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Virginité & Littérature. [Verena]

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Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 30 dimanche 15 juillet 2018, 23:46:20

Elizabeth éclate presque de rire en remarquant qu'elle coupe Verena en pleine phrase avec sa pisse. Quel délice que d'être aussi sale ! La jeune femme s'en excitait terriblement, à mesure qu'elle continuait de lui triturer le trou du cul. Elle y enfonça sa langue, léchant ses parois anales sans retenues, allongeant sa langue pour pouvoir l'atteindre plus loin. Elle avait bien bu sa pisse sans râler, elle ! Verena n'avait pas son mot à dire, selon Elizabeth.

- Silence ! Les chiennes ne parlent pas, elles aboient !

Elizabeth appuya son cul contre le visage de Verena afin d'être certaine qu'elle ne puisse pas protester. C'était sa chienne, qu'elle ne l'oublie pas. Peut-être oubliait-elle trop vite ses cris de plaisir alors qu'elle lui avait labouré la chatte. Elizabeth en serait presque vexée, ce qui la fit non seulement redoubler d'efforts, mais aussi griffer les cuisses de la belle Verena. Cette pute devait souffrir !

- Hmmm... tu es délicieuuuuse...

Elizabeth souleva à nouveau son bassin pour le rabattre ensuite, puis le souleva à nouveau pour le rabattre une nouvelle fois. Successivement, la jeune femme lui donnait littéralement des coups de culs, éclaboussant de la pisse et de la mouille encore présente sur le visage de Verena.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 31 lundi 16 juillet 2018, 00:05:29

Elle se fout de moi ! Je ne suis rien pour elle, à part un exutoire pour satisfaire ses instincts. Elle me le confirme même, sans détours :
« Silence ! Les chiennes ne parlent pas, elles aboient ! »

Heureusement qu'elle m'écoute quand même un peu, et qu'elle arrêt de me triturer le cul sans aucun égard. Heureusement encore qu'elle remplace ses doigts par sa langue. C'est si doux, je ne pensais pas que c'était aussi excitant par là. Je me laisse faire, je commence même à onduler des hanches. Je comprends pourquoi elle aime que je lui fasse pareil, et je redouble même d'efforts. Et, vu comme appuie son cul sur mon visage, c'est qu'elle aime vraiment
« Hmmm... tu es délicieuuuuse... »
Ca m'aurait fait plaisir d'entendre ça, si elle n'avait pas labouré mes cuisses en même temps !

Pourtant, je m'applique, alors qu'elle lève son bassin.
« Oh Elisabeth, je voulais vous... »
Elle claque avec violence ses fesses sur mon visage, un coup féroce qui me fait mal. Je dois endurer, mais elle recommence à délirer.
D'ailleurs, elle recommence, tout court, relevant son bassin.
« Elisabeth, ce n'est pas ce... »
Elle le reclaque plus violemment encore, comme pour me faire vraiment taire. Les fluides encore présents sur mon visage, et encore prêts dans son bas-ventre, recommencent à se mélanger sur moi. Et encore ! Et encore !

Je ne peux rien dire, juste subir.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 32 lundi 16 juillet 2018, 00:12:39

- Bon, il s'agirait de jouir maintenant ma petite chienne !

Elizabeth se met cette fois à lui labourer l'entrejambe à l'aide de ses deux mains, lui enfonçant le maximum de doigts qu'il est possible d'y entrer. Ce qu'elle fait avec sa langue ne change pas, la jeune femme continue de l'introduire au plus profondément de son anus pour lui racler les parois anales sans retenue ni prudence. Tout est fait pour qu'elle jouisse, cela faisait un petit moment qu'elles s'amusaient sans recevoir d'orgasme non ?

Parallèlement, Elizabeth continua de la frapper du cul, non sans lui gicler dessus cette fois-ci, répandant sa cyprine un peu partout sur son visage. Quelle importance, ce n'est qu'une chienne à ses yeux et elle a bien dû s'en rendre compte ! Avec tout le plaisir du monde, Elizabeth continue sa petite affaire, incroyablement excitée de se sentir dégueulasse. Si excitée que la jeune femme lui pisse à nouveau dessus, puis alterne avec de la cyprine par dessus. Pisse, cyprine, sueur, tout se mélange à nouveau dans un torrent de liquides divers !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 33 lundi 16 juillet 2018, 00:41:36

« Bon, il s'agirait de jouir maintenant ma petite chienne ! »
Electrochoc ! Le mot n'est pas trop fort. Je me retenais, je peux me libérer.

J'ai la chatte encore mouillée, et Elisabeth ne me ménage pas. Mais ce qu'elle fait dans mon cul, depuis un moment, n'est plus de la douleur. C'est bon, c'est doux, je me concentre là-dessus. Ma taille bouge, peut-être à mon insu, et j'appuie sur mes jambes pour relever le bassin vers elle, pour qu'elle enfonce plus encore sa langue.

C'est brûlant, j'espère qu'elle ne prend pas ma virginité anale, j'aurais sans doute plus mal. Je gémis de plus belle, toujours étouffée par son cul loin d'être petit lui aussi. À chaque fois qu'elle le relève, mes « Ouiiii » et mes « Encore ! » sortent à tour de rôle.

Je ne les retiens plus, et, bassin en l'air, Elisabeth en profite, un de ses jets d'urine tombe encore dans ma gorge. Je tousse toujours autant, mais pas assez vite, car son cul se rabat à nouveau, m'obligeant de boire.

C'est âcre, je ne m'y ferai jamais, mais ça ne ralentit rien du tout. L'orgasme arrive, violent et ravageur. Je suis coincé par le cul d'Elisabeth, mais ma taille part en désordre. Les cris, car c'en sont, se perdent dans son cul.

Et mon « Ouuiiiiii ! », mes « Oh encore ! », mes « n'arrête pas ! » se perdent au creux de son anus.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 34 lundi 16 juillet 2018, 01:19:00

Et c'est bien ce qu'Elizabeth fût. Elle continua, de longues minutes, sa petite occupation. Chouchoutant Verena à sa manière, la jeune femme ne comptait pas la ménager. La jeune surveillante était littéralement assaillie de toutes parts, et recouverte de fluides corporels divers. Elle atteignit d'ailleurs l'orgasme, ce qui ne freina point Elizabeth, qui comptait bien continuer jusqu'à son épuisement total. La jeune femme allait bien devoir s'y faire ! Sa virginité appartenait avec Elizabeth, et elle s'en amusait avec grande satisfaction. Cette chienne ne méritait pas d'être vierge, seules les femmes pures sont vierges. Maintenant qu'elle avait été souillée de pisse et de sévices divers, la jeune femme était devenue une pécheresse. Une débauchée, une pute. Et pas n'importe laquelle, la pute personnelle d'Elizabeth. Du moins pour un soir, avant qu'elle ne finisse par se lasser d'elle. Elle n'oserait pas parler de ce qui s'était  passé ici de toute manière, Verena était clairement fichue ! Et Elizabeth s'en régalait intérieurement.

Une fois que la chienne eut bien joui, Elizabeth se releva pour lui pisser une dernière fois dessus, intégralement cette fois, et s'en alla un peu plus loin. La jeune femme se saisit des vêtements de Verena, qu'elle réduisait en lambeaux, pour l'obliger à repartir nue. De son côté, la jeune femme se créa simplement des vêtements après s'être entièrement débarbouillée en une fraction de secondes. Son pouvoir était décidément incroyablement pratique !

C'est avec dédain qu'elle regarda Verena, allongée dans une marre de cyprine et de pisse. Elizabeth lui cracha dessus, et, sans même bouger, créa de nouveaux liens autour de ses bras et ses jambes. C'était véritablement du sol que sortaient ces liens indestructibles, matérialisés à partir de la matière même du sol. Son pied étant en contact avec celui-ci, Elizabeth pouvait s'en servir pour créer à peu près ce qu'elle voulait comme elle le voulait.

- Bien, je crois que je vais te laisser la maintenant.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 35 lundi 16 juillet 2018, 08:06:22

Mon corps a mis longtemps à redescendre de cette phase d'extase. Elisabeth est complètement invraisemblable. C'est peut-être ça qu'on dit bipolaire. Elle est presque dangereuse, totalement irrespectueuse, mais je suis littéralement accro à tout ce qu'elle fait. Depuis que je l'ai surprise, j'ai joui je ne sais combien de fois, j'ai appris plein de choses, j'ai franchi plein de limites. Je mettais un point d'honneur à offrir ma virginité, mais ce n'est plus ma priorité. Elle ne s'en occupe même plus, du moment qu'elle s'amuse comme elle veut. Je dois rester dans son jeu, et, en plus, j'aime bien, car l'orgasme que je viens d'avoir, il n'était pas feint du tout.

Je supporte sans broncher ou presque des choses inimaginables, et, quand elle m'urine encore dessus en se relevant, ça ne me fait même plus réagir, ou si peu. Mais, delà à accepter cela franchement, et à boire ça comme elle, non !
Je suis bien, comblé, même si je suis recouverte de cyprine et de pisse, même si je baigne dans des relents du même nom. Je m'appuie sur les coudes pour la regarder vaquer.
« Eh, Elisabeth, mais que faites-vous ? »
En un instant, même pas une seconde j'en suis sure, elle a complètement déchiré mes habits, alors qu'elle, elle est à nouveau vêtue, impeccablement, comme quand je suis arrivée.

Ça ne va pas se passer comme ça ! Je me lève pour lui sauter dessus, furieuse. Enfin, j'essaie de me lever, mais je suis coupée net dans mon élan, ficelée, littéralement clouée au sol par des liens qui me font mal aux poignets et aux chevilles, quand je tire dessus.
« Non, détachez-moi ! Comment avez-vous fait ça ? »
Je tire, je me débats, je n'essuie qu'un crachat, comme la plus immonde merde de la création, et je retombe, dos au sol dans cette mare nauséabonde, vaincue, inquiète.
« Bien, je crois que je vais te laisser la maintenant. »
Une peur panique me saisit aussitôt au ventre. « Non, pas ça, ne m'abandonnez pas ! ». J'ai une réputation, une image, ma virginité. Elle ne peut pas m'abandonner ici, on pourrait me trouver comme ça et en abuser, quelle horreur. « Elisabeth, je suis prête à tout pour vous. ». Je dois m'accrocher à elle, ma survie, mon intégrité, mon honneur en dépendent. « Elisabeth, je vous aime, Maîtresse ». Ces mots me sont venus sans réaliser, m'effraient même. Lancés par désespoir ou par sentiment, même moi je ne sais pas, mais peu importe.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 36 lundi 16 juillet 2018, 12:19:08

Elizabeth alla se placer au dessus de Verena, jambes écartées, offrant une belle vue sur son intimité sans culotte. Elle allait devoir se montrer plus convaincante qu'avec des mots, celle la. Elizabeth prenait dores et déjà un malin plaisir à la torturer psychologiquement, et ce n'était pas fini. Verena n'avait pas idée des sales coups qu'elle comptait lui faire, ni d'à quel point elle serait soumise quand elle en aurait fini avec elle. Rien qu'à cette idée, Elizabeth frissonna.

- Tu m'aimes, dis-tu ? Qu'es-tu prête à faire pour moi ?

Elle posa un pied sur la poitrine de Verena, et la fit rétrécir pour qu'elle atteigne finalement la taille de sa poitrine initiale. Deux oeufs au plat tout au mieux. Elle allait devoir travailler dur pour la retrouver ! Ainsi attachée, la jeune surveillante était à la merci d'Elizabeth, elle était sa véritable chienne. Ce n'était pas si mal, après tout Elizabeth avait mérité d'avoir sa propre chienne après tout ce qu'elle avait du endurer. A côté de ça, Verena ne vivait rien.

- Tu penses souffrir, mais ce n'est que le début.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 37 lundi 16 juillet 2018, 12:44:26

Je suis réduite à rien, Elisabeth le sait. Elle a souvent employé me mot chienne, entre les mots pute et salope. Comment en suis-je arrivée là, nue et puante, attachée et soumise ? Je ne veux pas, mais je jeux. Moi, la fille de famille aisée, comment suis-je cette loque à terre ?

Elisabeth m'enjambe, m'offre la vue de sa chatte, qui me rend folle comme me rendent folle tous ses actes, fussent-ils violents. Je ne sais pas où ça m'entraîne, mais mon esprit ne parvient pas à retenir mon corps.

« Tu m'aimes, dis-tu ? Qu'es-tu prête à faire pour moi ? »
Question dangereuse, ma survie en dépend, mon plaisir aussi.
« Tout ! Tout, tant que je reste en vie, et que c'est notre secret. »
J'espère avoir bien répondu, je guette sa réaction.

Apparemment pas ! En posant simplement mon pied sur ma poitrine, je vois mes superbes seins s'aplatir, disparaître, ne me laissant que cette misérable poitrine qui me fait honte, face à la sienne.

« Tu penses souffrir, mais ce n'est que le début. »


Le message est clair.
« Je le sais, je m'en doutais, j'y suis prête. Je vous ai juste dit mes limites ».
Je n'ose pas lui dire mes autres peurs, la peur de perdre ma virginité sans en profiter, mon rejet de ses folies uro, la crainte de pratiques SM, et tant d'autres qui se bousculent dans ma tête.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 38 lundi 16 juillet 2018, 12:52:31

- Très bien, dans ce cas...

Un sourire narquois se forme sur les lèvres d'Elizabeth. La jeune femme pose une main sur son entrejambe, et, en quelques secondes seulement, y matérialise un pénis. La jeune blonde n'est pas une futanari naturelle, mais son pouvoir lui permet parfaitement de se doter d'un membre masculin, et ce, à tout instant. Et quelle queue ! C'est un membre long d'une trentaine de centimètres, parcouru de veines sur tout son long qui se présente à elle. Avec ça, Elizabeth va pouvoir la labourer sans retenue. C'est d'ailleurs ce qu'elle s’attelle à faire en se rendant près de sa chatte.

- Je vais te faire perdre ta vraie virginité, avec ma queue.

Sur ces mots, Elizabeth lui enfonce le gourdin, qui peine à rentrer tant sa chatte est étroite. Néanmoins, elle rentre tout de même en forçant un peu. Elizabeth ne lésine d'ailleurs pas, y allant franchement, sentant ses couilles claquer contre le cul de la belle Verena. Oui, elle la pénètre sans modération aucune, alors même que la jeune femme est vierge. Elle ne mérite pas la douceur, ni la modération. Tout ce que doit faire Verena, c'est accepter de gré ou de force cette queue qui la pénètre ardemment.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 39 lundi 16 juillet 2018, 13:08:23

« Très bien, dans ce cas... »
Ces mots, dans la bouche d'Elisabeth, auraient dû m'inquiéter. Je croyais la connaître, je ne la connais pas. Pas du tout même. Je ne sais pas d'où elle vient, ni quels pouvoirs cachés elle a. déjà sa façon de se jouer de moi, de mes habits, de liens, n'est pas rassurante.
Mais là, j'écarquille les yeux. Elle sourit, tandis qu'à son entrejambe, au dessus de moi, pousse, ui pousse un phallus. Non, pas une travestie ou une transgenre, je me rappelle bien de sa chatte ruisselante, de son urine.
Non, une vraie queue, difforme, énorme, avec des testicules remplies. J'écarquille les yeux ; même dans les livres que je regardais en cachette, je n'ai jamais vu ça, pas davantage sur les corps que mon père opérait.
« Mais c'est quoi ça ? »

« Je vais te faire perdre ta vraie virginité, avec ma queue. »
Je blêmis, en panique.
« Non, pas ça, pas comme ça ! »

Mais Elisabeth se moque de mes suppliques ; moi, je la protégeais, elle, elle me réduit à néant. J'essaie de tortiller ma taille, pour éviter l'horreur, mais les liens sont si serrés qu'ils me maintiennent, offerte et impuissante.
« Aïe, non, arrête ! »
Je hurle, peut-être tout Mishima entendra mon cri, et viendra à mon aide, même dans ces conditions.
Je viens de la tutoyer, pour la première fois, mais je m'en fous. Elle va trop loin !
Je vois le sourire d'Elisabeth, elle est sure d'elle. Le gourdin a déjà franchi mes lèvres, j'ai mal, je pleure, elle a dû tout déchirer.
« Arrête, je t'en supplie ! »
Je pleure, je souffre, mais je sais la suite, je la crains.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 40 lundi 16 juillet 2018, 13:30:33

Elizabeth éclate d'un rire sadique.

- Et bien, n'es-tu pas prête à tout pour moi ??!!

Elizabeth la baise violemment de son énorme gourdin, faisant bien la taille d'un avant bras. Juste assez pour la détruire, sans tout casser à l'intérieur. Il ne faudrait pas la mettre trop mal en point. C'est ainsi que, sans la moindre once de douceur, Elizabeth détruit littéralement Verena de ses coups de queue dévastateur. La jeune blonde sent ses couilles claquer successivement contre le cul de la belle, et sa bite élargir ses parois intimes. Quel plaisir immense !

- Han... haaan... haan... hmmm...

Sa queue claque, claque, et claque en rythme. La mouille gicle à l'extérieur du corps de Verena, expulsée par le gourdin qui la viole sauvagement. Sa chatte rejette même un peu de sang, ce qui est normal, pour une vierge. Surtout lorsque l'on se fait baiser ainsi. Elizabeth ne lésine pas, et défait les liens enserrant les jambes de Verena pour pouvoir attraper ses jambes et la baiser en restant debout, laissant ses mains et ses bras attachés. Elizabeth prend un immense plaisir, son visage et ses gémissements le traduisent. La jeune femme n'a pas l'habitude de se doter d'une queue d'homme, mais quand elle le fait, c'est toujours délicieux !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 41 lundi 16 juillet 2018, 19:24:21

« Et bien, n'es-tu pas prête à tout pour moi ??!! »
Je craignais cela, je n'ai plus aucun doute. Je souffre, il n'y a aucun amour, aucune tendresse, juste de la violence. Je ne suis que son jouet, et ma virginité va voler en éclat, déchirée sans le moindre sentiment. J'ai mal d'être ainsi ouverte, j'ai mal de ses coups de reins, j'ai mal de cette virginité que je préservais.
« Han... haaan... haan... hmmm... »

Ma chatte doit être béante, mes lèvres sont distendues, je sens l'énorme phallus buter, écarteler. Elisabeth y va avec toute la violence qu'elle peut, elle me viole. Oui, elle me viole, elle me défonce malgré moi. Et moi, je ne crie même plus, je serre les dents, je ferme les yeux.
Ma virginité a dû mourir sous cet assaut, et j'imagine même son plaisir à en voir les vestiges sanguinolents.

Je crois mon supplice s'apaiser, quand elle me détache les chevilles, mais c'est pour me mettre dans une pose plus indécente encore, et elle relève ma taille à sa hauteur pour me pilonner debout. Elisabeth continue de plus belle, comme si la pose lui permettait d'aller plus loin encore. Elle joue avec mon bassin, elle en fait ce qu'elle en veut. Mais cette posture me fait venir le sang à la tête ; je sens les cognements dans les tempes. Je ne tiendrai pas longtemps, entre les coups de boutoir et la tête en bas. Mais, même si je m'évanouis, je ne suis pas sure que ça l'arrête.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 42 lundi 16 juillet 2018, 20:46:06

Elizabeth prend en effet le plus grand plaisir du monde à briser ainsi sa virginité, violant sans retenue la jeune femme. Son calvaire est loin d'être terminé. Au bout de quelques minutes, après tout Verena n'est pas très endurante, c'est une vierge après tout, Elizabeth jouit. Elle jouit silencieusement, mais son nouveau membre déverse une quantité impressionnante de foutre à l'intérieur de sa chatte, si bien qu'elle en dégouline. La pauvre Verena ne peut pas tout contenir en elle.

- Hmmm... aah... putain...

Alors qu'elle pense peut-être enfin être tranquille, ce n'est pas le cas. Elizabeth ne débande pas, et enfonce cette fois son énorme queue dans le cul de la surveillante pour le ramoner en profondeur. Même schéma que pour sa chatte, les couilles d'Elizabeth claquent en rythme sur son fessier, et ce plus violemment encore que pour sa chatte. Son cul est bien plus étroit après tout !

- Si tu t'évanouis ou que tu cries je fais pareil avec ta gorge !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 43 lundi 16 juillet 2018, 22:05:47

Je me cramponne comme je peux, à la vie, à ce que je subis. S'évanouir, c'est risquer je ne sais quoi. Elisabeth est folle. Ma respiration est saccadée, j'ai la gorge en feu, les larmes coulent sans discontinuer.
Il paraît que perdre sa virginité n'est pas toujours un plaisir. Pour moi, c'est un calvaire. Et, quand je sens une giclée de cette queue dont je ne comprends même pas l'existence, c'est presque un soulagement. Une giclée, une autre, et encore. Je ne pensais pas qu'un membre aussi disproportionné envoyait autant de sperme en proportion. Je me sens envahie, je dois même ruisseler à l'extérieur du trop-plein.
« Hmmm... aah... putain... »

Au moins Elisabeth apprécie, alors que moi j'apprécie ce répit. Je n'ai pas joui, mais peu importe ; j'ai juste souffert, de douleur et de perdre ma virginité ainsi.

Mes larmes coulent toujours, mais l'horreur n'est pas passée !
« Non, pas là, arrête, je t'en supplie ! »
Je sens le monstre énorme à l'orée de mon anus. Elle ne va pas ! Ce n'est pas possible. Elle va me déchirer ! Mais elle s'en fout. J'ai beau essayer de me crisper, essayer même de ne pas penser, essayer de me dissocier de mon anus qu'elle force, rien n'y fait.
« Noooonnnn ! », mon cri est aussi fort que j'en ai encore le souffle, rien n'arrêtera Elisabeth.
« Si tu t'évanouis ou que tu cries je fais pareil avec ta gorge ! »
Elle s'enfonce encore plus violemment que dans ma chatte, elle va briser mon anus ! Je me crispe, je serre les poings. Elle me tient à bout de bras, comme si ça l'amusait que la gravité fasse naturellement prendre appui à mon cul sur sa pseudo-queue.

S'évanouir, c'est subir pire encore, elle l'a dit. Et je ne vois pas ma gorge supporter ce truc. Pourtant, je faiblis.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 44 lundi 16 juillet 2018, 22:53:58

Elizabeth lui prend le cul avec plaisir, défouraillant de l'intérieur la belle Verena. Il semblerait qu'elle ne prenne pas son pied, mais peu lui importe ! Seul son propre plaisir personnel est important dans l'équation. Verena n'est qu'une vide couilles, un moyen pour elle de satisfaire des envies les plus brutales. C'est donc une seconde fois qu'elle se vide, cette fois-ci dans son cul, la remplissant une nouvelle fois de sperme visqueux et gluant. Elizabeth la laisse retomber lourdement au sol, et lui donne un coup de pied.

- Voilà, bonne pute.

Elizabeth remet ensuite sa culotte et s'en va purement et simplement en refermant la porte derrière elle. Sans un mot. Laissant Verena dans le noir, nue, et attachée. Qui sait si elle compte revenir, et comment. Peut-être prépare t-elle quelque chose, ou peut-être a-t-elle tout simplement décidé de la laisser la. Baignant dans un océan de foutre, de mouille et de pisse. Un vrai cadeau pour quiconque la trouverait, donc.

Le temps passe. Dix, vingt minutes. Aucun signe d'Elizabeth.


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