Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Two-faced Ushis [Cassandra]

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Meeruko

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  • FicheChalant

    Description
    147ème Princesse de Milkopia, planète marchande au cœur de la Voie Lactée, au peuple productif en produits laitiers. Officiellement en séjour sur Terre pour trouver l'époux parfait, mais se contente de flâner en aidant le plus de monde possible avec son lait aux pouvoirs... particuliers. 🐮

Two-faced Ushis [Cassandra]

vendredi 02 novembre 2018, 23:13:23

En se réveillant le matin même, les choses semblaient encore tout à fait normales.

Meeruko avait pris son petit-déjeuner, nourri ses animaux, et s'était préparée pour aller au lycée. Habitant en campagne, elle devait d'abord prendre un train rural, pour pouvoir rejoindre le centre-ville. Ce qu'elle avait fait, après quelques minutes d'attente. Et le train était parti, quittant la campagne, et laissant Meeruko dans un pétrin complet.
Les choses étaient allées assez vite. En passant dans un tunnel, la vachette avait soudainement levé le nez de son portable, ressentant une étrange impression au niveau de ses pieds. Et elle s'était soudain senti glisser, lâchant son portable sous l'effet de surprise. Et la casquette que la vachette portait pratiquement tous les jours, pour masquer ses oreilles.
Une fois le tunnel passé, sa silhouette avait disparu, laissant juste le portable cassé sur le sol.

La vachette s'était senti propulsé dans un océan de couleurs, de sons, d'odeurs. Avant d'atterrir brusquement sur un sol froid de terre battue.

El levant la tête, elle avait failli s'en décrocher la mâchoire.

*Mais qu'est-ce que...*

La princesse n'en croyait pas ses yeux. Et pour cause.
Le paysage qui s'offrait devant ses yeux n'avait plus rien de connu. Ce n'était pas la Terre, peut-être même pas la même planète. Les gens étaient habillés différemment, les établissements ne ressemblaient pas à ceux qu'elle fréquentait tous les jours. Une image entra dans son esprit : celles des livres d'histoire humains, reflétant une époque appelée "moyen-âge", que Meeruko avait, comme tant d'autres images de la civilisation humaine, contemplée avec fascination pendant des heures.
Avait-elle emprunté, par mégarde, un portail qui transportait dans le temps ?

La vachette sortit rapidement de sa ruelle, à petits pas prudents. Les alentours semblaient plus clairs, à présent, et elle pouvait contempler de plus prés le nouveau monde dans lequel elle semblait être tombée.

*Ce... c'est... intéressant...*

Cela devait être le mot, oui. Et, une fois passé la surprise, son moral était remonté. Pour une curieuse comme elle, la perspective d'aller s'aventurer dans un monde nouveau, au lieu d'aller fréquenter un énième banc de lycée, paraissait séduisante. Et ce fut avec un réel intérêt que la jeune femme fit quelques pas dans la rue, observant les paysages, les alentours, et les gens-
-qui l'observaient d'ailleurs également. Avec des yeux ronds. Certains s'arrêtèrent même, coupant la route à d'autres. Un étrange silence s'installa dans la rue.
Cela perturba Meeruko, qui adressa un sourire poli à plusieurs personnes. Des chuchotements se faisaient entendre, dont quelques bribes entrèrent dans les oreilles affutées de la milkopienne.

Une Ushi ?
Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Elle s'est évadée ?
Elle n'a même pas de collier autour du cou...


Autant d'interrogations partagés à voix basse, et auquel la brune ne comprenait rien. Une Ushi ? C'était quoi, ça ? Est-ce que ces personnes parlaient japonais ?

Quelqu'un devrait vérifier si elle est marquée, non ? Elle est peut-être dangereuse !

Cet énième chuchotement provoqua un brouhaha dans la foule, et Meeruko sentit son instinct s'agiter dans son corps, lui intimant d'agiter ses membres - ce qu'elle fit, s'enfuyant, laissant en plan les passants encore confus.
Au final, Meeruko se retrouva donc dans une autre ruelle, camouflée de la vue de la plupart de ces étrangers. Leur discours, même si peu révélateur, avait fait monter en elle une angoisse notable. Elle ne se souvenait pas avoir eu autant peur depuis qu'elle s'était retrouvée sur la planète qu'elle aimait tant. Quelque chose lui disait qu'elle ne se trouvait donc pas sur Terre, mais, juste... ailleurs. Quelque part dans la Temporalité des choses. Quelque chose qu'elle avait étudié en cours, mais visiblement pas assez pour que cela l'aide actuellement.
Sa réflexion l'entraîna à ne pas faire suffisamment attention à son environnement. Quelques minutes après sa venue dans cette ruelle, elle sentit quelque chose bouger dans son dos.
Avant que la vachette n'ait eut le temps de se retourner, quelque chose se retrouva sur sa tête, la plongeant dans le noir complet.

*!!!*

La jeune femme tenta de lancer quelques coups de poings et de pieds au hasard, mais sans visibilité, sa force ne servit pas à grand-chose. Ses bras furent vite attachés dans son dos, et quelque chose de froid se retrouva autour de son cou.

"Bon sang, elle ne brille pas par son intelligence, celle-là..."
"Peu importe."

La vachette sentit quelqu'un arracher une partie de son tee-shirt, et lui tâter la poitrine. Un frisson de dégoût la parcourut.

"Si on arrive à la ramener au Maître, on va se faire pas mal d'argent. Regarde-moi ces mamelles... on dirait qu'elle est pleine de lait..."

Cette partie de la conversation fit sursauter la Princesse. Attendez, comment ce type pouvait savoir à propos de ses... talents ? Il n'y avait pas d'autre femme-vache sur Terre, à sa connaissance.
Des interrogations plein la tête, la jeune fille sentit qu'on la guidait avec poigne. Impuissante, elle avança, tentant de rester calme.
Sans vision, ses autres sens s'intensifiaient. Au fur et à mesure de leur pas, Meeruko entendait des cris de personnes appâtant la clientèle, sentait des odeurs plus ou moins appétissantes. Entendaient des claquements de cuir, suivis de cris de douleurs. La peur s'intensifiait dans ses entrailles, mais elle essayait de rester calme.

Le jour qui filtrait au travers du tissu qui recouvrait son visage diminua soudain. Ils venaient probablement d'entrer dans une habitation - peut-être une tente, à en juger par le claquement du tissu contre le vent aux alentours. Meeruko espérait que l'on lui enlève rapidement ce qu'elle avait sur le visage et qu'elle puisse entamer une discussion sérieuse avec ce "Maître" vers laquelle on la guidait apparemment. Il y avait forcément un malentendu.
Le tissu finit en effet par partir, libérant le regard de l'alienne, qui s'empressa de regarder autour d'elle. Elle découvrit le visage de l'un de ses ravisseurs, affairé à l'observer de la tête aux pieds, tandis que l'autre, de dos, était occupé à tocquer contre une lourde porte de bois. La vachette ne bougea pas, attendant de pouvoir évaluer la situation.

"M'sieur Harmington, on a quelque chose pour vous !"

モーモー 🌠🥛 ! ! !

Cassandre Harmington

Terranide

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  • FicheChalant

    Description
    ~ Jeune vachette obéissante, lait à volonté ~

Re : Two-faced Ushis [Cassandra]

Réponse 1 lundi 05 novembre 2018, 16:27:27

Le jour du départ. Cela avait un côté très triste, quand une vachette partait. Après tout, cela voulait dire que toute les autres vachettes n’auraient pas le plaisir de les revoir… C’est triste non ? Donc, Cassandre avait été enfermée dans une boite, et le chariot était partie… Vers la ville ! Et ouais, Cassandre allait pouvoir en profiter, après tout, elle ne l’avait jamais vu. Elle était quand même une fille de la campagne ! Mais pourquoi allait-elle en ville ? Et bien, vous devinez, ce n’est pas du tout pour profiter des boutiques ! Enfin, si dans un sens… C’est pour faire profiter les boutiques. Et ouais, vous aurez deviné, elle allait à la vente ! Notre chère vachette allait être mettre en vente pour tout le monde… Notre chère Cassandre le savait, après tout, c’était quand même quelques choses qui devait arriver !

Harmington, le fermier, lui stressait. Cassandre n’était pas UNE vachette. Elle était LA vachette. Genre la vachette auquel on tient. Fille d’un minotaure et d’une vachette, elle était extrêmement performante, donnait énormément de lait, et un lait absolument délicieux. Bref, vous avez compris, c’était une mine d’or sur patte. Elle serait vendue chère, mais sans aucun doute que celui qui l’achèterait ne le regretterait pas. Il serait très content de ce qu’il allait avoir, car il n’y avait pas de doute, il aurait de la qualité. De la vraie qualité. Pas genre une vachette naze… Bref, ainsi, il stressait. S’il arrivait quoique ce soit, et bien, il perdrait énormément d’argent… 18 ans d’éducation pour finalement pas un rond ! Quel horreur… Et évidemment, vous savez ce que vous ne devez ABSOLUMENT pas faire dans ce genre de situation ? Mmh ? Je vous écoute ? Oui ? Vous n’avez pas d’idée … ?

"M'sieur Harmington, on a quelque chose pour vous !"

« Quoi ? Vous savez que cette journée est importante ! »


Le déranger ! Et ouais, faut absolument pas genre briser sa concentration… Une fois sur le marché, sur sa place réservée, il avait TANT de chose à faire que franchement, il n’avait absolument pas le temps de se soucier de personnes qui… Oh. C’est eux. Il ouvrit la porte de son entrepot de la capitale, là où il préparait tout… Grégoire et Gustave. Deux hommes qui travaillaient pour lui depuis plusieurs années. Jamais augmenté, jamais monté en grade… Pourquoi ? Et bien, pas par manque de bonne volonté. Ils avaient plusieurs fois fait des tentatives… Mais ils ne comprenaient RIEN en ce qu’ils devaient faire… Leur job ? Aller au marché d’esclave, laver le stand, et faire en sorte que RIEN ne cloche. Et faire la sécurité sur le stand. Mais… Mais ils tentaient toujours autres choses...

« -Une vach…
-Mais bordel, bande d’abruti de première, quand est-ce que vous comprendrez ?! »

Ce fut une douche froide pour Gustave, qui avait dit ça avec une fierté non dissimulé… Et voilà la réponse ?! Alors, pour comprendre cette réponse aussi… Mordante, il fallait tout simplement comprendre… Ce qu’avait fait les deux hommes n’étaient PAS une bonne idée. Car les Harmingtons avaient toujours marché dans le même système, et qu’on soit clair, la notion de « nouveauté » sonnait aussi étranger à leur oreilles, que le mot « Leben vernichten » sonne étranger aux miennes. Et je parle pas un mot d’allemand, donc, vous devinez que c’est très étranger. Bref, ainsi, quoiqu’il en soit, même si la femme ne semblaient pas laide, et franchement, que sans doute que c’était une bonne vente pour n’importe qui… Et bien, pour la fameuse famille… C’était pas bon, et il va vous l’expliquer… EN CHANSON ! Non je déconne pour la chanson. Mais ça aurait pu.

« JE. ELEVE. MES. VACHETTES. MOI. MEME. Où elle a trainé votre Ushi ? Qui sait si c’est une vierge ? Bordel de merde vous avez le Q.I. D’UNE… MOULE ! »

Ouuuuh… Cela ne rigolait pas. On sentait qu’il était fortement énervé… Et qu’il n’était pas content. Vous allez me dire « Mais Cassandre, enfin, la divine narratrice, n’est-ce pas la même chose ? » Et bien, je vous répondrais… Oui ! Mais bref, en effet, le fameux Harmington avait toujours fait en sorte de vendre lui-même ses créatures, ses vachettes, et les éduquer pour qu’elles soient parfaite. Ce qui comptait pour lui… Ce n’était pas la quantité… Mais la qualité ! Des vachettes, bas de gamme, on en trouvait… Beaucoup ! Mais de sa qualité… Et bien peu… Donc, il ne pouvait pas se permettre de prendre de la marchandise dont il n’avait aucune idée des origines… Donc, la logique, cela serait de ne pas la prendre. De la laisser partir… oh oui… Si le capitalisme était logique… Franchement, cela se saurait…

« Bon… Je la prends… Balancez là dans le chariot… Oui dans la boite… Je peux toujours la vendre à moitié-prix… »

Mais voilà, le mal était fait. Après tout, elle était là… Et il l’avait gratuit. Mais totalement gratuit. Donc, en toute logique, on se dirait : « Pourquoi ne pas en profiter ? »… Le secret étant : il faut juste pas tromper celui qui allait acheter. Il ne fallait pas qu’il croient que cette vachette était une vachette comme une Harmington. C’était une sous-marque, un peu comme une Dacia chez Renault, mais qui donne du lait… mmmh… Je devrais arrêter de faire des comparaisons… Donc, quoiqu’il en soit, et bien la vachette allait donc être vendue au même titre que les autres vachettes des Harmington, mais sous un autre prix, moins cher… Peut-être en lot, d’ailleurs, qui sait… Bref, quoiqu’il en soit, on allait se concentrer...

Les hommes ne furent pas délicat. Bientôt, la moindre tenue de la fameuse jeune femme fut déchirée, réduit en charpie, et jetée. Un fer chauffait pas loin, qui irait bientôt pour ses fesses, quand tout sera prêt ! La femme fut alors bien maîtrisée. On pouvait dire une chose : si Gustave et Grégoire avait le Q.I. d’une moule… Et bien, ils avaient de la force les lascars ! Bref, très vite, une boite en bois, trop petite, sans doute pour qu’une personne, fut ouverte, et Meeruko fut enfoncée dedans… Cela fut sans aucune délicatesse, et on put entendre des petits couinement. D’ailleurs, une fois que al caisse fut de nouveau fermée… Et bien, on pouvait entendre les deux lascars se faire engueuler du manque de délicatesse. Mais ça, les femmes s’en fichaient. Elles étaient dans une caisse en bois cloutés…

« Oooooh ! Je croyais que je serais seule !!! »

Cassandre ! Notre chère, et tant aimée, Cassandre ! Les deux femmes étaient maintenant littéralement dans une… Boite. Une toute petite boite. Enfaite, Cassandre autrefois n’aurait à peine eu la place toute seule. Et le fait d’être avec une autre vachette… Et bien cela faisait qu’elle était serrée contre cette dernière. Les deux femmes étaient seins contre seins… Pourquoi un tel enfermement ? Et bien, pour pas qu’une « fuit » avant qu’elles soient prêtes. Comme dit précédemment, il avait des tas et des tas de choses à faire ! Et s’il y avait le moindre soucis, et bien, il serait responsable. Donc, Cassandre souriait à sa compagnonne de caisse. Après tout, elle ne pouvait guère faire autre chose, les deux femmes étaient l’une contre l’autre, et nue… Oh, dans d’autres contextes, sans aucun doute, vous devinez ce qui arriverait… Bref, on allait bien voir ce qui allait se passer…


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