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J'ai fait le choix de vivre! [Fiche refusée]

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Nykaïm

J'ai fait le choix de vivre! [Fiche refusée]

vendredi 23 novembre 2018, 22:37:43

"Je reconnais avoir pris connaissance du contenu du topic sur le traitement automatisé des données personnelles qui est fait par l'hébergeur de LGJ"
ÂGE : 20 ans, mais son physique blanc pure peu lui donner un aspect légèrement juvenile.
SEXE : Mâle, bien qu’avec une robe, on peut facilement le prendre pour une femme.
ORIENTATION SEXUELLE: Inconnus, sexualité jamais explorer (Pansexuelle)
RACE : Hybride
SIGNES DISTINCTIFS
-Plumage dans les cheveux, sur les oreilles, les poignets, chevilles.
-Mèche légèrement bleuté à l’avant des cheveux.
-Queue de plume et de crain de cheval
-Yeux bleu pâle, presque blanc.
-Griffes, crocs.
-Tatouage d’esclave sur le bras gauche, cacher par menottes de fer et ses chaines.


SANTÉ GÉNÉRALE
La santé de Nykaïm est impeccable. Peut-être à cause des circonstances qui entoure sa naissance, il n’a jamais été malade ou montré des signes de faiblesse physique.


PHYSIQUE
Magnifique, juvénile, blanc, pure, plume. Ce sont des mots qui vienne naturellement à la bouche de qui conque regarde Nykaïm. Son corps semble si pur et parfait qu’il en devient dérouté.

Tout d’abord, sa chevelure qui lui tombe aux épaules est d’un blond pratiquement blanc et parsemer de plumes d’un ton plus blanc. De loin on voit difficilement la différence entre ses mèches de cheveux et ses plumes, mais de prêt, la nuance est visible. La texture est surtout inoubliable. Passer ses doigts dans les cheveux de Nyk’ c’est comme passer ses doigts dans un duvet des plus doux. A l’avant de sa chevelure, tout comme le pelage du front du Raoni, il y a une mèche bleu clair. Elle est subtile et sa marie parfaitement avec la couleur de ses yeux.

Pour ses yeux, ils sont d’un bleu si clair, si pâle, qu’on le croirait presque aveugle. Même sa pupille n’est pas noire, elle est d’un bleu à peine plus foncé que son iris. C’est d’ailleurs un détaille qui perturbe souvent ceux qui croisent son regard.

Son visage a des traits particulièrement délicats. On peut d’ailleurs facilement le coiffer et le vêtir pour le faire passer pour une femme. Il est toutefois déconseillé de faire se teste sous risque d’y perdre une main, ou plus. Mais en gros, son visage est doux, pure, féminin et juvénile. Ce look est principalement provoqué par la pâleur de sa peau, de ses cheveux et de ses yeux.

Malgré une musculature bien présente, surtout dans ses jambe, Nykaïm a une taille fine et creuser. Il n’a jamais été anorexique, mais tout comme le Raoni a une taille très creuse et prononcer, Nyk’ semble avoir aussi hérité de se coter physionomique de l’animal. D’ailleurs, le jeune hybride n’est pas très grand, malgré le 2 mètre adulte du Raoni, Nykaïm fait 1m63 tout au plus.

Tout comme l’animal dont il est issu, Nyk’ a quelque partie de son corps recouvert d’un fin plumage. Sur ses poignets et ses chevilles il y a quelques longues et belles plumes blanches particulièrement douces. L’endroit où l’on retrouve la majorité de son plumage, c’est sur le bas de son dos. Une longue queue comme celle d’un cheval avec un crain légèrement raide mais dont la base est entièrement couverte d’un plumage long et soyeux. Cette queue est bien particulière et typique du Raoni. Il y a aussi un fin duvet sur ses oreilles, mais rien de très apparent. Outre les plumes, Nykaïm a aussi les mains et les pieds orner de griffes assez large et longue, ainsi que la bouche dangereusement armée de crocs.

Outre les atouts visibles sur son corps, il a aussi hérité de petit « plus » du Raoni. Il a bien sur une vitesse impressionnante qui lui vient de la musculature à ses cuisses. De plus, son audition et sa vue son supérieur à l’humain normal. Ce n’est pas un magicien, il n’entend pas un oiseau à 600 mètres et ne voit pas à travers les murs, mais tout de même. Si la Raoni est le maitre de la chasse chez les animaux, Nykaïm sera son équivalent chez les hybrides.


CARACTÈRE
Nykaïm est un être former par une dualité importante. Son côté Raoni, cette créature rare et magnifique qu’on qualifie de particulièrement dangereuse. Et son côté humain, avec un cœur pur qui n’a connus que bonté et amour durant les 17 première année de sa vie, mais qui n’es pas dupe pour autant.

Agressivité : 5
Puissance : 4
Rapidité : 5

La puissance et l’agressivité du Raoni se retrouve facilement dans la psyché de Nyk’. Jamais il ne se laissera mettre en cage et manipuler, son cœur est celui d’une bête libre. Bien que naturellement très calme, le Raoni en lui devient agressif et peut blesser, voir tuer, si on le provoque ou le coinse dans une impasse.

Sa liberté lui est précieuse. Tout comme on ne coupe pas les ailes d’un oiseau, on ne doit pas couper la liberté d’un Raoni.

Naturellement Nykaïm dégage aussi la prestance naturelle du Raoni. Quand on le voit, on ressent tout de suite quelque chose, sans trop savoir quoi. Il a se petit « plus » qui donne un léger frisson le long de la colonne vertébrale. Sa vient probablement de son silence et de l’aura de mystère qui l’entoure. Ou peut-être de sa voix qui est toujours faible et d’un ton presque neutre, ce qui ne facilite pas la tâche a qui veux savoir ce qu’il pense et le comprendre.

Et puis son côté humain? Et bien, il est tout aussi complexe que le reste.

Nykaïm a été élever dans une tribu de nomade très croyante. Il a fois en Kierain et Deana. Selon lui, toutes les créations de Kierain doivent être respecter et protéger. Le hasard n’existe pas, il est simplement le résultat des choix de Deana. Son corps est un cadeau de Kierain, il a fait de lui ce qu’il est. Attention, il n’est pas prudent de remettre Kierain ou Deana en doute devant Nyk’. Il croit fermement en leur existence et leur a vouer une partie de sa vie. Se côté de lui rentre un peu en contradiction avec sa partie Raoni. Le Raoni en lui tuera, mais l’humain en lui refuse d’enlever la vie à une créature de Kierain.

Autrefois, Nykaïm avait fois en l’humain. Il était le seul hybride de sa tribu et a donc toujours vécus avec les hommes. Vivant avec un peuple qui crois en la force du groupe, le partage, l’entraine et la confiance, il n’a jamais connu la traitrise, la manipulation, la perfidie et l’égoïsme. C’est à ses 17 ans qu’il a connus pour la première fois la fourberie des humains. Sa confiance en a pris un coup. Il a aussi connu la malveillance, les gens aux intentions douteuses. À quoi bon leur parler? Leur accorder son attention? Il n’était pas digne de sa confiance.

Ça vie lui aura appris à n’accorder sa confiance à personne. Les gens des villes sont trop hypocrites pour être des personnes de confiance. Ils ne vivent que d’artifice et de consommation. Ils créent des hybrides, dénature les créations de Kierain, outrage. Trahir Kierain pour créer des esclaves pour faire les choses à leur place. En plus d’être fourbe ils sont faibles.

Depuis sa capture, Nykaïm se refuse à parler avec ses geôliers. En fait, il se refusa à parler tout court. Personne n’a entendus sa voix depuis 2 ans. C’est une façon pour lui d’exercer sa libérer et de refuser d’obéir. Si vous lui donnez un ordre, il ne vous répondra pas et n’agira pas. A moins que… ?!
    
                              

Nykaïm semble être un être froid, sans émotions et hautin, mais il en est loin. C’est simplement la carapace dure qu’il s’est forgé pour se protéger lui-même.

Au fond de lui, Nyk’ est un être doux et aimable. Il donnerait sa vie pour sauver celle des autres. Il a un grand sens de l’honneur et du groupe. Il a vécu dans une communauté nomade et ses coutumes dorme au fond de lui. Il attend peut-être le bon moment pour que le vrai lui sorte à nouveau.

Sa confiance n’est pas morte, mais elle est bien enfouie en lui. De la patience et du tact saurons peut-être les clés pour détruire se mur qu’il a bâtie autour de lui.

Histoire: Sur les derniers rivages prêts des îles inconnus, là où le territoire semble inhabité, se trouve une petite tribu nomade. Quelque vingtaine d’individus au maximum, regrouper en petite famille souder.

Depuis le retour aux origines du monde, certain choisissent la vie comme autrefois. Se déplacer au grée des saisons, chasser, cueillir, se nourrir comme il le peuvent. Aucune hybride, qu’un groupe d’humain qui survie avec les vieilles méthodes. Le retour a la nature. Les plus fort survivent, les plus faible meure.

D’une génération a l’autre, le groupe développe des forces incroyables, des individus qui, comme autre fois, sont totalement adapter à leur mode de vie. L’être humain à son meilleur. Bien sûr, le retour aux bases n’est pas total. Quelques notions de savoir de l’ancienne société sont rester. Lire, écrire, compté, créée. Sans utiliser les inventions ressentent, les savoir reste présent et utiliser à bon escient. Les bâtiments de la tribu, bien que temporaire, reste toujours plus solide que ce qui se faisait dans la vieille époque, avant la grande guerre.

Ça prend un village entier pour éduquer tout un enfant. C’est le principe appliquer dans le groupe. Chaque enfant est bien entouré, élever, aider. En fait toute la tribu se soutient. Les âgés on le savoir et enseigne au plus jeune, les hommes chasses, les femmes s’occupe des plantations provisoires et d’aller cueillir les plantes et fruits avoisinant. Les enfants, eux, jouait, ils apprenaient à la dure, tombait, marchait, courait. C’était un lieu vivant ou le savoir circulait librement.

a médecine est cependant plutôt rudimentaire. Bien que dans les grandes villes des connaissances d’avant sont rester afin d’assurer une bonne santé a tous les humains et de permettre la création des hybrides, la tribu a préféré retourner aux sources à ce niveau-là aussi. On croit que prier et utiliser des éléments naturels pour purifier le corps reste la meilleure médecine qui soit. Aucun produit non naturel ne rentre dans le corps d’un membre de la tribu, jamais. Se serais un outrage à leur corps offert par Kierain. Si quelqu’un meure, c’est que Kierain a choisi que son temps parmi les siens était terminer et on devait l’accepter.

Si la mort est bien acceptée et que ses rituels sont colorés et célébrer, la naissance a un caractère d’autant plus sacré. La vie est le plus beau cadeau offert par Kierain. La vie d’un enfant sera toujours prioritaire à celui de la mère. Les enfants sont d’ailleurs les petits trésors de la tribu, car ils sont l’avenir.

Bien que la tribu vie sans histoire depuis sa création, Kierain à choisit, il y a 20 ans, qu’il en soit autrement pour l’un d’eux. La tranquillité que les dieux leur avaient offerte prit une tournure différente.

Maïka, une des mères bien porteuse de la tribu était de nouveau enceinte. Elle était bénie des deux, c’était sa quatrième grossesse et à son âge et vue sa bonne santé, ce ne serais pas la dernière. Du moins, ça n’aurait pas dû l’être.

Le dernier trimètre était entamé, un peu moins de trois mois avant la date prévus de l’accouchement. La mère c’était jusque-là porter à merveille, mais depuis quelques jours, des fortes nausées l’avais pris au réveille, un peu trop tard dans la grossesse pour que se sois normal. Puis des saignement vaginal, atypique a une fin de grossesses qui se portait si bien. Plus l’accouchement approchait, plus les symptômes devenait grave. Du sang dans les urines, une toux importante, perte de cheveux. Le corps de la mère semblait lâcher peu à peu, si près du but.

Le cas était grave, la vie de l’enfant était en jeu. Les anciens devaient trouver un moyen de maintenant Maïka en vie jusqu’à l’accouchement. Une fois la vie du bébé hors de danger, ils pourraient la soigner convenablement, mais avant, l’enfant devais naitre.

On tenta tous les remèdes connus. Herbe médicale broyer, thé de guérison, entrailles de poissons bouillit, séance avec les chamanes pour attirer les bonnes grâces des dieux, rien ne fonctionnait. La mère continuait à se vider de son sang et à souffrir. Les anciens cherchaient la solution. Kierain ne pouvais pas permettre qu’une femme sois enceinte et la faire mourir elle et son bébé, même Deana ne pouvais pas se montrer si cruelle avec eux.

Les anciens du village en vinrent à penser à quelque chose que personne n’avait jamais oser imaginer. A l’ouest se trouve l’île Souvenirs. Une île ou vie une créature dont le sang pourrais tuer mais, selon une légende locale, pourrais aussi guerrier. Se sang aurais des particularités tellement uniques, que personne ne les comprend vraiment. On dit que quelqu’un un plaine santé qui consomme se sang pourrais en mourir instantanément, mais qu’il en est tout autre pour un malade. Un sang qui tue les vivants et qui redonne la vie au mourant.

La tribu entière se mit en mouvement. Le voyage allait être long et il fallait faire au plus vite pour arriver avant l’accouchement. De plus, il fallait continuer de maintenir la mère en vie durant le voyage. Il lui restait deux mois avant la date butoir et le voyage durerais presque un mois complet, c’était donc plutôt serrer.

Heureusement qu’ils étaient tous fait pour les longs déplacements. La vie de nomade avait plus d’un avantage. Le voyagement fut rapide et efficace, en moins d’un mois, ils furent sur la rive opposer à l’île Souvenirs, cette île où se trouvait le remède. Le Raoni.

Une fois le campement monter sur la rive opposer à l’île, le travail commença. Les femmes entouraient Maïka pour s’assurer qu’elle tienne le coup jusqu’au retour des hommes. Un groupe constituer de leur meilleur guerrier était partie avec une petite embarcation vers le domaine du Raoni, la guerre de force était lancée.

Sur son territoire, il était maitre. Discret, cacher, puissant, imprévisible. Cette créature était bête de légende, presque jamais vue par les hommes et sa capture était un mythe. Plusieurs disaient que pour mettre la main sur cette bête, il fallait y laisser la vie de cent hommes.

Ce qui c’est passer sur cette île durant trois jours reste un pur mystère. A se jours, personne ne le sait et aucun n’écris n’a été fait pour relater les faits. Parmi les 9 hommes partie, seul deux sa revenue avec le corps d’un jeune Roani. Les deux survivent en toujours refuser de parler de ce qui c’était passée, leur histoire sombrerais avec eux quelque année plus tard. Personne ne devait savoir.

La créature qu’il avait ramenée était un juvénile. Deana et Kierain les maudirais pour ce qui serais fait à cet animal. Le Raoni était loin du 2m connus des adultes, il devait faire 50 centimètres ou un mètre, tout au plus et c’était une petite femelle. Malgré tout, sa taille devrait suffire à fournir le sang nécessaire au remède.

Aussitôt que le corps de l’animal fut déposé sur les rives, les chamanes se ruèrent sur lui. On le suspendit par les pattes arrière, toujours vivant. Son museau était attaché et ses pattes nouer pour éviter qu’il griffe ou morde. La bête était si agressive que quelque ancien fut blessé dans l’opération, heureusement, c’était des blessures mineures. Dans un rituel qui appeler la bonté et le pardon des dieux, on égorge l’animal. On le saigna en lui ouvrant la gorge, un sceau sous lui, pour en récolter la moindre goutte de sang. Après la saigner, l’animal mort fut lavé. On prit grand soin de son corps dont on retira les plumes, une à une. La cérémonie dura plusieurs heures, c’était interminable, mais nécessaire. Ensuite on mit sur son corps sur une embarcation qu’on poussa vers l’île Souvenir avant d’y mettre le feu. Le Raoni avait donner sa vie pour sauver l’enfant à venir, en brulent son corps, on préservait ses secrets et on lui permettait d’aller retrouver son créateur. L’eau porterais son esprit jusqu’à Kierain.

Le sang fut bénit aussi durant la cérémonie avant d’être amené à la mère malade. On la coucha dans un lit fait des plumes de l’animal avant de lui faire boire l’entièreté du liquide rouge. Quelque goute tombèrent sur son sein alors que le reste entrait dans son corps. Son œsophage lui brulait à chaque gorger. Le sang coulait en elle, traversait les parfois de son estomac, passer dans son corps. La majeure partie traversa le cordon ombilical pour aller nourrie l’enfant à naitre.

A la dernière gorger la mère hurla. Son crie traversa les cieux et détruit l’âme de tous ceux qui l’entendaient. Elle hurlait d’une souffrance qu’on n’avait jamais entendus. Son crie était celui de la bête morte, était celui de la mère qui souffre, était celui de l’enfant qui change.

Les jours suivant furent lourds. La tribu complète était muée dans un silence de tombe. La mère était vivante, tous ses symptômes c’étaient arrêter en moins de quarante-huit heure. Le sang lui avais permis de vivres, les dieux avant entendus leur prière. Mais tout le monde savait que ce miracle aurait un prit. Ils avaient pris la vie d’une créature de Kierain pour en sauver une autre.

L’accouchement arriva avant terme. Une semaine avant la date prévus, Maïka ressentie de forte contraction aussi forte. Aucun de ses autres accouchements précèdent n’avais été si dure, mais depuis le rituel, elle avait retrouvé toutes ses forces, elle pouvait mètre ce bébé au monde.

Toutes les femmes de la tribu étaient près d’elle, lui tenais la main, lui amenais des couvertures chaudes, l’encourageait. On chantait des prières, on implorait Deana de nous porter chance et d’avoir un bébé fort et en santé, on louait Kierain pour cet accouchement divin.

Difficile de dire si le village fut maudit pour le meurtre d’une créature de Kierain, ou honorer de toute la chance de Deana. L’enfant qui vint au monde était… différent.

Ont eu d’abord peur. Ont crue avoir été punis, puis on en revint à la raison. Kierain avait fait cet enfant ainsi et on devait l’honorer, comme toute créature qu’il créait. L’enfant était un mâle, née des entraine de Maïka. Il était différent. Sa peau était si blanche qu’on le crue d’abord mort. Aucun son ne sortait de ses fines lèvres closes. Un fin duvet de cheveux et de plumes lui recouvrait la tête. À la base de son dos, on retrouvait de même duvet, mais les cheveux étaient remplacés par le début d’une fourrure rugueuse. Ses poignet et cheville était couvertures aussi de ses petites plumes naissantes. Ses mains et ses pieds était armée de griffes minuscule et toute molle, mais bien présente.

À sa sortie, on du secouer le jeune garçon, de peur qu’il soit mort née. La vieille de la tribu le prit aussitôt pour l’amener au bord de l’eau et l’y plongea. Elle pria Kierain de donner vie a sa création, de laisser cette enfant vivre sans le faire payer pour leur pêcher. En le sortant de l’eau glacé, l’enfant était presque bleu. Il émit alors son premier son. Non pas le pleure puissant que tous les nourrissons pourraient, mais un simple petit hoquètement. Il se mit ensuite à bouger, agitent les mains, remuent les lèvres, cherchant sa mère. Il fut alors remis au bras de sa mère soulager qui lui donne le sein. Même si normalement les enfants naissant sans dents, lui avais de petits crocs pointe qu’il planta dans la chaire de sa mère avant de s’abreuver de son lait.

Il fut nommé Nykaïm, l’enfant divin. Il était véritablement comme un animal. Ses yeux restèrent fermer durant les deux premières semaines de sa vie. Quand il les ouvrit enfin, se fut un nouvel étonnement. Nyk’ avais les yeux si pâles, qu’on le crue d’abord aveugle. Pourquoi Kierain maudissait ainsi cette enfant pure? C’était une tragédie pour tous.

Durant de longue semaine, on le traita au petit soin, comme un enfant handicaper. Tout le monde se disait qu’avec toute ses malformations et sa non-voyance, il allait mourir de faiblesse bien jeune. Ce fut tout l’inverse. On comprit vite qu’il avait une vue excellente. Il marcha plus vite que la normal et se montra un bébé calme et brillant. Ce qu’on avait pris pour une malédiction était une bénédiction.

Cet enfant grandit et fut élever comme une divinité dans la tribu. Le sang qui coulait dans ses veines était celui de sa mère humaine et de sa mère Raoni. L’agressivité de la bête se lisait dans les yeux du gamin grandissant quand on lui apprit à chasser. À 10 ans il accompagnait les chasseurs de la tribu pour de petite partie. Bien que maladroit dans son corps d’enfant, il arrivait à tenir un arc et à tirer avec précision. Ses yeux percent scrutait la forêt et semblait y voir se que les autres chasseurs ne pouvaient percevoir. Ses oreilles, qui c’était recouverte de petite plumes en grandissent, captait des sons tellement fins que l’ouïe humaine ne pouvais les entendre.

Même si dans les grande ville les hybrides étaient traiter en esclave, ici c’était tout l’inverse. Nykaïm était un des leurs. Il grandissait avec les autres enfants et bénéficiait de la même éducation. On lui transmit tout le savoir des anciens. Il apprit à lire, écrire, créée des médicaments à base de plante naturelle. Il apprit à faire la différence entre les plantes comestible et celle poisons. Bien sûr il apprit à manier les armes, même si parfois son reflexes était de se battre à main nue.

Son esprit grandissait d’année en année. Il parlait peu, mais son regard analysait tout. Il dégageait une assurance et un prestige qui nous laisser croire qu’il n’avait pas besoin de parler pour apprendre et pour communiquer. Son corps grandissait aussi. Ses cheveux étaient parsemés d’un magnifique plumage. Ses poignet et cheville avait hériter des mêmes plumes blanches qu’on retrouvait sur les pattes des Raoni. Derrière lui, une magnifique longue queue qui mélangeait des plumes et un long crain blanc comme celui d’un cheval. Ses cheveux d’un blond presque blanc avaient hérité d’une magnifique mèche bleu clair à l’avant, comme le pelage du Raoni. Son héritage de l’animal ne faisait aucun doute.

Kierain lui avait offert une vie unique, il devait le rendre à Kierain. A 15 ans Nykaïm était un jeune homme accompli. Il aidait aux tâches dans la tribu et restait toujours prêt de sa mère a qui il devais la vie. Jamais il ne se faisait prier pour aider, pour faire sa part ou pour apprendre des autres. Malgré sa différence physique, il faisait partie de la tribu et agissait comme tel, personne ne le jugeait, ne le mettait de coter ou l’ignorait. Au contraire, sa présence faisait sourire tout le monde. Les plus vieux se plaisant à lui apprendre, les plus jeune lui tirait la queue ou voulais se battre avec lui. Avec les petit il était patient, avec les plus vieux il était curieux et dans les apprentissages, il était déterminé.

On prépara Nykaïm depuis son jeune âge à aller servir Kierain. C’était une évidence pour tous que quand il aurait l’âge, on l’enverrait pour rejoindre les autres novices de la tribu au service de Kierain et de Deana. Le jeune homme ne s’était jamais opposé à cette idée, c’était pour lui aussi une évidence qu’il devais servir les dieux.

Depuis sa naissance, le groupe était rester nomade, mais ne s’était jamais trop éloigner de l’île Souvenirs. Cette île portait bien son nom car, elle renfermait des souvenirs importants pour cette tribu. Bien que depuis la mort des chasseurs, il était interdit pour qui conque de la tribu de se rentre sur l’île. Nyk’ prenais parfois la fuite de leur campement pour aller sur le lieu de sa naissance, sur la berge opposer à Souvenirs. Son regard pâle se perdait sur la contemplation lointaine de cette île ou les créatures dont il était issu vivait en toute liberté. Il était comme eux, libre comme l’aire, vivant parmi les siens. Il se sentait totalement à ça place dans sa tribu et, bien qu’il ait accepter de se rendre au temple de Kiana à ses 16 ans, l’idée de s’éloigner des siens et de cette île lui brisait le cœur.

Les aurevoirs n’était pas chose triste pour eux. Parmi les siens, Nykaïm avait appris qu’on devait fêter les départs. On devait célébrer les nouvelles aventures de l’un des autres. S’il devait partir c’était le choix de Deana, elle pouvait faire que son voyage soit bon, ou mauvais. Une célébration apportait la chance sur le voyageur et son futur.

Le départ de Nykaïm fut célébré en grand. On avait chassé pendent des jours et les femmes était aller marcher en forêt pour créer un immense festin. Feu de joie et musique du coucher au lever du soleil. Nyk’ ne devais pas dormir avant son départ, c’était la coutume. Il devait passer sa dernière nuit avec les siens, créent ainsi le meilleur souvenir d’eux possible avant de s’éloigner. Malgré les danses, la nourriture exquise et la musique envoutante, chaque regarde qu’il portait sur ses mères, Maïka et Souvenirs, son cœur se tordait. Il ne devait pas céder à cette douleur, a cette faiblesse et il le savait. Chaque larme était ravalée et ses yeux bleus restaient aussi sec que le désert.

Aussitôt le soleil lever, il glissa un sac sur son dos avec le strict nécessaire pour faire le voyage jusqu’au temple de Kiana et partie. Il ne se tourna pas, n’embrassa pas sa mère, ne dit aurevoir n’a personne. Le feu était éteint, le soleil lever, il devait simplement partir.

Plusieurs jours de marche avant d’arriver à destination. Pour Nyk’ marcher n’était pas un problème. Le plumage qui recouvrait son corps permettait de capter chaque courant d’air et le tenir bien au frais le jour. La nuit, des couvertures tisses par les soins de sa mère le tenait au chaud et il repliait le crain de sa queue contre lui. Le voyage fut bon pour son esprit. Même s’il marchait seul, il sentait les siens à ses côtés.

Son arriver au temple fut néanmoins étrangement reçus. Bien que sa tribu lui ait transmis beaucoup de savoir, personne ne savait qu’à l’extérieur, les hybride n’était pas les égaux des humains. A son arriver, on le prit pour une offrande envoyer par on ne sait trop qui. Personne ne leva la main sur lui, personne ne le traita en esclave, mais il ne put aller rejoindre ceux de sa tribu chez les novices. On l’amena plutôt devant les quatre grand prêtres et prêtresses, seul eux serait en mesures de dire ce que Kierain et Deana voudrais qu’on face de cet hybride inconnu.

Devant eux, Nykaïm se présenta avec le plus grand des respects. Il leur dit d’où il venait, quel était son histoire et pourquoi on l’envoyait vers eux. Un étrange silence suivit son récit. Un hybride né en pleine nature? Un croisement naturel entre le sang humain et le sang d’une bête? Kierain avait-il vraiment permis une telle chose de se produire?

Un tel récit ne pouvait pas être inventé de toute pièce, personne ne pouvait se présenter a eu et mentir impunément dans la maison des dieux. Se gamin disait vrai, et ils le savaient. La loi ne permettait pas que ce jeune devienne un novice en règles, mais il fut accueilli dans le temple comme il se doit. On lui donna une chambre et des tâches, mais on le cacha. Il devait en tout temps porter une tunique et cacher sa tête lorsque des croyant venais dans le temple. Sous aucun prétexte il devait se montrer au grand jour. La famille du temple le protègerait, mais l’extérieur était rude, et il ne devait pas y aller.

Le jeune hybride s’acquitta de toute ces tâches, il ne manquait jamais à son devoir, mais il ne s’était jamais senti ainsi. Prisonnier d’un endroit. Il avait beau être heureux de rendre aux dieux ce qu’ils lui avaient octroyer, il ne trouvait dans sa vie rien qui lui permettait de s’accomplir, de se sentir combler. Le vide d’être loin des siens et d’être obligé de se cacher comme un monstre le rongeait de l’intérieur. Tôt ou tard, se sentiment le dévorerais entièrement.

17 ans, déjà un an à être enfermer. La douleur grandissait un peu plus chaque jour. Les nuits, Nyk’ trouvais toujours une façon de sortir en douce. Même si tout le monde au temple était supposé respecter le couvre-feu, le jeune hybride s’octroyait le droit de sortir. Généralement, il grimpait sur le toit et allait regarder les étoiles. C’était une petite sortie sans malice, mais quand il regardait les astres, il avait l’impression de retrouver brièvement sa famille. Quelque fois il étirait une main vers une étoile et fermait un œil avant de refermer la main. Il avait l’impression ainsi d’attraper un petit morceau de ciel nocturne qu’il gardait dans sa tête pour le moment où il retournerait à l’intérieur de sa chambre de béton.

Se soir, il avait mis un peu de temps avant de rentrer à l’intérieur, mais il s’y était tout de même resigner. Quand il marchait hors des heures d’ouverture du temple, il se baladais sans sa tunique. Ses cheveux plumeux était donc bien visible et le reste de son corps aussi. Les membres du temple avaient l’habitude de le voir ainsi et tous l’acceptait sans problème, du moins en apparence.

Les humains des villes ne sont pas comme les membres de sa tribu. L’ambition, la jalousie, la manipulation et la traitrise. C’était des choses que Nykaïm n’avait jamais affronté. Malheureusement, ici, c’était chose courante. Même dans la maison des divinités, on n’était pas à l’abri de la bêtise humaine.

Jamais Nykaïm n’avais parler de lui et de son histoire, sauf au quatre grand prêtes. Mais le silence provoque autant de rumeur que les mots eux même. On avait bien vue qu’il était hybride et qu’il était bien particulier, Se bleu dans son front, ses yeux si pâles, son plumage, ses griffes. Il n’y avait pas une tonne de créature qui avais ces caractéristiques.

L’avidité humain avait dominer le respect du secret des dieux. C’était au matin, à peine le soleil lever, que des chevaliers était arriver dans le sanctuaire. Sans donner d’explication, on avait réclamé de voir l’esclave à plume. Les novices et les prêtres avaient d’abord nié son existence, présentent aux hommes armés les quelques esclaves du temple, avec leur tatouage respectif, bien numéroté.

Se s’entend léser les chevaliers avait exiger que tous les membres du temple se présente devant eux. On avait donc réuni tout le monde en essayant de cacher Nykaïm au centre du groupe. Malheureusement, cette technique n’avait que peu de chance de succès. Les hommes de loi c’était diviser pour passer entre chaque individu. Il les analysait, un après l’autre. La pâleur de Nyk’ était traitresse, aucun humain normal n’avait la peau, les yeux et les cheveux si pâle au naturel. Sans parler du plumage, des griffes et des crocs.

Un homme s’arrêta devant lui et l’examina de la tête au pied, exigent de voir son poignet. Les yeux remplis d’une rage animal, il avait regardé le chevalier et avait tendus son bras gauche. Aucune marque ne s’y trouvais, sa peau pâle était pure et vierge.

L’homme lui saisit le bras et le tira tout en lui demandant de le suivre. Nykaïm obéit docilement, il ne pouvait pas contester à l’intérieur du temple. Il ne voulait pas risque de blesser ceux qu’il connaissait, ceux avec qui il vivait depuis un peu plus d’un an, ceux qui l’avais vendu.

Une fois son premier pied à l’extérieur, la bête se déchaina. Nykaïm se dégagea facilement du chevalier avant de se reculer d’un pas et de bondir ensuite sur lui. La puissance dans ses jambes était impressionnante. Personne n’avait jamais vue un Raoni au combat, et un hybride de cet animal encore moins. Quand Nyk’ se battait, c’était pour tuer.

Les gardes n’en étaient pas à leur première saisit d’hybride rebelle. Ils étaient nombreux et armer. Non pas d’arme mortel, mais des armes recouvertes d’un produit somnifère. Des petits couteaux ou des aiguillons, rien qui pouvais blesser gravement l’esclave. Cet hybride, peu importe où et comment il avait été créé, avais une valeur inestimable.

L’attaque fut rapide, et précises. Nykaïm avait jeter son adversaire au sol. Il avait aussitôt planté ses griffes sous les aisselles du chevalier, dans l’espace ou aucun tissus trop épais ne pouvais le protéger, puis avais directement sectionner tous les nerfs à sa porter. L’homme ne pourrais plus utiliser ses bras, du moins, pas sans ressentire une puissante douleur. L’attaque n’était pas mortelle, mais handicapante. Nyk’ ne cherchait pas tout à faire à tuer, mais à immobiliser.

Un des hommes voulus aider son camarade et vient attraper l’hybride par la taille pour le tirer vers l’arrière. L’attaque ne sembla pas impressionner l’animal sauvage, puisqu’il ne fit que tourner sur lui-même pour faire face à son agresseur. Il ouvrit la gueule et, quelque seconde avant l’attaque, l’humain pu voir l’intérieur de sa gueule. Ses crocs étaient si pointus et affuter qu’il serait facile pour Nykaïm d’arracher la chaire de n’importe qui s’il le souhaitait.

Alors que l’hybride était au cou du second soldats, un troisième se jeta dans son dos. A l’affut des attaque, Nyk’ se projeta sur le coter pour éviter le coup. Personne ne l’avait jamais vue autrement que silencieux et très calme, alors de le voir ainsi était un choc. Il avait le plumage et la queue complètement hérisser, les plumes dresser sur la tête. Son regard n’était plus celui d’un disciple calme du temple, mais celui d’une bête enrager.

Malgré son instinct qui le poussais à vouloir tuer la menace, son côté humain l’entrainait plutôt vers la fuite. Fuir, loin de ses gens, loin des humains qui ne l’accepte pas, loin d’ici. Il laissa donc sa victime au sol, le cou ruissèlent d’un sang chaud. Il n’avait pas mordu directement sur la jugulaire, mais assez proche pour que le chevalier soit hors d’état.

Son souffle se coupa net, même s’il savait très bien se battre, il n’avait jamais été conforter à de tel situation. Pourquoi on le traitait comme un criminel alors qu’il n’avait jamais rien fait? La bête en lui se sentait encore plus coinser. Il se reculait, d’un pas, puis de deux. Il regardait les chevaliers courir vers les blessés afin d’essayer de penser les plais et d’arrêter les hémorragies. On appelait au secourt, on criait, on courait dans le temple pour se réfugier. On avait peur de cette bête sauvage au visage et aux mains couvertes de sang.

Le temps c’était arrêter, comme figer. Nyk’ sentais le rouge qui coulait aux coins de ses lèvres et il voyait les hommes blessés. Ce n’était pas lui d’agir de la sorte, mais il devait se défendre. Il n’avait jamais attaqué personne avant, mais ils ne lui avaient pas laisser le choix. Il voulait l’amener, l’arracher au temple.

Pendant son moment de doute, il baissa sa garde. Ce qu’il avait appris à ne jamais faire, il le faisait actuellement. Un coup violant lui fut asséner derrière les genoux. Ses jambes se plièrent seul alors qu’il tomba à genoux au sol dans un geignement de douleur. Le retour à la réalité fut brutal et rapide.

Nykaïm se tourna sur lui-même pour voir qui l’avait frappé, mais aussitôt on le saisit par le bras pour le lui plier dans le dos jusqu’à le lui tordre. Un grognement lui roula dans la gorge. De sa main libre, il tenta d’attraper celui la main qui le retenait, mais ce ne fut qu’un mouvement hautement inutile. Son autre poignet fut s’assit et l’hybride fut plaquer visage contre le sol.

On l’écrasa contre le paver au sol, devant le temple. Rapidement deux autres chevaliers se joignirent à celui qui le tenais déjà et on l’immobilisa rapidement. Des fers furent passés à ses poignet et au haut de ses bras, lier a des chaines solides. C’était si serrer sur sa peau qu’il se sentie aussitôt engourdie par les entraves. Lui qui ne parlait jamais, ne dérangeait jamais, poussa alors un crie à fendre l’âme. Le même crie que sa mère avait poussée des années plutôt avant de le mettre au monde. Un crie de mort, de peur et de désespoir.

Sur place, tout le monde c’était arrêter quelque instant. Même le plus insensible des hommes ressentis un frison en entendent le crie pousser par le gamin blanc. Pourtant, sa détresse n’arrêta rien. Personne ne vint l’aider. Les chevaliers le redressaient avant de l’amener dans une cage tirer par des chevaux. La cage était minuscule, ses barreaux large et solide et l’hybride était menotter et dans l’incapacité de bouger. On lui avait même mit un baillons pour la sécurité des agents.

On l’avait amené dans une grande ville dont il ne connaissant pas le nom. Dans un endroit dont il ne pouvait sortir. Kierain ne l’avais pas créée pour être captif, Nyk’ ne l’avais pas prié pour finir dans une cage. Pourquoi sont dieu lui imposait ce calvaire? Était-ce Deana qui le testait. Les dieux mettaient sa confiance en eux à l’épreuve.

Les humains voulurent le briser, le faire parler, savoir d’où il venait, comment il avait été créé. Mais rien, personne n’obtenue aucune information de sa part. Nykaïm restait silencieux. Les prêtres du temple avaient soutenu ne pas savoir que Nyk’ était un hybride non répertorier, outre son nom, ils ne donnaient aucune information qui le concevrais, son histoire était préservée.

Durant les premiers mois, on le gardait enchainer et éloigner de tous. Il ne posait aucune résistance, sauf quand des médecins désirait l’approcher pour l’examiner. Leur simple présence le mettait dans un état de rage. Il tentait de mordre, de griffer, d’attaquer tout ceux qui l’approchait dans le pue d’examiner la « marchandise. » À chaque fois, il finissait au sol, les chaines qui le retenais était raccourcit pour diminuer sa liberté de mouvement. Les médecins arrivait à faire leur prise de sang, mais les examens qu’ils pouvaient lui faire était limité par son agressivité et sa force physique qui était difficile à maitriser.

Jusqu’à ses 18 ans, on essaya de dresser l’hybride. La tâche fut complexe. Du au mutisme dans lequel il c’était emmurer, personne n’arrivait à comprendre ce que pensait, voulait, ou savait l’hybride. Il n’obéissait pas, mais si on ne l’approchait pas, il ne se battait pas non plus. Il refusait simplement de faire quoi que ce soit. C’était de l’opposition passive, mais rudement efficace. Personne n’allait obtenir quoi que ce soit de lui.

La seule attaque majeure de sa part fut au moment de lui poser son tatouage sur le poignet gauche. Pour effectuer le tatouage, il fallait pouvoir manipuler son bras librement et le tourner dans diverse position. En t’en normal, tous les hybride passait sans trop de mal par cette étape, mais pas Nykaïm.

Simplement l’amener dans la salle fut un combat en soit. Les gardes semblaient déjà épuiser alors que l’hybride, dans un état de rage, redoublais de force et d’énergie. Il refusait catégoriquement qu’on modifie son corps. Ce corps offert par Kierain, créée par le sang et la souffrance de ses deux mères. Aussitôt qu’on eut détacher son poignet pour tenter d’entamer la procédure, il envoya un coup de griffe puissant dans le visage d’un des gardes. Ce dernier poussa un crie quand une des griffes traversa son œil, qui en porte aujourd’hui toujours la marque, il ne rêvera plus jamais de son œil droit.

Des jurons à profusion fusèrent dans la pièce alors que le blesser envoya son point dans le visage juvénile de Nykaïm. Le coup fut assez puissant et surprenant pour le sonner quelque seconde. Malgré les crie de ses collègues, le garde se jeta sur l’hybride et le plaqua contre le mur. Personne ne put intervenir car, tout se passa rapidement. Nykaïm utilisa ses jambes et leur force pour envoyer ses pieds dans l’estomac du garde et le pousser avant de se glisser au sol et de foncé vers lui. Un nouveau coup de griffe directement dans l’estomac de l’hommes. Les griffes de l’hybride déchirèrent sans mal le tissus et la peau qui se fendus dans un coulis de sang.

Un coup de genoux entre les côtes de l’hybride en guise de réponse. Son souffle fut coupé net alors que, cette fois, on intervint pour l’immobiliser à nouveau. Inutile de prendre davantage de chance. On injecta rapidement un puissant somnifère a Nykaïm qui, bien que résistant, ne put pas lutter bien longtemps contre la substance qui se glissait dans ses veines. Le sommeil le gagna contre sa volonté.

A son réveille Nykaïm était tatouer et on l’avait déplacé dans une cage pour commencer sa nouvelle vie. Deux autres années pénibles à être dresser. Bien que normalement les hybride sois vendus à 18 ans, Nykaïm faisait la encore exception à la règle. On voulait le briser pour de bon avant de le mettre sur le marché. Mais cette tentative ne donnerait que deux années d’échec, jamais l’hybride n’acceptait de faire ce qu’on lui demandait.

Sa capture avait été difficile, son éducation impossible et sa vente serais complexe. Peu de gens voulais payer une somme démesurer de 10 000 rio pour un hybride qui se refuse à prononcer le moindre mots. Malgré tout, son corps était des plus plaisant, son hybridation totalement unique et un mystère plainait au-dessus de lui. Le premier à avoir le courage et les 10 000 rio pourrais obtenir une magnifique rareté, à qui la chance?
« Modifié: mercredi 28 novembre 2018, 13:06:14 par Princesse Alice Korvander »

Cassidy Green

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Re : J'ai fait le choix de vivre!

Réponse 1 samedi 24 novembre 2018, 00:44:32

Bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Jay Xisteplu

Humain(e)

Re : J'ai fait le choix de vivre!

Réponse 2 samedi 24 novembre 2018, 10:18:42

Bienvenue et bonne chance pour ta validation !
Compte fermé !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : J'ai fait le choix de vivre! [Fiche refusée]

Réponse 3 mercredi 28 novembre 2018, 13:06:33

Fiche refusée.

L'auteur de cette fiche, Serial-Plagieur, a été banni à vie pour plagiat, comme expliqué ici ==> http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=13228.msg401081#msg401081.

La fiche d'origine se trouve ici ==> http://reosehybride.forumactif.com/t427-jai-fait-le-choix-de-vivre-terminer.


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