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Virginité & Littérature. [Verena]

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Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 15 samedi 14 juillet 2018, 07:55:15

C'est bon, c'est trop bon ; je me surprends moi-même à aimer ça. Pourtant, c'est pervers, ça ne se fait pas entre fille. Le lait, ce n'est pas fait pour ça. Mais la peau de ce sein est si douce, ce téton est si délicieux, ce lait est comme un liquide divin. Ma pauvre Verena, tu deviens complètement folle !

Même ma chatte est en feu, j'agite les hanches sous le contact de nos lèvres intimes. Je me tortille, signe de ma capitulation. Je voudrais dire plein de choses, mais ce sein, ce superbe sein, m'empêche de parler. Etouffée par un sein, si on m'avait dit...

J'en veux plus, la chaleur en moi est bien autre que ce me procuraient mes caresses. J'étais excitée en pensant à Elisabeth, mais là, dans le concret imprévu, je suis dans un tout autre état. J'ai envie de lui hurler « plus vite, plus fort, partout », mais ça, elle le sait déjà.

C'est presque une délivrance lorsque je me retrouve seins à l'air, peu importe si je repars chemisier ou soutien-gorge déchirés. Ses griffes sur ma peau, mes tétons qu'elle maltraite vraiment, je veux ça, je veux tout ça, je veux encore. J'agite mes jambes, je veux le contact de nos chattes, je me sens si trempée, déjà.

« Voilà, comme ça... hmmm... suce bien... »
Je me concentre sur ce sein, sur cette source ; Elisabeth ne s'imagine pas le pouvoir qu'elle a avec de si beaux attributs ; elle peut rendre fous les garçons, et faire des trucs incroyables aux filles. Et, ce soir, c'est tout pour moi ! Je m'en fous d'être attachée, ça va donner.

Mais je ne sais pas jusqu'où. Parfois, un éclair de lucidité, de moins en moins fréquent d'ailleurs, me recommande la prudence. Mais, aussi fermement attachée, les habits plus ou moins en lambeaux, mon sexe qui trahit mon excitation, que puis-je faire ?

Pourtant, Elisabeth me fourre les doigts dans la chatte sans aucune délicatesse. Quatre d'un coup, j'en suis sure, comme une espèce de queue, pas longue mais bien large.
« Humph... Non ! » parviens-je à articuler, songeant à ma virginité préservée, mais quasi inaudible par ce sein qui oppresse ma bouche.

Je ne maîtrise plus rien, mais je ne sais pas si je dois avoir peur ou envie. Elisabeth alterne la douceur et la violence, et je ne suis qu'un jouet entre ses mains, un jouet dans ses délires.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 16 samedi 14 juillet 2018, 15:09:43

Elizabeth continua sa petite affaire, pressant ses seins successivement pour l'asperger d'un lait divin tout en l'étouffant au passage, puisqu'un de ces énormes lobes de chair lui recouvrait le visage. Son mamelon rosé, durcit par l'excitation, devait au moins faire la largeur de sa bouche à présent. Et elle ne manquait pas de le lui faire sucer abondamment, déversant son lait dans sa gorge pour la repaître.

Elizabeth redoubla, retripla, quadrupla d'efforts lorsqu'elle remarqua que Verena agitait les hanches comme une pute. Elle venait de capituler, c'était une défaite. Elle était désormais complètement à elle, et Elizabeth allait se faire le plaisir de la briser pour se venger. Mais surtout, pour le plaisir du sexe et de la débauche. Elizabeth continuait de la griffer d'une main, de lui pincer le téton, de le tortiller violemment tandis que son autre main lui labourait déjà la chatte.

- Regardes toi ! Tu remues comme une pute, tu aimes ça et tu en redemandes.

Elizabeth la doigtait énergiquement tout en continuait de frotter sa chatte contre la sienne avec une sauvagerie inespérée. Prise à la bouche, aux seins et entre les jambes, Verena n'allait sûrement pas tarder à jouir. C'était déjà très bien d'avoir tenu jusqu'ici pour une vierge. Dommage que ce ne soit que le round 1, Elizabeth avait encore plein d'idées à appliquer une fois qu'elle aurait jouit.

D'ailleurs, au bout d'une bonne dizaine de minutes, cette jouissance vint enfin. Verena et Elizabeth atteignirent l'orgasme en même temps, hurlant leur plaisir en joignant alors leurs orgasmes en un, alors même qu'Elizabeth se releva d'un coup sec pour s'accroupir au dessus de la surveillante. Elle semblait pressée, comme si elle ne devait pas perdre de temps, et déversa une quantité hallucinante de cyprine sur la jeune femme. Elle devait lui jouir dessus, lui montrer qu'elle n'était rien d'autre qu'un jouet, et la jeune femme avait réussi. Couverte de mouille, de lait et de sueur, Verena était incroyablement belle aux yeux d'Elizabeth. Une véritable beauté brisée, couverte de fluides corporels. Mais il manquait quelque chose...

- Hmmm... ouvre la bouche, salope...

Elizabeth, toujours accroupie au dessus du visage de Verena, écarta ses lèvres intimes de ses deux doigts pour mieux lui pisser dessus !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 17 samedi 14 juillet 2018, 16:05:32

Il y a même pas une heure, je n'étais qu'une banale surveillante, fantasmant sur une élève timide aux formes opulentes. Et voilà que je me retrouve soumise au bon vouloir de cette élève, tétant goulûment son sein.

Je suis en transes, je n'ai jamais connu ça, il ne fait pas que Elisabeth s'arrête !
« Regardes toi ! Tu remues comme une pute, tu aimes ça et tu en redemandes. »
Je m'en fous, elle peut me dire ce qu'elle veut. J'aime et j'en redemande ! Je veux même qu'elle insiste, qu'elle force, qu'elle ne se retienne pas. Je veux sentir sa chatte, ses doigts, sa langue. Je veux qu'elle me baise vraiment. Je veux perdre ma virginité avec Elisabeth !

Et ça monte, ça monte avec une intensité que je n'ai jamais connue. Je voulais de la tendresse, un doux dépucelage, mais, là, je prends mon pied sans cette douceur, avec une violence folle. Je voudrais lui hurler, lui dire que je l'aime, lui dire que je suis à elle. Mais son sein continue de m'oppresser, de m'étouffer, de m'inonder de lait.

Ça monte encore, il ne reste que peu de temps avant que je parte à la dérive. Personne ne m'a fait ça, comme ça, et ça va être tout autre que quand je me caresse. Même être attachée m'excite, ce que je ne pouvais pas faire moi-même.

Et, quand ça arrive enfin, ça m'emporte, ça jaillit comme un feu d'artifice, je perds tout le contrôle des mouvements de ma taille, je hurle en mordillant malgré moi son sein, étouffant ma jouissance dans ce globe qui continue de déverser son lait.

Je ferme les yeux, pour mieux savourer, comme si chaque once de ma peau voulait s'imprégner de cet instant unique. Mais Elisabeth n'est pas aussi inactive que moi ! Elle s'est déjà relevée, comme si l'orgasme n'était qu'une étape pour elle.

Elle se retrouve au dessus de mon visage, accroupie. Je vois son sexe trempé, sa chatte béante, mais je ferme très vite les yeux, car elle continue à déverser sa mouille.
Quand le flot s'interrompt enfin, je ne suis plus qu'une loque, souillée, trempée.

Je suis heureuse, je veux juste faire une pause avant de continuer.
Mais Elisabeth ne semble pas être du même avis.
« Hmmm... ouvre la bouche, salope... »
Sans doute  la dernière goutte de sa mouille va-t-elle tomber, et elle veut que je l'avale.

Mais la surprise est de taille ! Le jet brûlant passe entre mes lèvres, atteint directement ma gorge, mais ce n'est pas de la cyprine. Elle me pisse dessus. Je bouge la tête de droite et de gauche pour éviter le jet, mais j'en prends autant sur le visage, et, à chaque fois que je veux lui dire non, le jet trouve ma bouche ouverte, manquant m'étouffer.

Je dois être un repoussoir, couverte de sueur et de lait, de mouille et de pisse. Il faudrait qu'elle soit sacrément excitée ou diablement perverse, pour continuer à me rudoyer ainsi.
« Modifié: samedi 14 juillet 2018, 16:11:17 par Verena »

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 18 samedi 14 juillet 2018, 16:52:39

Un repoussoir ? C'est tout l'inverse pour Elizabeth, qui trouve Verena plus belle que jamais, souillée ainsi. La jeune femme ne peut s'empêcher de se ruer sur elle, lui léchant le visage, récupérant le mélange de fluides contre sa langue pour les avaler avec une soif insatiable. Pour conclure, la belle Elizabeth lui roula une pelle d'enfer, sûrement celle de sa vie, lui bavant dans la gorge sans aucune retenue ni pudeur. Il fallait que ce soit le plus sale possible, aussi, elle continua de pisser sur Verena, assise sur son ventre. Elle avait beaucoup bu ce midi, il fallait bien qu'elle se vide la vessie !

Une fois complètement vidée, et après avoir embrassé la belle, Elizabeth la libéra de ses liens, estimant qu'elle ne voudrait sûrement pas partir à présent. La jeune femme posa une main sur les seins de Verena, les malaxa un peu, pinça une nouvelle fois ses tétons, jusqu'à même les mordiller. La pauvre, de si petits seins... tout le monde n'avait pas la chance d'en posséder une paire semblable à la sienne !

- Je vais te donner ton cadeau.

Elizabeth posa une main sur chacun de ses seins, et utilisa son pouvoir pour les modifier. Lentement, mais à vue d'oeil, les deux lobes de chair de Verena commencèrent à grossir... grossir... grossir... jusqu'à atteindre la même taille que ceux d'Elizabeth ! Au moins avec ça, elle avait eu un beau cadeau non ? Du moins, tant qu'Elizabeth en déciderait. La jeune femme alla s'asseoir sur le visage de Verena, posant sa chatte ruisselante et son cul sur sa bouche.

- Si tu es une bonne petite chienne et que tu veux les garder, lèche moi le trou du cul. Plus vite que ça.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 19 samedi 14 juillet 2018, 19:47:43

Le flot chaud s'interrompt enfin, et je peux réagir sans en prendre encore.
« Mais ça ne se... »
Trois mots, trois mots seulement, avant que Elisabeth ne se jette sur moi, et me lèche tout le visage, le nettoyant avec un soin qui me sidère. Soit c'est vraiment de la perversité, soit elle a plus que de l'avance sur moi, non aux jeux de l'amour, mais aux jeux du sexe. Parce que, uriner sur elle, jamais ça ne me serait venu à l'esprit !

Sa langue est un délice, elle court sur mon visage, et je me fends d'un « Hum, c'est bon comme ça », qui trahit mon bonheur de l'instant, après tant d'interrogations. Et c'est avec sincérité que je lui offre ma bouche pour un baiser langoureux, même si ça donne plutôt l'impression qu'elle me viole encore le palais.

Mais il est dit qu'elle me surprendra et ne m'épargnera rien. Aussitôt interrompu ce baiser, aussitôt elle recommence à uriner, mais sur mon ventre. Moi qui prends tant soin de ma peau et de mes senteurs, traquant la moindre odeur corporelle suspecte, je n'ose imaginer ce que le commun des mortels penserait de moi à cet instant précis.

Je ne peux rien faire avec ces liens qui m'entravent, je ne peux que subir tant la force d'Elisabeth est impressionnante, je ne peux pas m'échapper avec des habits en lambeaux. Elisabeth le sait, et, autant je ne compris pas comment je fus attachée, autant je ne comprends pas comment je fus détachée. C'est instantané, c'est comme magique ; je retrouve ma liberté de mouvement.

Je pourrais me venger, la repousser, lui montrer ce que des années de sport de combat m'ont appris. Mais, étrangement, mon corps ne réagit pas comme il le faudrait. Une sorte d'engourdissement, de passivité. Et puis, sortir comme ça dans les couloirs, c'est tout foutre en l'air pour moi, réputation, job, études, carrière. Elisabeth le sait, elle en profite.
Elle n'est pas calmée, elle recommence à me triturer les seins. Malgré la douleur soudaine, je reste calme, juste un « Aïe » pour la freiner un peu.
« Je vais te donner ton cadeau. »

Vu comme elle maltraite mes tétons, je m'attends au pire, alors qu'elle empaume mes seins, de vrai oeufs au plat, face à ses obus. Elle va en griffer la peau, ou bien les comprimer avec force ! Mais la suite me laisse totalement éberluée. Je vois mes petits globes sans vraie forme gonfler, pas gonfler d'excitation, mais gonfler, prendre chair, comme si ma peau prenait une nouvelle forme de manière totalement naturelle.
La métamorphose s'arrête, alors que ma poitrine a atteint quasiment la dimension de celle d'Elisabeth que j'enviais tant. Je ne comprends pas, pas davantage que les liens qui arrivent et repartent.
« Comment tu as fait ça ? »

Elisabeth ne répond pas, et m'étouffe de nouveau, mais cette fois avec sa chatte, dont l'effluve est absolument délicieuse, et que je devine mélangée à ma propre cyprine. Ravissement de courte durée, car elle bouge juste un peu, en me lançant :
« Si tu es une bonne petite chienne et que tu veux les garder, lèche moi le trou du cul. Plus vite que ça. »
Quelle horreur ! Je n'ai jamais fait ça, j'ignorais même qu'on puisse le demander.
J'ai la liberté de mouvement, il suffit que je la renverse sur le côté, pour m'enfuir... nue dans les couloirs. Pas top ! Et puis, si elle raconte certaines choses, ça mettra un doute contre moi.

Je regarde son anus, me demandant si, vu ce qu'elle semble avoir comme expérience, elle a déjà fait un truc qui s'appelle la sodomie. Il paraît que c'est excitant, mais ça n me paraît pas très propre.
Pourtant, je n'ai pas vraiment le choix. Etirant la pointe de ma langue, j'effleure son petit trou, crainte d'odeurs, crainte de relents. C'est assez gênant, mais c'est comme si elle avait tout bien nettoyé avant.
Comme si elle avait tout prémédité, songe-je.
Fi des réflexions, je pousse ma langue plus avant, le conduit est étroit, mais les parois ne me répugnent pas, et, de la pointe, je les effleure, les caresse.

Pute... Salope... Chienne... je crois que je n'ai pas fini d'entendre les qualificatifs.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 20 samedi 14 juillet 2018, 20:45:20

Son entrejambe n'est pas seulement trempée de cyprine, mais aussi de pisse. Elizabeth a toujours eu un rapport spécial avec l'urine, au vu des nombreuses fois ou on lui a pissé dessus quand elle était esclave. Elizabeth interprète ce geste comme la preuve de la domination ultime. Pisser sur quelqu'un, c'est marquer son territoire. Lui signifier qu'elle n'est rien d'autre qu'un objet lui appartenant. Et c'est bien ce qu'était Verena. Elizabeth continua de remuer le cul contre le visage de sa chienne, lui présentant son anus dilaté par ce que l'on devine être de nombreuses sodomies douloureuses. Celui-ci est parfaitement propre, de couleur chair, et n'a aucun goût désagréable. C'est même plutôt plaisant de la lécher ainsi, puisque la jeune femme semble même mouiller du cul. En effet, son anus dégage une sorte de liquide lubrifiant, faculté étrange mais loin d'être impossible pour une femme comme Elizabeth pouvant modifier son corps et la matière à volonté.

- Je peux modifier ce que je touche à volonté. Je me suis donc permise de te donner un cadeau, gosse salope.

Elizabeth s'attaqua à la nouvelle poitrine de sa partenaire, lui triturant les mamelons, léchant l'intégralité de ses seins, non sans frotter son anus contre les lèvres de la belle. Verena pouvait donc expérimenter le fait de se faire malaxer la poitrine, d'avoir deux obus à la place de ses petits seins ridicules. Maintenant, elle allait devoir apprendre à les porter sans avoir mal au dos. A moins qu'elle ne préfères retrouver sa poitrine d'antan, Elizabeth n'y voyait pas d'inconvénients de toute façon.

Elizabeth claqua violemment les seins de Verena, comme pour les punir. Elle les maltraitait volontiers, griffant davantage leur chair, les frappant comme des punching ball, mordant chaque centimètre de peau comme si elle était affamée. Pour finir, la belle blonde cracha un peu partout sur son corps, avec grand mépris. Elle aimait la maltraiter ainsi, lui faire comprendre que ce n'était qu'une chienne et rien d'autre.

Elizabeth ne se préoccupait pas de la liberté de mouvements de Verena, elle était sûre d'avoir plus de force qu'elle, en plus de son pouvoir monstrueux. Verena était à sa merci, et si elle n'obéissait pas, Elizabeth se ferait un plaisir de lui faire mal. Au bout de quelques minutes, alors qu'elle trouvait le rapport ennuyeux, Elizabeth produisit une nouvelle fois de la cyprine pour l'expulser cette fois par son cul pour remplir la bouche de Verena. Quelle joie d'avoir un tel pouvoir ! Elle pouvait ainsi défier les lois de la nature et faire ce qu'elle veut. Et ce n'était que le début... Verena n'avait pas encore expérimenté les modifications qu'elle pouvait apporter à son corps. Qu'aurait-elle fait en voyant une bite de 50cm lui pousser entre les jambes, par exemple ? Peut-être qu'Elizabeth répondrait à cette question prochainement.

En attendant, tout ce que Verena devait faire, c'est lui lécher le cul.

- Plus vite, salope ! Fous ta langue dedans, je veux la sentir remuer dans mon cul !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 21 samedi 14 juillet 2018, 21:52:38

Je ne connaissais pas ces pratiques, mais je n'ai pas le dégoût que je pouvais craindre. Je deviens même plus audacieuse, ma langue se fait serpent, tourne sur elle-même, titille de sa pointe. Ce petit trou est délicieux, je ne sais pas si tous le sont ainsi. Mais, même si elle m'a uriné dessus, Elisabeth prend très soin de tout son corps.
Comme j'avais bu avidement son lait, je joue de son petit trou. Il est si étroit que je me demande comment certains hommes y mettent leur sexe. Mais il me semble que, depuis que ma langue y est, il s'est un peu agrandi. On dirait même qu'il y a comme une sorte de mouille, là aussi, et ça coule sur mon visage qu'Elisabeth avait pourtant nettoyé.

« Je peux modifier ce que je touche à volonté. Je me suis donc permise de te donner un cadeau, grosse salope. »

Il faut que je me fasse une raison ; ce mot, comme tant d'autres, je l'entendrai encore et encore tant qu'Elisabeth sera là. Je dois dépasser mon rejet ; dans sa bouche, c'est peut-être un compliment.

Un rare compliment alors, dans ce rapport étrange où Elisabeth peut passer de la douceur à la violence. Et nouveaux sans être à moi, mes seins sursautent sous l'effet des claques qu'elle commence à leur infliger. Ce ne sont pas vraiment les miens, mais je ressens tout comme s'ils étaient miens depuis toujours.
À quoi sert de les avoir ainsi fait grandir, sans que je sache comment, si c'est pour les maltraiter comme ça. Ils sont si beaux, j'en rêvais ; j'aimerais les garder aussi beaux, et pas zébrés de morsures ou bleus de coups.

Je ne sais pas vraiment ce qu'elle veut, où elle veut en venir. Elle n'a fait qu'abuser de l'avantage qu'elle a pris sur moi, elle a bousculé tous mes tabous sans même s'en soucier, elle ne m'a offert que très peu de tendresse, elle a les moyens de me briser à Mishima. Elle a des sortes de pouvoirs que je ne connais pas, et je suis peut-être loin de tout avoir découvert.
Je dois être prudente, en entrer dans son jeu.
« Plus vite, salope ! Fous ta langue dedans, je veux la sentir remuer dans mon cul ! »

Apparemment, je ne suis pas à la hauteur. Pourtant, je m'applique, je ne fais pas ma mijaurée, et j'enfonce ma langue aussi loin que je peux. Si elle s'attendait à ce que ça remplace un sexe par la longueur et par la largeur, c'est qu'elle n'a jamais essayé.
En tout cas, je m'applique du mieux que je peux.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 22 dimanche 15 juillet 2018, 00:49:55

Elizabeth reforma ensuite les seins de Verena pour qu'ils soient comme neufs, sans retirer leur grande taille bien sûr. Elle avait été prise de remords, elle qui venait de lui offrir une si  belle poitrine, elle gâchait ce cadeau en les abîmant... quelle vilaine fille. De petites larmes perlèrent sur le coin de ses joues, alors que la belle blonde embrassa les mamelons de la surveillante avec tendresse.

- Désolée... désolée... pardon...

Elizabeth continuait de remuer les fesses pour sentir au mieux la langue de Verena dans son petit trou, alors qu'elle lui embrassait les mamelons, léchait ses seins, suçait ses tétons avec ferveur, et alla même presser ses seins contre ceux de la belle jeune femme. Leurs poitrines unies... quelle sensation agréable... un peu de douceur après la brutalité ne faisait jamais de mal, même si dans le cas d'Elizabeth cette douceur était éphémère. La jeune femme semblait presque bipolaire.

- Hmmm... aaaaaaah...

De ses deux mains, Elizabeth caressa lentement les cuisses de Verena jusqu'à son intimité, et passa ses doigts fins sur cette chatte encore trempée de désir. Doucement, presque avec amour, Elizabeth la masturba sans brutalité, frottant simplement les doigts en surface de son entrejambe.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 23 dimanche 15 juillet 2018, 07:34:13

Je comprends de moins en moins Elisabeth, elle alterne tellement le chaud et le froid. Pour ma première vraie expérience sexuelle, je suis tombée sur elle que je ne sais pas comment qualifier. Celles que je connais ont été déflorées par un garçon, sans jouir même, juse pour le faire. Et moi, qu suis toujours vierge, je me suis fait pisser dessus, j'ai mes seins qui ont gonflé, et voilà que je lèche un petit trou, avec de plus en plus de plaisir, à celle qui...
« Désolée... désolée... pardon... »
Je la comprends de moins en moins, mais ça, je ne veux pas. Aussi imprévisible qu'elle soit, elle m'a fait du bien. J'interromps à regret ma troublante caresse :
« Ne pleurez pas, Elisabeth ; vous ne pouvez pas imaginer ce que vous m'avez fait ».

Juste quelques mots, et cette envie aussi nouvelle que folle de retourner explorer de ma langue ce petit trou. Oui, elle ne sait pas ce qu'elle m'a fait,moi qui n'aurais jamais osé ça. J'ai même envie d'oser davantage, remonter mes bras, caresser ses cuisses, cette peau si douce, envie d'oser aller aussi caresser son sexe, qui doit être ce mélange de mouille et d'urine avec lequel elle m'a ravagée.

Elle recommence à me faire monter, mes seins que j'ai je ne sais comment, sont si sensibles. Elle appuie sur mon corps, je ne peux pas faire tous les mouvements que je veux, mais nos seins qui se frôlent, je n'imaginais pas ça dans mes rêves.
« Hmmm... aaaaaaah... »

Je suis bien, si bien. Elle est si douce, je suis si heureuse d'être attentionnée à bien lécher son petit trou, à bien faire tourner ma langue, à enfoncer la pointe aussi loin que je peux ; il en émane un délicieux parfum, et je le sens qui s'entrouvre sous mes caresses.

Je m'ouvre aussi, j'écarte de plus en plus les cuisses, comme une offrande, comme une supplique. La douceur d'Elisabeth est merveilleuse, elle frôle juste ce qu'il faut mon sexe, sans brutalité, sans excès, et ma respiration monte peu à peu. Oh, si ce moment pouvait durer...

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 24 dimanche 15 juillet 2018, 13:00:43

Elizabeth continua langoureusement son activité, réconfortée par les mots de Verena. Elle pressa ses seins contre ceux de la jeune femme, tout en continuant de caresser son entrejambe. Son petit trou du cul était désormais bien mouillé, sûrement du à la salive de Verena, lorsqu'elle remonta les mains jusqu'à sa chatte. Celle-ci était trempée de mouille et de pisse, sans surprises, et ce n'était pas plus mal. Elizabeth et Verena puaient le sexe, l'odeur de la luxure embaumait totalement la pièce dans ses effluves. Elizabeth eut tôt fait de le remarquer, et de commencer à lécher la chatte de Verena. Doucement, longuement, sa longue langue parcourait avec malice les lèvres intimes de la belle surveillante.

Toujours aussi doucement, du côté de son cul, Elizabeth continuait de le frotter contre la bouche de Verena, pour augmenter les sensations. Elle voulait sentir son anus frotter contre la douce peau de Verena, en plus de sa langue exquise. Celle-ci s'enfonçait dans son cul avec de plus en plus de facilité, pas bien loin certes, mais cela lui suffisait pour prendre du plaisir. Sa chatte recommença d'ailleurs à mouiller, et à déverser un peu de mouille sur le corps de Verena. C'était habituel à présent, mais chaque passage de cette eau bénite procurait des frissons à Elizabeth.

Les mains posées sur les cuisses de son amante, Elizabeth tâcha de se donner un peu plus pour elle. Elle introduisit sa langue le plus loin possible, elle pouvait de toute manière l'allonger, et commença à lécher l'intérieur de cette chatte qu'elle avait défoncée si tôt. Elizabeth, au fil de ses coups de langue, fut soudainement prise d'une envie. Verena ne s'était pas encore adonnée à ce plaisir après tout.

- Si tu veux pisser, pisse moi dans la bouche s'il te plaît.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 25 dimanche 15 juillet 2018, 14:16:35

Je suis bien, je ne sais pas ce que la suite me réserve, mais je suis bien. Je savoure cet instant de douceur, je découvre ce que les livres appelle un anilingus. Je sens un liquide humecter les parois de l'anus d'Elisabeth, j'aime ce goût, je m'applique. Je suis peut-être meilleure amante que ne le laisse penser ma virginité. Je m'interromps, juste un instant.
« Surtout, Elisabeth, dites-moi si je fais mal ; je suis toute disposée à apprendre ».

Je ne sais pas pourquoi je suis si passive d'une certaine manière. Passive, mais réceptive, car je sens que mes seins aux nouvelles formes ont les tétons dressés, et aussi que mon sexe s'humidifie.
Elisabeth a dû s'en rendre compte, je sens sa langue. C'est bizarre, on dirait comme une sorte de serpent, ou plutôt de tentacule. Même quand je me caressais avec mes doigts en pensant à elle, je n'allais pas si loin que sa langue. Mais c'est bon, si bon, et je gémis sans cesser ma caresse.

Je m'interromps, encore, un instant.
« C'est délicieux, Elisabeth, j'espère que vous aimez ».
Et je reprends de plus belle, j'aimerais tant la faire jouir comme ça. Tout se mélange, d'autres effluves aussi, celle de sa mouille c'est sûr, celle de son urine aussi.

Une idée fixe chez elle !
« Si tu veux pisser, pisse moi dans la bouche s'il te plaît."
La proposition me surprend. Recevoir, ou plutôt subir, je l'ai fait. Mais le faire ?
Certes, j'ai bu mon litre d'eau aujourd'hui, et j'urinerais tout de suite si j'allais aux toilettes. Mais là, Je ne savais pas que ça faisait partie du sexe.
« Je... je vais essayer... si vous aimez »
Même la pose n'est pas idéale, mais je ne vais pas faire ma mijaurée.
La langue tentaculaire d'Elisabeth m'a ouvert les lèvres intimes, je pousse, vraiment, mais rien ne sort. J'ai une envie physiologique, mais comme un blocage aussi.
« Je n'y arrive pas... mais je vais insister ».
Je force encore, j'essaie de penser à ce qu'elle a fait, et soudain le premier jet doré jaillit en laser, presque soudain, presque continu, direct dans sa bouche j'en suis sure.

« Que fais-tu, Verena, pour être si répugnante ? », ma conscience essaie de me raisonner, mais je crois que je suis partie loin, pour ne plus revenir en arrière.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 26 dimanche 15 juillet 2018, 21:06:44

Elizabeth retrouva un instant sa fermeté en lui répondant.

- Si tu le faisais mal je te le dirais.

Elizabeth continuait de frotter son trou du cul contre la bouche de Verena, l'inondant de mouille anale. Elle aurait même pu mouiller par tous les pores de sa peau, au vu de son pouvoir, mais ce serait moins drôle. Elle se contentait donc d'envoyer des jets de cyprine depuis son anus, directement dans la bouche de Verena. Elle avait l'air d'aimer ça, alors autant l'en abreuver un peu!

Elizabeth ne lui répondit pas ensuite, commençant petit à petit à reprendre du poil de la bête. Ses coups de langue étaient plus rapides, plus assurés, plus violents. La jeune blonde enfonça même dans doigts dans le cul de sa surveillante, et remua frénétiquement. Elle tira même dessus, de chaque côté, pour en écarter les parois sèchement. Au vu de sa force conséquente, clairement surhumaine, elle n'aurait aucun mal à lui élargir le cul.

Et pour finir, la jeune femme ouvrit la bouche pour accueillir la délicieuse pisse de Verena. Elle n'aimait pas, elle adorait ça. Elizabeth aimait la pisse autant que la mouille, en particulier la pisse des femmes prudes comme elle, bien loin de se douter de l'existence de cette pratique. Elizabeth buvait, avec délice, et continua d'en demander.

- Hmmmm... slurp... gmmwaaah... encore, encore !

Elle lui cracha sur la chatte, et ouvrit la bouche pour en redemander.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 27 dimanche 15 juillet 2018, 21:19:43

Je suis à la fois inquiète et rassurée. Rassurée, parce que Elisabeth me confirme que je me débrouille bien, que je sais lui donner du plaisir. Inquiète, parce qu'elle est toujours aussi imprévisible, que tout peut changer en un instant.

Grâce à elle, je me rends compte que, outre ma virginité, mes connaissances livresques du sexe sont nulles et inutiles.
Je ne savais pas qu'une femme mouillait de l'anus comme ça. Là, je ne cesse de la boire, l'impression que ça ne s'arrêtera jamais.
Je ne savais pas que les seins pouvaient gonfler comme les miens désormais, et même être plus sensibles que les œufs au plat que j'avais auparavant.
Je ne savais pas qu'uriner provoquait un tel plaisir, du moins Elisabeth aime donner et recevoir ; moi, ce n'est pas le cas pour le moment.
Je ne savais pas que la langue d'une femme pouvait autant se tordre et aller aussi loin que celle d'Elisabeth dans mon sexe, et c'est délicieux.

Mais elle est imprévisible, je le sais, et quand elle met ses doigts dans mon cul, c'est très violent.
« Aïe, ça fait mal ! »
J'ai l'impression qu'elle met une force surhumaine à m'élargir l'entrée, après avoir mis deux doigts avec la même violence dans mon petit trou.
« Doucement je suis vierge là aussi ! »
Zut, je me suis trahie. Peut-être ne savait-elle rien de mon pucelage, en général. Il ne faudrait pas que ça lui donne des idées incongrues.

Ce qui est imprévu, c'est que ses doigts dans mon cul ont le don de me troubler, m'exciter même, et mes jets d'urine continuent même, ce qui semble lui faire très plaisir.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 28 dimanche 15 juillet 2018, 21:35:12

Elizabeth redoubla d'efforts en entendant cela. Elle le savait bien, il faudrait être aveugle pour ne pas le voir. Mais l'entendre l'avouer ne faisait que doubler son plaisir.

- Justement, salope. Justement.

Décidément, Elizabeth aimait beaucoup cette surveillante, et encore plus sa pisse. Elle n'en perdit pas une goutte, appréciant ce liquide sacré avec tout le bonheur du monde. Elle ne savait pas l'expliquer, le goût était en soi mauvais, mais le geste l'excitait tant qu'elle en outrepassait le reste. Pisser sur quelqu'un, cette symbolique la rendait toute chose. Et c'est d'ailleurs dans un soucis d'équité qu'Elizabeth suréleva un peu le bassin pour pouvoir pisser sur le visage de Verena. Elle allait devoir y prendre goût, de toute manière ! La jeune femme avait déjà de la chance qu'elle ne lui pisse pas directement dans la bouche.

- Tiens, prends ta part aussi.

Une fois ceci fait, elle reposa son anus une fois de plus sur la bouche de Verena, non sans continuer de lui écarter l'anus. Elle voulait pouvoir voir sa fleur anale, et ne risquait pas de s'arrêter ! Son pouvoir aurait très bien pu lui écarter facilement le cul, mais cela n'offrait aucun challenge.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 29 dimanche 15 juillet 2018, 22:34:37

« Justement, salope. Justement. »
Le mot claque pire qu'un fouet. J'ai envie de lui dire que je ne suis pas une salope, mais, avec tout ce que j'ai déjà fait, elle en ricanerait, et le doute n'est même plus permis.
Mais, là aussi étrangement, ce mot claque comme s'il prolongeait encore le soulagement de ma vessie ; je n'avais jamais uriné aussi longtemps, à moins que je n'aie perdu toute notion du temps.

D'ailleurs, je profite qu'Elisabeth soulève le bassin, pour lui dire.
« Ca m'a fait tout... arghhh ! »
Quatre mots ! Quatre mots avant qu'elle recommence. Elle avait juste soulevé son bassin pour m'uriner dessus, et j'en avale malgré moi, bouche ouverte. Je la referme vite, mais trop tard, et le restant continue à culer sur mon visage.

Je dois être un infection, avec tout ce que j'ai pris depuis que Elisabeth m'a léché le visage. Entre sa cyprine anale et son urine, mon visage doit faire peur. Et avec tout ça que j'ai aussi en bouche, me forçant à déglutir malgré moi, puisqu'elle rappuie son anus sur mon visage, sitôt sa vessie soulagée, je n'ai pas d'autre choix que d'avaler ce liquide avec difficulté et écoeurement.

Je ne dois rien laisser paraître, je reprends avec ma langue dans son anus, avec douceur et insistance. Tout le contraire d'Elisabeth qui, après avoir meurtri mes seins, malaxé ma chatte sans retenue, me triture l'anus sans aucune délicatesse, comme si ma virginité l'excitait.
J'ai dit que je cherchais celle à laquelle j'offrirai ma virginité vaginale, je n'ai jamais dit que je voulais perdre ma virginité anale !
Stoppant net ma caresse buccale, je lui lance un sec « Eh, doucement ! ».


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