses… Totalement… Différentes… Est-ce que vous commencez à comprendre qu’il va y avoir quelques choses qui cloche… ? Bref, quoiqu’il en soit, Elizabeth était arrivé au tiroir, et commençait à chercher...

« Alors c’est pas ça... »

Tourner le dos à un ennemi, c’est toujours une mauvaise idée… Mais tourner le dos à son papounet… Cela ne pose aucun soucis, n’est-ce pas ?

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 3 mardi 15 janvier 2019, 20:42:09

Cela faisait bien cinq ans qu'Emilia n'était plus de ce monde et bien que le pire soit en quelque sorte passé, William était toujours un peu effacé par moment, physiquement là, mais son esprit vagabondait ailleurs. Les idées noires, parfois des idées glauques et morbides, mais il n'allait pas plus loin, il ne pouvait pas en finir avec la vie, ses filles tenaient à lui, il devait veiller sur elles pour prendre soin de ses filles devenues déjà si grandes. Hélas, ça ne restait pas pour toujours trois ravissantes petites princesses, ça devenait des femmes, de biens jolis jeunes femmes, mais en bon père de famille, il ne voyait pas le mal dans la beauté de ses filles. Mais le fait de ressembler de plus en plus à sa femme n'était pas une bonne chose, ça lui laissait parfois de drôle de pensées... et une telle beauté attirait forcément les regards et le cauchemar de tout parent ensuite. Amoureuses d'un autre homme, vivre ailleurs, les voir de moins en moins... pour peu que ce soient de sales types qui frappent ses filles, qui les trompent, elles ne méritaient pas de souffrir autant. Personne ne pourra les aimer plus que lui de toute façon, c'était impossible.

Elizabeth continua de plaisanter en soulignant le fait que pour le moment, elles n'étaient nulles part sur les fichiers administratives, que quand bien même un policier les arrêteraient, où pourraient-elles être renvoyé ? Pas question d'être renvoyé, elles resteraient avec lui, elle, Karin, Mary, ses trois filles étaient tout ce qui lui restait de plus précieux en ce monde, pas question de les perdre aussi ! Sa petite blonde fouilla doucement dans le tiroir, cherchant les papiers, ils n'étaient pas caché, juste là, sous quelques lettres entre autres. William observait sa fille, de plus en plus ravissante, de plus en plus ressemblante avec Emilia. Était-ce le manque de sa femme ? D'assouvir ses pulsions, le fait d'être brisé ? La cause exacte, il ne saurait pas le dire. Un spécialiste le pourrait ? Quoi qu'il en soit, il se rapprochait doucement, les mains sur les épaules d'Elizabeth, il fit doucement passer sa main droite sur le corps de sa fille... oui, de sa propre fille, passant doucement sur sa poitrine. Elle semblait moelleuse, pas aussi développé que sa grande sœur – qui pour le coup, avait plus les seins de sa mère – mais ça semblait délicat et raffiné, comme l'image qu'Elizabeth dégageait.

« Ma petite chérie... »

Sa seconde main descendait aussi, mais pas pour toucher de zone intime, il venait passer sur son ventre, ceinturant ainsi la petite blonde pendant qu'il se penchait plus sur elle. La tête par-dessus son épaule, il observait sa main caresser tendrement son sein à travers ses vêtements, c'était tellement... tellement... Il ne savait pas trouver les mots. Était-ce le manque de sexualité qui rendait cela si exquis, ou bien sa fille était parfaite ? C'était possible, Elizabeth était une très belle fille, qui deviendra dans quelques années une femme à la beauté fatale, à ne pas en douter.

« Tu t'occupes si bien de ton papa... »

Son regard ne pouvait se détacher de sa main qui continuait de tâter cette zone si délicate et tendre, c'était étrange, mais dans son cœur, dans son corps, il sentait une petite étincelle le faire revivre un peu. Oui, cette étincelle grandissait en lui. Et entre ses jambes, aussi, il sentait une étincelle grandir de plus en plus.

« Et tu l'aimes, ton papa, n'est-ce pas ? »

Attention de ne pas répondre non, il était dans un état étrange, sur une mauvaise pente, mais il était déjà en train de commettre un crime, n'en rajoutons pas un à la liste. Sa tête se tourna doucement vers elle, pendant qu'il baisait sa joue doucement, un seul baiser sur sa douce peau. Elle avait toujours eu cette peau si douce ? Oui. Et cette odeur ? Elle sentait si bon. Que ce ne soit que l'odeur de leur savon ou son odeur naturelle, sa fille sentait si bon.

« Est-ce que tu laisserais papa remercier sa petite fille chérie ? »

Bien que ce soit une question, il était le père de cette famille, c'était aussi à lui d'imposer ses choix, que ça leur plaise ou non. Que ce soit illégale ou non aussi. Il n'était pas trop tard pour faire demi-tour, bien que ce qu'il faisait là était déjà grave, le pire n'était pas encore franchi. La question, c'est de savoir s'il voulait vraiment s'arrêter... Hélas, il y avait peu de chance qu'il prenne conscience de son geste et cesse cela de suite. Il se sentait revivre, après cinq longues années à se sentir mourir, il se sentait revivre... Pourquoi souffler sur cette flamme qui ne demande qu'à grandir ?

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 4 mercredi 16 janvier 2019, 14:39:57

Elizabeth n’était pas une pro quand il s’agissait de chercher quelques choses… Elle avait abandonné l’idée de se concentrer sur son père, et cherchait donc les papiers, toujours sous l’emprise du stress… Elle espérait que ses sœurs allaient pas tarder à rentrer, histoire de les prévenir, et que tout rentre dans l’ordre… Car pour le moment, comme elle n’existait pas, officiellement, leur père était un homme sans enfant. Personne ne poserait de question si ce dernier ne faisait pas voter ses filles, ne les faisaient pas sortir de chez lui… Bref, voilà… Heureusement, le soucis serait vite réglé, quand elle aura trouvé ce maudit carnet de famille, le sésame de la libération, celui qui allait les permettre de retrouver une certaine existence au nom de la Loi… Mais malheureusement, et bien, tout ne se passa pas comme prévu… En effet…

« Ma petite chérie... »

Elle se bloqua totalement. Pourquoi cela ? Et bien, tout simplement… Car la jeune femme était entrain de se faire pelotter ! Mais pas par n’importe qui… Par… Par… Par son père ! C’était bel et bien William Dangerfield qui passait bien ses mains sur son corps… Il était entrain de jouer avec l’un de ces seins, et Elizabeth ne put pas retenir un petit cri de surprise, suivi de gemissements qui étaient bien… Excitée disons ! On pouvait dire qu’elle appréciait cela… Bon sang, elle comprenait une raison pourquoi ils avaient eu si vites trois enfants, si William avait été aussi bon avec sa femme, qu’il était là avec elle… Franchement, on comprenait pourquoi à peine un neuf mois après la naissance de Karen, elle était déjà entrain de venir au monde… Mais bref, elle devait pas penser à cela bon sang de bon soir ! La situation était grave !

« Tu t'occupes si bien de ton papa... Et tu l'aimes, ton papa, n'est-ce pas ? »

Oui ! Oui, elle l’aimait beaucoup… Mais pas comme ça… Enfin, c’était… C’était… C’était sale ! Une fille et son père ne devrait pas faire ça ! Mon dieu, elle ne savait pas quoi dire… Oui, elle s’occupait de son père, elle l’aidait, mais… Mais elle n’était pas… Enfin… Bon sang, entre le plaisir (on va pas le cacher), la honte, et le sentiment qu’il se passait quelques choses de pas bon du tout, elle avait du mal à réfléchir, elle ne voulait pas que cela continue… Non, elle voulait juste que cela cesse, pour que son père comprenne que ce qu’il faisait, ce n’était pas bien… Mais genre pas bien du tout… Cependant, son père n’arrêtait pas, au contraire même…

« Est-ce que tu laisserais papa remercier sa petite fille chérie ? »

« Mmh… Papa... »


Notre chère Elizabeth était dans une situation où elle ne savait pas quoi faire. « Mais pourquoi cela ? » Et bien, car elle voulait donc le pousser, le convaincre d’arrêter… Mais elle ne voulait pas le faire ! « Oh la cochonne, elle aime ça ?! » Non, pas du tout. Enfaite, si elle ne voulait pas le faire, c’est qu’elle avait peur des conséquences de tenter de le repousser violemment. Alors, évidemment, il y avait le traditionnel pêtage de plomb, où elle pourrait se faire frapper voir tuer… Mais ce n’était pas tant ça qui faisait peur à Elizabeth… Non, ce qui lui faisait peur… Et bien, c’était plutôt… Et si, en le repoussant, cela le détruisait totalement ? Qu’il soit plus capable d’assumer de ne serait-ce que voir ses filles ? Rien que l’ide lui faisait peur… Donc, elle était bloquée, elle devait arriver à convaincre son père d’arrêter sans passer par la force….

« Pas… Pas besoin voyons… Tu… Tu es adorable Papa, mais je… je suis entrain de chercher les papiers... »

Elle tenta alors de le raisonner ! Mais oui, son père était quelqu’un de sérieux… Il allait vite comprendre qu’elle n’était pas sa femme, mais sa fille… En plus qu’elle était concentrée sur quelques choses… Avec un peu de chance, ce qu’elle disait, c’était assez pour le convaincre de revenir à la raison… Il fallait que cela arrive car elle sentait que son père s’excitait de plus en plus, les caresses devenaient de plus en plus intime… Heureusement, elle avait encore sa tenue qui la protégeait, mais combien de temps cette fine protection allait tenir… ? Et si elle finissait nue, là, devant son père… ? Bref, elle commençait à s’emballer, et cette jeune femme qui avait tendance à facilement céder au stresse n’était pas dans une situation extrêmement confortable pour elle… Elle déclara alors, pour continuer de convaincre son père d’arrêter…

« Papa, allez, s’il te plait… On peut arrêter là, je dirais rien à Karen et Mary, ok… ? »

Oui ! Il avait deux autres filles… Ce qu’ils ne savaient pas, c’est qu’elles étaient toutes deux entrain de vaquer à leur occupation, et s’en fichaient de leur père et sœur… Karen appelait la prison de leur ville, pour parler au meurtrier de sa mère, pour continuer sa thérapie et continuer de ramener dans le droit chemin cet homme -avec la possibilité que quelques sentiments plus fort étaient entrain de naître en elle pour cet homme-, et de l’autre côté, Mary s’amusait avec ses amies, et rencontrait d’ailleurs des beaux garçons… Bref, aucune des deux n’auraient le temps de penser que « Tient, peut-être que Papa est entrain de tenter de se taper soeurette ? Oh, Karen, que tu es bête ! » Bref, les deux filles y passeraient après… Pour le moment, c’était au tour de notre chère Elizabeth de gémir ainsi…

« Mmh... »

Il était doué le bougre… Enfaite… Il pouvait le sentir… Elizabeth… Avait eu un copain. Et ouais. Un copain qui l’avait déjà attouchée, alors qu’elle était pas trop trop d’accord, mais elle n’avait pas non plus arrêté le jeune homme anglais. Heureusement, ce n’était pas allé plus loin, mais voilà… Dans certains de ces gémissements, de comment elle se comportait… Et bien on pouvait le sentir, on pouvait sentir qu’elle avait déjà été touchée ainsi… Et cela changeait énormément de choses… Oh bon sang, espérons que le père ne remarque pas que sa fille connaissait un peu trop cela, car sinon, il risquait de ne pas du apprécier ce qui était entrai de se passer… oh, et quand je dis pas du tout ? C’est pas du tout… DU TOUT. Mais genre pas du tout… Mais bon, on allait bien voir : ce qu’il fallait bien comprendre, c’est qu’Elizabeth restait bien passive dans la situation, et ne tentait pas encore de se dégager…

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 5 jeudi 17 janvier 2019, 20:30:23

Il était sur la mauvaise pente, la très mauvaise pente. William était en train de violer la loi, car en plus d'attoucher une mineure, c'était sa fille. Ce qui rendait la chose encore plus déboulasse. Après les Japonais avaient un penchant sur l'inceste, sans visionner ou regarder ce genre de choses, nombre de mangas ou vidéos sur le net montrait bien de jeunes demoiselles qui aimaient un peu trop leur grand-fère, leur père, et même parfois leur grand-père. Mais au diable ce genre de chose, ce n'était pas du tout sa tasse de thé. Jusque-là, il avait été un homme normal, aimant sa femme et au pire des cas, observant les autres femmes sans jamais tromper sa femme. Mais là, c'était un homme brisé et cette pente savonneuse était une chose à double tranchant. Il risquait gros, mais cela lui redonnait un second souffle. Plus ses mains caressaient cette poitrine, plus il se sentait revivre ! Elizabeth semblait être son miracle, sa fontaine de jouvence ! Elle tentait bien de le stopper, mais la première fois, ce n'était pas un non. Elle cherchait les papiers donc, ses mains étaient utile, son corps, il pouvait toujours le caresser.

La seconde fois, elle était déjà plus vers le non, arrêter maintenant, sans rien dire à Mary et Karen. Ha oui, ses deux autres filles. Est-ce qu'elles aussi devront subir cette soudaine envie de se rapprocher de ses filles ? Il n'y pensait pas encore, il n'y avait que sa jolie Elise pour le moment, sa fille chérie, si coquette, voulant toujours l'admiration et les compliments de son père. Il était temps de lui prouver combien elle pouvait être belle, ce petit bout de femme. Mais au final, ce n'était pas un non complet. Dans un sens, tant mieux. Si jamais il reprenait ses esprits, il ne pourrait plus se voir dans une glace, honteux et il pourrait même enfin passer à l'acte et là aussi, la situation serait compliqué pour ses filles. Sans papier, sans père, sans famille, dans un pays inconnu ? Oh certes, l'anglais restait la langue la plus parlé au monde et ils trouveront bien une solution, mais il pouvait aussi s'en passer des choses pour trois étrangères, seules, dans un si grand pays.

« Ma petite chérie... tu sens si bon... Et ta peau est tellement douce. »

Il continuait de la maintenir contre lui, sa main caressant toujours son sein en baisant tendrement la joue de sa fille. Sa délicieuse odeur tournait vers son nez. Ha, qu'il était bon de se sentir soudainement plus léger, laissant ses soucis de côté, laissant sa déprime quitter doucement le navire. Sa fille était le remède et plus il profitera de sa gentillesse, plus il se sentira mieux donc ? Sa main quitta enfin sa poitrine, non pas pour la libérer, il venait doucement la glisser en dessous, passant sous ses vêtements. Ses doigts caressaient son ventre, dévoilant une peau tout aussi douce que son visage, peut-être même plus doux encore ? Eh oui, c'était possible !

« Ta peau est si chaude, ma petite Elise... Tu aimes quand Papa te caresse, n'est-ce pas ? »

Doucement, sa main remontait plus haut, passant sous ses vêtements pour arriver de nouveau à sa poitrine qu'il pelotait une nouvelle fois avec tendresse. Sauf que cette fois, il sentait son soutien-gorge, ça lui faisait une nouvelle activité, deviner ce qu'Elisabeth portait avec ses doigts. Sur son petit nuage, William continuait de la caresser, embrassant son cou, sa joue. Se sentir à nouveau heureux, même un peu, quel luxe.

« Ne t'inquiète pas ma chérie... Papa prendra bien soin de toi. »

Plus le temps passait – lentement – et plus il allait de plus en plus loin. À force, Elisabeth devait le sentir, son père retrouvait une certaine vigueur entre les jambes. Sans pour autant en briser sa braguette, cette bosse devait se faire sentir près du bas de son dos quand même.

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 6 dimanche 20 janvier 2019, 10:04:51

Elizabeth était extrêmement gênée, la situation était tout sauf confortable. Elle imaginait si l’une de ces sœurs entrait, là, maintenant… Cela serait terrible, elle devait absolument faire stopper ça ! Elle aimait franchement son père, et même, elle devait bien l’avouer… Elle comprenait enfaite pourquoi son père faisait cela, il était en manque, il était malheureux, bref, il y avait des tane js et des tas de raison. Mais vous connaissez le principe, c’est pas car on comprendre, qu’on accepte. Non, elle ne pouvait pas accepter, elle était une jeune femme, une adolescente qui terminait son adolescence, et donc, elle ne pouvait pas accepter que son père lui fasse ça ! Pas qu’il y ait un jour où on pouvait accepter ça, hein, je tiens à vous préciser ! Bref, quoiqu’il en soit, ce n’était pas avec des pensées qu’elle allait arriver à convaincre son père d’arrêter… La preuve !

« Ma petite chérie… Tu sens si bon… Et ta peau est tellement douce... »

« Papa... »


Et ouais ! Son père continuait, elle se faisait caresser, elle se faisait toucher… qui Même dans des termes légaux, elle se faisait… Violer ! Mais heureusement, notre jeune femme ne voulait pas du tut considérer cela comme un viol… Non, elle considérait son père comme un homme malheureux, qui était pas méchant là, qui était juste maladroit, qui ne savait pas ce qu’il faisait. Enfaite, contrairement à Mary qui était assez rancunière, Elizabeth s’approchait ici assez de Karen, à toujours chercher des justificatifs, des excuses, pour pardonner aux gens qui faisaient des choses qu’on pouvait considérer comme mal. Et là, bah...C ‘était littéralement le cas si vous vous posez la question ! Elizabeth cherchait à justifier son père, qui faisait un viol… Et qui ne semblait pas sur le point de s’arrêter...

« Ta peau est si douce, ma petite Elise… Tu aimes quand Papa te caresse, n’est-ce pas ? »

Bon sang… Elle sentait ses mains non plus seulement sur son corps à travers ses vêtements… Mais maintenant, les mains étaient… Dans les vêtements ! Bon sang de bonsoir ! Saperlipopette comme dirait les vieux ! (qui lisent beaucoup ces RP) Bref, elle était extremement gênée, surtout que comme dit précédemment… Que son père était bon… Son corps la trahissait sur ce point, ses seins devenaient plus fermes, ses tétons commençaient à pointer sous l’action experte de ces mains qui semblaient connaître le moindre point faible de la jeune femme, tout les moyens pour lui plaire, lui donner du plaisir… Elle était soumise, obéissante, bref, se laissait faire alors qu’elle ne voulait pas, elle voulait juste que son père arrête, et que tout redevienne comme avant… Comme si cela ne s’était jamais déroulé...

« Ne t’inquiète pas ma chérie… Papa prendra bien soin de toi... »

« Papa... »


Impression de déjà vu… ? Et ouais… Elle sentait quelques choses… Qui bon sang, elle supposait que c’était le phallus de son père ! Elle rougissait comme une pivoine à l’idée que son corps… Son corps… Ex… exci… Excitait son… Son père ! Bon sang, vous imaginez la situation, elle était extrêmement gênée, elle ne savait pas quoi dire, ni quoi faire, elle était paralysée, tandis que son corps… Lui, son corps appréciait de plus en plus le traitement comme dit précédemment. Enfaite, on pourrait presque croire que les signaux étaient totalement inversés, qu’il y avait d’un côté son esprit qui tentait désespèremment l’arrêt de tout cela, et de l’autre côté, son corps, qui appréciait de plus en plus cela, et qui avait bien envie… Que… Bah euh, cela continue ! Un moment bien compliquée pour elle

« Papa c’est pas bien… Je… Je suis ta fille... »

Elizabeth avait bien compris que son père faisait surtout ça car il voyait en elle, sa mère, il imaginait qu’il avait sa mère, et il transposait son désir de la mère sur la fille ! Donc elle tentait de le rappeler qu’il était en face de sa fille, et qu’il devait pas oublier ça ! Elle avait beau ressembler à sa mère… Elle n’était pas sa mère… Elle n’avait ni la douceur, la bonté, et les magnifiques seins de sa mère, que Karen avaient, ni ses magnifiques yeux et cette grâce, ce goût des autres et de l’amitié, chose qu’avait Mary… Sotte d’Elizabeth ! Tu viens de dire ce qu’il faut pour qu’il ait sa femme ! Il suffit d’avoir les trois ! En les combinant, et en les baisant et brisant bien, il pourrait retrouver sa vie parfaite, n’est-ce pas ? Sans aucun doute si vous voulez mon avis !

« Papa non, c’est pas bien ! Que… C’est illégal, faut qu’on arrête, sinon, que va-t-il se passer ? »

Elle déclara cela d’un ton plus ferme, mais elle ne repoussait toujours pas son père. Elle n’osait toujours pas passer au physique, elle n’osait pas, elle considérait que c’était quelques choses qu’elle devait faire vraiment qu’en cas d’extrême urgence, qu’en dernier recours… bref, elle décidait de prendre la voix médiane, c’est à dire, ne pas accepter ce qui se passait -elle ne pouvait pas accepter, quand même, malgré tout l’amour qu’elle portait pour son père, là, c’était trop-, mais ne pas trop non plus le pousser, histoire que si cela s’arrête, cela paraisse pour lui naturellement, et qu’ainsi, personne ne se sente coupable ! Elle avait très peur que la situation soit la goutte d’eau qui fait déborder le vase de l’esprit de son pauvre père… Et qu’il passe à l’acte… Bref, la meilleure solution pour elle, c’était vraiment le :

« Papa, allez, oublions tout ça... »

C’était comme un appel à l’aide, un appel pour que cela cesse, pour qu’ils puissent reprendre leur vie comme avant, comme si de rien n’était… Mais serait-ce possible ? Franchement, elle en doutait… Mais bon sang qu’il était doué ! Cela faisait aucun doute sur ce point ! Bon, après, elle ne pourrait pas jurer… En effet, elle n’avait pas connu de garçon, contrairement à Karen, qui en connaissait un en gros… Bref, quoiqu’il en soit, elle commençait à laisser échapper des soupirs, et elle arriva à poser son téléphone sur le meuble… Téléphone tranquillement posé qui allait peut-être recevoir des SMS… Un SMS salvateur, qui pourrait les sauver toutes les trois… Qui pourrait convaincre son père que ses filles doivent être chouchouter comme des filles et… Et…. Tient… Un petit bip, un flash lumineux, et un texte…

*SMS entrant : Karen
Coucou soeurette ! SMS de David (celui de la prison pas beauf de la soirée de Manchester lol) : on pourra se voir la prochaine fois qu’on ira en angleterre. J’aimerai en savoir plus sur lui…
Je crois être amoureuse, il a changé et veut vraiment se faire pardonner de l’incident de maman*


Sauver… Peut-être pas enfaite…

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 7 lundi 21 janvier 2019, 20:44:20

Ce n'était pas bien, clairement, il était en tort ! Mais son esprit ne voyait pas le mal et comme souvent, le mal sait se montrer très tentant pour attirer ses proies. Après avoir tant traverser depuis la perte de sa femme, William avait tenter de reprendre du poil de la bête et tourner la page, mais petit à petit, il sombrait. Se concentrer sur son travail ? Ça fonctionnait un peu, mais dés qu'il était hors de ses bureaux, il repensait à sa femme, toujours plus intensément. Ses filles lui rappelait Emilia, elles lui ressemblaient de plus en plus et malgré leurs présences, il se sentait de plus en plus seul. Sauf qu'en cinq ans, il resterait de plus en plus le nœud autour de son cou et il savait qu'à force, tôt ou tard, s'il ne se donnait pas la mort, ce serait son corps qui le tuerait de lui-même. Qui sait, ça aurait pu l'aider, mais il pensait le faire tout seul. Sauf qu'en cinq ans, il resterait de plus en plus le nœud autour de son cou et il savait qu'à force, tôt ou tard, s'il ne se donnait pas la mort, ce serait son corps qui le tuerait de lui-même. Et pourtant, aussi incroyable et un peu glauque aussi, le fait de serrer Elisabeth contre lui, de sentir son corps si doux sur sa peau, il sentait un petite flamme en lui qui lui ordonnait de ne pas abandonner et qui, doucement, éloignait ce nœud coulant de son cou.

Il était en train de caresser sa fille, même pas majeur, caressant pour le moment sa poitrine, ce qui restait moins grave que passer à l'acte. Mais moins grave ou non, ça restait grave aux yeux de la loi. Pourtant, ce cher démon savait lui montrer toute la beauté de sa faute. Ce corps si doux, si chaud, si innocent, sa chair de sa chair. Elisabeth avait peut-être eut des petits copains ses dernières années, elle devenait grande et il n'était pas du genre à surveiller ses filles. Si elles auraient annoncer un départ de la maison pour vivre avec leur petit copain, là, il se serait réveiller pour se pencher sur la question mais si jamais elles ont fréquenter quelqu'un, ça restait discret et William n'en savait rien. Donc pour lui, Elisabeth était pure, sa petite perle innocente, son petit trésor tout chaud, tout doux. Pourquoi l'interdit était si délicieux ? Cela restait une question existentielle.

Ses doigts sentaient en passant sur sa poitrine, une petite zone très dure, très tendue et qui semblait l'inviter à aller plus loin. Oserait-il ? Il n'en savait rien, mais pour le moment, il préférait faire durer ce plaisir. Dans un sens, ça évitait que le pire n'arrive, dans un autre, il ne voulait pas déballer son cadeau trop vite. Pour une fois qu'il sentait un certain regain d'énergie, de bonheur, pourquoi gaspiller ça si vite ? Il serrait Elisabeth contre lui, sa poitrine dans sa main, embrassant sa joue, human son odeur, et ses fesses, il ne les touchait pas directement, mais son entrejambe sentait une chose exquise, il était si ommnibuler par le reste, que ça restait au second plan pour le moment. Mais pas pour toujours. Elisabeth avait beau tenter vainement de se dégager, mais même quand elle l'appelait, il n'entendait pas de détresse dans sa voix, juste du plaisir, du désir. Son esprit transformait la réalité ? Allez savoir, mais pour le moment, elle n'était pas encore assez choquée, en larmes, pour tenter de le remettre les pieds sur terre. C'était possible ou bien, il avait déjà goûté à ce fruit défendu, rendant le demi-tour impossible ? Après tout, même en portant plainte, pour le moment, il n'y avait pas de preuve ? C'était sa parole contre la sienne. Aucune marque, rien n'indiquant des attouchement ou même un viol.

Elisabeth avait beau jeter ses cartes une à une. Elle était sa fille ! Mais il le savait, pourtant cette phrase résonna doucement en lui... Oui, il faisait quelque chose de mal... Pourquoi ne pas s'arrêter ? Au final, bien que ce soit sa fille, c'était juste une question de moral qui rendait ce geste interdit ? Quand l'homme n'était pas civilisé, l'époque des chevalier ou même bien avant, coucher avec ses enfants, ça restait aussi banal que le faire avec sa femme, non ? Peut-être pas à l'époque médiévale, mais quand l'homme était encore au stade primitif ? Ils ne devaient pas se gêner avec une quelconque moral. Même chez les animaux, frère et sœurs, parents et enfants, si on les laissait jouer ensemble, ça finissait en une véritable orgie sans se dire que c'était pas bien, ils étaient de la même famille. Alors pourquoi, ce serait mal, maintenant ? Entre eux ? Tout était qu'une question d'opinion donc ? Il y avait bien des gens qui vendaient encore à notre époque leur enfant encore bien jeune à des vieilles personnes en échange d'argent, ou autres ? C'était quoi le pire, vendre son enfant à un vieux pervers ou montrer un amour mal vu à sa fille ?

« Papa te fait juste un gros câlin, ma chérie. »

Un câlin étrange, un peu trop près, surtout à son âge, mais dans sa tête, ça semblait aussi normal que simplement la serrer dans ses bras ? Le souci venait peut-être de sa tête ?Un câlin étrange, un peu trop près, surtout à son âge, mais dans sa tête, ça semblait aussi normal que simplement la serrer dans ses bras ? Et pourtant, ce cauchemar pour Elisabeth allait s'arrêter, du moins, se mettre sur pause. Son portable annonçait un sms, en soi, il s'en fichait, du moment qu'elle n'y touchait pas. Mais sur l'écran, le début du sms s'affichait et William vit le mot « Prison » sur le message. S'arrêtant net, il retira sa main de sous le pull d'Elisabeth pour prendre son portable. L'excitation semblait s'être volatilisée bien qu'il la gardait encore contre lui. Il déverrouilla le portable et là, il lisait le message dans sa tête. Sa joie se transforma en colère. Sa petite braise de bonheur devenait un brasier de fureur ! Il ne fit rien de spécial à sa fille, mais ses pensées devenaient très sombres. Sa voix était soudainement devenue très calme, et froide. C'était presque... effrayant.

« Elisabeth... tu était au courant de ça ? »

Par ça, il entendait que Karen soit amoureuse de ce sale petit bâtard ! Il lui montrait le message, gardant le téléphone dans sa main. Il posa sa main sur son épaule, lui laissant l'occasion de se retourner pour le lui dire. Bien entendu, William savait qu'elle rendait visite à ce sale petit con quand ils étaient là-bas, pour sa plus grande colère. Mais il se disait malgré tout qu'elle tentait de l'aider. Mais là... L'aimer ?! Non, ça, il n'en est pas question !!! Cette enflure à tuer sa femme, il a fait de la peine à ses filles, sûrement bien plus à Mary, étant la petite dernière, c'était elle la plus proche de sa mère. Et là, elle se dit amoureuse ? Amoureuse du meurtrier de sa mère ?! Les filles peuvent être stupides à choisir des garçons qui déplaisent à leur parent, mais il y a une limite à cette bêtise !!! Pour sûr, William va avoir une longue discussion avec son ainée à son retour. Elle lui avait coupé toute envie pour le moment, mais le feu n'était pas totalement éteint et sous la colère, la douceur pouvait laisser place à la précipitation. Attention donc à Elisabeth, si elle essaie de trop couvrir sa sœur ou se mettre de son côté, le gentil papa va montrer un autre visage... Déjà que celui qu'elle avait aperçut ne lui plaisait pas trop...

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 8 mardi 22 janvier 2019, 22:34:59

Il ne semblait pas arrêter… Et il semblait de plus en plus dur ! Oh bon sang de bonsoir, elle ne savait absolument pas quoi faire. Il ne restait que la violence physique, chose qu’elle ne voulait vraiment pas faire, car elle avait trop peur des conséquences mentales sur ce pauvre homme. Si seulement il y avait une autre solution… il y avait forcément une autre solution bon sang de bonsoir… Elle tentait de réfléchir, le soucis c’est que le plaisir empêchait grandement la jeune femme de réfléchir normalement… Et cela se comprends. Bref, elle devait trouver une solution, dans une situation où clairement, elle n’était pas à l’aise… Bon courage girlz ! Tu en auras bien besoin…

« Papa te fait juste un gros câlin, ma chérie. »

« Ou… oui… ! »

Ouf ! C’était visiblement… Fini ! Son père avait repris ses esprits, elle était sauvée ! Bon sang… Donc comme promis, elle n’en parlerait plus, plus jamais, c’était oublié, il ne s’était rien passé… Oui voilà, absolument rien, absolument rien… Sauf que malheureusement, elle remarqua que cet arrête… Et bien, ce n’était pas du tout… Pas du tout la situation qu’elle avait imaginé. Elle pu lire rapidement le SMS par dessus l’épaule de son père, en regardant rapidement, après avoir bien remis ses vêtements… OH BON SANG LA CONNE ! Elle savait que cela arrivait… Mais… Oh non ! Bordel, Papa ! Il y avait une chose qu’elle avait espéré : que son père ne découvre jamais cela… Et voilà qu’il avait cela en parfaite vision…

« Elisabeth... tu était au courant de ça ? »

Son père était… Changé. Cela se voyait. Là, elle avait presque envie de retourner à ce qui se passait avant, sérieusement ! Non, sérieusement, son père faisait peur. Elle devinait la rage, la colère d’un homme qui découvrait que l’homme qui avait tué sa fille… Déjà, premier signe qu’il était énervé… Il avait arrêté de l’appeler Elise. Où là… La dernière fois que cela était arrivé, ça avait chauffé pour elle… Bref, heureusement qu’il n’avait pas directement Karen sous la main, car sans doute que cela aurait mal fini… Bref, elle devait vite désamorcer la situation, sinon, cela risquait d’exploser, et personne n’avait envie que cela explose… Donc, Karen prit son courage à deux main, et commença à déclarer :

« J’a… J’avais des doutes... »

Ouais, franchement… Cela faisait un moment qu’elle avait des doutes… C’était pas normal qu’elle fasse tout ce qu’elle faisait, sans un amour. Ainsi, son départ pour le Japon ne pouvait donc faire que deux choses… Soit premièrement, la couper définitivement, et elle abandonnerait enfin ce fils de câtin sale qui ne méritait même pas d’exister et d’être encore vivant… Soit elle tombait définitivement amoureuse. Malheureusement, cela avait ce second cas… Mais aux yeux d’Elizabeth, si Karen avait fait une erreur en allant le voir… Et bien, elle n’était pas responsable de ce qui se passait ! Le seul et unique coupable, c’était toujours le même, le coupable ultime, celui qui était responsable de tout… Bref, elle déclara ainsi !

« C’est… C’est sans doute ce bâtard ! Il… Karen a toujours été gentille, un ange, comme Maman ! »

Elle tentait de défendre sa sœur, elle ne voulait pas que Karen et son père se fâche. Rien que l’idée la faisait stresser ! Non non non ! Bon sang de bonsoir… Elle pensait vraiment au « bâtard », elle n’allait pas le cacher. En effet, elle pensait que ce dernier tentait de piquer sa sœur… Pour avoir une libération conditionnel ! Genre, regarder comme je suis gentil, j’sors même avec la fille de ma victime ! Et bam, les policiers sont dupes, et le libère ! Alors qu’il méritait, s’il ne mourrait pas, de moisir dans la prison la plus infâme de l’univers ! Et sans doute que William était d’accord avec Elizabeth, là… Bref donc, Karen n’était pas responsable ? Elle n’était pas quand même tombée dans le piège sans raison… ! Et non, en effet, elle avait quand même une part de responsabilité, que la fameuse Elizabeth éluda en déclarant :

« Il a du faire genre qu’il avait changé, et tu connais notre Karen, elle… Elle a le syndrome de l’infirmière… Il... »

Le syndrome de l’infirmière… Alors, en gros, c’est tomber amoureux alors qu’on tente de réparer quelqu’un… Et enfaite, oui… Oui ! C’était littéralement ça, notre chère Karen était tombée amoureuse de l’homme qu’elle tentait de soigner ! C’était un phénomène assez classique, et l’un des exemples les plus connu dans la fiction, c’était bien entendue… Harley Queen ! Bref, donc, notre chère Karen avait cédé à l’amour, alors qu’elle tentait justement d’améliorer, de soigner l’homme qui avait tué. Là où Elizabeth se trompait, c’était sur le fait que… Bah dans les faits, l’homme n’avait rien tenté, il avait pas fait genre qu’il avait changé… Il avait vraiment changé ! Sauf qu’Elizabeth, comme son père, ne croyait pas en ce changement… Donc la jeune femme tentait tout pour faire genre que lui était coupable ! Et ainsi, elle déclara :

« Il doit user de… de… Il doit tenter de faire genre qu’il est doux et bon… Et notre Karen est tombé dans le panneau ! Il… Il faut la protéger Papa, pas s’énerver hein... »

Et là, elle se condamnait, elle et ses sœurs. Car elle faisait exactement ce que le père pensait : il fallait que lui, protège ses filles. Et il avait l’arme parfaite. Elle n’existait plus maintenant, c’est à dire, il fallait qu’il les protège. Bref, ainsi, elle venait de se jeter dans la gueule du loup… Mais cela, tout dépendait du père enfaite. Peut-être n’allait-il pas réagir ainsi ? Peut-être allait-il s’énerver ? Ou bien, peut-être allait-il comprendre que c’était le moment… Qu’il pouvait faire ce qu’il avait toujours au fond eu envie de faire ? Tout était possible… Mais maintenant, il fallait attendre… Et attendre la réaction de son père… Bon sang de bonsoir… C’était insupportable pour Elizabeth. Elle stressait énormément, ouvrant un peu son col pour mieux respirer… Qu’allait-il répondre… Qu’allait-il répondre… ?

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 9 vendredi 25 janvier 2019, 20:38:34

William glissait de plus en plus vers quelque chose qui le mettait de plus en plus en danger. Du moins, si quelqu'un savait ce qui se passait en ce moment dans son bureau, car au pire des cas, cela reste entre eux, non ? Elizabeth était sa fille, sa fille chérie, car même si on dit non, les parents ont toujours un favori, idem pour les enfants. Pour lui, ça a toujours été sa petite Elise, c'était elle qui était le plus souvent avec lui, et même encore aujourd'hui même si ce n'est plus pour les mêmes raisons. Mary avait toujours été plus proche de sa femme, étant la petite dernière du trio. Quant à Karen, difficile à trancher ? Mais parlons d'elle, sur le coup, il avait stoppé les attouchements sur sa fille en voyant le message de son ainée, envoyé à sa cadette. Et ayant vu ce message, toute envie était voilée par ce message. Sa fille, sa chair de sa chair, amoureuse du tueur de sa femme et mère de ses filles ? C'était au-delà d'une blague ! Il supportait mal qu'elle tente de l'aider, mais il pouvait avaler sa colère en se disant qu'elle était comme sa mère, à tendre la main vers le pire des connards, mais ça... Même en ayant le cœur sur la main, il était prêt à parier que même sa femme refuserait une telle nouvelle ! Il se trompe peut-être, mais en inversant les rôles, Emilia aurait accepter que Karen soit amoureuse du tueur de son mari, père de ses enfants ? Pas si sûr...

Face à cette aura sombre qui animait le père de famille, Elizabeth tentait de protéger plus ou moins sa sœur. Il n'avait aucun moyen de savoir si elle s'en doutait ou si elle cherchait juste à la protéger ? Mais il va lui faire confiance sur ça. Silencieux, il l'observa en écoutant ce qu'elle avait à lui dire, il est vrai que même pour lui, sa fille ne pouvait pas être totalement fautive, ce sale petit con était dans le coup. Mais attention, sa fille n'était pas un ange pour autant. Non pas qu'elle leur ai causé des soucis, mais William savait que tôt ou tard, ses filles feront sûrement connaissance d'un homme qu'il ne pourrait pas encadrer et dont elles étaient pourtant folles amoureuses. Une petite racaille, un glandeur, un débile, il aurait pu accepter, mais lui ? C'était comme insulter ses parents ! C'était son rôle de père de protéger ses filles, surtout depuis qu'il n'a plus sa femme. S'il voulait empêcher Karen de voir ce type, c'est pour son propre bien. Doucement, il retrouvait son calme. Inutile de faire peur à Elizabeth, c'est avec Karen qu'il devra discuter de ça de toute façon.

« Tu as raison, Elise, je verrais ça avec ta grande sœur à son retour donc pour le moment, je garde ton portable. Je préfère éviter que tu n'effaces ce message sans faire exprès, elle devra parler de ça avec moi et pas faire semblant d'ignorer ce dont je lui parle. »

Oui, là, la preuve lui sera jetée sous les yeux et ils auront une conversation qui pourra être longue, courte, mais il devra voir avec elle ce problème. Oui, ce n'était pas rien, et ils devaient régler ça. Il est possible qu'elle le déteste après ça, il est possible qu'elle lui en veuille même longtemps, mais plus jamais elle ne verra ce sale petit con ! Il devait protéger sa fille, point final. Non, il devait protéger Ses filles.

« Toi aussi, il faut que je te protèges... Ma petite Elise, tu resteras avec Papa... »

Face à elle, ses mains sur les épaules venaient doucement tomber le long de ses bras, la caressant doucement avant de se pencher sur elle, venant lui arracher un long baiser, langoureux et savoureux. Oh oui, le plaisir d'un simple baiser. Que c'était plaisant. Il sentait la moiteur de sa bouche, cette langue délicate, innocente, si délicieuse. Le baiser ne se rompait pas, et il n'était pas prêt de s'arrêter, un coin si petit et pourtant, chaque coin de sa bouche lui semblait si vaste et inédit et surtout tellement bon ! Cela avait toujours été aussi bon ? Cela remonte à si loin, Emilia embrassait si bien ? Sa bouche était si délicieuse ? C'était presque une honte de ne pas se souvenir de ce détail néanmoins... Durant ce long baiser, ses mains venaient presser ses fesses et ô grand dieu ! Que c'était mou, doux, chaud ! Il les pressaient délicatement sans trop en faire. Il donna un petit coup de reins uniquement pour la faire s'asseoir sur son bureau, se couchant doucement sur elle. Quand enfin le baiser cessait, il souriait. Cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps !

« Ma chérie... ta bouche est si délicieuse... Tu rends ton papa tellement heureux... Tu as toujours été ma petite chérie... Et tu le seras bien plus encore. »

Oh oui, il voyait de grande chose à faire avec sa fille chérie, sa petite favorite... Il aimait ses trois filles, mais Karen, le courant risquait de mal passé vu ce message et Mary, il savait bien qu'elle était plus proche de sa femme, mais il l'aimait tout autant. Mais il ne pouvait pas s'occuper de ses trois filles en même temps... pas pour le moment du moins.

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 10 vendredi 25 janvier 2019, 22:22:37

Bon sang, là… Papa faisait peur. Vraiment peur. Mais vraiment très peur. Mais vraiment très très peur… Oui, c’est bon on a compris ! Cela ne fait aucun doute ! Bref, on sentait la rage… Mais en même temps, sérieusement… On pouvait le comprendre ! Après tout, c’est vrai qu’il y avait de quoi être vraiment furieux ! Même si Elizabeth avait bien réussi à expliquer, comment se dire qu’une femme pouvait aller voir comme ça le meurtrier de sa mère… Et le pardonner, au point d’en tomber amoureuse ? Et bien, deux points. Déjà, comme rappelé précédemment, la mort de la femme de William… Avait été un tragique accident. Il n’avait pas voulu tirer, c’est dans la panique qu’il a tiré, presque malgré lui. Cela n’empêchait pas qu’il l’avait quand même tuée. Mais il regrettait. Vraiment. Et ainsi, syndrome de l’infirmière chez Karen… Et voilà, arriva ce qui devait arrivé… C’était inévitable.

« Tu as raison, Elise, je verrais ça avec ta grande sœur à son retour donc pour le moment, je garde ton portable. Je préfère éviter que tu n'effaces ce message sans faire exprès, elle devra parler de ça avec moi et pas faire semblant d'ignorer ce dont je lui parle. »

« D’a… D’accord. »

Si elle avait réussi à éteindre l’incendie, elle devinait qu’il y avait encore de nombreuses braises bien chaudes un peu partout… Et ça, c’était pas bon signe, hein, qu’on soit clair. Elle avait peur pour Karen… Surtout après ce que lui avait fait son père… Elle craignait de ce que pourrait être cette petite discussion. Vite ! Il fallait qu’elle fasse ce qu’elle devait faire… C’est à dire ? Et bien, continuer de faire le rôle qu’elle avait prit : celui de la mère de famille. C’était le rôle qu’elle avait prit quand sa mère était morte, car Karen avait décidé de s’occuper de sa petite sœur… Et bien, elle avait décidée de prendre ce rôle. Cela n’avait pas été facile, mais cela avait été nécessaire… Donc, voilà… Quoiqu’il en soit…

« Toi aussi, il faut que je te protèges... Ma petite Elise, tu resteras avec Papa... »

« … D’a… D’accord… ? »

Répétition ! Sauf que là, elle aurait bien voulu dire plus… Mais elle fut coupée. Mais par quoi ? Non par la faucille du tueur (c’est Emile), mais bel et bien par la bouche de son père. Et ouais, son père venait de… De… De l’embrasser ! Et le pire, c’est qu’il n’y avait absolument aucun doute sur le baiser qu’il était entrain de lui faire. Vous savez bien, il existe des tas et des tas de baisers possibles et immaginables. Il y avait ainsi des baisers très chastes, très innocents, ce genre de baiser où on se dit « ça va... »… Mais là, c’était vraiment un baiser langoureux, un vrai, qui donnait tant de plaisir au père, que la fille le sentait. Elle ne pouvait rien faire, elle se laissait comporter emporter, sans pouvoir tenter de résister ne serait-ce qu’un petit peu.

« Ma chérie... ta bouche est si délicieuse... Tu rends ton papa tellement heureux... Tu as toujours été ma petite chérie... Et tu le seras bien plus encore. »

« Papa... »

On avait eu beaucoup de « Papa » qu’elle avait sorti après des attouchements. Oh, oui, beaucoup, cela ne faisait aucun doute. Mais celui-là, il était pas pareil. Pourquoi cela me demanderiez vous avec des yeux fortement étonné ? Et bien, car elle ne tentait pas de repousser son père. Oh, bien sûr, précédemment, les tentatives pour repousser son père avait été franchement faiblardes, on sentait qu’elle ne voulait pas brusquer son père, ne pas lui faire de mal… Mais au moins, elle avait existé, on ne pouvait pas le nier… Là… Non, même pas, il n’y avait même pas de maigre tentative pour tenter de le repousser… Elle était paralysée par deux choses… Une chose que nous aborderons plus tard… Mais aussi par le sourire de son père. Bon sang de bonsoir elle… Elle n’avait pas vu ce sourire depuis si longtemps. Depuis… Depuis la mort de sa mère, enfaite… Enfin avant hein. Non car ma phrase était un peu étrange sinon… BREF !

« Je sais que ça a été dur pour toi, depuis que Maman est... »

Elle n’arriva pas à le dire, elle voulait cependant le mentionner, histoire de bien mettre une différence entre elle, et sa mère. Elle n’était pas sa mère, et elle ne savait pas comment marchait l’esprit de son père, mais elle avait peur que celui-ci décide de faire d’elle, sa mère. Sauf qu’elle ne serait jamais sa mère. Elle lui ressemblait, oui, même si elle ne se rendait pas compte à quel point. Physiquement, oui, elle l’avait remarquée, mais dans les manières, le comportement, les actions ? Non, elle ne l’avait pas remarqué, elle ne s’en rendait pas compte à quel point… Mais une chose était sûre… Malgré tout cela, et bien, elle ne serait jamais sa mère, elle ne pouvait pas l’être, même si elle le voulait… Par contre… Elle pouvait… Elle pouvait faire ça. Elle déclara, alors, la voix un peu chevrottante :

« Papa… Si je m’occupe de toi, comme Maman… Tu pardonneras à Karen ses égarements… ? Elle ne voulait pas mal faire papa… Vraiment pas... »

Euh, Elizabeth… Quand… Quand tu disais que tu prenais le rôle de la mère dans… Dans la famille… C’est euh… Je… C’était pas ça qu’on voulait dire ! Bref, Elizabeth faisait enfaite exactement la même chose qu’aurait fait certaines mère dans cette situation… Tenter d’adoucir le père, en le faisant oublier ce qui l’avait énervé. En tentant de l’amadouer, de le calmer… Vous voyez ce que je veux dire ? Ouais, vous voyez bien… Bref, la fameuse Elizabeth ne faisait pas ça pour tenter de manipuler son père… Oh, peut-être que l’effet pouvait y ressembler, mais non… Elle tentait vraiment de faire ça avec amour, pour rendre heureux tout le monde, dans son sacrifice… Oh, peut-être ressemblait-elle plus à Karen qu’elle le croyait, à vouloir soigner tout le monde, au détriment d’elle-même…

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 11 lundi 28 janvier 2019, 21:14:14

La pente était de plus en plus raide, après les attouchements, voilà le baiser. Même si pour certains, le baiser était moins pire que les attouchements peut-être ? Après tout, il avait à peine caressé sa fille et encore, sans aller trop vers sa zone intime donc, qu'est-ce qui est le pire ? Quoi qu'il en soit, elle était allongée sur son bureau et lui, sur elle. Pas totalement, il était debout face à elle, mais abaisser vers sa petite Elizabeth. Elle était tellement belle et mignonne. Finis la petite fille qui courrait avec ses petites couettes pour lui sauter dans les bras, elle était une jeune femme maintenant et elle était de plus en plus belle. Peut-être était-ce cette ressemblance avec sa défunte femme qui rendait cette situation possible ou bien simplement le trop-plein de toute cette tristesse mêlée à cette haine envers ce petit con, allez savoir, il était difficile de dénouer ce nœud. Quoi qu'il en soit, William souriait, caressant doucement la joue de sa fille quand elle tenta d'évoquer sa femme. Il ne l'empêchait pas d'en parler, mais ce n'était pas ça qui allait le stopper dans son geste. Était-il trop tard pour stopper cela ?

« Elise, je dois avoir cette conversation avec Karen... Sincèrement, tu aimerais te dire que celui qui a tuer ta mère devienne ton beau-frère ? Accident ou non, tu penses que Mary accepterait ça ? Je ne suis pas dans la tête de Karen, mais elle se montre à la fois égoïste et stupide en agissant ainsi. Pense simplement à tout ce qui pourrait arriver s'ils se rapprochaient un peu trop ? »

Il avait quand même tuer la mère de ses filles, il ne l'avait pas bousculé dans la rue, ce n'était pas pareil. Elle serait belle la vie dans dix ans entre Karen et cette petite saloperie ! Comment tu as connu maman ? Ha bah papa à tuer mamie, c'est chouette comme histoire pour épanouir les enfants ! Il n'était pas question que ce petit con ne lui vole pas sa fille ! Il jouait les miséreux, mais en plus de la lui voler, il finira par la tuer en disant encore que c'était un accident, bien entendu ! Il y a eut des tas d'accident comme ça dans la vie de tous les jours, à la télé, dans les journaux. Une femme qui tombe sur un couteau ou une autre qui se jette sur un pistolet chargé dans la main du tueur, mais il ne voulait pas s'en servir, ça non. Pas question que Karen fréquent cette saleté sans nom ! Mais elle n'était pas encore là, il la protégera en temps voulu, de même que sa petite Mary. Ses filles ne devaient pas souffrir à cause de connard dans son genre. Il fera tout ce qui est possible pour protéger ses princesses.

« Je ne le laisserais pas faire de mal à ta sœur, je te le promets. Et je vous protégerais, toutes les trois... Personne ne viendra vous faire de mal, mes chéries. »

Son visage se rapprochait du sien, venant l'embrasser à nouveau en se collant plus à elle. Une bosse se faisait de plus en plus dur dans son pantalon venait elle aussi se heurter à sa fille, pendant que ses mains venaient caresser ses cuisses. Chaudes, douces, malgré le collant sur sa peau, ça ne changeait rien, il savait qu'en dessous, sa peau était d'une douceur sans nom. Son cœur battait fort, il sentait cette petite braise reprendre vie, s'éclairant de plus en plus. Sa fille, son rayon de soleil, elle devenait sa raison de vivre à nouveau. Sa beauté, sa gentillesse... Son corps, tout en elle le motivait à aller plus loin encore, toujours plus loin, même dans l'illégalité.

« Ne t'inquiète pas, ma chérie... Ce qui va se passer est tout à fait normal... »

Il se redressa un peu, venant abaisser sa braguette et en se dandinant un peu, il en fit sortir son sexe, déjà bien en érection. Il n'était pas encore au top de sa forme, mais ça faisait bien longtemps que son engin ne s'était pas dressée autant. Ses mains se rapprochaient et venaient doucement abaisser ce qui se trouvait sous sa jupe. Collant, culotte, il ne fit pas de chichi et abaissa cela, dévoilant une zone très privée, très intime et surtout très belle. Il en avait envie... là, de s'y introduire d'un coup sec pour retrouver cette sensation perdue. Elle devait être étroite en plus, encore très douce et très chaude... Mais non, c'était sa fille tout de même ! Il lui devait plus de douceur !

« Papa va juste te montrer combien il t'aime fort. »

Il se pencha à nouveau sur elle pour l'embrasser, sans chercher à la pénétrer pour le moment, elle devait s'habituer à sentir son sexe contre elle, devenir bien dur, ne pas en avoir peur et l'accepter. Il ne lui fera pas mal même si sa première fois risque de faire un peu mal, et de saigner, mais elle devait savoir cela, au pire, il le lui apprendra pour la rassurer.

« Mhh, tu es la petite fille à son papa, ma petite Elise... »

Caresse, baiser, pour le moment, le pire n'était pas encore arrivée pour Elizabeth, mais ça se rapprochait de plus en plus...

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 12 mercredi 30 janvier 2019, 22:14:18

Est-ce que sa tentative allait marcher ? C’était une bonne question. C’était quand même de la tentation… Et franchement, c’était pas subtil du tout. Mais quand je dis que c’est pas subtil, c’est genre pas du tout subtil. C’est aller au bazooka pour tirer sur le fameux éléphant du magasin de porcelaine. Non, elle n’avait pas été subtile, car elle n’avait pas eu le temps de réfléchir vraiment à cela. Cela lui était venu instinctivement, pour tenter de protéger sa sœur… Elle ne savait pas vraiment même ce qu’elle disait, et on pouvait même dire qu’il était peu probable qu’elle se rende compte enfaite des conséquences de ces actes… Ouais, c’était à ce point ! Bref, quoiqu’il en soit, elle eut la réponse à sa question… Et ce ne fut pas malheureusement la réponse qu’elle espéra, étant donné que celle-ci fut :

« Elise, je dois avoir cette conversation avec Karen... Sincèrement, tu aimerais te dire que celui qui a tuer ta mère devienne ton beau-frère ? Accident ou non, tu penses que Mary accepterait ça ? Je ne suis pas dans la tête de Karen, mais elle se montre à la fois égoïste et stupide en agissant ainsi. Pense simplement à tout ce qui pourrait arriver s'ils se rapprochaient un peu trop ? »

Là, elle n’arriva pas à argumenter en faveur de Karen. Non, elle n’accepterait jamais. Oui, c’était égoïste et stupide. L’idée même que le tueur de sa mère devienne son beau-frère… Cela la faisait vomir. Sérieusement, elle préférait même les actions présentes de son père… Quoique… Non, elle ne savait pas, et enfaite, elle avait tout sauf envie de dire son avis sur ce point. Mais bref, voilà… L’idée que le tueur de sa mère devienne son beau-frère… Enfaite, cela lui semblait risible, impossible, c’était pas possible… Sauf qu’elle connaissait sa sœur, et celle-ci n’était pas du genre à faire des blagues sur ce genre de choses… Si elle avait dit ça, c’est qu’elle le pensait vraiment… Et si elle le pensait vraiment… C’est qu’elle avait vraiment un soucis.

« Je ne le laisserais pas faire de mal à ta sœur, je te le promets. Et je vous protégerais, toutes les trois... Personne ne viendra vous faire de mal, mes chéries. »

« Papa... »


Il… Il voulait vraiment les protéger… Mais… Elle se fit embrasser, l’empêchant de dire quelques choses de plus précis que son simple « papa ». Elle sentait l’erection de son père, la mettant clairement mal à l’aise, et les mains de ce dernier qui continuait de parcourir son corps. C’était très gênant, mais elle devait avouer qu’il savait s’y faire l’enfoiré ! Elle était totalement captivée, et prisonnière des gestes de son père, qui étaient d’une efficacité absolument redoutable. Elle était prisonnière, et elle ne pouvait rien faire. Absolument rien faire, elle était condamnée à se faire avoir jusqu’au bout… Surtout que son père continuait, et ne semblait pas faiblir. La bosse dans son pantalon montrait qu’on contraire, il s’enflammait ! S’enflammait de plus en plus fort ! Et d’ailleurs, il déclara !

« Ne t'inquiète pas, ma chérie... Ce qui va se passer est tout à fait normal... Papa va juste te montrer combien il t'aime fort. »

« Non Papa… C’est pas bien... »

Non, elle savait bien que ce qu’il faisait, c’était tout sauf bien. Mais d’un autre côté, n’avait-il pas raison… ? Il faisait ça car il voulait vraiment montrer qu’il aimait ses filles non… NON BON SANG ! Il était entrain de sortir son phallus ! Elle laissa échapper un petit *gasp* de surprise en voyant l’engin. Encore une fois, bon sang, elle devinait sans trop de soucis pourquoi elle était née si peu de temps après Karen… Bon sang, il avait un chibre ! Bon, d’accord, elle n’en n’avait pas beaucoup vu dans sa vie, mais bon sang, il était… Gros… Mais bordel de merde, elle devait pas penser à ça ! Elle avait le sexe dure de son père contre elle, et elle savait qu’elle allait se faire violer… Elle allait se faire violer, et elle ne pouvait empêcher son père de le faire… Père qui d’ailleurs, déclara alors :

« Mhh, tu es la petite fille à son papa, ma petite Elise... »

« Papa, je t’aime beaucoup… »

Mys… Mystérieusement elle… Elle n’avait pas l’impression qu’il fallait paniquer. Que genre la situation pour elle, allait être très mauvaise. Elle ne comprenait pas son propre calme devant la situation… Elle devrait paniquer non ? Mais elle avait comme l’impression que quoiqu’il arrive, elle, elle n’aurait rien. Elle n’en souffrirait pas… Elle ne comprenait même pas pourquoi elle ne paniquait pas. Elle allait se faire violer, et voilà qu’elle réagissait comme si cela n’était pas… Pas grave ?! Elle devait avoir un soucis, non, ce n’était pas possible qu’elle soit ainsi. Elle devait absolument se reprendre, et vite… Car si elle ne se reprenait pas, elle allait sans doute faire des erreurs, les mêmes erreurs que son père. Hors, elle se devait de ramener son père à la raison… Donc, elle déclara :

« Mais c’est pas moral… Et si on le découvrait… Tu serais arrêté… On serait toutes seules... »

voilà, enfaite, ce qui lui faisait peur… à ce stade, c’était les autres, mais c’était pas son père. Elle ne comprenait même pas ce qu’elle pensait. Bref, quoiqu’il en soit, elle utilisait enfaite sa dernière carte, la carte maîtresse pour tenter de raisonner son père. Et ouais ! Si cela se découvrait, la loi Japonaise sur l’inceste était comme la Loi Anglaise. Enfin, pas tout à fait comme la Loi Anglaise, mais assez proche… C’était illégale, et elles seraient toutes les trois retirés à leur père, tandis que leur père serait sans doute arrêtée. Bref, voilà comment cela finirait… Et elle ne le voulait pas. Sans doute que leur père ne voulait pas… Personne ne le voulait… Le sexe pressant, elle devait absolument empêcher ainsi ce qui allait arriver, et elle déclara alors, faiblement, comme si elle même hésitait à le dire…

« C’est illégale, la police pourrait le savoir... »

Sauf que non ma chère Elizabeth ! Non, car la police ne vous connaît pas ! Aucune d’entre vous, vous êtes de parfaites inconnues aux yeux de la Police ! C’est triste, mais c’est vrai ! Et ce fut ainsi que tout le plan, toute la tentative de notre chère Elizabeth… Et bien, tout cela tomba alors à l’eau. C’était foutu ! Et ouais… Enfin, il fallait voir si son père allait y penser. Et ouais, peut-être n’allait-il pas le remarquer, n’allait-il rien faire, allait-il avoir peur de la police ? Tout cela était encore possible, mais il faut bien comprendre que c’était le dernier basculement possible. Tout était prêt pour que cela tombe d’un côté ou d’un autre. Elle stressait, comme toujours… Toute sa vie elle avait toujours stressée… Là, c’était le moment de vérité, soit elle était sauvée, soit elle était condamnée… Il n’y avait qu’une seule et unique possibilité à ce stade… Et on allait bien voir ce qui allait se passer.

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 13 dimanche 03 février 2019, 20:52:14

Il s'en rapprochait, une petite voix lui murmurait que s'il franchissait la grande étape, il sera heureux, il retrouvera un semblant de bonheur comme il n'en avait éprouvé depuis bien longtemps. Un bonheur qui va durer ou éphémère ? Il n'en savait rien, mais il devait essayer à tout prix. Elizabeth était allongée sur son bureau, prête à franchir cette grande étape. Elle était étendue, belle, ravissante, il avait l'impression que c'était hier encore qu'elle était petite avec ses couettes et qu'elle lui sautait dans les bras après le travail. Là, c'était une jolie jeune femme. Mais hélas, cette période belle et magnifique était bien loin, il y a cinq ans, même plus loin encore. Depuis cinq longues années, sa vie n'était qu'un ciel gris et nuageux, mais depuis une poignet de minutes, de fins rayons de lumière perçaient enfin ces épais nuages sombres. La délivrance était pour bientôt. Après tout, elle l'avait dit, elle l'aimait beaucoup. Ils étaient sur la même longueur d'onde. Bien qu'elle avait un peu peur, de cette morale qui leur dictait des choses que, certes, lui aussi avait trouvé normal bien longtemps, mais qui maintenant semblait si ridicule. Et puis elle n'avait pas a avoir peur de tout cela.

« Ne t'en fais pas. Ce sera notre petit secret. Il suffit que tous les deux, nous n'en parlions pas. De plus, je ne laisserais personne intervenir, vous resterez avec moi, et tout ira bien. »

Gouvernement, police ou bien d'autres, personnes ne lui retira ses filles. Elles sont à lui ! Il ignorait pour le coup si Karen et Mary feront partie de cette relation incestueuse, honnêtement, il n'avait de vue que sa petite Elizabeth, mais le goût de ce fruit défendue risquait de le rendre curieux à bien des égards. Mais un plat à la fois. Souriant pour tenter de rassurer sa fille, il venait lui retirer doucement tout ce qui pouvait gêner la suite, tout se trouvant sous la ceinture. Sauf sa jupe, il suffisait de la relever, ce n'était pas si gênant. Mais ses chaussures, collants, culotte, tout ça finissait au sol, leurs sexes se frottant mutuellement.

« N'ai pas peur, Elise... Papa ne te fera jamais de mal. »

Il se retira, laissant sa fille un peu respirer pour venir voir son entrejambe de plus près. C'était mignon. Elle était douce, épilée, bien lisse, et ses petites lèvres, elles étaient adorables. Il aurait pu hésité en voyant cela, de plus en plus il se rapprochait de ce fruit interdit, mais la curiosité était un défaut très vilain, le poussant bien loin dans tout cela...

« Regarde, Papa va te le prouver de ce pas. »

Sa bouche se rapprocha de son entrejambe, il y déposait de petits bisous dessus, voulant la rassurer. Cette douce peau ne faisait que faire brûler son entrejambe qui lui hurlait d'aller plus loin, de se libérer de ce poids bien trop lourd accumulé avec toutes ses années d'abstinence ! Mais il restait encore assez lucide pour y voir sa fille, et non devenir une bête assoiffée de sexe. Ça aurait pu rendre la chose plus effrayant mine de rien. Plus ses lèvres embrassaient cette petite zone, et plus il avançait plus loin. Le dernier baiser, ses lèvres restaient collés pendant que sa langue venait doucement glisser le long, découvrant un goût particulier. Particulier, car il était délicieux. Un vrai nectar de bonheur. L'euphorie de la chose le poussait même à aller un peu plus vite, venant faire glisser sa langue dedans.

William caressait les cuisses de sa fille pendant qu'il lui léchait son adorable petit minou, si doux et si délicieux. Sa fille lui réservait donc tant de belles surprises. Ce n'était guère étonnant venant de sa petite Elizabeth. Mais trop, c'est trop. Délaissant son entrejambe, il retourna la voir, se plaquant contre elle, son visage très près du sien. Sa queue souffrait le martyr et malgré son envie, il restait assez lucide pour lui demander son avis, bien que la réponse pourrait lui importer peu au final... il était le père, IL décidait, point final.

« Oh, ma petite Elise... Papa a très envie de toi, tu sais... Tu me laisserais faire de toi une femme ? Papa sera très doux et il te montrera tout son amour ! Si tu veux... On peut changer d'endroit... Allez dans ton lit, ou le mien ? »

C'était sûrement sa première fois, il l'espérait du moins, autant rendre les choses un peu moins glauque que sur son bureau ? Et puis rien à craindre, en déménagent, il s'était débarrassé de son ancien lit et matelas. Trop de souvenirs au moment de dormir, il pensait qu'il aurait dû faire ça avant, ça aurait pu l'aider, qui sait ? Quoi qu'il en soit, sa queue était bien dressée contre sa fille, prête à franchir le cap ! Concernant les papiers, pas de panique, personne n'y touchera, promis juré.

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 14 mercredi 06 février 2019, 14:10:29

Malheureusement, sa dernière défense ne fut pas plus utile… En effet, l’idée que la Police arrête leur père, cela ne semblait pas faire peur plus que ça au fameux William. Cela pouvait sembler étonnant, mais il fallait bien imaginer que tandis que sa fille était dans une position de stresse absolument intense, et bien, lui semblait dans une béatitude, un bonheur absolument totale… Et on imaginait bien pourquoi ! Même Elizabeth devinait aisément pourquoi, étant donné qu’elle devinait que pour lui, cela devait être une libération, une façon de retrouver goût à la vie… Mais quand même, elle était heureuse de voir ça, mais c’était elle ! C’était sa fille ! C’était… C’était… Enfin, voilà quoi ! Elle ne savait pas quoi dire ni quoi penser de ce qui se passait… Tout arrivait beaucoup trop vite, et son cerveau n’avait pas le temps de réfléchir à tout cela, il faut bien l’avouer… Bref, ainsi…

« Ne t'en fais pas. Ce sera notre petit secret. Il suffit que tous les deux, nous n'en parlions pas. De plus, je ne laisserais personne intervenir, vous resterez avec moi, et tout ira bien. »

« B… Bien... »


Papa allaient les protéger… Mais quand même… C’était… Une protection à quel prix ? Et bien, vous allez voir, il y a des forfaits très intéressant qui… MAIS NON PAS CA COUILLONNE ! Meuh ! Alors, euh, oui, un peu de sérieux. Le prix ? Et bien, il y en avait un… C’était… Ses protections ! Très vite, l’adolescente vit qu’on lui retira tout son bas, sauf sa jupe et son haut, qui étaient encore là, bien qu’un peu sans dessus-dessous depuis le passage des mains, il faut bien l’avouer… Mais bref, voilà qu’elle se retrouvait sans culotte, collant, chaussure… Elle avait perdu ces vêtements, et donc, son sexe était maintenant à l’air libre, seulement protégé -peut-on appeler vraiment ça « protéger » ?- par sa jupe, qui franchement, pouvait aisément être retirée… Bref, elle stressait, et la suite des déclarations ne la rassura pas :

« N'ai pas peur, Elise... Papa ne te fera jamais de mal.  Regarde, Papa va te le prouver de ce pas. »

« Papa… mmmh... »


Elle n’eut le temps de finir. Pourtant cela avait bien commencé ! En effet, son père s’était légèrement éloigné… Mais si son sexe s’était éloigné, ce qui était rassurant en soi, et bien, une arme bien plus redoutable s’approchait… la langue ! Et ouais, il allait jouer de la langue, et franchement, il semblait absolument redoutable en la question. Progressivement, il commença à goûter au fruit défendu qu’avait défendu pendant temps de temps sa fille. Littéralement pour que son père puisse le cueillir quoi ! C’était pas beau comme situation ? Si, si, c’était très beau ! Bref, en tout cas, elle gémissait, montrant bien qu’elle aimait ça… Et elle aimait beaucoup trop ça ! Son père était douée, ou bien, est-ce qu’elle voulait pas un petit peu cela ? La réponse lui faisait peur, mais elle savait que tôt ou tard, elle allait finir par sortir… Et peut-être pas si tard que cela, étant donné qu’il déclara, alors…

« Oh, ma petite Elise... Papa a très envie de toi, tu sais... Tu me laisserais faire de toi une femme ? Papa sera très doux et il te montrera tout son amour ! Si tu veux... On peut changer d'endroit... Allez dans ton lit, ou le mien ? »

« … Ton lit papa... »


Bon dieu ! Ca y est ! Comme vous pouvez voir, elle avait cédé, mais il y avait plusieurs choses à discuter à propos de cela… MAIS BON SANG DE BONSOIR ON VEUT LA BAISE NOUS ! Euh… Euh oui, mais euh, attendez un peu quand même. Bref, alors, il y avait donc, je l’ai abordé un peu précédemment, le fait qu’au fond, peut-être avait-elle un peu envie… Mais enfaite, grandement, la raison c’était qu’elle se disait que si elle faisait ça, peut-être que son père irait mieux ? C’est vrai, quoi, il semblait vraiment aller mieux.

« Je… Je fais ça une fois, et après, promis, on en parle plus ok … ? »

Elle se fit porter, tandis qu’elle disait ça. Un peu comme une épouse qui était amené par son mari jusqu’au lit conjugal. Et ouais, c’était extrêmement glauque aux yeux de beaucoup, mais aux yeux des principaux concernés, ce n’était pas du tout le cas. Par contre, on sentait que bien qu’elle rendait les armes et qu’elle acceptait de faire ce qui devait être fait… Mais qu’une seul et unique fois ! Et ouais, c’était clair ! Une seule et unique fois… ahah, vous pensez vraiment que cela allait arriver comme ça ? Vous êtes bien naïf… Et elle est bien naïf. Faut vraiment qu’elle se mette dans la tête qu’elle s’offrait là à son père, et que cela n’allait pas bien fini pour elle… Ou bien finir ? Impossible de savoir… Mais vous aviez raison tout à l’heure, arrêtons d’être dans le mental et concentrons-nous de nouveau sur du concret… Vous le voulez bien ?

« Mon dieu pardonne moi… Soit pas violent Papa… Soit doux, comme tu l’étais avec Maman… o… Ok… ? »

Elle n’était pas spécialement croyante, mais elle sorti ça presque naturellement. Quoiqu’il en soit, elle était sur le lit, avec un côté un peu ridicule, avec son haut encore là, bien que froissé, et sa jupe… Il y avait un côté jeune pucelle qui allait perdre sa virginité, sans être trop préparée à cela… Attendez, mais c’est exactement ça enfaite ! Bref, quoiqu’il en soit, elle s’offrait à son père, bien dans son lit, un peu tremblottante, et se cachant les yeux… Mais dans ses mouvements, ses gestes, il n’y avait pas du dégoûts ou du refus… Même pas tant de peur que ça… Enfaite, c’était surtout, et ça rendait ça absolument adorable… De la timidité ! Elle était littéralement comme une jeune fille qui allait perdre sa virginité avec son amant… Comment William ne pouvait pas craquer devant cette scène ?


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