Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Wenoy

Invité

  • Messages:

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mercredi 04 juillet 2018, 20:21:27

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« Modifié: mercredi 01 novembre 2023, 21:40:20 par Kõya Breathless »

Marie_DLV

Humain(e)

Entre richesse et pauvreté - [PV]

Réponse 1 mercredi 04 juillet 2018, 23:52:55

Cette salope de Mishiko, si je la revois, je la bute, mais après lui avoir fait endurer tout ce qui existe, l'avoir réduite à l'état de rien, qu'elle me supplie de l'achever. Jamais, je ne m'étais donné à une femme ainsi. Jamais, je n'avais été aussi amoureuse. Jamais, je ne me suis sentie autant trahie. Qu'elle me trompe avec ce vieux dragueur de Professeur Bathany, ça ne passe déjà pas. Mais qu'elle pique ma tenue en latex, et trois de mes cravaches, pour aller faire la pute chez ce vieux salaud, je ne le supporte pas. Pourquoi pas se faire sauter par lui dans mon propre lit, pendant qu'elle y est ? Peut-être qu'elle l'a déjà fait ? Il faudra que je désinfecte les lieux au cas où.

« Mishiko, je te tuerai, toi et toutes les bâtardes de ton genre ! ». La trahison, c'est vraiment ce que je déteste le plus. « Si je te chope, je te défonce le cul avec le plus gros gode de la création ! ». Les vengeances les plus monstrueuses occupent mon esprit, tandis que je marche dans les rues de Seikusu, essayant de me détendre, claquant des talons au sol pour évacuer ce trop-plein d'énergie. Il va falloir que je l'évacue vraiment, il faut que je trouve une donzelle qui va payer pour Mishiko, et tant pis si je m'attaque à une parfaite innocente !

J'ai failli craquer pour une bimbo rose fuschia, assise seule sur un banc, mais elle doit causer sur son smartphone, au lieu d'assumer tous les regards sur elle. Ç'aurait été mieux que rien, parce que, là, je rentre seule ; rien à me mettre sous la main, juste vont me revoir, ce soir, ces quelques contacts insipides d'un site à la noix. Et, quand ils s'endormiront d'avoir joui sous mes coups de fouet virtuels, je serai toujours aussi seule. « Mishiko, je te hais ! ».

« Tu m'énerves ! D'ailleurs, tout m'énerve ! ». Mais je marque un temps d'arrêt, tandis que je m'apprête à actionner la télécommande du portillon de ma villa. « C'est quoi ça, en face, cette souillon avec une robe d'un autre siècle, assise au pied du bâtiment de la Stump and Coklin Company ». Pas une de leurs employées, car elles sont toujours élégantes. Une pauvre, une SDF ? Ici, dans ce quartier ? A quoi payer la police montée, si c'est pour que ça squatte nos trottoirs ?

Et soudain, l'éclair de génie, l'illumination : voilà mon souffre-douleur du soir, celle qui va payer pour cette salope de Mishiko. Hum, je vais te la faire rôtir à grands coups de cravache, et te la faire distendre avec tous les toys possibles. C'est un cadeau tombé du ciel !

Je traverse, m'approche : « Mademoiselle, que faites-vous là ? ». Elle lève les yeux vers moi, elle a un regard si triste, elle semble si épuisée. On verra, dans quelque temps, comment elle sera, lorsque je me serai occupée d'elle ! « J'habite en face ; venez prendre un bain, sinon vous allez prendre froid. ». Et, sans lui laisser le temps de réfléchir, je la saisis de ma main gantée, la force à se relever, « Venez ! ».





Marie_DLV

Humain(e)

Re : Entre richesse et pauvreté - [PV]

Réponse 2 jeudi 05 juillet 2018, 07:38:56

Je déteste les souillons, c'est d'une vulgarité indécente ! Pour moi, une femme est élégante, même avec une simple culotte fendue sur sa chatte ruisselante, alors qu'elle est vulgaire dans une de ces robes sacs sans forme ni élégance. Et là, il faut admettre que celle-ci va loin, côté vulgarité. Mais bon, pour ce que je veux en faire, un bon bain, quelques fragrances, une robe à sa taille que je trouverai bien, et hop, ça me suffira pour la journée, peut-être la nuit si je n'ai pas fini de jouer. Et, si je la jette dehors ensuite, elle gardera même la robe pour masquer les zébrures sur sa peau, celles que je ne pourrai plus faire à Mishiko.

« "Je... Pourquoi moi ? On ne se connait pas ? Vous ne pouvez pas m'inviter comme ça chez vous ? ». Ca, par contre, ce n'était pas prévu ! Comment une telle souillon peut refuser une main tendue ? Je maintiens la pression de ma main sur son poignet, elle a la peau toute douce pour quelqu'un qui ne prend pas soin de soi. Hum, une peau si douce, c'en est d'autant plus excitant à marquer.

« Allez ! Je n'aime pas me donner en spectacle. Suis-moi ! ». J'insiste, je n'aime pas, ou plutôt je n'aime plus qu'on me résiste, ou, à la limite, quand celle qui est attachée devant moi et m'offre son cul tentateur, se débat pour essayer d'éviter le gros gode ceinture qui va la distendre.

Mais, soudain, « Je vais vous suivre si cela peut vous faire plaisir... ». Je ne sais pas si elle a vu la Vierge Marie ou un suppôt de Satan, mais le changement d'attitude est radical. « Mon plaisir oui, mais le tien aussi », lui réponds-je du tac au tac. Elle comprendra assez vite ce que ça veut dire.
Télécommande, ouverture du portillon, fermeture, ma proie est dans ma tanière. Elle se laisse même mener très docilement vers son supplice. J'adore cette petite main menue, comme cette confiance qu'elle me témoigne, sans même savoir ni où je la mène, ni pourquoi je l'y mène. Belle insouciance que j'adore, la suite n'en sera que plus délicieuse.

Je l'entraîne sur les marches, le vestibule nous accueille avec sa luminosité que j'adore, comme une cathédrale de verre, juste meublée d'un canapé et d'une table basse. Il garde mes secrets, et j'adore y exposer le corps nu d'une soumise pour darder de mille lueurs solaires mes marques sur son corps. Hum, claquer d'un coup sec la cravache, juste là où se pose la lumière de l'astre solaire, comme une indication, est la marque d'une déesse. « Mets-toi nue, je vais chercher ce qu'il faut ! », l'ordre est sec et je tourne les talons, sans me soucier de sa réaction. Et, poussant la porte sur le petit côté, j'ajoute « Puis direction la salle de bains ! », martelant d'un dernier coup de talon bien sonore l'obligation d'exécuter mes ordres.

Je disparais, la laissant à la bonne exécution de mes ordres. Mon dressing ! Je sais ce que je veux pour elle, juste un élégant peignoir blanc à liserés rouges pour l'instant. Rien d'ostentatoire au début, pour ne pas l'effrayer; j'ai quand même du mal à croire à ce côté Sainte Nitouche. Et, pour après le bain, je concocte juste un joli assortiment, pour mettre en valeur ce que je devine être un joli petit lot. Vu ce que j'ai entraperçu de sa poitrine, fièrement dressée sans le moindre soutien-gorge, c'est du beau, c'est du charnel.
Je me délecte à l'avance de la suite, en retournant vers le vestibule. Elle a intérêt à avoir ôté ses haillons, sinon je m'en charge ! Je dois garder cette fermeté, cette distance, cette quasi froideur, sinon c'est m'exposer, c'est mettre ma fragilité en avant, c'est lui montrer qu'il y a une faille. Mishiko l'avait découverte; je la voulais soumise à toutes mes perversions, mais son intelligence a eu raison de ma carapace, et, une nuit d'automne, je me suis retrouvée attachée, à subir ses assauts, et à en jouir comme la pire des salopes.
 
Alors, avec cette souillon, pas d'erreur!
« Modifié: jeudi 05 juillet 2018, 11:48:49 par Marie_DLV »

Marie_DLV

Humain(e)

Entre richesse et pauvreté - [PV]

Réponse 3 jeudi 05 juillet 2018, 23:47:28

Hum, je suis très fière de mon idée. Une belle préparation, un bain juste tiède, ces sels que j'aime, et je m'occuperai même d'elle si elle veut. Puis une tenue sexy pour la soirée ; quitte à m'offrir un cadeau, autant qu'il soit à mon goût. Seule inconnue pour le moment, je ne sais pas si je l'emmènerai jusque dans ce joli donjon que j'ai fait aménager dans le sous-sol. Vu la paysanne que c'est, voilà bien un truc qui pourrait l'effrayer !

Je suis d'humeur toute guillerette, lorsque je pousse la porte donnant sur le vestibule, mais le sourire ne dure pas. Cette souillon a été incapable de m'obéir, et elle me sourit en faisant des compliments sur mon canapé. Mais je m'en fous de ce canapé vieillot, de ses goûts en matière de meubles.
« J'avais dit nue, entièrement nue, pas qu'une partie, pas pour faire des galipettes sur ce canapé ! ».

Je claque le talon sèchement à terre : « Quand j'invite quelqu'un chez moi, j'attends un minimum de respect, pas du grand n'importe quoi, et encore moins de la désobéissance ! ». J'ai envie de la gifler, mais mon regard s'arrête sur ses cuisses nues. Bon, j'oublie sa culotte vraiment moche, mais ses jambes, quel élancement, quelle finesse, un peu trop blanches, un peu trop maigres, mais si belles malgré tout.

J'essaie de reprendre mon calme. « Moi, c'est Marie. Et toi ? ». Mais, pas tout à fait calmée, je saisis son poignet et, tenant toujours dans l'autre main les habits préparés, je la fais se lever sans douceur, et l'entraîne de force vers la chambre d'amis sur la gauche.
Ce n'est qu'une fois à l'intérieur de la pièce, que je lâche son poignet. « Je t'ai apporté un peignoir. Tu peux le passer, et aller te rafraîchir ; la salle de bain est juste au fond de cette chambre ». J'essaie de poser un peu ma voix ; si je ne me contrôle pas, elle se retrouvera illico poignets attachés, avec une bonne correction sur ses fesses. « Je t'ai aussi apporté une tenue plus légère, pour après le bain. Tu me rejoindras à la cuisine, j'y prépare de quoi te restaurer ». J'espère qu'elle a compris, cette fois. Je lui adresse un dernier regard en sortant : « Mon Dieu, il te faudrait bien quelques kilos de plus ».
Et je claque la porte sèchement, le martèlement de mes talons ne lui laissant aucun doute sur mon éloignement.


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