Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'Entreprise [PV : Alice]

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Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 60 mardi 20 novembre 2018, 23:03:56

Le Docteur de la Boissière allait sans doute regretter ce qu’il avait fait… Ou du moins, sa fille allait regretter ce qu’il faisait. Vivant à Nice, confortablement, sa fille était une fille un peu rebelle de 17 ans qui méprisait son père qui, officiellement, travaillait dans une petite entreprise de merde qui faisait de l’encre… La honte, quoi, comment raconter ça à tes copains pour qu’ils te trouvent classe… Et donc, voilà que le gros docteur allait être transformer, et que bientôt, sa fille allait découvrir les joies du sexe avec son père ! Et ouais, c’était une bonne punition avec aspect familiale… Sans doute que d’ailleurs, après, la mère allait entrer dans l’équation, bien qu’elle n’était pas encore mentionnée pour le moment… Mais cela ne serait tarder, sans aucun doute…

Mais oublions de la Boissière, vous le voulez bien ? Concentrons-nous un peu sur Lucie et son amie Jeanne… En effet, la jeune femme avait été bien préparée pour cela ! La cagoule n’avait rien à voir avec ce qu’on pouvait trouver parfois. Elle était totalement moulante et étanche. Moulante, car sa tête était entièrement modelé par l’ensemble… Et étanche, car elle ne voyait rien. Elle était dans le noir totale, pas une lueur arrivait jusqu’à elle… Et pareil pour les oreilles, elle était sourde. Enfaite, seule le tube de respiration lui permettait d’avoir un contact avec l’extérieure… Elle était donc coincée, dans un monde à part, où le seul contact avec l’autre monde, et bien, c’était son sens du toucher...

à l’aide de la laisse, elle fut guidée dans la cage, non sans avoir été équipée d’un nouvel engin… Le fameux vibromasseur, qui était là pour faire son taff (et qui sans doute allait le faire avec efficacité, cela ne fait aucun doute, n’est-ce pas?)… Mais aussi un plug anal dans son cul. Bah oui, pourquoi ne pas en profiter ? Maintenant, cela ne la fit pas souffrir le moins du monde. Enfaite, un plug anal, c’était presque trop peu pour F-182, qui avait été formée pour subir bien pire, oh oui, bien pire ! Elle était totalement réécrite pour le sexe, et elle n’était plus du tout dans le même monde que Jeanne… D’ailleurs, quand on parle du loup…

« … Je... »

Oh ça y est ! Ce n’est pas trop tôt… Elle commençait enfin à émerger. Pendant un instant, la doctoresse Michelle eut un peu peur, en se demandait si elle n’avait pas forcée sur les doses de drogue… Aucune inquiétude, elle était une experte de chez experte, et donc, connaissez bien par coeur comment cela marchait…  Donc, il n’y avait aucun risque qu’elle se trompe dans les dosages… Mais vous savez, dans la précipitation, il arrive souvent qu’on se trompe… Pas la doctoresse Michelle, mais même elle était parfois hésitante de ces talents… Mais retournons à Jeanne, qui continuait d’émerger… Et qui sentait quelques choses… Quelques choses qui était… mou… ?

« HIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! »

Elle cria ! Bah oui, imaginez, vous avez récupéré vos esprits, et là, BAM ! Le premier truc que vous attrapez, c’est un gros beau sein qui pendouille… Et que la personne auxquel le sein est rattaché -car je vous rassure, le sein est bien attaché à une personne, sinon, ça serait encore pire, si vous voulez mon avis-, et bien, elle est entrain de commencer à vous toucher ! Car oui, comme dit précédemment, et bien, Lucie n’avait accès ni à sa vue, son ouïe, son odorat… Il ne lui restait plus que le toucher, et donc, évidemment, elle palpait le monde uniquement par ce sens… Et comme il n’y avait qu’une seule chose dans ce monde autre que le sol et les froids barreaux, et bien, c’était Jeanne, qui en toute logique, et bien, se retrouvait à se faire toucher…

« Approchez pas ! APPROCHEZ PAS... »

Elle tenta de s’éloigner, mais c’était absolument sans espoir ! Bah oui, la cage était bien trop petites… Les deux étaient dans un espace extrêmement confinés, empêchant donc les deux de sortir… Et donc, voilà que les deux filles étaient quasiment l’une sur l’autre. Surtout que Lucie, enfin F-182, n’obéissait absolument pas aux demandes de Jeanne. Elle n’était pas du tout entrain de tenter de s’éloigner, et au contraire, elle s’approchait de plus en plus… Non, non ! Jeanne ne voulait pas, elle ne savait pas ce qu’était cette horreur, elle avait été téléportée dans un film d’horreur ou quoi ? Elle n’en savait rien, mais ça donnait vraiment l’impression… Cela aurait été limite mieux que la révélation qui vint ensuite…

« … Lu… Lucie… ? »

Oh mon dieu ! Ce qui devait arriver arriva… Et oui, Jeanne commença à reconnaître son interlocutrice… Sa meilleure amie… Elle était choquée et ne voulait pas le croire, pourtant, la femme qui s’approchait de plus en plus d’elle était bien Lucie… Elle ne pouvait pas en être sûre pour le moment, à cause de cagoule… Bref, coincée, elle sentait que Lucie approchait de plus en plus avec le vibromasseur… Heureusement, c’était encore hésitant : et ouais, de tout son entraînement, c’était la première fois que F-182 avait un rôle actif ! Heureusement j’ai dis ? Bien sûr que non, pour Jeanne, c’était encore pire, car cela arrivait, cela approchait de plus en plus… mais elle ne savait pas quand ça allait arriver… Mais une chose était sûre… Elle allait perdre sa virginité avec sa meilleure amie !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 61 lundi 26 novembre 2018, 00:35:02

Il n’y avait aucun espoir pour Lucie, et, depuis son trône, Leona ne put que glousser quand elle vit la jeune fille se réveiller, et reconnaître, à la corpulence de F-182, son amie. Elle but un peu de vin, et croisa un peu les jambes pendant quelques secondes. Ses collants crissèrent doucement, et elle les écarta ensuite, incitant à l’une de ses esclaves à venir lécher sons exe, à travers sa culotte. L’une de ses suivantes obtempéra rapidement, pendant que Leona voyait F-182 se rapprocher. Peu habituée à être libre comme cela de ses mouvements, l’esclave s’avança lentement, jusqu’à rejoindre le corps de Jeanne. Son corps heurta le sien, et F-182 le palpa avec ses mains, appuyant sur ses lèvres, sur le reste de son corps, sentant ses seins, des signes qu’elle devait reconnaître. Depuis des jours qu’elle était ici, à Ravenborn, F-182 ne vivait que de sexe. Il n’y avait aucune autre alternative à son déclin, à cette vague incessante de perversion, et, tandis qu’elle palpait le corps de la femme, elle approcha son vibromasseur de son sexe.

Elle ne pouvait pas entendre Jeanne, elle n’entendait que des gémissements agaçants, imperceptibles, et inaudibles pour elle. Leona sourit encore, et se délecta en entendant Jeanne hurler quand la femme la pénétra. F-182 y alla même assez franchement, posant ses mains sur les hanches de Jeanne, venant la pénétrer durement. Le corps de la femme se mit à rebondir contre la croix, tandis que, inlassablement, F-182 y allait. Elle devrait même sûrement en tirer un certain plaisir, qui n’échappait nullement à Leone, qui se mit à glousser doucement.

« Vas-y, soupira-t-elle, baise cette salope... »

Le spectacle était exquis ! Entre-temps, l’une de ses esclaves lui expliqua que les deux filles étaient très proches. Elle s’était renseignée sur les réseaux sociaux, présentant des photographies des deux filles à Dijon, se prenant en selfies devant le Palais des Ducs de Bourgogne.

« Il est étonnant que cette fille nous ait échappés... Mais je n’aurai jamais cru qu’elle puisse aller aussi loin.
 -  Cela arrive de temps en temps, Déesse. »

Leona hocha doucement la tête. Elles se connaissaient depuis l’école primaire, ce qui l’amusait encore plus. De l’autre côté de l’écran, les protestations de Jeanne devaient commencer à agacer F-182, ce qui amena le Docteur Michelle à lui apporter un vibromasseur. F-182 put ainsi le fourrer dans la bouche de la femme, et continua à la prendre, déplaçant ensuite ses mains sur les fesses de Jeanne, cette zone de plaisir. Si proche des deux femmes, le Docteur Michelle mouillait sur place devant ce spectacle irrésistible.

Si proche des deux femmes, le Docteur Michelle pouvait sentir toute l’intensité des coups de reins de F-182, qui commençait à besogner furieusement la femme. Et Jeanne, avec les drogues qu’elle avait reçues, ne pouvait empêcher le plaisir de venir en elle. Le vibromasseur vibrait dans sa bouche, bien planté en elle, manquant presque de l’étouffer, ce qui permettait à F-182 de la baiser fortement, sans désormais avoir à se soucier des bruits dérangeants.

Il n’y avait plus qu’elles, elles et le désir, rien que le désir, tout le désir...

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 62 samedi 01 décembre 2018, 23:32:09

Enfermée, elle n’avait aucune chance… Elle était coincée, et Lucie s’approchait de plus en plus… Toutes deux orphelines, Lucie et Jeanne s’étaient toujours appréciés, et avaient été les meilleures amies du monde. Sans doute car elles se comprenaient. Pourtant, elles étaient différentes… En effet, Jeanne était beaucoup plus active, dynamique, joueuse et caractérielle que la fameuse Lucie, qui avait toujours été la calme et réfléchie du groupe. Un peu la Blue Oni de la Red Oni qu’était donc, en comparaison, Jeanne. Voilà, elles étaient différentes, et maintenant réunies dans une même cage, où elles allaient faire l’amour, les deux sans doute contre leur gré si Lucie était encore intact… Jeanne tentait d’ailleurs de raisonner son amie, de l’arrêter, en usant de sa voix… Sauf que, malheureusement, cela ne marchait pas bien…

« Non, Lucie, non, ne fait pas ça... »

Elle était sûre maintenant. Sûre, car premièrement, elle était venue pour retrouver Lucie, et ainsi, l’avait retrouvée. C’était donc logique qu’elle la retrouve… Dans cet état ? Oh non, ce n’était pas du tout ce qu’elle avait pensée trouver… Elle n’aurait jamais imaginée sa meilleure amie ainsi, transformée en une créature qui semblait totalement perdue, et qui ne cherchait visiblement qu’à faire du sexe. Le second point, c’était qu’elle avait déjà vu sa meilleure amie presque nue… Et ainsi, elle voyait le corps de son amie ainsi… Elle se concentra sur les seins, quelques peu. Et ouais, elle avait toujours été jalouse de la poitrine de son amie, bien plus belle et… Voluptueuse que la sienne, elle qui était plutôt plate.

« Ne fait pas… Ne… AAAAAAAAAh ! »

Elle n’eut pas le temps de le dire deux fois. En effet, arriva ce qui devait arriver… elle fut prise par sa meilleure amie. Et contrairement à Lucie dont la virginité était soigneusement protégée, étant donné qu’elle serait un cadeau, et bien… Jeanne apprit qui allait prendre sa virginité… Un énorme god, par sa meilleure amie, qui était absolument pas délicate… Oh, non, Jeanne était prise vigoureusement, car Lucie ne connaissait qu’une seule et unique façon de prendre une femme : la prendre avec violence et brutalité ! Donc, voilà, elle avait perdue sa virginité par sa meilleure amie, qui ne semblait pas la reconnaître, ou pire, qui semblait s’en foutre qu’elle ait été sa meilleure amie… Venue pour la sauver. Quel ironie.

« Ma… madame arrê… MMMH ! »

Peut-être une aide ? Bien sur que non ! En effet, car l’arrivée de la doctoresse n’amena qu’une seule et unique chose… Un bâillon. Mais pas n’importe quel baîllon, étant donné qu’ainsi, la fameuse Jeanne apprit à faire une gorge profonde, pour la première fois de sa vie ! Ainsi, en l’espace de quelques instant la fameuse adolescente apprit à faire une gorge profonde, et se faire prendre, perdant virginité vaginale et buccale d’un seul et unique coup… Les deux femmes étaient l’une contre l’autre, et ainsi, sans aucune pitié, Jeanne était prise avec fureur et efficacité… Et les deux étaient l’une contre l’autre, dans du plaisir, du plaisir, et encore plus de plaisir. Enfaite, pour tout dire, il n’y avait même plus qu’une chose, hein… C’était le plaisir. Du plaisir. Encore plus de plaisir. Toujours plus de plaisir.

Et voilà qu’elle prenait du plaisir… Non brisée, Jeanne se demandait… Et si c’était ce qu’elle avait toujours voulu ? Que Lucie soit là, et qu’elle soit prise par sa meilleure amie ? Avec les drogues, elle ressentait énormément de plaisir, et de moins en moins de souffrance… Ajouté au fait qu’elle avait toujours été jalouse de la magnifique poitrine de Lucie, de son corps magnifique également… Et si enfaite, elle était tout simplement jalousie de Lucie ? Et qu’elle voulait… Mon dieu, elle se rendait compte qu’elle était entrain d’être heureuse d’être violée, heureuse que sa première fois soit là, dans une cage, en compagnie de sa meilleure amie… Se rendait-elle compte qu’elle était maintenant captive ? Qu’elle allait connaître un sort similaire à sa meilleure amie, voir peut-être pire, car elle n’était pas « parfaite » comme Lucie ? Suite au prochaine épisode…

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 63 lundi 03 décembre 2018, 00:57:50

Sans aucune hésitation, F-182 fourra dans la bouche de Jeanne le vibromasseur. L’appareil phallique remua entre ses lèvres, sans que personne ne vienne la secourir. Et F-182 y allait encore, donnant des coups de reins tout en remuant son corps dans le sien. Depuis son siège, Leona mouillait à cette scène. Elle connaissait maintenant très bien les liens sentimentaux unissant ces deux femmes, et, loin d’émouvoir quoi que ce soit en elle, cette situation l’excitait fortement. Leona n’appartenait pas au même monde que ces femmes. Elle était effectivement une Déesse, et, comme les Olympiens en leur temps, se gaussait de ces humains, se jouait d’eux, y tirant là son plaisir, tout en les soumettant, en les brisant, et en les humiliant. Leona Morimoto était la perfection même, tant physiquement qu’intellectuellement, ce qui était là l’ultime démonstration qu’elle n’était pas une simple humaine. Elle buvait encore en continuant à les observer, gloussant doucement.

Comme elle s’y attendait, Jeanne commençait à prendre du plaisir, et ses hurlements paniqués devenaient également marqués par le plaisir qui se diffusait en elle. Imperturbable, F-182 continuait à la prendre, à la pénétrer, faisant s’écouler les minutes. Leona les laissa ainsi jouer entre elles jusqu’à ce que Jeanne n’atteigne l’orgasme. Elle hurla en jouissant, et Leona donna ensuite ses instructions au Docteur Michelle. Celle-ci fit appel à plusieurs infirmiers, et des hommes solides approchèrent, préparant la suite, en amenant dans la cage un lourd chevalet qu’ils posèrent dans un coin.

Ceci fait, il fallut ensuite attendre que Leona arrive. Évidemment, pendant tout ce temps, F-182 continuait à baiser sa meilleure amie. Un infirmier l’arrêta ensuite en tirant sur la laisse, ce qui serra le collier autour du cou de F-182. Il fallut s’y prendre à plusieurs reprises pour qu’elle se retire. Leona se déplaça ensuite, et arriva dans le dos de la femme, qui était en sueur. Sa main caressa le gode de F-182, et se déplaça entre ses cuisses, tout en retirant les bouchons qui bloquaient les oreilles de la femme, et en commençant à lui ôter sa cagoule.

« Hm-hm, c’est bien ce que je pensais, il n’y a pas que de la sueur... Tu as joui, ma petite cochonne, hein ? »

Leona gloussa dans le creux de l’oreille de son esclave, puis jeta ensuite la cagoule au sol. F-182 put ainsi voir la femme qu’elle venait de violer...

« Oui, tu la reconnais, n’est-ce pas ? C’est Jeanne, la meilleure amie de Lucie... Et, puisque tu te refuses à abandonner Lucie, je vais être généreuse avec toi. »

Un rire machiavélique s’échappa de ses lèvres, et les infirmiers détachèrent Jeanne. Même si elle faisait mine de résister, ils étaient solides, musclés, et n’eurent aucune difficulté à attacher la femme au chevalet. Que préparait donc Leona ? Les réponses n’allaient pas tarder à venir. Leona restait dans le dos de F-182, une main sur son gode, l’autre sur son menton, et l’orienta face à Jeanne.

« Bon, alors, voilà... Il faut s’occuper du cul de ta petite-copine. »

Leona embrassa encore F-182 dans le creux du cou.

« C’est très simple, en réalité. Si tu ne le fais pas toi-même, je vais libérer dans cette cage plusieurs de tes amants, ceux qui te prennent régulièrement. Tu te souviens comment ils sont assoiffés, n’est-ce pas ? Tu imagines ce qu’ils vont faire subir à ta petite-copine ? »

Leona ricana encore, devant ce dilemme monstrueux.

« Allez, encule-le moi cette pute, trésor ! »

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 64 vendredi 07 décembre 2018, 17:24:58

Sans l’infirmier, notre chère Lucie aurait pu baiser encore, et encore, et encore Jeanne, sans que cette dernière ne puisse rien faire. Elle avait l’endurance maintenant, et le pire, c’est que plus le temps passait, plus Jeanne appréciait ça. Oh que oui, elle appréciait, elle appréciait l’idée même de se faire enculer par sa meilleure amie ! Et ouais ! Il faut bien dire que c’était du à deux raisons. La première était lié à la situation même : elle était entrain de se faire baiser, la seconde, et bien… Les drogues ! Les drogues bien sûr, et ouais, notre chère Jeanne avait eu pas mal de drogue, ce qui faisait qu’elle prenait encore plus de plaisir que normalement. Ainsi, pendant que Leona faisait l’analyse, si elle put remarquer sans problème que Jeanne avait jouie, elle pu remarquer qu’elle n’avait pas été la seule à prendre du plaisir...

« Hm-hm, c’est bien ce que je pensais, il n’y a pas que de la sueur... Tu as joui, ma petite cochonne, hein ? »

Oui. Elle ne répondit pas, mais oui, elle avait jouie. Elle ne savait pas quoi, mais il y avait un… Un quelques chose qui avait rendu cela différent de tout les exercices qu’elle avait fait auparavant. Mais vraiment tous. Comme si… Comme si il y avait un petit plus, quelques choses avait rendu cette pénétration plus excitante que les autres. Elle croyait, au départ, que c’était le fait qu’elle était la pénétrante. Mais non ! Mais non, ce n’était pas ça… Et ce qui lui permit de comprendre, et bien, ce fut une action de son interlocutrice. En effet, au bout d’un moment, sa maîtresse, la déesse même, pouvait-on dire, décida de libérer alors le visage de Lucie. Une fois ceci fit, elle accorda son et lumière comme on dit :

« Oui, tu la reconnais, n’est-ce pas ? C’est Jeanne, la meilleure amie de Lucie... Et, puisque tu te refuses à abandonner Lucie, je vais être généreuse avec toi. »

Jeanne… Cela… Cela lui disait… Quelques choses… Oui… Quelques choses… Tout comme Lucie enfaite… C’était des éléments qui lui disaient tout deux quelques choses, étant donné que c’était sans doute lié à elle… Mais comment… Pourquoi ? Cela était lié à elle, mais de quelle manière ? Tant de questions qui se trottaient dans sa tête, là, maintenant, et dont elle n’avait pas les réponses malheureusement. Qui était-elle ? Elle était forcément lié à elle… Une sœur ? Une amie ? Une petite amie ? Une déesse ? Une compagnnone ? Tant de possibilités, mais encore une fois, elle n’avait aucune idée de ce que c’était. Elle n’avait pas assez de mémoire, pas assez de souvenir pour aller plus loin que… « Bon sang, ça me dit quelques choses, elle me dit quelques choses, je suis sûr qu’elle me dit quelques choses… Mais quoi ?! » Quoiqu’il en soit, la déesse reprit alors sa parole, tranquillement :

« Bon, alors, voilà... Il faut s’occuper du cul de ta petite-copine. C’est très simple, en réalité. Si tu ne le fais pas toi-même, je vais libérer dans cette cage plusieurs de tes amants, ceux qui te prennent régulièrement. Tu te souviens comment ils sont assoiffés, n’est-ce pas ? Tu imagines ce qu’ils vont faire subir à ta petite-copine ? » 

« ... »

Il fallait l’enculer… Soit c’était elle… Soit c’était les amants… Soit c’était elle… Soit c’était les amants… Les amants si brutaux… Qui la prenait régulièrement… oh oui, elle pensait bien à eux. C’était toujours eux qui en profitaient, qui la prenaient avec violence et véhémence, avec brutalité et efficacité, sans aucune once de pitié… bref, soit c’étaient eux qui pouvaient profiter de cette magnifique beauté, car oui, c’est ce qu’elle était entrain de penser… Soit c’était elle… Mais oui, elle souffrirait moins si c’était elle… Son gode était moins gros que les phallus… Et même si elle n’arrivait pas à s’en souvenir, elle… Elle aimait cette fille… Donc, elle serait moins violente, mais oui, c’était sûre… C’était sûre… C’était une bonne idée…

« Allez, encule-le moi cette pute, trésor ! »

« L’enculer… Déesse… L’enculer…
-MMMMMH! »


Oh ! Ca y est, Jeanne se manifestait ! Malheureusement, pour elle, aucun espoir de se faire comprendre… Mais pourtant, comme dit précédemment, elle avait fini par aimer vraiment ce qui lui arrivait… Pourquoi ne décidait-elle pas de signer pour un autre tour ? Et bien, déjà premièrement, elle avait encore sa virginité anale, et deuxièmement… Et bien, il y avait une grande différence entre « je prends mon pied alors qu’on est entrain de me violer », et « je vais accepter de me faire violer ! » Voilà, vous avez maintenant tout compris : son viol allait arriver, il était imminent, c’était sûr et certain… Mais cela allait sans doute être avec un peu de résistance que cela arrivait… Mais ce n’était pas de la résistance qui allait arrêter Lucie !

« MMMMH ! MMMMH !!!!
-L’enculer, l’enculer, l’ENCULER ! »


Malheureusement, ses plaintes tombèrent dans l’oreille d’une sourde ! Et ouais ! Car sans hésitation, l’anus de son interlocutrice se fit prendre par le vibro ! Bon sang, ce que c’était serré ! Et ouais ! Surtout que la pénétration n’avait pas grand-chose comme lubrifiant, hein, qu’on soit clair, il n’y avait que la mouille de notre chère Jeanne qui permettait de lubrifier quelque peu cet anus qui n’avait rien d’autre sinon. Et ouais, donc, vous imaginez bien que l’anus d’une vierge, alors qu’on a jamais rien fait avec -autre que les fonctions habituels d’un anus, bien entendu vous le devinez- et qu’en plus, l’unique lubrifiant, c’est la mouille de la personne que vous violez… Cela donnait un cocktail absolument délicieux. D’ailleurs, le mot n’a jamais été aussi bien trouvé, dans cette situation, si vous voulez mon avis (décomposez le mot, et vous comprendrez ma blague de merde, ahah.)

« MMMMMMMMMMMMMMMMH !!! MMMMMH !!! Mmmh… ! Mmmmh… ! Mmmhh…. »

Alors, je les réunis en un seul, mais faut imaginez qu’il eut des pauses, et que j’ai genre élipsé quelques uns, d’accord ? Bref, merci de votre compréhension. Donc ! Le premier « MMMMH » était bien correspondant au fait qu’elle avait découvert les joies du sexe anal d’un seul coup. Doit-on dire que ce n’était pas un gros « OUI » ? Ouais, je crois que ce n’est guère utile, vous le comprenez sans soucis. Mais les autres, et bien… Plus cela passait, plus elle appréciait. Plus cela passait, plus c’était du plaisir qui surpassait la douleur de se faire enculer. Elle aimait de plus en plus cela, et commençait à prendre son pied… Alors qu’elle ne devait pas ! Mais… Mais c’était Lucie qui l’enculait, et donc c’était… Mieux… ? Mieux oui ? On pouvait supposer…

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 65 mardi 11 décembre 2018, 00:51:08

Leona en savait suffisamment sur le conditionnement pour savoir que ça ne se faisait pas en un instant. L’esprit humain avait d’étonnantes capacités de résilience, et elle prendrait tout le temps qu’il faudrait pour offrir à sa mère son cadeau d’anniversaire. Certes, il y avait une échéance prochaine, mais il n’y avait pas encore de retard. Et la présence de cette Jeanne, si elle était contrariante au début, s’avérait finalement être une aubaine que Leona avait su retourner à son avantage. Elle constata ainsi que le conditionnement avait bien avancé, car F-182 ne manifesta pas plus d’émoi que cela devant le fondement de son amie d’enfance, et ne chercha même pas à la lubrifier avec sa langue ! Non, au lieu de ça, F-182 y alla directement, s’enfonçant d’un coup sec dans son fondement.

Évidemment, la porte arrière de Jeanne n’avait encore jamais été explorée, et elle était donc très étroite, difficile à dilater. Devant ce contact violent et éminemment douloureux, Jeanne hurla, des cris étouffés par le gag ball retenant ses lèvres. Leona, elle, souriait malicieusement, et se déplaça dans le dos de F-182, avant de se lover contre elle. Elle ne cherchait pas à la stopper, ni à restreindre ses mouvements, et pinça l’une de ses seins avec sa main, déplaçant l’autre pour caresser ses cuisses, glissant ses doigts sur les rebords de sa culotte.

« Là, c’est parfait, ma chérie... Tu es parfaite ! Mais ça, j’imagine que tu le sais déjà, hein ? Là, continue à bien la bourrer, ma chérie, défonce-moi cette salope... »

À ce stade, Leona ignorait si F-182 était capable de comprendre ce qu’elle disait, si elle pouvait en saisir les enjeux, mais, dans le fond, elle s’en fichait. Elle, elle se régalait, et c’était bien là le plus important ! Et Jeanne aussi... Ce qui confirmait à Jeanne un grand avenir au sein de la Lactos Company ! Leona n’allait en effet pas rogner sur un corps supplémentaire pour l’aider dans les activités de la compagnie. La femme mordilla le cou de F-182, léchant doucement sa peau, et déposa un tendre suçon sur elle.

Elle se lovait ainsi, savourant son corps, accompagnant ses mouvements, très heureuse de voir les transformations de F-182. Plus Jeanne hurlait, et plus Leona était heureuse. Elle décida d’aller encore plus loin dans la perversion, et s’écarta de F-182, puis se rapprocha du sommet du chevalet... Et fléchit les genoux devant Jeanne. Elle saisit son menton de sa main, relevant autoritairement son visage. À travers ses larmes et ses rougeurs, le regard de Jeanne capta le sien.

« Il est trop tard, tu le sens bien maintenant, n’est-ce pas ? Lucie Moreau est morte... Il ne reste plus que F-182, et cette femme m’appartient pleinement. Elle est mon esclave, tout comme tu es appelée, toi aussi, à le devenir. C’est ton destin ! »

Jeanne aurait beau s’y opposer, il n’y avait, pour elle, aucune autre alternative. Et, pour la provoquer encore, Leona prit un risque, et lui ôta son gag ball, curieuse de voir ce que la femme allait dire...

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 66 samedi 15 décembre 2018, 15:54:30

Ni hésitation, ni réticence à le faire. Obéissance totale et absolu… Voilà ce qu’on pouvait dire ce qu’avait fait notre chère Lucie, ou plutôt F-182. Car ouais, maintenant, on pouvait le dire, entre la mémoire qui n’était plus que des souvenirs flous, et le fait qu’elle n’avait donc pas hésité à prendre sa meilleure amie, sans la moindre hésitation… Et bien, cela ne faisait aucun doute que la fameuse Lucie était maintenant disparue dans les méandres de l’inconscient. Il n’en restait quasiment plus rien, à peine une trace résiduelle dans l’esprit de la F-182, qui était donc une des femmes de la Lactos Compagnie, et qui allait faire donc ce que doivent faire les Femmes de la Lactos Compagnie ! Surtout quand elles étaient des futurs cadeaux… Et cela, visiblement, amenait des compliments pour la jeune femme !

« Là, c’est parfait, ma chérie... Tu es parfaite ! Mais ça, j’imagine que tu le sais déjà, hein ? Là, continue à bien la bourrer, ma chérie, défonce-moi cette salope... »

Pas d’inquiétude ! F-182 était là pour vous servir, Ô déesse Léona ! Visiblement, elle continuait à faire ce qu’on lui demandait. Et avec efficacité ! Elle bourrait, sans la moindre hésitation celle qui avait été autrefois sa meilleure amie, et qui dans un sens l’était toujours ! Et ouais, je veux dire, elle avait quand même épargnée à Jeanne le fait de se faire enculer par plein d’hommes absolument bourrins, et bien plus que la fameuse Lucie. Surtout que Jeanne était encore « fertile » en théorie, là, si c’était un bout de plastique qui la prenait dans l’intimité, et bien, elle ne risquait pas de tomber enceinte, alors que des hommes auraient pu l’engrosser comme une vache ! Et ouais ! Une bonne grosse future vache ! Quoiqu’il en soit, Leona abandonna donc l’intérêt pour le moment sur Lucie, et se concentra sur Jeanne…

« Il est trop tard, tu le sens bien maintenant, n’est-ce pas ? Lucie Moreau est morte... Il ne reste plus que F-182, et cette femme m’appartient pleinement. Elle est mon esclave, tout comme tu es appelée, toi aussi, à le devenir. C’est ton destin ! »

« Aaah... »

Bon sang, cela libérait ! Et ouais, il fallait retourner un peu à notre chère Jeanne, qui avait bien mal à la gorge, il fallait bien l’avouer… Bref, visiblement, la fameuse Leona voulait briser mentalement son interlocutrice, voulait lui montrer qu’elle avait tout échoué sur la ligne, et que non seulement donc, elle ne pourrait sauver son amie de ce destin, mais qu’en tentant de la sauver, non seulement elle avait échouée, mais en plus, elle se condamnait… Donc à subir le même sort ! Et ouais, on pouvait dire qu’elle avait bien échouée… Et qu’elle n’avait plus aucune chance… Donc qu’allait faire Jeanne ? Allait-elle craquer, devant cet échec si cruel, devant le fait qu’elle ne pouvait plus rien faire à part accepter que maintenant, elle était piégée comme son amie ? Et bien… Non, elle ne faisait pas. Elle ne cédait pas, elle ne pleurait pas… Elle avait bien quelques choses cependant à dire à son interlocutrice…

« Je… C’est moi la salo… salope… ? Car je sais pas… Je vois juste… une pu… une pute qui me parle... »

OH MON DIEU ! Là, si elle se prenait pas un grand coup dans la gueule, euh… Je ne sais pas quoi dire ! Jeanne avait devinée qu’elle était fichu, qu’elle ne s’en sortirait jamais… Elle avait même devinée qu’elle allait sans doute finir comme son amie, et qu’elle n’avait… Et bien, plus aucune chance. Qu’on soit clair… Mais voilà, elle n’était pas encore brisée, elle était capable d’insulter la personne qui se prenait pour une déesse. Oh, elle savait qu’elle le regretterait, et qu’elle faisait ça comme un dernier sursaut, une dernière chance… Et puis, c’était jouissif de montrer à cette femme qu’elle n’était qu’une grosse pute ! Et ouais ! Même si ça voulait dire qu’elle allait douiller, et qu’elle allait le payer très cher… Au moins, elle aurait dit cela, et elle l’aurait pensé… Cependant, ce fut ces dernières paroles, car…

« AAAAAAAAAAh ! OUI ! »

Et bah ouais ! Car Lucie, elle, elle ne s’était pas arrêté ! Et voilà ce qui était arrivée… Elle pouvait peut-être traitée Leona de « pute », mais… Et bien, sans aucun doute, elle était là une bonne grosse salope, qui, certes grâce à des aphrodisiaques, venait de jouir d’un puissant orgasme. Et ouais, elle avait jouie, alors qu’elle se faisait violer par sa meilleure amie ! Bon sang de bonsoir, c’était atroce, mais c’était tellement de plaisir… Elle se faisait violer par sa meilleure amie, là, devant une bonne grosse pute qui avait réduite cette dernière comme une pute, et qui allait la réduire… A… A… Elle ne savait même pas ce qui lui arriverait, mais c’était fini pour elle. Désolée, pensa-t-elle à sa meilleure amie… Elle n’aura aucune chance de la sauver, mais au moins, elle chutera avec elle… C’est déjà ça…

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 67 lundi 24 décembre 2018, 00:43:20

Leona sourit doucement devant l’impertinence affichée de Jeanne. Dans un dernier sursaut, dans une dernière bravade, celle-ci avait balancé à Leona voir devant elle « une pute ». Loin d’en être fâchée, Leona s’en amusait plutôt, car elle savait déjà comment torturer Jeanne. Mais elle n’eut de toute manière pas le temps de lui répondre, car F-182 alla la prendre, toujours sans relâche. Le traitement avait donc bel et bien fonctionné ! Et ça, plus que tout le reste, excitait beaucoup Leona. Certes, elle n’était pas encore à l’abri de voir F-182 faire une rechute, mais elle était déjà très fière de voir les preuves des progrès accomplis ! F-182 baisait celle qui avait été jadis sa meilleure amie, sans guère se poser d’autres questions, et ce juste parce que sa Maîtresse le lui avait ordonné, et qu’elle ne voyait de toute façon pas quoi faire d’autre. C’était un véritable succès, très alléchant, qui faisait doucement frémir Leona, qui ne manqua pas d’observer ce fascinant spectacle.

Jeanne se mit donc à gémir, se tortillant faiblement sur place, incapable de refréner les pulsions de plaisir s’échappant de son organisme.

« Bien, tu as joui, petite pute... Mais tu vas tout de même payer pour ton affront. Arrête ça, F-182. »

Leona retira F-182 du corps de Jeanne, et lui ordonna de s’agenouiller devant elle, et de lui lécher les pieds, tout en lui retirant auparavant la ceinture avec les godes. Comprenant très bien ce que sa Maîtresse divine voulait, le docteur Michelle avait appelé d’autres sujets.

« Je dirige un immense empire, Jeanne, et nous n’avons pas encore décidé quoi faire de toi. F-182 est destinée à rejoindre la cour personnelle familiale, à être un cadeau pour ma mère. Mais toi... Toi, tu n’es rien. Alors, si tu veux rester près de F-182, tu as intérêt à être sage et obéissante. Pour l’heure, je crois que tu mérites de subir le même traitement que l’a subi ma petite salope... »

C’est ainsi que deux hommes nus entrèrent, chacun ayant un collier autour du cou. Bien bâtis, ils avaient un torse glabre, et surtout deux grosses queues en érection qui se dressaient sur leurs cuisses. Le Docteur Michelle leur fit signe d’avancer, et le duo rejoignit Jeanne. Comme tout sujet, ils étaient bien dressés, bien éduqués, et ne contestaient rien. Peu importe les protestations de Jeanne en ce moment, ils se glissèrent autour d’elle, l’écartant de la croix pour pouvoir la prendre en sandwich...

...Et, tandis que Leona laissait F-182 lécher ses longs collants rouges en latex, Jeanne sentit des verges s’enfoncer simultanément dans sa chatte et dans son cul, des verges grosses et joufflues, assoiffées et impatientes...

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 68 mercredi 26 décembre 2018, 21:23:30

Son affront… N’eut pas du tout l’effet attendu ! Elle aurait vraiment cru que cela aurait mit en rage son interlocutrice… Qu’elle aurait pêté les plombs, qu’elle l’aurait même violentée… Mais non. Rien de rien. Comme si… Comme si cela l’amusait ! Franchement, heureusement qu’elle eut son orgasme qui lui permit d’être un peu… Disons d’être heureuse et donc, de cacher ce qu’elle pensait, car sérieux, si elle n’avait pas eu ça, elle se serait décomposé. Enfaite, Leona avait littéralement fait le pire qu’elle avait pu faire en… Se fichant complètement de l’insulte. Elle montrait qu’ainsi elle dirigeait tout, qu’elle contrôlait tout… Bref, qu’elle était bien la déesse pour laquelle elle se faisait passer, sans aucunement se faire décontenancer par une petite salope qui tentait de faire sa kéké… N’est-ce pas Jeanne ?

« Bien, tu as joui, petite pute... Mais tu vas tout de même payer pour ton affront. Arrête ça, F-182. »

« Aaah... »


F-182 obéissait énormément, et c’était bien. Elle se retira, et s’éloigna légèrement. Jeanne put alors regarder dans le détail son ami… L’adolescente avait bien changé, mais… Mais elle n’était pas… Comment dire… Jeanne n’avait pas l’impression que cela faisait du temps qu’elle se faisait torturer. Elle était magnifique, cela ne faisait aucun doute, elle était toujours aussi belle, même… Même plus qu’avant, oui. Surtout ses seins. Oh mon dieu, ses seins. C’était toujours la partie pour laquelle Jeanne avait été énormément jalouse. Elle ? Elle était plate comme une planche à pain. Mais Jeanne avait une magnifique paire de sein, sans doute les plus beaux de tout le lycée… Elle sursauta quand Leona reprit la parole : Avec tout ça, elle en avait oubliée la femme, qui était pourtant… Et bien, assez importante quand même !

« Je dirige un immense empire, Jeanne, et nous n’avons pas encore décidé quoi faire de toi. F-182 est destinée à rejoindre la cour personnelle familiale, à être un cadeau pour ma mère. Mais toi... Toi, tu n’es rien. Alors, si tu veux rester près de F-182, tu as intérêt à être sage et obéissante. Pour l’heure, je crois que tu mérites de subir le même traitement que l’a subi ma petite salope... »

« Que… ? »


Ouh là ! Euh, attendez, elle eut du mal à se concentrer, elle… Elle pensait à Lucie, enfin F-182, enfin quelques soit son nom maintenant… Cour personnelle familiale ? Cadeau pour sa mère ? Genre c’était une vioque qui allait avoir sa précieuse amie ? Sérieusement ? Elle était rien ? Oui, elle devinait ça… Mais quand même ! Qu’est-ce qui allait se passer ? Elle ne savait pas, et depuis sa déconvenue avec le coup de la « pute », et bien, on pouvait bien dire qu’elle faisait quand même moins la maligne ! Bref, elle n’avait pas eu le temps de tout capter, de tout comprendre de ce qui allait être dit… Et donc, elle n’était encore moins prête ! Donnez moi un peu plus de temps, voilà ce qu’elle voulait dire ! Néanmoins…

« Attendez… ! »

Sauf que non, il n’y a pas le temps ma chère demoiselle ! Tu crois franchement que ce qui était entrain d’arriver allait… Attendre ? Et ouais ! Venait d’arrivée deux hommes, bien bâti, que cela soit dans les fondations ou dans les fioritures comme on dit… Très rapidement, la jeune adolescente n’eut d’autres choix que de se faire encercler par les 2 hommes, qui étaient là, prêtes à faire ce qu’ils devaient faire… La baiser ! Et ouais, en un seul coup, que cela soit l’anus ou la chatte, rien ne fut épargné. Les épaisses queues commencèrent à pénétrer les trous de la jeune femmes, et elle ne put rien faire. Totalement à la mercie de ces hommes, sans pouvoir bouger ni bras ni jambes, et bien, il ne lui restait plus qu’une seule chose… Sa bouche. Et ouais, c’était l’unique chose qu’elle pouvait utiliser… Et son organe vocale était bien utilisée, pas d’inquiétude, étant donné qu’elle déclara… Enfin hurla :

« AAAAAAAAAAAAAAH ! »

Sur ce magnifique cri, F-182 alla tranquillement faire ce qu’elle devait faire : lécher sa maîtresse. Obéissance totale et absolue, vénération de la déesse… Tout était là… Visiblement, cela faisait même de l’effet sur la doctoresse Michelle, qui ne put donc se retenir. Rapidement, elle abandonna à son tour ses vêtements, et se retrouva nue… Pour aller lécher l’autre collant de sa déesse. Ainsi, on avait une magnifique scène… Une femme se faisant violer par deux hommes, tandis que la maîtresse, la déesse elle avait le droit à une femme adulte et une adolescente, toutes deux magnifiques, qui étaient à ses ordres, et qui la léchaient, avec énormément d’envie, comme si elles voulaient absolument que cela arrive… Bref, c’était un magnifique tableau, cela ne faisait aucun doute !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 69 jeudi 27 décembre 2018, 21:30:07

Jeanne espérait-elle sincèrement que Leona laisserait passer son insulte, sa petite provocation, sans réagir ? Quand on la cherchait, on la trouvait ! Elle en avait l’amère démonstration sous l’effet des deux hommes venant la besogner. Ils l’encerclaient dangereusement, et la pénétrèrent simultanément, leurs queues s’enfonçant dans son vagin et dans fesses, déclenchant un délectable concert d’hurlements. Une scène habituelle pour Leona, qui avait toujours aimé superviser par elle-même ce genre de scènes, ce genre de formations. Et, alors qu’elle observait la scène, observant les corps luisants de sueur des deux esclaves (même si elle préférait les agréables courbes du beau sexe), la Doctoresse Michelle se prosterna volontairement à ses pieds, et vint lécher son autre botte. La belle femme noire se frotta contre elle, amenant Leona à sourire brièvement.

« Très bien, mes belles... Je reconnais ne pas m’être occupée de ton corps depuis bien trop longtemps, Barbara... »

En même temps, c’était normal. Non seulement une Déesse devait savoir se faire attendre, mais elle était aussi très souvent occupée. Pendant ce temps, Jeanne, elle, continuait à souffrir. Après F-182, c’était désormais deux hommes musclés qui la prenaient, grognant contre elle, pinçant ses seins, meurtrissant ses fesses en posant leurs solides mains dessus. Ils pétrissaient son corps et sa chair sans ménagement, sans considération aucune pour son être ou pour son consentement à cette scène.

Leona se pinça encore les lèvres, laissant passer les minutes, sentant le corps de ses deux esclaves remonter progressivement jusqu’à la culotte. Avec ses mains, elle caressait tendrement leurs cheveux, comme une sorte de mère affective qui viendrait ainsi prendre soin de ses ouailles, les câlinant tendrement et chaleureusement.

« Mes petites puces, si fragiles, si soumises... Tu seras vraiment un magnifique cadeau pour ma mère, F-182... »

Elle caressa également les cheveux de la Doctoresse Michelle, qui était en train de s’abandonner à la soumission avec un grand régal. Leona allait finalement prendre un risque, en éduquant Jeanne avec l’aide de F-182. Pour l’heure, elle continuait à laisser les deux femmes la lécher.

« Vous pouvez lécher ma culotte si vous le voulez... Ensuite, j’urinerai dans la bouche de l’une de vous deux... Mais ne léchez pas ma peau. Vos langues doivent uniquement viser mes vêtements. »

Pour d’aucuns, la séance de l’urine serait une punition, une humiliation supplémentaire... Mais pas pour ces deux-là, n’est-ce pas ?

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 70 vendredi 28 décembre 2018, 20:58:31

La doctoresse Michelle n’avait pas de ressenti pour sa Déesse. Et ouais, une Déesse a bien plus importante à faire que s’occuper d’elle. Enfaite cette petite histoire avec Jeanne… Et bien, elle devait avouer qu’elle avait quelques peu joué le jeu, aussi pour se faire bien voir, et se faire ainsi mettre un peu en avant. Ouais, elle devait l’avouer. Bien sûr, il fallait bien dire que la survie et l’importance de la Lactos était à ses yeux le plus important, et de très très loin… Mais voilà, il y avait quand même quelques peu le fait qu’elle estimait que cela lui avait permis de retrouver un peu sa déesse… Et ainsi, être là, et pouvoir faire ce qu’elle voulait tant faire… Lécher sa maîtresse, apprécier cela, encore et encore…

« Mes petites puces, si fragiles, si soumises... Tu seras vraiment un magnifique cadeau pour ma mère, F-182... »

La soumission était totale… Enfaite, du côté de F-182, on sentait tout les progrès, on sentait que la fameuse Lucie était bien loin, très loin maintenant… Et le retour de Jeanne n’avait été en rien un moyen de sauver la fameuse femme demoiselle aux cheveux blonds. Non, elle était tout autant condamnée que n’importe quel autre femme qui était tombée entre les mains de la Lactos… Femme ou homme, d’ailleurs, hein, on ne va pas le dire. Bref, quoiqu’il en soit, elle allait pouvoir être offerte et devenir un magnifique cadeau, avec ses deux magnifiques seins, qui étaient quand même -dirait Jeanne- la plus belle chose chez elle. Mais bref, concentrons-nous sur le présent, et ce qu’allait faire les deux femmes…

« Vous pouvez lécher ma culotte si vous le voulez... Ensuite, j’urinerai dans la bouche de l’une de vous deux... Mais ne léchez pas ma peau. Vos langues doivent uniquement viser mes vêtements. »

Allaient-elles aimer ? Bien entendue que oui ! Surtout la doctoresse Michelle, qui on soit clair, payerait tout pour avoir sa Golden Shower quotidienne offerte par sa cheffe. Qu’on soit clair, elle aimait tout ce qu’aimait Leona, elle demandait tout ce que voulait Leona… Bref, elle était soumise corps et âme à sa maîtresse… Non, maîtresse, ce n’était pas le bon terme ! Elle était bien plus qu’une simple maîtresse… C’était en effet sa déesse, même sans doute plus… Bref, pour elle, tout moment passait avec elle était un bon moment, et elle espérait qu’elle aurait le droit à cette urine, si précieuse Urine, qu’elle aimait de tout son coeur… Même si, il faut bien le dire, sa maîtresse était tellement parfaite que quelques soit son choix, et bien, cela serait le bon. Cela ne faisait aucun doute…

On sentait que de son côté, F-182, est bien, elle aimait ça, car elle se devait d’aimer ça. Elle n’était pas entièrement corps et âme dévouée à sa maîtresse. Elle obéissait aveuglement, et faisait cela car c’était le plus important pour sa vie, mais voilà, ce n’était pas exactement pareil. C’était du conditionnement, de l’obéissance, de la vénération… Mais pas comme la doctoresse Michelle où tu devais remplacer conditionnement et obéissance, par amour et idôlatrie. Bref, en tout cas, les deux femmes commencèrent à lécher la culotte de leur déesse. Mais attention, aucun coup de langue ne toucha la peau de la déesse… Et ouais, elles étaient douées. Elles pouvaient quand même réussir quelques choses d’aussi « simple » non ?

Et Jeanne ? Bah, pas grand-chose… De nouveau sous le soleil ! Et ouais, elle se faisait toujours presser, malaxer, sans aucune pitié. Ses seins, son ventre, son cul, tout y passait, et les hommes étaient des experts… Très vite, Jeanne atteint l’orgasme… Et elle fut affolée de voir que cela ne finissait toujours pas ! Et ouais, contrairement à Lucie qui avait été modifié et amélioré dès son plus jeune âge, et bien, Jeanne elle, elle restait une femme normale, qui n’avait aucune amélioration, face à des dieux du sexe, qui n’auraient aucune pitié… Bref, elle allait sans doute avoir à la fois le meilleur et le plus fatiguant des coups de son histoire… C’était une bonne chose non… ? Non… ? On allait bien voir !

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 71 vendredi 04 janvier 2019, 00:30:51

Une telle soumission ne s’obtenait pas du jour au lendemain. C’était là le grand avantage de la Lactos Company : elle avait l’avantage du temps. Pour garantir la fidélité d’employés comme le Docteur Michelle, il fallait les former dès l’enfance. Par le biais de plusieurs fondations, la Lactos récupérait des orphelins, des enfants victimes de la guerre, des réfugiés abandonnés… La Terre était un vivier à souffrances inépuisable, et, plutôt que de voir le Docteur Michelle être éduquée par la rue, elle s’était retrouvée dans l’un des centres de formation de la Lactos. Un destin somme toute similaire à celui de Lucie, qui avait grandi dans un orphelinat administré par l’ASPED, l’un des multiples tentacules de la redoutable Lactos Company. Le Docteur Michelle avait juste grandi dans une branche différente, et, dès l’enfance, on lui avait enseigné qu’elle servirait un jour des divinités réincarnées. Il existait au sein de la Lactos Company une véritable liturgie, une propagande autour de la destinée des Morimoto. À en croire cette histoire réécrite, les Morimoto descendaient directement de l’Antiquité grecque. Il existait en effet de multiples théories historiens affirmant que les Dieux de la mythologie grecque étaient à l’origine de simples hommes, des hommes héroïques qui avaient été « divinisés » par la suite. Barbara avait été éduquée dans cette croyance, selon laquelle les Morimoto étaient les descendants des Dieux grecs, de nouvelles divinités aspirant à reconquérir le monde. Un conditionnement d’enfance qui faisait qu’elle avait fait de brillantes études universitaires pour rejoindre ensuite la Lactos Company. Voir Leona Morimoto était donc pour elle un immense honneur, et elle s’évertua à lécher sa culotte, oubliant toute bienséance, confirmant ainsi que l’intelligence n’était pas un signe de liberté. On pouvait être, comme le Docteur Michelle, très cultivée, et pourtant continuer à aimer la servitude. En réalité, sous ses couverts d’entreprise honnête et discrète, la Lactos Company avait un fonctionnement à mi-chemin entre une mafia et une secte. Mais qui irait s’en plaindre ? Sûrement pas les deux femmes devant elle !

Leona savourait donc, et caressait les cheveux des deux femmes, voyant ces dernières lécher simultanément sa culotte, ou alternativement, afin de glisser leur langue pile à l’emplacement de ses lèvres intimes. Sous la culotte, elles pouvaient ainsi sentir le sexe de Leona, qui frémissait doucement, ses joues commençant à rougir. Elle avait grandi dans le sexe, et elle avait une expérience sexuelle phénoménale. Leona était autant une nymphomane que les deux créatures face à elle, même si elle se contrôlait mieux. Et puis, avec Jeanne qui se faisait copieusement baiser sous son nez, Leona avait une toile magnifique.

« Hmmm… Vous me faites mouiller, mes salopes ! »

Elle gémissait doucement sur place, sentant leur énergie redoubler en apprenant ça. Qu’il était difficile de ne pas lécher ses cuisses, de ne pas goûter à cette délicieuse mouille ! Et, Déesse magnanime, Leona ne tarda pas à préciser ses instructions :

« Celle qui ne lèche pas ma culotte… Hmmm… Peut avaler ma mouille. Vous allez vous remplacer toutes les trente secondes pour lécher ma culotte, et… Celle qui me fera jouir aura le droit de boire mon urine. »

Ce qui était normalement perçu comme une sordide punition devenait ici une récompense sacrée ! Une magnifique récompense, et Leona se demandait bien qui, de la doctoresse ou de l’esclave, allait finalement réussir à la faire jouir… Elles allaient devoir se surpasser toutes les deux, et, maintenant qu’il n’y avait plus de gêneur pour venir perturber ses programmes, Leona pouvait se faire plaisir ! Quant à Jeanne, quand les deux mâles en auront fini avec elle, la pauvre ne devrait même plus se rappeler son nom… Difficile de dire si elle allait pouvoir tenir à Ravenborn, mais, honnêtement, Leona se préoccupait comme d’une guigne de sa survie. F-182 était son cadeau, cette Jeanne n’était que du bonus !

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 72 mardi 08 janvier 2019, 21:02:47

Bon, nous allons commencer notre réponse par parler un peu de Jeanne, puis, après, nous n’en parlerons plus du reste de la réponse ! Donc, si vous ne lisez ce RP que pour savoir ce qui arrive à cette pauvre Jeanne, je vous spoile de suite… C’est pas tip top. Bref, donc, Jeanne continuait de se faire prendre par les hommes. She was completely fucked silly ! Comme disent nos amis anglo-saxons ! Et disons que l’expression allait bien. Elle était prise avec tellement de brutalité, mais surtout… Cela semblait sans fin. Elle ? Elle avait jouie depuis… Bien longtemps ! Mais les hommes, eux, non. Cela ne semblait toujours pas terminer, ils continuaient, sans hésiter la moindre seconde, sans ralentir la moindre seconde… Ils faisaient ça à la perfection, ce qui rendait tout cela monstrueux, inhumain, et absolument incroyable et horrible pour notre chère Jeanne, qui se faisait prendre encore et encore…

Voilà ! Maintenant, cela s’est fait, revenons-en à nos moutons… La Doctoresse Michelle et F-182. Comme l’a très bien dis mon compagnon de RP, et bien, l’intelligence n’avait bien rien à voir avec l’obéissance. Allez, je vous explique ? Vous aviez donc là deux femmes. L’une ? Extrêmement brillante. L’autre ? Maintenant complètement conne. Mais vous pourriez me dire : « Ouais, mais la culture ! » Non. La doctoresse Michelle, chez elle, lisez « Guerre et Paix » de Tolstoï (bon, aussi les Petits Hommes quand elle avait envie de déstresser), et elle écoutait du Tchaïkovski, surtout son Ouverture 1812, qui à son sens était l’une des plus belles pièces symphoniques. Oh, elle ne le cachait pas à sa Déesse. Plus d’une fois, elles avaient discutés musiques classiques, et la doctoresse avait même émis ses préférences à sa Déesse, qui si ce n’étaient pas les mêmes que cette dernière, celle-ci avait discuté avec entrain et dynamisme, chacune mentionnant ce qu’elles aimaient ! Donc, voilà !

« Hmmm… Vous me faites mouiller, mes salopes ! »

Les deux étaient honorés de l’apprendre. Non mais faut pas croire ! C’est pas une moquerie ! Replongeons-nous un peu dans la psychés des deux femmes. Elles avaient donc, en face d’elle, une véritable déesse. Véritable déesse, la plus grande de toute. Imaginez vous dans cette position, une position où vous, vous êtes devant une femme que vous considérez comme une déesse, et vous lui faites des avances sexuelles. Et là, celle-ci vous… Vous annonce que vous arrivez à la faire mouiller ! Vous connaissez une anecdote historique ? À l’époque grecque, l’un des plus grands héros de tout les temps fut Diomède. Pourquoi cela ? Car ce dernier arriva à blesser un Dieu. Faites saigner un Dieu, et personne ne croira en lui. Donc, pour elles, simples mortelles, arriver à faire mouiller une déesse, c’était un honneur infini. Et visiblement digne de récompenses absolument divines…

« Celle qui ne lèche pas ma culotte… Hmmm… Peut avaler ma mouille. Vous allez vous remplacer toutes les trente secondes pour lécher ma culotte, et… Celle qui me fera jouir aura le droit de boire mon urine. »

Récompense absolument divine… Et que les deux voulaient toutes deux ! Après tout, l’urine d’une déesse était un nectar divin. Bref, cela devait plaire beaucoup à la dite déesse car la situation fit naître un véritable sentiment de concurrence entre les deux femmes. L’une et l’autre pouvait avoir la récompense, et l’une et l’autre… Voulait la récompense ! Donc, elles allaient tout faire pour l’avoir… Enfaite, cela ne faisait que motiver des femmes déjà motivée, étant donné que le simple fait de faire plaisir à leur déesse.. Ca suffisait à leur donner le meilleur d’elle-même. Mais là, en plus, il y avait une récompense… Donc, il ne fallait pas seulement faire le meilleur de nous-même ! Il fallait en plus… Faire meilleur que l’autre ! Et voilà, ainsi, il y avait de la compétition, cela ne rigolait pas !

Honneur aux plus jeunes pensa visiblement la fameuse doctoresse Michelle, vu qu’elle laisse la fameuse F-182 commencer ! Celle-ci alors ne se fit pas attendre… Après tout, elle était entrainée pour cela ! Elle était là pour ça, elle était la F-182, elle n’était pas n’importe qui ! Elle se devait de montrer qu’elle était capable de la faire jouir… Après tout, si elle n’en était pas capable, alors elle serait un très mauvais cadeau d’anniversaire ! Donc, elle mit en application tout ce qu’elle avait appris, et ce qu’elle avait obtenu après cette apprentissage. C’est à dire ? Et bien, de la brutalité et de l’endurance. Alors, je vous rassure, quand je dis « brutalité », je dis pas qu’elle était genre violente sur sa déesse ! Bien sûr que non, elle aurait été arrêtée avant. Non, disons qu’elle n’y allait pas du dos de la cuillère, comme on dit quand on… Euh… On est un homme politique de la REM ? Ouais, je vous guère d’autres situation où ce terme est utilisé ! Bref, elle y mettait toute son énergie, dans un ensemble efficace et brutal, comme son éducation l’avait formée ! Et les trentes secondes passèrent ainsi...

Mais la doctoresse Michelle n’avait peut-être pas l’endurance et la brutalité de F-182… Elle avait elle plus d’intelligence et de subtilité. Oh, elle n’était pas améliorée comme l’était la F-182, mais elle avait plus d’un tour dans son sac… Ou plutôt dans son cerveau ! Elle allait montrer à cette rookie qui était jeune, ce qu’était une femme qui connaissait cette déesse depuis bien longtemps ! Donc, son cunnilingus était plus raffiné, plus sophistiqué, n’hésitant pas lui à aller chercher les points les plus érogènes ; Et ouais, je vous dis, c’était d’une efficacité bien plus efficace. Mais voilà, qui allait gagner donc ce petit concours ? Aucune des deux ne pouvaient le savoir. Leona avait deux manières d’avoir son plaisir, et celles-ci s’alternaient… Qui auraient le dernier mots ? La championne en titre, ou bien la challenger ? Cela, nous allions bientôt le savoir je vous rassure !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 73 lundi 14 janvier 2019, 00:38:03

Transpirant de beauté et d’arrogance, Leona était une femme très hautaine, très sûre d’elle, une femme qui assumait pleinement son statut de « divinité ». Elle avait grandi ainsi, elle avait été élevée et éduquée comme ça, et avait au soutien de son narcissisme un Empire industriel et commercial, et une armée d’esclaves. Elle observait joyeusement ses deux esclaves, mais ne délaissait pas Jeanne du regard. La brave intruse était en train de s’effondrer, de disparaître, de s’aliéner totalement à travers le sexe. Elle avait beau encore cherché à lutter, la bataille était vaine, perdue d’avance. Leona, elle, se régalait de cette situation, elle s’en délectait avec une malice évidente, y ressentant une sorte de joie enfantine, sadique et perverse.

Elle observa ensuite ses deux esclaves, qui, suivant ses instructions, alternèrent leurs coups de langue, faisant preuve d’impatience et... D’une très grande soif ! Un pur régal pour la redoutable Leona, qui sentait F-182 se presser contre sa culotte avec avidité, léchant furieusement, comme si elle cherchait à faire jouir sa Maîtresse le plus vite possible. Barbara, elle, optait pour des mouvements plus précis, pile dans la fente, léchant ainsi directement ses lèvres intimes, ce qui arracha à Leona quelques soupirs.

« Prenez votre temps, mes beautés, j’aime ça, vous savez, hmm... »

Leona gémit à nouveau. Elle aimait ça, en effet. La « Déesse » aimait autant le sexe sauvage que lent, et, à choisir, elle préférait même davantage le beau corps des femmes que celui des hommes. Les seins moelleux, la peau douce et fine, les longs cheveux, les petits soupirs et les cris qu’elle poussait... Tout un cocktail de sensations exquises qu’on ne trouvait pas chez les hommes ! Eux, ils étaient somme toute juste bons pour la chignole, le sexe pur et dur. La Lactos en faisait des amants décérébrés, des sortes d’hommes préhistoriques tenant davantage de l’animal que de l’homme mûr.

Elle savourait donc les deux femmes, et ce cunnilingus dura bien un bon quart d’heure, le trio étant accompagné par les gémissements et les grognements de Jeanne et de ses amants. Les joues rougies, Leona serrait les cheveux de ses amantes, se retenant encore, tenant autant que possible... Mais elle mouillait de plus en plus, sa cyprine fuitant de sa culotte, glissant sur ses cuisses, les humidifiant longuement, tandis que le plaisir continuait à croître en elle.

« Hmmm... Haaaa... »

Là, oui, là... Elle ne pouvait plus lutter, elle ne pouvait plus résister ! Leona gémit à nouveau, rougissant furieusement. Sa culotte était encore plus humide, encore et encore, et... Dans un léger râle, elle se pinça les lèvres, déglutit sur place... Et se mit à jouir.

Qui fut l’heureuse élue ?

« Hmmm... Bravo à toi, F-182, tu as gagné le droit de boire mon précieux jet doré ! Ouvre bien la bouche, trésor... ♥ »

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 74 mercredi 16 janvier 2019, 14:32:10

La compétition était lancée entre les deux femmes ! Cela ne faisait aucun doute, les deux voulaient ainsi faire ce que leur maîtresse avait demandée, et donc, elles faisaient de leur mieux pour accomplir le souhait de cette dernière. Comme dit précédemment, les deux avaient des techniques totalement différentes, illustrant bien comment les deux avaient été détruites pour être reconstruite de façon totalement différentes, mais pour le même objectif ! Un objectif qui avait été dans tout les cas une victoire ! En tout cas, les deux donc… On allait bien voir la quelle des deux avaient le bon comportement… Je vous spoile ? Les deux ! Et ouais, les deux avaient le bon comportement, tout simplement car il n’y avait pas de mauvais comportements.

« Prenez votre temps, mes beautés, j’aime ça, vous savez, hmm... »


Et ouais ! Les deux fonctionnaient bien, et donnaient énormément de plaisir à leur déesse, qui semblait franchement adorer cela… Et encore une fois, quelques soit celle qui faisait, quelques soit la méthode. Chaque méthode avait ses avantages et ses inconvénients, et nos deux femmes étaient suffisament douée, intelligente, et talentueuse pour que cela soit dans tout les cas des réussites absolument onctueuse… ainsi, devant cet égalité de talent qui aurait le droit à cet magnifique Golden Shower promise ? Et bien, cela allait être tout simplement une question de chance… Chacune s’alternait, progressivement, et la jouissance approchait donc pour notre femme… Qui finalement…

« Hmmm... Bravo à toi, F-182, tu as gagné le droit de boire mon précieux jet doré ! Ouvre bien la bouche, trésor... ♥ »

« Bien ô déesse. »


Oooooooh ! Elle… Elle a parlée ! Cela faisait longtemps qu’on avait pas entendue notre chère Lucie parler ! Et voilà qu’elle parlait. Une phrase courte et bien compréhensible, intelligible, bref, parfait dans la situation donné, étant donné que cela permettait de bien faire comprendre ce qu’elle voulait, c’est à dire, montrer qu’elle avait prit conscience de la demande, et deuxièmement, qu’elle était heureuse que sa maîtresse, que dis-je, sa déesse lui offre cette immense privilège ! Vous avez un peu mieux compris ? C’était une victoire pour notre chère Leona, ça y est… La F-182 était prête, elle avait réussi à être brisée. Elle était peut-être juste encore un peu trop intelligente, mais voilà, elle était fin prête à être offert. Et c’était par la récompense qu’avait achevé la résistance de l’ancienne Lucie.

« Tient toi bien ainsi… Profite en, c’est un immense honneur… Tu vas adorer, F-182 »

Et oui ! La doctoresse n’avait absolument aucune jalousie envers F-182. Pourquoi elle en aurait ? Enfaite, je vous explique. Imaginez que la doctoresse soit jalouse… Qu’est-ce que cela sous-entendrait ? Et bien, cela sous-entendrait… Que Leona s’est trompée ! Et oui, cela voudrait dire qu’elle s’est trompée dans le choix ! Voilà encore une force de l’héritière de la Lactos Compagnie… Pas de jalousie dans la vénération, la doctoresse était heureuse pour Leona, et approuvait à 200 % ce qui se passait. Et elle devait donc aider F-182 à honorer la déesse… Elle avait eu cet immense cadeau, elle avait cet immense privilège… Donc, elle ne devait pas du tout le gacher, ou en perdre dans l’histoire, vous comprenez un peu ce que je veux dire ?

Pendant ce temps là, Jeanne, elle, était à terre, couverte de sperme. C’était « fini » pour le moment, et elle avait la langue pendante mais, elle avait « gagnée » au yeux de la Lactos. En effet, elle était… Toujours en vie. Et encore mieux, elle était toujours consciente. Complètement « fucked silly » comme disent les anglo-saxon, mais elle était sur pied, capable encore de voir et de raisonner. Une scientifique était déjà entrain de réfléchir en pressant ses seins pour voir comment on allait pouvoir la récupérer, et l’utiliser le plus efficiant possible. Mais quoiqu’il en soit, cela avait été une victoire pour Jeanne, sur les hommes qui l’avaient baisés… Et une immense victoire pour Leona qui avait gagnée une autre fille sur le coup… Bref, un sans faute pour la déesse qui allait pouvoir offrir sa Golden Shower en déesse victorieuse et magnanime.


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