Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Virginité & Littérature. [Verena]

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Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 45 lundi 16 juillet 2018, 23:07:14

Je prie pour que ce supplice s'arrête. J'essaie, malgré mon dégoût, d'accompagner les mouvements de ce phallus qui me déchire, qui doit remonter si haut, pour qu'il éjacule, et que cette ce laminage de mon cul.
Peut-être mes efforts permettent-ils d'abréger ma souffrance, et je sens avec plaisir, pas celui de la jouissance, mais celui du soulagement, la grosse tige lâcher encore une quantité de sperme incroyable, au point que j'en sens une partie ressortir.

« Voilà, bonne pute. »
Ce sont les derniers mots d'Elisabeth, qui m'a laissée retomber à terre. J'ai mordu mes lèvres pour ne pas crier, et éviter sa menace d me broyer la gorge.
Je ferme les yeux, je n'en peux plus, je veux que ça cesse, sinon autant mourir. Je suis réduite à rien.
Je ne vois pas Elisabeth qui s'en va, elle s'éclipse même sans bruit. J'ouvre les yeux quand j'entends la porte claquer. Elle a éteint la lumière et m'a enfermée là ! Je veux hurler, mais je me rappelle sa menace. Je tire sur mes poignets, mais les liens sont toujours là. Ma chatte semble un peu apaisée, mon anus me fait atrocement souffrir. Je peux bouger les jambes, libres de tout lien, mais ça fait juste glisser mon corps dans ces relents de foutre et de pisse, qui empestent dans toute la pièce.

Les questions m'assaillent. Où est-elle ? Que va-t-elle faire ? M'observe-t-elle en fait ? Pourquoi me fait-elle ça ? Quelle chance d'en sortir ?
Oui, va-t-elle me tuer pour effacer toute trace, ou a-t-elle d'autres moyens, après tout ce que j'ai déjà vu ?

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 46 lundi 16 juillet 2018, 23:30:54

Verena entend plusieurs pas dans se couloir ou bout d'un certain temps, ils semblent se diriger vers la porte. Celle-ci s'ouvre, et, sans doute avec horreur, Verena découvre trois professeurs lorsque la lumière s'allume. Elle les reconnaît sans doute, puisqu'il lui ont déjà fait des avances plus ou moins déplacées auparavant. Le professeur de mathématiques, le professeur de sport, et même le sous directeur de l'établissement. Trois jeunes hommes bien bâtis, puisqu'ils ont commencé à exercer il y a peut-être un an ou deux. Elizabeth se tient derrière eux, mains jointes dans le dos, l'air innocente.

- C'est ici que je l'ai trouvée, elle était là comme ça.

- Sûrement un jeu sexuel avec des étudiants. C'est une honte.

- Effectivement, nous allons devoir l'exclure de l'établissement.

- Merci de nous avoir prévenus Elizabeth, tu peux disposer.

Elizabeth adressa un sourire incroyablement sadique à Verena, avant de s'en aller en refermant derrière elle. Elle pouvait protester, dire ce qu'elle voulait, les trois hommes ne réagissaient pas. Le professeur de sport s'avança vers elle en premier, et sortit sa queue de son pantalon. Nul besoin d'expliquer ce que ces trois-là comptaient faire.


Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 47 lundi 16 juillet 2018, 23:51:02

Elisabeth ne va quand même pas me laisser ici toute la nuit ! La tension s'est un peu apaisée, mais mon corps commence à grelotter. Appeler à l'aide ne servira à rien, cette aile de bâtiment est déserte la nuit. J'essaie de réfléchir, mais mon esprit est trop embrumé. Ce qui cloche en moi, c'est que je ne suis pas sure d'avoir détesté tout ce qu'a fait Elisabeth. Une partie, oui, mais le reste...

Mon auto-analyse prend brutalement fin à des bruits de pas dans le couloir, plusieurs personnes j'en suis sure, juste avant que la lumière s'allume sur mon indécence.
J'entends juste la voix dElisabeth :
« C'est ici que je l'ai trouvée, elle était là comme ça. »

J'ouvre les yeux, le sous-directeur et deux profs. La salope ! Un a voulu négocier ma place contre une nuit de baise. Un m'a coincée dans la salle des profs, voulant que je lui fasse une pipe. Un a forcé a porte de ma chambre, et j'ai dû m'enfuir. Les trois pires salauds du lycée ! Comment a-t-elle su pour eux et moi ?

« Non, Elisabeth, dis-leur... »
Mais elle a déjà tourné le dos, remerciée et congédiée par leurs soins, après m'avoir gratifiée du sourire de la pire des salopes.
"Putain, je t'aurai, Elisabeth!"

La porte claque, et je hurle « Non, laissez-moi ! ».
Mais suis-je en position de discuter, ainsi attachée ?
A quoi bon crier, alors que cette aile du lycée est déserte.
Je sais que le prof de sport a compris ça, quand il sort sa queue.
« Non, pitié », que dire d'autre ?
« Modifié: lundi 16 juillet 2018, 23:56:37 par Verena »

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 48 mardi 17 juillet 2018, 02:35:50

- C'est qu'elle parle beaucoup, pour une chienne ! Je m'en vais la faire taire.

S'écria le prof de mathématiques, un jeune homme long et fin aux cheveux noirs de jais taillés courts. Sa paire de lunettes carrées et sa chemise blanche parfaitement agencée lui donnait l'air du professeur japonais classique, banal, propre sur soi et appliqué. Bien loin de ce qu'il s'apprêtait à faire donc, puisqu'il retira sa ceinture pour dévoiler son gourdin d'un bon vingt centimètres, et se baissa pour l'enfoncer dans la gorge de Verena. Le jeune homme poussa un léger râle viril en sentant la bouche de la surveillante gober entièrement sa queue, et lui maintint la bouche ouverte de ses deux mains. Il ne faudrait pas qu'elle ait l'idée de le mordre ! Une fois ceci fait, le jeune professeur de math commença à lui baiser littéralement la gorge. Il était celui qui l'avait presque forcée à lui faire une fellation, et était toujours resté frustré de son refus. Une bonne vengeance s'annonçait donc !

De son côté, le professeur de sport se masturba un peu pour enfin bander, ce qui érigea son sexe d'un bon 25 cm vers le ciel. Il allait clairement lui faire du mal, et s'en réjouissait d'avance. Habillé d'un simple débardeur mettant en valeur sa musculature saillante, doté de beaux yeux bleus et d'une coupe militaire, le jeune homme était clairement le plus beau des trois. Mais sûrement le plus brutal, cela se lisait sur son visage.

- Je prends son cul, je vais la baiser jusqu'à plus soif.

Le prof de sport la saisit donc par les jambes pour la surélever un peu, et enfonça sa queue dans son anus. Ici, toujours pas de douceur, tout comme Elizabeth, le bel homme la pilonnait sans retenue pour pouvoir sentir sa queue atteindre le bout de son rectum. Ses couilles claquaient contre le cul de Verena bruyamment, bestialement, alors que le prof poussait des râles de plaisir semblables à des rugissements d'animaux. C'était lui qui avait forcé la porte de sa chambre, et il forçait à présent son anus.

- Je prends donc sa chatte.

Le sous directeur, un homme un peu plus agé que les deux autres, ayant atteint la trentaine, se présenta au dessus d'elle. Il était d'apparence banale, bien qu'assez grand, et aurait pu ressembler à n'importe quel passant dans la rue. C'était lui, qui lui avait proposée une promotion contre une bonne nuit de baise. Dommage qu'elle ait refusé ce jour la, car sa vengeance allait avoir lieu ce soir. Et c'est avec sa longue queue de 25 centimètres également, qu'il déballa de son caleçon, qu'il comptait la pilonner. Les trois hommes avaient sûrement subit des opérations pour avoir des queues aussi grosses, c'était maintenant l'occasion de tester sur Verena. Le sous directeur se plaça donc au dessus d'elle et la pénétra sans douceur, à la manière des deux autres. Ses couilles frottaient contre la queue de son collègue prof de sport, mais cela lui importait peu. Il pouvait maintenant baiser Verena sans retenue, et c'est ce qu'il s'attelait à faire !

Dans le même temps, derrière la porte, se trouvait une Elizabeth qui n'était pas vraiment partie. La belle blonde observait la scène à travers le trou de la serrure, et ne put s'empêcher de se doigter allègrement en assistant à cela. Oooh, comme il était bon de l'humilier ainsi ! Verena n'était pas au bout de ses peines, c'est bien ce qu'elle lui avait dit ! Cette jeune femme était si attendrissante et pure à la fois, Elizabeth ressentait un besoin irrépressible de l'humilier, de lui faire du mal, de la faire souffrir au maximum. Dieu sait qu'elle allait avoir besoin de courage avant qu'Elizabeth ne se lasse d'elle.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 49 mardi 17 juillet 2018, 07:51:40

Je n'ai aucune chance face à ces trois ordures ! Ils le savent, mais j'ai vraiment peu, car, au delà de l'horreur qu'ils vont faire sans scrupules, ils voudront effacer toutes traces. À quoi sert d'être de lignée mafieuse, pour ne même pas me venger ?

Ce n'est pas leur souci, et, quand je vois sortir le chibre du prof de maths, déjà dressé, mes larmes coulent de plus belle. Il maintient mes lèvres, pince mon nez ; il n'en est pas à on coup d'essai, ce salaud, et je ne peux qu'accepter malgré moi le gourdin dans la bouche. J'ai une folle envie de le mordre, de l'émasculer, mais ses collègues vont sûrement se déchaîner et le venger. Attachée comme je suis, je n'aurai aucune chance. Lui, il est sûr de son pouvoir, il l'enfonce jusqu'au fond de ma gorge, à en buter à me provoquer une révulsion, à me donner la nausée, à me faire tourner les yeux. Et il donne deux à trois va-et-vient pour assurer sa prise.
« Elle a vraiment une bouche à bites, celle-là. »

Je remercierais presque Elisabeth de ses horreurs, car la queue du prof de sport semble moins grosse que le truc avec lequel elle m'a sodomisée. Même si je me doute que mon anus a dû se refermer un peu, la douleur en sera moins violente.
« Garde bien ta queue dans sa bouche, car je vais la faire crier ! », ricane-t-il, en s'adressant à son homologue en maths.
Et il joint aussitôt la parole aux actes, s'enfonçant d'un coup sec, m'arrachant un hurlement que la queue dans ma bouche étouffe.
« Ah putain, ce qu'elle est bonne ! », lance-t-il égrillard, avant de commencer à me labourer l'anus avec une violence qui me secoue les hanches.

Il s'arrête juste un instant, pour que le troisième larron, ce salaud de sous-directeur qui ne cesse de me harceler, me fasse subir la même horreur, et m'enfile d'un coup sec.
« Ouah, tu as raison, c'est une sacrée bonnasse ! ».
Heureusement que, là aussi, les traces de la violence d'Elisabeth ont laissé ma chatte dans un tel état, que la douleur de cette queue en est un peu moins insupportable.
Mais je ferme les yeux, je ne veux pas, je veux me dissocier de mon corps. Je ne veux pas voir leurs visages, je suis obligée d'entendre leurs « c'est vraiment une chienne » alternant avec leurs « ça, c'est de la salope ».
Je me fais pilonner de partout, transpercer, secouer, comme un corps désarticulé sans maîtrise.

Jusqu'à ce que le sous-directeur balance :
« Putain, elle mouille, elle aime ça, la salope »
Comme un signal pour les deux autres qui, comme lui, se mettent avec encore plus de violence à me défoncer tous les trous.
Le sous-directeur est fou : « Allez-y, elle est en train de partir ! ».
Mon Dieu, Verena, entends-tu ce qu'ils disent de toi ?

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 50 mardi 17 juillet 2018, 14:21:13

En effet, elle est en train de partir, et c'est le moment de tout lâcher. En grognant, les trois hommes jouissent à l'unisson et la remplissent de toute part. Sa gorge déborde à ras bord de foutre blanc, son cul et sa chatte dégoulinent comme des éponges à sperme. Une fois le travail terminé, les trois enseignants se réunissent debout autour d'elle pour terminer le travail en se masturbant, vidant ainsi complètement leurs sexes sur la jeune surveillante, qui n'est guère plus qu'une serpillière en cet instant.

- Aaaah... putain... elle mérite une petite collation.

Les trois hommes se comprennent, puisque ce n'est pas terminé. De leurs queues maintenant au repos, les trois jeunes hommes commencent à pisser sur Verena sans la moindre considération pour elle. Ils n'y voient qu'une chienne, un sac à foutre. Une fois ceci fait, alors qu'elle est aspergée d'effluves nauséabondes, les trois hommes prennent la direction de la sortie. Elizabeth a juste le temps de se cacher, pourvu qu'ils ne voient pas la flaque de mouille devant la porte. La jeune femme a joui en même temps qu'eux devant ce spectacle, incroyable, excitée par la souffrance de Verena. Bien heureusement, les trois enseignants ne remarquent pas la flaque, et s'en vont dans le couloir après s'être rhabillés, discutant à propos de ce qu'ils pourraient faire la nuit suivante. Verena est toujours attachée dans le noir, sans vraiment savoir ce que lui réserve l'avenir. Ils ne l'ont pas exclue ni détachée, s'étant simplement contentés de la baiser avant de repartir tranquillement.

La lumière ne se rallume que pour dévoiler une Elizabeth accroupie près de Verena, offrant une belle vue sur sa chatte. Elle sourit avec bienveillance, juste pour la provoquer, étant délicieusement satisfaite du sort qu'elle a réservé à Verena. Celle-ci peut d'ailleurs remarquer que la chatte d'Elizabeth dégouline de mouille, signe de son excitation certaine. La belle blonde rattache les jambes de Verena de manière à ce qu'elles soient bien écartées, offrant une merveilleuse vue sur sa chatte.

- Alors grosse pute, tu as aimé ce que je t'ai réservée ?

Lui demande t-elle avant de se saisir de son portable, un sourire narquois aux lèvres.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 51 mardi 17 juillet 2018, 17:28:25

Je n'en peux plus, plus du tout. Si ces salauds croyaient pouvoir me donner du plaisir, peut-être me faire jouir de me violer, pauvres cons, ça ne risque pas. Même si Elisabeth a auparavant été violente, saccageant et sacrifiant ma virginité avec un phallus que je ne sais toujours pas sorti d'où, leurs queues ne m'ont fait que souffrir. El le déchaînement qu'ils ont manifesté, au motif qu'ils allaient me faire jouir, n'a fait que sortir leur sale foutre de profiteurs, de pauvres résidus de capotes. Je les ajouterai sur la liste de mes vengeances. Oh oui, Elisabeth, ils t'y rejoindront !

J'ouvre les yeux alors que, satisfaits de leur forfait, ils me regardent, goguenards, dégoulinante de sperme, incapable de parler tant même ma bouche a été meurtrie, et qu'un petit filet blanc reste aux commissures.
Leurs queues, trafiquées par la médecine j'en suis sure, une médecine que j'utiliserai pour les émasculer moi-même avant de les recoudre, sont devenues petites et molles, mais je ne pensais pas que, à leur tour, ils urineraient sur moi.
Je suis démolie, anéantie. Ils ont fait leur besogne, ils se rhabillent et partent, comme s'ils étaient venus se taper une fille de joie dans une maison close. Je ne suis rien pour eux, je ne suis même plus une collègue. Ça fait mal, et j'en pleure, seule dans le noir.

Combien de temps dura cet interlude, cette pause salvatrice sans solution, je ne sais pas. Mais la lumière crue me saisit, et j'aperçois Elisabeth, accroupie près de moi. Elle ne peut ignorer mon visage défait.
« Elisabeth, je t'en prie... »
Pas plus que je ne peux ignorer sa chatte nue et trempée. Qu'a-t-elle fait ? Elle les a regardés me violer ? Et ça l'a excitée ?
Elle ignore mes prières, rattachant mes chevilles. « Non, Elisabeth, arrête tout ça ! »
Mais à quoi bon la supplier ? Je me retrouve à nouveau nue, attachée, ouverte, indécente.
« Alors grosse pute, tu as aimé ce que je t'ai réservé ? »

« Ils m'ont violée ! », je lui hurle ma révolte. Mais elle s'en moque, et je la vois sortir son portable.
« Elisabeth, que vas-tu faire ? », son sourire ne me dit rien que vaille.
Je me tortille pour échapper à je ne sais quoi, mais les liens me tiennent fermement. J'essaie de tourner ma tête, pour cacher mon visage de ma chevelure, mais celle-ci est poisseuse, collante que l'un se soit essuyé le gland dessus, collante que l'urine d'Elisabeth et de ces trois salauds ait coulé dessus. Et mon cou me fait si mal, après qu'il ait été tordu lorsqu'Elisabeth me prenait debout avec ma tête au sol, et quand l'autre ordure me baisait la bouche en la faisant aller en tous sens. Je ne parviens pas à tourner la tête, mais j'ai peur de ce qui passe par la tête d'Elisabeth.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 52 mardi 17 juillet 2018, 19:00:48

Elizabeth se tient en face de la jeune femme, délicieusement excitée par la situation. Le foutre, la pisse, la sueur, les larmes même ! Verena est devenue une poubelle humaine, pire même. Un simple trou à foutre, une moins que rien. Sa souffrance est si délicieuse qu'Elizabeth continue de mouiller sous sa jupe, laissant tomber au sol quelques filaments visqueux. Aaaah, si seulement Verena avait vécu un quart de ce que l'on avait fait à Elizabeth. Cette situation arrivait tous les jours pour elle. Elle avait été violée, empalée sur des godes géants, poignardée même. Il lui était même arrivée d'être pendue et baisée alors qu'elle suffoquait, puis fouettée, frappée à coups de batte, traînée derrière une voiture, violée par une cinquantaine de personnes à la fois... d'autres préféraient obliger des chevaux à la sodomiser, ou encore lui jeter des excréments dessus. Oui, Elizabeth avait vécu pire que ce que l'on pouvait imaginer. Mais par chance, peut-être était-ce un signe divin, la jeune femme avait eu la capacité de réparer les blessures de cet horrible passé. Son mental restait meurtri, mais son corps, lui était redevenu désirable, sans aucune séquelle. Ainsi, Elizabeth avait pu se raccrocher à la seule chose qu'elle pouvait garder pour elle: sa beauté. Et en cet instant, peut-être que le traitement qu'elle réservait à Verena était une sorte de vengeance ? La seule chose dont elle était certaine, c'est que la faire souffrir était si bon !

- Verena, cheese !

La belle blonde lui adressa un sourire narquois, et pris plusieurs photos avec son portable. Diverses photos de la belle surveillante à visage découvert, les jambes écartées offrant une magnifique vue sur sa chatte béante, couverte de pisse et de sperme. Sans oublier la mouille ! Les photos assuraient un beau dossier de saletés, ou Verena était affichée comme une chienne. Elizabeth alla s'allonger à côté d'elle, comme pour discuter avec une bonne amie. Son comportement contrastait avec ses actes. Et alors qu'elle venait de la rejoindre, Elizabeth lui montra le téléphone. La jeune femme était sur facebook, et s'apprêtait à publier les photos compromettantes...

- Allez ma belle, comme ça tout le monde saura à quel point tu es une pute !

Malgré ses supplications, Elizabeth publia les photos sous ses yeux. Elle passa ensuite à twitter, instagram, tous les réseaux sociaux y passaient. Et elle s'assurait bien que les élèves du lycée les aient en page d'accueil ! Elle passa ensuite aux sites porno et autres joyeusetés, histoire de lui faire toucher le fond. Elizabeth se régalait, et se pencha vers la tête de Verena pour lécher ses larmes sur ses joues. Que c'était bon !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 53 mardi 17 juillet 2018, 20:03:53

Je tire sur mes liens à m'en meurtrir, mais rien n'y fait ! Ils sont serrés comme ce n'est pas croyable, presque comme s'ils épousaient la forme de mes poignets ou de mes chevilles, comme des sortes de tentacules collés à eux. Je me débats en vain, et je vois, en même temps, des suintements sous Elisabeth. Elle jouit de me voir comme ça, sans même me toucher !
« Tu es un monstre ! »
Je lui ferai payer au centuple, je trouverai la faille, elle ne peut pas me laisser là dans cet état.
« Verena, cheese ! »

Mes lèvres ont été si meurtries par la fellation que je ne parviens même pa à faire une grimace, encore moins un sourire dont je n'ai pas envie. Elle me photographie, je le craignais. Elle affiche ce sourire malsain, qui me fait craindre le pire. Soit elle veut garder un dossier pour éviter que je ne la tue, soit elle a de pires idées en tête.
« Pourquoi tu me fais ça ? »
Mes  larmes recommencent à couler, je suis physiquement et nerveusement à bout, mais je sens que mon calvaire est loin d'être terminé.
Même si Elisabeth s'allonge à côté de mi, je n'ai plus aucune confiance en elle. Elle est fière d'elle, elle me montre les photos... et un f.
« Non, tu ne vas pas faire ça ! ». Je tire sur mes liens comme une forcenée, mais en vain.
« Allez ma belle, comme ça tout le monde saura à quel point tu es une pute ! »

« Arrête, Elisabeth, je ne suis pas une pute, tu le sais bien. »

Mais c'est clair qu'elle s'en moque, et prend plaisir à me montrer réseaux sociaux puis sites pornos, des trucs immondes où elle envoie les photos qu'elle a prises.

Je suis détruite, ma réputation est faite, et rien n'effacera cela. Des milliers de tarés vont copier mes photos porno, et se branler en les matant. Des larmes coulent à nouveau sur mes joues, je veux mourir.
Je ne crois même pas à la tendresse d'Elisabeth, lorsqu'elle se penche pour lécher mes larmes.
« Tue-moi ! Je ne veux pas affronter ça. Tue-moi, je t'en supplie ! »

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 54 mardi 17 juillet 2018, 22:31:12

Oh, mais le geste d'Elizabeth n'a aucune tendresse. Elle prend simplement plaisir à boire les larmes salées de celle qu'elle torture psychologiquement, et peut-être bientôt physiquement. Sa souffrance est si bonne, si pure ! Verena va connaître l'humiliation, les sévices, la douleur. Elizabeth va s'assurer de la façonner à son image, pour la rendre plus sadique que jamais ! Après avoir bu ses larmes, et constatant que la jeune femme la supplie de la tuer, Elizabeth la frappe au visage.

- Comment oses-tu te plaindre ainsi ? Sais-tu seulement ce que j'ai vécu ? Ce que tu subis actuellement ce n'est rien, rien du tout !

La jeune femme lui donne plusieurs coups au visage, une petite dizaine jusqu'à la mettre en sang. Verena a l'arcade gonflée, le nez en sang, les lèvres tout autant, elle lui fait même voler une dent. Elizabeth se relève ensuite et lui met quelques coups de pieds dans le bas ventre pour la calmer un peu, toujours aussi excitée de la faire souffrir ainsi. Elle continue d'ailleurs de mouiller, toujours plus, laissant ses liquides intimes se répandre au sol.

- Aaaah... hmmm... aaah... bonne salope.

Lui dit-elle, essoufflée, mais euphorique. La jeune femme va ensuite chercher une règle en fer dans le bureau de la bibliothécaire, et l'étend avant de la transformer pour en faire une chaîne. Elle prélève ensuite un morceau de cuir du canapé pour en faire un collier, et le joint à la chaîne. La jeune femme l'attache autour du coup de Verena pour en faire un bon collier de chien, et obtient le résultat escompté ! Une parfaite laisse pour chienne. La jeune femme défait les liens de Verena, qui est de toute façon anéantie, et tire sur la laisse pour la traîner au sol.

- Bien, on va aller faire un petit tour.

Les rues de nuit ne sont pas bien animées, mais le but d'Elizabeth n'est pas de l'exposer aux passants. Non, elle veut juste l'emmener quelque part...

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 55 mardi 17 juillet 2018, 23:27:21

Je ne pensais pas déchaîner autant de violence ! Qui est Elisabeth pour me frapper ainsi, moi qui l'ai sauvée tant de fois. Pourquoi me dit-elle : « Sais-tu seulement ce que j'ai vécu ? Ce que tu subis actuellement ce n'est rien, rien du tout ! »

Les coups pleuvent, ma tête ballotte de droite et de gauche, comme si elle allait se désarticuler de mon corps meurtri. J'ai de plus en plus mal, les joues, les dents, les arcades. Je ne dis plus rien, je suis juste le punching ball, et ses coups de pieds jusqu'au sexe achèvent de me disloquer intérieurement.
Elle en jouit, elle m'écoeure, je la hais, mais je suis trop faible pour même lui cracher ma haine/

La mort, c'est ma seule délivrance, me traîner à une fenêtre et sauter, en finir. Je suis à la merci d'Elisabeth depuis que je suis entrée dans ce lieu ; le la subis, et je ne cesse de me demander quelle torture elle a encore inventée. Mon corps est disloqué, mon esprit est anéanti, mais elle n'en a jamais assez !

Elle a des dons, ou je ne sais quoi, qu'elle met au service du mal, pour me faire mal. Elle a sorti de je ne sais où, un collier, oui un collier avec une laisse, et je sens cette horreur tirer à mon cou.
« Bien, on va aller faire un petit tour. »
Je n'ai plus de liens, je suis libre, mais sans force. J'essaie de résister, mais Elisabeth tire sur mon cou, déjà abîmé de ce qu'elle m'a fait subir.
« Noooonn ! », ce qui devait être un cri de refus est un pâle et ridicule gémissement, et je me sens traînée sur le sol râpeux.
Je me redresse, comme pour préserver un peu de peau intacte, essayant d'avancer comme je peux dans les couloirs déserts, jusqu'à arriver dehors où le froid saisit ma nudité.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 56 mercredi 18 juillet 2018, 02:01:27

Elizabeth se retourne pour constater que Verena peut encore avancer, et observe son visage ensanglanté. La seule vue de son sang l'excite, et la jeune femme se jette sur elle pour lui lécher le visage de fond en comble, lui crachant dans la bouche pour finir.

- Marche à quatre pattes, comme une chienne.

La belle blonde la frappe dans le tibia pour la faire tomber, et reprends la marche, toute contente. Les rues sont désertes, quelques passants ça et là voient la scène sans intervenir: ils sont trop occupés à se faire des fellations ou à copuler dans les buissons. C'est dans cet environnement que les deux femmes se dirigent vers un endroit inconnu...

... Et elles arrivent finalement chez Elizabeth. La jeune femme vit dans une petite maison relativement mignonne, il y a même un jardin. L'argent qu'elle a trouvé pour se le payer provient de son travail au club SM, ou plusieurs personnes lui donnent de nombreux pourboires simplement pour regarder son corps. Oui, Elizabeth est une pute de luxe, alors même que personne n'a le droit de la pénétrer. Un métier facile donc, qui rapporte un salaire conséquent. Une fois entrées dans le salon, un petit salon cosy ou tout est rose jusqu'au canapé, Elizabeth tire sur la laisse de Verena pour la mener à la cave. Une petite pièce étroite d'une dizaine de mètres carrés, ou il y a seulement la place pour s'allonger mais certainement pas pour y vivre confortablement.

- Bouge pas.

Elizabeth enferme Verena dans la pièce et revient quelques instants plus tard avec un seau et une gamelle, qu'elle pose dans le coin de la pièce. Elle attache ensuite le bout de la laisse dans un crochet au mur, en y joignant la matière au niveau moléculaire pour ne pas que Verena s'amuse à l'enlever. Et voilà, tout est prêt.

- Voilà, tu es ma chienne domestique maintenant. Pour faire tes besoins c'est dans le seau. Je viendrais te donner à manger demain matin. Tu peux te reposer pour ce soir, demain une longue journée nous attend. Je vais te faire tourner dans des clubs clandestins ma petite chienne, tu vas avoir du mal à marcher durant des mois. C'est pourquoi dorénavant tu resteras à quatre pattes.

Elizabeth lui crache une nouvelle fois au visage, et soulève sa jupe pour dévoiler son entrejambe humide.

- Tant que la vue de ta souffrance me fera mouiller comme ça, je te garderais ici. Et si tu es sage, je soignerai peut-être tes blessures.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 57 mercredi 18 juillet 2018, 07:12:39

« Marche à quatre pattes, comme une chienne. »
Le coup de pied d'Elisabeth dans mon tibia me casse de hauteur, je redescends à ce qu'elle veut que je sois. Mon corps frissonne de la fraîcheur, de la douleur, du froid sur mes plaies.
J'ai si honte, je baisse la tête, je voudrais qu'on ne me reconnaisse pas, mais je suis sure que tous ces gens me regardent.
Eux, ils font l'amour, ils baisent, mais normalement ! Pas avec des coups. Pas avec n'importe qui ni n'importe quoi. Pas à casser, souiller, broyer.
Comme je les envie, comme j'aurais simplement aimé cela avec Elisabeth.

Mais, au lieu de ça, tout a dérapé, dès le début. Alors, quand on arrive à une petite maison, je suis à la fois soulagée de ne plus être montrée dans la rue, mais inquiète de ce qu'il y a derrière la porte.
Elisabeth a la clef. Sa maison ? Comment une lycéenne peut avoir ça ? Ce qu'on appelle une maison de passe ? Oh non !
Mais, en entrant, je vois que ça ressemble à une vraie maison, tout est rose. Pas le temps d'apprécier, car je me fais traîner au sous-sol, un réduit sombre, où Elisabeth lâche cette saleté de laisse pour la première fois.
La liberté ! Il me suffit de monter l'escalier, j'ai repéré le salon, la porte d'entrée. Mais je l'ai vue la refermer soigneusement. Et puis, sortir seule au dehors, nue en laisse, que va-t-il se passer ? Je vais me faire assaillir par tous les pervers de Seikusu !

Cette réflexion n'aura duré qu'une fraction de seconde, car Elisabeth a vite refermé la porte, me laissant dans ce réduit immonde.
Quand elle revient, ma déchéance se confirme plus encore. Un seau, une gamelle, et la laisse qui m'attache au solide mur.
J'ai honte, mais les coups dans mon ventre ont bousculé ma vessie, alors, sans même y penser, je rampe presque à quatre pattes, au dessus du seau, me soulageant enfin. Le liquide tinte mais, pour la première fois, sans souiller quelqu'un.

Elisabeth continue, sur sa folie :
« (...) Je vais te faire tourner dans des clubs clandestins ma petite chienne, tu vas avoir du mal à marcher durant des mois. »
Je n'ose même plus la regarder, j'espère que, là où elle veut m'emmener, quelqu'un me délivrera enfin.
Elle, elle est dans son délire, fière de me montrer que rien que de me voir uriner comme une chienne l'excite.
« Tant que la vue de ta souffrance me fera mouiller comme ça, je te garderai ici. »
L'avenir s'annonce terrible, mais je crains encore plus ce qu'elle fera, si je ne la fais plus mouiller comme elle dit.
Mon besoin soulagé, je me jette sur la gamelle d'eau, pour rafraîchir mes douleurs, restant à quatre pattes, comme par évidence, et je me mets à laper, comme par évidence aussi.
« Modifié: mercredi 18 juillet 2018, 07:33:10 par Verena »

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 58 mercredi 18 juillet 2018, 13:42:10

Elizabeth s'en retrouve excitée en voyant Verena uriner ainsi, elle qui pensait qu'elle aurait la pudeur d'attendre d'être seule !

- Quelle pute tu es, tu commences peut-être à aimer ça.

Elizabeth ne la laisse pas boire en paix, venant se placer au dessus d'elle, jambes écartées, et lui urine une énième fois dessus. Verena ne sera plus jamais en paix, tant qu'elle sera retenue prisonnière ici. Elle va connaître la débauche, et y prendre goût comme la petite salope qu'elle est ! Elizabeth en est persuadée. Si elle la traite comme elle a été traitée, elle finira comme elle.

- Allez, dors bien ma chienne.

Elizabeth ferme la porte et se dirige à l'étage, pour se déshabiller et prendre une bonne douche. La jeune femme ne culpabilise pas un instant pour ce qu'elle fait à Verena. La jeune femme était au mauvais endroit au mauvais moment, et avait agit avec elle de la mauvaise manière. Ce qui était arrivé ensuite n'était qu'une suite logique d'événements, du moins dans la tête d'Elizabeth ! La jeune femme s'était désormais trouvée une chienne, elle n'avait plus qu'à trouver la maîtresse qu'elle appréciait tant. Une fois sa douche terminée, elle enfila une petite culotte et un soutif, et se jeta dans le lit pour passer une douce nuit à rêver des sévices qu'elle comptait faire subir à Verena.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 59 mercredi 18 juillet 2018, 16:31:11

« Quelle pute tu es, tu commences peut-être à aimer ça. »
Je lève les yeux vers Elisabeth :
« Je n'ai pas vraiment le choix, depuis que je t'ai croisée à la bibliothèque ».
Et je rabaisse les yeux, fataliste, avant qu'elle ne souille même ma gamelle d'eau de son urine. Mais je n'ai pas le choix, je dois rafraîchir ma gorge ; peut-être que laper me fera supporter cela avec moins de nausée.

« Allez, dors bien ma chienne. »
La porte a claqué ; je suis seule dans le noir, seule sans fenêtre. Enfin seule ! Après ce que m'ont fait subir Elisabeth et les trois salauds, je pourrais me reposer, mais je ne sais pas si c'est le prélude à d'autres ignominies.
Elisabeth est si différente de ce que j'en connaissais. Celle qui est à l'étage du dessus n'a aucun scrupule, ne respecte rien de moi. Et, si je résiste, je suis sure que ce sera pire encore. Pourtant, j'ai peur de ce qu'elle me réserve encore.
J'ai de plus en plus froid, je me recroqueville dans un coin de la pièce, assise jambes relevées comme je peux, me blottissant du mieux que je peux, comme si je pouvais évacuer ces frissons à la fois de peur, de fatigue, de douleur, de nerfs.
Je ne parviens pas à dormir, pourtant je le devrais. Elisabeth va continuer ses folies, elle ne s'en cache pas, et risque de me mener à la plus vile décadence. Je dois me reposer ! Je ne m'endors que fort tard, mais pour errer dans des cauchemars peuplés de phallus, de chaînes, de maîtresses, et cette terrible constante qui revient, son plaisir à m'uriner dessus.


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